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  Famille : La sexualité n'a pas d'âges


Ce sujet fait partie de la famille La sexualité n'a pas d'âges. Cette famille est semi-privée. Vous pouvez lire le contenu de cette famille mais vous devez vous y inscrire pour échanger.



Auteur

Sujet : Opinions

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 12, 2016  13:03

Bibliothèque fermée dimanche et lundi à Jonquière. J'ai dormi dans mon véhicule, dans la cour
d'une amie depuis 4 ans. 59 ans, veuve, pas de chum...mais deux chiens et une fille de 28 ans.
Spécial: la chienne (mère) a 11 ans, le fils a 10 ans...et à chaque fois que je flatte la mère, le fils
donne un ti-coup de tête à la mère , de jalousie ! Pourtant, elle a eu 11 chiots !...
Dans la piscine, hier, jet d'eau puissant projeté par la pompe, et si une vulve s'en approche,
orgasme assuré dans les 2 minutes, ce que j'ai conseillé à A. Elle a ri et m'a répondu:'' C'est trop
d'intimité ça !'' Misère ! et elle va dans la piscine, une dizaine de fois dans une année et ne se
permet pas une détente parce que je suis là ! Elle m'a quand même dit ''Je connais ça ce jet
d'eau et l'effet que ça fait !'' Bon ,un bon point pour la Dame. Peine perdue, j'ai proposé d'aller
prendre une marche et la laisser seule...mais non, pas voulu. Est-ce possible qu'une Dame ne
veuille pas que ça se sache qu'elle jouit à sa façon ? Trop d'intimité à 59 ans? Que les hommes
sont donc plus simples et prennent ce qui passe....mais j'étais tout de même pas pour répandre
mon sperme dans sa piscine ? As-tu remarqué , quand tu passes un bon moment dans une
piscine à l'eau assez froide, ta poche (testicules) et ta queue devienne comme prête à une
caresse. Ainsi ,en début de soirée, chez moi, je me suis permis cette tite-gâterie, seul avec moi-
même. J'ai pensé à A. et son orgasme devant le jet d'eau...quand elle est seule. ''Je suis dans la
rue des veuves'' qu'elle me dit et elle se crie d'une clôture à l'autre...''Non c'est pas un nouveau
chum, juste un ami '' hiiiiiiiiii et la photo de son défunt est partout dans la maison, même en
dedans des armoires. On a parlé du net et des rencontres. Des cas de ses copines qui
sont ''prises avec un homme'' et qui n'ont plus de liberté...ou que l'homme ne fait plus de tâches
ménagères, se trainent les pieds. Sa vie est quand même belle : une maison et des chiens qui la
suivent comme des bébés.
Je quitte A. demain matin le 13 pour le ''Tour du Lac-St-Jean''. Ce soir, je l'invite au
resto ''L'Entrecôte-Riverain''; j'apporte le vin et bière.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 13, 2016  10:44

Aidé à réparer sa piscine; le marteau a été utile ! Petit surtout rose à pois (poids) cachant son
immense bedon, on est partis pour le resto. Excellent, et j'ai été surpris par le service , la
serveuse et son sens comique. Brochette à la lime; elle ,brochette au maïs. ''J'aimerais
rencontrer un homme ...mais j'ai deux chiens (enfants) et une fille qui vit chez moi'' me dit-elle.
Hé oui on ne peut avoir la queue d'un homme dans son lit si on a deux chiens qui prennent la
place. Des chiens, c'est très jaloux tu sais !
Je lui suggère de prendre un homme ''occasionnel'', les après-midis entre 14 et 16h.
Alors son annonce se lirait comme suit :'' Dame dans la soixantaine aimerait rencontrer un
homme pour me satisfaire sexuellement les après-midis entre 14 et 16h. Je mettrai les chiens
dehors. Peu importe son âge et son poids, j'aimerais qu'il me procure un ou deux orgasmes. ''
Voilà son annonce. L'idéal quoi: pas d'homme encombrant dans la maison; on se sert comme au
resto: à la carte; les fins de semaine, table d'hôte avec amuse-gueule.
''P.S. par temps chaud (10 fois par année), on irait ensemble se frotter au jet d'eau puissant de la
piscine. Je serai très intime avec toi; tu pourras éjaculer dans ton maillot.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 14, 2016  13:44

Roberval (Lac-St-Jean ) sous le grosse pluie, ce 14 juillet ,fête de nos cousins ''Allons, enfants
de la patrie, le jour de gloire est arrivé!'' Ah bon ? Merci de me l'apprendre, peuple contestataire.
Quand je regarde un film français, la cigarette n'est pas loin; on me fait de la fumée, en somme
on conteste la loi anti-fumeur. Tous les films français des années 2 mille, on fume en gros
plan...et ça meurt du cancer, hein Gainsbourg, Brel, Ventura, etc...et dans pas longtemps l'autre
là qui fait toujours le flic ?
Je suis toujours dans les ''cahiers'' de Simenon de 1970. Surprenant que ce bonhomme ''à
femmes'' ne connaissent pas les femmes, en tout cas, la sienne, Denise Ouimet. Imagine, quand
ils vont en ''boîte'' à Lausanne, Lui, cruise les autres femmes et quelques fois, en ramène une
supplémentaire à la maison...et il est tout surpris que Denise, pour les 3-4 jours suivants, soit de
mauvaise humeur. Misère Sim, tu ne sais pas qu'une Dame veut l'EXCLUSIVITÉ, être la seule
baisable sur le moment. Tu peux mentir, tu peux aller voir ailleurs, mais NE LE DIS PAS. Si tu es
avec une , tu n'es QU'AVEC ELLE. Les autres n'existent ...pour l'instant.
Sur ce, bonne fête la Marijane. Chin............

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 14, 2016  14:58

   ''Journal-de-Montréal''
               Opinions
Mathieu Bock-Côté suivi de deux commentaires parmi des centaines
Jeudi, 14 juillet 2016 05:00
C’est le 14 juillet. La fête nationale de la France. Un pays magnifique, qui a marqué pour le
mieux l’histoire de l’humanité.
Un pays éprouvé, depuis quelques années, par une violence sauvage à son endroit. On pense
au terrorisme. On pense aussi à la violence intérieure dans certains quartiers. Le pays traverse
une crise majeure.
Aujourd’hui, la France souffre. Ses enfants sont tentés par l’exil. Plusieurs traversent l’Atlantique.
Mère patrie
Si la France est attaquée, c’est qu’elle demeure aussi un symbole: elle incarne la meilleure part
de l’Occident. Elle conjugue liberté et enracinement, elle a le charme de l’urbanité la plus
sophistiquée et des terroirs les plus féconds. Elle est chrétienne et laïque.
Mais aujourd’hui, j’aimerais parler de notre rapport à la France. J’aimerais dire: de notre rapport
à la mère patrie, mais nous avons perdu l’habitude de parler ainsi.
Pendant longtemps, les Québécois aimaient rappeler leurs racines françaises.
Alors qu’ils étaient méprisés par les Canadiens anglais, ils leur disaient ainsi: nous aussi venons
d’une grande civilisation.
C’était aussi une époque où on vénérait nos ancêtres. On ne les regardait pas avec
condescendance.
Mais notre rapport à la France s’est relâché. Aujourd’hui, on aime se faire croire que c’est un
pays comme un autre. On le snobe même un peu.
Par exemple, on se fait une fierté de mieux parler anglais que les Français, comme si la maîtrise
de la langue de l’empire américain était un signe indéniable de modernité. Quand les Québécois
répètent agressivement qu’ils sont nord-américains, ce n’est pas seulement pour rappeler une
évidence géographique. C’est aussi pour se détacher une fois pour toutes du vieux pays.
On regarde la France comme un gigantesque musée gastronomique dont les grandes heures
sont révolues.
Sauf que nous nous trompons. Aujourd’hui, en 2016, nous avons encore besoin de la France.
D’abord et avant tout parce que la France demeure et demeurera toujours le cœur vivant de la
langue française.
Si les Québécois ont survécu comme peuple, c’est en bonne partie parce qu’ils parlaient une
grande langue internationale qui leur donne accès au monde.
Littérature
Je me demande souvent comment nous pouvons volontairement nous priver des trésors de la
littérature française.
Si nous lui donnions toute la place qu’elle mérite, peut-être pourrions-nous réapprendre à parler
notre langue.
Et si, comme on le croit, la langue française est une patrie intime, celle de nos âmes, celle de
nos cœurs, il faudrait cesser de considérer qu’il s’agit d’une littérature étrangère.
Nous aurions beaucoup à apprendre de la France.
Son sens de la controverse, notamment. Là-bas, un débat n’est pas nécessairement une
chicane.
On admirera aussi la place de la culture générale dans la vie publique. Au Québec, dès qu’on
quitte le registre du vocabulaire de base, on est accusé d’élitisme.
Osons la formule suivante: pour les Québécois, la France n’est pas un pays comme les autres.
C’est encore un peu le nôtre.
Bonne fête nationale, cousin-cousine
Merci de ce beau témoignage que je partage car pour moi la France est dans mon cœur ma
deuxième patrie. Dès mon jeune âge je rêvais d'y aller un jour. À mon premier voyage, j'y était
allé avec une bourse du Gouvernement Français dans le cadre des échanges Québec/France..
Que de beaux souvenirs. Vive la France !
D’un autre point de vue :
Les français ont préféré les Antilles que le Canada, ça rapportait plus les épices , Voltaire
trouvait que ça ne valait pas la peine de mettre trop de ressources pour quelques arpents de
neige. Ça aussi, ceux sont les français.
On peut bien écrire des histoires romancées, mais ça se résumera par :partout ont été les
aventuriers (français,anglais,espagnols,portugais, etc) aux siècles derniers ils n’ont apporté que
misères, désastres.Ça n’a jamais été des gens de grandes éthiques morales ou quelconque.
Parlez-en aux amérindiens, aux esclaves, de toute l’Amérique qui jusqu’à nos jours n’arrivent
pas à se relever.
Les français sont nos cousins, Un peuple de grande culture et ...Alors, Bonne Fête, La France!

P.S. de Lecossais : J'adore les Françaises parce que pour moi, c'est le modèle de la femme
libérée et ça a toujours été. Elle se met les seins nus quand elle en est tentée...et surtout au
cinéma, aucun film ne passe sans une paire de seins par-ci par-là. J'ai voyagé une dizaine
d'années dans ce pays pour un total de 22 voyages. La Française se fait un honneur d'avoir un
poids idéal, genre mince et des seins... et un joli cul qu'elle nous montre. Il y a plus de 200
centres naturistes, en général, petits et très très amicaux...hum...Que de souvenirs ! La française
est mon modèle de femme, mon fantasme et mes rêves. Vive la Française !
Je suis prêt à correspondre avec toutes françaises qui le désirent.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 15, 2016  10:52

St-Félicien aujourd'hui.
Pas beaucoup envie d'écrire ce matin...sauf que la religion musulmane en est une de malades.
On s'en souviendra longtemps, probablement un siècle. Ce sont des morts dans l'âme, des aigris
et de profondément malheureux. Des hommes sans avenir qui cherchent des femmes soumises
qui devront porter le voile. A toutes les femmes, n'épousez jamais un musulman, ne vous en
approchez pas, ils puent. Je les sens jusqu'ici ces cadavres, ces morts vivants.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 16, 2016  10:50

Ceci dit, la vie continue. L'humanité a vécu l'époque catholique et ses meurtres; l'époque
espagnole et ses meurtres; on vit l'époque musulmane et ses meurtres qui devraient durer cent
ans. Fuyons toutes les religions, ne nous approchons pas des mosquées, ça sent la mort.
Que reste-t-il de bonheur ? La sexualité n'est-ce pas ? Faisons-la seule, en groupe, à
deux...dans le sauna ou par terre. Soyons infidèles, rencontrons de gentilles Dames à la pelle
comme on ramasse les feuilles mortes (Y.M.)
Bienvenue à un couple de Compton ce matin, des Cantons-de-L'Est (Pense-malin), 69 ans, quel
joli chiffre ! Baisons cul par-dessus tête. Léchons-nous entre les cuisses.
Ça me fait penser à 1962 et ma blonde. Cette année-là, on pensait tous mourir de la bombe
atomique à cause du communisme et de Kennedy. Ma blonde était vierge et me dit: ''Faudrait
bien qu'on baise avant de mourir ? Ouiiiiiiiiiiiiiiii bonne idée ! et ça s'est passé sur le divan du
salon,presque devant la belle-mère dans la cuisine. Juste de petits cris ont été perçus....et la
bombe a été désamorcée !

Suis à Alma et vu une ''fille'' sur le trottoir...Prrrrrrrrrofond décolleté ! La vie est-elle belle ?




Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 18, 2016  09:35

Le tour du Lac-St-Jean terminé et retour à Chicoutimi ce lundi.
***Je vais te dire un truc les Françaises : les petits centres naturistes de France sont excellents
pour faire des rencontres durables. Quelques fois on les appelle des clubs, d'autres, des centres
ou autres noms, c'est la même chose. Regarde sur le net, dans ta région, il sera possiblement
préférable de devenir membres pour quelques sous. Choisis les endroits naturistes où il n'y a
pas d'enfants (pas familial). Plusieurs, la majorité, ont plus de 55 ou 60 ans; des handicapées
quelques fois, des éclopées ou simplement des dames qui aimeraient rencontrer des amis, voire
l'amour. Il n'est pas du tout nécessaire d'être une star, loin de là, même que c'est préférable
d'être 'ordinaires', du poids, des défauts...Tu seras plus sympathique avec...Comme les
hommes seuls sont attirés par ces endroits, les Dames ont le choix...et pourquoi pas prendre un
petit jeune si tu es en forme ?
S' il t'arrive de rencontrer quelqu'une que tu connais, dis-toi qu'elle aussi rencontre une
connaissance et donc la discrétion demeure. On te donnera une clé pour les jours de semaines
où peu de monde. Moi j'ai connu une vingtaine de centres; je me suis fait des amies pour la vie
dans la Sarthe, vers Montluçon aussi, et des Dames du Nord qui cherchent un peu de soleil... En
Provence, plusieurs choix de terrain. Tu peux louer un chalet ou une petite roulotte. Les coûts
sont minimes et tu ne seras jamais seules, des amies...et du plaisir à profusion. A++
Consulte : la revue 'Fédération Naturiste Française' ou 'Centre de Vacances Naturistes'.
*Ce message a été édité le Jul 18, 2016 9:37 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 19, 2016  10:33


Suggestions de roman pour les 'vieilles' comme nous : Céline Curiol 'Les Vieux ne pleurent
jamais'. Acte Sud, 325p. Histoire de 2 vieilles qui détonnent dans un groupe du 3 ième âge
suivi de quelques commentaires de lectrices françaises.

***Judith et Janet ont 70 ans , elles vivent à New York depuis de nombreuses années . Seules
aujourd'hui , sans mari , ces femmes ne sont pas dévastées , elles poursuivent leur chemin tant il
est vrai qu'un être demeure le même d'un bout à l'autre de son existence . Un roman d'une
grande acuité sur le vieillissement , d'une surprenante empathie pour les troisième âge de la
femme , sur la gravité du temps qui passe mais aussi et surtout sur l'incroyable énergie de la
plupart d'entre elles face à l'étrange phénomène qui change nos corps mais pas nos âmes . Nos
têtes dirait-on , dans lesquelles s'agite tout ce que nous sommes , inchangé , depuis l'enfance.
La lecture de ce roman s'apparente vraiment aux montagnes russes, j'ai adoré certains
passages et d'autres m'ont agacée ou énervée.
La couverture que je trouve merveilleuse nous montre une vieille dame au corps et au visage
transformés par le temps mais belle dans sa robe fleurie et dans son abandon gourmand à la
caresse du soleil. L'héroïne ne ressemble pas à cette femme. Judith Hogen, toute nouvelle
septuagénaire new-yorkaise, ancienne comédienne de théâtre, vit difficilement son veuvage et
n'a pas la vitalité et l'excentricité de Janet Shebabi, sa pétillante voisine. Au début de l'histoire,
elle doit aller récupérer celle-ci au commissariat pour le vol de cinq boîtes de crème de marron.
Janet explique son geste par l'adrénaline généré par le risque et la sensation alors de se sentir
vivante.
Judith s'interroge beaucoup sur le "statut" réservé aux personnes âgées, trop souvent
infantilisées à son goût.Elle nous raconte avec un humour grinçant une excursion de deux jours
à laquelle sa voisine l'a convaincue de l'accompagner. Un car rempli de "vieux" en tenues
confort, une guide qui les traite comme des ados en colo et point d'orgue, la visite d'une usine de
glaces où le "troupeau" est invité à s'extasier et à consommer. Elle a la dent dure envers ses
congénaires et lutte pour ne pas être fondue dans la masse des "Damart". Elle s'efforce à tout
prix d'échapper à la malédiction de l'âge qui semble rendre transparents les anciens, plus
personne ne les regarde vraiment, plus personne ne s'intéresse à eux et ne les considère
comme des humains encore sensibles aux émotions.
Un soir, allongée sur son canapé, sa main heurte quelque chose : un livre. Il s'agit de "Voyage
au bout de la nuit" de Céline, un roman que Herb, son défunt mari semble lui avoir laissé comme
ultime conseil car elle trouve à l'intérieur une photo. Cette photo est un portrait de son frère, prise
cinquante ans plus tôt, ce frère qu'elle s'est jurée de bannir de son existence, de même que sa
mère et sa terre natale la France depuis 1968 et sa fuite pour les Etats-Unis. Judith les a laissés
derrière elle, incapable de leur pardonner leur attitude l'année de ses 17 ans quand elle s'est
affranchie, par amour, des préjugés de la société.
L'heure serait-elle au pardon, à la réconciliation ? Elle va entreprendre un voyage dans le temps
et dans l'espace. Revenir sur les lieux du "crime" et voir s'il subsiste quelque chose de son
extraordinaire complicité avec son frère. Judith "l'Américaine de coeur" prend son billet pour la
France et se met en quête de sa famille quittée il y a si longtemps...
J'ai été emballée par le début du roman, le duo Judith/Janet pétille et les réflexions sur la
vieillesse, si elles sont souvent tristes, ne tombent pas dans le cliché. Petit à petit, Judith m'a
agacée à toujours loger les "vieux" à la même enseigne, comme si elle et Janet étaient les
seules à entrer en résistance. Elle porte sur eux un jugement semblable à celui qu'elle reproche
aux plus jeunes. Elle ne les envisage plus dans leur singularité mais les met tous dans le même
panier.
Le voyage en France, son arrivée à Grasse où réside son frère, s'étirent en longueur. Elle fait la
connaissance de sa nièce qui finit par lui avouer que son père a disparu. Judith va donc patienter
dans le petit studio qu'elle a loué et si les journées lui semblent longues, c'est le même sentiment
pour le lecteur. de plus, j'ai trouvé cette péripérie, la disparition, un peu facile, voire artificielle.
Symbolise-t-elle l'impossibilité de renouer avec le passé, de réparer les blessures anciennes ?
J'aurais préféré que Judith soit confrontée à son frère.
le style aussi m'a déconcertée. Certaines phrases, certaines pages m'ont touchée au coeur par
leur justesse, par une utilisation des mots d'une grande intelligence. A d'autres moments, je me
suis énervée devant des tournures "précieuses", des subjonctifs "m'as-tu vu" qui ne semblaient
avoir comme raison d'être que de montrer la parfaite maîtrise de langage de l'auteure.
Au final, un livre intéressant, inégal selon moi, mais qui mérite amplement le détour.
A travers son personnage de Judith, veuve, ancienne actrice de théâtre à New York, vivotant
seule dans la grande banlieue américaine, Céline Curiol semble aborder le thème très
contemporain de la vieillesse dans une société qui ne sait que faire de ses vieux, considérés au
mieux comme des consommateurs au pouvoir d'achat important qu'il faut capter, au pire comme
des enfants revenus au CP, vivant entre congénères d'une même classe d'âges, qu'il faut
discipliner, encadrer, occuper, sans grand respect pour leur libre arbitre, qu'ils ont de toute façon
perdu.
A côté de Judith, sa voisine Janet, en tout point son contraire : coquette, enjouée, maligne, qui
souhaite se divertir, même si cela signifie partir en tour operator visiter en troupeaux de
septuagénaires des parkings de centre commerciaux et manger dans des restaurants dont le
seul lien avec l'Italie est le menu vert blanc rouge.
Deux conceptions de la fin de la vie donc, et une description entre humour et désespoir de ce
qui nous attend tous plus ou moins.
Puis à partir d'une photo retrouvée dans un livre (Voyage au bout de la nuit), le roman bifurque
vers autre chose, vers les liens familiaux de Judith depuis longtemps perdus. de vieille femme un
peu déprimée par la mort de son mari ou la vacuité de sa voisine, Judith prend une nouvelle
épaisseur, avec un passé qui émerge : on lui découvre un frère, une famille, une enfance en
France, qu'elle a quittée sans se retourner.
Il y a de beaux passages dans ce roman, qu'il s'agisse d'une réelle acuité sur notre société un
peu vaine, construite sur des rapports bien souvent superficiels, où la solitude est à peu près
aussi insupportable que la collectivité est redoutée, ou qu'il s'agisse de la construction d'une
fiction familiale à partir de faits, de gestes, de paroles, qui n'arrivent que partiellement à rendre
compte d'une vie et de ses méandres.
Il y a aussi quelque chose d'inabouti sur le dernier tiers du roman qui, à travers un procédé
littéraire classique un peu factice, puis une dernière scène un peu stéréotypée (genre film
indépendant américain), expédie les personnages et donc le livre dans une norme narrative
décevante. Comme si, alors que Judith semblait sortir d'une forme de renoncement, celui-ci
s'était emparé de l'auteur.
Une belle lecture donc pour les thèmes abordés, pour une écriture qui a l'ambition de porter sur
toute une vie, entre tristesse et détachements humoristiques et qui, malgré le petit écueil final,
donne envie de suivre Céline Curiol.
Judith, new-yorkaise de soixante-dix ans, est veuve depuis peu de temps. Elle reste assez
solitaire, ne fréquentant guère que sa voisine, la pétulante Janet. Judith a été actrice, mais elle
fuit dorénavant ses contemporains, notamment tout ce qui ressemble à une activité organisée.
Elle va pourtant suivre Janet, lors d'un voyage en car assez drôle à lire, surtout si comme Judith,
on remarque essentiellement les aspects comiques des groupes de personnes âgées. Mais
Judith vient de retrouver une photo entre les pages d'un exemplaire de Voyage au bout de la
nuit, une photo qui fait remonter quantité de souvenirs, et elle se met en tête d'accomplir un autre
voyage, de retour vers la France qu'elle a quittée depuis quarante-cinq ans.
J'avais découvert Céline Curiol avec L'ardeur des pierres, j'étais donc curieuse de ce dernier
roman, que sa jolie couverture m'a fait repérer tout de suite sur le présentoir de la bibliothèque.
Mes premières impressions sont que le style est beaucoup plus sage et moins original cette fois,
la narration moins éclatée. Toutefois les réflexions sur les différents âges de la vie, sur les
renoncements qu'on croit imposés par l'âge et qu'on s'est en fait imposés tout seul, sont
intéressantes. La première partie a une tonalité plus ironique que la seconde, qui est plus
tournée vers l'introspection et les retrouvailles avec le passé.
J'avoue avoir un peu moins aimé la seconde partie, n'étant pas particulièrement avide de savoir
quel secret le passé de Judith pouvait receler. D'autant que cet épisode de sa vie est assez vite
éventé, et, s'il est vraisemblable, il est un peu trop « monté en épingle ». Mais rien n'aurait pu me
faire quitter Judith avant la fin ! C'est en effet un personnage bien attachant, quoique j'ai eu un
peu du mal avec son âge, elle semblait agir et réagir comme quelqu'un de plus âgé, à certains
moments.
Livre très éton­nant qui, parfois, est très éner­vant et parfois très passion­nant, et très amusant ,
bref il est très, très, très .… Je pense que sans le club, je ne serais pas allée jusqu'au bout, Or,
cela aurait été vrai­ment dommage car j'ai eu parfois de véri­tables moments de bonheur. Avant
d'essayer de vous expli­quer, je vous raconte mon premier éner­ve­ment, cela ne concerne pas le
roman mais la maison d'édition. Acte Sud édite des livres petits formats que l'on doit tenir à deux
mains si on veut les lire, car sinon ils se ferment, ça m'énerve beau­coup.Judith est une femme
de plus de soixante dix ans, elle vient de perdre l'homme qu'elle aimait et souffre beau­coup de
son absence. Elle vit à New-?York et a une amie, Janet qui est plus âgée et qui a décidé de
résister à sa façon aux affronts de la déchéance physique de la vieillesse. Judith est fran­çaise et
a fui sa mère, son frère, la France qui n'ont pas su la retenir quand elle avait 18 ans. Je ne peux
en dire plus sur cette souf­france dévoilée seule­ment à la fin du roman. Mais plus que le dévoi­le­
ment de cette meur­tris­sure, ce que j'ai beau­coup aimé dans le roman ce sont des courts de
moments de vérité qui m'ont abso­lu­ment enchantée. Par exemple , la scène ou Judith regarde
des cars entiers de touristes se préci­piter vers le stand de glaces après leur visite de l'usine Ben
et Jerry est abso­lu­ment jouis­sive. Puis son regard s'arrête sur un couple discret qui attend sage­
ment son tour pour avoir enfin le droit de profiter de ce qui semble la récom­pense suprême de
cette visite : acheter leur cornet Ben et Jerry, surgit alors leur dragon de guide qui leur intime
l'ordre de remonter immé­dia­te­ment dans leur car sans leur glace…
Tout ce voyage en car d'excursionnistes sous la houlette d'une guide peu patiente est criant de
vérité. Judith finira par faire un rêve où elle s'imagine au paradis mais celui-?ci a la forme du plus
grand Mall dans lequel elle ne soit jamais allée. L'autre moment que j'ai aimé c'est quand les
deux amies se souviennent , l'une de l'odeur du café, l'autre du rimmel et puis soudain se
retrouvent dans un souvenir commun, elles étaient unies dans un même spec­tacle de théâtre,
l'une a sans doute habillée l'autre. Et pour­tant, elles ne s'étaient pas recon­nues.
Alors un très bon roman? (qui en plus s'accompagne de la lecture de Céline). « le bout de la
nuit » de Judith , c'est dans sa jeunesse qu'il faut la cher­cher. Cette quête rend le livre lourd et
labo­rieux, il y a une lenteur qui en rend la lecture diffi­cile. C'est d'autant plus éton­nant, que le
texte est comme parsemé de moments de plaisir. Il se veut aussi et surtout une réflexion sur la
vieillesse et le sort que l'on réserve aux vieux dans nos sociétés. Peut-?être que l'auteur a voulu
trop en dire , et en consé­quence de quoi son roman manque d'unité, on n'y retrouve pas le
mouve­ment qui entraîne le lecteur à tourner de plus en plus vite les pages.
Le passage du temps permet les retrouvailles. Elles sont nombreuses et donnent au roman ses
plus belles scènes ; à cette fiction sur la vieillesse, son prix.
Avec une intelligence aiguë et armée d'une écriture sensuelle, l'auteure glisse de la comédie de
mœurs à une gravité presque tragique.
Tous semblaient s’être donné le mot pour enfiler, ce matin-?là, de simi­laires combi­nai­sons de
jogging, en molleton mou, aussi seyantes qu’un pyjama, marquées pour certain du logo de leur
marque de fabri­ca­tion, combi­nai­sons qui ne les flat­taient fran­che­ment pas et évoquaient
l’uniforme régle­men­taire d’une insti­tu­tion spécia­lisée qui leur aurait accordé une auto­ri­sa­tion de
sortie excep­tion­nelle.
Les regards fuyaient lorsque je leur tendais le mien. C’était ceux de femmes plus jeunes que
moi, traversant la place, et dont je devinais la pensée parce qu’à leur âge aussi, j’avais tenté
d’appréhender la vieillesse en épiant les personnes âgées seules au café. Ô combien mes
représentations étaient alors incomplètes, autant que devaient l’être les leurs.
*Ce message a été édité le Jul 19, 2016 10:43 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 19, 2016  11:27

Centre ou Clubs ou Campings naturistes en France :

***Suggestions de Lecossais : d'après mon expérience, plus le domaine, camping ou autres
logements est petit, plus les personnes que tu rencontreras seront âgées, ou grosses ou 'laides'
ou handicapées. En campagne plus qu'à la ville.
Pour les plages, si tu es un homme seul, tu sera comblé !! Beaucoup d'homosexuels, de
bisexuels et d'hommes âgés. Les rencontres sexuelles y sont faciles, ou se faire des amis
discrets et confiants. Pour les Dames, privilégie les clubs petits et rustiques comme en Bretagne
(Ar-Na-Ocho) ou près de Paris, le 'Regain'. L'Ardèche est un excellent endroit pour la nature et
l'eau claire. ***Quand c'est indiqué 'En Famille' , ce n'est pas pour nous mais pour les
enfants.
Autre remarque: les Fédérations naturistes, pour qu'ils aient des subventions des
gouvernements, ils se doivent d'écrire le mot 'Famille ou familial' ; on sait, par expérience, que
les enfants y sont très rares et que les ados, hé bien ils y sont absents complètement---à la
pousse des poils !

*** Notes de la FFN ***Vos vacances naturistes en toute simplicité !
De la Bretagne à la Corse en passant par les plages de l'Aquitaine et la nature préservée du
Limousin, nos campings naturistes vous accueillent pour votre séjour en famille, en couple ou
entre amis ! ? ? ?
***Bourg Saint Andréol - Rhône-Alpes (chaleureux)
La Plage des Templiers
Le camping naturiste La Plage des Templiers vous accueille dans un cadre exceptionnel à
Vallon Pont d'Arc au cœur de l'Ardèche, en amont du canyon des Gorges de l'Ardèche. Ce site
est splendide et tout le monde veille à ce qu'il le reste ! En pleine nature, avec une plage en bord
de rivière, c'est le camping idéal pour des vacances en famille en toute quiétude... et pour vos
virées en canoë-kayak !
Puycelsi - Midi-pyrénées
Centre Naturiste Le Fiscalou
Le camping naturiste du Tarn, Le Fiscalou vous ouvre ses portes à Puycelsi en Midi-Pyrénées.
Ce camping naturiste avec piscine à la frontière du pays de Cocagne vous accueille dans un
environnement naturel vallonné et boisé pour des vacances naturistes sous le soleil, au grand air
et en pleine nature ! C'est l'idéal pour des vacances naturistes en famille dans le Sud-Ouest de la
France dans un camping naturiste avec piscine !
Bourseul - Bretagne
Pallieter camping naturiste
Découvrez Pallieter, camping naturiste en Bretagne. Situé à proximité de la Côte d'Emeraude, ce
camping naturiste avec piscine vous offre confort et détente au coeur de la campagne bretonne,
tout près de jolies plages de sable fin. Dans une ambiance familiale et conviviale, profitez d'un
camping naturiste dans les côtes d'Armor entre terre mer, nature et culture. La garantie de
vacances naturistes réussies !
Gaudonville - Midi-pyrénées
Camping Naturiste DEVEZE
Camping naturiste en Midi-Pyrénées, Deveze, vous accueille à Gaudonville dans le Gers, dans
un domaine semi-ombragé et verdoyant. Vous y découvrez un lac d'agrément pour la pêche et le
canotage ainsi qu'une piscine naturiste avec bassin pour les enfants et une pataugeoire. De
nombreuses autres activités de plein air ou créatives vous sont proposées au sein même de ce
magnifique camping naturiste dans le Gers
***Boussac - Limousin (chaleureux )
Creuse Nature Naturisme
Le camping naturiste du Limousin Creuse Nature vous offre, à Broussac dans la Creuse au cœur
de la France, un site extrêmement verdoyant et boisé, à côté d'un étang dans une région
naturellement et culturellement préservée. Un environnement idéal pour la détente et des
vacances naturistes familiales ou entre amis au coeur de la nature. Grâce à ses piscines
(extérieure et couverte) les joies de l'eau vous sont permises à tout moment dans ce superbe
camping naturiste du Limousin!
Valensole - Provence alpes côte d'azur
Domaine du Petit Arlane
Partez dans le camping naturiste de Provence à Valensole dans les Alpes de Haute Provence
Domaine du Petit Arlane et profitez du soleil du sud de la France! Le camping naturiste 3 étoiles
se situant dans le Parc Naturel du Verdon à 600 m d'altitude il vous fait profiter de sa situation
exceptionnelle pour des vacances naturistes idéales! Dans ce cadre splendide de magnifiques
randonnées vous attendent !
Lugagnac - Midi-pyrénées
Domaine de Lalbrade
Le camping naturiste de Midi-Pyrénées Lalbrade, situé à Lugagnac dans le Lot au cœur du Parc
Naturel des Causses du Quercy, vous permet de séjourner dans une magnifique région du Sud
de la France avec des paysages à couper le souffle ! Ce camping naturiste 2 étoiles a une
piscine naturiste et un grand domaine de 78 hectares dans lequel vous pouvez vous balader en
toute tranquillité !
Domaine Naturiste Le Clos Barrat? ? ?
Serignac - Midi-pyrénées
Domaine Naturiste Le Clos Barrat
Découvrez le Clos Barrat, camping naturiste dans le Lot. Situé entre Cahors, le Quercy,
Toulouse et la Vallée du Lot, ce petit camping naturiste est une destination idéale pour des
vacances naturistes dans le sud de la France. Bien-être et détente vous attendent au Clos
Barrat, dans un camping naturiste à taille humaine, avec piscine... et ambiance familiale. Le tout
au coeur du Lot, l'une des plus belles destinations naturistes du Sud-Ouest !
Vielle St Girons - Aquitaine
Arna Natu-Resort & Spa
Le camping naturiste des Landes Arna Natu-Resort & Spa, situé à Vielle St Girons, vous
accueille sur un domaine entouré de pins. A seulement quelques pas de l'océan, le camping
naturiste a les pieds dans l'eau. Il dispose d'un parc aquatique, d'un espace d'Hydrothérapie et
d'un accès direct à la piste cyclable. Il vous propose aussi de nombreux services et activités pour
vous permettre de passer des vacances idéales en camping naturiste.
Centre de Vacances Naturiste le Colombier? ? ? ?
Saint martin - Lars en sainte - Hermine - Pays de loire
Centre de Vacances Naturiste le Colombier
***Découvrez Le Colombier, camping naturiste de Vendée 4 étoiles ! Un espace de naturisme
dans les Pays de la Loire près de la Côte Atlantique . Passez des vacances dans un camping
naturiste avec piscine entouré par la végétation, un bois, un ruisseau et un étang! De
nombreuses activités vous sont proposées et vous avez accès à un centre Bien-être pour vous
relaxer pleinement pendant votre séjour en camping naturiste !
*Ce message a été édité le Jul 19, 2016 11:29 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 23, 2016  10:25

De Chicoutimi, je suis arrivé à La Malbaie pour manger des croissants à la boulangerie ''Pain
d'exclamation''. Dormi à l'information touristique. Coupe de cheveux chez une dame dans la
cinquantaine avec des yeux super romantiques. Tellement qu'elle est obligée de s'inventer un
mari invisible pour sa protection. Déjà deux hommes attendent derrière moi. Comme toute
coiffeuse, elle pose des questions et me dit de revenir cet hiver pour le ski !! Misère...que je lui
dis, à 73 ans, tu veux que je me casse une jambe ?
Arrêt à Petite-Rivière St-François, lieu d'été de la défunte écrivaine Gabrielle Roy ''Mes étés qui
chantaient''. Joué à la pétanque toute la soirée avec la mairesse (jolie Dame qui voudrait me
garder) et les gentils habitants. Coucher au quai le 21. Revenu à Drummondville hier soir 22.
Fais-moi penser demain de te parler du centre naturiste ''Cap d'Agde'' et des aventures
sensuelles qui s'y passent....si t'es encore là.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 24, 2016  11:24

Voici un bon résumé de la sexualité à nos âges signé Jocelyne Robert, sexologue et écrivaine.

--Faire l'amour n'est-il pas la meilleure façon de tirer la langue au vieillissement et à la mort ?
--Et puis, le plaisir, librement consenti et partagé ou seule, n'est jamais disgracieux, jamais
obscène, jamais anormal.
--On tombe plus facilement en amour l'été ou en situation de désir. La libido grimpe au rythme du
thermomètre extérieur: le corps et l'esprit syntonisent le c***** sensualité.
--On ne devient pas meilleur en vieillissant, on prend juste infiniment plus de plaisir dans tout ce
que l'on fait.
--On ne se racontera pas d'histoire: chez les hommes et les femmes, les fesses, les seins, le
tonus ne font plus les fanfarons.
--Un organe sexuel invisible et palpable continue de grandir, de grossir jusqu'à la fin de notre vie:
c'est l'imaginaire érotique constitué de nos rêves et expériences.
--Aimer-désirer-émouvoir-être aimée-être désirée-être émue. On vieillit avec sa sexualité, on
continue d'être ce qu'on a été.
--Savoir se débarrasser de ses peurs :rejet-ridicule-des qu'en-dira-t-on-d'être laide-de mourir-
--Plus on vieillit, plus on aime. Des fois, le clitoris te démange , tu as des souvenirs d'un tel qui t'a
déjà regardé, embrassé; faut aller au bout de ton plaisir.
--Je voudrais d'un homme, pas d'un mari, d'un homme qui me ferait jouir...
--Chez les hommes, la prouesse génitale a des ratés; il s'agit d'explorer d'autres manières de
donner du plaisir : voir des films érotiques; utiliser des objets sexuels vibrants; se baigner nu
--La masturbation est une activité sexuelle aussi noble qu'une autre.
***ON ne devrait jamais se priver d'un rapprochement intime dont on a envie sous prétexte qu'on
a passé l'âge ***
***IL Y A DU PLAISIR À ÊTRE AMOUREUX DE SA PROPRE VIE . Etre célibataire comporte
l'avantage d'être le numéro un pour soi-même, de se donner la priorité sans remords ni
culpabilité.
--Je suggère à toutes les personnes mûres de ne jamais permettre à la société bien pensante, à
leurs enfants, à leur curé, psy, sexologue ou coache de vie de te dire quoi penser, quoi ressentir
et comment vivre.

***A lire : Les Femmes Vintage--Le Bonheur d'être soi-même à tout âge(essai sur le
vieillissement) Jocelyne Robert , Editions de l'homme, 2014.
***Mensonges d'enfance-Gwendoline Dernière (1er tome d'un roman dont l'héroïne traverse le
siècle de 1950 à 2035) Jocelyne Robert, Editions de l'homme,2015.
***Conférences : Institut de gériâtrie de Montréal. ''Sexualité et corps chiffonnés'' 2016.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 25, 2016  06:53

Suggestions pour la Dame qui veut utiliser un jouet vibrant pour se faire jouir, avoir un orgasme,
une détente . (référence :medisite.fr)
Vibromasseur : c’est quoi ?
Lisse, ondulé, rotatif… Le vibromasseur est un jouet sexuel qui se décline à l’infini. Utilisé seule ,
ce stimulateur de plaisir est capable de mener aussi bien à l’extase vaginale que clitoridienne ou
a-n-ale.
Inventés à la fin du 19e siècle, les premiers vibromasseurs sont utilisés par les médecins pour
soigner les patientes qui avaient des démangeaisons clitoridiennes. Depuis, l’objet s’est
démocratisé et est utilisé à des fins d’épanouissement sexuel. Doté d’un petit moteur électrique,
le vibromasseur permet de stimuler aussi bien le vagin que le clitoris ou même l’a-n-us. Ces
jouets peuvent s’utiliser seule, pour jouir.
Pour une stimulation clitoridienne
Canard, œuf, rouge à lèvres...Les vibromasseurs clitoridiens existent sous plusieurs formes et
peuvent se révéler très discrets. Leur but : stimuler le clitoris, soit l’organe érectile féminin situé
en haut des petites lèvres, sous le pubis. L’utilisation de ce type de stimulateur est
remarquablement simple puisqu’il suffit de poser l’objet sur le clitoris et de laisser les vibrations
vous emmener à un orgasme satisfaisant.
Pour une stimulation vaginale
Droit ou recourbé, lisse ou ondulé, classique ou design, le vibromasseur vaginal a différents
aspects pour un seul objectif : provoquer l’orgasme vaginal. Lorsque le ***** est de forme
recourbée, il peut stimuler le point G, situé juste à l’entrée du vagin, par le haut. Après l’avoir
lubrifié, le jouet s’insère et se retire du vagin dans un mouvement de va-et-vient de plus en plus
rapide et atteindre la jouissance.
Pour une double stimulation
Grâce à ses "oreilles" qui cajolent le clitoris et à sa partie droite qui stimule les parois vaginales,
le vibromasseur Rabbit ("lapin" en français) permet de stimuler deux zones très sensibles chez
les Dames. Il s’utilise comme un vibromasseur vaginal en faisant attention de bien placer les
oreilles sur les lèvres.
Pour une stimulation a-n-ale
Il existe des vibromasseurs spécialement conçus pour stimuler le périnée ou la prostate. A la
différence du plug a-n-al, le vibromasseur ne se laisse pas en position mais s’utilise comme son
équivalent vaginal. Les mouvements de va-et-vient du coït stimulent les terminaisons nerveuses
de l’anus et peuvent mener jusqu’à l’orgasme. Avant de l’utiliser, il est recommandé de bien le
lubrifier.
Les types de vibromasseurs
Certains vibromasseurs permettent d’augmenter les vibrations et/ou les vitesses de rotation pour
plus de plaisir. Matière agréable au toucher, inodore et sans danger pour la santé, les
vibromasseurs sont souvent en silicone. Mais il peuvent aussi être en plastique (jelly), latex ou
encore acier inoxydable, bois, céramique… Certains sont étanches pour être utilisés dans le bain
par exemple. Leurs tailles varient généralement de 16 à 26 cm et les premiers prix sont à partir
de 20 euros.
   Comme les jouets entrent directement en contact avec les muqueuses ou le rectum, il est
important de bien les nettoyer avant et après chaque utilisation pour éviter tout risque de
maladies infectieuses. Il est préférable d'acheter un désinfectant dans la ''boutique érotique''
même. Tu peux poser toutes questions à la vendeuse d'expérience qui entend les confidences
de toutes.
*Rachel P. Maines, Technologies de l’orgasme, le vibromasseur, la satisfaction des femmes,
éditions Payot (2009)

P.S. de Lecossais : pour quelques dollars, tu n'as pas besoin d'un homme pour avoir du plaisir
sexuel. Des magasins spécialisés appelés maintenant ''Boutique Erotique'' à Drummondville et
dans la plupart des villes du Québec. Les vendeuses sont compétentes pour te conseiller. J'en ai
fait l'expérience. Je peux aussi t'accompagner si tu veux !

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 26, 2016  08:16


Le pape François met en garde contre les dangers du web.
Internet, un danger pour la vie dans les monastères? Le pape François a en tout cas invité les
milliers de religieuses cloîtrées à ne pas se laisser "dissiper" par Internet. "Dans notre société, la
culture ''digitale'' (masturbation du clito) influence de manière décisive la formation de la pensée.
(...)hiiiiiiiiii Ce climat culturel ne laisse pas indemnes les communautés contemplatives", écrit le
souverain pontife dans sa Constitution apostolique sur la vie des religieuses, rendue publique ce
vendredi.
Baisse drastique des vocations ::''hé oui mon vieux et heureusement ton harem diminue''
"Ces moyens peuvent certainement être des instruments utiles (...) mais je vous exhorte à un
prudent discernement afin qu'ils soient au service de la formation à la vie contemplative
(...contemplez qui ??), et non des occasions de dissipation et d'évasion de la vie fraternelle
(bisexuelle) en communauté, ni préjudiciable à votre vocation, ni un obstacle pour votre vie
entièrement consacrée à la contemplation", a prévenu le pape.Ces nouvelles règles de "vie
contemplative", annoncées ce vendredi par le pape François concernent les 35 000 religieuses,
moniales, cloîtrées dans environ 4000 monastères. En dépit d'une baisse drastique des
vocations (bravo ), le souverain pontife a également demandé de ne pas essayer de "recruter"
des religieuses venant de l'étranger pour remplir les monastères (on veut toutes les garder pour
soi !!)

P.S. de Lecossais : pape, vieil homme sans couilles ,déphasé de la vie réelle qui voudrait bien
conserver ce harem de ''soeurs'' (...à savoir: les plus belles sont destinées aux archevêques du
vatican: fait bien connu)
''Vie contemplative'' signifie en vrai ''Je dois rester vierge pour mon seigneur et maître, la pape.
Je suis très heureux du fait que la seule et vraie (sic) église soit en train de dépérir faisant place
aux DAMES et leur sexualité pleine et entière.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 27, 2016  11:53


Le début d'une autre vie J'aime être vue et aussi voir...J'aurai 62 ans bientôt, je n'ai pas de
temps à perdre avec la vie qui s'offre. Je prends...
Voilà, j'y ai pris goût, goût à ces moments que nous pourrions qualifier de débauche, de baise ou
de tout autre terme symbolisant un acte sexuel hors d'une normalisation que la société entend.
Depuis cette rencontre, je n'arrête pas d'y penser. J'entends souvent dire, le peu d'amie que j'ai,
que les hommes ne pensent qu'à ça. Il n'y a pas qu'eux. L'été 2014 a été une explosion de sexe,
et l'année 2015 celle de la révélation. Je n'avais plus qu'une chose en tête, voir des hommes
jouir, mes narines ne respiraient que l'odeur du sperme, cette odeur vinaigrée de sexe, bref...
chaque instant était un prétexte au sexe. Je me suis installée sur plusieurs sites que nous
qualifierons de coquin mais qui en réalité ne sont que des refuges à hommes seuls, dispos la
semaine, absents le week-end et pensant que notre agenda doit être le leur. Quelques couples
sont harcelés mais sont-ils réels... ?
Ainsi je voguais, je voyageais, et maintenant libérée.
J'avais une réunion interprofessionnelle à Laxou en semaine et pour l'occasion, je prenais une
auto de mon entreprise afin de m'y rendre. La réunion étant à Laxou, le responsable logistique
me demandait si je pouvais la déposer dans un garage dans cette même ville. Aucun problème
pour moi. Le soir, mon petit cerveau tourbillonnait. Mon corps bouillait, seule à cette réunion,
avec une auto du boulot, j'étais incognito. Et sur Nancy ! La douche fut longue ce soir là, et la
nuit agitée. 5h, les yeux écarquillés, mes tétons me font mal. Oui, je suis excitée.
Je me lève, boit mon café et prépare mes affaires... Chemisier et jupe en jean, point à la ligne.
7h je pars, sur la nationale qui me mène à Nancy, je relève ma jupe, ce qui n'est pas pour
déplaire à mon frifri. Un appel de phare et je réponds par un coucou dans le rétro.
J'arrive au garage et me présente au nom de mon entreprise. Oui, bien sûr, bonjour Madame,
installez-vous. Pédigrée de l'auto, carte grise, et hop, si vous pouviez la rentrer au box 5. Bien, je
l'avance sur un portique métallique et un jeune technicien vient m'ouvrir la porte. Oups... et il ne
sait plus où ranger ses yeux... et le sang lui monte au visage. Mon petit minou imberbe ne
demanderait qu'à être caressé, mais... ces doigts pleins de cambouis. Otons ces pensées, j'ai
5mn de marche. Je remonte vers le McDo et traverse ce pont, je regarde les voitures passer en
dessous et mon imagination reprend le dessus. Je m'arrête quelques instants. Un coup de
klaxon. Vite, vite, 7h50, j'ai rendez-vous à 8h00. J'entre dans la salle de réunion, plusieurs
collègues d'autres sites sont là, salut, bonjour, bla, bla, bla, oh tu es jolie, rayonnante, ça à l'air
d'aller, gna gna gna... La réunion débute, et je surfe sur mon téléphone. Quelques messages
hasardeurs et me voici dans l'idée de me rendre dans une zone à proximité pour midi, histoire de
matter, car nous savons que ce lieu est propice aux mateurs et exhibs... La réunion est longue.
11h45, je récupère mon auto, je ne revois pas le technicien mais les regards derrière la vitre en
disent long. Je souris. Je file, une petite salade rapide et me voici garée dans cette zone de jeux.
Je marche et découvre le site. Certains coins sont déserts, d'autres remplis d'enfants, il y a un
club de tennis, quelques hangars occupés, d'autres non. Et des voies sans issues. Des sentiers
entretenus et propres, quelques joggeurs. Benoîtement, je n'ai pas uriné de la matinée, et je
décide de soulager ma vessie derrière un de ces hangar, près d'un chemin sans issue et à l'abri
des regards directs. Je relève ma jupe et le jet translucide me soulage. Le coin est sympa, je
m'essuie sommairement, et mes deux doigts jouent... je suis excitée, mon minou est trempé d'un
mélange subtil de mouille et d'urine. Je redescend ma jupe, juste ce qu'il faut pour sentir un léger
courant d'air qui caresse ma chatte.
Je marche ainsi, je croise un coureur, pas intéressé, plus par son chrono. Je sors d'un petit bois
et j'aperçois un gros type, l'archétype du mec de bureau, chemise et jean foncé, en train de se
soulager, juste en face de moi, je l'observe et m'en approche, qui ne tente rien n'a rien. Son sexe
n'a rien d'exceptionnel, mais je ferais tout pour jouer avec, il me voit, il regarde à droite, à
gauche, sa chemise rouge déteint sur son visage, je relève ma jupe et très rapidement, il range
son attirail et s'enfuit. Je suis dépitée... les hommes ne sont pas si cochons. Je m'assieds sur un
banc au soleil et ouvre mes jambes, adviendra ce qu'il adviendra. Un couple certainement
illégitime vient s'enlacer à 50m de moi mais rien de plus. Je suis déçue.
Je reprends mon auto car le travail m'attends. Mais je sais que mon petit derrière n'attendra pas.
Un SMS à un bon ami. On boit un café ?
Pas de réponse...
La route est longue.
Intéressant, parking couvert à étage, je me dépêche. Je repère son auto, elle est vide. Je sors
de mon auto, IL est là, derrière un pilier, il m'observe, je lui souris, il me souris, les papillons
arrivent. Nous nous embrassons. Ca va ? Oui me répond-t-il. Il me met la main sous la jupe et il
me dit "toi ça va aussi". Je me courbe, j'acquiesce. 3 doigts viennent d'entrer, je suis trempée, je
vais jouir. 4 doigts, et mon cri résonne dans le parking, ça coule et ça coule, mes abdos sont
serrés, mes cuisses tremblent.
"ça va mieux ?"
Je n'ose lui répondre, le sol est mouillé, cela me coule le long des cuisses, mes chaussures font
squich squich...
"allons boire ce café". Toujours impassible. Nous entrons dans la cafétéria, j'ai l'impression de
me faire dévisager, mes jambes sont luisantes, ma bouche est sèche, mon sexe est ouvert, j'ai
envie... 2 cafés gourmands, nous nous asseyons, il passe sa main sous la table, il me fouille à
nouveau. Je bois mon café. Nous discutons de tout, de rien, je lui explique ma matinée, il
comprend mieux mon état. Il se lève, retire nos plateaux et se rend aux toilettes. Je suis seule là.
Si je me lève, il va y avoir une auréole visible sur ma jupe. Je ne sais que faire.
Je me lève d'un coup, traverse la salle et me rend aux toilettes. La porte des hommes est
ouverte, j'y jette un œil et je comprends. Je suis attendue. Il est de 3/4 au dessus des sanisettes,
le sexe veineux, il m'attend. Ce coup-ci, c'est moi qui l'observe. Ma jupe a effectivement une
auréole, je la vois dans la glace. Nous entendons du bruit. Je m'engouffre dans les toilettes.
Nous monopolisons les toilettes handicapés. Il ouvre mon chemisier, me pétrit les seins. Il relève
ma jupe, m'installe sur le WC et me dévore le minou. Je jouis à nouveau. Il m'empale sur son
sexe dressé, oh que c'est bon. Cela ne dure pas longtemps mais c'est intense, il se vide en moi
et je le nettoie. Mon minou recrache sa semence. Nous nous embrassons. Nous nous quittons,
je rentre à la maison.
Je prends ma douche, quel pied..!!
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Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 28, 2016  07:38

***Lecossais te propose ce jeudi 28 juillet 2016 un texte de Jocelyne Robert, sexologue
québécoise que je t'ai présentée il y a quelques jours. Texte important pour nous toutes
les ''vieilles''+vieux, et j'ai laissé aussi quelques commentaires. Remarque les commentaires et
réponses de J.R. , toujours pertinents et super intelligents. Les hommes ici en ont encore à
apprendre, moi aussi.
***L’âge du désir ou « Full sexuelle » à 78 ans
On imagine toujours que nos parents ou grands-parents ne font que dormir. Bien sûr qu'ils
dorment. Il faut bien qu'ils se reposent entre deux parties de jambes en l'air… Parfois donc, ils
dorment, parfois ils s'engueulent, parfois ils baisent. C'est ça la vie. C'est ça l'amour.
Le témoignage qui suit est bien réel. J.R. le publie pour déboulonner un peu le mythe à l'effet
que seuls les jeunes ont le monopole du désir sexuel. Peut-être serez-vous scandalisé-es?
Étonné-es? Bouleversé-es? Émerveillé-e? Envieux-ses? Peu importe, en autant que vous
éprouviez quelques émotions....
Voici : ''''J’ai 78 ans et je suis veuve depuis un an. Jusqu’à deux ans avant sa mort à 85 ans,
j’ai eu avec mon mari une vie sexuelle très active.   Les deux dernières années, il n’arrivait plus
à me contenter par la pénétration. J’en avais alors parlé à une de mes filles qui est très ouverte
sur la chose et elle m’avait conseillé de me satisfaire moi-même. J’essayai et ça allait. Je
faisais cela quand nous avions des rapports qui n’aboutissaient pas à mon goût.
Depuis que je suis seule, j’ai terriblement envie d'avoir des relations sexuelles. À tel point que
mon clitoris fait un genre de « toc toc », comme un cœur qui bat, pendant environ une semaine
à chaque mois. Ça me dérange beaucoup et je voudrais que ça arrête. Comment voulez-vous
que je parle de cela sans passer pour une vieille folle ? Je n’ose aborder le sujet avec mon
médecin de famille car je crois qu’il ne comprendrait rien et qu’il me jugerait. C'est pour ça que
je prends mon courage à deux mains, sur la recommandation de ma fille, pour vous écrire …
Je ne dois pas être normale. Il faut dire que la première année de notre mariage, nous avions
des relations sexuelles 3 à 4 fois par jour, 7 jours par semaine. Après, cela diminua. Mon mari
était un homme chaud et moi je ne demandais pas mieux… Il ne m’a jamais obligée. Une
chance que je ne partais pas enceinte facilement, je n’ai eu que 5 enfants. Vers l’âge de 40
ans, j’ai demandé conseil à mon médecin pour diminuer mon appétit sexuel. Il a semblé
découragé et m’a dit de me changer les idées et que ça passerait en vieillissant. J’avais honte et
j’étais inquiète parce que ça ne diminuait pas. Je me rappelle d’une fois où mon mari s’est
absenté plusieurs jours. J’avais tellement besoin que j’avais mal au ventre. Plus jeune, chaque
fois qu’on faisait l’amour, j’avais 3 ou 4 orgasmes (sans savoir que ça s’appelait ainsi). Vers la
fin de sa vie, on le faisait encore presque chaque jour. C’était bon… même si je ne jouissais
plus à chaque fois.
Je n’ai jamais eu de relations sexuelles avec personne d’autre que mon mari. J’en ai jamais eu
envie. Lui et moi, nous étions faits pour aller ensemble à tous les plans et maintenant, je suis
bien seule.   J’ai vraiment besoin de votre aide. J’avoue que j’ai envie de sexe avec un homme
mais je ne veux pas d’un mari. Que faire ? Je ne vais quand même pas passer une annonce
dans le journal : « Arrière grand mère cherche « ***** friend »!   (…)
Vos commentaires sont les bienvenus
Commentaire de Georges — 19 février 2014 à 13 h 54 min
Madame, J’ai lu avec intérêt votre message, au sujet de la sexualité des personnes d’un certain
âge, je croyais qu’à un certain âge il n y avait plus de désir. Je dois constater qu’en vous lisant,
vous êtes directe dans vos relations intimes. Je pense que vous parti des femmes à forte libido,
ça existe. Depuis que vous êtes seule, madame, votre corps vous demande d’être toujours une
femme sur le plan du désir. Pour moi, vous êtes une femme qui avait besoin de beaucoup
d’amour sur le plan charnel, je ne vois pas où est la folie quand on a envie de se faire désirer.
Commentaire de etienne — 19 janvier 2014 à 10 h 54 min
moi alain etienne
j’ai 69 ans et entretiens une relation amoureuse avec une femme qui va fêter se 80 ans le 20
janvier 2014
nos jeux sexuels nous ont rendu » amoureux » au sens réel du terme.
les femmes de cet âge qui importe peu d’ailleurs , sont d’une exquise douceur, leurs baisers
valent mille fois ceux de plus jeune femmes.
c’est un délice, je ne peux que vous encourager à franchir le pas et surtout à les aimer
réellement….elles le méritent…
les femmes souffrent tellement de la cupidité des » hommes «
Commentaire de bob — 30 décembre 2013 à 7 h 51 min
Bonjour, j’ai 67 ans et je viens de rencontrer une charmante dame de 77 ans, les dames de cet
âge sont doucce, affectueuse et tendre.
Elles savent profiter des moments qui s’offrent a elle.
Je suis extrêmement heureux de ma rencontre et nous souhaitons continuer nos rencontres au
moins chaque semaine.
Commentaire de bernard — 3 août 2013 à 9 h 03 min
Je peux comprendre le témoignage de cette dame de 78 ans grâce à mon expérience actuelle.
J’ai 58 ans et je suis l’ami d’une dame,veuve depuis dix ans, aujourd’hui agée de 82 ans. C’est
une voisine depuis de longues années.
Elle est restée particulièrement jeune de corps et d’esprit. Elle en parait tout au plus 72 ou 73.
Elle est toujours élégante et soignée avec de jolies tenues vestimentaires et est de corpulence
normale.J’ai toujours été frappé par ses jambes restées particulièrement joies et sexy.Elle vit
dans un petit appartement avec jardinet qu’elle a décoré avec goût.
Pendant des années, notre relation était purement amicale. Je lui ai souvent tenu un peu
compagnie deux ou trois heures pour l’aider à faire le deuil. Ensuite, voici deux ans environ, je lui
ai fait remarquer qu’elle avait toujours de jolies jambes et que cela me plairait de prendre des
photos d’elle en les mettant en valeur. Elle a été flattée et a accepté. Au fur et à mesure de mes
visites,environ une fois par mois, j’ai progressivement remonté sa jupe pour prendre des photos
de plus en plus sexy sans jamais tomber dans la vulgarité.
Elle appréciait que je lui remette les plus belles qu’elle a conservées. Un jour, champagne
aidant, j’ai glissé la main dans son corsage qu’elle avait fort astucieusement ouvert sur un
soutien gorge noir brodé. Elle a peu protesté et s’est laissée faire en me manifestant étonnement
et plaisir. Nous en sommes restés là. Au fil des vistes, mes caresses sur sa poitrine menue et
ferme se sont faites plus insistantes et un jour elle m’a déclaré tout de go » tu m’excites ». Après
bien des jeux de séduction, nous sommes finalement devenus amants. Je n’avais jamais
rencontré une femme qui aimme tant le sexe de l’homme et soit aussi réceptive. Nos jeux sont
parfois osés et elle aime particulièrement me voir nu en pleine forme. Elle y prend énormément
de plaisir. Elle a même souhaité me prendre en photo dans cet état et dispose actuellement de
quelques photos « expressives » qui, selon ses dire, lui donne beaucoup de plaisirs solitaires.
Lors de nos relations, elle jouït plusieurs fois avant que je ne m’abandonne moi aussi. Mon
excitation vient du fait qu’elle « aime ça » comme elle dit et qu’elle adore mon sexe et me le dit
régulièrement. Elle est très sensuelle et toujours prête à m’accueillir.Elle se plaint que je ne
vienne pas assez souvent. Nos jeux commencent après deux ou trois verres de champagne. Elle
me dit que le sexe la tient en forme et qu’elle en a besoin. Une telle relation à mon sens ne peut
s’envisager que sur le mode jeu et avec beaucoup de franchise et de respect. Je ne tiens
absolument pas à vivre avec elle car je n’en suis pas amoureux, ni elle non plus d’ailleurs.Amitié
et sexe sans prise de tête sont notre mode de fonctionnement et tout le monde y trouve son
compte.Enfin, elle pas encore assez apparemment…
***Commentaire de Jocelyne Robert — 16 avril 2013 à 8 h 23 min
Ha ha ha ha !!! Ça n’est pas moi qui ai 78 ans. Moi j’ai 98 !!! Une petite information pour vous: les
hommes ne « donnent » pas des orgasmes aux femmes. C’est une fausse croyance.
Ils y participent. Parfois. Mais pas toujours. 40 ans, c’est un bel âge pour commencer son
éducation sexuelle ??
Commentaire de cado — 16 avril 2013 à 7 h 05 min
j’ai 40 ans et je suis étonné de votre envie sexuelle à 78 ans
tous ca donne envie de donné des orgasmes a des femmes comme vous remplie d’expérience
****Commentaire de Jocelyne Robert — 28 mars 2013 à 10 h 05 min
@Isidore Je lui avais répondu: "Pourquoi pas?". Quelque temps après, elle m'informait avoir
trouvé un compagnon de "santé et autres menus plaisirs"… ??
Commentaire de Isidore Wasungu — 28 mars 2013 à 10 h 00 min
L’histoire de Mme Rosa ne m’étonne pas et ne me scandalise pas; elle me touche et me
bouleverse. Mme Robert, que lui répondrez-vous?
Commentaire de Jean-Jacques — 4 mars 2013 à 14 h 56 min
Je suis assez ému de ce témoignage. A 53 ans j’ai eu une relation avec une dame de 81 ans.
J’en ai été ébloui, notre relation a été exemplaire à tous points de vue. Elle s’est révélée être une
amante délicieuse, bien plus sensuelle que de nombreuses femmes plus jeunes. Je l’ai perdue
et je ne cesse de penser à elle, à son talent de femme parfaite, désireuse d’aimer son corps et le
mien. Oui, je pense qu’une dame de 80 ans (voire davantage) peut apporter beaucoup de
bonheur à un homme.
Commentaire de schweitzer — 5 novembre 2012 à 17 h 56 min
Je viens de faire connaissance avec une dame de 78 ans ,trés jolie et trés cool dans la vie de
chaque jour
Sexuellement,j’ai été aux anges avec elle,elle reclame des relations 2 a 3 fois par jour ,et la
avec mes 65 ans je n’arrive pas a suivre ,est ce normal ?
Commentaire de Anne-Marie — 2 février 2011 à 17 h 12 min
Je trouve cette femme délicieuse. Je la trouve tellement chanceuse d’avoir vécu un tel amour
avec son mari pendant tant d’années en renouvelant l’expérience presque tous les jours, quel
amour et quelle belle vie! Je vous souhaite de rencontrer l’homme qui comblera ce vide dans
votre vie, Madame. Ce qui est extraordinaire, c’est que vous soyez aussi ouverte d’esprit à votre
âge. Bravo!
Commentaire de régine — 2 novembre 2010 à 13 h 31 min
je trouve très important que cette dame de 78 ans est exprimé ses besoins.
Elle va trouver la personne qui va faire « l’affaire ».
J’apprécie aussi le commentaire de un homme à l’esprit libre.
Il donne la bénédiction aux femmes qui ont envie d’avoir une sexualité et qui sont un peu
timorées.
Osons que diable
Commentaire de Renée — 2 novembre 2010 à 9 h 04 min
J’apprécie beaucoup les commentaires qui précèdent.
Femmelibre: « Quand on a aimé les hommes toute sa vie ». Bien dit et là je souris.
Homme à l’esprit libre: « Chaque jour sans sexe est un jour de moins ».
Oui, j’en conviens dans un contexte spatio-temporel, près d’un appétissant.
Il arrive dans la vie que l’on recule pour mieux sauter.
Juste part des choses: ces plaisirs gratuits comme marcher, écrire et faire l’amour.
Commentaire de Valerie — 1 novembre 2010 à 17 h 52 min
Même à 80 ans passés, ma grand-mère a encore de l’appétit sexuel. Elle m’a confié que ne pas
avoir personne, c’était dur.
Même si je ne voulais pas necessairement le savoir (ahah ! Ben quoi…) Eh bien je m’en doutais
un peu. Jeune, elle en avait besoin, pourquoi ça changerait ?
Commentaire de Un homme à l'esprit libre — 1 novembre 2010 à 17 h 19 min
Ce que je trouve le plus intéressant dans ce témoignage, c’est que la dame…a exprimée ses
besoins. L’age n’a aucune espèce d’importance. Elle a dit ce qu’elle voulait, ce qu’elle attendait,
ce qu’elle cherchait.
Commentaire de Une femme libre — 1 novembre 2010 à 14 h 02 min
Je ne suis ni étonnée ni scandalisée. Et je n’ai pas de réponse à la question de la dame. Il y a
peu de partenaires masculins pour les femmes vieillissantes, c’est un fait et il faut vivre avec.
Devenir lesbienne en fin de vie? Difficile voire impossible quand on a aimé les hommes toute sa
vie. Les partager? Tiens, c’est une avenue à explorer, celle-là. Les hommes âgés encore potents
et intéressés au sexe étant devenus une denrée rare, ils n’ont plus aucun problème à se trouver
une ou des maîtresses. Ouvrir des bordels pour femmes matures? Les femmes n’aiment pas
payer pour ça, relents de romantisme ou bien refus de ne plus se percevoir comme désirable.
Bref, la question de votre cliente est fort pertinente. En tant que sexologue, avez-vous une
réponse?
L’âge du désir ou « Full sexuelle » à 78 ans
© 2016 Tous droits réservés | Jocelyne Robert

P.S. de Lecossais : texte capital et commentaires intéressants pour notre famille ''La Sexualité
n'a pas d'âges''. A lire pour toutes et relire. Lire tous les livres de Jocelyne Robert, compétente et
avisée. Elle n'a pas peur des mots. ***Je laisse ce dernier texte une semaine pour que tous et
surtout toutes ici le lisent et en fassent des commentaires ici. Merci d'être là.

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