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Famille : La sexualité n'a pas d'âges
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Sujet : Opinions
Lecossais |
Date du message : septembre 11, 2018 15:45 |
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P.S. Merci à 'Lyne-en-or' pour tes bons mots. Chérie, je t'imagine physiquement comme une grande dame de près de 6 pieds, pesant 180 livres; un physique imposant mais avec un air coquin dans l'œil et sur les lèvres, me disant 'Viens me lécher le clito Lecossais si tu oses...' Est- ce que je me trompe ?? '' *** L'AMOUR ET LA SEXUALITÉ CHEZ LES SÉNIORS *** EliteSingles a réalisé une étude auprès de 457 célibataires québécois âgés de plus de 55 ans+ afin de connaître leur opinion au sujet de l'amour, de la vie de célibataire et de la sexualité. Les résultats apportent des éléments de réponses inattendus qui nous permettent de mieux comprendre leurs attentes en ce qui concerne les relations amoureuses. - 49 % n’envisagent pas de relation amoureuse sans sexe - 82 % ne veulent pas entendre parler de mariage - 43 % considèrent qu’Internet est le meilleur moyen de faire des rencontres...et sur 'amicalien' - 25 % se disent prêts à utiliser un ***** Ne leur parlez pas de mariage Cette étude démontre que les seniors sont de grands romantiques ! En effet, près de 7 célibataires sur 10 affirment qu’un coup de foudre est encore possible après 60 ans, 97 % expliquent même qu’ils désirent retomber amoureux. Tomber amoureux, oui, mais le mariage non ! 80 % des sondés répondent qu’ils n’ont aucune envie de se marier. Ce pourcentage augmente surtout parmi les personnes qui ont déjà été mariées. À la question « Après votre dernière séparation ou divorce, combien de temps vous a-t-il fallu pour vous sentir prêt à faire de nouvelles rencontres ? », les seniors répondent majoritairement « Plus d’un an » (59 %). Malgré tout, ils sont 87 % à affirmer ne pas avoir perdu foi en l’amour suite à leur dernière séparation. Être célibataire à 60 ans, ce n’est pas une chose facile « Qu’est-ce-qui est le plus difficile pour un ou une célibataire après 60 ans ?», 47 % répondent que rencontrer des célibataires de son âge s’avère être la chose la plus compliquée. 20 % évoquent le fait de ne pas se sentir en phase avec les personnes de leur âge et, enfin, 18 % expliquent qu’il est difficile pour eux de réapprendre à vivre seul. Malgré ces difficultés, les seniors apprécient certains aspects de la vie de célibataire. En effet, ils sont 50 % à se trouver plus confiants et plus sereins, car ils savent mieux ce qu’ils souhaitent pour leur relation amoureuse. 16 % aiment aussi le fait de pouvoir faire la rencontre de nouvelles personnes. La sexualité active des séniors 49 % des sondés affirment qu'une relation de couple sans sexe est impossible.. À la question « Comment qualifieriez-vous la sexualité lorsque l’on avance en âge ? », 62 % la décrivent comme « différente», expliquant que l’âge a de bons comme de mauvais côtés: tandis que 30 % la définissent comme meilleure : plus les années passent, mieux c’est. Nous avons ar ailleurs cherché à en savoir un peu plus sur leur vision de la sexualité. Notamment en leur demandant après combien de rendez-vous il était convenable pour eux d’avoir une relation sexuelle avec leur partenaire. 70 % expliquent qu’ils n’ont aucune règle stricte à ce sujet : premier ou troisième rendez-vous, tout dépend de la personne. 27 % d’entre eux affirment attendre au moins 3 rendez-vous pour avoir une relation plus intime. Le phénomène « 50 Nuances de Grey » était l’occasion de poser la question des jouets vibrants érotiques. En sont-ils adeptes ? 25 % se déclarent plutôt ouverts et prêts à essayer un jour tandis que 23 % affirment même en utiliser régulièrement Les séniors : une passion 74 % des personnes interrogées pensent qu’il est plus difficile pour les séniors de trouver l’amour sur internet. Selon eux, le plus difficile est de faire confiance à la personne avec qui ils échangent (69 %) et de discuter avec une personne qu’ils n’ont jamais vue (18 %). Et pourtant Internet reste le meilleur moyen de faire des rencontres pour 43 % des séniors interrogés. Plus jeunes, auraient-ils souhaité avoir l’aide d’un site de rencontre pour faire de nouvelles connaissances ? Pour une large majorité, ils regrettent le temps où l’on pouvait faire des rencontres sans Internet, ni ordinateur (82 %). 3 conseils pour les séniors qui cherchent l’amour 1. Prenez votre temps Après des années de célibat ou avec le même partenaire, il n'est pas évident de se lancer et séduire à nouveau. C'est pourquoi il est nécessaire de faire un léger travail sur soi, en vous posant les bonnes questions. Questions qui vont permettront d'être au clair avec vous-même concernant votre recherche de l'amour. - Quelle type de relation recherchez-vous ? Une relation sérieuse ? Une relation sans réel engagement ? Un ou une ami pour commencer ? - Quelles sont les valeurs êt qualités auxquelles vous tenez le plus ? Celles pour lesquelles vous êtes prêt à faire des concessions ? - Quelles sont ces petites habitudes que vous ne supportez plus ? 2. Concentrez-vous sur le futur et non sur le passé Si vous êtes encore affecté par votre précédente histoire, il est alors préférable de ne pas se lancer dans la recherche d'un ou d'une partenaire. Attendez d'être véritablement prêt et d'avoir suffisamment de confiance en vous pour vous lancer. Prenez le temps d'apprécier votre vie de célibataire pleinement, si vous n'aimez pas vous retrouvez seul avec vous-même, comment pensez-vous qu'une personne pourra se sentir à l'aise avec vous ? Il est donc important de se sentir à l'aise avec soi-même avant de rechercher un partenaire. Et surtout focalisez-vous vers l'avenir, personne n'aime entendre parler d'un ex lors du premier rendez-vous. 3. Ne vous découragez pas Après une longue relation, il peut être difficile de se retrouver célibataire et de devoir séduire à nouveau. Il est important de savoir qu'il est très rare de pouvoir rencontrer la bonne personne dès le premier rendez-vous, et c'est tant mieux. Avec deux ou trois différents rendez-vous, vous pouvez d'une part amélirer votre jeu de séduction et aussi savoir encore plus ce que vous souhaitez pour votre future relation. *Ce message a été édité le Sep 11, 2018 3:47 PM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : septembre 13, 2018 05:15 |
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*** Confidences secrètes et érotiques, sur ''hotmail'' entre Lecossais 74 ans et Isas 48 ans *** Lire en commençant par le bas, le no, 1, premier message. Tous mes amies et + ici peuvent écrire à cette gentille personne(voir son adresse ), la voir en petits dessous coquins, le minou bien ouvert. Échanger des films . Cette magnifique Dame est EXHIBITIONNISTE. Ça me rajeunit !! ***Tu as mon adresse aussi ici si tu veux participer à cet échange. 7---De : isas nips <isas49@hotmail.com> Envoyé : 12 septembre 2018 17:30 À : Bruce Lecossais Objet : Re: mercredi **oui j'ai des vid de moi qui se masturbe. je viens a drummondville pour aller souped avec mes ami. envoit moi des photo de toi avec mes photo sur ton monitor. toi faite tu des films? un prof wow tu doit trouver que je n'ecrite pas tres bien. tu a travailler a Longueil et tu demeure a drummond? 6---From: Bruce Lecossais Sent: September 12, 2018 5:24 AM To: isas nips Subject: mercredi wow !! merci, tu es super belle, magnifique. Merci. Dessous noirs sexés, chatte bien apparente, rasée lisse...Hum... Alors échangeons des photos...Fais-tu des films ?? J'ai travaillé à Longueil. Dis-moi quand tu viens à Drummond ? quels sont tes amis ? Montre-moi ta chatte...tes fesses...et ta figure.... Je t'envoie une photo de moi, nu, à Baie-Comeau... Bonne journée Bruce oxox 5---De : isas nips <isas49@hotmail.com> Envoyé : 11 septembre 2018 18:27 À : Bruce Lecossais Objet : Re: mardi....RE: salut je ne rencontre pas mais j'aime bien echanger des photo. je suis une exhibitionist . oui je vais a drummond voir mes ami souvant. j'aimerai bien te voir avec mes photo? retraite de ou? ou a tu travailler? est que tu sort a drummond et ou? 4---From: Bruce Lecossais Sent: September 11, 2018 7:16 AM To: isas nips Subject: mardi....RE: salut '''Non je ne travaille pas, suis retraité wow une jeune de 45 ! Aimes-tu le sexe ? *** Je suis libre les avant-midis.... Est-ce que je pourrai prendre des photos de toi ? en as-tu à me montrer ici ? Viens-tu à Drummondville ? où ...je pourrais rencontrer tes amies ? Bonne journée Bruce oxox 3---De : isas nips <isas49@hotmail.com> Envoyé : 10 septembre 2018 17:59 À : Bruce Lecossais Objet : Re: salut bonjour mr bruce. je suis de la rive sud de Montreal mais j'ai des ami a drummondville. **je suis marrier avec 2 enfant. je suis une exhibitionist. mon mari ne participe pas non plus. je suis dans la quarantaine lol. est que tu travaille? 2---From: Bruce Lecossais Sent: September 10, 2018 7:16 AM To: isas nips Subject: RE: salut héééééééé salut toi...Moi, Bruce ''Lecossais13'' sur ''xHamster'' Parle-moi de toi ? quel âge tu as, d'où tu viens ? en couple ? etc.... Moi j'ai 74 ans, en couple, mais ma compagne ne participe pas, moi seul sort quelques fois... Je suis BISEXUEL de Drummondville. Bonne journée Bruce oxox 1---De : isas nips <isas49@hotmail.com> Envoyé : 9 septembre 2018 09:30 À : bruce1999@live.ca Objet : salut je suis isas49 du site '''xHamster'''
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Lecossais |
Date du message : septembre 14, 2018 07:20 |
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*** GODE VIBRANT DANS L'ANUS *** Ma première fois : POUR HOMMES DE 75 ANS+ Oui j'ai un plug pour mon anus depuis que j'éjacule moins, depuis environ cinq ans, normal à mon âge...mais hier matin, c'était la première fois que je m'introduisais un gode VIBRANT dans l'anus. J'ai pris le petit gode rose de Mimi; elle ne se sert plus que de son gros super vibrant pour son vagin. Alors, elle me regarde faire et me dit :''Je te le donne''. Par contre il n'a pas de ''stoppeur'', dangereux qu'il disparaisse dans l'antre de la bête ! Vu que c'était un essai, j'ai fait attention et l'ai tenu en place, au fond, à 7 cm. du bord. J'ai dirigé la bout recourbé côté ventre(pénis) où se situe la prostate. J'ai tâtonné un peu et une fois touchée la prostate, c'est là que j'ai perdu la tête...tellement la jouissance était forte. J'ai éjaculé quelques gouttes mais l'orgasme a été le plus puissant que je n'ai jamais eu (et c'est pas Julie Pelletier, sexologue qui te dirait ça !). J'ai su tout de suite, en flattant cette petite masse dans l'anus, que c'était ça un orgasme prostatique. Cet organe se trouve à 7 cm. du bord. Que vais-je faire ce vendredi : me faire un cadeau évidemment; je cours m'acheter à la ''boutique érotique'' un gode vibrant d'au moins 7 cm., avec stoppeur, pour tu sais quoi...yéééééééé Que la vie est belle !
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Lecossais |
Date du message : septembre 16, 2018 05:41 |
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*** JOUETS-MAISON *** Julie Pelletier sexologue, JDM, Samedi, 15 septembre 2018 De l’art plastique pour adultes ? Pourquoi pas! Certaines personnes, fières d’une imagination débordante, se plaisent à concocter des inventions... parfois déconcertantes, parfois dangereuses mais qui se veulent toujours au départ excitantes. Fabriquer son jouet érotique demande ingéniosité mais également sécurité ! Voici donc quelques objets, dont l’utilité peut être détournée en quelque chose d’un peu plus coquin que son utilité initiale ! Vivement la créativité coquine ! Les jouets sexuels sont spécialement conçus pour votre bonheur érotique. Il n’en va pas de même pour les objets utilisés dans votre quotidien. Certains d’entre eux sont fabriqués dans des matières pouvant blesser, irriter ou malmener vos régions intimes (internes ou externes). « Les bougies sont l’exemple parfait de l’objet du quotidien qui est à exclure pour une utilisation sexuelle. La cire fondue est bien trop chaude, il ne faut user que de bougies de massage ou autres types de bougies prévues à cet effet. » 1. Le collier de perles : naturellement ici, il n’est pas question d’utiliser le collier de perles ancestral – qui se transmet de génération en génération et qui vaut, à lui seul, une fortune (sentimentale et pécuniaire) ! Avec un peu de lubrifiant, un collier de perles de peu de valeur peut rapidement se transformer en jouet étonnamment érotique. Il suffit d’enduire le pénis du partenaire d’une généreuse quantité de lubrifiant de bonne qualité, d’enrouler le collier de perles autour du membre dressé et de pratiquer quelques mouvements de va-et-vient pour provoquer des sensations hors du commun...(ça je viens de l'apprendre ici ! Merci Juile. L'as-tu essayé Toi?) 2. La cuillère de bois : pour pouvoir exprimer ses vertus excitantes, la FESSÉE doit à tout prix être pratiquée dans un contexte établi à cet effet (comme tout comportement sexuel ou intime d’ailleurs). Audacieuse et excitante pour ceux et celles qui l’utilisent, la fessée à l’aide d’une cuillère de bois doit se faire sous certaines conditions : respect mutuel, élan ajusté et adapté (la force de celui ou celle qui la donne doit être bien mesurée pour ne pas blesser l’autre) – d’ailleurs il peut être possible de recouvrir la cuillère de bois d’un linge, d’un morceau de cellophane afin d’en atténuer l’intensité de l’impact (et ne pas risquer qu’une éclisse de bois se glisse subrepticement dans la fesse). (Non, là c'est sûr que je faire attention!) 3. Les glaçons : vous ne regarderez plus jamais un glaçon de la même façon ! Élément au potentiel hautement érotique, un simple glaçon peut à lui seul provoquer d’intenses sensations. À suçoter quelques instants avant un rapport oral (cunilingus), la variation de température (intérieur de la bouche froid versus sexe chaud) ajoutera au plaisir déjà bien entamé. 4. Cravate ou bas de nylon : servant à attacher les poignets et/ou les chevilles du conjoint.e, la cravate ou le bas de nylon peut à lui seul contribuer à rendre la relation sexuelle plus étonnante. Naturellement tout cela doit absolument se vivre dans un contexte de consentement mutuel et d’ententes claires. Des consignes précises éviteront les malaises, voire les drames. (Et toute nue avec une cravate ...quel érotisme! ) Voici un guide pour vous assurer d’une bonne pratique 1. Assurez-vous que le type de comportement sexuel que vous vous apprêtez à pratiquer soit fait dans un contexte de consentement éclairé et de respect mutuel 2. Assurez-vous de pratiquer une sexualité sécuritaire 3. Assurez-vous que les objets que vous vous apprêtez à utiliser à des fins érotiques soient sécuritaires et exempts de pièces/morceaux pouvant vous irriter/blesser 4. Assurez-vous de bien nettoyer les objets avant ET après leur utilisation (achat d'une huile à cet effet) 5. Pour éviter de vous retrouver aux urgences, évitez systématiquement d’utiliser des objets pouvant causer des dommages (pensez aux conséquences possibles en cas de bris, de rupture...) 6. Rien de mieux qu’un objet spécialement conçu à cet effet – par des ingénieurs en la matière – pour vous conduire au 7e ciel ! et Lecossais ajoute qu'on n'alterne pas un objet de l'anus au vagin...mais plutôt du vagin à l'anus. ***Question : y a-t-il des dames sensibles de l'anus ? Y a-t-il une dame, ici, qui a déjà joui de l'anus ? Ma compagne, non. *** et un homme me demandait hier , à la suite de mon 'terrible' orgasme anu-sal (voir texte du 14), si j'avais réussi à trouver le plug-anus-vibrant idéal. En fait, je suis allé à la 'boutique érotique' sur le boul. St-Joseph et la gentille dame, très connaisseuse d'ailleurs, m'a montré ce qu'elle vendait, en faisant vibrer dans ma main. Non, pas trouvé assez de fortes vibrations mais l'objet me tentait. J'aimerais qu'il soit assez gros mais pointu à l'extrémité pour l'entrer mieux, sans douleur. Gros au milieu et petit à la fin au stoppeur. Je vais attendre d'acheter chez 'Priape', coin St-Hubert et Ste-Catherine à Montréal, le spécialiste pour Hommes. *Ce message a été édité le Sep 16, 2018 5:51 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : septembre 18, 2018 06:56 |
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*** SON FANTASME : FAIRE L'AMOUR À PLUSIEURS *** Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/ Il n’avait vraiment pas mis longtemps à me convaincre car j'aime lui faire plaisir. Moi 67 ans,, féministe dans l’âme, « répugnée » à l’idée que la femme soit un simple objet de plaisir d’homme. Mais ma curiosité, ou peut-être mon désir, prit le dessus sur ma raison et mes principes. Et me voilà en dentelle noire sous mon minishort et T-shirt semi-transparent, montant dans ce bus et franchissant le pas vers cette nuit qui m’attend. Il m’avait décrit son fantasme dès la première nuit que nous avions partagée. J’avais été surprise par la manière dont il l’avait imaginé, chaque détail importait, c’était quelque chose qu’il semblait avoir longuement réfléchi. Au début, je m’étais montré réticente à entrer dans son jeu. Je ne comprenais pas la finalité, et surtout pourquoi il voulait le faire précisément avec moi. Et puis petit à petit, je me suis dit pourquoi pas. Il m’avait dit pour me rassurer : « ce sera ta nuit ». Cependant, dans le bus, ma peur grandissait. Où allais-je ? Le voulais-je vraiment ? Est-ce qu’après cette expérience, ma vie serait toujours la même ? Mais je m’imaginais aussi cette nuit, me voyais nue sous son regard et sentais des vagues de désir apaiser, ou se mêler à la peur. Le bus prenait tout son temps, et chaque minute paraissait s’éterniser. Je descends enfin du bus, et il est là, il m’attend. Il est tellement beau et pur que dès que je le vois, je me sens fondre. Il dépose un timide baiser à mes lèvres et prend ma main. On y va. Au fur et à mesure que je monte les escaliers vers la chambre, je sens ma peur grandir. Il la lit dans mes yeux. Il me couche alors tendrement sur le lit et entrouvre mon décolleté. Son corps chaud se serre à mon côté alors qu’il prend dans sa main l’un de mes seins. Il le porte à sa bouche et caresse amoureusement de sa langue la pointe déjà dure. Je me laisse faire et me détends doucement. Son autre main parcourt lentement le bas de mon ventre, puis plus bas sur mon short très fin. Quand il me sent rassurée, il retire peu à peu mes vêtements. Je suis maintenant assise nue sur le lit, et je laisse son regard sombre parcourir les courbes de mon corps pâle. Il semble un moment lutter contre son désir de me prendre maintenant. Mais nous avions dit, pas tout de suite. Alors il se résigne à prendre le tissu noir qui me bandera les yeux pour cette nuit et entoure ma tête, prenant garde à laisser quelques mèches de cheveux provocatrices. Les yeux fermés me rassurent. Je ne porte plus attention à mon apparence, et me concentre uniquement sur les bruits, les voix, l’air de la pièce et les mains qui me touchent et qui font frissonner ma peau. Je me sens même désirable et attends maintenant la suite. Il m’indique que le premier ami arrive. Nous commençons une conversation b*****e qui finit par m’énerver. Je sens le liquide chaud entre mes cuisses, je ne veux pas qu’il refroidisse. Alors je cherche de mes mains ce corps qui m’est destiné, et le force à venir sur moi. L’homme semble surpris mais son souffle s’accélère. Ses mains découvrent mon corps, ce corps d’Européenne, blanc immaculé. Il veut m’embrasser, mais je refuse. Ce n’est pas inclus dans le contrat. Alors son sexe se pose sur le mien offert, et se mouille de mon jus. Mon dos se cambre de lui-même lorsqu’il finit par me pénétrer, et j’entends la ceinture de mon copain se défaire. Il regarde tout, il me regarde et ça m’excite. Je l’imagine sur moi à la place de cet homme, et je sens mon plaisir grandir. Mais l’homme est plus rapide. Déjà il se contorsionne, son va-et-vient se fait moins régulier et dans un dernier soupir, il se retire. Mais j’en veux encore ! Je suis brûlante quand le suivant entre dans la pièce. Nous nous présentons à peine, et déjà il réchauffe ses mains sur mes seins et mes hanches. Eres guapa… Je l’entends murmurer qu’il me trouve belle, et cherche au toucher les traits de son visage. Lui aussi doit être beau. J’imagine sa peau sombre d’indien se réfléchir sur la mienne, et dessine son corps ferme sous mes doigts. Il est doux et sensuel, il m’envoûte de son souffle chaud qui se dirige vers mon sexe. Il dépose un baiser humide sur mon clitoris, mais mon copain l’arrête : lui n’a pas encore eu l’occasion d’y goûter et voudrait être le premier. Alors l’homme me dévoile son membre qu’il se met à tapoter sur mes petites lèvres gonflées. Je pousse des petits cris de plaisir et entends mon copain gémir. Je l’imagine se branler sur sa chaise, devant le spectacle. Quand l’homme me pénètre enfin, je me sens infidèle. Mais l’homme sait comment faire et je sens sa force en moi, cette énergie qu’il me transmet et qui me submerge. J’oublie bientôt ce qui m’entoure et me concentre uniquement sur mon plaisir. Les mains qui enserrent ma taille, je ne les sens plus. Les cuisses qui claquent contre mes fesses, je ne les entends plus. Je suis ailleurs quelque part dans l’univers et je sens que je vais bientôt atteindre l’étoile qui scintille de plus en plus fort. Sa lumière me brûle, son battement régulier me rend folle. Et soudain je la touche, et elle se transforme en torrent glacé qui fait frémir mon corps de tout son long. Je crois que l’homme est parti. Tout est calme. Il fait chaud dans la pièce. Les doux cheveux longs de mon copain viennent frôler mon épaule. Il se couche à mon côté et m’embrasse tendrement. Je ne vois pas l’expression de son visage d’indien de la selva, et toutes ses pensées qu’il cache derrière ses yeux noirs brillants. Il me murmure la suite dans le creux du cou. J’ai un peu peur, mais il me dit qu’à tout moment je pourrai décider d’arrêter le jeu. C’est moi la reine des rennes de la nuit. On frappe à la porte. Trois hommes entrent. Ils s’approchent de moi, m’encerclent comme une proie. Je suis intimidée, mais petit à petit des mains, plein de mains se posent sur mon corps, me touchent, me caressent et j’aime ça. Des mains me massent les seins, des bouches embrassent mes formes et des doigts courent le long de mon intimité. Je me sens légère, portée par toutes ces sensations en même temps. On me murmure des mots sensuels, on dirige mes mains vers des sexes tendus. Les corps glissent sur moi, sur mon corps humide et chaud. Je suis sur le ventre, et on m’écarte les cuisses. La pointe de mes seins roule sous les doigts, d’autres doigts entrent dans mon corps tout mouillé et tout dilaté. Bientôt, les sexes remplacent les doigts. Un homme se place sous moi et commence à me pénétrer par-devant, pendant qu’un autre cherche à entrer par derrière. La sodomie me fait perdre le contrôle, et pour reprendre mes esprits je me concentre sur mon vagin. La sensation est plus forte, une sensation nouvelle d’être pleine et prise. Un sexe s’approche de ma bouche, et je reconnais sa forme. Pour vérifier, je tends la main devant moi et touche ce corps si beau qui m’est familier. Je prends son sexe en bouche, il est plus gros et plus dur que jamais. Les mouvements de va-et-vient qui me proviennent du bas du corps sont transmis à ce sexe que j’aime et qui m’aime. C’est lui que je veux, je n’en peux plus de le laisser seulement me regarder. Alors les autres hommes s’en vont, il ne reste que lui. Son corps s’allonge langoureusement sur le mien. Soudain il me prend par la taille et me pénètre profondément. Surprise, un gémissement sensuel sort de ma gorge et il accélère la cadence. Mes hanches ondulent mais le rythme est trop soutenu pour que je puisse suivre. Mes seins sont ballottés et me font mal, alors je les prends dans mes mains et les masse vigoureusement. J’ai envie de jouir en même temps que lui, mais je le sens de plus en plus excité et bientôt au sommet de son plaisir. Alors je passe une main sous mon ventre et mes doigts appuient fort sur mon clitoris en petits cercles rapides. Je sens mon plaisir monter et rattraper le sien. Chaque pause de quelques secondes qu’il fait pour reprendre son rythme effréné est comme le franchissement d’une marche de l’escalier vers l’orgasme. Soudain, mon sexe s’enflamme et brûle tout mon corps. Son sexe s’agite et son corps se tend sur mon échine. Mon vagin se contracte de manière incontrôlable et enserre son pénis pour mieux sentir ses spasmes. Nous restons un moment l’un dans l’autre, profitant pleinement de cette vague relaxante qui nous submerge. Son corps est lourd sur le mien et quand il se retire, je sens sa semence chaude s’écouler entre mes cuisses. Il m’enlève délicatement le bandeau pour plonger ses yeux dans les miens. Il est beau et je l’aime. Je l’embrasse tendrement et pose ma tête sur son épaule. Nous nous endormons enlacés, fatigués mais satisfaits.
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Lecossais |
Date du message : septembre 20, 2018 07:00 |
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*** MON HOMME TRÈS ÂGÉ *** Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/ Je viens de fêter mes 80 ANS. Je peux dire que je suis un homme heureux. Vif d’esprit et encore fringant, j’ai vécu avec une acceptation relative la diminution de certaines de mes facultés à la suite d’un léger accident vasculaire cérébral. Le choc passé, le personnel hospitalier m’a vite rassuré sur mes compétences à « remonter la pente ». Mais plus encore, c’est la vision d’une petite infirmière aux seins menus qui, tendus sous sa blouse, laissaient deviner leurs contours, qui calma mes inquiétudes. Je bandais comme un adolescent, et quand je vis le dessin de son joli cul, je n’eus qu’un désir, plonger ma virilité entre ses fesses pour y forcer sa rosette… Je me sentais revivre ! C’est une réaction infantile et jubilatoire qui s’empara de moi dès lors qu’on me fit savoir que je ne pourrais, dans un premier temps, me passer d’une aide à domicile. Un de mes fantasmes les plus marquants était en train de se réaliser, ME FAIRE ASSISTER par une jeune femme dont je serais en partie dépendant… C’est quelques jours après, en retournant chez moi, que j’ai été mis en relation avec celle qui devait m’assister. Elle s’appelait Sophie et, quoique très différente de l’image qui trottait dans ma tête – cette INFIRMIÈRE de l’hôpital –, je me suis tout de suite trouvé sous le charme. C’était une femme qui avait tout juste cinquante ans mais qui, par sa prestance et son autorité naturelle, en paraissait quarante. Elle était grande (Or-Lyne) et, lorsque péniblement je parvenais à me tenir droit, j’arrivais tout juste à la dépasser en taille. Elle était souvent habillée en tailleur, ce qui la rendait très femme et mettait en valeur le galbe de son corps tout à fait généreux… et puis elle revêtait une blouse blanche très légère qu’elle laissait entrouverte, après avoir ôté sa veste… Elle avait une belle poitrine, assez arrogante sans être trop imposante, dont je devinais les contours sous un corsage trop sage… Sa taille était plutôt fine et la cambrure de ses reins accentuée par le fait qu’elle portait toujours des chaussures à talons faisant saillir nonchalamment, à la fois ce buste si engageant dont je viens de parler, mais aussi un fessier proportionné au reste, c’est-à-dire, lui aussi, assez remarquable par son volume et sa fermeté. En bref, c’était une superbe femme à la silhouette délicieusement « dessinée » qui, sans être ronde, avait de magnifiques rondeurs… En fait, le trouble qu’elle provoquait en moi était bien de cet ordre. L’excitation de sentir si près de moi ce corps voluptueux et si savoureux, à portée de main… et en même temps l’apaisement d’avoir cette présence qui curieusement, m’était rassurante, presque maternelle. Bien qu’au début je l’ai trouvée peu causante, j’aimais beaucoup entendre le son de sa voix. Cette voix douce et assurée qui ne semblait parler que du strict nécessaire. Ainsi, elle évitait tout contact physique trop appuyé, sans doute pour que ne s’instaure entre nous aucune ambigüité. Elle était délicieusement attirante et elle avait pu remarquer que j’avais gardé toute ma vigueur, au moins pour ce qui est de la sexualité… quand elle m’avait « cueilli » quelquefois au réveil, au sortir de la sieste. Je n’étais pas parvenu, à plusieurs reprises, à dissimuler ma verge bandée aussi vigoureuse que celle d’un jeune homme. Et puis il y eut ce matin, d’une belle journée d’été. Comme à son habitude elle préparait mes médicaments à côté de mon lit alors que je venais tout juste de me réveiller et au moment où j’ouvrais les yeux. J’étais enivré par son odeur que j’imaginais être celle de la sueur qui devait perler entre ses cuisses… ou bien celle de quelques gouttes d’urine qui auraient survécu à un essuyage trop désinvolte… ou encore issue de quelques traces de cyprine vestige d’une précédente jouissance solitaire… C’était absurde, mais je sentis une envie irrépressible et j’approchai ma main tout doucement pour caresser l’une de ses belles fesses si joliment ferme et engageante. C’était comme si j’étais encore dans un rêve et que j’imaginais pouvoir caresser son cul si doucement qu’elle ne s’en rendrait compte qu’à peine… Bientôt ma main fut plaquée sur l’étoffe de sa blouse et j’eus le temps de masser légèrement son charmant postérieur et de sentir au bout de mes doigts l’exquise fermeté de sa chair. Elle s’écarta ou plutôt glissa sur le côté avec un calme étonnant et se tourna vers moi pour plonger son regard assuré dans le mien (qui devait l’être beaucoup moins). J’étais comme hébété à la fois par mon audace et par la réaction de ma soignante qui, loin de perdre toute contenance, me dit d’une voix tout à fait posée : — Vous savez, j’ai l’habitude de ce type de réaction auprès d’hommes comme vous… ne vous inquiétez pas, je ne suis pas choquée… Et toujours en me regardant avec un air ferme et pourtant si doux… — Je comprends que vous ayez des pulsions… Je m’attendais à être réprimandé, voire traité brusquement et d’une façon plus distante… Je savais que je m’aventurais dans une voix sans issue… qu’une femme avait d’autres préoccupations que de prendre en compte la libido d’un vieux monsieur comme moi… aussi je me mis à détourner mon regard de façon un peu honteuse… — N’ayez pas peur, vous avez le droit de me regarder. Je lui obéis comme un élève attentif et elle me gratifia d’un ravissant sourire. — Je ne veux pas que vous me touchiez… mais si vous le voulez, vous pouvez me regarder… Je ne voyais pas trop où elle voulait en venir car je devinais un sens particulier à ses propos qu’elle m’exprimait d’une façon un peu solennelle. Depuis mon geste à la dérobée, je n’avais pas dis un mot et j’avais l’impression que j’avais la gorge si sèche que je n’aurais pas pu, de toute façon, parler. — Qu’est-ce qui vous plaît le plus en moi ? Et devant mon silence toujours aussi gêné : — Est-ce que vous voulez que je vous le montre… Bien sûr, il n’y avait pas besoin d’en dire davantage et elle connaissait à l’instant l’objet particulier de mon désir… Je lui répondis par un sourire que je voulais lui retourner comme un compliment et où je devinais l’expression d’un puissant désir enfantin. Pendant un bref instant, je crus revivre mes premiers émois d’excitations sexuelles, lorsque j’étais encore enfant, provoqués par la vision du postérieur, moulé dans une jupe légère, de la tante qui s’occupait quelquefois de moi et, plus tard, par les fesses plus menues et fermes de ma jolie prof d’anglais. Mais je trouvai désormais la force de lui répondre… — Oui, j’en ai très envie. Elle n’avait pas besoin d’une réponse aussi longue, il suffisait d’observer mon regard qui devait briller de ce désir qui soudainement devenait avouable ! — Maintenant ? On peut dire qu’après cette précipitation calculée avec laquelle elle avait su répondre à mon désir, elle semblait savourer son pouvoir à faire durer mon attente… — J’aimerais les voir maintenant ! — … et vous croyez que je vais faire ça comme cela, gratuitement ? — Qu’est-ce que vous voulez ? — Symboliquement j’aimerais que vous me donniez un petit billet… je ne veux qu’une petite somme parce que je ne veux pas faire cela pour rien… et puis aussi… j’aime beaucoup les compliments… À cet instant, elle devait percevoir mes interrogations : — J’ai besoin d’être rassurée… que vous me complimentiez sur mon physique. Ça, c’est au moins me payer autant que ce que vous feriez avec de l’argent… Je me rendis compte que ce marché me convenait et que, vu ma situation, j’étais plus à l’aise de payer en retour le spectacle, ne serait-ce que d’une partie de son corps nu ! Je voulus aussi la rassurer sur ce point : — Si vous voulez… je ferai ce que vous voulez ! Elle retrouva alors son beau sourire et je compris à cet instant qu’un rituel singulier allait s’instaurer entre nous. Le signal, ce sera ce petit billet que je poserai dans un coin de la pièce où je me trouverai, dix euros, jamais plus. — On est d’accord ? Pas touche ! Puis, sans même attendre une réponse, elle pivota sur elle-même avec une grâce certaine en se penchant légèrement pour retrouver la position qu’elle avait tout à l’heure à mon réveil lorsque je lui avais mis la main au… Justement il était à nouveau devant moi, magnifique ! Elle releva sa blouse jusqu’à la taille puis fit glisser sa jupe le long de ses cuisses. En cette saison, elle n’avait pas besoin de collants et je découvris le galbe délicieux de ses cuisses laiteuses… Et puis bientôt elle m’offrit la vision des deux plis qui limitaient le bas de ses fesses juste avant que je ne découvre le tissu que j’avais deviné léger, de sa fine culotte blanche et transparente… J’avais déjà une vision magnifique de son fessier aux formes si généreuses, quand elle fit glisser l’élastique qui retenait encore la fine étoffe, pour la faire glisser jusqu’à ses chevilles… J’étais muet d’admiration devant un tel spectacle… et en même temps je me rappelais les termes de notre contrat. — Vous êtes tellement belle ! Je n’ai jamais vu un cul aussi magnifique… — C’est bon de vous sentir ! Comme j’aimerais pouvoir m’engouffrer en vous !… fourrer mon nez entre vos superbes fesses… et caresser tout doucement avec ma langue votre petit trou du cul ! J’avais conscience de la crudité de mes propos mais c’était ce qui me venait le plus naturellement à l’esprit. J’avais peur de la choquer à nouveau, quand elle me rassura… — Oh oui, continuez ! Continuez à me parlez comme ça ! Il vous plait ? Vous ne trouvez pas que j’ai de trop grosses fesses ? Je m’empressai de la rassurer et lui demandai si elle pouvait les écarter. J’avais alors approché mon visage afin de dévorer des yeux le spectacle de sa peau lumineuse qui portait la ravissante marque de sa culotte. De la sorte, je pouvais quasiment la renifler comme l’aurait fait un chien. Comme j’aurais aimé la laper aussi… J’attendais qu’elle honore ma demande en m’offrant le spectacle entièrement dévoilé de sa rosette impudique en séparant ses globes laiteux, mais après un instant d’hésitation, elle se rajusta prestement. — Une chose à la fois ! Si vous voulez voir plus il faudra patienter jusqu’à demain et me gratifier en retour ! J’avais à peine eu le temps de réaliser qu’elle avait déjà remonté sa jupe. Toute la journée sa déroula sans autre allusion à ce qui venait de se passer. Mais lorsqu’elle me dit « à demain ! », me laissant seul avec les somptueuses images d’un fragment de sa nudité en tête, son regard malicieux avait une saveur tout à fait nouvelle. Un lien venait de se former entre nous, et je découvris bientôt la dépendance qu’il créait pour elle comme pour moi. P.S. de Lecossais ; ici le rêve de tous les hommes très âgés : voir et bander. Il est tout à fait normal de donner une petite somme $$ (environ 50 $) pour le service sexuel que des aides soignantes, des infirmières ou tous autres préposés à domicile ou en résidences privées peuvent procurer à des hommes ou des dames très âgées. Il suffit de barrer la porte et de dire ce qu'on aimerait pour NOTRE BONHEUR. Il est possible que ce soit plus facile entre un homme âgé et son infirmier (entre hommes) même si on est hétéro. Bien sûr des visites entre résidents sont possible mais les préposés sont plus jeunes (entre 40 et 60 ans) et peuvent rendre de grands services. Ne t'en prive pas.
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Lecossais |
Date du message : septembre 23, 2018 07:24 |
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*** Panne de désir chez l’homme (1re partie): pourquoi? *** Julie Pelletier JDM Samedi, 22 septembre 2018 Les hauts et les bas que connaissent tous les couples en matière de sexualité sont, pour la plupart, tout à fait surmontables. On associe les bas aux périodes creuses, à la fatigue, au stress, aux dis*****s. Bref, en identifiant les causes du malaise intérieur on parvient à trouver des solutions efficaces. Mais il arrive aussi que la source du problème soit si nébuleuse ou si pénible, que les effets retentissent jusqu’au lit et s’immiscent dans l’esprit de l’homme le plus fougueux... cela pouvant se manifester sous forme de panne de désir. Pourquoi ? Lumières sur la situation ! Dans un premier temps, il est impératif de comprendre que les pannes de désir sont un phénomène courant en sexualité. Les couples en arrivent parfois à s’essouffler et à perdre de vue la possibilité de se renouveler au sein même de leur union ! Ce qui devient inquiétant pour chacun c’est lorsque la panne se prolonge et provoque l’éloignement des partenaires. J’ai souvent entendu que le fait qu’une femme connaisse des pannes de désir semble être plus « acceptable », plusieurs facteurs influençant à la hausse ou à la baisse son intérêt pour la sexualité. Mais lorsqu’un homme vit des pannes de désir... c’est comme si le chaos qui s’installe provoque instantanément des remous indésirables ! Et pour cause, le désir de l’homme a la réputation de toujours être frais et dispo ! Or, la réalité peut être tout autre. Nathalie, une femme de 43 ans nous a écrit : « Quand mon mari a eu des pannes de désir, j’ai littéralement capoté ! J’étais tellement certaine qu’il me trompait. Pour moi, ça n’avait pas de sens que Steve ne me désire plus. Lui qui a toujours eu la libido dans le plafond. Comme il faisait quatre ou cinq voyages d’affaires par année, j’ai tout de suite soupçonné les infidélités. Mais je trouvais que son allure aussi se détériorait. Il me semble que les gars qui cruisent d’autres femmes portent une grande attention à leur apparence ! Mais pas lui. Je lui ai donc demandé d’aller voir son médecin et il lui a diagnostiqué une dépression majeure. Je m’en voulais à mort, je le blâmais de ne plus rien vouloir faire alors qu’il était réellement malade. » Toutes les pannes de désir sexuel chez l’homme ne connaissent pas des issues aussi difficiles bien sûr, mais chose certaine, toutes les pannes de désir inquiètent les couples. Particulièrement si celles-ci ne sont pas habituelles et perdurent dans le temps. Possibles aussi chez les hommes Il est essentiel de comprendre que les pannes de désir chez les hommes sont possibles et surviennent à tous âges. Voici quelques facteurs influençant le désir à la baisse : la ROUTINE et la monotonie dans les retrouvailles intimes le post-partum – eh oui ! un homme peut également vivre une période dépressive à la suite de l’accouchement par sa partenaire de son/ses enfants la fatigue et le stress l’alcool et/ou la drogue orientation sexuelle qui ne correspond pas au type de couple vécu deuil, perte d’emploi le manque de commentaires positifs au sein du couple et la b*****isation de celui-ci le manque de compliments mutuels périodes de rapprochements non sexuels insuffisantes mauvaise estime de soi manque d’assurance et de confiance en soi valorisation absente (pas seulement dans le regard de son/sa partenaire, mais aussi des gens qui l’entourent – collègues, enfants, amis, famille...) troubles hormonaux dépression P.S. de Lecossais : faut demander à l'homme : qu'est-ce qui te ferait plaisir ? et écoute-le parler..... *** Le site 'amicalien ' fait de la censure sur certains mots en laissant des étoiles comme ceci ***** à la place du mot au complet. Je te fais faire un test ici : QUEL EST LA PARTIE DU MOT CACHÉ au début du texte et L'AUTRE MOT incomplet vers la fin du texte ?? Clique sur 'RÉPONDRE' et écris ta réponse ici. P.S. ces deux mots incomplets sont ESSENTIELS pour la libido de l'homme de tous âges !! Lesquels ? *Ce message a été édité le Sep 23, 2018 7:34 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : septembre 25, 2018 04:05 |
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*** LES CONSEILS D'EVA sur LELO *** Depuis 2010 et sous l’impulsion de la World Association for Sexual Health (Association mondiale pour la santé sexuelle), le 4 SEPTEMBRE est devenue la journée mondiale de la SANTÉ SEXUELLE. L’occasion de rappeler l’importance de promouvoir et d’éduquer sur le sujet, souvent mis à l’écart parce que la sexualité reste un tabou fort, y compris chez nombre de médecins. Ainsi, chaque année, à l’occasion de cette journée, les organisateurs mettent un thème particulier en avant sur lequel ils invitent professionnels de tous les domaines à s’exprimer. Pour l’année 2018, il ont choisi de rappeler combien la santé sexuelle et les droits sexuels sont fondamentaux. Nous considérons la santé sexuelle comme absolument, rigoureusement, indubitablement primordiale, on en profite pour vous rappeler comment vous pouvez vous-même participer à cette promotion de la santé sexuelle. 1) Les préservatifs Commençons par la base : les préservatifs. L’outil de santé sexuelle le plus célèbre, le plus efficace, le plus incontournable. Il n’empêche pas les deux amants de partager du plaisir mais de s’échanger des maladies. Et pour les duos hétérosexuels, il permet en outre d’éviter une grossesse non souhaitée. Et si le préservatif a eu longtemps mauvaise réputation du côté du plaisir, il existe aujourd’hui des modèles à la pointe de la technologie qui font ce qu’on leur demande depuis toujours : se faire oublier. 2) Le dépistage Que ce soit du SIDA, de toute autre IST, ou même du papillomavirus, il est indispensable d’aller quelques fois chez son médecin, gynécologue ou dans un centre de dépistage pour savoir comment ça va par en bas. Cela vous rassurera si vous êtes dans une forme olympique génitale et cela vous permettra de vous soigner si ce n’est pas le cas, ainsi que d’informer votre ou vos partenaire des résultats de votre check-up. 3) L’hygiène génitale Dès que l’on parle de santé, la question de l’hygiène est inévitable. Il faut non seulement que vous preniez soin de votre sexe EN LE NETTOYANT régulièrement, mais il s’agit aussi de bien vous en occuper après une galipette frénétique, en allant uriner par exemple pour empêcher les microbes de venir là où il ne faut pas. Par ailleurs, pour garder votre sexe en forme, il est recommandé de ne pas le raser. Les poils pubiens jouent un rôle majeur : celui de barrière anti intrus ! 4) Gérer les accidents Les accidents sexuels arrivent et sont souvent sans gravité à condition d’aller à l’hôpital sans attendre : repartir sans séquelle vaut bien une petite gêne. Ainsi, les hommes peuvent connaître par exemple la rupture du frein. Un accident très impressionnant à cause de la quantité de sang qui se déverse, mais qui est sans conséquence si l’on se rend dans un hôpital sans attendre. 5) Les *****s de qualité Il existe un type d’accident absolument évitable : celui qui consiste à s’insérer n’importe quoi de vaguement phallique du côté du vagin ou du rectum. Au-delà du fait que vous aurez peut-être des difficultés à sortir de là votre jouet improvisé, il y a des chances que vous laissiez dans votre intimité des bactéries et autres produits chimiques fortement déconseillés. C’est pour cette raison qu’il est également très important de n’utiliser que des *****s sans phtalates et de vous assurer que la marque de l’accessoire de vos rêves est reconnue pour sa qualité haut de gamme. Comme vos serviteurs, en toute modestie. Choisir et Utiliser ses *****s : Les Précautions Santé Lire l'article ... 6) Les *****s an-aux Du côté des accessoires de plaisir destinés à s’occuper de vos fesses, on les reconnaît à un détail aussi essentiel que simple : ils sont dotés d’une base élargie. L’idée est d’éviter que votre ***** ne soit aspiré par votre rectum et qu’il y disparaisse pour toujours (ou jusqu’à ce que vous alliez aux urgences). Ne mettez jamais rien dans vos fesses qui ne soit pas expressément prévu pour ! 7) L’éducation Si vous êtes les heureux propriétaires de quelques gamins en âge de se renseigner sur le sujet du sexe, répondez à leurs questions ! C’est en cessant d’éviter de parler sexe que l’on réussira un jour à rendre le coït libéré de tout risque de maladie. Et si vous n’avez pas d’enfant, n’hésitez pas à faire part de vos connaissances dans le domaine à votre entourage. Préservatifs, IST, dépistage, etc… Même si certains grands adultes donnent l’impression d’être très au courant des choses, un petit rappel n’est jamais inutile ! La santé sans souci Il n’y a rien de bien difficile dans le bon soin de sa santé sexuelle, alors n’oubliez pas ces quelques conseils lorsque vous mettez votre intimité au travail. La principale source de problèmes liés à cette question de la santé sexuelle, c’est la méconnaissance due au tabou. Alors parlez-en autour de vous, informez, expliquez, sur fond d’humour si ça passe plus facilement, et prenez soin de vous de partout ! Si vous voulez vous initier aux plaisir prostatiques en toute sécurité, BILLY est à une portée de clic et à -20% grâce au code HEALTH18 P.S. de Lecossais : je te donne la réponse au texte précédent, que personne n'a trouvée : il s'agissait du mot PU-TE qu'on doit écrire avec un trait d'union. Pourquoi une pu-te est si attirante pour les hommes ? Les hommes sont visuels et la pu-te , avec sa jupette à mi-fesses attire comme du miel. Avis aux Dames...et même si tu es grosse, pesant 180, si tu t'habilles en pu-te, on va te faire de l'œil. L'autre mot caché était 'bana-lisation'. Tout ce qui concerne le côté AN-AL s'écrit avec un trait d'union comme BAN-ALITÉ'; même le mot 'ANA-LYSE'...mais le mot 'ANUS' passe comme du beurre dans la poêle. **Je viens de voir que le mot 'SE-X T-OYS'' ,à 4 endroits dans ce texte, ne passent pas à la censure. Essayons 'jouets sexuels' , sera-t-il écrit au complet ? *Ce message a été édité le Sep 25, 2018 4:13 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : septembre 26, 2018 05:37 |
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*** Bric-à-brac *** ***Nous venons de faire remplir nos formules du permis de conduire pour la vue et examen médical pour nos 75 ans . Dans une clinique privée : 65$ formule +170 $ pour l'examen. La prochaine fois : à 80 ans. ***Tous les pays religieux de la planète sont des repères pour la pédophilie : Allemagne, Irlande, Brésil, sûrement Espagne et Canada mais ça reste encore cachés, États-Unis...Nous en sommes rendus dans le décompte des enfants abusés à des millions ! Pourquoi pas la France ? parce qu'en France, les curés forniquent tant qu'ils veulent : ils ne font pas le vœu de chasteté mais de célibat. Ainsi les curés peuvent aller chez les pu-tes pour ceux qui ont le fric; les autres entendent les confessions et se masturbent en posant des questions comme 'combien de fois...seules ou avec d'autres...avez-vous coulé...avez-vous pris du plaisir?' Un pays sain est un pays laÏque, sans aucune religion comme .....???? ***Pourquoi 'se-x-to-ys' est censuré sur 'amicalien' et non 'jouets sexuels' ? Mystère ... *Ce message a été édité le Sep 26, 2018 5:38 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : septembre 26, 2018 07:52 |
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***Jusqu'à maintenant trois personnes, tous du Magreb (Algérie--Maroc), ont fait une demande pour participer à notre famille et je les ai refusés : ---pas de profil ---moins de 50 ans Ce sont: Hommedesert Valer1976 Lana117 On veut bien se masturber mais entre nous les tites vieilles ! *Ce message a été édité le Sep 26, 2018 7:57 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : septembre 28, 2018 07:19 |
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*** DES NOUVELLES DE GABRIELLE, 75 ans de Laval *** De : Gabrielle (Frigide) Envoyé : 27 septembre 2018 06:27 À : Bruce Lecossais Objet : Re: Pénitence.... J ai un NOUVEL AMANT. Il vient de divorcer et déménager à Laval, il habite voisin, il a 59 ans... bientôt 60... Je lui ai avoué avoir un autre amant ... Marié... Il me promet de me gâter pour deux... Je vais laisse l’autre. Mon nouveau, un Scorpion, il me promet de me combler... encore et encore... Ce jeune divorcé est totalement disponible, à portée de la main...et du reste... Je suis vraiment comblée avec lui... Plus besoin d’avoir de l’attente de disponibilité d’un monsieur marié. J’aime baiser, mon nouveau est disponible tant que j en veux, je prends la manne qui passe... Et de la bonne manne. ??. ( avec capote tout de même) Je préfère un jeune vigoureux doué, vraiment... Mon autre avait aussi une superbe belle queue qui bandait dur, mais il n était pas assez disponible... Tu le sais, plus on en a, plus on en veut... C est mon cas... Vraiment incroyable, mon apollon est né le 22 novembre comme mon mari, mais 25 ans plus jeune... La vieille se sacrifie ...tous les jours... Et, elle ne s’en plaint pas... Te dis, j’ai rajeuni de 25 ans... Ne lâche pas toi non plus. Comble une autre vieille aussi en plus de ta femme. Tellement peu d hommes dans la soixantaine vivants et en santé qui bandent. Les hommes actifs et en santé comme toi doivent se dévouer en double... en autant que tu ne prives pas ta Mimi... P.S. de lecossais : Gabrielle a bientôt 76 ans est vaginale. Elle aime une queue dans son vagin et jouir. Elle n'est pas une beauté comme on dit; boite, marche de côté, les jambes écartées, ainsi elle est le plus souvent en jeans. Elle parle beaucoup. Elle pèse 170, petite,5'4''...Pourquoi elle réussit à avoir une jeune queue à Elle et en jouir ? Parce que, sur les sites de rencontres, elle n'a pas peur d'écrire ce qu'elle cherche. Elle ne cache rien et quand elle écrit sur la sexualité à un homme, elle dit carrément ''J'aimerais me faire fourrer par une bonne queue; est-ce que ça te plairait ? J'aimerais que tu viennes éjaculer en moi deux ou trois fois par semaine, peu importe si tu es marié. J'ouvrirai mes cuisses pour toi et serai bien humide pour que tu me pénètres à fond. Écris-moi et tu ne seras pas déçu.''' Voilà comment Gabrielle écrit sur les sites de rencontres. Et elle a toujours un homme avec une bonne queue bien dure à sa disposition. ***Sur ''amicalien'' je n'ai jamais vu de profil de Dames qui disent chercher un homme pour baiser. Pourtant, comme te disait ta mère, ce n'est pas par le ventre qu'on attrape un homme mais juste un peu plus bas...
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Lecossais |
Date du message : septembre 30, 2018 06:50 |
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*** QUE PUIS-JE MANGER POUR GOÛTER BON EN BAS ? *** Pour un goût plus léger et moins prononcé, il serait préférable de manger beaucoup de fruits et de légumes. Plus un fruit ou un légume est riche en eau, plus vos fluides auront un goût léger. Les viandes, les poissons et les produits laitiers font des goûts plus prononcés. Même résultat avec tous les mets épicés, trop salés, la caféine, l'ail et la friture. Dernier truc pour un goût sans pareil (ou presque!) : boire beaucoup d'eau! Finalement, on peut utiliser un lubrifiant - parfois parfumé - pour une plus grande fraîcheur. Lire aussi sur les ''Capsules de Julie Pelletier :10 choses qui tuent le désir;Les tabous de la sexualité féminine;10 fausses croyances sur les hommes et le sexe .La masturbation affaiblit-elle le désir sexuel chez la femme?Les Noirs ont-ils un plus gros pénis?Toutes les vulves se ressemblent. P.S. de Lecossais : sur ''les noirs ont-ils un plus gros pénis'' ? Oui pour ceux que j'ai vus en vrai. Les noirs sont aussi très patients pour faire jouir une Dame; ils prennent leur temps plus que les blancs, c'est en eux, et adorent donner du plaisir. Pour avoir le choix, faut aller en Afrique ...mais à Cuba, plusieurs Dames y trouvent leur plaisir. En Guadeloupe, à la ''Pointe Tarare'', des dizaines de noirs attendent les dames, dans les sentiers et sur la plage, toute la journée et gratuitement, avec condom. C'est très couru chez les Françaises et elles font un très beau voyage.
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Lecossais |
Date du message : octobre 2, 2018 05:43 |
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*** DÉSORMAIS *** J'ai tellement aimé les chansons de Charles Aznavour que je te présente des bouts de ces chansons ici ce matin. Un meurt mais d'autres naissent.......Y a pas que le sexe dans vie ! Richard Martineau Mardi, 2 octobre 2018 JDM '''Est-ce parce que j’ai commencé ma journée en apprenant la mort de Charles Aznavour ? Toujours est-il que ses plus belles chansons ont hanté toute ma soirée électorale, hier. VIENS VOIR LES COMÉDIENS Quand je voyais Manon Massé sauter de joie en apprenant que QS triplait son nombre de députés, j’entendais Je m’voyais déjà. « Je m’voyais déjà en haut de l’affiche / En dix fois plus gros que n’importe qui mon nom s’étalait / Je m’voyais déjà adulée et riche / Signant mes photos aux admirateurs qui se bousculaient... » Quand j’apercevais Jean-François Lisée encaisser sa déconfiture historique, les accords mélancoliques de Hier encore flottaient au-dessus de ma télé. « J’ai fait tant de projets qui sont restés en l’air / J’ai fondé tant d’espoirs qui se sont envolés / Que je reste perdu ne sachant où aller / Les yeux cherchant le ciel, mais le cœur mis en terre... » Quand j’ai appris que les libéraux mordaient la poussière, j’ai entendu le grand Charles chanter Il faut savoir. « Il faut savoir quitter la table / Lorsque l’amour est desservi / Sans s’accrocher, l’air pitoyable / Mais partir sans faire de bruit. « Il faut savoir coûte que coûte / Garder toute sa dignité / Et malgré ce qu’il nous en coûte / S’en aller sans se retourner... » Et quand j’ai appris que la CAQ allait former un gouvernement majoritaire, le fantôme d’Aznavour s’est réveillé et a chanté très fort, tel Michel Côté dans C.R.A.Z.Y. : « Emmenez-moi au bout de la terre, emmenez-moi au pays des merveilles... » LA BOHÈME Je suis sûr que plusieurs Québécois aux cheveux gris se sentent aujourd’hui comme le narrateur de La Bohème. « Quand au hasard des jours / Je m’en vais faire un tour / À mon ancienne adresse / Je ne reconnais plus / Ni les murs ni les rues / Qui ont vu ma jeunesse... » Comme si on chantait à Philippe Couillard : « Dieu que t’as changé en cinq ans / Tu t’laisses aller, tu t’laisses aller... » LES PLAISIRS DÉMODÉS Qui sait ? Si François Legault et ses troupes ne livrent pas la marchandise, dans quatre ans, nous chanterons en chœur Paris au mois d’août. « Balayé par septembre / Notre amour d’un été / Tristement se démembre / Et se meurt au passé... » Et nous retournerons en arrière, vers un PQ reconstruit ou un PLQ contrit, retrouver nos amis, nos amours, nos emmerdes... P.S. de Lecossais : la roue tourne et faut penser disparaître un jour. La planète continuera sans toi c'est sûr...tant qu'il y aura de l'eau, il y aura de la vie.
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Lecossais |
Date du message : octobre 3, 2018 18:16 |
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***Tous les humaines ont une sexualité; même les curés, les papes, les frères et les religieuses. Toutes ces personnes sont homosexuelles ou pédophiles en général et se sont cachées derrière leur religions pour jouir avec les autres. Enfin on le sait !!! Quelle hypocrisie! et quel désastre pour les enfants. Y a-t-il encore des catholiques dans la salle ??? Des RELIGIEUSES accusées d’abus sexuels Journal ''LE SOLEIL'', PATRICE LAROCHE Des religieuses des Soeurs de la Charité de Québec auraient agressé sexuellement des pensionnaires de l’orphelinat Mont d’Youville à Beauport. Le scandale entourant l’ancien orphelinat pour jeunes démunis vient de prendre de l’ampleur. Au printemps dernier, un ancien pensionnaire, Jean Simard, 56 ans, a déposé une demande pour intenter une action collective contre la congrégation qui a fondé l’orphelinat et l’a dirigé durant environ 70 ans, jusqu’à ce que le Centre jeunesse de Québec prennent le relais, en 1996. Jean Simard affirme avoir été victime pendant deux ans, dans les années 1970, de sévices infligés par un éducateur laïc. Il aurait reçu des milliers de coups de ceinture de cuir, sous les yeux du personnel de l’établissement et au su de la direction. Le préposé a depuis plaidé coupable à des voies de fait sur M. Simard et sur un autre pensionnaire. Depuis la médiatisation de la requête, une CINQUANTAINE d’anciens pensionnaires ont contacté la firme Quessy Henry St-Hilaire, qui a déposé les procédures. La majorité des nouveaux plaignants ont dénoncé d’autres préposés laïcs de l’école. Quelques- uns ont identifié des religieuses. Dans sa requête amendée, déposée ce matin au palais de justice de Québec, les avocats racontent le cas d’une fillette de sept ans, qui aurait été agressée sexuellement à de multiples reprises par la religieuse responsable de la buanderie, en 1957. Les agressions seraient survenues deux fois par semaine, durant une année. Selon les allégués de la requête, la religieuse faisait d’abord asseoir la petite fille sur ses genoux. Elle lui enlevait sa petite culotte et lui touchait le pubis et la vulve durant plusieurs minutes. Cette même jeune fille allègue avoir subi des sévices physiques et psychologiques aux mains des religieuses durant son séjour de CINQ ANS au Mont d’Youville. Elle aurait reçu des châtiments corporels si intenses qu’elle était incapable de s’asseoir. Les religieuses l’auraient forcé à terminer un plat dans lequel elle avait vomi. Au moins un garçon et une autre fille auraient confié aux avocats avoir été victimes d’abus de la part de religieuses des Soeurs de la Charité de Québec. Le cabinet Quessy Henry St-Hilaire évalue que le nombre de victimes potentielles du Mont d’Youville pourrait être de plusieurs centaines. Les anciens pensionnaires tiennent la congrégation responsable des abus commis tant par ses membres que par ses employés. Les demandeurs sont toujours en attente d’une date pour débattre de l’autorisation du recours collectif devant la Cour supérieure. Dans sa requête, Jean Simard réclame une somme de deux millions $ à titre de dommages et de pertes pécuniaires et non-pécuniaires
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Lecossais |
Date du message : octobre 6, 2018 06:00 |
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*** LECTURES ÉROTIQUES AU LIT *** Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/ de Nathalie Comme tous les soirs en semaine, je suis au lit, mon mari Michel sur ma gauche dormant déjà, et je parcours sur ma tablette les mails de la journée. Seule la lumière de mon écran éclaire faiblement la chambre, donnant à la pièce une dimension infinie et mystérieuse. Le chat ronronne au pied du lit, il fait chaud pour un mois de mai et je suis sur la couette, en nuisette, la tête sur deux oreillers moelleux, allongée, la tablette sur les genoux. Je parcours sans conviction la cinquantaine de mails non encore ouverts, entre pubs et spams, et m’arrête sur un message de Mireille. Ah, Mireille… Mireille est ma grande amie . ! Nous avons toutes les deux 64 ans, sommes sorties de la même université, avons fréquenté le même club de sport après nos grossesses, mais elle, elle vient de divorcer… et elle s’en donne à cœur-joie ! Enfin, je ne sais pas si le cœur a vraiment sa place dans ses nombreuses aventures… Son message est concis : « Surfe sur le site Revebebe et tu me donneras des nouvelles. » J’ouvre un nouvel onglet, tape « Reverbere » et me retrouve sur le site d’un artiste de rue… Mise en page originale, mais je ne comprends pas pourquoi Mireille m’envoie sur ce site… Je vérifie son mail et constate que mes yeux ont fourché : je saisis « Revebebe » ! La première histoire ouverte me laisse pantoise. C’est l’histoire d’une femme, de mon âge à peu près, qui va se faire prendre par des ouvriers roumains qui travaillent dans sa maison. Je suis fascinée. Je vole d’histoire en histoire, toujours plus excitée, toujours plus échauffée. De ma main droite, je glisse mon majeur entre mes lèvres et je constate que je suis totalement liquéfiée. Je vois des hommes prendre des femmes dans toutes les positions, des femmes offrir tous leurs trous sans retenue, des bouches gourmandes, des sexes gluants, des anus dilatés, des cris étouffés. Je lis avec fureur ces histoires, et mon imagination fait le reste, m’entraînant dans des abîmes de désir. Je me calme comme je peux, vérifiant en permanence que mon mari dort toujours du sommeil du juste, et orientant mon écran de manière à ne pas éclairer son visage. Je pousse plus avant mon investigation du site et découvre que chaque récit rassemble des commentaires de lecteurs. Il est maintenant 1 heure du matin et je mouille sans discontinuer depuis plus de deux heures. Le bas de ma nuisette est trempé. Je croise Mireille le lendemain au marché. — Alors, mon site ? me demande-t-elle avec un air taquin. — Quel site ? — Tu as vu mon mail ? Avec tes poches noires sous les yeux, tu as dû passer une bonne nuit… — Non. Quel mail ? — Regarde ta messagerie et tu me diras… Durant toute la journée, je me surprends à avoir hâte de retrouver Revebebe et ses histoires incroyables. Suis-je en train de devenir accro ? La maison est endormie, et je ressors la tablette. J’ai trouvé que je pouvais accéder à une sélection de récits par thèmes. Je suis attirée comme un papillon de nuit par un phare de voiture par « fhh » et « fhhh ». Je réalise que c’est sûrement un fantasme profond qui vient de s’exprimer. Je suis fascinée par cette jeune femme qui va se donner à deux garçons en regardant un film po- r-no. Je suis complètement « prise » dans leur histoire ; je sens mes seins durcir, ma chatte gonfler et s’ouvrir. J’ai envie de prendre le sexe de mon mari, de le branler, de le sucer, de me l’enfoncer partout. Il est si proche, et pourtant si loin… Nos rapports sont quasi mensuels et si prévisibles… Quand il n’est pas fatigué, c’est moi ! Et quand je suis par hasard excitée, monsieur a une grosse journée demain. Et pourtant, je l’aime… Je me surprends à apprécier les scènes explicites, torrides, brutales. Je prends conscience que je suis plus « po-r-no » qu’« érotisme ». Je zappe sur un autre texte : une femme triste dans un train va allumer deux garçons et subir leurs assauts. Quand l’héroïne va légèrement écarter les jambes, je vais par mimétisme faire de même. Et quand elle va recevoir sa première bite, je ne trouve qu’un stylo sur la table de chevet pour l’accompagner dans son plaisir… Dans le train, la chaleur monte. La dame va maintenant se faire enculer. Je ne suis pas une grande fan de la sodomie – plus pour des raisons d’inexpérience, ou bien d’expériences décevantes – mais j’ai envie, j’ai besoin de la suivre. Sans faire de bruit, je mouille mon index et enduis ma rosette de salive. Le stylo change de trou, et je me mets à ressentir une chaleur incroyable. Je transpire de plaisir, ma respiration s’est accélérée. Je me déplace sur la droite pour m’éloigner de mon mari. Mon autre main a du mal à tenir la tablette. Je m’astique l’anus et me mords les lèvres. Je crois que pour la première fois, je viens de jouir *****ement. Et c’est un stylo ! Un stylo 4 couleurs, mais néanmoins un stylo ! Revebebe m’excite et me frustre. Je voudrais pouvoir lire ces histoires avec mon mari, jouer avec lui, mais je ne sais pas comment lui faire passer ce message. Sottement, j’angoisse à l’idée de passer pour une salope aux yeux de Michel. Mais j’ai surtout peur de nos habitudes, d’un refus de sa part, voire d’un dégoût devant mon audace inappropriée. C’est mon amie Mireille qui va me donner la clé. Le lendemain , nous nous retrouvons un moment seules au café et je lui confie – le rouge aux joues – mon exaltation, mes envies, mes frustrations. Elle est particulièrement fière de m’avoir permis de découvrir cet univers et me donne même la liste de ses auteurs préférés. Pour la solution à mon problème avec Michel, elle a une réponse évidente : elle va utiliser un cheval de Troie ! Dans nos amis communs, François est peut-être le plus gentil, mais aussi le plus naïf et le plus crédule. Sa vie se résume aux matchs de foot, aux souvenirs de sa période d’étudiant, aux réseaux sociaux et aux jeux vidéo. Pas une semaine avant que François arrose la planète entière (sa mailing list) d’une vidéo Youtube de chatons, de chaînes de solidarité bidon, de gags débiles d’un e-comique à la mode ou d’une blague grivoise ou xénophobe. Mireille va simplement glisser dans la boîte aux lettres de François une fausse publicité pour Revebebe, imitant à la perfection un b***** flyer comme on en trouve souvent dans notre courrier. L’effet fut quasi instantané ! Dès le lendemain, François inondait sa mailing list avec le message suivant : « Attention à votre caleçon, les gars : allez surfer sur http://revebebe.free.fr/ et renouvelez votre stock de mouchoirs ! » Bref, toute la finesse légendaire de François était résumée dans ce simple message… Le soir venu, j’allume la tablette et parcours les mails. Michel est allongé à côté de moi et lit sans plus de conviction des revues immobilières. — Tiens, il y a ce con de François qui nous envoie encore un de ses plans pourris ! — J’ai vu ça, répond mon mari, et je ne l’ai pas encore ouvert. — Il y a le lien ; j’y vais. J’espère qu’il n’y a pas de virus. Je clique et j’arrive sur la page d’accueil. J’avais prémédité un peu mon coup et clique sur une histoire devant plaire à Michel. Plus jeune, il avait des tendances légères au voyeurisme, fasciné par les seins de sa tante. L’histoire est simple, crue, mais suffisamment explicite et progressive pour atteindre mon objectif : faire l’amour avec mon mari, en semaine. — Ouawww, c’est chaud ! lui dis-je. — Quoi, c’est chaud ? — Eh bien, ton ami François, il nous a sélectionné un site d’histoires érotiques. J’ai l’impression comme ça qu’il y en a des centaines, et celle sur laquelle je suis tombée, elle est – wouaw, comme dire – torride ! — Vas-y, lis un peu, dit Michel qui s’est un peu redressé sur son oreiller. Je commence à lire. C’est l’histoire d’un jeune homme qui se retrouve seul avec sa tante qui fera tout pour l’allumer. Je lis lentement, doucement. La main de Michel a glissé sur ma cuisse. Il la malaxe mollement et remonte à la source. Un doigt se glisse entre mes lèvres. Je lis toujours. — Mais ça te fait de l’effet, me souffle-t-il, tu es déjà mouillée ! Je continue ma lecture. La fameuse tante a maintenant deux doigts dans la chatte, et le jeune homme bande comme un pur-sang. Les doigts de mon mari commencent à me fouiller, et j’écarte lentement les jambes. — Vas-y continue, ma chérie, tu lis bien ! Mon mari baisse le drap et je vois son sexe dur. Ses doigts vont et viennent dans ma grotte liquide et mon souffle s’accélère. La tante branle violemment la bite du jeune homme tandis que ce dernier a glissé un pouce mutin dans le cul de la femme offerte. Elle prend maintenant sa queue dans la bouche et la suce avec passion. Mon mari glisse un doigt dans mon anus et suspend son mouvement, attendant une réaction de refus de ma part, qui ne vient pas. Bien au contraire, je m’empale un peu plus sur ce petit pieu qui me brûle et me ravit. N’y tenant plus, mon mari se jette entre me jambes et aspire, lèche, broute, mordille, pénètre de sa langue mes deux orifices. Je pose ma tablette au sol et me contorsionne pour avaler sa queue fière qui me nargue. On se retrouve dans un 69 échevelé, comme aux meilleures heures de notre rencontre ; quarante ans déjà… Je jouis à plusieurs reprises de sa langue et de ses caresses et, dans une ultime contraction, il déverse un torrent de sperme dans ma bouche affamée. Il s’allonge à mes côtés, en sueur, un sourire extatique figé sur son beau visage d’homme. — C’était trop bon ! Tu me reliras une histoire demain ? J’avais gagné ! Ainsi, nous avons franchi un cap. Le soir, je lui lis une histoire que j’ai patiemment sélectionnée durant la journée, souvent aux toilettes, pendant la pause de midi. Notre sexualité n’a jamais été aussi épanouie. À partir de quelques histoires de Revebebe qui nous ont émoustillés, nous avons imaginé une dizaine de scénarii très croustillants qui nous excitent particulièrement. On ne recherche ni la finesse, ni la subtilité érotique ; on se dit qu’on attendra 80 ans pour des plaisirs plus spirituels. On veut simplement s’envoyer en l’air, fantasmer, rire, être excités comme des adolescents et jouir avec force. On est dans le po-r-no basique, et on assume ! On a rédigé des fiches et on en tire une au sort chaque vendredi soir, histoire d’avoir la nuit pour réfléchir à notre jeu du samedi. Sur la fiche, on trouve le prénom, le métier, la description de la tenue des deux personnages, l’homme et la femme. On a écrit quelques lignes sur le début de l’histoire, le lieu, le contexte. En vrac, on va trouver un agent immobilier qui doit prendre des photos de chacune des pièces tandis que la propriétaire, légèrement ivre après un repas trop arrosé, tient absolument à poser sur les photos. On a également un kiné très professionnel qui massera un peu trop profondément une patiente ayant des contractures au mollet. J’apprécie beaucoup aussi le scénario de l’infirmière qui sucera son client afin de le déstresser avant une piqûre. J’aime aussi quand mon mari est un hypnotiseur et me fait subir les derniers outrages pendant que je fais semblant de dormir… Mon mari aime bien jouer le plombier, allongé sur le carrelage de la cuisine, et que l’avocate stricte, Maître Edwige, à lunettes et chignon, en tailleur gris perle, vient s’accroupir sur son visage pour se faire lécher sa chatte rasée. Mais mon histoire préférée, c’est quand je suis Solange, la jeune ingénue un peu nunuche, et que mon vieux professeur, monsieur Édouard, vient me donner des cours à domicile, m’initiant malgré mes légères résistances aux plaisirs de la fellation et de la sodomie, s’interdisant la pénétration vaginale afin que je reste vierge… Je dois dire que je triche un peu et que cette histoire sort plus souvent que par le simple jeu du hasard. Ainsi se termine cette histoire qui se veut être un hommage maladroit aux créateurs de ce merveilleux site qui nous donne tant de plaisir, à Michel et moi, et qui m’oblige à avoir une culotte de rechange dans mon sac à main, tant est violente la tempête qui m’inonde chaque fois que je clique sur « Revebebe »…
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