Présentement sur Amicalien
Les membres en ligne : 4
Les nouveaux membres : 0
Anniversaires aujourd'hui : 4
Famille : La sexualité n'a pas d'âges
Ce sujet fait partie de la famille La sexualité n'a pas d'âges. Cette famille est semi-privée. Vous pouvez lire le contenu de cette famille mais vous devez vous y inscrire pour échanger.
Auteur
Sujet : Opinions
Or-lyne |
Date du message : aout 6, 2017 17:02 |
||
Pleins
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 8, 2017 11:05 |
||
*** Et la FIDÉLITÉ dans le mariage dans tout ça ?? Oh la-la............*** D'abord il faut savoir que ce mot a été inventé par les curés ...pour nous faire souffrir et qu'on aille au ciel (sic) ! Tu te souviens :''Jurez-vous...etc...''' mais faut aussi savoir que ces mêmes curés forniquaient avec leur servante, les sœurs d'à côté, la ''ménagère ou les ptigars après avoir juré eux-mêmes. ...Maintenant ce sont les futurs mariés qui décident, devant la mairesse, de faire des promesses. La seule promesse que les mariés devraient se faire : ne pas être jalouses, ne pas être possessives et que leur mariage demeure OPEN (OUVERT)...c'est-à-dire que du côté sexuel, le couple se fait la promesse de LAISSER LA LIBERTÉ à l'autre, d'en prendre soin et de l'épauler dans les moments difficiles. Quand on était jeunes, nos parents nous disaient :''Va t'en dans ta chambre réfléchir'' quand on faisait une connerie. Les adultes devraient aussi se donner de la corde, prendre des pauses de 2 à 5 jours, seuls au camping ou chez une amie. Ce sont les seules promesses qu'ils devraient se faire. Si le couple décide d'avoir un enfant ? La promesse devrait être , et signée devant notaire, d'être avec son enfant jusqu'à ses 18 ans. C'est tout un contrat mais ça devrait être ça. L'enfant sera avec ses 2 parents tout ce temps ...tout en gardant son mariage ''ouvert'' aux autres, côté sexuel. Si t'es pas assez matures pour ça, ne te marie pas. Tu me demandes si moi j'ai été ''matures'' ? Mets-en.............. Voir autres messages pour les détails, petite coquine.
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 9, 2017 10:36 |
||
*** La solution pour les vieilles comme nous *** (à partir de 62 ans) Pour 'épanouir' sa sexualité, les masturbations de groupes sont conseillées. Peu importe le cas de figure : 3F--3H--2H+1F--2F+1H--2F--2H. Organiser des rencontres discutatoires, des rencontres dînatoires et finalement des rencontres masturbatoires avec tout le monde dans la même pièce, au salon ou sur le très grand lit. Apporte tes jouets érotiques vibrants ou non et une fois sur place, tout le monde en lingeries-dentelles pour les 2 sexes. Quel magnifique programme ! Finie la solitude, les cachotteries. Bon, soyons pratique : qui m'invite ? J'aimerais commencer avec un homme de mon âge ou plus vieux...ou....hiiii 'or-lyne' ! J'attends ta proposition. Mousseux à l'honneur ! yééééééééééééé Musique-Slow et il est très conseillé de s'embrasser en premier. *Ce message a été édité le Aug 9, 2017 10:37 AM par Lecossais*
|
|||
Or-lyne |
Date du message : aout 9, 2017 11:02 |
||
Le désir reste bien en vie . Je ne sais ci élaborer me convient parmi et avec plusieurs dans une et même pièce . Tout de même je m'interroge à savoir mon ouverture ....d'esprit Disons que je suis aussi celle qui se dévoile dans l'intimité. Cher Lecossais, je vous rend hommage d'être ce que vous êtes ,Libre et démocratique. J'adore lire vos propositions Or-lyne xoxo
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 10, 2017 10:16 |
||
Chère Lyne, oui je sais pour l'intimité ...mais il faut que quelqu'un commence et ce sera moi qui se mettrai nu en premier. Tu verras comme c'est facile; on commence par des baisers, des mains baladeuses et on se découvre les seins. On peut garder la culotte qui sera le dernier morceau à enlever. On se caresse doucement sur la titeculotte et on flatte le clito à travers le tissu tout en dansant. On ne s'occupe pas de l'orgasme mais des joies des caresses. Je pense qu'il est plus facile de se voir à quatre qu'à deux. Toi Chérie qui as 6 pieds, je serai au niveau de tes seins, je ne te verrai même pas rougir ! **Réflexions d'un touriste et les coups de cœur de mon été 2017 qui s'en va sur le cul ! 8* ce matin à Chicoutimi. Voici les endroits les plus accueillants pour moi en petit VR de 18 pieds : ***CHICOUTIMI arrive en premier loin devant les autres. Suit toute la Côte Acadienne sauf Caraquet et Shipagan. Ensuite Sept-Îles; Rimouski, Gatineau et Ottawa pour la facilité de se stationner pour la nuit. On nous donne même une passe pour 3 jours où on peut parquer partout gratuitement. La Beauce au complet. Sherbrooke, etc... **Les villes qui se sont améliorées avec les années : Tadousac--Baie-Comeau--Jonquière-- Havre-St-Pierre. A ÉVITER : Ste-Anne-des-Monts--Baie-St-Paul--Dolbeau-Mistassini--Granby--Matane; Évidemment on évite Montréal--Laval et Trois-Rivières. Gaspé--Percé. Ces endroits nous mettent des interdictions partout, alors on passe sans dépenser... Tous les coins du Québec où les Indiens Inus y sont; le chef nous suit partout et on ne se sent pas en sécurité ! Natashquan est très maintenant contaminé par eux et prennent toute la place, nous envoyant de la poussière. **Nous avons dépensé 1500$ par mois surtout en restaurants...essences, babioles. Seront de retour à Drummondville avant le 10 septembre en passant par Petite-Rivière-St- François, La Malbaie et encore Tadousac... Au plaisir de te rencontrer... ***Je posais à Mimi la question hier : ''C'est quoi pour toi la jouissance ''? Elle me dit :'' PRIMAL''' c'est ETRE !! comme primordial. Et toi ?
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 11, 2017 14:42 |
||
*** SEUL AVEC SOI *** Mario Girard --journal La Presse Publié le 03 août 2017 à 05h00 Des données récentes de Statistique Canada révèlent que 28% des ménages canadiens sont composés d'une seule personne. «Apprenez à vivre seul», «Vivre seule et être épanouie», «Le défi de vivre seul». Avez-vous remarqué comme les titres de magazine qui portent sur les personnes vivant seules abondent depuis quelques années? Et pour cause, cette réalité est de plus en plus présente dans nos sociétés. C'est ce que confirment de récentes données de Statistique Canada dévoilées hier. On y apprend que 28% des ménages canadiens sont composés d'une seule personne. Du jamais vu. Le Québec détient le record dans ce domaine, avec un taux de 33,3%. Ce mode de vie est maintenant le plus répandu au pays. Il dépasse les couples avec ou sans enfants. Pour expliquer ce phénomène, les spécialistes de Statistique Canada évoquent le vieillissement de la population et le nombre sans cesse plus élevé de séparations ou de divorces. Ces explications sont à ranger dans la catégorie de la solitude subie. Mais je crois qu'il faut tenir compte de l'autre catégorie : la solitude choisie. Des hommes et des femmes de tous les âges prennent la décision, à un moment de leur vie, de vivre seuls, qu'ils soient en région ou dans les grandes villes. Cela serait lié à une indépendance financière de plus en plus répandue. Est-ce que vivre seul serait devenu le dernier des grands luxes? Je le crois. Pour ces gens, vivre seul ne veut pas dire nécessairement vivre isolé. Beaucoup de gens qui ont adopté ce mode de vie vous le diront. Cela ne les empêche pas d'avoir une vie professionnelle grouillante et une vie sociale très riche. Certains font parfois justement le choix de vivre seul après avoir connu des années trépidantes sur le plan social qui leur ont procuré une surdose dont ils ont envie de se reposer. Cela dit, je ne serai pas aussi optimiste que Gilbert Bécaud qui chantait avec son énergie légendaire que «la solitude, ça n'existe pas?». Ceux qui subissent la solitude contre leur gré peuvent souffrir énormément. Ce phénomène est un énorme défi pour nos sociétés. L'histoire de cette femme de 65 ans retrouvée sans vie dans son appartement de Trois-Rivières un mois après son décès en novembre 2015 a secoué l'opinion publique. Le rapport du coroner publié il y a quelques jours nous apprenait que la dame recevait un appel téléphonique par mois de son fils. Elle vivait donc une profonde solitude. Dans son rapport, le coroner recommande aux offices d'habitation du Québec une plus large utilisation de Pair, programme offrant un service d'appels quotidiens automatisés aux personnes vivant seules. Nous en sommes là. La solitude subie peut être un drame. Celle qui frappe la femme devenue veuve à 71 ans, celle qui survient quand on se sépare à 38 ou à 56 ans, celle qui vous étrangle quand votre entourage fout le camp à cause d'un problème de consommation. Ce n'est pas facile à ce moment-là de «refaire sa vie», une expression que je n'ai jamais aimée. Mais plusieurs vous le diront : «refaire sa vie» peut vouloir dire «donner un autre sens à sa vie». Ces mêmes personnes vous diront aussi qu'on arrête de souffrir quand on arrête d'attendre. Attendre l'autre, attendre l'amour, attendre une présence à côté de soi sur le divan ou dans le lit. Interviewé par Lizette Gervais en 1978, à la radio de Radio-Canada, Pierre Bourgault s'est, comme à son habitude, brillamment exprimé sur la solitude, un état qu'il a bien connu. Dans cette entrevue, consultable sur le web, il répond à la question suivante : «Qu'avez-vous appris à vivre seul?» Le sage qu'il a toujours été dit ceci : «Je me suis appris moi-même.» Les mots de ce fin observateur de la vie et des êtres humains expliquent, à mon avis, pourquoi il y a aujourd'hui un plus grand nombre de gens qui vivent seuls. Il y a aujourd'hui de plus en plus de femmes et d'hommes qui ont le courage et l'audace d'aller voir qui ils sont vraiment. Le rôle des autres est de savoir distinguer les types de solitude : celle qui réclame notre présence ou celle que l'on se doit de respecter et de ne pas juger comme on le fait parfois quand on regarde une femme qui a choisi d'avoir un enfant seule (Oh! la désespérée qui n'arrive pas à se pogner un gars!), un jeune immigré qui fréquente un gai plus vieux (Oh! le jeune profiteur!) ou une femme d'âge mûr qui a un amant plus jeune (Oh! la vicieuse!). Vivre seul n'est pas toujours un état dont on pâtit. C'est aussi une manière de se rapprocher de la liberté. P.S. de Lecossais : Dans la revue 'Le Bel Age' de septembre, j'y lis 40 % des vieilles vivent seules...et j'ajouterais que dans les plus de 65 ans, 60 % vivent seules. Est-ce le bonheur ou la solitude difficile ? Je te propose une rencontre par semaine, à Ste-Hyacinthe (centre du Québec ) à partir du 10 septembre. Date à retenir : PREMIER mercredi de septembre. Je propose 10h. le matin le mercredi (milieu de semaine) pour un café et possibilité de prolonger par un dîner. Le sujet principal de la discussion sera bien sûr LA SEXUALITÉ. Je serai là. ***Dans ma liste des villes super accueillantes s'ajoute St-Sauveur où le maire offre le parking de l'hôtel de ville à partir de 18h. et Ste-Agathe offre deux immenses parkings en centre- ville et son camping offre la douche à 2$. C'est assez différent de Ste-Anne-des-Monts où le maire indique dans son parking :'camping interdit'. Où va-t-on dépenser notre fric tu penses ! ***Ici je te raconte un fait qui se passe à Dolbeau,au bout nord du Lac-St-Jean, en plein centre- ville, et toute la nuit : la course poursuite des mâles en rut !! A partir de 21h. les mâles, seul dans leur voiture, se mettent à la recherche de d'autres mâles; de le trouver et de baiser ensemble dans les voitures.. C'est assez unique !J'ai vu de mes yeux ! En centre-ville ,d'immenses parkings vident où c'est écrit, partout, les défenses pour nous les VR. Je comprends que la ville ne veut pas que ça se sache. Moi, quand j'ai vu et entendu ça, je suis allé parqué à 'Service- Canada' et dodo.. Je me débrouille toujours pour trouver un terrain neutre ! Maintenant tu le sais si ça te tente !!! Dans mon livre Québec, cette ville obtient un gros X. ***Pour répondre à la charmante or-Lyne, je sais pour la nudité, que nos corps sont déformés par l'âge. Moi par exemple, j'ai une toute petite queue. Quand j'étais plus jeune, j'ai participé à un concours de la plus petite queue et j'ai gagné ! En plus de mes fesses tombantes, de mes genoux amochés, un orteil cassé, deux doigts, penses-tu que ça me dérange de me montrer ? Il y en a toujours de plus moches que soit. Mais oui je préfère le frotting sur le tissu comme quand j'étais jeune et mes premières masturbations. Bonjour Maman qui lavait........... *Ce message a été édité le Aug 11, 2017 2:44 PM par Lecossais*
|
|||
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 12, 2017 10:17 |
||
*** Les fesses nues dans les Dunes de Tadousac *** Au début des années 2000, aux Dunes de Tadousac, en haut, on indiquait que le naturisme était permis. Évidemment, tu me connais, en pas longtemps que je me montrais la quéquette. Et dans pas longtemps, la popo est arrivée; il parait qu'un enfant m'avait vu ? Mais comme tu sais maintenant, j'ai tellement une titequeue que la popo ne l'a pas vue... J'avais la queue invisible et elle est repartie. Ce matin, samedi 12, on est montés aux Dunes et oh surprise, une vingtaine de de VR y ont dormi, la quéquette cachée...Si tu penses être les seuls à me lire ici, environ 2000 condistes (SC) participent au '' forum des condistes'' et j'écris régulièrement. Mes remarques sur les villes y sont ...et mon sujet préféré est le NATURISME depuis 2006. Les femmes peuvent se montrer les seins au Québec et dans tout le Canada, le minou aussi s'il est rasé et non apparent (pas de touffe). Les pénis ? Oh quel horreur ! Je vais me plaindre à l'office de protection des consommateurs ou à l'ombudwoman...Quand même ,au sauna pour hommes, on me cruise même si...Merci pour les âmes charitables !
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 12, 2017 11:00 |
||
*** PREMIER PLAISIR Bi *** Une Histoire sur revebebe Auteur : Rudolfran Voici comment je rêve qu’un passage à l’acte bisexuel puisse se dérouler pour moi. Tout d’abord ce serait avec un homme plutôt âgé en tout cas avec du charme. J’aime les hommes qui sont masculins, mais dont la douceur ou la féminité se laissent deviner. Je ne sais pas comment nous nous sommes rencontrés, en tout cas style, discrétion et délicatesse ont guidé mon choix. Je ne sais pas non plus où nous nous trouvons, mais l’atmosphère est calme, tiède, dans un appartement ombragé, meublé sobrement et animé par une musique douce, sortie de nulle part. Un « Lover you should have come over », repris par Jamie Cullum. Aucun préalable, nous allons directement au fait. Mon seul objectif de la séance est d’être sodomisé. Peut-être d’autres séances nous amèneront-elles à des découvertes complémentaires ? Je m’allonge donc sur le ventre, nu. Il est nu aussi. J’ai les jambes qui, en appui sur le sol, sont plus basses que mon abdomen qui repose sur le canapé ou le sofa. Ainsi mes fesses sont légèrement surélevées, offertes, et je ne suis pas allongé sur mon sexe dur, tendu à tout rompre : il se trouve ainsi libre de bouger au gré de ses hoquets et ballottements à venir. Mon partenaire commence par me lubrifier. Lentement, délicatement. C’est presque trop long, j’ai envie qu’il aille plus vite au but, mais je me refrène, conscient que l’attente peut décupler le plaisir. De son index, il détend mon anus, avec attention et légèreté. Le contact est délicieux, hypersensible. De m’être déjà introduit un doigt me fait savoir l’exacte sensation qu’il éprouve à avoir le sien enserré, comme l’enveloppement doux et chaud d’une bague trop grosse pour passer la seconde phalange. Mais grâce à la crème lubrifiante qu’il dispose sur ses doigts, c’est bientôt le majeur qui rejoint l’index, enfoncés tous les deux intégralement. Il a beau avoir les gestes les plus suaves, la rigidité d’un doigt donne à l’exercice une once d’inconfort qui me fait aspirer plus encore à la phase suivante. En tout cas la manœuvre atteint son but : je me croyais tout à fait détendu mais il s’avère que désormais je me sens fin prêt. Alors il retire ses doigts, et rajoute un peu de crème lubrifiante, qu’il avait pris le soin de disposer au réfrigérateur. La sensation de fraîcheur provoque une légère crispation, contrastée aussitôt par l’apposition de son gland chaud sur mon anus. Le chaud-froid, bien que très léger, a un effet excitant d’une rare intensité, provoquant une quasi éjaculation (à moins que ce ne soit l’imminence de ce que je m’apprête à vivre…). Je sens alors poindre une perle de rosée à l’extrémité de mon méat, accompagnée de tremblements irrépressibles parcourant tout mon corps. Ma perception des choses semble se décupler, tous mes sens sont en éveil, aux aguets des palpitations du moindre de mes vaisseaux sanguins, de la plus infime terminaison nerveuse de mon corps. Une pression, d’abord légère, mais d’intensité croissante, intime le début de l’introduction : son gland profilé presse les muqueuses ultrasensibles de mon anus, et les écarte très progressivement. Ma préoccupation majeure à ce stade est la lenteur progressive. Ne pas freiner l’élan par une contraction réflexe de mon muscle *****. Et que chaque centimètre de peau, chaque millimètre carré sensible puisse profiter de l’instant, le mémoriser, que toutes ces informations aient le temps de parvenir à ma conscience. La progression est lente et tout à fait indolore. Mon anneau de muscles s’écarte facilement, ma décontraction et une légère poussée de ma part vers l’extérieur aidant à la manœuvre. Ça y est, le gland commence son parcours à l’intérieur du rectum, avec la même lenteur. Mon homme a apposé ses deux mains de chaque côté de mes hanches, afin de guider et doser son effort. Sa respiration s’accélère à mesure de la progression, infime mais ininterrompue, de son membre en moi. Ça y est, j’ai senti l’ourlet du gland pénétrer à son tour du côté intérieur de l’anus, signe qu’il est tout entier rentré. Chaud et doux. Là s’arrête la première étape de cette progression, et durant la pause qui s’improvise alors, j’arrive à sentir le rythme cardiaque de mon amant d’un soir : je sens ses petites veines battre contre les miennes, jusqu’à ce que notre rythme s’accouple lui aussi. Puis son gland ressort, à mon grand désarroi, en intégralité. Il revient à l’assaut assez vite, enduit d’un peu de crème lubrifiante froide qui fait à nouveau un contraste détonnant dans ce qui est devenu une fournaise. Le gland reprend immédiatement sa place, et l’assistance du lubrifiant permet au reste du sexe de s’enfoncer lentement, et toujours dans la douceur. Cette progression infime semble durer des heures. Je sens désormais les testicules de mon partenaire chatouiller les miens, ses cuisses buter sur mes fesses. Il est arrivé à la butée extrême, il est entré tout entier. Sensation inimitable. Il ajuste alors la position de ses pieds pour être à la bonne hauteur et que son sexe s’ajuste parfaitement en moi, et attend encore quelques secondes, les mains empoignant fermement mes poignées d’amour. Sentiment d’appartenir à quelqu’un tout en le tenant à sa merci. D’être un. Je suis plein du sexe d’un homme, sensation de plénitude, de douceur, promesse électrique de décharges intenses… Il me fait profiter encore quelques secondes, avant que tout ne bascule, de la sérénité de l’instant, du battement de son corps, que je ne ressens que de l’intérieur, quand par exemple la contraction de son périnée entraîne un gonflement de son gland : je sens tout, comme si c’était moi dedans. Puis les aller-retour commencent. Au début c’est très perturbant, voire gênant tant cela évoque une autre activité rectale : l’effet sur la prostate est presque irritant, car elle est considérablement sensible. Progressivement, le rectum s’habitue à ces va-et-vient, la lubrification évitant tout inconfort du mouvement. Au contraire, au fur et à mesure qu’il déroule son intensité, je perds mes repères, ne sachant plus à quel moment son sexe va dans un sens ou dans l’autre. Le mien, en revanche, est ballotté d’avant en arrière. Je me rends alors compte que mon érection est tout à fait imparfaite, voire semi-molle : moi qui me suis toujours demandé comment les hommes des vidéos faisaient pour ne pas bander tandis qu’ils étaient sodomisés ! Je comprends à cet instant que le plaisir ne viendra pas de là, toute turgescence est donc superflue. Plus intériorisée, la sensation est plus douce, plus progressive. Autre chose, tout simplement. La notion du temps s’est littéralement évanouie, parfois s’accélérant, ou ralentissant. Des fourmillements intenses montent le long de ma colonne vertébrale. Seule la musique me permet de conserver une notion de la réalité et du temps qui passe. De plus en plus enivré, je m’y accroche dans une dernière tentative de garder la maîtrise. Le rythme de mon partenaire comme sa respiration s’accélèrent. Sur mes hanches, ses mains sont moites. Puis elles parcourent mon échine, me caressent les épaules, provoquant des frissons interminables reliant mon cerveau à mon anus. C’est à ce moment que j’ai vraiment lâché prise. Les deux mains reprennent leur place tandis que la mesure que m’impose cet homme bat de plus en plus fort. Peu après chaque claquement de son bassin sur mes fesses, ses testicules fouettent tendrement l’arrière de mes cuisses. D’une main, j’appuie sur mon ventre, pour voir si je sens le membre bouger en moi, comme j’ai vu certaines femmes le faire. Je ressens alors doublement la pression de ce sexe qui s’agite, d’une part sur ma main mais aussi dans mes tripes. La netteté de cette sensation me confond. Et je reconnais à ce moment l’instant fatidique, la seconde avant laquelle l’étincelle met le feu aux poudres : sans que nous ne nous soyons rien dit, mon amant d’une fois sait quoi faire. Alors que sa jouissance est sur le point de se produire, comme les saccades de plus en plus brutales et le gonflement de son sexe me l’ont fait comprendre, il s’arrête, enfoncé en moi jusqu’à la garde : il sait que je veux tout sentir. Ces quelques secondes suspendues me font un peu douter de mon intuition, puis la décharge arrive, décomposée en sensations très précises, millimétrées, comme des mini-séquences au ralenti : d’abord la crispation simultanée du ventre, des fesses, du sphincter et du périnée qui entraîne un surcroît de volume dans son sexe, aussitôt ressenti par moi. Ensuite le méat se gonfle au passage du sperme y affluant et j’ai la sensation indicible d’un léger chatouillement au fond de mon ventre, dans ma plus stricte intimité, atteinte par la première giclée : comme l’effet d’une petite langue qui serait venue donner quelques coups délicats sur un boyau… Puis il reprend son rythme, plus saccadé, bloquant sa respiration au bout de chacun de ses coups de boutoir en libérant un peu plus de sa semence. Je ne sais plus dans quel sens je suis, ni où je suis, ni pourquoi cela m’arrive. Mais la vague est puissante, me faisant l’effet d’un malaise, comme si tout mon sang s’était donné rendez-vous dans ma tête. Un mini trou noir, comme un engourdissement total, où toutes mes sensations s’expriment si puissamment que je ne sais pas de quelle partie de mon corps elles proviennent. Quand je reprends mes esprits, après quelques minutes d’un probable assoupissement, l’homme est toujours en moi. Mes sensations étant de retour, je m’aperçois qu’il est moins dur. J’aime bien ce moment où la verge gagne en douceur ce qu’elle a perdu en vigueur. En soubresauts habituels du plaisir, maintenant ténus et espacés au point que je pourrais les prendre pour une respiration si je ne les avais pas vécus moi-même, les dernières secousses se font ressentir, expurgeant d’ultimes gouttes. Son érection décroît ensuite rapidement. Il reste cependant en moi, obéissant à une injonction muette de mon corps. Ma main, celle qui était restée appuyée sur mon ventre, est trempée d’un liquide poisseux, qui ne peut être autre chose que mon propre sperme : j’ai joui sans bander, sans même toucher mon sexe… La quantité de liquide au sol atteste à elle seule de l’intensité de ce moment. Étrangement, ce contact tiède de mon sperme et son odeur ravivent un désir que j’aurais cru tari. Mais l’appel d’une bisexualité assumée pourrait s’avérer, un jour, le plus fort. En tout cas suffisamment puissant pour imaginer une suite à cette première...
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 15, 2017 10:25 |
||
*** Feux d'artifice à Port-au-Persil *** Tout d'abord un excellent texte précédemment (13 août) sur la pénétration a-n-ale entre hommes...et toutes les sensations ressenties. Lors d'un voyage en solitaire à Paris en 1972, un soir, dans un café, je m'assois à côté d'un gars dans l'intention de lui toucher le genou. J'avais envie de connaître cette sensation sans savoir si le gars serait d'accord. Mais je me suis dit : quel gars refuserait de pénétrer et de jouir, même à défaut de dame, d'un homme. Et j'ai eu raison. Il était postier. Je suis allé chez lui et il m'a pénétré. 40 ans plus tard, je le ressens encore. Sa grosse queue...et j'avais bien aimé sa délicatesse comme dans le texte précédent. Il avait éjaculé..., pas moi, mais comme le gars ici, sans bander complètement, la prostate sécrète et mouille le gland. Quel bonheur ! et je ne l'ai jamais regretté. Je souhaite la même chose à tous les hommes de plus de 60 ans. ***J'ai proposé à toutes-tous, une rencontre ou deux par mois, pour ''parler sexualité''; ce sera à nous le groupe à décider de se revoir plus souvent. Je propose donc le 6 SEPTEMBRE, un mercredi, à 10h., à Ste-Hyacinthe, au nouveau Centre des Congrès. Je donnerai d'autres détails plus tard.. ***Port-au-Persil; un groupe de Français ont fait exploser des pétards au bout du quai. C'est fou ce que ce bruit fait sur le sexe d'une femme, dans le noir, et ces bangs-bangs. On dirait que la porte s'ouvre... ***Deux nouveaux hommes-membres ce matin. Vont-ils avoir le guts d'écrire quelques lignes ?? ***Le voyage s'achève bientôt avec Trois-Rivières, St-Jean-sur-Richelieu et chez moi à Drummondville. Ce que j'ai constaté de ce périple de 9000km. autour du fleuve, c'est le très grand nombre de touristes principalement des Ontariens et des Français. Depuis 10 ans que je fais ce tour, et cette année, c'est super le nombre! Les campings sont plein, les gites du Passant aussi. Et ça jase...J'ai fait plusieurs rencontres principalement avec d'autres ''safaricondo''. Ici à Cap-aux-Oies, en bas, plage naturiste depuis longtemps, connu des habitués. Les hommes se masturbent entre eux, loin de l'entrée. Quelques femmes se mettent nues aussi, en couple. La belle vie quoi ! A bientôt...*****
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 17, 2017 07:52 |
||
*** Changement de positions et de lieux *** Je ne pensais pas à ça et hier, depuis notre retour à l'appartement, on change nos positions. D'abord je jase plus sur le net, tôt le matin, avec des gars, avec des amies tout en s'excitant; la position dans le lit aussi change...(Je n'avais pas baisé en levrette depuis 2 mois) mais moi je préfère toujours le salon. En voyage, en véhicule, je n'ai pas le net pour baiser devant un film por- no, alors hier matin vers 10h., je trouve un film sur ''xHamster'' et hop, j'étais de nouveau bandé fort et j'ai pu pénétrer cette fois, ce qui ne m'était pas arrivé depuis 2 mois. Je ne sais pas si tu regardes dans les yeux quand tu jouis , moi j'aime bien voir...les yeux tourner, virer au vert. J'ai aussi jasé avec une amie qui se lève très tard, je me demande à quelle heure elle se couche ? et renoué avec un charmant ''jeune'' (64 ans) homme que je vais voir à Ste-Hyacinthe le 6 septembre à 10h. J'aime les sorties quand on ne sait pas ce qui va se passer. Pas toi ? ***Je viens de commencer la série sur ''Netflix'' : ATYPIQUE. Excellent, magnifique ! Une de mes 'petite-fille'' est autiste, elle ne parle pas en plus d'un retard (sic) mental. Dans cette série, un jeune de 18 ans a une forme d'autisme. Regarde ça...tu vas capoter !!!
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 18, 2017 08:26 |
||
*** La sexualité avec les personnes handicapées *** Toutes les personnes sur notre planète ont une sexualité, même celles qui sont en chaise roulante. Je crois qu'on bon vibrateur électrique ou non peut satisfaire. Il suffit de leur en faire cadeau. ***Lu dans la revue ''le Bel Age'' de septembre, des commentaires sur les plus vieilles :'''Le fait d'avancer en âge m'a toujours paru garant d'une plus grande liberté. C'est le moment où on brave les interdits, on largue les amarres et où on se moque des qu'en dira-t-on ! ''' Aussi cette phrase :'' J'ai toujours trouvé qu'il faut être aimable pour être aimée !'' (p.12) ***Rencontre excitante cet après-midi 14h. au centre commercial de Drummondville. Dans mon véhicule, deux jeunes hommes (64 et 74 ans) Pitouminou et Lecossais vont se flatter la queue, les fesses...Je te raconterai demain petites coquines ! Ce matin mon ami Pitou était en train de se raser autour de la queue, se laver, et vider ses fesses en préparation...Hum...Assez excitant merci. ***Reçue une autre invitation de Pondichéry, 66 ans, de St-Jean-sur-Richelieu...pour un café. Je lui ai suggéré la rencontre de groupe du 6 septembre à Ste-H. Moins loin et central pour tout le monde. A++
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 19, 2017 19:52 |
||
Par Isabelle Tremblay *** Savourer le moment présent: ça s'apprend! *** Alors qu’elle était en rééducation, on a remis à Mireille un pinceau, des couleurs et une feuille blanche. L’aquarelle lui a permis de donner libre cours à ses sentiments et lui a servi d’exutoire tout en lui apportant une grande satisfaction. Elle a exposé et vendu 80 % de ses aquarelles. C’est devenu un loisir, tout comme prendre soin de ses orchidées; elle en a 60, ce sont ses bébés. Elle se déplace maintenant avec l’aide d’une canne. Ses objectifs pour la prochaine année: mettre complètement de côté son fauteuil roulant qu’elle utilise occasionnellement, à l’extérieur de la maison, et réapprendre à conduire. «Avec une auto adaptée, je sais que c’est possible», conclut Mireille, une battante pour qui la vie continue d’être belle. Montons dans le train! ***Ne craignons pas d’aller vers l’inconnu, d’apprendre des choses nouvelles, de nous fixer des défis, d’aller au-delà des interdits que tous, un jour ou l’autre, nous nous mettons. Il ne faut pas se contenter de regarder passer le train de la vie: il faut y monter et profiter pleinement du temps présent. Beaucoup attendent avec impatience le moment de la retraite et, quand elle est là, ils voient les jours s’écouler sans que rien ne bouge. N’oublions pas que nous sommes les acteurs de notre propre vie… «Je suis trop vieille pour ça…», «Je me sens coupé du monde…», «J’aurais aimé me servir d’un ordinateur, mais c’est trop difficile à mon âge…», «J’ai toujours voulu apprendre la musique, mais il est maintenant trop tard…», «J’aimerais bien voyager, mais je ne peux pas, je suis seule…» Et la litanie des regrets s’allonge. «Une chose est certaine, quand je m’ennuie je hais ma vie. Je la hais parce qu’elle ne me procure aucun plaisir. Ou bien, est-ce parce que je la hais qu’elle ne me procure aucun plaisir? Il faut être en paix avec soi pour s’ouvrir aux plaisirs de la vie», remarque Catherine Bensaid. Il faut trouver en soi la force de réagir pour que ça change. Il faut s’ouvrir aux occasions qui passent ou, s’il n’y a rien qui se présente, il ne faut pas craindre d’en susciter pour sortir de la monotonie, d’une routine qui peut devenir lourde à supporter........ P.S. Excellente réflexion ce texte...à relire encore et encore... Phrase de mon ami Pitou: ''les gens attendent trop de l'autre dans une nouvelle rencontre, ils attendent qu'il soit parfait et qu'il nous plaise sur tous les points , en fait ils attendent qu'ils soient SOI. Ils vont attendre longtemps !'''
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 19, 2017 20:03 |
||
Après avoir lu le magnifique texte précédent, je te propose les hobbys d'une amie-amicalienne. De : Louise1951 Sujet :Salut toi Date : 19/08/2017 Heure : 19:44 PM Je fais partie de la famille, "Les amis de la Bretagne". et de celle qui s'intitule "Dépannage informatique" Ce que je fais de mes journées depuis ma retraite? Je m'occupe de mes enfants et de mes petits-enfants (je leur tricote de beaux morceaux de linge), je vois mes amis, je prépare mes voyages, je voyage,j'entretiens ma maison, je travaille dans mes fleurs, je sors beaucoup (repas au resto, spectacles) je profite de la vie quoi! P.S. de Lecossais : oui c'est possible d'avoir une vie simple comme ici, sans trop trop de frissons. Oui je sais, moi,j'ai la bougeotte, le goût de l'aventure, de grands frissons dans ma journée : des baisers, des caresses, des rencontres. Si rien ne m'arrive, je le provoque. Serais-je comme ça à 78 ans ? Non, je vais être bien pire !!
|
|||
Or-lyne |
Date du message : aout 20, 2017 10:03 |
||
Ah j'adore l'opinion Louise 1951 Tisser des liens avec des corps responsable,conscients et libres.La sexualité n'a pas d'âge
|
|||
Lecossais |
Date du message : aout 21, 2017 07:30 |
||
Mais oui Lyne-Adorée...et toi quelle est ta sexualité ces temps-ci ? Quelles folies douces tu prépares pour ton sexe ? Lui réserves-tu une surprise ? Ton sexe sera-t-il satisfait ? J'espère t'exciter un peu ici, comme un starteur, et à toi de continuer en te caressant. As-tu peur de la sécheresse vaginale ? Bon ça fait beaucoup de questions ce lundi. Prends ton temps Chérie ,mais ON VEUT DES RÉPONSES...hiiiii J'ai finalement rencontrer Pitou vendredi. Ça faisait des années que je n'avais pas caressé une queue à mon goût, et ce jeune homme (59 ans) est tellement intelligent, tellement doux et prévenant. Une perle rare je te dis. Je l'ai regardé couler sur ma main..... Si tu veux des photos de moi et lui , en lingeries roses, queues découvertes, tu m'en fais la demande ici ou à mon adresse. A nos âges, on n'a rien à cacher....même si ma queue est super petite, elle est quand même visible !
|
|||
Page 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | 39 | 40 | 41 | 42 | 43 | 44 | 45 | 46 | 47 | 48 | 49 | 50 | 51 | 52 | 53 | 54 | 55 | 56 | 57 | 58 | 59 | 60 | 61 | 62 | 63 | 64 | 65 | 66 | 67 | 68 | 69 | 70 | 71 | 72 | 73 | 74 | 75 | 76 | 77 | 78 | 79 | 80 | 81 | 82 | 83 | 84 | 85 |