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  Famille : La sexualité n'a pas d'âges


Ce sujet fait partie de la famille La sexualité n'a pas d'âges. Cette famille est semi-privée. Vous pouvez lire le contenu de cette famille mais vous devez vous y inscrire pour échanger.



Auteur

Sujet : Opinions

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 22, 2018  07:10

                      *** ELLES PAIENT POUR DU SEXE ***
Silvia Galipeau Journal La Presse 21 juillet 18
Elles sont majeures, professionnelles, célibataires ou pas. Et pour toutes sortes de raisons, elles
ont décidé de payer pour des caresses, de la tendresse et du sexe. Bref, POUR JOUIR. Portrait
d'un phénomène tabou, méconnu et, surtout, sous-estimé.
          Pourquoi pas moi?
«Dans la vie, je donne, je donne. Là, c'est comme si je décidais non seulement de demander,
mais de m'offrir quelque chose à moi.»
Catherine * a 62 ans. Mariée depuis 30 ans, mère de deux enfants, elle vient de se payer
un «massage tantrique», ORGASMES INCLUS. Elle a trouvé son «masseur» érotique dans une
petite annonce sur internet.
Attablée dans un restaurant à déjeuner de la Rive-Sud, rouge comme une tomate, la coquette
confie qu'elle ne regrette rien. Au contraire. Elle compte même y retourner, pour
s'abandonner à nouveau à un total étranger. Revivre cet «abandon» sans «relation»: 'J'AVAIS
L'IMPRESSION D'ÊTRE EN VIE, ALLUMÉE !. Ça, ça me manque énormément...»
Parce qu'avec son mari, enchaîne-t-elle, ça n'a jamais été «ça». Une agression sexuelle à
l'adolescence lui aurait « jammé la machine », croit-elle. En 30 ans de vie commune avec le père
de ses enfants, le sexe avec lui ne l'a d'ailleurs jamais fait «triper». Le massage érotique? À cette
question, ses yeux se remplissent de larmes.
«C'est comme si j'avais été chercher quelque chose de vital. Mais c'est clair que si j'avais
tout ce dont j'ai besoin dans ma relation, je n'aurais pas besoin d'aller là...»
       Témoignages de clientes
Au fil du temps, nous avons néanmoins récolté quelques témoignages, qui ont été racontés dans
le cadre de la rubrique Derrière la porte. D'abord, il y a eu Jocelyne, une femme dans la
cinquantaine qui se payait une escorte (une femme cette fois), question d'assouvir
un «fantasme» et de ne pas «passer à côté de ça».
Puis, Hélène, jeune soixantaine, qui nous a raconté avoir eu recours à un «masseur», en
apprenant que son mari se payait des escortes à son insu. «Je voulais essayer ça, moi aussi: tu
payes, puis tu as du sexe.» Et finalement Sophie, 70 ans, rencontrée cet hiver: «À un point dans
ma vie, je me suis dit: that's it, j'engage un straight male escort.» Pourquoi? Parce qu'elle en a
les moyens, que les sites de rencontres sont énergivores, qu'elle n'a «jamais pogné» dans les
bars et que les jouets, ça manque de «chaleur», nous a-t-elle expliqué. Et puis parce qu'elle a
des besoins physiques à combler, surtout.
               L'avis de l'escorte
Maxime Durocher a 44 ans. Il est l'un des rares hommes à s'afficher ouvertement comme
escorte à Montréal.
    «C'est un service entre deux personnes consentantes.»
Sur son site, il offre aussi des «services» précis: «câlins», «intimité» ou «kink». Le tout suit
généralement une sortie ,resto ou autre... Qui sont ses clientes? Des femmes de 55 à 75 ans
avec de l'argent, pour la plupart des «régulières» avec un «besoin», dit-il. «Elles sont seules, ou
veulent S'OFFRIR UN CADEAU, explorer ou reprendre contact avec leur sexualité.»
   Et on va chercher une chaleur humaine.»
Et c'est aussi comment Catherine perçoit la chose. «J'ai payé pour aller chercher quelque chose
qui me manquait, conclut-elle. Parce que c'est un besoin vital. Oui, je le recommanderais. Parce
que c'est une façon sécuritaire et respectueuse d'obtenir quelque chose qui nous manque.»
               Ce que dit la loi
Cela dit, des femmes, criminalisées à titre de clientes, «on n'en a pas souvent», ajoute le
commandant, qui n'en a «personnellement» jamais vu. De son côté, l'escorte ou le «masseur»
n'est pas non plus ciblé. «Il y a immunité pour toute personne qui offre ses propres services ou
en fait la publicité, précise-t-il. Nous, ce sur quoi on enquête, c'est l'exploitation sexuelle.»
          Une clientèle méconnue
Le sujet est méconnu et le phénomène, sous-estimé. Pourtant, les femmes qui payent pour du
sexe existent, consomment et, de plus en plus, témoignent. Une chercheuse britannique a
enquêté. Entrevue.
D'après une collecte de données qui s'est étirée sur plusieurs années, le nombre de profils
d'escortes masculines en ligne au Royaume-Uni aurait explosé. De 2010 à 2015, il aurait triplé,
passant de 5000 à 15 000. «La clientèle est donc là!»
«Nous avons été socialisés culturellement à voir les hommes comme des prédateurs, proactifs
sexuellement, avec des moeurs plus légères. MAIS ¨CA COMMENCE À CHANGER.»
Tranquillement, la chercheuse dit voir apparaître une forme de «reconnaissance» du fait que les
femmes, elles aussi, peuvent être proactives en matière de plaisirs et de désirs. En témoigne,
notamment, l'apparition de boutiques érotiques ciblant directement les femmes, offrant des
jouets exclusivement voués au plaisir féminin, et ce, dans toutes les grandes artères du
pays. «Dans une société prude comme la nôtre [le Royaume-Uni], dit-elle, c'est un énorme
bouleversement.»
Évidemment, si cette clientèle existe, c'est qu'elle en a les moyens.
             Une culture de la consommation
Dans le cadre de ses recherches, Sarah Kingston a interrogé 12 «clientes». Qui sont-elles? Des
femmes «tout à fait ordinaires», souvent aisées, certaines s'offrant une escorte par année,
d'autres des services plus réguliers.
Ce qu'elles cherchent? De tout: certaines ne veulent que du sexe («c'est tout ce qu'elles
veulent»), d'autres cherchent une «boyfriend experience», ou encore un homme avec
des «attributs particuliers», ou pourquoi pas une «expérience éducative», en solo ou en couple.
Pourquoi ne vont-elles pas tout simplement dans un bar, ou sur un site de rencontre? Faute de
temps et d'énergie, résume la chercheuse, par souci de discrétion (si elles sont mariées), et puis
***parce que c'est tout simplement beaucoup plus simple et surtout plus sûr.
«Elles peuvent avoir ce qu'elles veulent, quand elles le veulent, dans un contexte délimité.»
Une «consommation» qui ressemble à bien des égards à celle des hommes, fait-elle d'ailleurs
valoir. «Hommes et femmes, nous vivons dans une culture très similaire: une culture de la
consommation. On cherche des trucs spécifiques, des gens précis, des relations particulières.»
Ce qui est particulier, c'est que les travailleurs du sexe (elle en a interrogé 38), eux, voient la
clientèle féminine comme plutôt différente («plus sensuelle, passionnée»). «C'est intéressant,
mais on peut se poser la question: est-ce une vraie différence ou une simple perception? Ou
alors, est-ce que les clientes ont été socialisées différemment pour agir ainsi? Ça mérite d'être
discuté.»
Encore une fois, ces femmes ne voudraient-elles pas une «vraie» relation? Certaines, en effet,
disent que oui. «Mais encore une fois: est-ce une attente dictée par notre socialisation? Peut-
être assiste-t-on au contraire à ***une évolution des attentes des femmes en relation?»
Quoi qu'il en soit, Sarah Kingston note que les femmes qu'elle a rencontrées se sentent
toutes «libérées, et surtout libres de faire ce qu'elles veulent», dit-elle. Comme les hommes?
Non: «Sans se conformer aux normes des hommes», nuance-t-elle.
L'avis de sexologues
             Trois sexologues ana-lysent pour nous le phénomène.
Renée Lanctôt, sexologue et coach sexuelle à Vancouver
            «Moi, je le recommande!»
«Définitivement», dit celle qui n'a pas peur de choquer. Parce qu'elles sont trop occupées,
n'arrivent pas à trouver de partenaire, parce qu'elles ont des difficultés en matière de
socialisation, ont peu d'amis, sont handicapées... Les raisons d'avoir recours à de tels «services»
ne manquent pas, commente la coach sexuelle, qui réclame aussi la légalisation du plus vieux
métier du monde. «Il y a des gens qui ont un manque extrême de connexion. Pour ces
personnes-là, à cent milles à l'heure, c'est un besoin, et elles devraient avoir accès à quelque
chose.» Et les autres? Renée Lanctôt se félicite de voir de plus en plus les femmes prendre
ici «leur sexualité en main». «Pourquoi pas, si ça les fait se sentir bien?» Un seul conseil, pour
conclure: «NE TOMBEZ PAS EN AMOUR. Mais si vous avez un besoin corporel, pourquoi pas?
C'est un problème que vous pouvez régler avec de l'argent!»
Pascale Robitaille, sexologue clinicienne, spécialiste des travailleuses du sexe
          «Un service qui peut combler des besoins comme chez les hommes.»
La clinicienne voit souvent des clients, mais à ce jour jamais de clientes, de l'industrie du
sexe. «Mais j'entends des histoires», dit celle qui côtoie professionnellement plusieurs escortes.
D'après elle, ***des femmes peuvent avoir recours à une escorte (femme) pour «clarifier leur
orientation sexuelle, ESSAYER DE NOUVELLES PRATIQUES, explorer ou échanger».
Vincent Quesnel, sexologue clinicien et psychothérapeute
«Ça ne fait pas partie de mon approche.»
Non, Vincent Quesnel ne recommandera jamais à une femme de payer pour des services
sexuels. «Je vais toujours privilégier une démarche où la femme va procéder de façon autre
qu'utilitaire pour arriver à combler ses besoins relationnels», dit-il. Tout comme pour un homme,
faut-il préciser. Reste que «c'est un choix». Et qu'il n'est pas non plus «contre». «Les hommes,
de tous les temps, l'ont fait, je ne vois pas pourquoi les femmes ne se le permettraient pas!» Les
***femmes risquent en prime bien moins de se faire juger que les hommes, croit-il (parce qu'on
ne
les accusera jamais «d'exploiter ces hommes-là...»). Il croit d'ailleurs que le phénomène
témoigne d'un «changement culturel» en matière de «besoins sexuels et affectifs». «Les femmes
sont de plus en plus indépendantes, et en vieillissant,*** peut-être que leurs besoins sexuels ne
sont pas toujours remplis par les hommes de leur âge. Un service d'escorte permet d'assurer un
certain plaisir qu'elles n'ont peut-être jamais eu de leur vie!» Dans la littérature scientifique,
poursuit-il, le fantasme de l'homme pour la ***** est très bien documenté. Peut-être y aurait-il
aussi un fantasme de la femme pour l'homme «prêt à tout faire»?
Elles sont majeures, professionnelles, célibataires ...
                         Confidences d'un masseur pour Dames
Il s'appelle Benoît. Il a 46 ans. De beaux yeux clairs. Un sourire doux. Et dans la vie, depuis
deux ans, il fait des caresses.
Il dit qu'il donne de la «tendresse», mais dans les faits, IL DONNE SURTOUT DE LA
JOUISSANCE. Sa mission: réveiller les sens de celles qui les ont éteints. POUR FEMMES
SEULEMENT
Sur son site internet, aucune ambiguïté: «détente», «excitation», «surprise sensorielle» sont au
menu. «C'est un massage sensuel où tout le corps peut être massé», «personnalisé, qui
s'adapte à vos besoins et désirs», avec «sélection des parties du corps à privilégier ou à bannir».
Son «marché cible»: LES FEMMES QUI N'ONT PAS ÉTÉ TOUCHÉES DEPUIS UN AN, dit-il,
rencontré dernièrement autour d'un chocolat chaud, dans un restaurant de la Place Versailles.
Dans un monde idéal, il offrirait ses services aux femmes battues, pourquoi pas aux mères
seules, aux personnes handicapées physiques ou mentales. «Je serais game! À la base, tout le
monde a droit à des caresses et à de la tendresse!»
À l'inverse, il ne veut rien savoir des femmes mariées qui cherchent à mettre un peu de piquant
dans leur couple. «C'est zéro ça, le but! insiste-t-il. Je ne veux pas être le nouveau vibrateur du
mois.»
Benoît a accepté de nous rencontrer pour nous parler de son «sideline» (il a un autre emploi,
comme travailleur autonome), mais il ne veut surtout pas qu'on écrive son nom de famille. «Mes
parents vont à la messe tous les dimanches!» Ses amis sont persuadés qu'il est «pervers», et
disent de lui qu'il est un «gigolo». Pervers, non, mais gigolo, peut-être («oui, un peu»), dit-il en
souriant, tout en maintenant qu'il a néanmoins ici une «mission».
               «Je fais du bien au corps et à l'âme!»
Techniquement, ses clientes (plus d'une centaine depuis qu'il a commencé, âgées de 50 à 75
ans, principalement prennent donc rendez-vous (pour 60, 90 ou 120 minutes), se couchent nues
sur une table et se font «masser» ou caresser doucement, selon les zones entendues. Il se
défend ici de les masturber. «C'est plus doux. Il n'y a pas de va-et-vient.»
Entre lui et une masseuse érotique, il y a un monde, croit-il aussi. «L'homme veut venir. La
femme, ce n'est pas ça le but. ELLES VEULENT ÊTRE TOUCHÉES,CARESSÉES. C'est une
méchante différence.»
L'argent est pour lui une habile barrière, qui empêche aussi qu'il y ait attachement. Il ne cache
pas avoir sauté la clôture et couché quelques «rares» fois avec des clientes, mais toujours hors
du lieu de travail. Et toujours sans lendemain, précise-t-il.
Si la vague #metoo l'a interpellé? Tout à fait, dit-il. Mais il n'a aucune crainte de son côté. «Ça se
fait à 800 % dans le respect.»
Il ne se considère d'ailleurs pas comme un «travailleur du sexe», mais trouve que son travail
devrait être légal. Parce qu'il n'y a pas de proxénète ni aucune exploitation dans le décor, et
surtout parce qu'à quelques détails près, il fait un travail de massothérapie. «Un massage, c'est
légal, mais si on touche les seins, c'est illégal?» (sauf si la personne le demande)
Et maintenant, la grande question: comment et surtout pourquoi devient-on ainsi «masseur»
dans la vie? Benoît nous explique en toute franchise qu'il est célibataire, qu'il attend le grand
amour, et que la minute où il va le rencontrer, il va cesser ses activités. Mais en attendant,
comme il a toujours beaucoup aimé «donner», il a trouvé ce moyen de «combler son besoin».
Lucide, il éclate de rire: «Non, ça n'a pas de bon sens, je suis payé pour faire ça!»
*Ce message a été édité le Jul 22, 2018 7:20 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 25, 2018  06:14

       Mon opinion au sujet du ''MASSAGE ÉROTIQUE D'UNE DAME ÂGÉE ***
Une dame âgée de plus de 60 ans , si elle n'est pas en couple, a besoin d'être flattée (massée)
au moins une fois par mois. Je sais que ce ne sont pas toutes qui ont les moyens de payer 80$
pour une heure (enfin si c'est le cas, je les encourage TOUTES à se faire donner un ou deux
orgasmes en se faisant masser tout le corps , spécialement toute la vulve et jouir. Moi je le fais
GRATUITEMENT et j'adore donner du plaisir. Je connais plusieurs hommes âgés qui , aussi,
aimeraient masser une dame âgée, gratuitement, et la faire jouir de ses mains, un doigt à
l'intérieur et la langue sur le bouton rose. Qu'est-ce que tu en penses Madame ?Ça te tentes-tu ?

   *** RENCONTRE NATURISTE, NUE, en GROUPE ***
***Un Monsieur du Saguenay-Las-St-Jean m'écrit hier et voici ses questions et mes réponses. Je
suis sûr que lui aussi aimerait masser, flatter des dames âgées ou hommes , gratuitement. Tu
as son adresse-net ici. Écris-lui.
3---De : Gul Iver <ununedes@hotmail.com>
Envoyé : 24 juillet 2018 21:47
À : Bruce
Objet : RE: des réponses......RE: Intérêt pour le naturisme
Cher Bruce
C'est vraiment gentil d'avoir pris le temps de me répondre aussi clairement. Mais je ne pense
pas que j'oserai dans les endroits que vous m'avez mentionnés. D'ailleurs, pour des
endroits "officiels", je crois que je préfèrerais aller à l'extérieur de ma région. Je craindrais trop
des rencontres imprévues, et surtout, je voudrais quand même me lier minimalement en amitié
avec les gens qui m'entourent, dialoguer, prendre une bière, etc... Je suis une personne
sexuellement très ouverte et sans beaucoup de tabous, et surtout sans jugement des pratiques
tierces, mais ce n'est pas prioritaire ou conditionnel à ma volonté d'EXPÉRIMENTER LA
NUDITÉ EN GROUPE. Je cherche plutôt à m'intégrer à un groupe d'amis qui le pratiquent entr
eux et qui ont du plaisir, le sexe étant un plaisir parmi d'autres... Peut-être pourriez-vous me
suggérer un groupe de discussion.
Bonne fin de soirée et encore merci.
2---De : Bruce (Lecossais)
Envoyé : 24 juillet 2018 18:31:39
À : Gul Iver
Objet : des réponses......RE: Intérêt pour le naturisme
Cher Monsieur,
il faut savoir que de se mettre nu sur une plage,
une rivière, n'est pas une tare mais plutôt une qualité.
C'est assez connu que l'on rencontre des collègues de travail, ...dans les centres ''familial''...
Dans votre coin, n'hésitez pas à demander.
Je sais qu'à Arvida, pas loin de Jonquière, près d'un golf,
on peut descendre en voiture, ensuite à pied , avec des marches balisées,
à la rivière Saguenay. Une belle petite plage en bas, permet
se mettre nu en toute quiétude. On n'est jamais seuls là. C'est une dame-amie ''amicalienne'' qui
me l'a indiquée.
Y aller au couchant...pour des rencontres.
**Aussi la plage de ''la Pointe-Taillon''
permet d'arriver à vélo et de se mettre nu, entre adultes libérés mais
les ''textiles'' ne sont pas loin !
***Et après St-Félicien, au carrefour d'un centre commercial, (Subway),
plus loin de quelques kilomètres ,en suivant la rivière,
vers l'ouest, il y a une descente vers une chute ''La chute à ...?,
et là on peut cruser entre hommes,
et se flatter le sexe discrètement...à la brunante, dans les sentiers.
Discrétion. Souvent la conclusion finale se fait dans la voiture !
**Si vous aimez une vraie vaste plage , allez à ''Cap-aux-Oies'' (138 et descendre en bas..
pas loin de l'église)
Quelques femmes et plusieurs hommes au bout qui se caressent , côté nord.
Surveillez les voitures. C'est là que tu peux demander pour un groupe...
***Le naturisme n'est pas pour les enfants et les ados détestent...mais c'est surtout
entre HOMMES que ça se passe partout. Les femmes se mettent nues, en couple, dans les
centres
officiels. On ne vous dirait jamais ça à la ''fédération naturiste'' car elle reçoit
une subvention du gouvernement pour son ''organisme'' FQN.
..............et à peu près tout le monde essaie à un moment ou l'autre...alors que
quelqu'un sache que vous aimez cette pratique n'a pas d'importance même pour un cadre.
On n'est plus en 1965.
Autres questions ??
L'hiver, l'endroit idéal est ''Paradise-Lakes'' en Floride. Nudité partout,
dans les rues...au marché ou pour danser.
Bonne journée
Bruce oxox
1---De : Gul Iver <ununedes@hotmail.com>
Envoyé : 24 juillet 2018 10:18
À : Bruce (Lecossais)
Objet : Intérêt pour le naturisme
Bonjour Bruce
Je vous écris à tout hasard pour des questions sur la pratique du naturisme au Québec car je ne
sais pas à qui m'adresser. ***J'ai trouvé votre adresse sur un forum de discussion (amitiées
naturistes) où l'on vous voit en médaillon avec votre conjointe. Alors voilà. Je suis un homme
célibataire de 56 ans et je vis au Lac-St-Jean. J'habite sur une terre forestière bornée par une
fabuleuse rivière. Je pratique souvent seul le naturisme tout simplement parceque je me sens
bien ainsi. Sauf que je ne connais personne qui le pratique et je serais de toute façon un peu
inconfortable de le pratiquer publiquement près de chez-moi. J'ai des enfants et j'ai un poste de
cadre dans une institution publique. Donc, voici ma question: y'a-t-il des petits groupes de
personnes qui se réunissent parfois entre eux pour le pratiquer en toute amitié. Ne vous
inquiétez pas. Je suis très BRANCHÉ SUR LES SENS et le plaisir mais suis très respectueux.
Merci à l'avance de votre réponse

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 27, 2018  06:26

    *** Confidences dans mon courrier ''outlook'' sur LA SEXUALITÉ D'UN HOMME ÂGÉ ***
   2---De : ami virtuel pour le moment
Envoyé : 25 juillet 2018 11:16
À : Bruce Lecossais
Objet : RE: mercredi......RE: des réponses......RE: Intérêt pour le naturisme
Encore une fois, merci pour ces réponses éclairantes. Je serai également fort occupé pour le
reste de la saison, alors peut-être que ce sera partie remise. Pour répondre à vos questions, je
ne sais pas si je peux me considérer comme bi-sexuel car je suis vraiment attiré par les femmes.
Un joli cul de femme ou un décoleté élégant feront spontanément réagir ma libido mais pas la
rencontre d'un homme. Par contre, j'ai eu quelques expériences avec*** un collègue et j'avoue
avoir fini par bien aimer cela. De façon inattendue et par curiosité au début, je suis devenu à
l'aise et fort excité par la suite. C'est un homme marié avec qui je m'entendais bien et la première
fois s'est déroulée lors d'un congrès à l'extérieur. On avait terminé un souper arrosé avec un
dernier verre dans ma chambre et on parlait de sexe et de femmes et il a lancé une question:
mais que pourraient faire 2 mecs en manque de sexe quand il n'y a pas de femmes ??... Et puis
cela s'est concrétisé. On l'a fait 3 ou 4 fois par la suite et c'était vraiment bon et sans tabous.
Disons que j'ai découvert une VOIE DE PLAISIR que je ne connaissais pas, que je n'aurais
jamais imaginée. Maintenant, cela fait plus d'un an qu'on n'a pas eu de rencontre, car tout
comme moi, il craint que cela se sache, et aussi il a un amant secret régulier qui n'accepte pas le
partage. Par contre, je ne serais pas à l'aise de le faire à l'improviste avec des inconnus de
passage et en vitesse comme les scènes que vous décrivez. D'abord, je suis très très craintif des
MTS et aussi, ce que j'aimais avec mon collègue (qui était tout aussi craintif que moi sur ce
point), c'est qu'On pouvait prendre le temps*** d'expérimenter et apprécier différentes scènes.
Étant très curieux de nature, et tant qu'à vivre une telle aventure, je voulais tout expérimenter et
je pense qu'il m'a bien guidé . Mais surtout, je pouvais le faire avec la tête en paix car je ne
craignais pas les MTS.
En ce qui concerne ma situation maritale, je suis bel et bien célibataire, mais j'ai des aventures
avec une amie mariée de temps à autres. De temps à autres aussi, mon ancienne copine (qui
habite en Europe maintenant) me rend des visites et nous nous éclatons. Mais sinon, c'est tout...
Vous savez, je ne sors pas beaucoup. JE suis un gars de nature et mes loisirs sont presque
exclusivement en forêt.
Voilà, je pense vous avoir tout dit. J'aimerais bien qu'on demeure en lien et qui sait pour la suite
des choses. JE vous tiendrai au courant de mes initiatives éventuelles en ce qui concerne le
naturisme (le vivre nu).
Bonne fin de journée et au plaisir. Encore merci pour vos réponses éclairantes
1---De : Bruce Lecossais
Envoyé : 25 juillet 2018 11:05:26
À : Gul Iver
Objet : mercredi......RE: des réponses......RE: Intérêt pour le naturisme
       Suggestions.........
Achetez-vous un petit véhicule récréatif (VR) genre ''safaricondo''
comme le mien, de 18 pieds (voir photo). A St-Nicolas, il y en a plein
et usagés de quelques années. Allez-voir le site sur le net et l'adresse.
Ce véhicule vous permettra de faire de petits voyages dans les coins naturistes
en attendant votre retraite.
Pour entrer dans un groupe d'amis ***(êtes-vous bisexuel comme moi ?)
il est facile d'aller, entre hommes seulement , au ''Domaine La Fierté''
de Rawdon ou celui près de chez moi à St-François-du-Lac (Domaine Emeraude).
Dans les centres officiels comme le DSA, à Drummondville,
il est préférable d'être en couple H+F.
Si vous voulez vraiment voir ''du sexe'' ou participer, le Domaine ''Adam-Eve''
près de Drummondville est votre choix.
Pour se faire des amis, faut sortir et jaser...
Nous, nous sommes un ''vieux'' couple, et moi je sors quelques fois seul
entre homme au domaine Emeraude. Mimi ne va plus au soleil, elle est sage...
mais si nous avons votre adresse au Lac St-Jean, nous pourrions passer vous voir
à l'été prochain. Le temps passe vite et étions à Chicoutimi en début juillet. Des amis, on en n'a
jamais trop !
          Questions :
êtes-vous vraiment célibataire ?
vivez-vous seul ?
êtes-vous bisexuel ou bi-curieux ?
Quelle est votre sexualité présentement ?

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 29, 2018  06:19

    suite des CONFIDENCES D'HOMMES MARIÉS avec une femme... et leur sexualité ENTRE
HOMMES *** (mon courrier Outlook)
5---De : G.
Envoyé : 27 juillet 2018 08:58
À : Bruce Lecossais
Objet : RE: super...vendredi...RE: jeudi matin
Personnellement ce que j'ai vécu de plus excitant dans ma vie, c'est l'amour à trois. Je l'ai fait à
quelques reprises avec un couple et c'était extraordinaire (mais sans contact avec l'homme...
juste au service de la fille). J'adorerais aussi avec 2 filles mais je n'en ai pas eu la chance... Et
toi?

4---De : Bruce Lecossais
Envoyé : 27 juillet 2018 11:10:34
À : G.
Objet : super...vendredi...RE: jeudi matin
wow...super excitant.
J'adore te lire, tu écris bien et t'es ''cochon'' à mon goût.
N'hésite pas si tu as des photos entre hommes ou femmes, ou n'importe quoi
qui concerne la sexualite.....
Bonne journée

3---De : G.
Envoyé : 26 juillet 2018 11:16
À : Bruce
Objet : RE: jeudi matin
Bonjour Bruce
Je suis en partance pour les USA pour voir ma fille et serai donc peu disponible les prochains
jours. Oui, c'est vrai que cette correspondance due au hasard devient excitante...
Avec mon collègue, je dois vous dire qu'on a pas mal tout exploré mais progressivement. La
première fois, on a surtout joué manuellement avec nos queues puis un peu sucer
respectivement... et il est venu dans ma main. Il m'a ensuite masturbé. Après cette première
expérience inattendue, vous allez peut-être rire de moi, mais je suis allé visionner des scènes
entre hommes sur des sites gais pour voir des jeux possible et si cela m'exciterait. Disons que
j'ai pris des notes... La deuxième fois, on a passé l'après-midi ensemble. Il m'a d'abord proposé
un massage très agréable et rendu à mon anus, il a bien écarté mes fesses et a huilé mon
anus... Il a ensuite relevé mon cul et m'a enfilé; j'étais nerveux et l'entrée a été douloureuse mais
cela s'est aténué au fur et à mesure, et il est venu en moi en criant tant il jouissait!. Incroyable
comme c'était excitant, je n'aurais jamais imaginé ça. Il m'a par la suite sucé et je suis venu dans
sa bouche. La troisième fois était bien particulière... Disons que Marc m'avait déjà expliqué qu'il
était adepte de jeux de domination soft avec sa conjointe et que cela l'excitait beaucoup... Après
Jazette et quelques verres, Il avait apporté des menottes et m'a proposé de les mettre pour le
fun. J'ai joué le jeu et il me dominait un peu en quelque sorte. Il m'ordonnait des positions, dont
me mettre à genoux et le sucer... Puis, il s'est mis à 4 pattes devant moi et m'a ordonné de
lécher son anus... et je me suis exécuté... d'abord un peu délicatement puis il m'a dit d'entrer ma
langue!!! ... je l'ai fait... Bruce, je vous jure, je n'ai jamais vu une personne aussi excitée... il était
comme fou... et cela avait l'effet de m'encourager et m'exciter également. Un moment donné, il
s'est tourné brusquement, a pris ma tëte entre ss mains et a enfilé sa queue dans ma bouche et
s'est vidé dans un long gémissement... VOilà. J'ai adoré. Je dois fermer!

2---De : Bruce Lecossais
Envoyé : 26 juillet 2018 11:15:34
À : G.
Objet : jeudi matin
oui j'aimerais bien avoir un ami ''sous la main'' pour se flatter le sexe,
les fesses, l'anus surtout où je suis très sensible. Je n'éjacule plus
sans mon plug bien en place. Je ne me suis fait pénétrer qu'une fois dans ma vie
et j'aimerais bien revivre...J'ai un petit vibrateur aussi...
mais je ne connais personne près de chez moi à Drummondville.
**Non je n'ai jamais eu peur des mts car je ne flatte que de mes mains,
pas la bouche.
Ma compagne est sage et ne veut plus rien sauf avec moi...mais elle me laisse libre
de sortir seul; elle sait que je rencontre des hommes pour se masturber.
Elle accepte et est bien avec ça. En voyage, elle me suit...et on rencontre
quelques fois...à 3.
Oui sûrement plus intéressant avec un ami régulier...
**J'aime bien cette correspondance et aimerais continuer, c'est assez
excitant...
**Qu'est-ce que vous faisiez, entre hommes, avec des détails ?
**Je suis sur le net tous les matins entre 6 et 8h., seul, Mimi dort jusqu'à 8h.

1---De : G...
Envoyé : 25 juillet 2018 13:13
À : Bruce Lecossais
Objet : RE: mercredi......RE: des réponses......RE: Intérêt pour le naturisme
Questions comme ça. QUand vous allez ainsi rencontrer des hommes inconnus, vous ne
craignez pas la transmission de maladies? Pourquoi vous n'établissez pas plutôt un lien avec 1
ou 2 mecs en qui vous pouvez avoir confiance et que vous rencontrez de temps à autres? Il me
semble que c'est plus intéressant, non?

***réponse du 25 juillet sur le naturisme*** Au sujet des coins pour rencontrer des personnes
âgées, nues, et se faire des amies, EN FRANCE, je te suggère trois coins que j'ai bien connus .
Très accueillants et chaleureux pour les personnes âgées spécialement pour les Dames mais
toutes personnes seules est admises.
***Maubeuge(vers Valenciennes), à la frontière de la Belgique, côté Belge.
*** Dans ''la Creuse'' à l'est de Montluçon
et le plus près de Paris est ''Regain'' au nord-est.

A éviter pour nous les vieilles, le Cap d'Agde. Pour l'hiver on peut se louer un chalet à Montalivet
et pour les plus fortunées, La Jenny, tous deux dans Les Landes. Bonne nudité...pour les
grosses, les laids, ce sont des endroits idéals...pour les pas laids aussi.
On peut se faire donner un massage érotique à petit prix et même gratuitement. Tables à la
bonne hauteur disponibles. La vie est belle...non !




Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 30, 2018  06:38

          *** 60 ans plus tard, toujours du SEXE EN PUBLIC sur le mont Royal
Francis Pilon | Agence QMI 25 juillet 2018 TVA-nouvelles
Le sexe en public sur le mont Royal fait toujours des adeptes grâce aux forums sur Internet et
aux points de rencontre sur une carte en ligne, malgré le fait que les autorités dénoncent cette
pratique depuis les années 50.
Déjà en 1954, le maire Jean Drapeau voyait les arbustes et les petits arbres de toutes sortes
comme un abri pour les «activités immorales». La Ville a donc éliminé à l’époque
ces «indésirables végétaux» pour faire fuir les «pervers sexuels» sur la montagne, comme le
rapporte un récent mémoire de maitrise à ce sujet.
Ces «coupes de moralité» ont perduré jusqu’en 1958. Celles-ci ont été si importantes que le
mont Royal avait été surnommé le «mont chauve» à l’époque.
60 ans plus tard, en moins d’une minute sur Google, il nous a été possible de repérer au moins
cinq sites où les gens se fixent des RENDEZ-VOUS QUOTIDIENS POUR SE LIVRER À DES
PARTOUZES (à plusieurs) EN PLEIN AIR sur le mont Royal.
          Le «dogging»
Mieux connue sous le terme de «dogging», qui doit son nom à l’EXCUSE DE PROMENER SON
CHIEN
pour justifier une absence (pour les hommes mariés et cachottiers), cette activité est une
pratique sexuelle partagée entre voyeurs et exhibitionnistes dans les endroits publics.
Pour ce reportage, le «24 Heures» a contacté quatre adeptes du sexe en public sur le mont
Royal par le biais des nombreux forums sur le sujet.
«La plupart du temps, je publie avec mon chum où on va être sur la montagne et à quel endroit
on va être là-bas. Les gens connaissent les "spots" grâce à une "map" et c’est comme ça qu’on
se rejoint. Après, c’est à nous de décider s’ils regardent ou s’ils participent. C’est toujours très
respectueux», a expliqué Lisa-Maria, une adepte du «dogging» âgée de 48 ans.
Chacun des lieux de cette carte propose des activités différentes, allant de relations sexuelles
dans une voiture, sur des tables de pique-nique ou dans des endroits réservés à la communauté
homosexuelle.
«Moi, je suis fluide sexuellement et c’est ce qui est bien du mont Royal. Il y a du monde de
TOUS LES ÂGES (surtout les vieux de plus de 50 ans) et de toutes les orientations. Avant, j’y
allais et il fallait attendre, mais avec Internet, fixer un rendez-vous pis toute, ça facilite les choses
aujourd’hui», a raconté Richard, qui refuse de dévoiler son âge et qui se rend sur la montagne
depuis une vingtaine d’années pour trouver des amours d’un soir.
Phénomène nouveau
«On sait que des couples ou des individus seuls viennent consommer leur intimité sur la
montagne depuis toujours. Mais là, ce qui semble nouveau, c’est que les gens utilisent des
forums, des cartes interactives avec des lieux et des activités qu’on peut retrouver à X endroit
sur la montagne. Ces communications, à mon avis, c’est assez nouveau», a témoigné la
directrice des communications des Amis de la montagne, Hélène Panaïoti.
Le Service de Police de la Ville de Montréal (SPVM) a confirmé au «24 Heures» ne pas avoir
remis d’infraction au cours des cinq dernières années par rapport à ce phénomène sur la
montagne.
Des personnes se livrant à de telles pratiques pourraient être accusées d’«actes indécents», a
souligné la police.
Fantasme à combler
«C’est pas quelque chose qui est commun de voir dans la société, ce genre de pratiques. Mais
oui, à chaque époque, on voit des gens qui ont des fantasmes qui sortent de l’ordinaire. Et
le "dogging", ça semble être dans ce courant-là», a évalué Élise Bourque, sexologue clinicienne
et psychothérapeute.
«Il y a plusieurs sites pour les rencontres de "dogging". Par contre, ce que je constate en bureau
privé, c’est que les gens passent énormément de temps à chercher des partenaires pour faire
du "dogging" et n’importe quoi comme du BDSM, mais peu passent à l’acte. Je pense que le
fantasme ici, avec ces cas-là, est même plus fort que la situation dans la réalité», a-t-elle ajouté.

P.S. de Lecossais : les caresses et masturbations sont très excitantes en public et lors de mes
voyages, quand je vois un petit bois, un parc avec beaucoup d'arbres, je suis sûr que les
hommes se masturbent ensemble. Si tu n'as pas de chien, il te suffit de faire semblant de pisser
(interdit aux USA) pour voir si d'autres hommes te regardent, sinon tu continues ton manège. Le
geste de la main en attire d'autres. Tous les pays que j'ai connus ont cette pratique spécialement
entre hommes âgés, rarement les moins de 40 ans., et rarement des femmes. A Paris, au bois
de Boulogne, cette pratique EXISTE DEPUIS TOUJOURS mais là on y voit beaucoup de
couples H+F. Au Québec, on dirait que la police de Montréal a compris et laisse aller. ENFIN !
*Ce message a été édité le Jul 30, 2018 6:44 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : aout 1, 2018  05:23

                              ***GROSSOPHOBIE : NON JE NE ME TAIRAI PLUS ***
Diantre qu’il s’en raconte, des choses au sujet des grosses, pendant qu’on se terre dans le
silence.
27 Juil. 2018   Man-al Drissi Revue 'Châtelaine'
Cette fois, c’est une série Netflix, dénoncée par nombre de personnes, qui nous vaut de se faire
expliquer notre grosseur. C’est l’histoire d’une adolescente intimidée pour sa taille — incarnée
par une actrice mince portant un costume de grosse — qui se fait casser la mâchoire, ne mange
plus pendant un été et devient mince, maquillée, bien habillée, désirable et revancharde.
« C’est quoi, le problème », soupire-t-on rhétoriquement en roulant des yeux. Encore des petites
sensibilités qui contraignent l’art. Encore une «phobie» dont on taxe #lesgens. Encore nous, qui
prenons encore trop de place.
Anyway, le poids, c’est une question de santé, non? lance-t-on pour nous faire taire.
Le malheur, avec le silence, c’est qu’il faut le garder tout entier ou l’envahir pleinement. On ne
peut pas l’investir à tâtons ou à moitié. Et lorsqu’on est grosse, on se sent déjà en dette d’espace.
Or, quand on ne parle pas pour soi, il ne faut pas s’étonner que d’autres parlent pour nous. Pire,
qu’ils parlent de nous, comme si nous étions absentes, comme si l’espace qu’on nous somme
habituellement de libérer nous avait englouties. Et alors, quand quelques voix s’élèvent
timidement, on les enterre.
Dans mon long silence, de l’enfance jusqu’à l’âge adulte, se sont tressées les vignes de la honte
et je lui ai appartenu sans demi mesure. Quand on assimile, parce que c’est impossible de faire
autrement, le mépris qui entoure la chair des femmes, il s’étend à toutes les sphères, dans tous
les recoins du quotidien.
J’ai appartenu à la honte chaque fois que je m’habillais, que je mangeais, que je m’assoyais, que
je me regardais, que j’aimais, que je faisais l’amour. Chaque fois que mes amies minces
parlaient de prise de poids avec horreur, que ma mère me conseillait de porter du noir pour
sembler réduite. Chaque fois qu’une crise de boulimie me valait des compliments sur ma perte
de poids qui m’allait si bien. Chaque fois que le seul personnage de fiction qui me ressemblait
était misérable ou clownesque. Chaque fois que j’ai préféré être malade de chaleur qu’enlever
ma gaine, qu’exposer mes bras et mes cuisses.
J’ai torturé mon corps. Je l’ai empiffré, affamé, mutilé, je l’ai traîné sur des kilomètres de pistes
de course jusqu’à l’effondrement, je l’ai privé d’eau pour ne pas qu’il se boursouffle, je l’ai fait
casanier pour le préserver du regard d’autrui. J’ai tiré dans un sentiment tordu de fierté dans ses
appels à l’aide puisqu’il faut, dit-on, souffrir pour être belle.
Tout ça, dans le silence.
Tout ça, au nom… de la santé?
Je n’ai jamais été aussi malade qu’en essayant d’avoir l’air « en santé ». Je n’ai jamais été aussi
en santé que quand j’ai arrêté de croire que la grosseur était une maladie.
Grossophobie, un terme exagéré? Dites à une femme mince qu’elle est en train de devenir
grosse et observez la peur dans ses yeux. Je vous garantis que ce n’est pas son taux de
cholestérol, sa santé cardiovasculaire ou sa longévité qui l’inquiètent.
Nous avons peur de ne pas être désirables et désirées, parce que tout, autour de nous, véhicule
l’idée que susciter le désir est le fondement de la féminité et que la féminité est incompatible
avec la grosseur. L’argument de la santé est une pitoyable excuse pour continuer de mépriser la
grosseur en toute liberté.
Y a-t-il une corrélation entre obésité et maladie? Oui. Mais Correlation does not imply causation,
(corrélation ne signifie pas causalité) disait mon prof d’économie. Le poids est UN facteur,
insuffisant en lui-même pour dresser un bilan de santé ou établir un lien de causalité.
On peut être grosse et malade, on peut être mince et malade, on peut être grosse et active (OUI,
OUI, JE VOUS LE JURE), on peut être mince et sédentaire. On peut être en santé physique
mais pas mentale et vice versa. Même qu’on peut être grosse, en mauvaise santé physique ET
mentale, et quand même mériter d’exister dans la dignité, sans se faire mépriser, sans devoir se
soustraire. Fascinant, non?
C’est quoi le problème avec la série de Netflix, dites-vous? Fermez les yeux et écoutez le
silence. Il est assez vaste pour accueillir une nouvelle génération d’adolescentes, prêtes à se
faire violence pour se faufiler dans un idéal subjectif et – ce fut maintes fois prouvé – malsain. Si
les troubles alimentaires étaient cotés en bourse, cette série aurait intérêt à s’acheter des actions.
À celles qui sont prêtes, à celles qui s’en sentent la force, il est temps de se raconter. Il est
temps d’envahir le silence pleinement. Il est temps de hurler, s’il le faut, pour dire à ces femmes
en devenir ce qui les attend, ce qui nous a attendues et consumées. Il est temps de leur léguer
les armes qu’on s’est fabriquées à même la honte pour se tailler une place dans cette hypocrisie
crasse.
Disons-leur que le bonheur, la santé et la réussite ne sont pas conditionnels à la minceur.
Qu’elles sont DÉSIRABLES ET DÉSIRÉES. Qu’elles peuvent prendre de la place avec leur
corps et leur personnalité en même temps. Que leur parole est essentielle. Disons-leur qu’on
n’est jamais en équilibre sur une balance, que l’équilibre se vit de l’intérieur et ne se ressent pas
comme une violence.
Disons-leur de s’entourer de gens capables d’amour de soi. Comment peut-on faire autrement
qu’être fortes et fières, quand on s’entoure de femmes qui osent s’aimer dans un monde qui leur
a appris à s’haïr.
Disons-leur.
Et rappelons-nous le.
***Man-al Drissi est chroniqueuse, conférencière, procrastinatrice et aime se dire «ironiste» de
profession. Elle nous livre chaque mois des réflexions tout en humour et en humeurs sur les
aléas de la vie d’une femme moderne.
*Ce message a été édité le Aug 1, 2018 5:28 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : aout 2, 2018  16:31

*** Au sujet des GROSSES personnes âgées, voici la ligne à ne pas franchir: si tu ne peux voir
ton PÉNIS ou ta FENTE, tu as du poids à perdre. Il n'y a pas deux solutions : ou il est trop tard;
ou tu arrêtes de manger à tous les deux jours jusqu'à ce que tu vois ta fente dans le miroir.
J'adore les Dames de 160 livres qui peuvent me montrer leur fente PAR EN AVANT...

       ***Les PERSONNES ÂGÉES sont plus satisfaites de leur vie que les plus jeunes ***
Stéphanie Marin La Presse Canadienne 2 aoùt 18
Les personnes âgées sont davantage satisfaites de leur vie que les plus jeunes, ressort-il d'une
récente ana-lyse de Statistique Canada.
Il s'agit d'une évaluation personnelle et subjective, soit, mais qui peut toutefois en dire long sur
l'état d'esprit des Canadiens DE PLUS DE 70 ANS.
En 2016, ceux-ci affichaient des taux de satisfaction plus élevés que les 20 à 69 ans.
Et selon un calcul fait par Statistique Canada portant sur les Canadiens qui étaient âgés de 65
ans et plus en 2016, la cote moyenne de satisfaction à l'égard de la vie, dans l'ensemble, était de
8,2 sur 10.
Généralement, les FEMMES ÂGÉES affichaient des niveaux de satisfaction plus élevés que les
hommes du même groupe d'âge.
Les résultats montrent aussi que le groupe d'âge le plus satisfait est celui des 70 à 79
ans..yéyéyé.... Il affiche un taux de satisfaction plus élevé que le groupe des 60-69 ans et aussi
que celui des 80 ans et plus.
Seules les personnes de 15 à 19 ans présentaient des niveaux de satisfaction à l'égard de la vie
comparables à ceux des personnes âgées, avec un résultat considérablement plus marqué chez
les jeunes hommes.
L'argent compte-t-il? Selon les résultats, le revenu familial n'était pas associé de manière
significative à la satisfaction à l'égard de la vie chez les personnes âgées, mais les personnes
ayant déclaré avoir un revenu de retraite insuffisant affichaient - sans surprise - des niveaux de
satisfaction plus faibles.
Les résultats ont été obtenus auprès des Canadiens de la façon suivante: les répondants
devaient indiquer dans quelle mesure ils étaient satisfaits à l'égard de la vie, sur une échelle de 0
à 10.

P.S. de Lecossais : bon, là, je ne veux pas dépasser 79, surtout pas !
*Ce message a été édité le Aug 2, 2018 4:32 PM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : aout 5, 2018  06:48

                   *** AVOIR DES ORGASMES (JOUIR) SANS COMPTER ***
Nadielle Kutlu La Presse 4 août 18        
Combien de fois par semaine devrait-on avoir des relations sexuelles pour être heureux ? Les
études et les sondages sur le sujet ne cessent de se multiplier... et de se contredire. On affirme
tantôt une fois, deux fois ou encore trois fois par semaine. A-t-on un problème de désir sexuel ou
de couple si on n'a pas envie de s'envoyer en l'air chaque semaine ? Pas du tout !
Le hic, c'est que ces chiffres sur la fréquence idéale ou «normale» des rapports sexuels ont
tellement été surexposés dans les médias qu'ils font maintenant partie de la culture populaire,
déplore la sexologue et psychothérapeute Caroline Doré, spécialisée en troubles du désir
sexuel. «Les gens ne savent plus où ils ont entendu ça, mais ils ont des chiffres en tête»,
constate-t-elle. Et ces chiffres mettent souvent une pression . En plus de faire sentir les gens «
anormaux» si ces statistiques ne reflètent pas leur vie sexuelle. Or, ces statistiques ne tiennent
pas compte de la réalité des gens, souligne la sexologue et psychothérapeute Lise Desjardins.
Par exemple, une grossesse, une dépression, une maladie, un burn-out, l'arrivée d'un enfant, un
deuil, une fatigue, un stress auront fort probablement un effet sur le désir sexuel, qui fluctue au
cours d'une vie.
    COMPATIBILITÉ ET PLAISIR
Et surtout : la fréquence des rapports sexuels a peu d'impact sur la satisfaction sexuelle.
- Caroline Doré, spécialisée en troubles du désir sexuel
Ainsi, des couples qui ont des rapports sexuels une fois par mois, par exemple, peuvent être très
satisfaits. Notamment si les deux partenaires ont simplement envie de s'envoyer en l'air une fois
par mois, et pas forcément plus. «Les gens vont souvent entrer en relation de couple sans se
soucier de la compatibilité en général et de la compatibilité sexuelle en particulier. Mais plus on a
du désir sexuel, plus on risque d'être insatisfait», ajoute-t-elle.
Bien au-delà de la fréquence des rapports, éprouver du plaisir durant les ébats amoureux est
une clé pour être sexuellement épanoui dans son couple. «Et le plaisir, ce n'est pas
nécessairement l'orgasme», précise la sexologue Lise Desjardins. Se sentir bien ou amoureux
durant ce moment d'intimité, c'est aussi des formes de plaisir, souligne-t-elle. Mais la
masturbation est une très magnifique forme de vie sexuelle si on est pas en couple...et même en
couple, il est délicieux de se masturber à deux ou à trois...entre amies ou entre amoureuses...
Par contre (et pour complexifier la chose !), ce n'est pas parce qu'on est satisfait de ses relations
sexuelles et qu'on a des orgasmes et du plaisir qu'on aura forcément envie de répéter
l'expérience rapidement. Car si le désir et le plaisir sont intimement liés, ils restent indépendants
l'un de l'autre. «?Ce n'est pas parce que c'est bon quand ça arrive qu'on aura nécessairement
plus envie de le faire. Mais ça aide beaucoup», avise Caroline Doré.
   ***LE PLAISIR CROÎT AVEC L'USAGE
Même si le chiffre de la fréquence des rapports n'a pas d'importance, «PLUS ON A
D'ORGASMES, PLUS LE CORPS SE SOUVIENT QUE ¨CA FAIT DU BIEN. Quand on ne le fait
pas
souvent, on dirait que le corps et la tête oublient et tolèrent très bien de ne pas en avoir. Donc, la
personne dans le couple qui n'a pas de désir le vit plutôt bien en comparaison de la personne qui
a encore du désir, explique Mme Doré. Et c'est sûr que plus les ORGASMES
S'ESPACENT,PLUS LE DÉSIR SEXUEL DIMINUE?»
Mais se forcer à avoir une relation sexuelle alors qu'on n'en ressent pas l'envie, dans le but de
stimuler son propre désir ou pour faire plaisir à l'autre, est une mauvaise idée, selon les expertes
interrogées. Car pour éprouver du désir sexuel, il faut ressentir du plaisir sexuel, c'est-à-dire une
expérience sexuelle positive où l'on se sent bien. Si on se force, généralement, on n'a pas de
plaisir. Et on se retrouve dans un cercle vicieux.
«Si je n'ai pas de plaisir, je ne vais pas avoir envie de répéter quelque chose qui n'est pas
plaisant.»
- Lise Desjardins, sexologue et psychothérapeute
PÉRIODES SANS ACTIVITÉS SEXUELLES
À la suite d'une naissance, d'un stress ou d'une autre situation, devrait-on s'inquiéter de passer
plusieurs mois sans jouissances sexuelles ? «Non, je trouve ces périodes normales. Et ça ne
laissera pas de séquelles», répond Caroline Doré. Comment doit-on réagir ? «Que ce soit par
rapport à la fréquence, au désir ou à n'importe quel autre paramètre sexuel (par exemple
l'homme qui n'a pas d'érection une fois), le meilleur moyen pour que ça ne devienne pas une
difficulté qui s'installe, c'est de NE PAS S'EN INQUIÉTER», affirme-t-elle. Par contre, lorsque ce
n'est pas temporaire, qu'on laisse passer de longues périodes, voire des années, sans intimité
sexuelle ou sans masturbations, Mme Doré souligne qu'il sera plus difficile de retrouver le désir
et une vie sexuelle.

P.S. de Lecossais : dans ma vie sexuelle, j'essaie de maintenir un certain rythme d'une à deux
fois par semaine parce que je sais que je suis plus en santé, en état de désir si je suis 'régulier' ;
si ma compagne n'a pas le goût, je me masturbe devant mon ordi, devant un film ou avec une
personne sur 'skype'. J'aime me masturber, c'est un grand plaisir pour moi et le temps de ma
jouissance est plus long (le double) que lors d'une pénétration du vagin. Probablement que pour
une dame, c'est la même chose, en temps, même mieux et plus long vu qu'elle jouit du vagin ET
du clitoris. Ne perdons pas la main à nos âges et soyons attentifs aux manifestations sexuelles
de toutes sortes : films, livres, voyeurisme, nudité devant son miroir. Profite de ton corps; il te
dit :''USE ME'.

***Je serai sur la route à partir de 5 et jusqu'au 20 voir des amies : Joliette--St-Sauveur--Ste-
Agathe--Montréal--Lachine...J,esp'ere que je pourrai PARLER SEXE. Les mots aussi peuvent
nous faire mouiller...bander.
*Ce message a été édité le Aug 5, 2018 6:53 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : aout 7, 2018  11:32

                      *** Le 7 août 1965 je me mariais ***
Après 5 ans de tâtonnements, de masturbations mutuelles, le première pénétration a été
accomplie ce soir-là...
Hier à Joliette, Mimi et Moi, on s'est mouillé sous les jets d'eau. Pour la nuit, j'ai suspendu son
maillot neuf au miroir avant, pour le séchage. Cette nuit, Mimi s'est levée, a vu un objet flou ,
pensant que c'était un sac, elle a ...tâté son maillot ! Je me suis dit ce matin: elle s'attendait à
une surprise , alors faut aller au centre commercial trouver quelque chose. Elle a souvent mal
aux jambes et chez 'le centre-du-rasoir' on a trouvé un vibromasseur puissant pour ses pauvres
jambes rejoignant sa vulve un peu plus haut, au cas où elle s'égarerait. Elle est contente. Un
anniversaire, pour une femme, faut absolument célébrer ça par un cadeau, même si la surprise
n'est pas ce qu'elle attendait. Resto ce soir et , j'espère, un décolleté 'juste pour mes yeux' et
ceux de mon ami.

                                  *** ATTITUDE SEXOPOSITIVE ***
Julie Pelletier JDM 21 juillet 18
Au cours d’une vie, plusieurs situations nous obligent à rebondir pour nous ajuster et nous
adapter malgré douleurs et incertitudes. Être positif demande donc des efforts et une conscience
de soi parfois hors du commun. La sphère de la sexualité demeure complexe, multipliant
questionnements et doutes. Celle-ci conduit vers des sentiers intrigants, soulevant
continuellement ce désir de la conquérir, de l’apprivoiser, de la dompter pour la faire sienne.
Quelle attitude permet une sexualité positive et épanouissante ? L’attitude sexopositive bien sûr !
                Utiliser la gratitude
Vouloir être heureuse/heureux conduit très certainement un grand nombre de femmes et
d’hommes à dépenser bien des énergies pour atteindre ce but ultime. Que ce soit pour des soins
de bien-être, des lectures rassurantes ou des ateliers de développement personnel, la quête
bien que légitime du bonheur, peut prendre des proportions parfois inquiétantes comme en
témoigne Janine, une lectrice de 41 ans :
« Quand j’ai divorcé il y a 5 ans, Mathieu et moi étions rendus très bas dans nos états respectifs.
Nous avions tenté de sauver notre couple à maintes reprises, mais plus nous avancions, plus
nous nous détruisions. Mathieu avait des croyances quant au bonheur qui flirtaient avec la magie
ou le spiritisme. Sa culture n’étant pas la mienne, j’avais beaucoup de difficulté à me plier à tous
ces rituels complexes. Je ne suis pas une fille difficile, mais j’avais développé toutes sortes de
manies et de superstitions pour paver la voie de mon supposé bonheur en devenir. Je me suis
perdue, ça m’a coûté de milliers de dollars et devinez quoi ? Je ne suis pas plus heureuse ! En
plus, je suis maintenant célibataire. Une amie m’a dit, tu sais Janine, tu devrais être
reconnaissante, tu as des enfants en santé, un travail qui te permet de t’épanouir avec un bon
salaire et des super conditions. Plutôt que miser sur ce que tu n’as pas, pourquoi tu ne mises
pas sur ce que tu as et ce que tu peux faire puisque tu es en santé ? Ça m’a donné un coup de
fouet ! Remercier la vie ne m’était jamais venu à l’esprit, je demandais à la vie, je ne l’accueillais
pas ! »
          La gratitude n’est pas une question de mode
Des recherches de plus en plus nombreuses confirment que la gratitude offre de nombreux et
puissants bienfaits pour la santé.
Voici ce qu’explique le Dr P. Murali Doraiswamy, expert en santé cérébrale et mentale :
« Si la reconnaissance était un médicament, il serait le plus vendu au monde, et son indication
serait la préservation de tous les organes importants de l’organisme. »
La gratitude a de nombreux impacts positifs sur votre cerveau, et contribue à :
1. Améliorer la santé physique par son effet antidouleur global, en diminuant l’inflammation et la
glycémie, en favorisant le système immunitaire, une pression artérielle saine et la santé
cardiaque, et en encourageant à prendre soin de soi ;
2. Augmenter le sentiment de bonheur et la joie de vivre en diminuant le stress et la détresse
émotionnelle ;
3. Améliorer la résilience émotionnelle, ce qui aide également à lutter contre le stress et l’anxiété ;
4. Améliorer la santé mentale en provoquant la libération de substances chimiques
antidépressives et régulatrices de l’humeur, telles que la sérotonine, la dopamine, la
norépinephrine et l’ocytocine, tout en inhibant le cortisol, hormone du stress ;
5. Améliorer la qualité du sommeil, ce qui peut apporter de nombreux bienfaits tant pour la santé
physique que mentale. Source : La gratitude – Clé du bonheur et de la santé, 5 septembre 2017.
Le neuroscientifique Alex Korba, elle, déduit de ses recherches en neurosciences 4 rituels qui
peuvent nous rendre plus heureux : se poser quotidiennement la question « pourquoi suis-je
reconnaissant.e aujourd’hui ? », nommer les émotions douloureuses ou désagréables (gagner
en intelligence émotionnelle), prendre des décisions et entretenir des relations saines et
chaleureuses avec d’autres personnes.
             L’attitude sexopositive
Dans un contexte de vie comme celui de la gratitude et des bonheurs simples, l’attitude
sexopositive peut donc prendre ces airs (quelques trucs pour vous inspirer) :
1. Dédramatiser : faire de votre sexualité quelque chose de plaisant et qui s’éloigne d’un désir de
performance ;
2. S’autovaloriser : apprendre que votre sexualité a avantage à vous correspondre et à se coller
à vos valeurs, à votre personnalité et à vos forces individuelles ;
3. Accepter de ne pas se juger : recevoir et accueillir les émotions vécues lors de moments
intimes (avec soi ou avec l’autre) vous permettra d’être bienveillant envers vous-même et de
respecter votre entièreté.
Soyez positif, rayonnez et, surtout, amusez-vous !
*Ce message a été édité le Aug 7, 2018 11:43 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : aout 8, 2018  13:27

                      *** ROMANS ÉROTIQUES *** pour les 60 ans +
1
Les 120 Journées de Sodome
A
L’Anti-Justine
Aphrodite, version libre
Aphrodite. Mœurs Antiques
L’Arétin François, par un membre de l’Académie des dames
L’Armée de volupté
Association de demi-vierges
Les Aventures du roi Pausole
B
La Belle Alsacienne
Bordel patriotique
C
Les Callypiges
**Chansons secrètes de Bilitis
Charles Devereux/Venus in India (Vénus indienne)
La Chute des vierges
**La Comtesse de Lesbos
***Les Concubines de la directrice
Confession sexuelle d’un Russe du Sud
D
Dictionnaire érotique moderne
Douze douzains de dialogues ou Petites scènes amoureuses
Débauchées précoces
E
**L’Escole des Filles
Les Exploits d’un jeune Don Juan
F
La Femme aux chiens ***
G
Gamiani ou Deux nuits d’excès
H
Harris's List of Covent Garden Ladies
Histoire de Marguerite, fille de Suzon
Histoire du roi Gonzalve et des douze princesses
I
Les Infortunes de la vertu
J
Journal d’une enfant vicieuse
Justine et Juliette
Justine ou les Malheurs de la vertu
Justine, ou les Malheurs de la vertu
L
***La Philosophie dans le boudoir/Tome I
La Leçon d’amour dans un parc
Lettre à la présidente, voyage en Italie
Louÿs – Au temps des juges
Louÿs – La femme
Louÿs – Poésies érotiques
Louÿs – Pybrac
M
Manuel de civilité pour les petites filles à l’usage des maisons d’éducation
Le marbre animé
**Mémoires de Fanny Hill, femme de plaisir
Mémoires de Suzon sœur de D. B., éd. 1778
Mémoires de Suzon sœur de D. B., éd. 1830
La Messaline française
Miss Aline
Miss Frankland, Les Mystères Du Presbytère
Monnier - Deux gougnottes
Mémoires de Suzon
N
Nerciat - Contes saugrenus
Les nuits chaudes du Cap français
O
Odor di femina
Les Onze Mille Verges ou les Amours d’un Hospodar
P
Passions de jeunes miss
Petites et grandes filles
Le Portier des Chartreux
S
Le secret de Miss Sticker
Les Stations de l’Amour
T
The Lustful Turk ( Le truc lubrique)
Thérèse philosophe
Trois Filles de leur mère
U
Une nuit dans un harem maure
V
La veuve amoureuse ; Orgies continentales
Voluptés bizarres

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : aout 9, 2018  07:18

                        *** LA PRESSION DU BEAU CORPS POUR LES HOMMES ***
Alexandre Vigneault La Presse, 28 juillet 18
Les hommes aussi s'habillent plus légèrement l'été venu. S'inquiètent-ils du regard qu'on posera
sur leur torse, leur ventre ou leurs bras ? Subissent-ils eux aussi la pression d'avoir un corps prêt
à porter un maillot de bain ?
Des hommes se prononcent
Les hommes sentent-ils qu'ils doivent sculpter leur corps avant de s'afficher au soleil ? La Presse
en a sondé une dizaine, de 20 ans à 68 ans.
La soirée est encore jeune, mais la journée de travail tire à sa fin. Sur les pelouses du parc La
Fontaine, c'est l'heure de jogger ou de relaxer en duo ou en petit groupe. Ce n'est pas encore la
canicule, mais il fait bien assez chaud pour en enlever une couche. Çà et là, des hommes ont
envoyé valser chemise ou t-shirt et offrent des torses plus ou moins découpés et plus ou moins
velus à tous les regards.
«Il faut être à l'aise avec soi-même pour attirer ce genre d'attention sur soi», convient Shaquille
Wager, 23 ans, croisé alors qu'il se balade la poitrine au grand air, mais les yeux cachés par des
verres fumés surdimensionnés. Il a l'air sûr de lui et n'a, il est vrai, pas de quoi s'en faire avec
son corps : mince, légèrement musclé et pas un poil sur les épaules ni dans le dos.
«J'ai toujours été à l'aise avec mon corps, je n'ai pas de complexes», assure le jeune homme. Il
croit que c'est parce que le regard qu'on pose sur lui - et sur les hommes en général - est plus
indulgent que celui qu'on pose sur les femmes.
«En tant que gars, je n'ai jamais senti qu'il fallait que je change quoi que ce soit pour être
accepté. Si j'avais ressenti de la pression, je ne crois pas que j'aurais été aussi à l'aise.»
Mince, et même maigre, son cousin Khalil Cyr, aussi âgé de 23 ans, enlève parfois son chandail
en public lui aussi, même s'il n'est pas le genre de gars «qui aime se montrer?». «Ça dépend
des jours : des fois je suis à l'aise, des fois je ne le suis pas. Ça dépend du contexte, ajoute-t-il.
C'est sûr que je ne me promènerais pas torse nu au centre-ville.»
          «Pour la santé»
Shaquille dit faire «un peu d'exercice», sans plus. Sa jeunesse le dispense d'avoir à faire des
efforts pour garder sa taille. Il le sait. Son discours est néanmoins ambivalent : il trouve important
d'être soi-même, de reconnaître la différence de chacun, mais il est de toute évidence très
conscient que l'apparence compte. «Tout le monde le nie, mais tout le monde adhère à ça,
observe d'ailleurs Normand Séguin, du haut de ses 68 ans. Ça a plein d'avantages d'être beau et
en santé.»
Le prétexte de la «santé» est revenu souvent dans la bouche de la dizaine d'hommes
rencontrés au parc La Fontaine. «Je veux rester mince parce que c'est mieux pour la santé.
Pour mieux paraître, mais surtout pour la santé», dit par exemple Ramzi Bosha, 35 ans. Ibrahim
Cakici, 20 ans, admet que s'entraîner pour perdre un peu de poids «est une petite pensée qui
est toujours là», mais il précise aussi que ce n'est pas nécessairement pour bien paraître. C'est
surtout pour «la santé».
En fait, mince ou un peu enveloppé, aucun des hommes rencontrés n'a admis faire du sport pour
soigner son apparence ou avoué s'inquiéter de ce qu'on dirait de lui à la piscine. Aucun de ceux
qui ont accepté de parler à La Presse+ n'était obèse, précisons-le. «Je ne veux pas généraliser,
mais je pense que la majorité des gens veulent avoir un beau corps, être présentables. Je pense
aussi que la majorité des gars sont un peu paresseux sur le plan physique, qu'ils ont d'autres
priorités. Ce n'est pas quelque chose qui vient les hanter», estime Kevin Osias, 24 ans.
Marc Lafrance, sociologue à l'Université Concordia, convient d'emblée que si la pression de
l'image corporelle est à la hausse sur les hommes, ceux-ci ont «encore et toujours plus de
marge de manoeuvre» que les femmes. Ce que tous les hommes croisés au parc admettent,
d'ailleurs. Normand Séguin estime en outre que la pression qui s'exerce sur les hommes vise
moins le physique que la «perception de la virilité». «L'argent, c'est encore un modèle de virilité
», ajoute-t-il.
Un tabou
Son observation trouve un écho chez Marc Lafrance. L'argent et le prestige social - autorité
professionnelle, pouvoir, etc. - pèsent lourd dans la balance, selon le sociologue, et font en sorte
que «même les hommes qui ne correspondent pas aux normes de beauté masculine peuvent
compenser». Il ajoute que si très peu d'hommes avouent réguler leur mode de vie ou leur
alimentation dans le but d'être plus beaux, c'est parce que c'est un sujet tabou.
«On n'encourage pas les hommes à parler ouvertement de leurs préoccupations corporelles»,
constate-t-il. Se soucier de son apparence serait perçu comme une marque de féminité et
démontrerait «une certaine vulnérabilité masculine, un manque de confiance et, dans certains
cas, une souffrance psychique». «?Toutes ces choses vont à l'encontre de la sorte de
masculinité qu'on idéalise dans la société occidentale, c'est-à-dire une masculinité stoïque, peu
communicatrice et invulnérable», dit-il.
Or, si les hommes ne se préoccupaient pas de leur carrure, il ne se vendrait pas autant de
suppléments sportifs, remarque le sociologue. Et s'ils se fichaient de leur apparence, aucun ne
se ferait refaire le nez, remonter les paupières, retirer des graisses (liposuccion), réduire les
seins et greffer des cheveux - ce sont les cinq procédures plus couramment demandées par la
clientèle masculine, selon l'American Association of Plastic Surgeons.
L'apparence des hommes ne compte pas seulement pour eux, MAIS AUSSI POUR ELLES.
«Quand j'avais un corps d'athlète, le regard des femmes était différent. Avant, il y en a même qui
me draguaient», raconte Yazid Chorfi.
Il a perdu du muscle et pris un peu de rondeur, mais n'est pas mal à l'aise pour autant. «Avant,
je faisais toujours attention à mon corps juste pour plaire à tout le monde, mais je me suis rendu
compte que j'avais tort», dit-il.
«Je m'aime comme je suis et je n'ai pas l'intention de faire quoi que ce soit pour changer. C'est
bien de faire attention à son corps, mais il ne faut pas abuser, sinon ça devient une espèce de
paranoïa. On cherche un idéal pour satisfaire les regards des gens, poursuit-il. Il faut s'aimer soi-
même, peu importe le corps dans lequel on vit.»
          Poils, bedaine, cheveux
Les hommes se soucient de leur carrure. Ils s'inquiètent toutefois bien davantage de leurs...
cheveux.
Les muscles
Plus jeune, Normand Séguin, 68 ans, a fait de l'haltérophilie. « Ce n'était pas pour les muscles,
mais pour la force », dit-il. Nicolas, 29 ans (qui souhaite taire son nom de famille car il travaille
dans le domaine de la santé), s'est déjà entraîné suffisamment pour tirer « une fierté
considérable » à être torse nu. Sa vie a changé, son corps aussi. « Je m'ennuie du corps que
j'avais quand je m'entraînais 10 heures par semaine, avoue-t-il. Quand je suis dans un contexte
de party avec des amis policiers qui, eux, sont ultrabaraqués, j'ai une petite jalousie... »
La bedaine
« J'y ai pensé à deux fois avant d'enlever mon t-shirt », admet Daniel Berlovitz, 42 ans. Son
ventre a grossi ces deux dernières années et, même s'il dit ne pas se sentir complexé, il s'est
tout de même demandé ce que les gens allaient penser de son bourrelet. La chaleur a eu le
dessus : il s'est mis torse nu. La « petite bedaine de la fin de la vingtaine » travaille aussi
Nicolas, qui n'a pas enlevé son chandail. « J'aimerais ça, être plus découpé, admet-il, mais ça ne
passera pas par-dessus mes études et mes plaisirs coupables que sont bière, chips et
restaurant... »
          Le poil
« J'en enlève une petite couche [sur la poitrine] parce que ça fait plaisir à ma blonde, mais je ne
me raserais pas entièrement même si elle le souhaitait, dit Nicolas. Je traite ma pilosité
corporelle comme ma pilosité faciale : pour que je la juge esthétique, selon des standards plutôt
flexibles... » Il admet par contre se faire enlever les poils qu'il a dans le dos, été comme hiver.
Yazid Chorfi, 33 ans, a le dos glabre, mais pas mal de poils sur le torse. « Je ne me soucie pas
de les raser. Je trouve que, pour un homme, les poils sont un signe de virilité, dit-il. Se raser,
c'est un truc pour les femmes. » Yazid constate toutefois que tous les hommes ne sont pas aussi
à l'aise. « J'ai un ami qui a beaucoup de poils et qui n'ose pas enlever son t-shirt, dit-il. Je ne sais
pas s'il a honte ou s'il est juste timide. »
Les cheveux
Perdre ses cheveux a été un deuil pour Normand Séguin. Il se console en se trouvant « assez
en forme » pour un homme de presque 70 ans. « Perdre ses cheveux, c'est pas cool ! », lance
Ramzi Bosha, 35 ans, qui arbore une petite toque à la mode. Pour lui, la calvitie est une ennemie
pire que la bedaine. Sa crainte est partagée par la quasi-totalité des hommes croisés dans le
cadre de ce reportage. Kevin Osias, 24 ans, se préoccupe déjà d'une calvitie naissante. Yazid
Chorfi n'a pas de problème de perte de cheveux, mais dit d'emblée que s'il en avait, il songerait
sérieusement à une greffe capillaire.

P.S. de Lecossais : pour avoir un poids idéal, il faut avoir une façon de vivre et manger peu.¨Ca
commence assez jeune, dans les 40 ans. A 60 ans, il est souvent trop tard et le gros bedon
s'installe pour ne plus fondre. L'apparence est très importante, pour soi, pour le regard de nos
proches.

***Voici les pays où on vit le plus longtemps et la plupart, , tous, sont des pays où il fait
relativement froid une partie de l'année; où on y mange peu, beaucoup de poissons et où on y
fait de l'exercice.
De 81,4 ans à 83,7 ans : Grande-Bretagne; Irlande; Nouvelle-Zélande; Norvège; Pays-Bas;
Canada; France ;Suède; Espagne; Australie; Suisse; Japon. Tous les autres pays de la planète
vivent moins longtemps que 81 ans.
Les personnes de ces pays , en général, ont un poids-santé, idéal, entre 150 et 170 pour les
hommes; de 120 à 140 pour les dames.

*Ce message a été édité le Aug 9, 2018 7:24 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : aout 10, 2018  08:45

Confidences d'un ami sur le site ''Amitiés Naturistes''' et mes réponses
                   ***Nudiste qui s'ennuie de sa nudité...***
Je suis âgé de 63 ans, mais j'en parais facilement 20 de moins qu'on me dis tout le temps. S'est
probablement parce que j'ai un beau physique assez bien conservé pour un gars de mon âge,
suite à plusieurs années d'entraînement en développement musculaire. Comme ça fait quand
même plusieurs années que je ne m'entraîne plus, mes muscles ont en majorité disparus, mais
on m'a souvent dis que ça paraissait encore que je m'étais entrainé, malgré tout. Mais bon, ce
n'est pas la raison principale de ma présentation parmi vous. Si j'ai fait cette présentation, s'est
que puisque je suis nudiste depuis le début de mon âge adulte, ce qui nous rapporte aux années
70, je m'ennuie énormément de cette époque ou nous vivions tous ensembles, dans des
communes, regroupés par petits groupes allant de 3-4 personnes à au delà de 20 personnes. À
cette époque, la nudité intégrale, autant intérieure qu'extérieure, faisait partie de la game. De
mon côté, j'ai toujours préféré la NUDITÉ INTÉRIEURE, mais pas par souci de pudeur, loin de
là...lol S'est simplement que j'ai une telle horreur des foutus moustique que ça me coupe tout
mon plaisir d'être obligé de m'enduire de chasse moustique en plus de devoir m'enduire au
préalable de crème solaire pour éviter les coups de soleil. Alors, ça explique pourquoi je préfère
nettement le nudisme intérieur. Voilà ce qui m'amène ici, parce qu'en effet, je cherche une
chambre à louer, de préférence dans une maison privée, mais un appartement pourrait aussi
faire mon affaire. Mais s'est là que ça se complique parce que j'aimerais trouver un endroit qui
serait occupé par un amateur du nudisme intérieur, comme moi, bien entendu. De préférence,
j'aimerais que le locateur en question soit Gay ou au minimum BISEXUEL, car de mon côté,
sans être tout à fait Gay, je suis pas mal plus que simplement Bi. Physiquement, je ne suis
vraiment pas gros, sans être tout à fait mince non plus. Mon poids de 175 livres pour mes 6
pieds le démontre clairement d'ailleurs. En conséquence, je préfère nettement les hommes
vraiment mince et sans aucun surplus de poids. Côté pilosité, je suis modérément poilu et
comme je préfère de loin les hommes imberbe je suis très ouvert à l'idée d'une épilation intégrale
sur ma propre personne. Il y a un point très important à prendre en note avant de me contacter et
s'est le suivant: Je suis musicien, claviériste, et je compose un style de musique Électronique de
la catégorie Techno qui s'appelle du PsyTrance. En conséquence, j'ai besoin d'un endroit où je
pourrai continuer à pratiquer librement mes compositions musicales, mais sans que ça dérange
personne, bien entendu. L'endroit en question et la chambre que j'occuperai pourraient au même
endroit, bien entendu, s'est-à-dire dans la chambre que j'occupera et je préfèrerais d'ailleurs que
ce soit ainsi. Par contre, ça implique que la chambre soit vraiment grande à ce moment là afin
que je puisse y placer tout ce dont j'ai besoin. Ça implique forcément aussi que la dite chambre
soit situé dans un sous-sol à ce moment là, sinon, ce sera pratiquement impossible d'insonoriser
l'espace que j'occuperai afin que d'une part, aucun voisin ne puisse entende le son de ma
musique, tandis que d'autre part, ce sera aussi très compliqué, voir même quasiment impossible
de faire en sorte que l'autre occupant de l'endroit, s'est-à-dire le locateur, ne soit pas lui même
importuné par le son de ma musique. Vous aurez compris, en lisant ces lignes, qu'il s'agit d'un
projet sérieux et que je tente de m'établir de façon durable. Alors, si jamais un homme vraiment
mince et d'agréable compagnie tombe sur ces mots et trouve mon idée intéressante, je l'invite à
me contacter dans les plus brefs délais pour qu'on en discute. Merci de m'avoir lu, Christian
.

            *** nu et aimer le sexe vont bien ensemble''' réponse de Lecossais

J'oubliais de dire que je suis à Drummondville : la capitale québécoise du naturisme, de la nudité
et de l'échangisme. DSA--Air-Soleil--AdamEve (hommes seuls bienvenus) sont des centres
naturistes et échangistes. Aussi un club de rencontres coquines sur la rue ''St-Pierre'' au centre
ville (regarde le site internet) ; les hommes seuls admis les vendredis soirs seulement.
Le ''Domaine Emeraude'' n'est pas loin, à St-françois-du-Lac, pour hommes seulement. Ainsi à
Drummondville, les hommes qui aiment la nudité sont choyés : les gays, les bisexuels ont le
choix.
***Je serai au ''Domaine Emeraude'' demain samedi le 11 (onzou) toute la journée. Tu peux
apporter ton lunch. Piscine, petit bar et grand terrain passé le petit pont. 25$ avec la carte de
membre pour une journée. Tu peux coucher : chalets,cabines ou tentes. Viens...

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : aout 12, 2018  06:16

                            *** QUAND L'AMOUR N'A PAS D'ÂGE ***
Chloé Marriault La Presse 12 aoùt 18
Sites de rencontre, agences matrimoniales, activités pour les aînés, vacances leur étant
destinées... Les aînés ont recours à différents moyens pour trouver un nouveau partenaire. Ce
qu'ils cherchent : Une relation sérieuse, sans forcément habiter sous le même toit.
Dans l'entrée de l'appartement de Réal Latulippe trône sur une table basse une photo de lui et
de Lise Lamoureux au restaurant, tout sourire, deux jours après leur rencontre. Une autre,
pendant leur croisière aux Bermudes, quatre mois après leur premier rendez-vous. Au mur, un
tableau avec l'inscription «Le chemin du bonheur est si étroit que si l'on veut y circuler à deux, il
ne faut faire qu'un».
Assis sur le divan du salon, main dans la main, les yeux qui pétillent, le couple, visiblement
complice, fait le récit de sa rencontre. Veuf depuis 2010, Réal Latulippe s'était inscrit il y a sept
ans à une agence de rencontre. «J'ai rencontré cinq ou six femmes, mais ça ne cliquait pas.
Une ne voulait même pas que je lui donne la main», raconte l'homme aujourd'hui âgé de 79 ans.
Lise Lamoureux, 69 ans, veuve depuis neuf ans, avait quant à elle essayé les sites de rencontre,
mais n'avait pas été convaincue. «C'est un peu comme du magasinage, c'est froid. Je me suis
tannée.» Ce qu'elle recherchait : Quelqu'un qui bouge, une personne dynamique qui veut faire
des activités. Et quelqu'un d'autonome, qui n'a pas besoin d'être avec moi tout le temps»,
explique-t-elle, sémillante. Elle était inscrite depuis un an à l'agence RENCONTRE FLEURY
quand la gérante lui a proposé de rencontrer Réal Latulippe.
Après une longue conversation téléphonique, ils conviennent de se rencontrer pour boire un
café le 11 mai 2017 à 16 h 35, précise Réal Latulippe, qui avait apporté une rose. Leur
premier rendez-vous est un blind date, l'agence de rencontre n'utilise pas de photos. Tout de
suite, les deux se plaisent. Il est romantique, gentleman, honnête, dynamique. J'étais tranquille
à l'intérieur, comme si je savais que c'était la bonne personne pour moi, se souvient Lise
Lamoureux.
Les deux s'entichent et vivent depuis une idylle sans encombre. Danse sociale, randonnée,
horticulture, cuisine... : le couple fringant enchaîne les activités et partage les mêmes centres
d'intérêt. Notre relation est belle et simple. On a les mêmes valeurs, on a été éduqués de la
même façon, confie Lise Lamoureux.
               Sites de rencontre et agences matrimoniales
Arrivés à la retraite, les aînés se retrouvent parfois seuls à la suite de la mort de leur conjoint.
D'autres font soudain face à leur compagnon, une fois les enfants partis du nid. Pour certains,
c'est le moment de se séparer... Et de refaire leur vie. Mais ne travaillant plus, il peut leur être
difficile de faire des rencontres hors du cercle d'amis. ***Un marché s'est donc mis en place :
sites de rencontre, agences matrimoniales, activités pour les aînés, vacances leur étant
destinées...
Comme Réal Latulippe et Lise Lamoureux, Ed*, 70 ans, a fait appel à une agence de rencontre.
Lui était seul depuis un peu plus d'un an à la suite d'une rupture.
Je me demandais comment procéder pour trouver l'âme soeur. Comme je disais à mes
copains, je ne me voyais pas commencer à faire la tournée des bars.
- Ed, 70 ans
J'avais éliminé la possibilité de demander à mon entourage de faire des présentations, car si la
relation avec quelqu'un qu'on nous a présenté se passe mal, ça crée des malaises. Alors, j'ai dit
à l'agence Intermezzo que je cherchais une amoureuse. La plupart des aînés qui choisissent
une agence vantent ,l'accompagnement personnalisé, un environnement plus chaleureux et
des profils filtrés.
Après quelques rencontres infructueuses, il fait la connaissance de Béa*, 60 ans, en février
dernier. Cette dernière, également séparée, n'avait pas connu de relation sérieuse depuis neuf
ans. Depuis, elle parle d'une relation extra : Je ne croyais pas que ça m'arriverait. J'ai
trouvé la perle rare, s'enthousiasme-t-elle.
Chez l'AGENCE ACCORD, créée il y a 25 ans à Montréal, les aînés représentent 20 % de la
clientèle. Une part qui n'a cessé d'augmenter au fil des années. La gérante Murielle Poitras
organise tous les samedis des dîners pour que les aînés rencontrent de nouveaux amis - et,
idéalement, un compagnon ou une compagne. Les personnes d'un certain âge ont évolué :
elles sont plus ouvertes qu'avant, pense-t-elle. Autrefois, la période de deuil pouvait durer
plusieurs années. Souvent, la maladie nous rattrapait avant même d'avoir terminé ce moment de
veuvage. Évidemment, il ne faut pas oublier la religion qui était très présente il y a une trentaine
d'années.
                   Une volonté de garder son autonomie
La plupart des aînés cherchent une relation sérieuse, mais SANS FORCÉMENT COHABITER. Il
faut dire qu'à cet âge, la plupart sont propriétaires et ont leur indépendance financière. C'est le
cas de Lise Lamoureux et de Réal Latulippe, qui ont tous deux gardé leur appartement. Ils
habitent à 15 minutes l'un de l'autre et se voient quatre jours par semaine. Les gens ont le goût
de partager de bons moments, des sorties, des activités sportives, des voyages, des moments
en famille, mais ne sont pas prêts à tout vendre et à se départir de leurs biens, constate
Murielle Poitras.
Selon Céline Lavoie, directrice de l'agence À deux c'est mieux à Québec, cette non-cohabitation
facilite l'acceptation de la relation par les enfants. Il n'ont pas l'impression que le nouveau
conjoint va occuper la place de la mère ou du père dans la maison familiale. Cela ne ressemble
pas à une famille recomposée et, finalement, on ne bouleverse pas trop les habitudes de
l'entourage. Les enfants n'ont pas le sentiment d'être déshérités?», observe-t-elle.
Mais alors que la plupart ont eu un compagnon de longue date, comment abordent-ils le
passé ? Ceux dont le passé conjugal a été heureux en parlent plus facilement, peuvent garder
une photo dans la maison si le nouveau partenaire l'accepte, remarque Chloé Dauphinais,
auteure d'un mémoire de maîtrise sur l'amour des aînés. Ed confirme : s'il connaît le détail du
passé de Béa, et inversement, ils préfèrent penser à l'avenir. Certains couples vont même
jusqu'à se (re)marier. En 2017, 3913 personnes de 60 ans et plus se sont mariées au Québec.
En comparaison, 2702 personnes de cette tranche d'âge s'étaient unies dans la province en
2010. Une hausse à nuancer par une augmentation de la population âgée.
Penser à l'avenir, c'est aussi s'interroger sur la vieillesse : Ed a 10 ans de plus que Béa. Cette
dernière raconte que son âge l'avait freinée au départ. Cela fait peur dans le sens où je veux
être avec lui longtemps. Mais s'il lui arrive quelque chose, je sais que je serai près de lui et que
je prendrai soin de lui, assure-t-elle. Idem pour Lise Lamoureux, dont le compagnon a 10 ans
de plus qu'elle. Il va sûrement ralentir un jour, mais ce n'est pas demain la veille, je crois, IL
FAUT VIVRE UN JOUR À LA FOIS; nous ferons face à la musique en temps et lieu.
             Quelques chiffres
En 2017, sur 8,4 millions de Québécois, on comptait 1,6 million de personnes âgées de 65 ans
ou plus.
Selon les projections de l'Institut de la statistique du Québec, le quart des Québécois seront âgés
de 65 ans ou plus en 2031 et près du tiers, en 2061.
Un peu plus du quart (27 %) des personnes âgées de 65 ans ou plus vivent seules au sein d'un
ménage privé. Cette situation concerne davantage les femmes (33 %) que les hommes (20 %).
**Source : Direction de la recherche, de l'évaluation et de la statistique du ministère de la
Famille
*Ce message a été édité le Aug 12, 2018 6:21 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : aout 14, 2018  14:16


   *** 8 aoùt : La Journée Mondiale de l'ORGASME FÉMININ : Le plus Beau Jouir de l’Année !
Que ce soit pour être en bonne santé, par plaisir ou pour assurer la reproduction de l’espèce, les
motivations pour copuler sont aussi nombreuses qu’agréables. Et qu’importe l’objectif, le chemin
est le même et aboutit (aussi souvent que possible) au plaisir délicieux de l’orgasme.
Mais vous êtes-vous déjà posé une seconde pour réfléchir au sens de la vie de l’orgasme ? D’où
vient-il ? Qu’est-il ? A quoi bon ? Attrapez une bonne tasse de café, prenez un stylo, un carnet,
et restez concentré : on va se pencher ensemble sur toutes ces questions.
Et avant de commencer, nous vous laissons méditer sur cette citation de l’un des plus grands
penseurs de l’orgasme de l’histoire, le Docteur Alfred Kinsey : « l’orgasme est comme une
montée crescendo provoquée par un orchestre d’émotions… un peu comme un éternuement. »
Et puisque l’on parle d’experts en la matière, les célèbres chercheurs Masters et Johnson ont
justement décrit le processus de l’orgasme au travers de 4 phases d’un « cycle de réponse
sexuelle ». Voyez plutôt.
    l’excitation
Elle démarre moins d’une minute après la stimulation sensuelle, le VAGIN commence à se
lubrifier, à s’élargir et à s’agrandir. Les lèvres internes et externes, le CLITORIS et parfois les
seins commencent à gonfler. Chez l’homme, le pénis enfle, de même que les tétons qui peuvent
devenir durs. Le rythme cardiaque et la respiration des deux partenaires s’accélèrent.
   le plateau
Durant cette deuxième phase, les réactions rencontrées durant la phase d’excitation
s’intensifient; des rougeurs sur la nuque ou le visage, et les muscles commencent à se
contracter dans les hanches, les mains, les fesses ou les cuisses.
Le pénis est en érection et les lèvres vaginales continuent de grossir tandis que le vagin s’ouvre
et que le clitoris disparaît dans son capuchon.
    l’orgasme
Elle ne dure que quelques secondes.
la pression sanguine et la tension musculaire ont atteint leur pic, et certains voient même leurs
mains et leurs pieds se contracter en un réflexe musculaire.
Chez l’homme, cette sensation où il sent qu’il va « exploser » est appelée « l’éjaculation
inévitable ». Elle est due à la présence du liquide séminal dans l’urètre, signe infaillible qu’il va
exploser. Les femmes vont sentir leur paroi vaginale se contracter à un rythme régulier, certaines
évoquent une contraction toutes les huit à dix secondes, mais cela dépend de l’orgasme.
      la résolution
Le corps commence à revenir à son état de pré-excitation (une phase plus longue chez la femme
que chez l’homme) en commençant à désenfler là où ça avait gonflé et en en voyant les muscles
se relâcher. Le pénis devient mou et doit attendre un certain temps, appelé « période
réfractaire », avant de pouvoir repartir au combat. La durée varie en fonction de l’âge et de
l’endurance de l’homme. La plupart des femmes n’ont pas de période réfractaire et PEUVENT
JOUIR À NOUVEAU sans attendre.
Grâce aux études menée par Masters et Johnson sur la réponse sexuelle, on sait à peu près ce
qui arrive au corps pendant l’orgasme. En revanche, ils n’apportent pas de réponse quant à
l’expérience du cerveau… Ne vous inquiétez pas, nous allons vous entrainer avec nous dans les
méandres de l’extase pour savoir ce qui nous fait planer comme ça.
       Les orgasmes jouent avec nos nerfs
Nos parties génitales sont dotées d’un grand nombre de différents types de terminaisons
nerveuses qui envoient des impulsions au cerveau. Les stimuli sont perçus différemment selon
l’endroit où l’on est touché et la façon dont on est touché. ***Raison pour laquelle l’orgasme
vaginal est différent de l’orgasme clitoridien.
Le clitoris contient plus de 8000 terminaisons nerveuses, en voici quelques types qui
correspondent à des zones génitales et au point de départ du stimulus :
•Le nerf vague : l’utérus et le col de l’utérus, le vagin.
•Le nerf pelvien : le col de l’utérus et le vagin pour les dames, le RECTUM POUR LES DEUX
SEXES.
•Le nerf honteux : le clitoris chez les femmes, le pénis et le scrotum chez les hommes.
•Le nerf hypogastrique : L’utérus et le col de l’utérus chez les femmes, et la prostate chez les
hommes.
Petite anecdote en bonus : seul le nerf vague ne rejoint pas le cerveau via la colonne vertébrale.
On a en effet découvert récemment que les femmes souffrant de problèmes graves de la moelle
épinière (et même les paraplégiques) continuaient de sentir la stimulation du nerf vague dans le
col de l’utérus et pouvaient même avoir des orgasmes. Avant cette découverte, on pensait que
ces personnes ne pourraient plus jamais avoir d’orgasme. Merci la science !
Un cerveau pour deux
Il n’y a pas eu beaucoup de recherches effectuées spécifiquement sur le cerveau féminin
pendant la stimulation sexuelle et l’orgasme, mais on sait en revanche qu’il se passe à peu près
la même chose dans les cerveaux des deux sexes.
On sait ainsi que chez les hommes comme les femmes, le cerveau connaît une coupure
complète dans la zone juste derrière l’œil gauche, dans le cortex latéral orbitofrontal. C’est la
zone du cerveau qui contrôle la raison et le comportement, l’orgasme faisant perdre,
littéralement, tout contrôle. D’après les chercheurs qui se sont penchés sur le sujet, c’est
comparable à une personne en plein shoot d’héroïne.
Là où hommes et femmes diffèrent, c’est que chez les femmes, l’activité dans l’amygdale et
l’hippocampe diminue grandement, deux zones responsables de la peur et de l’angoisse. D’où la
théorie de certains chercheurs qui y voient les raisons pour lesquelles les femmes ont besoin
d’être parfaitement détendues pour profiter des joies de la galipette.
La science et la simulation
Au cours de certaines études qui ont passé le cerveau féminin sous IRM pendant l’orgasme, on
a demandé aux femmes de simuler l’orgasme pour voir comment le cerveau régissait. Pendant
cette performance d’actrice, on a noté que l’activité augmentait dans les zones du cerveau liées
au mouvement, mais on a également remarqué que les parties associées au plaisir réagissaient
de la même façon. Parfois, il suffit d’y croire !

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : aout 15, 2018  05:20

   *** L'église CATHOLIQUE a toujours été un repaire de PÉDOPHILES. Es-tu surprise ? ***
USA: 300 prêtres accusés de pédophilie
Radio-Canada.ca   
Plus de 300 prêtres ont agressé au moins 1000 enfants et ont été couverts par l'Église
catholique de la Pennsylvanie, selon une enquête des services du procureur de l'État publiée
mardi.
Le rapport final, qui a été rédigé par un jury populaire auquel avaient été soumises les
conclusions de l'enquête, indique que « quasiment tous les cas » allégués sont aujourd'hui
frappés par la prescription et ne peuvent être poursuivis pénalement.   
Le document de près de 1000 pages publié mardi évoque 300 « prêtres prédateurs » et se base
sur des archives de six diocèses catholiques.
Le jury estime que le « nombre réel » d’enfants qui ont été victimes d’abus sexuels pourrait
s’élever à « des milliers », car certains dossiers ont été perdus et certaines victimes se murent
dans le silence.
Le procureur général de Pennsylvanie, Josh Shapiro, a déclaré que l’enquête de 18 mois a mis
en lumière la dissimulation systématique de ces agissements par les hauts responsables de
l’Église de Pennsylvanie et du Vatican.
Ce rapport est l’un des plus exhaustifs sur les abus sexuels commis par le clergé.
Le cardinal Donald Wuerl, ancien évêque de Pittsburgh maintenant archevêque de Washington,
a déclaré avant la publication du rapport qu'il s'attendait à être critiqué.
Dans une lettre destinée aux prêtres, il explique avoir agi avec diligence pour protéger les
enfants lorsqu’il était évêque à Pittsburgh, poste qu'il a occupé jusqu'en 2006.

P.S. de Lecossais : moi non pas du tout. Je sais ça depuis 60 ans. Au Québec ou ailleurs, les
collèges 'classiques', les 'séminaires', les écoles dirigées par des curés ou des 'frères' ont
TOUTES été des repères pour les pédophiles attirés par les jeunes garçons et accompagnés par
les évêques et le pape. Avec tous ces hypocrites dans l'église catholique, tu as de bonnes
raisons d'être athées !
*Ce message a été édité le Aug 15, 2018 5:22 AM par Lecossais*

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