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  Famille : La sexualité n'a pas d'âges


Ce sujet fait partie de la famille La sexualité n'a pas d'âges. Cette famille est semi-privée. Vous pouvez lire le contenu de cette famille mais vous devez vous y inscrire pour échanger.



Auteur

Sujet : Opinions

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : décembre 17, 2016  06:48


             ***6 bonnes raisons de pratiquer la masturbation ***
Cet article ici est pour les Dames Amicaliennes de plus de 60 ans; les jeunes filles , allez voir
ailleurs et les hommes , tu sais déjà ça !
Dans cahier ''santé'' du ''Reader's Digest.
Non, la masturbation ne rend pas sourd! En plus d'être saine, elle peut contribuer à soulager les
petits maux du quotidien. Voici comment.
Par Tammy Sutherland (dame âgée)
Quand on pense à la satisfaction sexuelle, on pense habituellement au bonheur de vivre en
couple. Mais la vie sexuelle ne nécessite pas toujours d’avoir un partenaire. La masturbation, par
exemple, qui se pratique généralement en solo (ou entre amies), est un élément important d’une
vie sexuelle saine. Et ne croyez surtout pas qu’elle soit réservée aux adolescents de sexe
masculin. Judith Golden, sexothérapeute de Toronto, explique en quoi elle peut être bonne pour
nous toutes.
1. La masturbation soulage le stress
Lorsque le stress prend le dessus sur tout le reste, un temps d’arrêt s’impose. La masturbation
permet de se concentrer sur une seule chose, explique Judith Golden, ce qui peut contribuer à la
détente. «Lorsque nous pensons au plaisir sexuel, le cerveau libère de la dopamine, substance
chimique liée au sens du plaisir, souligne-t-elle. Lorsque nous passons à l’acte, d’autres
substances, les endorphines, sont libérées à leur tour, nous apportant un sentiment de bien-
être.»
2. Souplesse musculaire
«La puissance et l’intensité de l’orgasme peuvent contribuer à soulager les crampes, explique
Judith Golden. Les hormones libérées durant l’excitation sexuelle jouent également un rôle. » Ce
n’est toutefois pas le cas pour toutes les femmes. Expérimentez, écoutez votre corps et faites ce
qu’il faut pour être bien.
3. La masturbation met en contact avec sa sexualité
Si vous n’avez jamais compris pourquoi on fait tant de cas de la sexualité, vous auriez peut-être
intérêt à aller voir du côté de la masturbation. «Les sexothérapeutes recommandent fortement
aux femmes qui n’ont jamais eu d’orgasme, de la pratiquer, de dire Judith Golden. Cela les met
en contact avec leur plaisir génital.» C’est une bonne façon pour les femmes de découvrir en
toute sécurité ce qui leur plaît, mais également ce qui leur fait possiblement peur.
4. La masturbation peut aider à atteindre l’orgasme durant les rapports sexuels
Si vous avez du mal à atteindre la satisfaction sexuelle avec un partenaire, vous devriez essayer
d’abord de l’atteindre seule. «Pratiquée régulièrement, la masturbation vous permettra de
découvrir comment votre corps répond à la stimulation sexuelle», explique Judith Golden. Vous
pourrez ensuite partager vos découvertes avec votre partenaire, qui saura alors ce qu’il faut faire
pour vous satisfaire pleinement.
5. La masturbation protège le moteur contre la rouille
Judith Golden confirme une de nos pires craintes: « L’adage qui dit que la fonction crée l’organe
et donc que l’absence d’usage crée l’atrophie, est vrai». Au bout du compte, cela se réduit à un
simple fait scientifique : «Pour fonctionner sexuellement, nous avons besoin d’un apport d’oxyde
nitrique dans le sang, explique-t-elle. L’activité sexuelle, sous toutes ses formes, permet de
maintenir des taux élevés de ce produit chimique. » En cas d’abstinence prolongée, il est
souvent plus difficile d’avoir une érection ou d’être suffisamment lubrifiée.
6. La masturbation peut soulager l’insomnie
Si vous passez vos nuits à vous retourner, incapable de trouver le sommeil, il y aurait peut-être
lieu de faire appel à cette bonne vieille masturbation. Selon Judith Golden, «la masturbation
constitue un bon somnifère. Elle a le même effet que la relation sexuelle entre deux partenaires :
en conséquence d’une baisse de la pression sanguine et d’une hausse du sentiment de détente
créé par la libération des endorphines, on tombe dans un sommeil profond ( fall into a deep
sleep). Beaucoup comptent là-dessus pour s’endormir le soir.» Chose certaine, c’est plus
excitant qu’un verre de lait chaud. Faites de beaux rêves!

P.S. de Lecossais : je te raconte ici ma première éjaculation. J'avais 14 ans(1960 en campagne)
et le samedi après-midi, chacun son tour, on prenait son bain. La douche n'existait pas chez
nous et on était 7 enfants dont 6 gars. Oui un bain par semaine. Donc c'est mon tour et j'étais
réputé pour être le plus lent, ce qui est encore vrai en tout. Après m'être lavé, je vais dans la
chambre du fond, au premier, chambre que je partage avec 4 de mes frères. En mettant mon
caleçon, juste en étirant le tissu pour le monter sur mes fesses, je commence à sentir quelque
chose qui me donne un plaisir au sexe. Je ne sais trop ce que c'est, je ne connais rien et jamais
personne ne m'a parlé de quoi que ce soit. Ce que je constate, plus je tire sur le tissu qui me
compresse le sexe, plus j'aime la sensation. Et je tire encore, je compresse mon pénis et le tissu
va entre mes fesses (invention du string plus tard !). J'aime tout et mon pénis étant bien
emprisonné, il durcit. Je passe ma main sur le tissu élastique...J'enroule l'élastique en le
descendant sur ma bosse devant. Le tissu ne cache plus que ma queue bien compressée, les
fesses à l'air. Je flatte maintenant le paquet, debout devant le miroir,je le flatte doucement et un
liquide se répand dans mon slip... Je ne comprends pas ce qui s'est passé mais je sais que ça
m'a fait du bien. Je répéterai ce manège tous les samedis après-midis durant 2 ans. J'ajouterai
une séance tous les mercredis, dans la chambre du fond, éjaculation dans un mouchoir que je
cacherai dans mon bureau d'étude. J'ai appris que mon éjaculation du mercredi (sans le caleçon
cette fois) me permettait de pouvoir étudier dans la détente complète. J'ai très bien réussi ma fin
du secondaire et prêt pour la grande aventure durant 5 ans à Montréal. J'ai, depuis toujours,
aimé me masturber, les testicules et le pénis bien compressées dans un tissu (une tite culotte de
femme fait bien l'affaire !) même à 73 ans, comme quoi la première fois nous marque pour la vie.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : décembre 19, 2016  06:29

Je fais appel ce matin à toutes les amicaliennes , peu importe son âge et son poids (pour
l'apparence, toutes les Dames sont belles) pour pouvoir réaliser mon fantasme. J'ai déjà eu des
fantasmes que j'ai toujours fini par réaliser au cours de ma vie. Il m'en reste un, non accompli, et
pour ça j'ai besoin d'une compagne qui veuille bien venir avec moi. Je suis prêt à aller te
chercher, chère âme-sœur, dans un rayon de 150 kilomètres autour de Drummondville. Seule
demande: porter une robe et du rouge à lèvres. Je paie tous les frais. Voici mon fantasme. Il
s'agit d'aller, un vendredi soir à partir de 20h. à ''l'Auberge La Passion'' 2655 rue St-Pierre ,
Drummondville. Va voir sur le net pour te familiariser avec la place. J'irais te chercher et on irait
ensemble à cet endroit. Pourquoi un vendredi soir ? Parce que les hommes seuls y sont admis,
et moi, j'aimerais que tu aies le choix de l'homme, qui sera entre 40 et 60 ans, pour que tu
acceptes de te faire pénétrer par une queue plus jeune que la mienne , plus dure, qui dure plus
longtemps. C'est toi qui choisis. Il te présentera l'engin et tu feras un signe. On ira ensuite dans
une chambre, sur place, nous trois, et ce sera ta fête. J'exigerai qu'il soit super doux et cet
homme, le bel inconnu, sera à notre (ta) disposition, on (tu) en fera tout ce qu'on (tu) veut, il fera
tout ce qu'on lui dit de faire, comblera tous nos (tes) désirs. La chambre est à nous toute la
soirée et la nuit. J'apporte le champagne, les préservatifs. Ta collaboration et ton enthousiasme
seront les bienvenus pour cette rencontre mémorable. A+
Première arrivée, première servie. Merci.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : décembre 21, 2016  06:21

Non , je regrette pour les Françaises ici qui m'ont répondu OUI pour ''assouvir'' mon fantasme
qui, je constate, est aussi le tien ! je n'irai pas te chercher en France, je vais perdre mon érection
en chemin ! Merci quand même pour ton ouverture d'esprit et de cuisses. Deux réponses OUI de
Québécoises de 68 et 71 ans. Tu corresponds bien en ce qui à trait à l'âge qui dans ma
demande devra être de plus de 65 ans et jusqu'à...sans limite. Je suis en Floride jusqu'au 1 avril.
Donc à partir du 1 mai (avant cette date, je fais mes impôts et comme tu sais, je suis lent, je dois
prendre un mois pour les faire et me faire sucer du fric ), je te contacterai. Je vous amène toutes
les deux Mesdames, les hommes seuls le vendredi soir s'ennuient...et seront nombreux au dégel
du printemps. La sève va couler. La chambre sera avec un immense lit (pour 4 ou 5). T'ais-je dit
que ces chambres ont des trous dans les murs ? Enfin tu verras, tu pourras regarder dans la
chambre voisine et nous faire regarder aussi. Tu pourras garder ta robe si tu veux, pas de
problème, on sera entre amies. On peut aussi apporter des instruments vibrants mais les
langues feront bien l'affaire. Merci de ton acceptation , je t'embrasse sur la bouche en attendant
*****.
Joyeux Noël

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : décembre 22, 2016  07:08

Je m'excuse pour les Françaises de ne pas aller te voir. J'ai fait un petit travail pour toi: va
sur ''google'' et écris dans ''chercher'' les mots ''échangisme en France et dans quelles villes '' ?
Je sais qu'il y a de superbes endroits bien tenus et propres à Toulouse, Nantes,etc... certaines
principales villes de ton beau pays. Ne t'inquiète pas, c'est sécuritaire , les musulmans ne vont
pas là. Ils préfèrent se prendre le moineau entre mâles. Bon, trêve de plaisanteries. Bien sûr
Paris. C'était en 1995, nous avions loué, avec une copine, une petite chambre à l'hôtel de ''La
Bretonnerie'' dans le Marais. Et un soir on décide de tâter de l'inconnu. On sonne , judas, une
Dame regarde comment on est habillés. C'est obligatoire d'être chic : dame en robe et homme
sans sandales. 500Francs la soirée et ouvert toute la nuit + une coupe de champagne. Que des
couples d'environ 55-65, décontractés et gentils. Musique douce , tout le monde danse des
slows; on échange notre partenaire pour faire connaissance. Et on jase plus spécialement avec
un couple de Corse qui nous attire. Je me souviens encore de l'apparente jalousie du monsieur :
sur le divan moelleux pour quatre,aussitôt que je donnais un tibec à sa dame, il me regardait
avec son regard noir ajactio (nuance de noir). On s'est aperçus que monsieur voulait des choses
mais que lui ne voulait pas pour sa dame. OK pas de problème; ma copine s'est occupée de sa
queue pendant que nous deux on regardait. Tout le monde a été contents. Faut pas forcer, des
fois c'est QUE l'homme qui a le fantasme et pas la dame, faut donc s'adapter. Il est possible que
la dame ne veuille que du romantisme, ce qui la change déjà de sa routine ; des baisers donc
beaucoup, des caresses dans le cou et se coller avec la danse. Je t'ai racontée hier, pour les
trous dans le mur des chambres ...comme en France. J'ajoute que ces trous sont de la grosseur
de ta tête, tu n'as pas besoin de tes lunettes de lecture.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : décembre 24, 2016  07:24

                   *** Le pot n'est plus ce qu'il était ***
Stéphane Laporte Collaboration spéciale Journal 'La Presse' 17 déc. 2016
En 1967, fumer du pot(marijuana) était un geste révolutionnaire. Les hippies l'achetaient en
cachette, comme on prépare un soulèvement. L'identité des vendeurs était secrète. On se
donnait rendez-vous, à la façon des espions. Mercredi à 20 h, devant le métro, je porterai un
poncho.
Des clients de l'une des boutiques de la chaîne Cannabis Culture - qui a ouvert jeudi huit
succursales à Montréal - achètent de la marijuana.
Durant la transaction, l'acheteur avait le coeur qui battait fort. L'excitation de faire quelque chose
de défendu s'emparait de son corps. On dissimulait la marchandise au plus profond de son sac à
dos. Et chaque fois qu'on croisait un policier, on se disait : «?S'il savait... S'il savait...?». On se
sentait despérado. Un hors-la-loi, un anticonformiste, un rebelle. On allumait son pétard en
faisant un pied de nez à la société. Je quitte votre monde corrompu. À moi les vapeurs d'un
monde meilleur. En entonnant du Harmonium : «?Pour un instant, j'ai respiré très fort... Hee !
Haw !?»
Presque 50 ans plus tard, jeudi dernier à Montréal, des gens faisaient la queue devant la
boutique Cannabis Culture pour aller s'acheter du pot. Comme on fait la queue devant la
boutique Apple pour s'acheter un iPhone. Au vu et au su de tout le monde. Ça ne peut pas être
plus au grand jour que ça. Il y a même des caméras. Personne ne se cache le visage. Pas de
pixels ajoutés sur les yeux au montage :
«?Que faites-vous là ?
- Ben, j'm'en viens acheter du pot, c'est une boutique de pot.?»
À l'intérieur, le vendeur fume un gros batte, question de montrer son produit. Le pot est toujours
illégal, au Canada, mais ça ne paraît pas. Où est la police ? Semblerait que la police fait une
enquête. On était plus expéditif dans le temps. Quand on pognait quelqu'un avec du pot dans sa
petite poche, on l'embarquait illico. Envoye au poste, le gros ! Là, y'a une boutique remplie de
pot, mais faut enquêter. On doit être trop occupé à écouter les conversations des journalistes.
Finalement, hier en fin de journée, Marc Emery, le «?prince du pot?», propriétaire des boutiques
Cannabis Culture, a été arrêté. Mission accomplie. Son coup de pub est réussi. Parce que ce
n'est qu'une question de temps avant que le pot s'achète librement dans tout le pays. Plus
besoin de connaître un ami qui a un ami qui connaît quelqu'un qui en vend. Bientôt, ça va être
aussi facile de s'acheter de la mari que de s'acheter de la Molson.
Et le mythe du pot s'envolera en fumée. On pourrait croire que c'est la victoire des hippies. Après
tout, ils luttent pour la légalisation de la marijuana depuis des décennies. Mais cette victoire
cache une défaite. La défaite du rêve qui venait avec.
Fumer du pot, c'était refuser le monde straight. Aujourd'hui, c'est le monde straight qui fume du
pot.
Vous me direz que pour les affranchis, il reste encore les drogues dures qui sont toujours
illégales. Mais ça n'a rien à voir. Si le pot avait un cachet poético-idéaliste, c'est justement parce
que c'était une drogue douce. Peace and Love. Maintenant, on fume du pot comme on boit sa
caisse de 12, pas pour inventer un nouveau monde, mais pour endurer ce monde pourri. Ce
n'est plus la pipe de la paix. Ce ne sont plus les feuilles du rassemblement. La substance a été
récupérée. C'est le joint de l'isolement.
Il y a 50 ans, les gens sérieux fumaient leur Export A en public, et les tripeux se cachaient pour
fumer leur pot. Maintenant, c'est l'inverse. Le fumeur de cigarettes est chassé de la ville avec du
goudron et des plumes. Et le fumeux de pot est le bienvenu avec fanfares et trompettes. En
roulant son joint, il fait rouler l'économie. Le monde ne change pas. Le monde fait juste changer
les choses de place. Comme on redécore son salon, en mettant le divan où était la lampe et la
lampe où était le divan. On a l'impression d'être ailleurs. Un court instant.
Bref, en 1967, les gens qui fumaient du pot voulaient changer le système. Et en 2017, c'est le
système qui vendra du pot à ceux qui en fument. On a réussi à libérer la substance, mais pas la
personne qui la respire. C'est toujours ainsi.
Cela dit, est-ce une bonne affaire de décriminaliser la drogue qui rend les yeux rouges comme le
parti de Justin ? C'est sûr que la marijuana peut nuire à des gens fragiles. Les rendre dépressifs,
provoquer des crises. Comme l'alcool. Comme les médicaments. Comme toute chose qui
perturbe notre précaire équilibre. C'est l'effet recherché. Ne plus être comme on était avant.
L'espace d'un instant. Tout est toujours une question de dosage. De capacité à se retrouver.
Pour ne pas se perdre.
Les gens qui fument leur petit joint, tranquilles, en écoutant L'heptade remasterisé, ont le droit de
vivre ce moment-là en paix. Sans se sentir dans l'illégalité. Sans avoir besoin de négocier avec
des criminels pour se procurer l'herbe de leur détente. Il faudra, tout de même, encadrer cette
vente. Sensibiliser les gens aux excès. Apprendre aux gens à ne pas trop se geler la face,
comme on essaie d'apprendre aux gens à ne pas se rendre trop chaud. Sinon, on risque de se
retrouver avec une société de potheads.
Déjà qu'on trouve que les choses n'avancent pas, ce serait rien pour améliorer la situation. Le
seul avantage, c'est que ça ne nous dérangerait plus. Faudrait juste distribuer des pots de beurre
de peanut aux gens qui attendent aux urgences. Alerte aux munchies !
En attendant, la légalisation prochaine du pot a déjà changé les moeurs des partys de bureau du
temps des Fêtes. On ne s'embrasse plus sous le gui. On le fume.
Bon party de bureau, tout le monde, peu importe la substance sur laquelle vous le vivrez.
Et n'oubliez surtout pas : paix et amour. '

P.S. de Lecossais: j'avais 28 ans (1972), les cheveux longs et voulaient tout essayer (ce n'a pas
changé!). Je me rends donc au parc Laurier (St-Jean-sur-Richelieu) parce qu' on me dit que c'est
là que je peux en acheter. Un seul gars est là et c'est lui...pourtant pas difficile de l'arrêter ! Pour
10$ j'ai un petit sac d'herbe. Le party doit se faire le lendemain chez le peintre. On était sept , se
tenant par la main, on dansait en se passant la pipe. Pas peur des microbes dans ce temps-là.
Tout le monde rirait. Ma copine du temps ne voulant pas venir (peur de se faire arrêter par la
police), trois femmes et quatre hommes dont deux homosexuels (ils le sont toujours, ça ne
change pas contrairement à certaines idées qui voudraient, au contact de femmes, tâteraient de
la 'pelouse'). On danse, on rit à rien, un mot et on le rit, une phrase et on la rit fort. Quel bel
antidote contre la déprime, et toute la soirée. G. était là ,mon amie de toujours, même après 45
ans. R. est encore peintre et toujours amoureux des hommes. Non on ne revit rien, il me reste
des souvenirs et des amis hors normes. A 30 ans, un 24 juin, deux enfants , en voiture vers la
ville de Québec, mon fils assis à l'arrière me crie 'Arrête de fumer, je ne peux respirer'. Je
prends mon carton de cigarettes (7 paquets) et le lance par la fenêtre (on jetait tout n'importe où
dans ce temps-là) et je n'ai jamais refumé de ma vie. Jamais. Ainsi ,pour le pot, je ne mettrais
jamais, de nouveau, de la fumée dans mes poumons, ils sont précieux, je veux vivre longtemps
pour baiser avec des Dames de 60 et plus,, les poumons nets et les idées claires.
*Ce message a été édité le Dec 24, 2016 7:26 AM par Lecossais*




Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : décembre 26, 2016  06:52

          ***Pourquoi j'aime les Dames âgées ? ***
Je me posais cette question ce lendemain de Noël où j'ai dansé hier avec des Dames âgées.
J'ai voulu savoir , je me suis plongé en moi-même et je sais maintenant. D'abord, une Dame
âgée pour moi qui ai 73 ans c'est une Dame de mon âge, un peu plus jeune ou un peu plus
vieille, et sans limite même à 90 ans, j'en connais une de 92 que j'adore et que j'aime embrasser.
Je t'ai raconté déjà avoir ''chatté'' en visu avec une Dame de 78 ans qui se masturbait
sur ''skype'' avec moi. Je l'ai rencontrée et elle adorait se donner ce plaisir devant moi tout en
s'embrassant. Bon, voici pourquoi...et ça n'a pas de rapport avec ma mère que je n'ai jamais eu
envie de baiser même si encore ,je pense souvent à elle. Elle est morte à 89. J'étais en Floride.
Voilà : JE N'ESSAIE PAS D'ÊTRE BON. Avec une Dame âgée, je suis moi, juste moi qui ne
bande pas dur toujours, qui n'éjacule pas tout le temps, qui ai le cœur fragile. Mais ces Dames
m'aiment pour ce que je suis, un homme doux, gentil, qui aime faire plaisir, riche, fragile ,qui
pleure souvent devant un film...même en lisant un roman, qui pleure devant une belle phrase, qui
sait que la vie est courte, que les hommes meurent en général avant 80 ans. Non je ne vis
à ''cent à l'heure'', je me ménage, calmement, doucement et on va y arriver. Je profite du
moment présent, j'ai emmagasiné de nombreux souvenirs qui me font rire. J'aime la dame âgée
parce qu'elle est comme moi, peau douce et fragile, qui n'attend plus, elle prend. Je t'embrasse
aussi longtemps que tu vivras. Vis 2017 comme si c'était ta dernière, moi je le ferai. La sexualité
n'a pas d'âges, on le sait toutes maintenant.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : décembre 28, 2016  09:08

Comme tu sais je suis bisexuel et j'aime aussi, dans une moindre proportion que les Dames
âgées, les hommes âgés, ceux qui font attention à leur prostate, qui éjaculent à tous les 3-4
jours et qui ont besoin d'une caresse sur les fesses, l'anus et tout le paquet. On se rencontre des
fois au centre commercial le matin et on va voir nos queues sous le mur qui partage deux
toilettes. Au parc aussi l'été ou chez toi. Les hommes âgés qui ont gardé une sexualité active
(dans leur autre vie, ils ont été hétéros évidemment) , qui sont donc hétéros mais qui n'ont plus
de Dames avec eux, j'aime les rencontrer. On se fait plaisir, y a pas de gêne. Bienvenus.

ANNONCE : je lance ici une annonce à tous-toutes les amicaliennes des deux sexes qui ont
envie d'une rencontre AMICALE cet été entre le 1 juin et le 1 octobre 2017. Ce sera ma et votre
résolution pour la nouvelle année : une ou des rencontres VRAIES pour un café ou un repas au
restaurant (c'est moi qui invite) où que tu sois au Québec, hommes mariée ou seuls, Dames
mariées ou seules, on se rencontre. C'est une invitation. Tu m'écris à cette adresse :
(bruce1999@live.ca). Je ne mords pas et je dors toujours dans mon véhicule récréatif. Au
plaisir...Je t'aime comme tu sais. *****

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : janvier 6, 2017  09:34


***D'abord je veux remercier les dames qui vont m'accueillir , pour une journée ou quelques
jours, dans leur cour (pour dormir), pour un café ou un ou deux repas au restaurant à l'été qui
vient. Une Dame de Jonquière (Arvida) de 62 ans; une Dame de Grande-Rivière (Gaspésie) de
83 ans qui vit chez sa fille; une Dame de St-Jean-sur-Richelieu de 66 ans ; un couple de
Gatineau (Hull) où c'est l'homme qui m'a contacté; merci à vous ; on se fera un horaire au milieu
de mai. La porte est grande ouverte et sur 4 mois, il y a de la place pour beaucoup d'autres. On
s'en reparle...................
   
****L'os pénien est décrit comme l'os le plus diversifié qui existe : tels mammifère ou primate
l'ont, d'autres pas, et la longueur varie infiniment. L'homme, lui, n'en a pas.
    ******Pourquoi les hommes n'ont pas d'os dans le pénis?
Marie-Soleil Desautels Journal La Presse 14 déc. 2016.
La rapidité avec laquelle s'accouple l'homme et sa monogamie pourraient expliquer que celui-ci
n'ait pas de baculum, soit d'os dans le pénis, selon une étude qui retrace l'évolution de cet os.
Chez le singe, l'os pénien peut être aussi long qu'un doigt. Chez le morse, il mesure 60 cm. Et
l'homme?? Il l'a complètement perdu. De quoi intriguer plusieurs scientifiques, rapporte The
Guardian.
Le baculum est une merveille de l'évolution -pour ceux qui s'y intéressent?! L'os pénien est décrit
comme l'os le plus diversifié qui existe : tels mammifère ou primate l'ont, d'autres pas, et la
longueur varie infiniment.
Désirant démystifier ses secrets, des scientifiques ont retracé son évolution en étudiant son
apparence dans le règne animal. L'os pénien a évolué chez les mammifères il y a plus de 95
millions d'années. Il existait chez les premiers primates il y a 50 millions d'années. Puis, le
baculum a grossi chez certains animaux, diminué ou disparu chez d'autres.
Par exemple, l'os pénien du macaque à face rouge, un singe qui fait tout juste 10 kg, mesure
plus de 5 cm. C'est extrêmement long pour un singe de cette taille. Son baculum est même cinq
fois plus long que celui d'un cousin à peine plus lourd, le mangabey couronné?!
Christopher Opie, qui a conduit l'étude avec Matilda Brindel à l'University College London,
explique au Guardian que l'os pénien est plus long chez les mâles qui pratiquent « l'intromission
prolongée ». L'intromission prolongée, c'est lorsque la pénétration dure plus de trois minutes,
une stratégie qui aide le mâle à féconder la femelle tout en la gardant plus longtemps loin des
autres mâles en compétition.
L'os pénien, attaché au bout du pénis et non à sa base, offre le support structurel nécessaire aux
mâles qui pratiquent l'intromission prolongée.
Chez le chimpanzé, le baculum n'est pas plus long qu'un ongle humain. Et celui-ci s'exécute
d'ailleurs rapidement : l'accouplement ne dure que 7 secondes?! Dans les groupes de
chimpanzés, les femelles s'accouplent avec tous les mâles, dans ce qui paraît être une stratégie
pour éviter que leurs rejetons ne soient tués par les mâles plus âgés du groupe. « Chaque mâle
a ainsi l'impression qu'il pourrait avoir engendré la descendance, alors la femelle a intérêt que ça
se fasse vite », explique Christopher Opie, du département d'anthropologie.
L'homme pourrait avoir perdu son os pénien lorsque la monogamie est devenue la stratégie de
reproduction dominante à l'époque de l'Homo erectus, il y a quelque 1,9 million d'années, croient
les scientifiques. Dans une relation monogame, le mâle n'a pas besoin de pénétrer longtemps la
femelle puisqu'il y a peu de chance qu'un autre mâle lui saute dessus.
« On pense que c'est à ce moment que le baculum est disparu chez l'homme, vu que le type
d'accouplement a changé », explique Christopher Opie. « Ça a probablement été le dernier clou
dans le cercueil du baculum qui, déjà, déclinait. » La recherche a été publiée dans la revue
scientifique Proceedings of the Royal Society.
« Lorsqu'il y a moins de compétition entre mâles, le baculum est moins nécessaire, ajoute
Christopher Opie. Et malgré ce qu'on aimerait penser, on fait partie des espèces qui viennent
sous les 3 minutes où cet os devient pratique?! »
- D'après The Guardian

P.S. de Lecossais : à mon âge j'aimerais bien avoir l'os que les chiens ont pour qu'ils restent en
place dans le vagin plus longtemps...mais l'évolution a fait que l'homme l'a perdu sur un million
d'années à cause de sa MONOGAMIE et sa rapidité à baiser !! !! Wow...et moi qui suis
polygame. Misère, j'ai manqué le bateau de l'évolution. On peux-tu revenir en arrière ? et en plus
je suis lent dans les va-vient dans le vagin, tellement lent qu'un autre mâle pourrait venir me
distraire...mais j'aime ça les distractions ! Viens...

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : janvier 10, 2017  08:44

      ***Pour les hommes, l'immense plaisir de notre AN-US ***
Fini le temps où les hommes avaient peur de parler du plaisir de l'an-us pour ne pas passer pour
un homo. Aujourd'hui c'est plutôt une qualité ou un signe d'ouverture pour les hommes tellement
que, avant de me faire percer l'oreille pour y mettre mon diamant, j'ai demandé à la ''perceuse''
de quelle oreille les homos choisissaient. Elle m'a appris que c'est l'oreille droite. Je lui dis:''
Percez et posez la pierre à l'oreille droite. Ais-je eu des regards ''indiscrets'' depuis 6 ans ? Pas
tellement mais je sais aussitôt repérer les vrais machos dégueus qui me jettent un œil sévère.
Who care ? J'adore les mignons regards des Dames de mon âge qui me disent ''Toi tu oses ''.
--Merci Madame, tout le plaisir est pour moi. Revenons à notre sujet principal de l'anus. Le plaisir
a-n-al est à la mode chez les HÉTÉROS. Les hétéros ont découvert l'orgasme multiple qui ne
peut venir que de notre mignon petit trou. Bien entraîné, bien huilé, il nous procure d'immenses
plaisirs sans même toucher notre queue ...ou si peu ! Tout le plaisir est pour les hommes ici, et
des hommes de mon âge, c'est notre bonheur. On n'a pas peur de ''passer'' pour autre que ce
nous sommes, des hommes qui aimons les femmes et qui les aimons encore mais tellement
d'hommes qui préfèrent vivre seuls, alors pour nos détentes, occupons-nous de notre a-nus.
Au sauna pour hommes, tu rencontreras des hommes de ton âge, les après-midis, des hommes
qui ont été mariés, des hétéros comme 80% de la population mâle. On se fait plaisir et on
découvre des orgasmes différents et tellement meilleurs. Il se vend, pour 10$ un ''butt-plug'', un
plug an-al; insérer et le laisser en place tout en s'occupant de sa queue ou celle d'un autre ! Les
contractions amèneront l'orgasme. Orgasme de l'an-us, oui oui !Nous vivons une belle époque
où tous les tabous tombent si on est curieux. La vie est courte, profitons ...Je t'aime *****

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : janvier 11, 2017  09:05

(voir mon article précédent d'hier)
Tant que tu t'occuperas de ton an-us jeune homme, tu seras heureux. Faut prendre les moyens
et demander de l'aide. Dans n'importe quel 'salon-de-massage', demande à la dame ou au
masseur: 'massage de l'an-us please !'. Ce sont des spécialistes et tu auras, pour peut-être la
première fois de ta vie, des 'orgasmes-multiples'. Ne panique pas et laisses-toi aller. Et donne
un pourboire. Si c'est moi qui le donne, c'est gratuit.
ET quand tu en auras assez de la vie, voici un article intéressant pour toi, peu importe ton âge.
Au lieu de te jeter en bas d'un pont ou de prendre des pilules, demande la petite piqûre mortelle.
    ***Aide médicale à mourir : de plus en plus de demandes au Québec© Fournis par Radio
Canada ***
Un an après qu'on ait commencé à l'offrir, le nombre de demandes pour obtenir l'aide médicale à
mourir augmente constamment au Québec.
Un texte de Davide Gentile
Les données communiquées par 12 des 34 établissements de santé témoignent de hausses
majeures quand on compare les six premiers mois de l'application de la loi avec les six derniers
mois. Dans ces 12 centres, le nombre de demandes est passé de 134 à 247, une augmentation
de 84 %. Au CISSS de Laval, par exemple, le nombre de demandes a plus que doublé, passant
de 14 à 33 en six mois. En Mauricie, on est passé de 11 à 24 demandes.
Le nombre d'aides médicales à mourir administrées a aussi augmenté de 73 % dans les 12
centres dont nous avons pu obtenir les données.
Au cours des six premiers mois suivant l'entrée en vigueur de la loi, 166 personnes ont reçu
l'aide médicale à mourir .
Mais selon Brian Mishara, directeur du Centre de recherche sur le suicide et l'euthanasie de
l'UQAM, la hausse des six derniers mois n'a rien d'étonnant. « Dans presque tous les pays où
l'euthanasie est instaurée, on constate des augmentations dans les années suivantes », dit-il.
La hausse devrait donc se poursuivre et le spécialiste ne pense pas qu'on atteindra bientôt un
plafond. « Ailleurs, même les gens qui ne sont pas mourants finissent par demander d'avoir
accès à l'euthanasie », affirme le chercheur, qui donne l'exemple ***des Pays-Bas, où l'on
prépare une loi qui permettrait à toute personne de 65 ans et plus d'obtenir l'aide médicale à
mourir, même si elle n'est pas malade ***. « Si la personne est fatiguée de la vie, elle pourra faire
une demande d'euthanasie », relate M. Mishara.
La hausse s'expliquerait aussi par une acceptabilité accrue chez les médecins. « J'ai vu
plusieurs docteurs passer par-dessus leurs appréhensions initiales », explique une sommité du
secteur qui a voulu garder l'anonymat.

P.S. de Lecossais: n'est-ce pas une merveilleuse époque que nous vivons !! C'est À NOUS, à
TOI de décider de l'heure de ta mort. Comme d'habitude, c'est toujours la Hollande qui est en
avance sur tous les pays de la planète mais nous suivons de près au Québec et au Canada.
Donc à partir de 65 ans, c'est TOI QUI VAS DÉCIDER si tu veux continuer à vivre. Magnifique
hein la vie ! En attendant, occupons-nous de chose terre-à-terre ...comme de ton an-us...
Je jouis là !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
*Ce message a été édité le Jan 11, 2017 9:06 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : janvier 14, 2017  07:47

Message dans ma boîte postale ce samedi 14 d'une gentille Dame belge.
De : Maryannick
Sujet : Re : Salut jolie dame
Date : 13/01/2017
Heure : 15:50 PM
''Le sexe est une chose naturelle''

P.S. de Lecossais : cette Mary... me dit que le sexe est une chose naturelle. Y a longtemps
qu'une dame ne m'a pas dit quelques mots aussi simples et en même temps tellement vrais.
Pour elle et pour nous toutes, nous avons une sexualité (même les papes) et nous nous en
occupons. Oui c'est naturel en principe, mais il faut se toucher, se brosser les cheveux, se laver
le dos, entre les cuisses, se nettoyer les orteils, regarder tomber la pluie, dormir et rêver, sentir
sur ses lèvres le souffle de quelqu'un, goûter le sucré, mouillée, pleurer ses émotions, sentir sur
sa peau des frissons, avoir la chair de poule au froid, uriner, chier, déguster à petites bouchées
un chocolat noir, se souvenir de ses orgasmes : toutes ces actions de notre vie nous font se
sentir vivant, SONT NOTRE SEXUALITÉ. Notre sexualité est un tout, c'EST TOI dans ton
ensemble. Tu es vivante. Et ta sexualité se manifeste par une foule de différences entre
chacune: une c'est la jouissance avec une autre dame; une c'est seule devant un film érotique;
une c'est une lecture romantique; une c'est écouter une musique douce avec des tambours qui
accompagnent ses va-vient; une c'est flatter un pénis; peu importe, tant que tu seras vivante, tu
jouiras, c'est naturel , on peut et doit en parler pour savoir que tu n'es pas la seule, que toutes les
dames le font. Merci de ce témoignage Mary...

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : janvier 16, 2017  06:37

A toutes les Dames que j'adore, à toutes celles que je ne connais pas et que j'adore aussi :
          *** Et si on(les Dames) arrêtait de s’oublier en 2017? ***
   '''Simone de Beauvoir© Utilisé avec la permission de © Rogers Media Inc. 2017. Le 9 janvier,
c’est le jour de la naissance de Simone de Beauvoir, née en 1908. On lui doit une œuvre
colossale qui a marqué le 20e siècle et le mouvement féministe. Quelques médias ont souligné
sa naissance en partageant des citations marquantes et des vidéos synthétisant sa pensée et
son legs.
J’ai bien aimé celle-ci (en anglais), produite par BBC Radio 4. Elle illustre l’une des phrases les
plus célèbres de Simone de Beauvoir : « On ne naît pas femme, on le devient. » Tirée de son
essai Le deuxième sexe, paru en 1949, elle exprime la thèse d’une construction sociale du genre
féminin, d’un processus qui nous différencie et nous façonne dès l’enfance. Notre « vocation »
de femme nous est « impérieusement insufflée » par nos « éducateurs et la société ». On attend
des femmes qu’elles soient passives, coquettes et maternelles. C’est une judicieuse stratégie : si
les femmes s’échinent à se plier aux diktats de beauté et à élever la marmaille sans lever le ton,
la culture dominante masculine peut continuer à prospérer sans crainte. Cré patriarcat!
J’ai repensé à Simone cette semaine. En manque d’inspiration pour mes résolutions, j’ai publié
cette question avec une tournure militante sur mon profil Facebook.
Combat Marianne Praire :
Je ne m’y attendais pas du tout, mais j’ai reçu une avalanche de réponses. À ma grande
surprise, presque toutes les réponses évoquaient un combat intérieur, avec et pour soi. Arrêter
de fumer, s’aimer plus, lâcher prise… À travers la diversité apparente des témoignages, j’ai
toutefois dénoté une tendance lourde chez mes amies : voici leurs priorités :
Me mettre no 1 sur la liste des priorités
Me faire passer en premier des fois
Penser à moi avant tous les autres et tout le reste
Accepter ''des fois'' que je sois une priorité
Penser à moi, à mon bonheur, puis celui des autres
Ces femmes sont dans la vingtaine et la trentaine, même soixantaine, certaines sont mères,
d’autres pas. Elles ont pris la décision consciente de ne plus s’oublier, s’effacer, se plier devant
les besoins et les attentes des autres. Elles sont insatisfaites, débordées et confuses, souvent
après des années à s’adapter aux exigences et aux normes de la vie familiale, amoureuse,
professionnelle ou sociale. Elles souhaitent, de façon tout à fait raisonnable et modérée (notons
le réaliste « des fois »), gagner en indépendance et en importance.
J’ai eu moi-même cette réflexion plusieurs fois depuis l’adolescence. De façon cyclique, je
craque et je dois me rappeler que je n’ai pas à vivre en fonction des autres, mais avec les autres.
Avec le temps, je me débarrasse tranquillement de l’inconfort qui vient avec l’affirmation de mes
besoins et je les cerne mieux. Je comprends aussi qu’il y a une différence entre égoïsme et
prendre soin de soi, s’écouter et se prioriser.
Tout ça, je l’ai appris sur le tas. Ou peut-être devrais-je dire que je l’ai désappris sur le tas. Je
dois démontrer des efforts soutenus et faire preuve de vigilance pour ne pas glisser dans mon
rôle de soutien sous le poids de ma charge mentale. Car comme mes amies, je sens que c’est
un combat. Une lutte perpétuelle contre un adversaire si bien intégré qu’on le croit en soi. Ma
collègue Aurélie Lanctôt écrivait justement ceci avant les fêtes : « On nous bassine sans arrêt
avec des conseils « santé-bien-être », remettant sur nos épaules la responsabilité de notre
épuisement physique et moral, mais jamais on ne critique ce qui le conditionne. »
Elle est là Simone. Dans cette idée de conditionnement, dans ce sexe toujours bon deuxième
même si l’écart avec la position de tête a beaucoup rétréci depuis 1949. C’est encore et toujours
de cette inégalité et de ce rôle aliénant que naît la réflexion des femmes dont il est question ici. «
Je dois me faire passer en premier » est une revendication au même titre que l’égalité salariale
et le droit de vote, à la différence qu’il s’agit d’un combat invisible et intime.
Pour écrire à Marianne Prairie: chatelaine@marianneprairie.com

P.S. de Lecossais : étant ''femme'' mentalement avec un pénis, un anus et une prostate, je suis
de tout cœur avec cet article, avec ces dames que j'aimerais bien aider à se débarrasser de
certains carcans qu'elles se tissent elles-mêmes dans une évolution humaine qui ne les a pas
favorisée. Faut continuer, aider, employer le ''féminin '' dans l'écriture (le féminin l'emporte sur le
masculin en orthographe), penser ''femme'' nous les hommes, et les embrasser le plus souvent
possible. C'est grâce à Elles si nous sommes au monde.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : janvier 18, 2017  06:48


            *** Ah...les dames bien mûres ! ***
J'ai 58 ans . J'ai une vie très active sur le plan professionnel et aussi sur le plan sexuel. J'ai
connu un grand nombre de Dames de tous âges, et actuellement, bien que vivant en
concubinage avec une femme qui me satisfait pleinement, j'ai toujours mon jardin secret, et il se
passe peu de jours sans que je ne m'évade par moments dans de délicieuses rêveries érotiques
en me masturbant sur des faits réels ou imaginaires. A ce titre, le site de ''Revebebe'' est ma
petite caverne aux trésors. Un immense bravo à celles et ceux qui contribuent à son superbe
fonctionnement.
J'ai cependant toujours eu un petit faible pour les femmes plus âgées que moi, ceci étant sans
doute dû à mon initiation (délicieuse) par une femme dans la quarantaine alors que j'étais très
jeune. Je regrette donc que peu de personnes, hommes ou femmes ne parlent du troisième âge
et de la vie sexuelle très intense qui peut encore exister dans cette phase de la vie. Oui, vous
surtout, mesdames, qui me lisez, j'en suis sûr, n'ayez crainte de vous dévoiler. Et si le sexe (et le
reste) vous en dit, vous avez mon adresse email, je correspondrai volontiers avec vous.
L'érotisme n'est pas forcément lié à la beauté physique. Je vais donc vous raconter une histoire
tout à fait réelle qui m'est arrivée cet été :
Dans notre immeuble administratif, il y a sous les combles un petit local fermé qui me sert à
l'archivage de certains dossiers volumineux. Il m'arrive donc très souvent de m'y rendre pour
rechercher tel ou tel document, et je suis seul à en posséder la clé.
Par la petite mansarde située au-dessus de mon bureau, j'aperçois l'immeuble situé de l'autre
côté de la rue, soit à une vingtaine de mètres au plus. C'est également un ancien immeuble
rénové en bureaux, mais le dernier étage a été aménagé en appartements et l'une des fenêtres
donne exactement en face de ma mansarde, un peu en contrebas, me donnant une vue
complète et un peu plongeante sur la pièce. Longtemps inoccupé, l'appartement en question est
maintenant habité par une dame d'environ 70 ans vivant seule. C'est une dame fort
honorablement connue dans notre petite ville de l'Est de la France, veuve d'un ancien maire. Elle
est encore très élégante, blonde, toujours bien vêtue et coiffée. Plusieurs fois, au cours de l'été,
alors qu'elle laissait le fenêtre entrouverte, je voyais que celle-ci donnait sur sa chambre à
coucher, et en enfilade, je voyais encore la baignoire de sa salle de bains. Elle ne se doutait
absolument pas que l'on pouvait l'observer de l'extérieur, mais cependant, elle refermait sa
fenêtre et tirait ses voilages dès qu'elle y pénétrait. La nuit, elle tirait de lourds rideaux qui
empêchaient toute vision de sa chambre.
Une fois , cependant, j'avais pu la surprendre en tenue légère, slip et soutien-gorge alors qu'elle
ne faisait que se rechanger ou traverser la pièce. Inutile de dire qu'elle m'avait mis dans tous
mes états et que cette vision, même fugitive, avait provoqué en moi une vive excitation. Dès ce
jour, j'ai pris dans mon bureau une puissante paire de jumelles et un petit trépied qui me
permettait, en cas d'alerte de la visionner discrètement. Je l'ai surprise ainsi plusieurs fois le
matin, alors qu'elle aérait et faisait sa chambre. Aux beaux jours, elle laissait tout grand ouvert, et
allait et venait en robe de chambre en flanelle bleue claire. Par moments, lorsqu'elle se baissait
en passant son aspirateur, je voyais par l'entrebâillement de sa robe de chambre qu'elle était nue
en dessous, et le grossissement de mes jumelles me permettait parfois d'entrevoir furtivement
ses seins, qu'elle avait très généreux, et ma foi encore de belle prestance. Je baissais alors mon
pantalon et mon slip et je passais de longues minutes à l'observer ainsi tout en me masturbant,
assis dans mon fauteuil de bureau, bien enfermé à double tour. Quelques fois même j'ai eu le
plaisir intense de la voir par la porte à peine entrouverte de sa salle de bains alors qu'elle se
prélassait dans sa baignoire. Je ne pouvais voir ses mains, mais je suis sûr qu'une fois ou l'autre,
alors que sa tête reposait très en arrière sur un linge sur le bord de sa baignoire, elle se
caressait. Je voyais son beau visage comme si elle était à quelques mètres de moi, et ses yeux
fermés et ses traits un peu crispés me montraient sa jouissance. A sa sortie du bain, je pouvais
aussi apercevoir brièvement un sein, ou un bras ou une cuisse lorsqu'elle se séchait. Que de
longues giclées de mon sperme ont accompagné ces instants !
Un après-midi d'été, alors qu'il faisait une chaleur orageuse et étouffante, je la vis arriver et tirer
les voilages sans refermer sa fenêtre. La chambre était très assombrie par le temps orageux et
je ne distinguais plus rien, lorsque je vis avec surprise s'allumer sa lampe de chevet. Mes
jumelles mises en batterie, je pus alors bien distinguer l'intérieur de la chambre dans la
pénombre, à travers le tissu des voilages. Madame P. était dans un angle de sa chambre et
commença par déboutonner et enlever sa robe, puis après un petit passage à la salle de bains,
elle revint et s'étendit sur son lit, couchée sur le côté, face à moi, en petit slip et soutien-gorge en
dentelle noirs. Quant à moi, mon pantalon était déjà à terre et longuement je faisais aller et venir
la paume de ma main sur ma queue déjà décalottée et bien raide. Elle ouvrit un petit cornet
qu'elle avait jeté sur le lit et en sortit une petite revue dont le format me fit immédiatement penser
à ces magazines de lettres érotiques en vente dans les kiosques. Enfin, j'allais pouvoir la
contempler dans son plaisir solitaire.
Tout en lisant, elle frottait très lentement ses cuisses l'une contre l'autre, puis sa main droite
commença lentement de caresser ses seins à travers le tissu . Bientôt, elle fit sortir un sein par
dessus le dentelle, le prit entre son pouce et son index et le malaxa tendrement. Ses cuisses
s'entrouvraient déjà plus largement et elle faisait des petits mouvements en ciseau d'une grâce
exquise. Je devais fortement me retenir de juter, mais quelques gouttes perlaient déjà de ma
queue. Elle reposa le livre, et se penchant en arrière, elle décrocha son soutien et le déposa au
pied du lit. J'étais fou de voir ainsi ses seins lourds et pendants, aux gros bouts érigés et aux
larges aréoles sombres. Elle les prenait à tour de rôle dans sa paume et les pressait. Je
contemplais tout ceci à bout portant, et il me semblait être suffisamment près pour les toucher.
Je contemplais aussi son beau visage un peu austère, crispé par le plaisir, sa bouche
entrouverte, où par moments elle faisait pointer sa langue pour se lécher les lèvres. Puis sa main
descendit et passant sous l'élastique de sa culotte qu'elle abaissa un peu, elle se mit à
s'enfoncer entre ses lèvres d'amour, que je commençais à deviner dans une belle touffe de poils
clairs. Je me mis à juter très fort dans le kleenex dont j'avais déjà entouré ma main, mais je
bandais encore toujours aussi dur, devant la puissance du spectacle qu'elle me donnait.
Elle écartait ses cuisses, mais sa culotte la gênait vraiment trop. Elle l'abaissa jusqu'à ses pieds
et la laissa entortillée autour d'une cheville, ne prenant même pas le temps de l'enlever
complètement. Après quelques minutes de lecture, n'en pouvant plus, elle laissa tomber son livre
à terre, et se couchant sur le dos en travers du lit, elle se fourragea d'une main, tandis que l'autre
allait et venait sur ses seins et sur son ventre. Elle avait maintenant les cuisses tout écartées et
je pouvais voir sa vulve complètement trempée et ouverte. Elle entrait fortement et brutalement
deux doigts dans sa chatte, puis ressortait et venait titiller son gros bouton érigé et luisant, puis
elle replongeait. Enfin, elle se retourna, se mit à quatre pattes, faisant frotter ses gros seins
ballottant sur les draps, les fesses haut cambrées, comme offerte en levrette, se branlant comme
une folle d'une main. Tout son corps luisait de sueur, et le grossissement de mes jumelles me
permettait même de voir les traces des gouttes sur ses hanches. Ne me manquaient que ses cris
que je pouvais deviner par les mouvements de ses lèvres, et hélas son odeur de cyprine que je
ne pouvais qu'imaginer. Elle se tendit soudain comme un arc et jouit longuement, sa main
bloquée entre ses cuisses tétanisées, puis retomba brusquement à plat ventre, le visage crispé
tourné contre moi, les yeux fermés, toute essoufflée.
Une seconde fois, je jouis moi aussi, envoyant de longues giclées de sperme. Après quelques
minutes, son visage redevenu détendu mais encore en extase, je la vis tendre le bras et éteindre
la lampe de chevet, replongeant la chambre dans la pénombre, et ne me permettant plus d'y
distinguer quoi que ce soit. Je dus aller au lavabo et me rincer le visage à l'eau froide tant cette
scène m'avait bouleversé. Dès ce jour, je la vis avec d'autres yeux, et malgré son âge
relativement avancé, je la trouvais belle et désirable. Lorsque je la croisais et la saluais dans la
rue, j'étais saisi d'une forte érection que je calmais dès que je pouvais m'isoler dans les toilettes
d'un café ou d'un jardin public, dans ma voiture, même. Elle me répondait toujours avec son air
un peu distant, pour ne pas dire
hautain (Ah, ma belle dame, si vous saviez que je sais les douces turpitudes qui vous taraudent
parfois...).
Je me suis branlé des dizaines de fois en me remémorant cette dame. Pendant plusieurs
semaines, je ne pus plus rien voir d'autre que ses scènes de nettoyage, et la clarté du temps
d'été ne lui faisait plus allumer sa lampe de chevet si elle voulait se faire des gâteries durant
l'après-midi. Je ne pouvais donc qu'imaginer...la suite.

P.S. de Lecossais : pour lire d'autres histoires érotiques, consulte les sites ''Revebebe'' et
Xstory''.Merci d'être là dans tes draps te faisant jouir...ou avec tes jumelles. M'as-tu vu ? je t'ai
fait un spectacle !....

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : janvier 19, 2017  07:23


                                           ***LA VIEILLE DAME INDIGNE ***
En 1963, alors que je suis représentant en produits chimiques à Paris, je couvre la rive gauche
de la Seine et une partie de la banlieue Nord et Est et j’ai beaucoup de temps libre. Des femmes
d’un certain âge cherchent l’aventure dans ces bois (Boulogne et Vincennes) assez bien
fréquentés dans la journée à cette époque. Je repère quelques « vieilles », entre soixante et
soixante-dix ans, qui pour beaucoup sont presque repoussantes pour mes quarante-neuf ans.
Pourtant je suis attiré par certaines qui ont beaucoup d’allure et qui portent des vêtements chics
avec bas et escarpins.
Un jour que je suis assis sur un banc et que je lis un bouquin, une femme accusant une bonne
soixantaine vient s’asseoir à côté de moi ; je n’ai pas trop envie d’entamer la conversation, vu
son âge, mais c’est elle qui m’aborde en me parlant des voyeurs qu’il y a dans le bois lorsqu’une
dame comme elle veut soulager une envie trop pressante. Elle me demande s’il ne me paraît
pas inconvenant de l’accompagner afin qu’elle se sente en sécurité. Demandé comme cela, je
peux difficilement lui refuser et je commence à m’intéresser à sa personne. Elle n’est pas très
grande, un peu enveloppée avec une grosse poitrine qui éclate sous son tailleur bleu marine de
bonne coupe. Elle porte des trotteurs à talons moyen surmontés d’une paire de bas à coutures
(nous sommes en 1963) ; elle a de l’allure malgré son âge avancé. Son visage, un peu maquillé
avec des lèvres d’un rouge agressif est surmonté d’une coiffure ondulée poivre et sel d’un joli
effet ; C’est une femme distinguée qui veut se payer un petit jeune, mais je ne suis pas contre
car soudain, il me vient une furieuse envie de la baiser. Elle m’entraîne par un petit sentier où
des fourrés épais bordent le chemin et elle s’abrite derrière un bosquet pour soulager sa vessie ;
tendant l’oreille, j’entends le ruissèlement de son urine qui se déverse sur le sol meuble et je
sens ma bite triquer dans mon pantalon. Lorsqu’elle revient, elle s’approche de moi en
examinant mon entrejambe et arrivant presque à me toucher, tout en empoignant ma verge
d’une main au travers du tissu de mon pantalon, elle m’embrasse carrément en me disant
aussitôt :
- C’est moi qui vous fais de l’effet jeune homme ?
Je ne réponds pas, interloqué par son audace ; habituellement c’est l’homme qui se comporte
ainsi à cette époque, jamais cela ne m’est arrivé de me faire draguer par une femme, de son âge
de surcroit. L’enlaçant, j'ai senti sa langue pointer tout en la pelotant sur ses seins et sur ses
fesses. Elle se laisse faire, même lorsque je lui sors une grosse mamelle de son corsage et que
je tête le bourgeon turgescent qui sort de son mamelon. Puis elle s’inquiète de savoir si j’ai un
véhicule garé à proximité et me demande si je veux bien que nous nous y enfermions. Ma
voiture est dans une allée à quelques pas et sitôt installée dans l’habitacle, elle me dégrafe les
boutons de ma braguette, sort mon pénis de sa cachette et l’embouche aussitôt, entamant ainsi
une turlute inoubliable. Lorsqu’elle a recraché le trop plein de sperme dans son mouchoir, elle
me laisse la masturber, ayant relevé sa jupe pour être plus à l’aise.
Puis elle me demande si je veux bien venir chez elle pour que nous fassions l’amour dans un
cadre plus confortable. J’acquiesce, sans savoir où cette dame respectable va m’emmener. Je
bande à nouveau en arrivant à l’appartement et j’ai une furieuse envie de tringler cette
douairière, aussi je ne perds pas de temps et je me déshabille en un tour de main une fois que
nous sommes dans la chambre maritale. Marthe, puisque c’est son prénom, retire son corsage
et sa jupe, mais n’enlève pas son soutien-gorge ni sa gaine porte-jarretelles ; tout juste retire-t-
elle sa culotte qui est d’une bonne taille. Je ne me suis pas trompé, elle a des mamelles
impressionnantes et un très gros cul avec apparemment un bon petit ventre sous la gaine qu’elle
n’a pas voulu retirée. Je m’en fous, je l’entraîne sur le lit en la bécotant. Aussi, retroussant sa
gaine je fourre ma tête entre ses cuisses grosses comme des jambons et je sors ma langue pour
astiquer son minou. D’abord je découvre une vulve entièrement fermée avec un très léger duvet
gris qui la surmonte, puis j’ai beaucoup de mal à introduire ma langue dans la fente très serrée
du vagin comme celui d’une jeune vierge. Je glisse laborieusement un doigt dans la gaine
vaginale tout en suçotant son minuscule clitoris.
Marthe pousse des soupirs et distille un murmure de gémissements continus à ma stimulation
linguale et au doigté que je lui administre. Peu après, elle me confie que son mari ne l’a jamais
caressé de la sorte et qu’elle n’a jamais connu aucun amant qui le lui a proposé . Marthe
éprouve plusieurs orgasmes avant que je vienne la prendre dans mes bras pour l’embrasser.
Elle me remercie de lui avoir fait connaître « la petite mort », masturbant mon sexe avec vigueur
en me demandant de l’enfiler derechef. Enfin, elle me le demande avec des mots plus choisis.
En entrant mon vit dans le minuscule sexe de ma vieille dame indigne, je me rends compte qu’il
ne doit pas être plus large que celui d’une petite fille à peine pubère ; je glisse difficilement dans
une gaine qui enserre étroitement mon membre, plongé dans un magma brûlant qui doit être de
la cyprine chauffée à blanc. Jamais, même avec mes partenaires les plus jeunes, ma verge n’est
entrée dans un sexe aussi étroit et cette femme a plus de soixante ans !
Après nous être expliqué plus tard, Marthe suppose que n’ayant jamais eu d’enfants et ayant fait
très peu l’amour avec son mari durant plus de trente-cinq ans de mariage, son sexe ne s’est pas
développé, même avec les quelques amants de passage qu’elle a depuis environ cinq ans.
Lorsqu’épuisé, je lâche mon sperme dans le con brûlant, je m’écroule entre les gros lolos de ma
partenaire qui n’en peut plus non plus. Elle me glisse à l’oreille que personne ne l’a baisé ainsi,
que je l’ai complètement anéanti et que si je veux bien, elle va appeler une de ses amies à la
rescousse pour continuer cette cavale.
Ce n’est plus une vieille dame indigne mais une sexagénaire partouzeuse – je m’empresse de
répondre que je n’y vois pas d’inconvénient, que plus on est de fous, plus on rigole et pendant
que Marthe téléphone à son amie, je vais dans la salle de bains pour me refaire une beauté (je
plaisante bien sûr). Il ne se passe pas un quart d’heure que l’on sonne à la porte. Marthe a
passé un déshabillé pour aller ouvrir et moi, installé au salon dans un profond canapé, je reste
nu ; inutile de se revêtir puisque la femme qui sonne à la porte d’entrée vient pour se faire baiser.
Lorsque la porte s’ouvre, je découvre une femme juchée sur de hauts talons, magnifique blonde
à la chevelure permanentée, paraissant avoir une quarantaine d’années (plus tard, j’apprendrai
qu’elle en a plus de soixante-dix). Elle enlève son manteau de fourrure, apparaissant dans un
fourreau noir en satin, mettant ses formes en valeur. De petits seins pointent sous en joli
décolleté en carré et son derrière est très affriolant ; ce qui ne gâte rien ce sont ses jambes
galbées à souhait. Les deux femmes m’observent pendant que je détaille celle qui vient se faire
baiser par un jeune (je n’ai pas encore cinquante-cinq). Marthe prend alors la parole.
- Je te présente Laure. Je vous laisse faire connaissance pendant que je vais chercher quelques
rafraichissements.
Laure s’approche de moi à me toucher et m’entourant de ses bras elle m’embrasse sur la
bouche, se collant à moi. Je sens son parfum, le N°5 de Chanel, qui envahit mes papilles et mon
odorat, alors que ma queue vient de se mettre au garde à vous et cogne contre son ventre
presque emboîté dans le mien. Je retrousse sa robe au tissu très fin pour que mon vit se loge
entre ses cuisses. Elle les disjoint me laissant écarter sa culotte et fourrager dans une fourrure
abondante. Elle n’a pas lâché mes lèvres et m’embrasse de plus en plus goulûment. Sans coup
férir je l’embroche et m’enfonce dans une caverne onctueuse et brûlante, lui arrachant un
gémissement de contentement. Je relève ses jambes pour qu’elles m’enserrent la taille et je la
besogne ainsi, encore habillée. Je prends un pied terrible à besogner cette douairière qui a une
classe étonnante. Lorsque Marthe revient avec les boissons, elle nous trouve en train de coïter
furieusement.
- Eh ! Bien, vous ne perdez pas de temps tous les deux. Ma chère Laure, ton cavalier t’as piqué
debout sans te déshabiller et tu te laisses baiser ainsi par ce soudard.
La belle Laure ne répond pas, toujours accroché à mes lèvres pour le haut et à mon pieu pour le
bas. Elle répond coup pour coup à mes coups de boutoir jusqu’à ce que je l’inonde de mon
foutre. Fatigué, j’admire le galbe parfait de ses jambes et de ses cuisses, jusqu’à son ventre à
peine bombé. Mon regard se fixe sur les chairs du vagin bien ouvert, d’une couleur vive orangé
presque sanguine qui, entouré d’une toison brune et fournie, atteste que c’est une fausse
blonde. Marthe nous sert du porto, certainement pour que nous puissions prolonger notre joute à
trois.
Enfin nous faisons quelques ablutions, car après avoir pris ma douche je l’aide à se déshabiller
et c’est toute nue que je la savonne sur tout le corps qui n’a pas un poil de graisse mais qui est
très bien proportionné. C’est vraiment une très belle femme et je n’en reviens pas, ayant appris
son âge qu’elle paraisse aussi jeune, entre quarante et quarante-cinq ans au plus. Alors qu’elle
en a plus de soixante-dix et je n’ose imaginer combien correspondent les plus. C’est ainsi que
nous rejoignons Marthe dans la chambre et sur son lit conjugal pour poursuivre nos ébats à trois.
J’ai grande envie de goûter à la chatte de la belle Laure, mais je ne veux pas vexer notre
hôtesse, aussi je leur demande ce qu’elles attendent de moi. Marthe me dit alors que puisque je
suis le mâle, c’est à moi de décider ; elles sont prêtes à faire tout ce que j’aie envie.
Je leur demande si elles sont amantes. Elles rougissent, comme des adolescentes et me disent
qu’elles l’ont fait seulement deux fois. Je rebondis là-dessus et leur demandent de s’aimer
devant moi ; que ce spectacle va m’exciter et me donner encore plus envie de les baiser. Je les
sens hésitantes, pas très à l’aise de se montrer en spectacle devant ce nouveau jeune amant.
Pourtant elles se décident à s’enlacer et à s’embrasser, emmêlant leurs jambes et se frottant
l’une contre l’autre. Je les caresse sur tous leurs membres, tâtant et pelotant les fesses
rebondies de mes deux hétaïres. J’écarte les cuisses de Laure et celles de Marthe et je caresse
leurs minous, puis je leur demande de se mettre tête-bêche pour se lécher chacune la chatte.
Elles se décident et approchent leurs visages de l’entrejambe de leur partenaire. Bien que
maladroites au début par la confusion qu’elles ressentent, elles lèchent les parties intimes de
chacune d’elles et bientôt ce ne sont que des gloussements de contentement qui sortent de leurs
gorges. J’écarte les deux globes et pointe ma langue vers la délicate rosace de l’œillet plissé du
cul de ma belle. Celle-ci, inquiète, a un brusque retrait lorsque ma langue lèche le tour de son
anus, mais la sensation ne doit pas être désagréable car elle se détend et me laisse parcourir
avec ma langue la raie culière recouverte d’une toison presque discontinue. Je suis certain que
mes deux donzelles n’ont jamais été sodomisées et je compte bien les déflorer, au moins une,
n’importe laquelle. Pour l’instant je les entends glousser et je m’aperçois qu’en sus de leurs
langues elles ont introduits leurs doigts dans le vagin de leur partenaire et qu’elles « se font du
bien ». J’en profite pour mettre un doigt enduit de salive contre l’œillet de ma belle Laure et tout
en tournant autour je l’enfonce progressivement à travers le sphincter qui m’enserre le doigt
fermement. Je laisse de la bave couler de ma bouche sur mon doigt pour faciliter l’introduction.
Laure ne proteste pas, très occupée à jouir de la langue de sa compagne et à la faire reluire.
J’en profite pour enfoncer mon doigt de quelques centimètres en perforant le sphincter,
arrachant à ma belle un petit cri étouffé. Je caresse son cul de ma main libre tout en ne
bougeant plus de l’autre. Puis progressivement, très lentement je m’enfonce dans le conduit
rectal, qui à ma grande surprise n’est pas sec mais onctueux. Je retire presque complètement
mon doigt puis je l’enfonce à nouveau, répétant l’opération de nombreuses fois. Laure ne
rétracte plus ses fesses à la poussée de mon doigt mais au contraire les projettent à chaque fois
que j’enfonce mon doigt . C’est certain, j’enculerai cette femme aujourd’hui ; elle a des
dispositions à la sodomie. Je vois le visage de Marthe qui gougnotte la vulve de son amie Laure ;
mais j’ai aussi mon vit qui se balance entre mes jambes et je l’approche de la bouche de mon
amante qui l’avale sans rechigner. Elle me pompe pendant que je coulisse mon doigt dans les
entrailles de Laure qui a l’air d’apprécier. Puis à ma grande surprise, Marthe de ses deux mains,
guide mon pénis vers la chatte de sa compagne et l’introduit à l’intérieur, me léchant les couilles
pour m’exciter encore plus. Je ne me fais pas prier, et abandonnant ma préparation à la
sodomisation, je prends Laure en levrette, m’enfonçant jusqu’à la garde dans son vagin en
attendant son cul. Elle feule lorsque j’atteints son utérus, la défonçant de toutes mes forces et la
pilonnant sans relâche, alors qu’elle gémit et crie sous mes coups de boutoir. Un peu épuisées
tout de même mes sexagénaires ; elles me demandent de souffler un peu et je m’installe entre
les deux femmes, leurs mains entourant ma bite bien molle et les miennes passant dans leur dos
pour tenir un sein de chacune dans mes mains. (par HDS VIEULOU)
? 12 avis des lecteurs et lectrices après lecture :
--Formidable
--magnifique nous sommes un couple de 70 75 elle suce aime avaler Epicuriens nous aimons
tout en amour mais quelle belle histoire une belle partie carré entre seniors c'est bon
-- Merveilleux , éclatez vous ,ECLATEZ VOUS LE CUL .Il n y a que ça de vrai , profité et faite
profiter les autres. LA VIE EST TROP COURTE
-- Moi j aime les dames d un certain ages , que du bonheur ,je suis un épicurien et j aimerai le
partage . BISOUS A VOUS MESDANES
-- je me souviens de la mère et de la fille, dans ces âges..... ce fut agréable, des amours
vraiment touchantes et douces ce que jamais je n'ai trouvé avec 2 femmes plus jeunes ! Plus
excitées et demanderesses que des plus jeunes !! Souvenirs qui me sont revenus en vous
lisant ..... bravo
-- Ingrédients excitants pour une histoire entre adultes !
--belle histoire, sans doute vraie, tout du moins possible.Les vieilles dames sont terriblement
excitantes
--moi j'ai 65 ans et il m'est arrivée de recevoir le fils d'une amie agé de 18 ans très timide,il
partait tous les matins de bonne heures et un matin me sentant seule je pris ma douche sans
fermer la porte et en sortant nue
je vis mon Julien qui avait mis mon slip sale avait sa bite a pleine main
et se branlait rouge de plaisir je me suis baissée et lui est pris sa belle queue pleine bouche a la
fin de la semaine je lui es offert mon cul!
-- Un récit parfait
--Superbe....du plaisir,rien que du plaisir !!!!
-- De belles coquines ces dames, j'adorerai en culbuter tendrement quelques unes !
Il n'y ap pas d'âge pour se faire du bien, c'est ce qu'on dit non ?

P.S. de Lecossais : tu connais mes préférences; j'adore les Dames âgées !! et j'aimerais bien
qu'elles écrivent leurs aventures. Ici, c'est bien écrit par un Français qui a du vocabulaire !! J'ai
aussi aimé les commentaires à la suite et l'effet que ce récit a sur les lectrices. ''Y a pas de mal à
se faire du bien !

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : janvier 21, 2017  06:51


               ***Pourquoi les femmes aiment-elles les hommes plus âgés ? ***
--Et non, ce n'est pas pour son portefeuille !
Certaines personnes répondront pour leur portefeuille bien garni. D’autres invoqueront la
fréquence et la qualité des rapports sexuels et d’autres encore diront que c’est la facilité. En
revanche, toutes celles qui sont attirées par les hommes plus mûrs clameront haut et fort toutes
les qualités et vertus de ces hommes. Ils sont plus « mûrs », pour ne pas dire moins bébés ou
moins bêtes ou encore plus gentlemen…
Un homme mûr, c’est quoi ?
Un homme moins jaloux, moins possessif et surtout plus responsable. Un vrai mec, quoi ! Un
homme plus serein, plus patient, plus en confiance du fait de son expérience et des épreuves
qu’il a enduré. Un homme qui sait bien traiter la femme généralement. Un homme qui fait moins
de caprices, même si ils en font toujours, un peu mûrs ou pas.
--La sécurité et la liberté.
Passé 55 ans, beaucoup de femmes vous diront qu’un homme idéal c’est un homme qui la
comprenne et sache relativiser. Un homme qui sache l’aimer, communiquer et la protéger et
surtout qui ne manque pas d’humour. Un homme qui n’accorde ou n’attache plus autant
d’importance aux détails insignifiants de la vie.
C’est dur, car les femmes ont l’impression qu’aujourd’hui les hommes n’agissent plus comme
des hommes. « Peut-être sommes-nous un peu castratrices », comme me dit Julien. Karine
avoue qu’elle a « toujours voulu vivre avec un homme libre et sécurisant ». Et surtout, elle a
toujours « voulu vivre dans les bras protecteurs d’un homme sachant la guider ».
--De vrais sentiments.
Dans les bras de ces hommes plus vieux entre 60 et 80 ans (humour !), les femmes se sentent
choyées, aimées. Il est vrai que les femmes (surtout les soixantenaires), ne trouvent pas auprès
des hommes de leurs âges ou un tout petit plus vieux, des hommes qui assurent toutes leurs
aspirations et espérances. Alors qu’un homme plus vieux a vécu et sait donc faire la part des
choses et prendre le recul nécessaire. À reconfirmer...
--Hélas, ce qui était tabou aujourd’hui tend à devenir un phénomène de société.
De plus, la grande tendance tend à s’intensifier et les femmes assument ce choix et surtout cette
affinité (elles 60 ans , lui 75 ans). Plus qu’un critère financier, c’est surtout la sérénité, la paix et
la maturité qu’elles trouvent chez ces hommes. Car même à 50 ans, les hommes restent de
grands enfants capricieux et doutent de leur choix et encore d’eux-mêmes. Ils n’ont pas encore
trouvé cette précieuse sérénité… que nous commençons à trouver nous les Dames à 60 ans.
Toujours en décalage, l’homme et la femme, n’est ce pas ?
Si il existe des hommes soixantenaires exceptionnels et matures, envoyez vos témoignages…
La rédaction a hâte de voir si ce ne sont pas des chimères…
--A mon avis, les hommes qui, dans la majorité des cas, quittent leur femme pour une plus jeune,
ne sont pas des hommes mûrs mais sont en régression. Les hommes mûrs, eux, ne paniquent
pas à l'idée de vieillir et font évoluer leur relation avec leur femme. L'amour se passe de
séduction. La séduction, dans un couple, n'intervient que pour donner le signal du désir sexuel.
C'est un jeu. En faire un critère de sélection est le signe d'une immaturité profonde.
--Oui à 70 ans, un homme plus sécurisant....financièrement!!!! C'est pour cela qu'il y en a de plus
en plus avec la crise économique! CQFD!
--Suis pas d'accord a 100% M. Overblog, chez nous en Afrique, c'est rare de trouver des femmes
qui préfèrent ces hommes âgés pour ces caractères mentionnés dans cet article, en général,
elles sont là pour du fric, la sécurité FINANCIÈRE et c'est tout. pour le plaisir sexuel, elles
fréquentent des jeunes hommes en cachette
--Cet article m'a fait pensé à la chanson de Linda Lemay "un homme de 50 ans". Les paroles
sont superbes
--C'est amusant ce genre d'enquête.. demandez à des femmes pourquoi elles apprécient les
hommes murs, elles vont répondre "parce que".. et c'est la seule vraie raison.. parce que..
il est vrai que pendant mes quarantes années de travail, j' ai pu constater que c' étaient les
hommes mariés qui étaient les plus sollicités par les jeunes filles !
Ne dit-on pas que les femmes sont plus vite matures, peut être ceci explique cela !

P.S. de Lecossais : J'ai trouvé les commentaires intéressants, vrais. Je vais te dire pourquoi les
dames âgées me préfèrent, moi un homme de 73 ans et toi mon jumeau sur le site. On est plus
prévenant comme un grand-père est plus attentif à ses petits-enfants qu'il l'était avec ses
enfants. On sait, nous, où l'enfant va se casser la gueule ! tout comme on sait ce que la dame
attend de nous. Oui on le sait. DE LA TENDRESSE mon ami. Ouvre-lui la porte, ta porte, porte
de beaux habits, sois soigné, bien peigné, sens bon, sois propre. Ongles coupés et souliers
vernis. La Dame de 70 ans veut revivre son adolescence qu'elle n'a pas eu à cause des gars
cons et malhabiles qui ne pensent qu'à éjaculer. Prends-lui la main, soutiens son bras, écoute-la
raconter ses bobos, embrasse-la dans le cou, sur ses lèvres avec le bout de la langue (non on
ne va pas au fond de la gorge!) et achète-lui un bon vibrateur rose ,électrique, pour quand tu ne
bandes pas. Donne-lui un massage au moins une fois par semaine: elle s'étend sur un lit haut
perché à ta hauteur et tu la frottes, tu la caresses avec une huile...partout partout. Tu lui écris sur
son ordi tous les jours, tu jases sur ''skype'' ou ''facetime'' et tu te mets à nu pour Elle.
Dis à toutes tes amies que tu les aimes et tu sauras maintenant et à jamais pourquoi elle te
préfère, toi , un homme âgé de 75 ans.

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