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Famille : La sexualité n'a pas d'âges
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Auteur
Sujet : Opinions
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Heloise65 |
Date du message : mai 1, 2016 07:36 |
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Bonjour à tous ............ Pourquoi offre-t-on du muguet le 1er mai ? Dans le langage des fleurs le muguet signifie "retour du bonheur". On l'offre donc traditionnellement le 1er mai pour porter bonheur. Plus il y a de clochettes, plus la chance est sensée sourire à celui qui les reçoit. La tradition remonterait à la Renaissance: le 1er mai, il était d'usage, dans les campagnes, d'offrir une branche de quelque chose pour chasser la malédiction de l'hiver. En 1560, le roi Charles IX visita la Drôme où on lui offrit un brin de muguet. Le geste lui plut, et l'année suivante il en offrit aux dames de la Cour en guise de porte-bonheur. Le 1er mai 1900, au cours d'une fête, les grands couturiers parisiens eurent l'idée d'offrir du muguet à leurs clientes féminines. Ce geste est devenu une tradition les années suivantes. En 1941 Pétain instaure la "fête du Travail" le 1er mai et l'églantine rouge, associée à la gauche, est remplacée aujourd'hui par du muguet. Offrir du muguet signifie qu'on souhaite du bonheur mais aussi du travail pour tous. A cette occasion, que l'on soit particulier ou association, on peut vendre du muguet le 1er mai dans la rue sans formalités ni taxes.
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Lecossais |
Date du message : mai 4, 2016 07:34 |
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Oui Héloïse-Chérie, le muguet est une fleur spéciale : toujours en groupe comme les humaines l'aiment, elles penchent la tête en signe d'humilité, elles sont si timides car elles sont les premières à se montrer le sexe tout comme nos gentilles Dames qui nous lisent ici ce printemps. Attention à nos fuites urinaires; à nos âges c'est fréguent et les Dames ,avec leur longue fente, s'échappent. ''Poise'' est un produit pour fuites urinaires. Je ne sais si c'est efficace ? Nos muscles invisibles doivent s'exercer : ceux autour de l'anus, autour du vagin et du pénis. Un bon endroit pour s'exercer est quand on est assises sur le trône (bol de toilette). Silence et concentration. Plusieurs muscles ici, en secret, peuvent se faire bouger. Allez, hop...une ,deux... On se sent bien après et possiblement, une envie de caresses intimes...
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Lecossais |
Date du message : mai 5, 2016 16:12 |
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Le soleil est bon pour toi Voilà une bonne nouvelle pour les adorateurs du soleil : une étude vient de prouver qu’une bonne dose de rayons UV était excellente pour le moral ! Evidemment, tout le monde sait que le soleil peut aussi provoquer des cancers de la peau et accélérer le vieillissement du derme, mais des chercheurs viennent de mettre en lumière quelques bonnes raisons d’aller bronzer sans scrupule. Si le soleil permet à la peau de générer de la vitamine D, essentielle pour la santé des os, les chercheurs ont aussi découvert qu’il boostait la sérotonine – surnommée l’hormone du bonheur - et l’oxyde nitrique, qui protège le système cardiovasculaire. © Provided by Cover Media De précédentes recherches publiées par la revue Environmental Science & Technology avaient montré que 5 minutes d’exposition permettaient à elles-seules de se sentir plus heureux et moins stressé. Par ailleurs, 20 à 30 minutes d’exercice au soleil permettraient de perdre plus de poids. Si vous venez de vous inscrire dans une salle, n’hésitez donc pas à en sortir de temps en temps ! Alors, il est vrai que le soleil peut entraîner des cancers de la peau, mais la vitamine D vous protègera contre les cancers du colon, des reins et du sein. Le Cancer Institute américain a découvert qu’une exposition au soleil réduisait les risques du cancer du colon, de la vessie, de l’œsophage et de l’estomac. Mais il n’y a pas que les femmes qui en profiteront, puisque le soleil augmente aussi le taux de testostérone chez les hommes. La vitamine D est par ailleurs excellente pour la mémoire et prévient la sénilité. Alors qu’attendez-vous ? La prochaine fois que vous verrez le soleil poindre, attrapez votre crème solaire, et dehors ! Mais attention : on pense quand même à faire quelques pauses régulières à l’ombre... P.S. de Lecossais: bonne nouvelle. J'ajoute que si TOUT ton corps attrape le soleil, partout, partout, tu t'en porteras mieux. Je connais certains coins où on peut prendre du soleil, nue. Prends la 20, direction Québec, sortie St-Eugène. A droite, petit parking en mai et juin. Marche 2 minutes et tu seras au bord du lac. Après cette date, des blocs sont installés, il faut aller à la voie ferrée pour le parking. Que des retraités là la semaine. Plus de monde vers 14h. Invitation spéciale aux amicaliennes. Je t'attends aussitôt qu'on annonce plus de 20*. N'oublie pas que c'est bon pour le colon ! entre autres... *Ce message a été édité le May 5, 2016 4:13 PM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : mai 6, 2016 16:41 |
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Publié le 05 mai 2016 dans le journal 'La Presse'. Parlons sexe... par Suzanne Colpron Après avoir dirigé la section Arts du quotidien Le Soleil pendant quatre ans, puis celle de La Presse pendant cinq ans, Suzanne Colpron, journaliste depuis 1987, entame une carrière de chroniqueuse en 2016. *** 'Au Québec, le nombre d'infections transmissibles sexuellement est en explosion. Ce n'est pas nouveau. Le nombre de cas augmente année après année depuis au moins 15 ans. Particulièrement chez les jeunes de 15 à 24 ans. Chlamydia ? Après avoir diminué de 1990 à 1997, le nombre de cas déclarés a triplé depuis l'an 2000. On comptait 23 000 cas en 2014, dont la moitié chez les filles de 15 à 24 ans et un peu plus de 4000 cas chez les garçons du même groupe d'âge. Syphilis, une maladie qu'on a crue éradiquée à la fin des années 90 ? De seulement 3 cas déclarés en 1998, on est passé à plus de 600 diagnostics, l'an dernier. À tel point que le médicament principal utilisé pour traiter cette infection, Bicillin MD, est en rupture de stock au moins jusqu'en juillet ! Gonorrhée ? Même phénomène. L'infection, en progression constante depuis la fin des années 90, surtout chez les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, mais pas seulement, a fait un bond de 54 % de 2010 à 2014. Que disent ces chiffres, tirés du plus récent rapport de l'Institut national de santé publique du Québec ? D'abord, que les campagnes de prévention ne donnent pas les résultats escomptés. Ensuite, que les hommes et les femmes ne se protègent pas systématiquement parce que la peur de mourir du sida a disparu. Enfin, que certaines infections comme la gonorrhée sont de plus en plus résistantes aux traitements par antibiotiques. Ce que ces chiffres ne disent pas : que l'augmentation des diagnostics d'infections transmissibles sexuellement (ITS) s'explique en partie par une hausse du nombre de tests de dépistage. Mais plusieurs cas ne sont ni détectés ni déclarés. La syphilis, par exemple, est une infection complexe qui n'est pas toujours facile à diagnostiquer. - C'est grave, docteur ? - Oui, m'a répondu Réjean Thomas, qui le crie depuis des années. Très grave même. Les ITS ont des conséquences sur la santé de nos jeunes et nous coûtent cher en soins de santé : infertilité, douleurs chroniques chez les femmes, danger d'atteinte neurologique, transmission d'une ITS de la mère à l'enfant, VIH, cancer et même décès. Selon lui et plusieurs médecins qui travaillent auprès des jeunes, l'importance de porter le condom est ban-a-lisée. Pire : les hommes n'en portent pas et ne se gênent pas pour le dire. Ils préfèrent le sexe sans condom. Au diable les risques ! Pourquoi ? Le VIH ne fait plus peur. Oui, c'est vrai qu'on ne meurt plus du sida. Et que contrairement aux autres ITS, qui grimpent en flèche, le VIH est stable. Stable, mais tout de même élevé : de 300 à 500 nouveaux cas au Québec chaque année, dont une majorité chez les homosexuels. À la clinique L'Actuel, près de 40 % des patients qui contractent le VIH ont moins de 30 ans, dit le Dr Réjean Thomas. «?Il faut les éduquer.?» Le grand coupable ? Le manque d'éducation sexuelle, justement. Saviez-vous que la syphilis, la gonorrhée ou la chlamydia *** peuvent s'attraper après une SIMPLE FELLATION ? *** Je m'excuse d'aborder le sujet de manière aussi crue un lundi matin, mais il est important d'en parler. Le sexe oral se pratique la plupart du temps sans protection. Les gens, jeunes ou moins jeunes, ignorent qu'il faut se protéger là aussi. Le problème, c'est qu'on n'en parle pas. Les cours d'éducation sexuelle ont disparu des écoles depuis plus de 10 ans et on a cessé de faire de la prévention et de la sensibilisation. Résultat : les jeunes sexuellement actifs ont une certaine méconnaissance des méthodes de transmission et se pensent à l'abri. Même s'ils ont plusieurs partenaires et que leurs pratiques sont à haut risque. À quand remonte la dernière fois que vous avez vu une campagne vantant les mérites du préservatif ? «?Il n'y a plus de campagnes de prévention depuis longtemps, confirme le Dr Réjean Thomas. Et s'il y en a, elles sont tellement ciblées qu'on ne les voit nulle part !?» Une autre raison pourrait aussi expliquer la propagation des ITS : les applications comme Tinder ou Grindr. De nombreuses études pointent dans cette direction. Aujourd'hui, la chasse aux partenaires ne se pratique plus dans les bars, mais au bout des doigts sur un téléphone. Les comportements à risque incluent l'utilisation des applications pour avoir des rapports sexuels occasionnels et souvent avec des inconnus. «?Pour lutter contre les ITS, on sait qu'il faut donner des cours d'éducation sexuelle dès le primaire et faire de la prévention sur les applications, dit Réjean Thomas. La recette n'est pas si compliquée.?» Non, pas si compliquée. Mais encore faut-il avoir la volonté de le faire. Un condom avec ça ? P.S. de Lecossais : Héloïse m'avait demandé ,il y a un moment, de parler de 'protection' sexuelle. Voilà un article qui en fait le tour. Et je retiens, moi qui en suis un adepte, que de lécher un minou (cuni) est risqué...mais je suis 'vieux', je lèche si je connais la Dame depuis un certain temps et qu'on sait tous les deux, qu'on est 'clean'. L'orgasme ne s'attrape pas ! *Ce message a été édité le May 6, 2016 4:43 PM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : mai 7, 2016 11:22 |
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Annonce sérieuse: une rencontre à Drummondville ? *Ce message a été édité le May 7, 2016 12:34 PM par Lecossais*
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Heloise65 |
Date du message : mai 7, 2016 21:30 |
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bonsoir à tous .......................... les dames qui lisent son maman ou grand maman Bonne fêtes des mères....................... Tout peut s'user Dans la vie Tout peut s’user Mes bas, mes souliers, Mon crayon et ma gomme à effacer. Mais moi, je connais une chose Qui ne peut jamais s’user. C’est la joue d’une maman Qui reçoit des baisers de son enfant. ( anonyme )
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Lecossais |
Date du message : mai 8, 2016 07:23 |
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Que c'est beau Héloïse !...et je sais que rien-rien ne s'use chez une Maman. Bonne fête donc à toutes. Une Maman, c'est une fille, une demoiselle, une femme , une Dame qui adore SON enfant. Les Mamies sont celles qui trouvent beaux toutes les enfants. Hier j'ai vu une petite fille accompagnée de sa maman à l'épicerie. Que je la trouvais drôle avec sa longue robe fleurie jusqu'à terre, son grand chapeau. Une vraie lady de 8 ans. Elle savait qu'elle était belle et que tout le monde la regardait. C'était la reine. Un transgenre-femme ne sera jamais une maman, une petite fille de 8 ans, oui. Bonne fête à toutes les ELLES qui ont une vulve et qui s'en servent pour faire des bébés. Elles peuvent y prendre plaisir en plus, le plus grand plaisir de leur vie !
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Lecossais |
Date du message : mai 9, 2016 11:39 |
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L’animateur radio Stéphan Dupont décrète des «journées nationales du décolleté», et utilise une photo de Céline Dion pour prouver que le décolleté se porte avec classe et dignité. Stéphan Dupont se lance dans un projet quelque peu farfelu, mais qui pourrait permettre d’amasser des fonds pour la lutte contre le cancer du sein. Le vendredi 13 mai, Dupont décrètera la journée nationale du décolleté. «Ce que j’ai à vous annoncer, je vais le faire avec sérieux, classe et dignité. L’équipe de Dupont le matin a décrété que vendredi prochain, le 13 mai 2016, ce sera la journée nationale du décolleté. Y’en a déjà peut-être eu ailleurs dans d’autres pays, on s’en sacre. […] Nous on veut que les vendredis 13 deviennent les journées nationales des décolletés. Les Québécoises, vous êtes tellement belles, et porter le décolleté se fait, et l’exemple est là à côté de moi, avec classe et dignité», affirme Dupont, en pointant une image de Céline Dion. Dupont : Une « journée nationale du décolleté » contre le cancer du sein© Fournis par BUM Interactif Dupont : Une « journée nationale du décolleté » contre le cancer du sein «Embarquez donc dans notre aventure. Pour la preuve de notre participation et bonne foi, nous avons accumulé plusieurs prix que l’on va vendre à l’enchère vendredi matin, et tout l’argent sera remis pour lutter contre le cancer du sein. Les filles, à vous d’embarquer dans notre aventure», poursuit l'animateur d’Énergie 98.9. Stéphan Dupont occupe la case horaire matinale à Énergie Québec depuis un peu moins de deux ans. Auparavant, il travaillait à CHOI radio X. P.S de Lecossais: donc Mesdames, vous savez quoi faire ce vendredi 13 en plus de regarder des films d'horreur toute la soirée à ''ciné-pop''. Non, les seins ne sont pas une horreur, au contraire, c'est une beauté, tous les seins des femmes sont de toute beauté , alors j'ai hâte à vendredi et me promener au centre commercial et au parc Woodyack. J'espère que les dames vont respecter cette journée et se montrer...coopérantes. J'ajoute que cette journée devrait être déclarée ''décolletés avec mamelons apparents'' ! Elles amasseraient beaucoup plus d'argent contre le cancer.Pourquoi pas ? C'est beau ou c'est pas beau ? ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii je les veux....Passe le mot.
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Lecossais |
Date du message : mai 11, 2016 06:50 |
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Hier je n'ai pas écrit ici (sauf dans le ''Journal-de-Montréal'' ) parce que j'ai rencontré une Dame de 71 ans de Drummondville, pas loin de chez moi. Une seule obligation que je lui dis sur le net: porte une robe. Quelle surprise, elle était en jaquette ! , tissu doux et souple, ce qui fut encore beaucoup mieux. Je sentais sa peau partout sur ce tissu. Elle avait la langue fouineuse et hésitante. Je lui ai demandé si elle préférait qu'on s'assoit au salon ou étendue sur le lit. Elle a choisi le lit. Elle m'a demandé de lui enduire un onguent huileux en tube. Le première goutte tombée, elle a émis un petit cri. Elle voulait, en avait envie. On a parlé et pendant que je baissais mon pantalon, elle m'a raconté sa vie sexuelle en raccourci. Elle a été marié plusieurs années et n'a jamais joui avec son mari me dit-elle. Vers ses 61 ans, avec un ami, elle a joui pour la première fois. Je me suis demandé si elle avait un clito. C'est possible vu que certaines dames n'ont pas de point G, alors... Je n'ai pas tardé à le sentir. Tout en me tenant la queue, sans bouger, je lui ai caressé le bouton. Hum...On s'est embrassé encore, moi debout à côté du lit, elle me tenant la queue et mes doigts agiles lui titillant le minou doux. Je me suis donc concentré sur son orchidée, le faisant durcir et son orgasme qui n'a pas tardé à venir. Un long râle de plaisir, la tête renversée : une grande délivrance. Si on va se revoir dis-tu ? A la condition qu'elle porte une jaquette d'été.
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Lecossais |
Date du message : mai 12, 2016 09:37 |
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Petit rappel : toutes les aventures de Lecossais racontées ici sont véridiques et vécues. Il n'y a aucune fiction. Si ce n'est pas vécues par lui, il en est indiqué l'auteur ou son pseudo. Toutes les opinions sont permises ici dans ''la sexualité n'a pas d'âges''. Il est possible de venir lire pour toutes les personnes de 55 ans et plus. Tous les sujets, à part la sexualité, sont aussi possibles à l'occasion. On utilise parfois les vrais mots qui peuvent paraître crus à certaines, c'est la vie. Merci à toutes encore une fois de venir lire et vous informer sur les nouvelles ''sexuelles''. Rien ne vous est caché !! On ouvre grand et on se laisse pénétrer par tous les désirs, les envies, les fantasmes : tout est permis à nos âges...Profitons-en pendant qu'il en est encore temps. On n'avons plus de réputation à cacher. Merci d'être là. Je t'aime, mais oui.
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Lecossais |
Date du message : mai 12, 2016 18:14 |
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suite du film ''Spotlight''... Tant qu'on en parle, ça aide les victimes... Pédophilie dans l'Église américaine L'Église catholique est dans la tourmente (consulte ''scandales d'abus sexuels dans l'église catholique) Anne Renaut Agence France-Presse Washington La publication de nouveaux noms de prêtres pédophiles par un diocèse américain, trente ans après les premiers scandales, montre combien le silence de l'institution catholique pèse encore sur les victimes, qui se sentent bien seules à combattre leurs agresseurs. L'archevêché de Baltimore, dans le Maryland, a publié 14 nouveaux noms de prêtres ou membres du clergé catholique américain soupçonnés de pédophilie. Il s'agit d'un geste rare, salué par les victimes qui dénoncent régulièrement le silence de l'institution sur ces scandales. Ces derniers ont éclaté dans les années 1980 avant que le quotidien américain Boston Globe n'en révèle en 2002 l'ampleur. Selon le groupe de soutien aux victimes bishop-accountability.org, 31 diocèses américains sur 178 ont publié une liste similaire d'agresseurs présumés. Celle de l'archevêché de Baltimore concerne au moins 94 paroisses. Elle ajoute 14 noms d'agresseurs présumés à 57 noms déjà rendus publics en 2002, à la suite des révélations du Boston Globe. (voir le film). «C'est un progrès» alors que «la plupart des évêques refusent encore de prendre des mesures minimales comme avertir les parents, la police, les procureurs, les paroissiens et l'opinion», s'est félicité la responsable du réseau d'aide aux victimes Snap (Survivors network of those abused by priests), Barbara Dorris. Elle regrette cependant que la publication de ces noms ait pris «autant de temps» et juge la liste incomplète. Il y manque notamment 26 noms de prêtres morts avant que des allégations soient portées contre eux, et que l'archevêché refuse de publier. Abus dissimulés Mme Dorris craint aussi que cette démarche empêche une réforme de la prescription. Les victimes, qui souvent ne peuvent pas poursuivre leurs agresseurs au pénal, car les faits sont trop anciens et frappés par la prescription, réclament de revoir ce délai. «Nous soupçonnons l'archevêque William Lori d'utiliser cette liste pour essayer de faire pression sur les élus qui veulent réformer la prescription, une règle archaïque et favorable aux prédateurs, en disant «il n'y a plus besoin d'exposer les pédophiles devant les tribunaux parce que nous en donnons la liste nous-mêmes»», explique Mme Dorris. «C'est vrai que l'Église a procédé à des changements, mais les changements cruciaux seront vraiment dans les lois» sur la prescription, qui sont «très restrictives», affirme à l'AFP Terry McKiernan, président de bishop-accountability.org. Selon le directeur du Snap David Clohessy, 6400 prêtres sont accusés d'abus, mais au civil, il n'y a eu qu'une quarantaine de procès et «très peu» au pénal. Pour l'archevêché, la publication de ces noms vise à «encourager une éventuelle victime (...) à se manifester», a expliqué son porte-parole, Sean Caine, au Washington Post. Il s'agit aussi de dire aux victimes qu'elles ne sont plus seules. Les victimes «pensent être les seules. Et qu'on ne va pas les croire», selon lui. Mais les victimes se sentent isolées surtout à cause du comportement de leur Église, estiment leurs défenseurs. Elles veulent bien sûr que les agresseurs soient condamnés, mais elles sont particulièrement indignées que des responsables de leur propre Église aient couvert des prêtres fautifs. Début mars, un grand jury a rapporté que deux évêques avaient aidé à dissimuler les abus sexuels perpétrés par 50 prêtres et responsables religieux contre des centaines d'enfants durant quatre décennies en Pennsylvanie. Le pape n'avait pas non plus fait taire les critiques quand il était venu aux États-Unis en septembre. Il avait réitéré sa condamnation de la pédophilie et de ceux qui l'ont couverte, après avoir limogé en juin deux évêques américains qui avaient fermé les yeux. Reste à savoir pourquoi l'archevêché de Baltimore publie cette liste en 2016. «Je me demande si l'archevêque n'a pas été poussé à publier cette liste à cause du film Spotlight», se demande M. McKiernan. L'enquête de 2002 de Spotlight, l'équipe d'investigation du journal Boston Globe, a inspiré un film éponyme sacré cette année aux Oscars. Et elle vient de révéler ce week-end des abus sexuels qui ont eu lieu, durant des décennies, dans des dizaines d'écoles privées du nord-est des États-Unis. P.S. de Lecossais : Je t'avais dit que j'avais vu le meilleur film américain aux oscars en février :''Spotlight''. Hé bien , la suite c'est qu'on continue de faire enquête et que 6400 prêtres pédophiles ont été découverts en Pensylvanie, Baltimore. Même que c'est un archevêque qui a dénoncé ! Si on extrapole à travers les USA, c'est dans les environs de 100 milles curés pédophiles aux USA....peut-être plus. Ça te donne une idée de cette religion de criminels, de pommes pourries. Y en a-t-il encore qui vont à la messe ?? qui écoute leurs sermons ??
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Lecossais |
Date du message : mai 15, 2016 08:13 |
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Comment séduire une femme plus âgée ? 3 méthodes: Faites en sorte qu'elle vous désire. Invitez-la à sortir. Faire l'amour avec elle Les femmes plus âgées savent ce qu'elles veulent dans une relation et n'ont pas peur de dire ce qu'elles pensent. Elles ont confiance en elles, sont autonomes et atteignent leur apogée sexuel longtemps après que les hommes de leur âge aient dépassé le leur. Alors, comment séduire l'une de ces femmes irrésistibles ? Il suffit de suivre les étapes suivantes pour le savoir. Méthode 1 sur 3: Faites en sorte qu'elle vous désire Faites preuve d'une grande confiance en vous. Les femmes âgées apprécient les hommes ayant cette qualité. Elles veulent sentir que vous êtes capable de faire face aux complexités de la vie sans qu'elles aient besoin de vous guider. Projeter une image d'autoassurance vous prendra du temps. Même si vous n'avez pas confiance en vous lorsque vous approchez une femme plus âgée, faites semblant jusqu'à ce que vous ayez assimilé ce trait de personnalité. •Quand vous parlez pour la première fois à une femme plus âgée, ne commencez pas à la complimenter tout de suite, vous auriez l'air d'un gamin qui demande des bonbons. Elle ne va pas vous prendre au sérieux si vous le faites. Au lieu de cela, utilisez cette confiance en vous pour l'impressionner. Captez son attention. Souvenez-vous que vous approchez une femme plus âgée. Elle ne va pas se mettre en avant avec des ba-n-a-lités comme vous le feriez avec votre voiture ou en regardant toutes les belles filles qui passent par là. Essayez de montrer un vif intérêt pour la politique, les événements mondiaux, les livres, la musique, bref, ces choses qui vous rendent plus intéressant en général. •Si vous n'avez pas accompli beaucoup de choses dans votre jeune vie, parlez des choses que vous voulez faire. Ne vous concentrez pas sur ce que vous n'avez pas fait ou elle va s'ennuyer. •Si vous êtes beaucoup plus jeune, ne parlez pas de vos amis ou des choses que font les gens de « votre âge ». Vous la feriez se sentir tellement plus âgée. Par exemple, si vous avez 50 ans, et qu'elle en a 70, ne lui parlez pas de la fête d'enfer que vous avez faite l'autre soir. Au contraire, parlez-lui de vos expériences... Concentrez-vous sur ses atouts. Même si vous ne devez pas l'accabler de compliments, vous devriez lui faire savoir ce que vous aimez à son sujet. Appréciez-la pour qui elle est. Est-elle drôle ? Riez avec elle et dites-le-lui. A-t-elle envie de vous ? Répondez-lui naturellement - si elle aime vous toucher au cours de la conversation, faites la même chose et touchez son dos. Est- elle sexy ? Faites-lui savoir que son regard vous attire énormément. •Ne faites pas de son âge un facteur au premier abord. Vous ne voudriez pas qu'elle pense qu'elle ne vous attire que parce que c'est une femme plus âgée. Ne lui dites pas : « Tu es belle pour ton âge » ou vous aurez l'air stupide. •Si elle mentionne son âge, vous pouvez dire : « Je n'aurais jamais deviné. » •Si elle vous demande quel âge vous pensez qu'elle a, « devinez » toujours quelques années de moins. Que cela ne soit pas trop évident. •Une fois que vous commencez à parler de son âge, vous pouvez même demander comment une femme de son âge telle qu'elle puisse être célibataire ou pourquoi elle se désintéresse de tant d'hommes. Il suffit de ne pas faire sonner cela comme trop ringard ou condescendat. Impressionnez-la avec votre indépendance. Les femmes plus âgées apprécient les hommes qui ne sont pas démunis et sont dépendants. Être collant peut convenir pour les gamins, mais pas pour vous. Parlez des choses que vous aimez faire pour vous amuser, de vos sports et de vos loisirs préférés ou juste des choses que vous faites ou avez faites vous-même pour développer votre personnalité. Si vous parlez toujours de vos amis et votre famille, elle peut penser que vous n'avez jamais passé un moment seul et se désintéressera de vous. •Avez-vous une bonne formation et un brillant avenir ? Faites-le-lui savoir sans ostentation. Dites-lui ce que vous faites et si elle veut en savoir plus, elle vous le demandera. Ne vous inquiétez cependant pas, même si vous n'êtes pas indépendant ou si vous n'avez un fabuleux plan de carrière, au moins, vous avez une passion dans la vie et une vision optimiste des choses. Invitez-la à sortir. Ne tardez pas. Une fois que vous avez séduit la femme et prouvé à quel point vous êtes mature et indépendant, il suffit de l'inviter à sortir avec vous. Dites-lui : « J'ai aimé vous parler, mais je dois y aller. Voudriez-vous continuer cette conversation au cours d'un dîner ou en prenant un verre ? » et demandez-lui son numéro. Soyez toujours détendu, ne semblez pas désespéré ou trop impatient de la revoir et ne demandez pas de la voir la nuit suivante. Demandez-lui pour la voir la semaine d'après pour qu'elle sache - ou pense - que vous avez un horaire chargé. •Il y a une différence entre se la jouer cool et être un imbécile. Vous devriez toujours sourire, la regarder dans les yeux et lui faire un petit complément lorsque vous lui demanderez de sortir avec vous. Méthode 2 sur 3: Invitez-la à sortir Invitez-la à sortir avec vous. Tout ce que vous avez fait avec les filles ou les femmes de votre âge ne vous sera pas d'un grand secours. Alors que lorsque vous invitiez une fille de votre âge à dîner et à aller voir un film ou tout simplement quand vous lui apportiez quelques bières ou une bouteille de vin pas cher, tout ce qui aurait pu marcher dans ce cas sera à oublier parce que vous aurez à faire bien plus d'efforts pour impressionner une femme plus âgée. Découvrez ce qu'elle aime, qu'il s'agisse de produits d'épicerie fine, d'un vin élégant ou tout simplement passer un bon moment dans un de ses endroits préférés. •N'oubliez pas que les femmes plus âgées ne sont pas si différentes des jeunes femmes dans le sens où elles aiment encore à passer de bons moments. Et il se pourrait que, simplement parce qu'elles sont plus âgées, elles n'aient pas automatiquement de goûts raffinés. •Si vous êtes dans un restaurant , ne commandez pas de bière, à moins que vous ne vouliez ressembler à l'un de ces garçons des fratries étudiantes. Commandez un *****tail plus chic, comme un gin-tonic, cela vous donnera plus l'air d'un homme adulte. Bien sûr, ne buvez pas plus que ce que vous pouvez endurer, surtout si vous êtes au volant. Traitez-la en gentleman. Si vous voulez impressionner une femme plus âgée, vous devriez lui dire qu'elle est belle, lui ouvrir les portes et lui tenir sa chaise quand elle s'assoit. Si elle tient quelque chose de lourd, portez-le pour elle. Ce sont ces petites choses qui lui feront voir si vous êtes un véritable homme ou juste un garçon qui essaie d'être un homme pour l'impressionner. N'arrivez pas en retard, ayez un visage soigné ou ne portez pas de vêtements défraichis que vous enfilez à la dernière minute, sans quoi vous ne ferez pas bonne impression. Utilisez votre âge à votre avantage. Ne soyez pas gêné ou timide d'être plus jeune qu'elle - même si vous avez dix ou quinze ans de moins qu'elle ! Au lieu de cela, pensez à des choses qu'un homme de votre âge peut avoir, mais qu'un homme du sien ne possède pas. Bien sûr, vous ne pouvez pas être financièrement aussi stable ou expérimenté, mais vous avez diverses choses pour vous : un corps jeune et attrayant, beaucoup d'énergie et d'enthousiasme dans la vie et pas de fardeaux ou de soucis à porter et qui pourraient vous stresser. •Attirez l'attention sur vos points forts au lieu de mettre en avant vos faiblesses. Ne parlez pas de votre manque d'expérience ou de vos perspectives d'emploi. Au lieu de cela, dites-lui à quel point vous êtes enthousiaste en ce qui concerne votre avenir et combien vous êtes heureux et libre à votre âge. Soyez honnête quant à votre désir de coucher avec elle. Soyez honnête et ouvert si vous voulez vous retrouver au lit avec une femme d'âge mûr. Ne soyez pas vulgaire, bien sûr, mais si vous avez un rancard et que ça se passe bien, ne soyez pas trop discret sur vos intentions. Dites-lui que vous la trouvez incroyablement attrayante et que vous aimeriez passer la nuit avec elle ou attendez jusqu'au moment où vous la raccompagnez chez elle, établissez un contact visuel intense, embrassez-la ou complimentez-la jusqu'à ce qu'elle vous demande d'entrer. •À la fin de soirée, vos intentions doivent être claires. Avant même de la raccompagner chez elle ou de rentrer chez vous, elle devrait savoir que vous avez envie d'elle - et elle de vous. •Souvenez-vous de la section sur la confiance. Ne faites pas en sorte que cela soit perçu comme une question - « Puis-je – s'il te plaît – coucher avec toi ? » Au lieu de cela, faites-lui une déclaration qui lui donne envie de vous encore plus. Méthode 3 sur 3: Faire l'amour avec elle Prenez les choses en main. Bien que la femme soit plus âgée et qu'elle puisse s'attendre à ce que vous fassiez exactement ce qu'elle vous dit, elle sera vraiment impressionnée si vous prenez les devants et qu'elle se laisse aller à vous suivre. Prenez le contrôle dès le moment où vous entrez chez elle en l'embrassant, en ouvrant la bouteille de vin et en la menant dans la chambre. Elle sera agréablement surprise et impressionnée. Bien que vous deviez toujours la laisser faire ce qu'elle veut, ne lui laissez pas prendre le contrôle total sur vous sans quoi vous ne profiterez pas au maximum de votre expérience. Ne l'accablez pas d'éloges. Bon, d'accord, peut-être que vous êtes excité - même très excité - d'être seul avec cette femme, mais n'allez pas trop vite au point crucial. Vous pouvez lui dire qu'elle est très belle ou qu'elle a un corps incroyable, mais restez-en là. Ne lui dites pas qu'elle est la plus belle femme que vous n'ayez jamais vue ou que vous êtes vraiment chanceux d'être seul avec elle ou qu'elle donne les meilleurs baisers du monde. Cela vous donnera l'air d'un ver de terre inexpérimenté rampant à ses pieds. •Elle veut être traitée d'égal à égal et non pas comme une déesse ou une statue. La submerger d'éloges lui fera encore plus prendre conscience de votre différence d'âge. Impressionnez-la avec votre expérience. OK, c'est vrai, il se peut que vous puissiez ne pas avoir une aussi grande expérience pour impressionner cette femme. Pourtant, tout est dans l'attitude. Ne soyez pas nerveux lorsque vous allez au lit ou lorsque vous commencerez à l'embrasser et ne soyez pas gêné lorsque vous tâtonnerez avec son soutien-gorge. Si vous n'arrivez pas à le dégrafer, il suffit d'en rire au lieu de rougir ou d'être gêné. •Ne dites pas : « Je n'ai jamais fait ça avant ... » ou elle sera immédiatement refroidie. Si vous vous mettez dans la tête que vous n'avez pas à l'impressionner, pas plus qu’une femme ordinaire, votre propre expérience grandira avec votre auto confiance. •Si vous vous sentez vraiment inexpérimenté, mais êtes déterminé à impressionner les femmes plus âgées, alors vous pouvez tenter votre chance en draguant les filles de ton âge en premier. Tant que vous ne les utilisez pas et que tous les deux y preniez plaisir, cela peut vous aider à établir votre confiance. Faites en sorte qu'elle veuille de vous une fois de plus. Après l'avoir emmenée au lit, vous devriez partir sur une bonne note. Ne lui dites pas que vous avez vécu le moment le plus inoubliable de votre vie, mais dites-lui plutôt que vous la rappellerez - si elle le veut bien - et reprendrez le contact d'ici quelques jours. Jouez-la cool et le reste viendra tout seul. Si vous lui faites comprendre que vous avez une vie intéressante et occupée, mais que vous aimeriez qu'elle occupe une belle place dans votre agenda, elle sera heureuse d'avoir de vos nouvelles. •Essayez de savoir ce que ces femmes veulent et comportez-vous en conséquence. Ne les confondez jamais avec ces jeunes filles qui parlent pendant des heures de leur nouvelle relation. P.S. de Lecossais. J'ajoute, qu'une fois au salon ou au lit, ne la déshabillez pas complètement, laissez-la garder certains dessous, même sa culotte si elle veut. Il sera bon pour elle de la caresser dessus...Si tu arrives sur son bouton, elle fera sûrement un petit soupir. Occupe-toi d'elle ,QUE D'ELLE, pas de toi. Embrasse-la longtemps et reste sur sa culotte tant que ce n'est pas elle qui l'enlève. Fais-la jouir du clitoris, juste ça, rien d'autre sauf si elle manifeste une suite comme une pénétration. Si elle aime, laisse-la tenir ton pénis. Elle le fera bouger si elle veut. On ne fait pas tout la première fois...il y aura une suite si tu es patient. Évidemment tu pourras te masturber chez toi. Bonne chance. *Ce message a été édité le May 15, 2016 8:14 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : mai 17, 2016 05:32 |
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On le sait, il y a des journées internationales pour un peu tout sauf la journée des hétérosexuels (moi) et bisexuels (moi). Il y a la fête des pères mais la plupart du temps sans cadeaux. Je ne me souviens pas avoir eu un cadeau en juin lors de cette fête. J'aurais aimé avoir un gode vibrant pour l'anus donné par mon fils; de ma fille, du bon chocolat noir ou un aftershave ou un énorme calin qui dure une minute. Aujourd'hui, 17 mai, je viens de lire que c'est la fête de l'homophobie et de la transphobie (je ne savais que ce mot existait). La phobie est une peur de; y a-t-il un homme (oui ce sont toujours les hommes qui ont ces phobies, jamais les femmes--les femmes ont peur des araignées, des souris mais pas des transgenres ni des homos ) ,les hommes hétéros, OUI. Les hommes ont peur de l'être et de ne pas le savoir. ''Hon, tout à coup je serais homo!!'', quelle catastrophe ! Je viens de perdre des chums'' se disent-ils. Donc les hommes hétéros ont peur des genres; ils ont peur d'aller à la parade de la fierté gaie--''Tout à coup on me reconnaîtrait'' se dit-il. Plus un homme se moque, frappe un homo, plus il a peur de l'être lui- même. Je connais un policier de St-Jean, mon gendre, qui parle comme ça :''Hostie d'tapette''. Il écoute une chanson à la radio un peu romantique; sa réaction :''Hostie d'tapette''. Par contre ,ceux-là aiment bien voir des lesbiennes ensemble; ils ne se sent pas attaqué dans sa ''supposé'' virilité. Pour un policier, son arme , c'est sa queue qu'il met de l'avant. Je souhaite alors que ça change et qu'on ne sache plus quel est le genre d'une personne sauf qu'elle est humaine...comme une femme. Mais comment fêter l'homophobie qui est une tare ?? Est-ce qu'on fête ''la peur dans le noir'' ?
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Lecossais |
Date du message : mai 18, 2016 07:20 |
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Le dire ou pas ? Mario Girard La Presse 18 mai 2016 Ce qui s’est passé dimanche soir au Gala Les Olivier entre Martin Matte et Éric Salvail n’était pas de l’« outing ». Ce qui a fait réagir le public sur les réseaux sociaux n’était rien d’autre qu’une blague facile et grasse comme les aiment la plupart de nos humoristes. Reculons la cassette… Charles Lafortune et Éric Salvail font un sketch au cours duquel ils se demandent ce qu’ils vont dire dans leur spectacle afin de vendre des billets. « On va faire comme tous les humoristes dans la salle. On va parler de nos femmes », dit Charles Lafortune. Air médusé de Salvail. Lafortune ajoute : « Tu feras des jokes sur la mienne. » Rires du public. Précisons que ce sketch a été approuvé par Éric Salvail. C’est lui qui le joue. Le sous-entendu – qu’il n’a pas de femme dans sa vie – est volontaire et est là pour faire rire. Deux minutes plus tard, Martin Matte monte sur scène cueillir son trophée et dit à Éric Salvail : « Comme ça, on a appris que tu es gai. » Hilarité générale dans la salle, rire jaune et crispé d’Éric Salvail et perplexité de ma part. Pourquoi, tout à coup, Salvail la trouve moins drôle ? Depuis des années, l’animateur, qui se permet des questions indiscrètes et impertinentes à ses invités, multiplie les allusions sur son orientation sexuelle. Et quand vient le temps d’appeler un chat, un chat, il le prend mal. Hier, à son émission Éric et les fantastiques sur ÉNERGIE, Éric Salvail est revenu sur cette blague qui concernait sa « vie privée » après que ses collègues Mélanie Maynard, Renée- Claude Brazeau et Mike Ward eurent tous dit que la répartie de Martin Matte était maladroite. Il a dit qu’il n’était pas « fâché », mais qu’il avait été « surpris », avant de refermer la porte rapidement sur le sujet. Bref, ce qui a été perçu comme de l’« outing » n’en était pas. Un « outing » frappe quelqu’un qui a toujours réussi à cacher son homosexualité au grand public ou à son entourage. Souvent, l’« outing » naît d’un esprit de vengeance. Et, fait encore plus surprenant, l’« outing » provient souvent d’homosexuels eux-mêmes. Les dix députés italiens « outés » en 2011 par une association LGBT pour avoir voté contre une loi visant à combattre l’homophobie sont un bon exemple de cela. Cet épisode nous renvoie à l’épineuse question des personnalités publiques et de l’homosexualité. Doivent-elles l’afficher ? Que craint un artiste, un animateur ou un chanteur qui en parle ouvertement ? De perdre l’amour d’une partie de son public ? De ne plus avoir de contrats ? D’être confiné à des rôles de gai pour le reste de ses jours ? Je crois sincèrement que ces gens redoutent surtout la réaction de leurs patrons ou de leur imprésario. C’est eux qui ont le pouvoir. C’est eux qui vont décider si madame Legault de Drummondville aimera encore leur poulain. Et vous savez quoi ? Ils vont décider cela sans même consulter madame Legault. C’est vrai que les Québécois font preuve d’une rare ouverture à l’égard de l’homosexualité. Mais cette tolérance demeure fragile. Invités à parler de la version opératique des Feluettes au micro de La soirée est (encore) jeune dimanche, Michel Marc Bouchard et Serge Denoncourt ont évoqué le cas de nombreux abonnés de l’Opéra de Montréal mécontents du choix de cette histoire d’amour entre deux hommes dans l’actuelle saison. Bouchard et Denoncourt ont raison de souligner cette fragilité. J’ai longtemps cru que parler de son homosexualité ne regardait personne et était une affaire ultra-privée. Je ne le pense plus. Quand j’apprends qu’en 2016, une jeune Belge de 16 ans, Madison, a dû quitter l’école à la suite d’une agression homophobe – on lui a brûlé les cheveux en lui disant « tu vas crever » –, quand je lis qu’à Tunis des commerces affichent sur leur devanture des messages interdisant l’accès aux homosexuels, quand j’apprends que des citoyens saoudiens pourraient être condamnés à la peine capitale pour avoir révélé leur homosexualité sur l’internet, quand j’entends que deux jeunes hommes qui s’étaient donné un baiser avant d’entrer dans un bar d’Hochelaga-Maisonneuve se sont fait tabasser par deux fous furieux, je me dis qu’il y a encore beaucoup de chemin à parcourir. Et ce n’est pas en faisant semblant que l’homosexualité n’existe pas qu’on règle le problème. Hier, à l’émission Éric et les fantastiques, Mélanie Maynard a raconté qu’à la suite de la blague de Martin Matte, des gens ont traité Éric Salvail de « tapette » et de toutes sortes de noms sur les réseaux sociaux. Bref, elle nous disait que le gag de Martin Matte avait alerté les morons. Vous ne trouvez pas qu’on tourne en rond ? Si on mettait autant d’énergie à s’attaquer au problème de l’homophobie qu’on en a mis, ces derniers jours, à protéger la liberté d’expression des humoristes, dieu que les choses avanceraient vite. Mais bon, ça fait de moins bonnes émissions de télévision. Le hasard fait que cette chronique est publiée le 17 mai, Journée mondiale de lutte contre l’homophobie. Profitons de l’occasion pour rendre hommage aux personnalités et aux artistes qui, un jour, ont fait preuve de franchise envers le public. Et envers eux-mêmes. Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+. P.S. de Lecossais : vaut mieux ne pas le dire en public et au public en général...sauf si l'occasion se présente à de véritables amis. Un homosexuel aime coucher avec des femmes, il adore les femmes et les femmes l'adorent. Il les protège, est leur confident et leur ami, ce qui n'est pas toujours le cas, et de loin, des hétéros-mâles pour qui leur queue est une arme : Tunisie-Algérie- Maroc-La France a du chemin à faire--tous les pays arabes. Le pape homo et tous les curés homos cachés mais on le sait !! on voit l'évidence...La Russie--L'inde--plusieurs pays d'Afrique de l'ouest--les USA dans plusieurs états. Le pays et la ville qui a la plus grande tolérance et où il fait bon vivre : la Hollande et Amsterdam.
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Lecossais |
Date du message : mai 18, 2016 18:11 |
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Publié le 18 mai 2016 ''Écrire sur rien'' La musicienne, peintre, écrivaine Patt Smith écrit ''M.Train'' Mario Girard La Presse L'envie de voir ailleurs, de déménager son esprit de place. L'envie de bourlinguer, de prendre le large, d'imposer à ses yeux des images inédites, inattendues. C'est l'appel du voyage et des vacances. On en entend beaucoup parler depuis quelques jours. Au bureau, dans les cafés, au gym, à la librairie où je me suis procuré un guide sur Chicago. Chaque année, vers la même période, on vit la même chose. On devient des bernard-l'hermite qui se tortillent dans leur carapace afin de s'en débarrasser. Va chez le diable, maudite carcasse d'hiver ! On veut du soleil, on veut des couleurs, on veut de l'air, on veut sacrer le camp. Et le voyage permet tout cela. Alors on en rêve. On le choisit minutieusement, on le prépare afin qu'il soit rien de moins qu'exceptionnel. Voyager est l'un des grands bonheurs de la vie. En quelques décennies, de plaisir rare pour riches, il est devenu un but essentiel à atteindre. C'est fou, le nombre de jeunes autour de moi qui ont fait d'ambitieux voyages avant l'âge de 25 ans. J'entends constamment des parents me dire : «?Ma fille est partie en voyage pendant six mois avec son sac à dos.?» Ou encore : «?Mon fils visite l'Asie pendant trois mois. Il prépare déjà un voyage en Afrique du Sud pour l'an prochain.?» Je vous parle de cette belle «?maladie?» qu'est l'envie du voyage, car j'ai lu cette semaine M Train de Patti Smith. Cet ouvrage est l'une des belles choses qui m'ait été donné de lire sur le voyage. Toutes les formes de voyage. Celui que l'on fait en amoureux pour connaître ce plaisir unique de découvrir quelque chose de nouveau à deux. Celui que l'on fait pour fuir quelque chose ou pour panser une peine. Celui que l'on fait à travers les livres. Celui que l'on fait à l'intérieur de soi, en traversant une rue. D'ailleurs, ce petit voyage de l'autre côté de la rue, Patti Smith le faisait tous les matins lorsqu'elle enfilait son manteau, son bonnet et qu'elle allait déguster un café, une toast et un ramequin d'huile d'olive au café 'Ino qui se trouvait en face de chez elle, dans Greenwich Village (je parle au passé, car en allant sur Google, j'ai vu que le café était fermé). Là, elle y trouvait SA table. Retrouver SA table était une obsession. D'ailleurs, un matin, elle est arrivée et a découvert des gens à SA table. Elle est allée patienter 10 minutes aux toilettes, le temps qu'ils partent. À cette table, elle était bien. Elle pensait à toutes sortes de choses. Elle voyageait. C'est à cet endroit que ce livre a trouvé sa source. Elle y a composé des chapitres courts et denses dans lesquels elle raconte des instants de sa vie. Elle le fait comme elle prend des photos avec son vieil appareil Polaroid. Elle le fait comme on parle à un ami. Le livre s'ouvre sur un voyage en Guyane française avec Fred «?Sonic?» Smith, son mari, dont la mort récente lui a causé un grand vide. Les deux amants s'étaient donné comme but d'aller voir l'une des colonies pénitentiaires de cette île, là où les pires criminels étaient envoyés. Patti Smith s'était fixé comme mission d'y prendre quelques cailloux et de les offrir à Jean Genet. Le récit qu'elle fait de ce périple est aussi captivant qu'émouvant. Et c'est comme cela pendant les 250 pages de ce livre autobiographique. Je dis autobiographique, mais ce qui est fascinant avec M Train, c'est que Patti Smith, icône du mouvement punk, amie de Ginsberg, Burroughs, Mapplethorpe et Sam Shepard, y évoque ses activités d'artiste que très rarement. Ce récit aurait été écrit par une pure inconnue que notre intérêt serait totalement le même. Nous sommes en face de la démarche d'une auteure. Une vraie. Patti Smith possède une grande qualité, essentielle aux écrivains : elle a une caméra à la place des yeux. Elle a surtout une façon unique de transformer chacune des scènes observées en mots sans pour autant sombrer dans une poésie mielleuse. Un exemple : «?Elle portait un sac en tapisserie délavée. Il y avait quelque chose de poussiéreux dans son allure, on l'aurait dite tout droit sortie des boyaux d'une fonderie. Quand elle a posé son sac et s'est éloignée, les passants ont paru visiblement décontenancés.?» Plus loin, elle raconte comment elle a jeté son dévolu sur une baraque mal en point située sur Rockaway Beach, près de New York. Encore là, la description de choses b*****es revêt un style littéraire digne des plus grands auteurs. Voici un passage où elle quitte un vulgaire restaurant chinois. «?J'ai réglé ma note et la vieille dame a retourné le signe Ouvert dès l'instant où j'ai refermé la porte, alors qu'il restait des clients à l'intérieur, en plus du chien et du yo-yo. J'ai eu la nette impression que, si je me retournais, le Silver Moon aurait disparu.?» Il y a des auteurs qui n'ont à rien à dire et qui pondent des briques de 600 pages. Patti Smith fait exactement le contraire. Ce récit personnel, amorcé avec Just Kids en 2010, fourmille de petits détails anodins, de noms d'artistes qu'elle n'évoque jamais gratuitement (Rimbaud, Duchamp, Kahlo). Là où d'autres auraient fait du tape-à-l'oeil et du clinquant, Patti Smith prend l'incroyable matériau de sa vie et en fait un livre où sont enfouis des indices et des pistes qui nous tiennent en haleine. La torrieuse ! À un moment, Patti Smith écrit : «?Ce n'est pas si facile d'écrire sur rien.?» Ça m'a fait sourire. Et ça m'a fait penser à Pierre Foglia. Quand nous avions un projet de groupe qui réunissait plusieurs journalistes sur un même thème, chacun annonçait son sujet. Lui, il se contentait souvent de dire : «?Moi, je vais écrire sur rien.?» Il faut se méfier de ceux qui vous disent cela. Ils s'en vont écrire et vous balancent ensuite des textes qui vous en font prendre plein la gueule. M Train Patti Smith Éditions Gallimard 272 pages P.S. de Lecossais : ''Cette belle maladie qu'est l'envie des voyages''; j'ai cette maladie-là, j'aime ma maladie et j'ai hâte de partir, toujours hâte de partir. Voir autre chose que j'ai déjà oublié il y a un an, juste un an, mais c'est suffisant pour que je refasse le même chemin. Avec l'âge on oublie vite et quand je repars, c'est toujours nouveau. Je suis vivant en voyage, je respire mieux que dans un logement. Mon petit véhicule récréatif (RV) genre ''safaricondo'' me permet de coucher partout au bord de l'eau. J'attends un peu de chaleur et hop, encore un tour autour du fleuve jusqu'à Sept-Îles ou plus loin si la route est potable, et retour à Québec pour la Gaspésie...J'ai aimé lire cet article qui me fait me souvenir que l'écriture est aussi un voyage à travers les veines. Sûrement que cette femme ressent les mêmes choses que moi. Vais-je te rencontrer ?
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