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  Famille : La sexualité n'a pas d'âges


Ce sujet fait partie de la famille La sexualité n'a pas d'âges. Cette famille est semi-privée. Vous pouvez lire le contenu de cette famille mais vous devez vous y inscrire pour échanger.



Auteur

Sujet : Opinions

Hadecouvrir
France
Messages : 9

Date du message : janvier 28, 2017  11:42


A mon avis, tu n'as pas assez raconté en détails; tu as mis les grandes lignes ...
Tu peux raconter comment ça se passe ta sexualité actuelle : seul ?
ta femme absente ? devant le miroir ? avec de l'huile...Les lectrices, les coquines et les
coquins ici adorent les détails intimes.
Si tu vas lire ici dans notre famille, plein de sujets sur le sexe ici, tu verras qu'on n'a rien à
cacher, au contraire...
Je laisserai 24 h. avant d'autres questions...mais tu n'as pas besoin d'attendre mes questions,
raconte...à ta façon. Comment ça se passait chez ce médecin , en détails, les caresses et
tout...
Et à 10 ans, comment tu as découvert ??
Merci, tu as un amour...et oui tu me fais bander, et d'autres probablement ...

je dirai tout ça ce soir, ma sexualité actuelle et comment ça se passait chez le médecin...

Hadecouvrir
France
Messages : 9

Date du message : janvier 28, 2017  12:11

Oui depuis plusieurs années ma sexualité se passe seul ou en cam, quand ma femme est absente...moins facile
maintenant qu'elle ne travaille plus...avant je pouvais dégager 1 à 2 heures par jour pour pour me donner du
plaisir devant le miroir et devant la cam...
j'utilisais des toys ,godes, pinces a tétons, ventouses à tétons, plugs , *****ring et meme des tiges pour rentrer
dans le méat...merveilleuse sensation...il m'arrivait même de dormir avec un gode que je calais avec un
string...résultat je me reveillais la nuit en jouissant de l'an-us c 'était incontrolable mes soubressauts
interminables...
le gel mis en grande quantité ne se figeait pas et lubrifiait en permanence...
maintenant c est avec le plug noir que je dors, il est plus discret...j'adore me travailler les tétons et quand je
mettais les ventouses les pointes devenaient larges et longues et tres sensibles Ensuite je les pinçais et c'était
merveilleusement insupportable...seul je pouvais être bruyant avec mes cris rauques jusqu'à la jouissance an-ale
et de la queue...
je peux encore me faire jouir de cette façon mais je dois etre plus discret la nuit dans ma chambre.

Je te raconterai une séance chez le médecin c'était délirant.




Hadecouvrir
France
Messages : 9

Date du message : janvier 28, 2017  22:47


Pour répondre à Lecossais j'avais pris un rendez vous un midi chez un médecin à Paris dont on m'avait dit qu'il
était bi. J'arrive donc à 12h30 au cabinet et je me dirige vers la salle d'attente comme indiqué à l'entrée car il n'y
avait pas de secrétariat. J'étais seul, personne ne me précédait.
Au bout de quelques minutes, le medecin me fait entrer dans le cabinet. Il me pose les questions d'usage puis
prend une chaise et s'assoit devant la porte fenêtre en me disant de me déshabiller entierement. Il me demande
de me mettre 2 metres devant lui de dos et de me pencher pour toucher mes pieds. Bien sûr je n'y arrive pas, il
se lève alors pour m'appuyer sur le dos mais positionne sa main chaude sur le bas de mon dos à l'entrée de la
raie des fesses et la maintien en la bougeant légèrement. Il voit que je commence à bander mais ne dit rien
sinon que je dois avoir un blocage. Il me fait me pencher les bras sur la table en écartant mes fesses « pour voir
la raison ».
Cette fois je bande completement et il recule un peu mon ventre pour libérer l »erection. Il passe son doigt le long
de ma raie et met un gant et du gel sur mon an-us. Il rentre un doigt puis deux et me dit que ça rentre tout seul,
que je suis bien ouvert . Il me fait mettre à 4 pattes sur la table et fouille mon an-us. Je bande comme un fou. Il
me fait m'allonger sur le dos et commence à me palper les testicules et ma queue, puis me pince les tétons en
me demandant si j'accepterais qu il verifie leur sensibilité avec des electrodes. J'accepte et il les place sans
difficulté car je suis entierement lisse, il monte l electricité et me rentre un petit plug apres m avoir mis un coussin
sous les fesses pour les relever. Le plug ne tient pas en place, il en mets un gros en le titillant, puis sort un
énorme gode. Il me dit qu'il doit m'ouvrir avant et rentre un speculum ; Je n'arrete pas de gemir et d'haleter, mais
il n'y a personne dans la salle d 'attente ? Il l'ecarte au maximum, j'ai une sensation de dilatation enorme puis le
rretire et rentre le gode . Il se deshabille alors je tiens sa queue dans ma main. Les electrodes tenues avec du
sparadrap restent en place je hurle. Il me dit de me mettre perpendiculaire a la table pour me prenbdre comme
une femme, et me mets les jambes sur ses épaules et me penetre tout en me masturbant . Il me pilonne et
explose en moi en meme tremps qu'il me fait cracher mon sperme ...Quelle jouissance !
J'y suis retourné chaque fois que j'avais un moment au moins 2 fois par mois pendant des années !!!!
Quels souvenirs ! Depuis je jouis surtout de l'an-us.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : janvier 30, 2017  06:50

Je suis très content pour toi cher ami que tu aies été initié par quelqu'un qui s'y connaissait.
Dommage pour ta femme qui ne participe pas à ta sexualité mais ne t'en fais pas , c'est souvent
le lot de vie des hommes âgés. Habituellement ces Dames sont clitoridiennes et se donnent du
plaisir seules ou n'ont plus aucun désir alors que les hommes âgés ,entre eux, se rencontrent au
centre commercial ou dans certains parcs et s'invitent chez soi s'ils sont seuls ou si leur Dame
est absente. Entre eux, ils se donnent le plaisir que seuls eux peuvent se donner.
Malheureusement les Dames âgées ont certains tabous dont celui de toucher un homme à l'an-
us. Les Dames RÊVENT encore à l'amour alors que la vie des hommes est plus simple, moins
compliquée. Oui c'est possible que des Dames et des Hommes se rencontrent sexuellement
parlant si les Dames ont, seules, développé leur sexualité; si elles se masturbent et veulent être
masturbées, être embrassées, flattées dans le dos etc... Lorsqu'une Dame a découvert son point
G, si elle jouit à l'entrée de son vagin quand elle est flattée à cet endroit, cette dame-là, vaginale,
est une perle pour un homme et je pense que si dans un couple, la dame est vaginale, jamais
son homme ne va la quitter. Ce 30% des dames âgées est très en demande et sur les sites de
rencontres, on voit souvent cette invite dans le profil. En tout cas, elle a intérêt à écrire cette
note :''Je jouis de mon vagin avec un doigt, un gode ou un pénis''.
***Hadecouvrir m'a demandé de donner son adresse-mai et son Skype qui est le même, alors si
tu va consulter son profil, tu le verras. Voilà Jacques, l'invite est faite.***
Jeunes, la sexualité sert, entre autres, à faire des enfants. En vieillissant, les partenaires
sexuels , mariés ou non, suivent souvent et en grande majorité, des chemins différents selon les
goûts ,souvent non développés dans le mariage et de ce fait, les hommes et les femmes sont
assez pour ne pas dire beaucoup différents. Le vagin n'a pas plus la même ''utilité'' sauf si la
femme en jouit; l'homme est souvent moins excité et moins tenté de s'occuper du clito de la
Dame et surtout de le lécher, il se tourne vers les autres hommes et va vivre une sexualité à ses
goûts et sera heureux. Imagine, les hommes découvrent la jouissance de l'an-us à 70 ans !
misère...
Bonjour Madame, comment vas-tu ce matin ? Bien dormi ?

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : janvier 31, 2017  07:37


             ***À 63 ans, elle réalise son rêve de devenir danseuse ***
Frédérique Giguère du Journal-de-Montréal
MISE à JOUR Mardi, 31 janvier 2017 06:30
Après avoir récolté des pourboires toute sa vie, une femme de Saint-Lazare a pris sa retraite de
la restauration pour réaliser le rêve qu’elle caressait depuis sa tendre enfance: devenir danseuse
de compétition.
«Ça a changé complètement ma vie», a confié la femme de 63 ans. «Ça m’a rendue tellement
plus heureuse, plus en vie. Quand j’entre au studio, c’est comme si j’arrivais au paradis!»
Ada Lopez est née à Mexico en 1953, l’année où les femmes ont obtenu le droit de vote. Avec
du recul, la sexagénaire aurait souhaité avoir autant de courage que les défenderesses du
suffrage féminin pour tenir tête aux hommes de sa vie.
Au lendemain de ses 18 ans, Mme Lopez s’est envolée pour Montréal dans l’espoir de se bâtir
une meilleure vie.
Peu de temps après, elle est tombée follement amoureuse d’un Pakistanais qui travaillait au
même restaurant qu’elle.
Ils se sont mariés et ont eu un enfant, Miguel. Mais quand elle a avoué à son époux qu’elle rêvait
d’une carrière dans la danse, celui-ci n’était pas chaud à l’idée.
«Ce n’était pas possible pour lui que sa femme soit danseuse, a-t-elle raconté. Il était musulman
et c’était mal vu dans sa religion.»
Ils ont divorcé quatre ans plus tard.
    Ada Lopez, 63 ans, de Saint-Lazare, est à la retraite. Elle a réalisé son rêve de jeunesse en
s’inscrivant à des cours de danse. On la voit ici avec son partenaire Damien Danilovic à La
Classique du Québec en 2015.
Monoparentale
Du jour au lendemain, la jeune mère s’est retrouvée seule avec son petit. Son rêve est à
nouveau tombé à l’eau puisqu’elle devait avoir un salaire stable pour subvenir aux besoins de
son garçon.
L’amour a de nouveau frappé à sa porte quelques années plus tard. Il s’appelait Claudio, il était
beau, grand, romantique et d’origine portugaise.
«Mais pour lui, la danse, c’était plus un passe-temps», a-t-elle expliqué.
Ses aspirations ont une fois de plus été rangées au placard.
Après 25 ans de vie commune, le couple s’est séparé. Alors âgée de 55 ans, Mme Lopez a
décidé de prendre sa retraite de la restauration.
Trophées et médailles
Son fils, qui gagne bien sa vie, l’a pris sous son aile et a aménagé le sous-sol de sa luxueuse
maison de Saint-Lazare spécialement pour elle.
C’est d’ailleurs lui qui a convaincu sa mère de s’inscrire à des cours de danse. Sept ans plus
tard, Ada Lopez collectionne les médailles et les trophées pour ses performances en rumba, en
cha-cha-cha, en valse, en tango et en salsa, notamment.
«Ça me garde en santé, autant physiquement que moralement», a souligné celle qui a souffert
de dépression.
Elle a participé à certaines des plus prestigieuses compétitions de danse du Canada, comme la
Classique du Québec et le Chic de la danse.
Les semaines qui précèdent un événement, elle se rend jusqu’à six fois par semaine au studio
pour peaufiner ses chorégraphies.
Depuis ses débuts, elle danse avec ses professeurs puisque les partenaires en danse sociale
sont plutôt rares.
Sa passion lui coûte un minimum de 30 000$ par année. Ce montant inclut les robes, dont le prix
peut s’élever jusqu’à quelques milliers de dollars. Heureusement, son fils unique l’aide
financièrement.
Mme Lopez se décrit elle-même comme une femme «bling-bling». Elle adore tout ce qui brille,
les beaux vêtements, les chaussures extravagantes et les maquillages dramatiques. Impossible
pour elle de sortir de la maison sans une manucure aux couleurs éclatantes.
Bien qu’elle soit consciente de la chance qu’elle a, Ada Lopez regrette quand même de ne pas
avoir commencé à danser plus tôt dans sa vie.
«Quand je vois les jeunes de 25 ou 30 ans qui dansent comme de la dynamite, je me dis “wow!”.
Ce n’est pas grave, ce sera pour ma prochaine vie», conclut-elle en riant.
La danse pour guérir
Avant de commencer à danser, Ada Lopez souffrait d’une grave dépression depuis plus de trois
ans, elle qui avait perdu plusieurs proches dans un court laps de temps.
«Aussitôt que j’ai commencé à danser, ma dépression a été terminée», a-t-elle raconté.
En 2009, alors qu’elle venait d’assister aux funérailles d’un ami mort du cancer, la femme de 63
ans a vu l’enseigne d’une école de danse dans l’ouest de l’île de Montréal. Elle est entrée dans
le studio et s’est informée sur les classes offertes et les tarifs.
Après avoir caressé ce rêve toute sa vie, Mme Lopez s’est finale­ment inscrite à des cours de
danse.
«J’avais perdu beaucoup de poids, pendant ma dépression, et j’ai commencé à en reprendre en
dansant, a-t-elle expliqué. En l’espace d’un an, j’ai complètement arrêté de prendre des
antidépresseurs. J’étais enfin heureuse.»
Étincelle
Pour son fils, qui avait toujours vu sa mère comme un modèle de force et de résilience, cette
période était aussi très difficile. Ada Lopez avait perdu «l’étincelle» qui illuminait ses yeux, a
confié son fils Miguel.
«Avec la danse, elle fait partie d’une équipe», a-t-il expliqué.
«Elle a retrouvé un certain sentiment d’appartenance et ça prolonge assurément sa vie. Je ne la
vois pas âgée aujourd’hui, alors que pendant sa dépression, je la voyais plus âgée.»
Voilà pourquoi les femmes mûres sortent avec des jeunes homme
Société
À 63 ans, elle réalise son rêve

P.S. de Lecossais : hum....c'est une dame comme ça que j'aimerais rencontrer : dynamique,
maquillée, bijoux et rouge à lèvres ! Je me fous qu'elle soit clitoridienne, je la ferais valser sur le
sofa...avec ma langue...et je suis sûr qu'elle garderait ses bas noirs mi-cuisses ! ouiiiiiiiiiiii viens
on va danser sur des airs de Gainsbourg.
Intéressant la vie de cette Dame avec des jambes en forme. La danse, à nos âges, est le
meilleur moyen de s'approcher de l'autre sexe si c'est ça que tu veux. Un homme qui sait faire
quelques pas, a une bonne longueur d'avance sur tous les autres et je ne parle pas de sperme là.
En face d'une dame, sur le plancher, collés, le ventre en avant, on se frotte un peu ...et les
jambes de la Dame s'ouvre automatiquement. On peut aussi danser dans le lit aussi...

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : février 1, 2017  07:47


                                 ***La Dame Mûre ***
Je m’appelle Geneviève et je dois dire que la rencontre que j’ai faite à proximité d’Arles dans un
établissement de balnéothérapie a totalement changé ma vision des choses… notamment en ce
qui concerne ma sexualité ! Pourtant je suis divorcée, ayant vécu plus de 20 ans avec un
homme… Mais ce qui m’est arrivé dans ce sauna remet tout en question.
En fait c’était un cadeau de mes enfants, ils m’avaient offert pour Noël un bon cadeau pour une
après-midi de détente dans un grand sauna / hammam près de la ville d’Arles, et je me suis donc
décidée quelques semaines plus tard à l’utiliser. En même temps j’avais bien besoin de repos,
cela tombait donc à pic ! Me voilà en devant la réception de ce lieu dédié au bien-être, je passe
pars les vestiaire et commence par un massage californien d’une trentaine de minutes. Je me
suis ensuite dirigée vers le sauna, et c’est là que j’ai rencontré Nadine. Elle avait à peu de
choses près mon âge (67 ans) et était plutôt jolie. Nous avons rapidement commencé à discuter,
et nous nous sommes rendues compte qu’on avait pas mal de points communs : elle était
également divorcée, et ne croyait plus vraiment au grand amour.
Je remarquais au cours de notre discussion qu’elle me regardait avec un certain désir… Nous
étions toutes les deux nues et, bizarrement, le fait de me sentir appréciée me plaisait
énormément. Je n’ai donc pas réagit quand elle a commencé à me caresser les seins. Pire
encore, je laissais échapper des soupirs de plaisir, d’une telle manière qu’elle continua en
approchant ses lèvres des miennes. Nous nous sommes mises à nous embrasser tendrement,
et elle finit par descendre plus bas, pour effleurer de ses lèvres douces ma chatte épilée.
Hmmmm c’était divin, je ne me rendais pas compte que cette expérience était en train de
bouleverser ma vie. Je lui ai bien entendu rendu la pareille, elle a fini par jouir intensément dans
ma bouche, je découvrais ainsi avec stupeur le goût savoureux de son nectar d’amour ! Nous
sommes ensuite restées en contact et nous nous revoyons fréquemment avec Nadine, une jolie
femme cougar d’Arles qui m’a fait découvrir les plaisirs de l’amour entre femmes. Je ne sais pas
si je suis lesbienne désormais, mais je suis certaine d’être bi !
site''la femme-mûre.com''

P.S. de Lecossais : peu importe l'appellation ''bi-homo-lesbi-hétéro'', la sexualité n'a pas d'âges
ni de GENRE, on est une personne qui a des désirs, des envies, et à nos âges, il est tellement
agréable d'aller vers une découverte, une nouvelle aventure et se faire une nouvelle amie pour la
vie, pour le temps qu'il nous reste...avec ou sans bas noirs...

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : février 3, 2017  06:46

Je suis du genre méfiant sur le net et en particulier sur ''skype''. J'ai plusieurs demandes
sur ''amicalien'' en particulier de jeunes femmes dans la quarantaine. Cette semaine, une femme
de Quimper (Mariadu29) de 46 ans dit qu'elle aimerait jaser en direct . Je l'ajoute à mes contacts
et l'invitation arrive sous le nom ''chocolat marron'' et un nom d'homme J.Y.B.. Je clique aussitôt
sur ''bloquer''. Je raconte à cette Maria, célibataire-2 enfants et arrangeuse de mariage que j'ai
bloqué ce ''chocolat''.... Elle me répond sur ''hotmail'' qu' elle a gardé le nom de son EX-mari pour
Skype. De là ma méfiance et ce nom demeurera bloqué. Pourquoi une dame garderait le nom de
son mâle si elle veut faire de nouvelles rencontres et ''cruiser'' un beau mâle, quoique vieux,
comme moi ? Tout le monde veut du fric et petit à petit, à la découverte d'un sein ou d'un minou-
sous-jupe, le vieux cède. Je ne saurai jamais la fin de l'histoire mais une Française qui veut jaser
sur Skype, c'est pas tellement mon genre de vie. J'aime le Québec pour les 5-6 mois chauds et
la Floride l'hiver. Je ne retournerai pas en France y ayant vécu 9,8 ans entre 1983 et 2003. Donc
pas de rencontre possible à moins que la Dame vienne au Québec, qu'elle aime la vie en
véhicule récréatif , qu'elle ait entre 60 et 80 ans et qu'elle porte des bas-noirs mi-cuisses pour
m'indiquer le chemin où déposer ma langue. Ça me fait comme un chemin fléché !
En passant, tu sais combien il y a le nom ''chocolat marron'' quand tu cliques sur ''recherche'', sur
Skype ? des dizaines et de tous les pays surtout en Afrique...et ils n'attendent que toi pour te
faire les poches, même si à nos âges, les hommes ont la poche plutôt vide.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : février 4, 2017  07:18


                *** « Mon mari a fait son coming-out (sa vérité sexuelle) ***
J'avais 38 ans lorsque je suis tombée amoureuse de Paul. J'étais une célibataire plutôt
épanouie, absolument pas tentée par la vie de couple, ni taraudée par le désir d'enfant. Je vivais
des aventures d'un soir et des vraies histoires de plusieurs mois, cela me convenait très bien. Je
m'occupais de relations publiques dans une maison de disques, et Paul était critique musical.
On se côtoyait depuis des années et nous entretenions d'excellentes relations professionnelles.
Puis je lui ai proposé que nous déjeunions ensemble, pour le boulot. Nous avons passé un
moment merveilleux, il était taquin et plein d'humour. Pour me remercier du déjeuner, il m'a
invitée à dîner. J'étais ravie mais pas du tout émoustillée, car j'étais persuadée qu'il était gay...
Jusqu'à ce que l'on se revoie huit jours plus tard. Il est venu chez moi et là, entre nous, ce fut
comme une évidence. Ensuite tout est allé très vite. Nous ne nous sommes plus quittés. Nous
avons passé Noël à Marrakech, enchaîné les voyages, et quelques mois plus tard, en Italie, il
m'a demandé de l'épouser. Nous avons réuni nos parents et nos témoins. Il a cassé ses lunettes
la veille du rendez-vous à la mairie et a donc signé l'acte de mariage dans le brouillard ! Puis
nous sommes partis en voyage de noces au Liban.
Paul a juste deux ans de moins que moi, la question des enfants s'est donc très vite posée. Je
ne savais pas si j'en voulais ou pas, mais mon horloge biologique tournait... Nous n'avons pas
hésité longtemps. Neuf mois après notre retour, Oscar est né. Paul s'est révélé un père
formidable. Moi, j'allais au bureau, lui travaillait à la maison et s'occupait énormément du bébé, il
l'emmenait partout. Nous étions très heureux.
J'allais avoir 40 ans, nous voulions un deuxième enfant. Prune est née. Mon mari était le dernier
d'une fratrie de trois garçons. Il se montrait à la fois un peu emprunté et très affectueux avec
notre fille. On sentait que le territoire féminin lui était étranger, mais il apprenait.
L'aveu
Deux ans plus tard, il a perdu sa mère, une personne au caractère bien trempé. Femme au
foyer, elle avait raté sa vocation d'institutrice et cravaché ses trois fils, les conduisant à de
grandes études. Malgré son intelligence, elle n'avait pas les idées larges. Paul se souvient l'avoir
entendue affirmer lorsqu'il était adolescent : « Si un jour un de mes fils est homosexuel, je le
renie. »
Vous me voyez venir ?
Donc sa mère meurt, en 2008. Et peu à peu, je sens que notre couple commence à se gripper.
Nous ne communiquons plus, il me regarde comme si j'étais un meuble, nous n'avons plus de
relations sexuelles ou presque. Il est absent avec tout le monde, enfin il est là sans être là. Bref,
j'en suis persuadée, il y a quelque chose qui cloche. Il faut préciser que Paul est quelqu'un de
très réservé, il parle peu.
Mais un soir, en mai 2010 (nos enfants ont alors 4 et 6 ans), je prends les devants et lui
demande : « Y a-t-il une autre femme ? » Au moment où je prononce cette phrase, je le vois se
recroqueviller sur sa chaise et soudain je comprends : « Un homme, bien sûr. Tu as commis ce
qui faisait horreur à ta mère. »
Ce qui est surprenant, c'est qu'il avait quitté sa province pour venir étudier à Paris des années
plus tôt. Il aurait été totalement libre de vivre son homosexualité sans que ses parents
découvrent quoi que ce soit. L'interdit, la chape morale furent pourtant les plus forts. Plus
étonnant encore, nous avons mené une vie de couple tout à fait épanouie pendant des années.
Mais, à partir de ce soir de mai, nous avons franchi un pas, un point de non-retour. Je lui ai
conseillé : « Laissons-nous quelques mois pour réfléchir et vis ce que tu as à vivre. »
« J’étais sens dessus dessous. Je ne me sentais pas trahie comme s’il s’était agi d’une autre
femme, mais désemparée. »
Cela a été beaucoup plus douloureux, au propre comme au figuré, que je ne l'imaginais. Durant
des mois, j'ai souffert d'une infection auriculaire qui ne guérissait pas malgré les antibiotiques. Le
corps parlait et moi je ne voulais plus rien entendre. J'étais complètement sens dessus dessous.
Je ne me sentais pas trahie comme s'il s'était agi d'une autre femme, mais désemparée.
En même temps, j'avais envie de le protéger, car je sentais à quel point cela avait dû être difficile
pour lui de l'accepter, puis de me l'avouer. Néanmoins mon univers était en train de se fissurer,
mon quotidien se transformait en chaos. Je me surprenais à le surveiller, ce n'était plus vivable
et je lui ai proposé que nous nous séparions.
Il s'est effondré : « Je ne veux pas faire ça à nos enfants, je suis prêt à tout arrêter pour sauver
notre famille. » Nous nous sommes mis d'accord : il pourrait avoir une relation suivie avec un
homme, mais ne passerait plus son temps à chasser sur Internet ou ailleurs. Je n'avais
cependant pas mesuré l'effort que cela me coûterait. J'ai plongé, perdu une dizaine de kilos, et,
devant mon désarroi, il m'a promis de renoncer à ses aventures, le temps de me laisser souffler.
Au bout de quelques mois, je l'ai senti à nouveau très nerveux, frustré et, après un week-end
apocalyptique à la campagne où il s'était montré hostile envers tout le monde, nos invités et moi,
je lui ai lancé : « Ce n'est plus possible, vis ta vie. » Mais je savais que cette fois, plus rien ne
serait jamais pareil.
Pendant deux ans, j'ai tenu tant bien que mal, je n'ai pensé qu'à nos enfants et à leur bien-être.
Puis, peu à peu, j'ai réalisé que je pouvais moi aussi prendre d'autres chemins. Je me suis
inscrite sur Meetic. J'en ai parlé à Paul le soir même, et cela l'a déculpabilisé. J'ai commencé à
beaucoup m'amuser. J'ai eu une relation de plusieurs mois avec un type qui bossait dans les
services secrets, et une autre qui fut un vrai coup de cœur, au point d'envisager de quitter Paul.
J'ai eu très peur que cela fasse voler en éclats notre fragile équilibre, et j'ai décidé que je ne
voulais plus prendre de tels risques, que je refusais de tomber amoureuse ailleurs. J'avais juste
envie de me sentir légère, désirée. J'ai appris l'existence d'un site réservé aux relations
adultères. Voilà ce qu'il me fallait. Là, je ne tromperais plus personne, tout le monde avait les
mêmes attentes, une idylle pour ébouriffer le quotidien. Depuis trois ans, j'ai fait de très belles
rencontres, certaines ont duré plus longtemps que d'autres, mais il n'y a aucune ambiguïté. J'ai
retrouvé cette forme de liberté que j'appréciais lorsque j'étais célibataire. Comment se passent
les rencontres ? C'est très simple. Quelques mails seulement me permettent de deviner à qui j'ai
affaire.
L'accord
Notre couple survit plutôt bien. Durant l'année, chacun vit sa vie, et nous nous retrouvons autour
des enfants. Nous passons nos vacances ensemble, nous nous respectons et nous formons,
malgré tout, une vraie famille. Paul n'est pas très affectueux, il ne l'a jamais été, mais je sais que
je peux compter sur lui comme il peut compter sur moi.
Quant aux enfants, ils ont 10 et 12 ans, et nous pensons qu'il est encore trop tôt pour tout leur
révéler, comme ça, de manière brutale. Oscar pourrait le comprendre, mais pas Prune. Nous
maintenons une espèce de flou, tout en préparant gentiment le terrain, nous parlons de
l'homosexualité à la maison, ils savent que le mariage entre personnes du même sexe est
maintenant autorisé et bientôt viendra le moment de tout leur expliquer. Un jour, comme tous les
enfants, ils quitteront la maison.
Et nous ? Je sais que, malgré les obstacles, nous tenons profondément l'un à l'autre et je pense
que nous vieillirons ensemble. J'étais certaine d'une chose en me mariant avec cet homme : que
je ne m'ennuierais jamais !
Vous avez envie de raconter votre histoire ? Écrivez-nous à cestmonhistoire@lagardere-
active.com.
Magazine ELLE du vendredi 20 janvier 2017 par Pascale Frey

P.S. de Lecossais : toutes les humaines (l'accord du genre M +F selon l'académie québécoise, le
féminin l'emporte sur le masculin) sont bisexuelles selon les circonstances de la vie, l'âge, l'usure
du temps; même les animaux. Va sur ''youtube'' et recherche ''la sexualité des animaux'' et on va
t'expliquer que tous les animaux sont bisexuels avec images vivantes à l'appui. Ceux qui nous
ressemblent le plus sont les singes bononos : chez eux la famille est très soudée ! La
civilisation , les religions surtout, nous ont éloigné de la sexualité NATURELLE comme écrivait
une Belge à épaisses lunettes ici. On y revient parce qu'on se sent plus libre de le dire, de l'écrire.
Les ados savent ça et ont beaucoup à apprendre à des vieilles comme nous.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : février 4, 2017  07:33

Voici un exemple ce samedi dans ma boîte postale d'une demande telle que je l'ai expliquée hier
dans un texte plus haut (3 février) et il est joint une photo d'elle avec une titerobe noire au
décolleté   !! Il ne manque que les bouts, l'auréole ! Je n'ai pas pu voir les bas ! mais tout juste.
De : Stephanie9
Sujet : cc salut
Date : 04/02/2017
Heure : 06:51 AM
bonjour comment allez vous . je me prénomme Stéphanie rousseaux de saint dénis age de
38ans
femme célibataire sans enfants caissière dans un supermarché je suis ici pour rencontre
l'homme de ma vie je suis une femme a un grand cœur gentille enfin qui recherche que du
bonheur . pour mieux faire connaissance . voici mon adresse g mail .
stephanierousseaux9@gmail.com

P.S. s'il y a de vieux riches ici qui ne savent pas quoi faire de leur fric, va jaser avec elle, surtout
sur Skype, et tu éjaculeras sûrement à la longue...Pas besoin de plug !
*Ce message a été édité le Feb 4, 2017 7:34 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : février 5, 2017  09:10

                   ***L’angoisse de perdre son pouvoir de séduction ***
Marie-France Bornais Journal-de-Montréal Dimanche, 5 février 2017 00:00
Avec toute la verve et l’humour piquant qui la caractérisent, la journaliste et romancière Denise
Bombardier raconte la pétillante histoire d’un groupe de sexagénaires carriéristes paniquées par
l’angoisse de vieillir et de perdre leur pouvoir de séduction dans son nouveau roman, Plus folles
que ça, tu meurs.
Marie, Jeanne, Claudine et Pauline et Estelle sont toutes amies. Carriéristes jusqu’à la moelle. Et
célibataires. Chacune angoisse à sa façon en se voyant vieillir et tente d’y faire face. La
narratrice, Agnès, avocate aguerrie et véritable workaholic, tente de reconquérir le coeur de sa
fille en gardant un rêve d’avoir un amoureux sur le feu.
Elle est entourée de femmes fortes qui n’ont pas la langue dans leur poche. Marie imagine
l’homme de sa vie dans les aventures d’un soir. Jeanne raffole des croisières, où elle fait des
rencontres éphémères. Claudine collectionne les amants. Pauline la contrôlante se défoule dans
le sport. Et Estelle préfère les femmes.
Femmes très peu pudiques
Ces femmes très typées, très peu pudiques, ont tout réussi... sauf leur vie amoureuse. Denise
Bombardier en parle avec ferveur. «Ils sont fous de joie à Paris chez Flammarion: ils appellent
ça le Sex and The City pour les séniors, mais plus déjanté!»», s’est-elle exclamée en entrevue
téléphonique.
Elle assure être entourée de femmes qui ont autant de tempérament, bien qu’elle-même soit
beaucoup plus pudique que ses personnages. «En fait, quelque part, je suis la narratrice. La
façon dont elles se comportent, je ne suis pas ça. Je suis pudique dans mes rapports intimes,
mais elles... sont déchaînées! C’était tellement excitant d’écrire ce roman!»
Denise Bombardier l’a presque tout écrit d’une traite, l’été dernier. «J’ai été vraiment entraînée
par ces personnages. Mais, qu’on ne vienne pas me dire que ces femmes-là n’existent pas: il y
en a plein autour de nous. Ces femmes sont exceptionnelles: ce sont des femmes de carrière qui
ont réussi énormément.»
Le prix à payer
Elle parle du prix parfois fort à payer pour faire carrière: séparations, divorces, etc. «Ces femmes
n’ont pas prévu que ça se terminerait comme ça. Elles ont oublié que la séduction d’une femme,
ça passe évidemment par le physique. Comme beaucoup de femmes, elles vont se faire faire
des petits travaux», note-t-elle.
Le paradoxe de ces femmes, ajoute-t-elle, est qu’elles ont du pouvoir, de l’argent... mais sont en
déficit affectif. «Elles n’ont plus aucune excuse. Quand tu as de l’argent et que tu as réussi et
que tout à coup tu es confrontée à ta solitude... Pour réussir dans la vie, elles n’ont pas fait
beaucoup de compromis. Or, dans les relations d’intimité avec les hommes, si tu ne fais pas de
compromis, t’en n’as pas, d’homme. Surtout pas à un certain âge.»
«C’est beaucoup plus rare qu’elles ne le disent que les femmes s’accommodent de la solitude.
Les hommes non plus», poursuit-elle. «Et c’est l’angoisse de la mort qu’il y a derrière mon livre,
non?», questionne-t-elle. À travers les passages très drôles, on entrevoit bien qu’une terreur
profonde se dessine pour ces femmes: celle de perdre leur charme à tout jamais.
Confidences et réflexions
Denise Bombardier explore toute la dynamique des relations hommes-femmes par le biais de
son roman. Qu’a-t-elle à dire? «Si on sait qui on est et qu’on s’accepte, c’est facile. Mais si on
projette ce que l’on considère comme des échecs dans notre propre vie et qu’on veut que ce soit
compensé par l’homme qui est avec nous, ça devient très compliqué.»
« Jamais satisfaites »
Elle ajoute qu’il y a des femmes qui négocient tout et qui ne sont jamais satisfaites de ce que
leur compagnon leur apporte. «Les hommes sont tellement différents de nous... Qu’est-ce
qu’elles cherchent? Si tu veux avoir un homme qui se comporte comme tes amies, qui pleure,
qui s’emballe, prends tes amies de fille, parce que les hommes, ils ne sont pas comme ça. Et
heureusement pour nous qui les aimons.»
Denise Bombardier aborde l’amour, le désir, le sexe, l’obsession de certaines femmes pour leur
apparence... à travers les propos et confidences de sexagénaires à l’esprit vif, attachantes,
bonnes vivantes. Ce qu’elle a à partager est très intéressant, amusant et assez croustillant!
Faire rire les femmes
«Moi-même, je ne pensais pas que j’irais aussi loin dans la description de la sexualité. Ce n’est
pas moi... mais les Québécoises sont comme ça. Et j’ai entendu des Françaises raconter des
trucs... mais je ne vous dis pas!»
«Ce que je veux, c’est que les femmes rient, parce que mon public, c’est majoritairement des
femmes. Si les hommes lisaient ça, ils apprendraient sur les femmes, tout de même! C’est un
manuel d’instruction pour les hommes qui veulent savoir comment sont les femmes, avec le
sexe. S’ils pensent connaître les femmes, qu’ils aillent lire ça!»

-- En librairie le 8 février. Denise Bombardier est écrivaine et journaliste.
- Elle a publié de nombreux essais et romans appréciés au Québec et en France, dont Une
enfance à l’eau bénite (Seuil), L’Anglais (Robert Laffont), Le Dictionnaire amoureux du Québec
(Plon).
-Ses chroniques sont publiées dans Le Journal de Montréal et Le Journal de Québec.

EXTRAIT ici de son roman :
«Dans l’ascenseur, j’ai observé sans indulgence le reflet du miroir qui me renvoyait le visage
d’une femme forte, prête à défier les autres. Une femme à laquelle sa nouvelle coiffure donne
une allure cool, trop cool, dirait Éléonore, qui atténue le sérieux se dégageant de son visage,
lequel semble reposé grâce à de récentes injections de botox et d’acide. Malgré mon stress, je
me suis souri à pleines dents, puis j’ai trouvé l’angle parfait d’ouverture de ma bouche. Objectif:
dénicher l’expression qui dégageait la part de mystère que je souhaitais arborer.
«Bonsoir, quel plaisir de vous revoir.» À haute voix, j’ai répété la phrase plusieurs fois, ce qui m’a
permis de moduler et le ton et l’émotion nécessaires pour surprendre le cher cousin.»
— Denise Bombardier, Plus folles que ça, tu meurs, 2017.
                                     -----------------------------------
P.S. de Lecossais : il est toujours agréable de lire un livre qui parle de nous les vieilles. Denise
Bombardier a plus de 70 ans et cette fois elle parle de nous et de notre sexualité de FEMMES
âgées. Beaucoup de vérités ! En vente maintenant en librairie. Elle parle des hommes aussi et
de notre 'utilité' dans un couple et dans le monde. D.B. a été la maîtresse, quelque temps avec
Lucien Bouchard (ancien premier ministre du Québec), quand elle était de la ..Délégation du
Québec à Paris (rue Pergolèse) . Elle s'amuse encore en parlant de sa vie sexuelle et de celle
de ses amies Louise Beaudoin et Liza Frula.
Hé bien c'est réconfortant de savoir que les tites vieilles s'excitent entre un pénis, un gode ...ou
des doigts d'hommes, sa langue peut-être ?
*Ce message a été édité le Feb 5, 2017 9:12 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : février 7, 2017  07:46

Autre message dans ma boîte postale ce mardi, semblable à tous les autres (deux autres en
deux semaines) où des arnaqueurs se font passer pour de jeunes femmes (elle 26 ans) qui
finalement essaient de vous soutirer du fric. Avec moi ça ne marche pas, je ne regarde que les
Dames de plus de 60 ans, quelques fois de 58-59 ans ! et oui j'adore aussi leurs aînées de 80.

De : Pommedouce666
Sujet : Prise de contact!!!
Date : 07/02/2017
Heure : 07:31 AM
Bonjour,
Si nous sommes sur ce site c'est pour faire la belle rencontre dans le but d'une relation stable et
durable
alors laissons agir le feeling. On dit que le hasard fait bien les choses mais parfois il faut forcer le
destin .
Faisons lui confiance. La vie a deux avec complicité est tellement plus agréable, apprenons a
nous
connaitre a discuter et peut être voir plus. Le passé est derrière regardons vers l'avenir. je vous
contact
dans le seul but d'engager une correspondance d'avenir, dans un premier temps vous faire
parvenir
quelques photos de moi par E-mail pour ajouter une image a mes écrits si ma demande vous
plait alors
n'hésitez pas de m'écrire sur mon adresse email.
mail: aburvelle@gmail.com
Répondez moi directement par mail. J'espère avoir des nouvelles de vous.
à bientôt
Adeline

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : février 7, 2017  14:44

          *** Nous sommes toutes plus ou moins bisexuelles ***
Un débat contemporain s'est instauré sur le fait de savoir si la bisexualité serait l'orientation
sexuelle NATURELLE de l'être humain.
» Ainsi, dans son sens moderne, la bisexualité est caractérisée par l’amour ou le désir sexuel
pour les
membres des deux sexes, distincte de l’homosexualité et de l’hétérosexualité. Les personnes
bisexuelles peuvent avoir des
relations simultanées avec les partenaires de sexe masculin et féminin, pratiquer la monogamie
en série avec des partenaires de l’un ou l’autre sexe, avoir des relations de plus ou moins
longues
durées avec des partenaires d’un seul sexe ou pratiquer la chasteté. La bisexualité se réfère
aux désirs et au concept de soi, pas nécessairement au comportement : ainsi, une personne
bisexuelle peut ne s'engager que dans des relations hétérosexuelles ou homosexuelles, même si
elle éprouve des sentiments pour des personnes des deux sexes.
La bisexualité n'est pas une équivalence du type « J'aime autant les femmes que les hommes »
ou « J'ai eu 50 % de mes relations amoureuses avec des femmes et 50 % avec des hommes » :
la bisexualité englobe mais ne se limite pas à une égale attirance pour les deux sexes. En effet,
les degrés d'attirance envers les deux sexes peuvent infiniment varier, conduisant à une
grande diversité d'expériences. La bisexualité peut aussi se voir comme une sexualité «
fluide » qui change au cours du temps.
Ainsi, de façon large, on peut décrire la bisexualité de ces manières : être attiré par plus d'un
genre ; être principalement attiré par un genre, mais reconnaître que cette attirance n'est pas
exclusive ; avoir un sexualité évolutive .
Des comportements bisexuels sont rapportés par les scientifiques chez de nombreuses espèces
animales. Des relations homosexuelles ont été observées dans près de 400 espèces
animales.
L'un des chercheurs ayant le plus travaillé statistiquement sur la bisexualité est Alfred Kinsey.
Dans une étude menée en 1948, il a découvert que 46 % des sujets masculins interrogés (5 300
personnes) et de 6 à 14 % des femmes avaient eu une expérience sexuelle avec une femme et
un homme, ou que ces personnes avaient déjà sexuellement « réagi » à des personnes des
deux sexes. Shere Hite est l'auteure d'une étude sur la sexualité masculine, Le Rapport Hite
sur les hommes. Elle découvre dans ses recherches que 43 % des hommes sondés ont eu,
durant leur enfance ou leur adolescence, des rapports sexuels avec d'autres garçons, sans que
cela les empêche de mener ou de développer plus tard dans leur vie une sexualité
hétérosexuelle
Il est difficile de mesurer et d'estimer de façon fiable le nombre de bisexuels. En effet, de
nombreux bisexuels ne se définissent pas comme tels, mais comme hétérosexuels ou
homosexuels, deux catégories mieux acceptées socialement aujourd'hui. Il arrive que des
femmes ou des hommes, en difficulté dans leur vie amoureuse ou frappés par la monotonie du
mariage, se découvrent bisexuel(le)s, mais la réalité quantitative de ce phénomène est encore
peu connue
Dans les années 2000, une étude menée par Lisa M. Diamond, chercheuse en psychologie à
l'université d'Utah aux États-Unis66, qui a suivi un groupe de 79 femmes non hétérosexuelles
pendant dix ans, a montré l'existence d'une orientation bisexuelle chez les femmes, la
pérennité de l'orientation bisexuelle (92 %) sur dix ans étant supérieure à celle de l'orientation
lesbienne (66 %). Par ailleurs, une étude américaine publiée en 2000 a montré que la
définition que les personnes non hétérosexuelles ont de leur propre sexualité est mouvante : des
personnes se déclarant précédemment homosexuelles ou lesbiennes peuvent, à la suite de
nouvelles expériences, se qualifier de bisexuelles, et vice-versa
Extrapolé à l'échelle du pays, ce pourcentage donne environ 1,48 millions de
personnes se déclarant bisexuelles en France. L'enquête indique aussi que parmi les
personnes qui se déclarent bisexuelles ou homosexuelles, on constate une légère
surreprésentation des hommes par rapport aux femmes, ainsi qu'une légère surreprésentation
des personnes âgées de moins de 50 ans, peut-être en raison de la libération des mœurs après
50 ans.
« Il n'y a pas de corrélation entre le fait qu'un garçon ait eu ou non une expérience sexuelle avec
d'autres garçons et le fait qu'il se considère «
homosexuel » ou « hétérosexuel » plus tard dans la vie. Beaucoup d'homosexuels n'ont jamais
eu de relations avec d'autres garçons pendant leur jeunesse, et beaucoup d'hétérosexuels en
ont eu. En effet, lorsque l'on demande directement
par des enquêtes à la population de se définir, très peu sont les personnes se présentant comme
bisexuelles ; si, en revanche, on cherche à savoir qui a déjà ressenti une attirance amoureuse
ou sexuelle envers plus d'un genre, ou à s'être engagé dans des relations sexuelles avec des
personnes des deux sexes, on obtient une minorité conséquente de 46 %.
Zeus, le roi des dieux dans la mythologie grecque. Marié à Héra, il s'amourache de nombreuses
autres femmes, déesses, ou nymphes mais aussi d'un jeune prince troyen, Ganymède94.
La bisexualité grecque antique est l'un des exemples de pratiques bisexuelles dans l'histoire les
mieux connus.
En effet, en Grèce antique, la bisexualité était omniprésente et socialement valorisée. De très
illustres personnes de l'époque, telles que le chef militaire et politique Alexandre le
Grand96, et Socrate, un des plus grands philosophes de la civilisation occidentale, étaient
bisexuelles.
La pratique de la pédérastie (c'est-à-dire d'un adulte avec des personnes non-adultes) s'inscrit
dans une conception de la vie sentimentale et sexuelle qui tient de la bisexualiténote 5. Cette
pratique essentiellement aristocratique se retrouve aussi bien à Athènes, à Sparte, à Thèbes
qu'en Crète. Dans un premier temps, à partir de la puberté, le jeune homme est en âge d'être
courtisé par des hommes d'âge mûr et de lier avec l'un d'eux une relation pédérastique dans
laquelle il est l'éromène (« l'aimé »). Une fois adulte, l'homme mûr peut avoir des relations
homosexuelles, mais cette fois en tant qu'éraste (« amant »), avec des hommes plus jeunes qu'il
courtise comme lui-même a été courtisé pendant son adolescence.
Le modèle social fait donc coïncider les âges de la vie avec des rôles différents dans la relation.
Par exemple, les sources d'époque présentent ainsi Alcibiade : « lorsqu'il était jeune, il détournait
les hommes de leurs épouses, et lorsqu'il était plus âgé, il détournait les femmes de leurs
maris. » L'homme adulte a le droit d'avoir des relations homosexuelles avec des jeunes gens,
tant qu'il les courtise en suivant certaines règles (l'adulte ne doit pas choisir des enfants trop
jeunes - le garçon doit être proche de la puberté, et donc de « l'âge de raison » - mais s'essayer
à une relation stable, faire la cour avec persévérance ; alors que le caractère uniquement
lubrique d'une relation est dénoncée). Il est cependant mal vu de dédaigner toute relation
avec les femmes : l'homosexualité telle qu'on la conçoit de nos jours, c'est-à-dire une attirance
entièrement tournée vers les personnes du même sexe, n'était donc pas acceptée.
Ainsi, se marier et avoir des enfants est ce que l'on attend de chaque citoyen, alors
qu'adopter un comportement efféminé ou se travestir est très mal considéré
Quoi qu'il en soit, les amours homosexuelles comme hétérosexuelles sont abondamment
évoquées par les arts grecs antiques, aussi bien la céramique que la littérature. Un thème
répandu est la comparaison de l'amour des filles et de l'amour des garçons.
La bisexualité féminine est moins bien documentée. La poétesse Sappho, connue pour ses
amours lesbiennes, était en réalité engagée dans des relations amoureuses avec des hommes
et des femmes. Elle évoque dans ses poèmes des attirances pour des personnes des deux
sexes.
Dans une société qui ne proscrivait pas la bisexualité mais la passivité sexuelle chez l'homme
libre, Jules César a été décrit par Curion l'Ancien comme « le mari de toutes les femmes et
l'épouse de tous les maris. »
La bisexualité est très courante chez les Romains. Paul Veyne, dont l'an-alyse a
considérablement influencé la perception de la sexualité romaine, et en particulier les recherches
ultérieures, parle à cet effet de « bisexualité active '. À Rome, la règle de
comportement moral suppose qu'un homme libre soit actif, c'est-à-dire qu'il doit être celui qui
pénètre : la passivité chez un citoyen libre est infamante et fait perdre toute masculinité à celui
qui s'est fait pénétrer. En conséquence, on ne peut pénétrer, en dehors de sa femme,
aucune femme libre, célibataire ou mariée, et aucun homme libre.
Comme dans la Grèce antique, l'homosexualité était très peu présente — et dans tous les cas
dévalorisée — car jamais les relations sentimentales et sexuelles avec les femmes ne devaient
cesser ou se subordonner aux rapports homosexuels. Si les comportements bisexuels
étaient une norme dans la Rome antique, les homosexuels faisaient, eux, l'objet d'une
note à la fois morale et juridique
Les empereurs romains s'engageaient très souvent dans des relations bisexuelles : un exemple
bien connu est celui de l'empereur Hadrien, qui, bien qu'étant marié à l'impératrice Sabine, aimait
d'un amour fou l’éphèbe Antinoüsnote . De même, l'empereur Néron s'est marié avec un
eunuque, Sporus, après son premier mariage avec Claudia Octavia
Les pratiques bisexuelles sont attestées plus ou moins incidemment dans la littérature de
l'époque. Sont souvent comparés l'amour qui lie aux femmes et celui qui lie aux jeunes hommes,
notamment pour leurs avantages respectifs. Est également souvent rapproché le rôle passif
des femmes et celui des esclaves, à une soumission sexuelle totale envers leurs
maîtres. Le poète Horace écrit : « Lorsque ton bas-ventre se gonfle, si tu as à ta disposition
une servante ou un esclave de ta maison sur lequel te jeter à l'assaut immédiatement, préfères-
tu par hasard crever de tension ? Moi non. ». Catulle déclare son amour indifféremment pour
des femmes comme pour des hommes ; s'adressant dans ces termes à un homme : « Si sur tes
yeux doux comme miel, Juventius, on me laissait mettre sans relâche mes baisers, j'en mettrais
jusqu'à trois cent mille ». Cela ne l'empêche pas de déclarer par ailleurs à sa bien-aimée : « Je
t'en prie, ma douce Ipsithilla, mes délices, charme de ma vie, invite-moi à venir passer chez toi
cet après-midi »
Quant à l'homosexualité proprement dite, il n'existe pas d'exemple, dans la littérature latine qui
nous est parvenue, d'exemple de relation de longue durée entre deux hommes libres, ni
d'homme ayant exclusivement aimé d'autres hommes
Les premières lois romaines interdisant la bisexualité ont été adoptées vers le IIIe siècle apr.
J.-C. (sous le règne de Théodose le Grand sous l'influence croissante de la religion
chrétienne
Scandinavie
Les sources qui nous sont parvenues du Moyen Âge scandinave sont assez parcellaires ; une loi
de 1164 semble prohiber tout acte homosexuel, sans avoir été véritablement appliquée. D'après
la littérature de l'époque, les pratiques homosexuelles seraient, pour les hommes, acceptables
socialement seulement pour celui qui a le rôle actif. Il semble qu'il ait également été acceptable,
pour la plupart des hommes, de faire preuve d'un désir homoérotique, mais uniquement envers
des esclaves
Le roi de France Louis XIII, père de Louis XIV, connu pour ses favorisnote .
Des comportements bisexuels sont rapportés chez les peuples celtes de l'Antiquité, dont les
rapports homosexuels étaient de type pédérastiques. Athénée écrit par exemple que les Celtes
avaient des femmes très belles, mais aimaient aussi inviter des amoureux à dormir sur leur
peaux de bêtes
Dans l'Europe médiévale, la bisexualité était, selon les époques et les lieux, et les personnes qui
la pratiquaient, soit acceptée soit moquée. De manière générale, il est difficile pour un historien
de quantifier précisément tout rapport et relation de type homosexuel en raison de la censure
(notamment religieuse) de l'époque mais aussi de l'homophobie contemporaine de certains
chercheurs La possible bisexualité de certaines hautes personnalités a aussi été abordée,
comme celle du monarque anglais Richard Cœur de Lion qui serait tombé amoureux dans sa
jeunesse du roi Philippe Auguste
L'écrivain irlandais Oscar Wilde, marié, deux enfants (ici avec son amant Alfred Douglas) est
l'une des plus célèbres illustrations de la bisexualité au XIXe siècle.
Au XVIe siècle, le roi Jacques Ier d'Angleterre, marié à la reine Anne de Danemark, avec qui il
eut pas moins de huit enfants, avait aussi publiquement des amants masculins. Un
autre exemple de comportements bisexuels dans les cours royales est celui du « bisexuel le plus
célèbre du [XVIIe] siècle », Philippe d'Orléans, frère de Louis XIV. Efféminé et connu pour
ses relations homosexuelles (on parlait au XVIIe siècle du « vice italien »), il a de nombreux
enfants de deux mariages différents. Marie-Antoinette d'Autriche, épouse de Louis XVI, a
quant à elle fait les frais de lourdes critiques de la part des opposants politiques de son mari pour
s'être engagée dans des relations avec d'autres femmes, des gravures graveleuses ayant même
été produites à ce sujet.
À la Renaissance, en particulier dans sa version italienne, le « crime » de sodomie était
largement pratiqué malgré l'Inquisition et les châtiments qu'elle infligeait. L'Église fut vite
débordée puisque près de la moitié des hommes de la ville de Florence furent mis en examen
par la justice pour sodomie. Une fluidité sexuelle dans le temps — d'abord des
comportements homosexuels durant la jeunesse, puis principalement hétérosexuels — était
considérée alors comme faisant intégralement partie du processus de croissance et de maturité
des hommes. En revanche, contrairement à ce qui se passait en Grèce ou dans la Rome
antiques, une fois mariés, les hommes abandonnaient quasiment tous les relations avec d'autres
hommes. Nicolas Machiavel indique par exemple d'un de ses contemporains : « Jeune, il
détournait les hommes de leurs épouses, à présent il détourne les femmes de leurs maris. »
Le libertinage est aussi historiquement associé à la bisexualité, et ce, dès le XVIIe siècle. Il
concernait le plus souvent les grands aristocrates qui pouvaient en raison de leur rang se le
permettre sans trop de conséquences. L'exemple de Gaston de France, frère du roi français
Louis XIII, peut être cité : ses loisirs allaient des chansons à boire, aux poèmes érotiques en
passant par les « parties de débauche », dans une sorte d'« hédonisme mondain ». Les
témoignages contemporains convergent également pour indiquer que Théophile de Viau était
bisexuel. Cette appellation de « libertin » s'est poursuivie au XVIIIe siècle, pour désigner les
personnes entretenant ce type de relations. Comme elles contestaient aussi souvent le pouvoir
de l'Église et les mœurs de l'époque, le pouvoir religieux ne leur était pas favorable
Femme en caressant une autre pendant qu'elle se fait pénétrer par un homme. Illustration du
Kamasutra, XIXe siècle.
Dans l'antique Kamasutra indien, des positions sexuelles homosexuelles et lesbiennes sont
présentes, tout comme sont montrées des pratiques hétérosexuelle. Par ailleurs, les
pratiques sexuelles dans la mythologie hindoue ont été considérées comme manifestant une «
bisexualité universelle ». Néanmoins, de par la colonisation britannique et le puritanisme de
l'époque victorienne, toutes ces manifestations de la bisexualité dans la culture indienne
originelle ont été effacées
Dans l'Inde moderne, une grande partie des hommes ayant des rapports sexuels avec des
hommes sont mariés
Dans la Chine impériale, les comportements bisexuels sont reportés depuis le XVIe siècle av.
J.-C.. Ainsi, dix des empereurs de la dynastie Han comptaient des hommes comme amants, en
plus de leurs épouses, qui leur apportaient une descendance légitime.
Dans la Chine ancienne, la prévalence de la bisexualité sur l'homosexualité s'explique par le
besoin traditionnel de produire des héritiers, nécessité qui irrigue alors l'ensemble de la société
chinoise, de la paysannerie à la classe dirigeante. La bisexualité est ainsi pratiquée dans les plus
hauts cercles ; la sexualité se mêlant à la politique et les intrigues de la Cour.
Durant le XVIe siècle, il existe des prostitués masculins acceptés par la société sous l'influence
du néo-confucianisme. Des auteurs comme Wang Yangming voient en effet les besoins sexuels
comme naturels
L'illégalité des rapports entre personnes du même sexe est venue assez tardivement dans
l'histoire de la Chine : la première fois que la pratique de relations sexuelles entre personnes de
même sexe a été pénalement légales date de 1740. La révolution culturelle est la période la
plus difficile pour les personnes s’engageant dans des relations avec des personnes de leur
sexe de tout l'histoire de la Chine. La situation s'est depuis très légèrement adoucie
l'homme embrasse une femme, alors qu'il couvre les yeux de son compagnon.
Dans le Japon médiéval, les aristocrates avaient très couramment des pratiques bisexuelles.
L'élite était libre de s'engager dans des amours avec les deux sexes, pratiques et érotisme
homosexuels et hétérosexuels n'étant absolument pas vus comme incompatibles. Nombreux
sont les aristocrates qui fréquentaient des théâtres où se produisaient des jeunes hommes ;
l'amour dévorant qu'ils leur portaient pouvait les pousser jusqu'à se ruiner pour disposer de leur
compagnie.
Des pratiques bisexuelles de type pédérastiques sont également reportées dans le wakashud?
(« la voie des jeunes hommes »). Des hommes adultes, généralement hétérosexuellement
mariés, poursuivaient de leurs ardeurs des jeunes hommes. Dans la pédérastie japonaise,
les garçons de 13 à 19 ans étaient jugés aptes à être aimés. La bisexualité est également
présente dans certaines œuvres de la littérature japonaise : le poète Ihara Saikaku décrit par
exemple dans K?shoku ichidai otoko (« L'homme qui ne vécut que pour aimer », 1682. la vie
amoureuse d'un libertin, dénombrant comme conquêtes amoureuses 725 hommes et 3742
femmes. Il est clairement documenté (en particulier par les journaux intimes de
contemporains) que certains empereurs japonais maintenaient des relations homosexuelles en
plus de leur vie sexuelle hétérosexuelle, et ce dès le XIe siècle (Shirakawa, Toba ou encore Go-
Shirakawa en sont des exemples.
En ce qui concerne les femmes, à partir du début du XXe siècle, nombre de jeunes femmes
japonaises quittèrent leurs foyers pour être concentrées dans des écoles et pensionnats où des
relations intimes se nouaient assez fréquemment. Cela ne préoccupait pas outre mesure la
société de l'époque, puisqu'un mariage hétérosexuel les attendait à la sortie de leurs études.
Comme dans de nombreuses autres régions du monde, ces pratiques commencent à être mal
vues peu après les premiers contacts du Japon avec l'Occident. Une loi est votée dès 1873
pour criminaliser les rapports homosexuels. Néanmoins, et parce que le shudo est si
enraciné dans la culture du Japon du XIXe siècle, le changement des comportements de
certains militaires se révèle long et difficile.
Moyen-Orient et monde arabo-musulman[modifier
Garçon dansant. Bien que la loi islamique prohibe les relations entre individus du même sexe, de
nombreux hommes puissants les exploitent pour satisfaire leurs plaisirs sexuels, et en font un
symbole de leur pouvoir.
Trois siècles avant notre ère, Darius III, roi de Perse, possédait dans son harem à la fois des
femmes et des eunuques ; après la victoire militaire d'Alexandre le Grand sur Darius, Alexandre
usa lui aussi d'eunuques comme partenaires sexuels. Des pratiques bisexuelles ont
longtemps été reportées en Perse : ainsi, au XIe siècle, un notable conseille à son fils « de
diviser équitablement son attention envers les femmes et les jeunes hommes. » Au XVIIe
siècle, un Européen qui visite la Perse note qu'ils « convoitaient les garçons autant que les
femmes. » Nombre de grands poèmes perses sont adressés à de jeunes hommes, l'art
érotique étant, lui aussi, divisé entre scènes hétérosexuelles et homosexuelles. Selon le
juriste musulman Ibrahim al-Bajuri, lors de la conquête musulmane du Moyen-Orient, de
nombreux soldats arabes, loin de leurs femmes, se sont alors satisfaits d'hommes qu'ils
trouvaient dans les territoires conquis.
La bisexualité est aussi bien documentée durant la période musulmane de l'histoire
espagnole : en particulier, à cette époque, l'islam était religieusement et sexuellement
beaucoup plus tolérant que ne l'était le christianisme. Bien que le Coran prohibe les rapports
amoureux et sexuels entre personnes de même sexe, la société et les dirigeants n'avaient alors
pas même la volonté de faire appliquer cette règle religieuse. Il existe des exemples de
dirigeants ouvertement bisexuels à cette époque, maintenant des relations homosexuelles
comme une vie de famille : . La bisexualité s'exprimait aussi
librement à travers les arts, notamment la poésie : le poète Ibn Quzman mentionne dans ses
vers son mode de vie ouvertement bisexuel.. Ce cas n'est pas isolé, d'autres poèmes à cette
époque traitent des joies égales de l'amour, tant homosexuel qu'hétérosexuel149. Il semble qu'à
cette époque ce soit une pratique homosexuelle de type pédérastique qui ait été privilégiée.
Après la conquête, la bisexualité dans le monde arabe s'exprimait d'une manière à peu près
équivalente à celle de la Grèce antique : un homme marié courtisait de jeunes garçons, sans que
cela paraisse étrange au reste de la société. La désapprobation venait surtout des épouses,
jalouses du fait que leurs maris puissent désirer d'autres personnes qu'elles.

P.S. de Lecossais ; mes constatations sont que plus on se sent libre pour 'épanouir' notre
sexualité et la pratiquer, plus les envies sont multiples et diversifiées : les regards se posent
partout, sur les hommes, et les Dames entre elles, plus que les hommes qui me semblent encore
pas mal coincés : peur de ne pas 'paraître' mâle ?? Homme, commence par porter du rose;
ensuite une jupette devant ton miroir, un string pour bien sentir ton an-us entre tes fesses; à
partir de là mon vieux il y a de l'espoir ! Va faire un tour au sauna pour hommes un après-midi, tu
pourras jaser et rencontrer plein d'hommes mariés. Regarde leur queue...et ouvre tes cuisses.
On s'occupera de toi sans gêne...Bonheur assuré.
*Ce message a été édité le Feb 7, 2017 3:51 PM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : février 10, 2017  07:12

Excuse pour le très long texte sur la bisexualité que j'ai pris sur ''wikipédia''. Tu as quand même
été une couple de centaines à lire. Merci. Si tu as des commentaires, comme d'habitude, ne te
gêne pas. On ne sait pas si on est bisexuel si on n'a pas ''essayé'' notre propre sexe.
Maintenant, en laboratoire, on peut t'an-a-lyser le cerveau. Sous électrodes, on t'envoie des
images d'hommes ensemble avec la queue bandée, des dames ensemble qui se broutent le
minou, etc...et on observe les réactions de ton cerveau sur écran. Même si ta ''morale'' te dicte
que ça NE PEUT PAS t'exciter, ton cerveau te dit le contraire. Intéressant non ? Et c'est comme
ça qu'on peut savoir si on est bi, plus ou moins hétéro. Comme ta sexualité n'est pas définie 50-
50, plusieurs variations s'observent. Mais on n'est pas pour envoyer une population de 50
millions passer un scan. Et si tu n'as jamais essayé de toucher, d'embrasser ton propre sexe, tu
ne le sais pas; même certains ''policiers'' essaient de combattre leurs tendances! D'autres s'en
vont dans l'armée pour se cacher et pouvoir prendre sa douche avec plein d'hommes nus.
Moi qui ai expérimenté la ''chose'' en ayant tâté un peu de tout, je peux te dire que je suis 75%
hétéro, 20% bi. particulièrement les trans (femme avec pénis), aimant porter jupette à l'occasion
qui me vient probablement de ma descendance écossaise...
Il y a longtemps, j'avais demandé à la copine avec qui j'étais si elle aimerait embrasser une
femme, lui toucher les seins. ''Je ne sais pas '' me disait-elle. Hé bien, tu me connais, qu'ai-je
répondu tu penses ? Le samedi suivant, on est allés au club échangiste à Montréal sur la rue
Drummond. Une salle de danse et des chambres. Durant les danses, on en parlait chacun de
son côté et on est montés avec une autre couple dont la dame voulait essayer aussi. Les
hommes, on n'a fait que les regarder, hypnotisés. J'ai vu ma copine embrasser, toucher...les
seins et le clitoris du bout des doigts. Réaction rendus chez nous :puis ? ''fantastique'' me dit-elle.
''C'est doux, très doux, et la bouche est plus petite, j'ai adoré toucher les seins...'' Moi j'ai
découvert beaucoup plus tard que la vue d'une queue bien bandée me donne envie, toujours, d'y
toucher. Faut dire qu'à partir de mon ''âge de raison'' à 18 ans, j'étais athée j'avais compris que
tous les dieux n'ont jamais existé, que les curés sont des homos (musulmans ou catho) . Donc la
religion n'a jamais influencé ma vie et ma façon de vivre. As-tu vraiment besoin d'une religion
pour savoir qu'aimer les autres apportent un grand bonheur ?

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : février 10, 2017  10:04

Message reçu hier dans ma boîte postale. Merci cher ami.
De: Blainville, Québec, Canada
Cherchant: Homme
Langues: Anglais, Français
A propos de moi
Salut! Je cherche plaisir et plus!
Precision , Malgré la nature de ma fiche et photo/video, bien je me considere 80% aux femmes
et 20% aux queues! C'est pas l'homme qui m'excite mais bien ce qui est dans ses cullottes!J'ai
quelques petits trip a date et j'en veux plus! A aussi , j'aime la lingerie mais j'en mets pas
souvent... si vous me comprenez

P.S. de Lecossais : je ne te rencontrai pas sauf si tu m'invites à coucher dans ta cour. Tu as le
même âge que moi ce qui est bien. Je te préviens : je n'embrasse pas, je ne suce pas et je ne
pénètre pas. Je tiens en main seulement. Tu peux t'occuper de mon an-us, je serai passif. Si tu
as une dame entre 60 et 80 ans à tes côtés, j'adorerais, ce serait mon genre nous trois. Au
plaisir...Tu as mon adresse internet.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : février 12, 2017  08:06

Message ce dimanche dans ma boîte postale.
De : Campeur43
Sujet : MERCI
Date : 11/02/2017
Heure : 17:42 PM
Bonjour,
Je voulais vous dire un gros MERCI pour tous ces textes bien juteux parfois et toujours
intéressants que
vous publiez dans votre famille que je visite presque chaque jour.
Vous êtes un type très ouvert et je vous envie d'avoir toute cette liberté dont vous semblez jouir
afin de
voyager et de faire toutes ces expériences sexuelles que vous décriivez si bien.
À la prochaine !
Léandre

P.S. de Lecossais : Salut ''Campeur'' (quel beau nom qui donne le goût de voyager)
Je constate que tu écris très bien et t'invite à venir ''poser ta graine'' dans la famille. Tu choisiras
ton trou !!
''Je vous envie'' tu dis ? A nos âges, si tu as quelque chose à dire, une révélation à faire à
quelqu'un ou une, invite cette personne au restaurant (pas pour une pizza) et avoue-lui toutes
tes tendances, tes envies, tes désirs. Je suis sûr que cette personnes (ou ces personnes) vont
t'écouter, sympathiser et tu seras heureux. Es-tu bi-trans-hétéro ?
Merci pour tes mots gentils et écris-moi, surtout dans la famille sensuelle ici (ou à mon adresse)
Invite-moi cet été en juin...On placotera du bout de gras...

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