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  Famille : La sexualité n'a pas d'âges


Ce sujet fait partie de la famille La sexualité n'a pas d'âges. Cette famille est semi-privée. Vous pouvez lire le contenu de cette famille mais vous devez vous y inscrire pour échanger.



Auteur

Sujet : Opinions

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 10, 2018  07:11

    *** 2 ième message ce jeudi: des commentaires de G. sans clitoris, et des confidences
intimes (tu gardes ça secret comme d'habitude)....
    3---G. : '''Avec un tel service (Mimi) à la maison et tu vas ailleurs... Ouhen! Je ne sais pas ce
que c'est de jouir du même service durant aussi longtemps que toi... Moi, j'avoue, j'avais un
superbe service avec mon mari et je suis allée goûter un nouveau menu, un autre gros
menu...après douze ans... Non, marié aussi longtemps que ça, je comprends qu' on ait le goût
de varier le menu. Du filet mignon, c'est bon, mais on peut savourer aussi un autre plat de
résistance!
Mais, moi, mes fantasmes et leur concrétisation sont avec un seul homme à la fois et aucune
autre femme. Des femmes disent parfois qu'elles auraient dédain d' une autre femme, je n'ai
aucun dédain, mais aucune curiosité ni attirance quelconque, mes fantasmes sont vraiment une
FIXATION SUR LA QUEUE D'UN VRAI HOMME. Tu vois, en fait, je suis plutôt conservatrice.
Pas autant que ma mère évidemment, ni que ma soeur et ma meilleure amie R. qui ont arrêté
toutes activités sexuelles dans la cinquantaine. Je ne leur confie pas du tout mes fantasmes et
mes actions, mais elles me savent " perverse" par rapport à elles... Et toi, tu me le trouves si
peu. Je suis dans un juste milieu entre les extrêmes, là où se situe la vertu...hiiii
   2--- Lecossais : '''je te relis et je te trouve super drôle...hiiiiiiiiiiii
Bien oui ma Mimi me fourre le doigt...et me fourre aussi mon gode...
Elle me satisfait...mais je demeure curieux et je dois(je veux) tout connaître...
Suis attiré par les femmes avec une bonne paires de fesses, des seins....
tu vois, un bon 150 livres...comme toi...
Je garde son numéro à cette Brianca...On ne sait jamais...
Une seule fois j'ai payé dans ma vie ; c'était au festival du films à Cannes, seul, du 10 au 20 mai.
Une pierre deux coups: elle m'a trouvé un hôtel, on a baisé là
et elle est partie. J'ai gardé la chambre.
Ça m'avais coûté 50 francs (1972) ou 10$ et la chambre un 50 francs
pour la nuit. Je n'ai rien perdu.
Elle était jolie, accosté sur le trottoir, elle m'a souri, j'ai pensé'' je pogne'';
j'était naïf...Elle avait tellement le tour,
le cul en l'air, je l'ai pénétrée et joui en quelques va-vient.
J'ai pris des photos d'elle que Mimi a brûlé au retour.
Donc 2 souvenirs de ces 20 jours en France en 1972 : ma première
pénétration dans l'anus (la seule de ma vie) et ma première prostituée (la seule aussi).
Mais comme tu vois, la vie heureuse se fabrique avec
des souvenirs heureux et les expériences. ''Les souvenirs heureux sont bien souvent plus vrais
que le bonheur'' (G.Vigneault)
J'ai beaucoup encouragé Mimi, par la suite, à faire des expériences :
explorer sa bisexualité (2 femmes); baiser avec 2 hommes...avec 3...
en groupe...Seule au motel avec un ami; en couple....etc....
Moi j'ai toujours été plus voyeur que grand faiseur. J'aime imaginer..........
   1--G.: '''Pour le massage de l' anus, je ne sais plus où j'avais appris ça! G. en avait été sidéré,
ça se voyait, sans dire un mot il me laissait faire bien sûr. Oui, hier encore, mon R. n'a pas non
plus protesté, il a des petites fesses rondes à faire *****er une sainte et que dire de son
membre d' étalon! Vraiment superbe! Je t'assure qu' il m' en redemande. Mais, je commence à
craindre qu' il prenne des risques, il se donne des raisons de sortir en plein grand ménage
laissant là sa compagne laborieuse sur le torchon , mais plus du tout sur son homme. Il est
pourtant si inspirant, je ne comprends vraiment pas sa femme de préférer l'abstinence, les
sacrifices et la religion...

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 11, 2018  07:27

    Gabrielle de Laval,une de mes fidèles correspondantes , 76 ans, m'écrit tous les jours et avec
son FF, elle découvre de nouvelles avenues pour leur jouissance à tous les deux. Elle me
raconte qu'ils progètent de se faire un petit film...en plus de voir des films por-nos ensemble.
Je lui ai envoyé le texte plus bas et voici son commentaire ici.
De : G.
Envoyé : 10 mai 2018 13:33
À : Bruce Lecossais
Objet : Re: je t'aime, je te trompe...et puis après..........
Vraiment! Que la volonté des deux partenaires soit de rester fidèle
à son conjoint ou à sa conjointe durant 50 ans? Vraiment pas réaliste!
Que certains en soient heureux les deux? C'est très sûrement
extrêmement rare! Mes deux derniers amants, G. et R., deux
fervents catholiques pratiquants ont été fidèles à la mère de leurs
enfants durant plus de quarante et ils ont souvent dit beaucoup le
regretter. Des gens de notre génération et les autres qui les ont
précédé ont eu une vie sexuelle pauvre... Une vie de misères
en plus. Ce week- end, j'ai lu le dernier livre de François Gravel...
Tellement triste ce que ses parents ont vécu tout comme la majorité
de leur contemporain!
Important de ne pas bouder certains plaisirs de notre courte
vie ici bas...
   Lecossais : ''''Plus bas, article intéressant sur la fidélité...
            
         ***JE T'AIME, JE TE TROMPE...ET PUIS APRÈS...Marilyne Hamelin dans la
revue ''Chatelaine'' de mai.
'''Il était une fois, il y a fort longtemps, un couple qui avait décidé de prendre une pause. Ce
couple, c’était le mien. Mon chum de l’époque et moi avions conjointement convenu d’une
séparation temporaire. Sur un ton solennel empli de noblesse, en fixant l’horizon lointain tel un
lonesome cowboy, mon amoureux avait alors déclaré : «Inquiète-toi pas, y a pas une femme qui
va entrer ici pendant notre break.»
Quelques semaines plus tard, de bon matin, je suis passée à l’appartement sans prévenir pour
faire une brassée (il n’y avait pas de laveuse où je logeais temporairement). Quelle ne fut pas
ma surprise de le trouver au lit avec une belle inconnue!
Fait cocasse, 30 ans plus tôt, ma mère avait vécu exactement la même situation avec son
conjoint de toujours, décédé depuis. Maudits hommes hein? Tous les mêmes!
Oui, mais non… Après tout, ce n’est pas comme si j’étais moi-même sans reproches.
L’historique de mes petits accros à la religion monogame ambiante est plutôt touffu. À mon sens,
la fidélité demeure de l’ordre de l’idéal et la monogamie, un spectre.
Je nous trouve bien promptes à dénoncer les contes de fées dont on a gavé notre imaginaire
d’enfant — alimentant notre quête de l’amour idéal et éternel — mais peu enclines à remettre en
question le dogme de la monogamie. C’est comme si on oubliait que le mariage est une
construction sociale et la fidélité, un concept millénaire auquel seules les femmes étaient tenues
de souscrire.
Je ne nie pas que les choses se sont améliorées depuis. Mais peut-on aujourd’hui parler de
révolution sexuelle, de liberté retrouvée et d’égalité des genres alors que, dans les faits, on se
borne désormais à exiger des hommes qu’ils se plient aux mêmes règles que nous, les femmes,
persistons à nous auto-infliger?
Et, surtout, ne sommes-nous pas un peu hypocrites? ***Car il m’apparaît bien peu réaliste
d’espérer avoir envie d’embrasser et de coucher avec la même personne durant toute sa vie…
Pensez-y deux minutes! UNE . SEULE. Personne — aussi séduisante soit-elle — et puis crac,
on meurt? Non, merci! Forcez-moi à manger du foie gras arrosé de champagne matin, midi et
soir, et je vous garantis que je vais me tanner.
Oser remettre en question l’ordre établi
Je considère qu’on se ment collectivement et qu’on se rend malheureux avec ce culte
monolithique de la monogamie. Cela m’apparaît bien irrationnel. Plus je vieillis, plus je me dis
que la jalousie sexuelle et toutes les blessures narcissiques qui en découlent sont le fruit d’une
grande incompréhension, d’un malentendu.
Je m’en ouvrais d’ailleurs, en mars dernier, en entrevue avec les gens du podcast Coeur et
croupe. Quand une personne va voir ailleurs si elle y est, ça n’a généralement que très peu à
voir avec son ou sa partenaire.
Or l’erreur commune de la personne «trompée» — je déteste cette expression victimaire — est
de se demander «Qu’ai-je fait de mal? Pourquoi il ou elle me fait ça, à moi?», tout en se répétant
qu’elle n’est sûrement pas assez, au choix: attirante, drôle, belle, intéressante, etc. Bonjour le
festival de la dévalorisation personnelle!
Or, la plupart du temps, ça n’a RIEN À VOIR.
Une fois qu’on a compris ça, qu’on cesse de s’inclure dans l’équation, alors on souffre moins.
Parce qu’on comprend que notre partenaire a simplement vécu quelque chose de nourrissant,
de différent. Ce qui ne nous enlève rien, à nous. On assimile le fait qu’un geste n’est pas
nécessairement posé à l’encontre de notre personne.
C’est justement parce que je pense ainsi que j’ai lu avec un mélange de plaisir et d’irritation le
dernier ouvrage de la thérapeute Esther Perel, intitulé Je t’aime, je te trompe. Je me suis d’abord
sentie irritée parce qu’il me semble que je n’y ai pas appris grand-chose. Au fil de ma lecture, je
marmonnais «allez Esther, dis-moi quelque chose que je ne sais pas!».
En même temps, je me suis aussi dit, «tiens, ceci, comme c’est bien dit», ou encore «wow, ça,
j’aurais aimé l’écrire!». C’est pourquoi je pense qu’il s’agit malgré tout d’une lecture intéressante
et peut-être utile si vous vous intéressez à ces questions, surtout si vous souffrez en ce moment.
En attendant, je vous glisse ici quelques-unes de ces petites perles, en rafale. Peut-être y
trouverez-vous matière à réflexion…
«Nous cherchons des liens forts, un quotidien prévisible et fiable pour nous ancrer fermement à
notre place, mais nous avons aussi besoin de changement, d’inattendu et de transcendance […]
les histoires d’amour modernes nous font la promesse alléchante qu’une relation à elle seule est
capable de satisfaire cette double aspiration en nous.»
«Parfois, lorsque nous cherchons le regard de quelqu’un, ce n’est pas de notre partenaire que
nous nous détournons, mais de la personne que nous sommes devenus. Nous n’aspirons pas
tant à un autre amour qu’à une autre version de nous-mêmes.»
«L’adultère est souvent la revanche des possibilités abandonnées, des vies non vécues.»
«En réduisant votre liaison à quelque chose de laid et honteux, vous supprimez le trait d’union
entre vous et votre énergie vitale.»
«Nous sommes tous des êtres multiples, mais au fil du temps, nous avons tendance dans nos
relations intimes à réduire cette complexité à une version rétrécie de nous même.»
«Réconcilier l’érotisme et la vie domestique n’est pas un problème à résoudre, mais un paradoxe
à gérer.»

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 13, 2018  06:43

                     *** Le DOGGING, VOUS CONNAISSEZ ? ***
Julie pelletier, sexologue, JDM
Eh bien non, il ne s’agit pas d’un regroupement de gens qui adorent promener leurs chiens ou
encore d’hommes ou de femmes qui obtiennent une gratification sexuelle avec des animaux
(zoophiles).
Le dogging se pratiquerait en tout temps, mais spécialement lors de chaudes nuits d’été....
Pratique parfois exhibitionniste, parfois voyeuriste, le dogging consiste à faire l’amour dans votre
voiture au vu et au su de tous. Comportement illégal, c’est le côté interdit de la chose qui excite
ceux et celles qui le pratiquent.
          Portière ou fenêtre?
L’intérêt de la pratique du dogging, pour ceux et celles qui le font, tient à l’excitation reliée à la
crainte de se faire prendre et à l’idée de déjouer les interdits. Les couples se retrouvent, la nuit
tombée, dans des endroits spécifiques (stationnements publics, parcs, boisés, bords de mer…),
chacun dans leur voiture à vivre leurs expériences sexuelles.
Des codes existent: si la fenêtre est baissée, c’est que vous acceptez que des gens vous voient,
vous observent, s’excitent en vous regardant. Si vous ouvrez ou même entrouvrez une portière,
c’est que vous faites une invitation directe à ce que l’on se joigne à vous.
Selon des gens qui pratiquent le dogging, c’est à ce moment que ça devient extrême: «J’ai
commencé à pratiquer le dogging en Grande-Bretagne avec un copain super déluré, à l’époque
de mes études. Il n’y avait rien à son épreuve et j’ai joué le jeu durant quelques années. Au
début, nous le faisions pour exhibition seulement. Ça nous allumait drôlement de voir tous ces
gens nous mater et s’exciter. Plusieurs avaient des orgasmes quasi en même temps que nous et
d’autres se contentaient de regarder sans se toucher. Chacun son choix! Nous, nous étions dans
le feu de l’action. C’était un peu comme une drogue, une vraie décharge d’adrénaline. Je suis
revenue au Québec et lui, il est resté là-bas. Mais j’ai amené cette passion avec moi et je l’ai fait
connaître à un ami.»
«Maintenant, on pratique aussi souvent que le beau temps nous le permet! J’ai déjà essayé
alors qu’il tombait des cordes: pas excitant du tout, car les parkings étaient déserts! Mais
maintenant, il nous arrive d’ouvrir la portière arrière et d’avoir envie que quelqu’un se joigne à
nous. Parfois, c’est un autre couple qui entre, parfois, c’est un homme ou une femme seuls. On
ne sait jamais; c’est ça qui est excitant et extrême à la fois. Et il ne faut pas se cacher que de
faire quelque chose d’interdit, c’est super allumant», de nous raconter Thabata, une femme de
59 ans.
          L’adrénaline
Le jeu sexuel du dogging (origine du mot qui viendrait de jogging, pour faire du sport à
l’extérieur, et dog du fait que le voyeur suit et surveille les exhibitionnistes comme un chien suit
les gens. Certaines personnes disent même que cette pratique a vu le jour alors que des
hommes allaient promener leur chien et s’attardaient pour «voir» des choses) est une pratique
qui combine le voyeurisme, l’exhibitionnisme et aussi l’échangisme.
Dans le cas du voyeurisme et de l’exhibitionnisme , l’outrage à la pudeur propulse les gens au
rang de contrevenants et les expose à l’éventualité d’une amende ou d’une arrestation.
L’adrénaline qui se décharge et qui provoque l’excitation sexuelle entraîne souvent l’audace et
parfois même le manque de jugement.
La protection sexuelle est de mise puisque les hommes et les femmes qui pratiquent le dogging
risquent de se retrouver actifs sexuellement avec plusieurs personnes durant une même soirée.
Piment? Et vous, êtes-vous pour ou contre cette pratique?

P.S. de Lecossais : puisque Julie me demande mon commentaire. Voici. J'ai vu souvent cette
pratique au Portugal et en Espagne vers 18,30h. Des voitures arrivaient et se collaient. Pas trop
collées, on ouvre la porte; collées, on ouvre la fenêtre et JAMAIS UN POLICIER n'est venu.
Jamais. En France également , en G.B. aussi. J'ai vu des dizaines de voitures collées...et il nous
est arrivé de nous faire coller. En Westfalia, on est un peu plus élevés qu'avec une voiture, alors
on voit tout sans être vus. Par contre, il y a les miroirs de côté ! Je trouve cette pratique super
excitante...et les dames apprécient de voir des queues bandées. Aussi les dames aiment se
montrer...Je n'ai pas souvent vu les portières ouvertes....mais nous sommes déjà montés dans
une autre voiture, à l'arrière. Je ne connais pas la pratique au Québec...mais un état policier
comme le nôtre, au sujet du sexe, je n'oserais pas être le premier. Ici au Québec, les policiers
sont très voyeurs sous prétexte de faire respecter la loi. Regarde ce qui se passe sur le Mont-
Royal et certains parcs pour cruser entre hommes: misère...Vive le ''Bois-de-Boulogne'' !!

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 14, 2018  07:39

      *** PLAISIRS DE LA TABLE ET AUTRES PLAISIRS ***
Julie Pelletier Samedi, 12 mai 2018
À quelle activité pensez-vous lorsque vous souhaitez faire davantage connaissance avec
quelqu’un nouvellement rencontré ? Le restaurant ! Partager un repas est bien plus qu’une
question de ne pas se laisser mourir de faim, c’est un moment d’échanges et de plaisirs. La
FAÇON DE MANGER ainsi que les choix d’aliments peuvent en dire bien long sur la
personnalité d’un individu. Et cette relation à la nourriture est loin d’être au beau fixe ! Pour
certains manger est un calvaire alors que pour d’autres c’est le point focal de leur vie. Peut-on
établir des liens entre le coup de fourchette et la vie sexuelle ? Osons...
         L’alimentation émotionnelle
Il arrive assez souvent que la nourriture fasse office de régulateur de carences émotionnelles :
se remplir la panse de sucreries après une rupture, grignoter par ennui, vomir un repas par
compulsion... Bref, à travers le rituel vital de se nourrir, certaines personnes y voient également
une façon de tenter de gérer les préoccupations et les tourments intérieurs. Une lectrice
raconte : « J’ai toujours lutté contre mon poids. Avoir quarante kilos en trop c’est l’histoire de ma
vie. Mes bilans médicaux ne sont pas vraiment bons et malgré cela, je continue de vouloir
maigrir sans y parvenir. Je suis célibataire et quand je rencontre des hommes, j’évalue beaucoup
leur lien avec la nourriture lorsque nous sortons au restaurant. Les hommes aiment me voir
manger et imaginent, avec raison, que je suis GOURMANDE AU LIT aussi ! Oui, j’aime le sexe
comme j’aime la bouffe. Mais j’ai réalisé que souvent, lorsque mes émotions sont en dents de
scie, je compense par la nourriture ou même le sexe. C’est un cercle infernal dont je tente de me
sortir. Un jour, peut-être ! »
Alors, assez fréquemment, les gens qui réalisent manger de façon compulsive, ressentent
également un mélange d’émotions : satisfaction, culpabilité. Cela peut devenir, pour plusieurs
personnes, la seule façon d’avoir le contrôle lorsque des situations leur échappent. S’octroyer
une récompense alimentaire devient alors une façon de réguler les émotions...
Et le lien avec la sexualité ?
Le plaisir lié à ce qui passe par la bouche lors de l’alimentation en est un qui s’est développé dès
l’arrivée dans ce monde. Le besoin de se nourrir est instinctif, le bébé pleure (hurle) pour se faire
comprendre afin que les parents répondent à ce besoin. « Au cours du développement, cette
voie d’accès au plaisir ne sera jamais abandonnée. L’alimentation reste chez l’adulte un accès
prioritaire au plaisir. Notre comportement alimentaire en est totalement pénétré. Quelle que soit
notre attitude face aux aliments, elle révèle notre rapport à la satisfaction et donc à la sexualité (..
Le discours amoureux est rempli d’expression du registre oral : “j’ai envie de te croquer” .À
défaut de se nourrir de l’autre, les produits à déguster, à tartiner sur le corps des amants sont
des ersatz. Lors du rapport sexuel, les jeux avec des aliments satisfont la pulsion de manière
plus complète. Ses différentes composantes (orale, génitale) sont rassasiées et la jouissance se
vit de manière plus totale. De nombreux érotismes codifiés ont intégré cette dynamique. C’est le
cas de l’érotisme japonais au raffinement légendaire qui a codifié la pratique du nyotaimori. »
En conclusion, voici une piste de réflexion : voyez-vous des liens entre votre façon de manger et
votre façon de faire l’amour(de vous faire l'amour) ? Le docteur Catherine Solano elle, voit
plusieurs liens à faire entre sexualité et nourriture : « La faim est l’envie de manger ; il
correspond au désir sexuel et l’envie de faire l’amour. Quand nous ressentons ces désirs, notre
corps réagit. Il fabrique de la salive, ou pour la sexualité, il fabrique un fluide de lubrification chez
la femme ou une érection chez l’homme. Notre sensibilité au plaisir est alors augmentée. On dit
que la faim est le meilleur des assaisonnements. Autrement dit, si vous avez faim, vous trouvez
la nourriture bien meilleure. Idem pour la sexualité. Plus votre désir est profond, plus vous
éprouvez de plaisir à faire l’amour. Et puis, quand vous avez mangé, vous êtes rassasié. Vous
n’avez plus faim. C’est la même chose pour la sexualité : une fois que vous avez eu une relation
sexuelle satisfaisante, vous êtes comblé pour un moment... ».

P.S. de Lecossais : en effet notre façon de manger révèle notre sexualité. Moi par exemple, je
mange lentement, je picore et je m'intéresse plus à ce qui se dit qu'à manger. Et je finis toujours
le dernier...mais mon assiette est vide à la fin du repas. je n'en laisse pas une miette, même que
je mange les miettes avec mes doigts. Je déguste en fait. Je savoure chaque gorgée de vin
comme si c'était la dernière fois que je mangeais. J'étais pareil à 30 ans. Je n'ai jamais changé.
Je suis lent et je regarde les réactions des autres. Plus il y a de monde (2-3-4 personnes), plus je
suis lent. Ainsi quand je me masturbe, je vais directement à l'orgasme (comme manger seul),
alors que si je suis avec une personne...je jouis en dernier; à 2-3 ou 4, c'est pareil....et à 10, je
ne jouis pas, le party pour les autres est fini avant !
*Ce message a été édité le May 14, 2018 7:46 AM par Lecossais*




Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 16, 2018  05:31


                   *** L'AMOUR APRÈS 60 ANS: croire encore au prince charmant? ***
            Olivia Lévy La Presse
Elles ont 60 ou 70 ans et cherchent le grand amour. Ces femmes, séparées, divorcées, ont de
belles carrières, mais ne veulent pas vieillir seules. Croient-elles encore au prince charmant? Se
sentent-elles plus libres, mais moins désirables? Comment trouver l'amour quand on a plus de
60 ans?
Dans son nouveau roman Plus folles que ça, tu meurs, Denise Bombardier parle de la vie
sentimentale et sexuelle sans tabou des sexagénaires à qui tout réussit professionnellement,
mais qui cherchent le prince charmant. Un roman plein d'autodérision où l'héroïne principale,
Agnès, avocate reconnue, souhaite rencontrer le grand amour. Nous avons joint l'auteure à
Paris, où elle fait la promotion de son roman.
Les femmes cherchent-elles encore le prince charmant à 60 ans?
'''Oui. Je l'ai constaté il y a longtemps. Je n'en reviens pas, les femmes de 60 ans et ++ sont
ramenées à l'adolescence quand il est question de rencontrer un homme. Quand j'écoute des
femmes de 70 ans parler, on dirait des ados! Elles ont le coeur au début du XXe siècle et le reste
du corps dans la modernité! Elles sont très sentimentales. On ne le sait que quand on arrive là,
finalement.
Quand on vous lit, on se dit, finalement, que la plus grande liberté des femmes est à 60 ans.
La liberté à 60 ans est grisante! Ce sont, à mon avis, les ANNÉES LES PLUS INTENSES d'une
vie. Si on est en santé, qu'on a un peu d'argent, que les enfants sont grands, c'est formidable!
Mes héroïnes voyagent, font des croisières, sont très libres... Je suis entourée de femmes
comme ça. C'est une jubilation avant la tragédie. Je pense que les femmes dans la quarantaine,
qui élèvent leurs enfants, qui travaillent, qui sont prises dans le quotidien, ne sont pas libres du
tout. C'est le pire âge par rapport à sa liberté, elles n'ont pas le temps, pas de temps pour elles.
Tout comme votre héroïne Agnès, vous avez trouvé le grand amour à plus de 50 ans?
Oui, je suis bien placée pour l'écrire, car j'ai rencontré Jim, celui qui est mon mari aujourd'hui,
lorsque j'avais 56 ans. J'en ai eu d'autres avant et j'ai aimé les hommes de ma vie. Lors d'une
séance de signatures à Montpellier, une femme m'a remerciée et m'a dit: «J'ai lu L'Anglais [un
hommage à l'amour et à son mari] et vous m'avez donné de l'espoir.» Il arrive aussi de
rencontrer l'amour à 80 ans dans les résidences de personnes âgées (hé oui!!). On est prêt à
concéder que sentimentalement, ils peuvent s'aimer, mais on ne veut pas que les couples de cet
âge s'aiment sexuellement(honnnnnnn)
On ne parle jamais de la vie sexuelle des couples après 60 ans. Pourquoi?
C'est tabou. C'est pire en France où, à partir de 60 ans, une femme ne devrait plus avoir de vie
sexuelle! Pour ce qui est du Québec, je pense que ça vient des interdits de la religion. C'est la
vieille conception que la chair, c'est le péché. Ça vient d'Adam et Ève. Quand on est vieux, ça
suffit, on ne fait plus ça! Comme si, pour les femmes, il y avait une date de péremption. On ne
peut pas être féministe si on n'est pas capable de parler de notre sexualité et de raconter les
femmes telles qu'elles sont. Des femmes qui aiment faire l'amour et c'est ça qui participe au
bonheur de vivre. Le plaisir de vivre, c'est le désir! La frustration, c'est l'anti-désir. J'écris aussi
qu'à 60 ans, on ne fait plus l'amour comme les contorsionnistes du Cirque du Soleil! Il y a moins
de gymnastique. ***La position du missionnaire est plus confortable!
Selon vous, les femmes ne veulent pas vieillir seules?
Elles ont peur de la solitude. Les hommes regardent les plus jeunes, mais quand on voit les
femmes avec qui ils sont accompagnés, franchement, on se dit qu'on n'a rien perdu. Ils veulent
des femmes plus jeunes dans leur fantasme, mais parfois, la réalité est tout autre.
Qu'est-ce qu'on peut dire aux femmes de 60 ans qui cherchent l'amour?
Qu'elles soient à l'écoute de leurs désirs, mais qu'elles ne jettent pas la serviette. Il y a beaucoup
de femmes qui débordent d'énergie, qui sont vivantes, libres, séductrices et qui ont envie de faire
l'amour. Je crois que ces femmes-là attirent les hommes, il faut avoir de l'espoir, mais c'est vrai
que c'est plus compliqué, que les hommes vieillissent plus mal. Les hommes sont plus menacés
dans leur puissance, nous, ça ne paraît pas. On n'a pas de problèmes mécaniques à savoir si on
bande ou pas. Il y a des petites pilules qui peuvent aider, mais parfois, c'est compliqué, ce n'est
pas bon pour le coeur... je ne suis pas de la génération des sites de rencontres, mais il faut être
ATTENTIVE sans être demandeuse.
Il faut regarder ça aussi avec humour?
Il faut avoir beaucoup d'autodérision et c'est la chose la plus difficile. Mais les Québécoises sont
très drôles, elles peuvent être très crues et disent les vraies choses. Ça m'a fait du bien d'écrire
ce livre, je l'ai écrit pour rire moi-même! J'espère aussi que les hommes le liront, car ils vont
apprendre des choses sur les femmes!
L'amitié entre femmes est très importante pour vous?
***C'est essentiel, surtout pour les femmes qui sont seules. Les femmes se consolent entre elles.
Elles se confient, se détestent parfois aussi... elles sont drôles et tragiques parfois.
Tout comme votre héroïne, vous allez être grand-mère?
Quand j'ai écrit mon livre, je ne le savais pas. Je l'ai écrit cet été, et on m'a annoncé à la fin
octobre que ma petite-fille naîtra en mai prochain. C'est incroyable! C'est dans la pérennité des
choses, on nous survit, et les femmes qui n'ont pas d'enfants, je pense que c'est encore plus dur
de vieillir.
    Célibataires sexagénaires à la recherche de l'amour
L'animatrice Marie-Élaine Proulx, 51 ans, publie Pierre Jean Jacques et les autres dans lequel,
avec beaucoup d'humour, elle raconte sa vie de célibataire à la recherche de l'amour. À 58 ans,
elle s'inscrit dans une agence de rencontres en se disant que c'est un moyen peut-être plus
efficace de rencontrer un homme qui corresponde à ses critères.
«Je sortais d'une peine d'amour, j'avais envie de me distraire et de savoir que je plaisais encore,
car j'avais la confiance en moi et le moral dans le tapis», confie Marie-Élaine Proulx, que nous
avons rencontrée. Elle n'a jamais senti le rejet, mais avoue que lorsqu'elle avait rendez-vous
avec un homme, il y avait toujours l'espoir de rencontrer le bon.
«La lourdeur n'était pas dans l'échec, mais dans le recommencement, même si mes déceptions
n'ont jamais été démesurées.»
Il n'y a peut-être pas eu de sentiment d'échec, mais des situations invraisemblables et des
anecdotes cocasses que jamais elle n'aurait cru vivre et qu'elle évoque dans son livre. Et surtout,
du caramel, qu'elle a beaucoup mangé pendant cette période.
Pour Diane Lavoie, 64 ans, qui a décidé de chercher son Roméo sur l'internet, l'échec et le rejet
peuvent être difficiles et l'ont menée à l'introspection. «Je me rends compte que beaucoup de
gens sont brisés dans mon groupe d'âge. Est-ce moi, le problème? Je suis fatigante? Je ne suis
pas agréable? Trop artiste? Trop exigeante? Qu'est-ce qui ne marche pas? C'est très
confrontant», lance l'auteure de J'écris, tu aimes, ça chie, où elle relate ses mésaventures à la
suite de son inscription sur un site internet de rencontres. «Les hommes de 60 ans ne veulent
pas s'engager et préfèrent les plus jeunes. Je vais dire quelque chose d'épouvantable, mais, à
cet âge-là, on a les restes!», estime Diane Lavoie.
«Des hommes bien de 60 ans, célibataires, il n'y en a pas dans les restaurants ni dans les bars
et ils ne se trouvent pas non plus dans les agences de rencontres, car ils n'en ont pas besoin, ils
ont l'embarras du choix. Ils ont vraiment le beau jeu», observe de son côté Marie-Élaine Proulx.
Le psychologue François St Père affirme en effet qu'il y a moins d'hommes de plus de 50 ans
disponibles, car ils ont souvent une préférence physique pour les plus jeunes. Il estime aussi que
plus on avance en âge, plus les attentes sont élevées et moins on fait de compromis, alors que
la vie à deux peut en comporter. «J'entends des choses incroyables dans mon cabinet!
s'exclame le psychologue. Les gens ne se donnent pas la chance ! Ils s'arrêtent sur des petits
détails qui leur conviennent moins, mais ce sont des choses tellement futiles dans le cadre d'une
vie de couple!», observe-t-il.
Ce que partage Diane Lavoie. «Les gens sont de plus en plus difficiles. Ils ne font plus aucune
concession et sont individualistes. Tu découvres un petit défaut et tu renonces parce que tu te
dis que tu vas trouver mieux, alors tu continues à magasiner», dit-elle.
Il faut ajouter à cela la peur de ne plus se sentir désirable, dans notre société où règne
l'apparence. «Quand on arrive à 60 ans, il y a cette perception qu'on n'est plus désirables et
qu'on est vieilles», estime Marie-Élaine Proulx, mais quand elle regarde dans la rue, elle trouve
que les femmes de 50 ou 60 ans sont plus belles que les hommes du même âge. «On prend
plus soin de nous, on est très coquettes», dit-elle.
La pression de l'apparence est très forte chez les femmes.
«Ça prend une grande importance, les femmes ont peur d'être jugées sur leur physique, elles ont
***peur de se déshabiller, mais elles veulent aussi être aimées pour ce qu'elles sont, pour leur
intelligence, leur personnalité.»
Les femmes doivent-elles se résigner à vivre seules? Diane Lavoie n'a pas envie de vieillir
seule. «Je trouve ça triste. J'ai envie d'être amoureuse, de partager mon quotidien, d'arriver à la
maison, de prendre un petit verre de vin, de discuter, de passer de bons moments, rire, rien
d'extravagant! pense-t-elle. J'entends souvent mes amis me dire: "Il faut que tu apprivoises ta
solitude." Non!»
Marie-Élaine Proulx pense que les femmes ont une plus grande capacité à vivre seules que les
hommes. Elle évoque l'année complète passée sans aucun homme dans sa vie. «J'ai commencé
à apprécier cette solitude, j'avais une vie remplie entre mes amis, des soupers, des voyages, des
parties de golf.»
«On finit par se sentir bien dans notre confort de femme seule. Je me suis dit: "C'est ça ma vie,
ce sera ça ma vie, sans homme", mais ça m'a pris du temps à me dire ça.»
François St Père connaît de trop nombreuses femmes qui sont découragées de se faire rejeter à
répétition. «Il faut être faite forte, et surtout, avoir un réseau d'amis où les femmes se sentent en
confiance et qui les mettent en valeur», pense-t-il.
Diane Lavoie est retournée sur les sites de rencontres. «Quelle est l'autre option?», s'interroge-t-
elle. Elle estime qu'elle n'a pas de choix, elle a fait le tour des amis d'amis, elle se dit trop vieille
pour les bars et discothèques. Au restaurant? «Oui, il m'arrive de croiser des gens que je trouve
attirants...» Au travail? «Ça fait 26 ans que je travaille à Radio-Canada!», s'exclame la designer
de costumes.
«Allez-y sur les sites, ça ne marche pas pour moi, mais ça peut marcher pour vous ! On ne peut
pas rester à la maison! Il faut se sentir vivante!», lance Diane Lavoie.
Quant à Marie-Élaine Proulx, c'est par un concours de circonstances incroyable qu'elle a
rencontré Pierre, son amoureux, par l'entremise d'une agence dirigée par un de ses ex qui lui a
proposé une inscription sans frais! «Pierre, je ne l'ai pas laissé entrer dans ma vie, car il était aux
antipodes de ce que j'avais connu avant, avoue-t-elle. Il a été très patient avec moi. Peut-être
que je serais passée à côté s'il n'avait pas été aussi patient.»
***Les femmes manquent-elles trop souvent des occasions? «Sans aucun doute, pense François
St Père, car quand la chimie n'opère pas dès les premières minutes, les gens passent à un autre
appel! Il faut prendre plus de temps ou alors revoir certains critères», pense le psychologue
spécialisé en thérapie de couple.
C'est ce qu'a fait Marie-Élaine Proulx. Ça lui a pris du temps à comprendre qu'elle ne cherchait
plus les mêmes qualités qu'il y a 10 ou 20 ans. Elle s'est rendu compte qu'elle cherchait
désormais des qualités comme la bienveillance, la sociabilité, l'empathie. «C'est exactement ce
que Pierre a comme qualités.»
Est-ce qu'elle conseillerait aux gens de s'inscrire à une agence de rencontres? «C'est difficile à
dire, mais la réponse est non, même si ç'a été bénéfique pour moi. Ça m'a permis de
recommencer à sortir, à me sentir désirée et à faire tout ce cheminement qui m'a menée où je
suis aujourd'hui.»
Pierre Jean Jacques et les autres­. Marie-Élaine Proulx. Éditions La Presse. En librairie.
J'écris, tu aimes, ça chie. Diane Lavoie. Éditions Libre Expression. En librairie.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 18, 2018  06:20

                   *** REGARDER UN HOMME SE MASTURBER ***

G. , 76 ans, Laval,me fait part de ses commentaires après avoir regardé ce petit film.
'''Super! Lui, il connaît comment faire monter le désir d' une femelle. Un vrai strip - tease, j'
avais de plus en plus hâte de voir son machin, il m'excitait... Pas déçue!    Beau! Long, assez
gros, respectable, mais pas trop gros et il le manipule avec adresse . J'aime vraiment le
regarder encore et encore. Je le garde dans mes archives à consulter avant d' aller me
coucher...avec mon godemichet... Tous les hommes devraient en prendre une leçon: comment
rendre sa partenaire dégoulinante... pleine de désir!

https://fr.xhamster.com/videos/horny-guy-masturbating-in-the-room-

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 18, 2018  06:29

       *** 2 ième commentaire de G. dans mon courrier suite à mon 2 ième envoi d'un film ***
''''
Oui, un beau, vraiment respectable! Inspirant lui aussi. Bien de regarder l' autre d' abord pour
ouvrir la faim et terminer la job avec lui. Mais, j' aurais préféré d' imaginer sa tête, belle queue,
mais pas belle tête.    Ouhen! Je ne voudrais pas deux hommes présents avec moi. Mais jouir
de ces deux belles queues l' une après l' autre, plutôt bon... Avec mon amant actuel, marié, pas
encombrant, il peut en remplacer deux sans difficulté! Heureusement! Il sait me mettre en
appétit et me le servir bien plein! ... Vraiment longtemps que je n'avais pas tant été gâtée. J' en
redemande... J' aimerais deux fois par jour, tous les jours... J' ai jeûné assez longtemps! C' est
un festin chaque fois!

https://fr.xhamster.com/videos/guy-cumming-after-jacking-off-

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 18, 2018  06:36

             *** 3 ième envoi ce vendredi: SUITE... à l'ÉLOGE DE LA QUEUE *** par G.
'''Bien oui, je viens encore de le regarder! Cela en est une belle et résistante! Elle doit en avoir
fait hurler des femelles! Vraiment, mon amant pourrait l' accoter. J'aimerais mieux ne pas voir la
tête du gars. Je le voudrais plus vieux... Comme mon amant... J'aime vraiment voir un pénis!
Bandé bien sûr! Et, se le masturbant! Un vrai cadeau! De mes amies disaient un jour ne pas
trouvé ça beau un pénis! Je les trouvais bizarres. Pour moi, c' est vraiment une merveille de la
nature ...que j'admire à regarder et à ... oui...consommer...   Vraiment, j'apprécie tes envois d'
hommes qui me font un cadeau! Ce que je regrette, ce sont mes années de jeûne.
Heureusement que j' ai finalement eu cet amant qui habite à moins de dix minutes de chez moi...
Et doué en plus!

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 18, 2018  06:43

               *** 4 ième envoi ce vendredi : G. s'imagine la queue du gars entre ses cuisses ***
De : G.
Envoyé : 16 mai 2018 14:36
À : Bruce
Objet : Scénario
'''''Vraiment résistant son beau machin! Les femmes devraient toutes le regarder, voir comment
crosser un homme, ce qu' il aime... Pour une femme, c'est aussi bon pour se préparer, surtout
avec un amant qui doit passer assez vite parfois, sa femelle est déjà préparée avec cette belle
queue que le gars masturbe avec habileté... pour le plus rand plaisir de toutes... J'aurais aimé le
voir pénétrer entre les jambes d'une femme à la fin... Pas voir la tête de la femme, juste qu' elle
avance, ouvre ses cuisses et il la fourre là où est son fun... On l' imaginerait jouir alors en s'
identifiant à elle.   Bien sûr, chacune fait son scénario...
   Je te remercie. Je n' ose pas te dire que tu me combles... Mais, tu participes bien...

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 18, 2018  06:53

                         *** 5 ième confidence de G. ce vendredi ***
De : G.
Envoyé : 16 mai 2018 16:25
À : Bruce Lecossais
Objet : Oui...
'''Yum! Je reviens d' une marche, j' écoutais Radio- Canada avec mon MP3... Je me suis assise
sur un banc et je m' imaginais voir les hommes qui passaient, bandés...puis se masturber... Puis,
j' écartais un peu les jambes... Je mouillais... Ces hommes ne me voyaient même pas, la petite
vieille aux cheveux blancs, ils l' imaginent séchée! Un jeu très agréable, j'avoue , que je n'y
avais pas joué depuis quelques années! Oui, je t' imagine toi aussi Bruce, te caresser la queue,
te masturber toi- même... Je te regarde faire et je m'amuse avec mon godemichet... Ça m'excite,
mais c'est mon chum qui doit continuer d'en profiter. J'aime pouvoir t' exciter et que Mimi en
profite! C' est du travail d ' équipe! Hi! Hi! J'aime savoir un homme bandé, même si lui en fourre
une autre et que moi j'en profite avec un autre... C'est sûrement ainsi pour tout le monde! Ce
qui compte, c'est de savourer son plaisir! Depuis que R. me pénètre bien en masse, je me sens
renaître! Vraiment, j' ai rajeuni! Et, il est doué comme instrument, et il sait bien s' en servir. Il
dure dur longtemps! Il est né en 1950... Mais, il a des reliquats de l' enseignement catholique, il
est gêné de se caresser, de se masturber. Il rit, gêné quand je lui demande. Il est en super
forme.   Il ne prend pas de médicament. Il bande dur, il a un vrai beau grand pénis, délicieux!
Délicieux à manger, plaisant à crosser, surtout délicieux dans ma caverne! Je suis une friande
de bon pénis. J' espère rester en forme moi aussi pour l' accueillir, pour en jouir quelques
années... '''
   Lecossais : '''J'aime te faire plaisir G. parce que tu réagis d'une façon excitante.
Et tu me proposes encore et toujours d'autres scénarions...qui m'excite à mon tour. J'ai devancé
mon point rose de 2 jours !! hier. On s'est excités devant le miroir sur pied.
Je vais te trouver ça : le gars se masturbe et il pénètre la femelle
à la fin : TOI.
Je t'imagine , les cuisses ouvertes et je te fourre...........
Bonne journée
Bruce oxox

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 20, 2018  06:02

                              *** SEXE ET AMITIÉ : L'IDÉAL ! ***
          « J’aimerais ça qu’un gars s’intéresse à autre chose que mes seins »
Pause vous propose chaque samedi un témoignage qui vise à illustrer ce qui se passe
réellement derrière la porte de la chambre à coucher, dans l’intimité, loin, bien loin des
statistiques et des normes.
CETTE SEMAINE : ROSALIE, 69 ANS
   par Silvia Galipeau La Presse
« J’aimerais ça rencontrer un gars et qu’il ne pense pas tout de suite à coucher avec moi. »
« J’aimerais ça rencontrer un gars et qu’il s’intéresse à ma personnalité. Pas juste à mes seins. »
« J’aimerais ça aller à une date. »
Rosalie a 69 ans. Rencontrée dans un café de Québec, la grande blonde aux yeux bleus, d’une
très grande beauté naturelle, se confie avec une candeur désarmante.
« Non, dit-elle, je ne me suis jamais fait aborder par quelqu’un qui s’intéressait à moi, dit-elle.
Quelqu’un qui aimerait faire de quoi avec moi. Pas nécessairement juste du sexe. »
Une date ? Jamais. Jamais été invitée par un gars intéressé à la connaître davantage, pour aller
prendre un café, aller au ciné. « On ne sait plus quoi faire pour qu’un gars s’intéresse vraiment à
nous. »
Quand elle en rencontre un, ses intentions sont assez claires. Tout de suite. Tiens, ces jours-ci,
elle texte avec quelqu’un qui lui a clairement dit qu’il voulait « tout » essayer. « Tout » ? « Tout,
insiste-t-elle. *****. Tout. Moi, oui, j’ai envie de faire plein de choses. Mais ça ? Non. Ça
m’écœure. »
JAMAIS LE PREMIER SOIR
Son truc ? « Je suis très claire, dit-elle. Jamais le premier soir. » Jamais. « C’est pas contre mes
valeurs. Mais je sais que si on couche ensemble le premier soir, il va avoir réussi sa game. »
« Si on ne couche pas ensemble le premier soir, il y a une chance que le gars me rappelle et
qu’il veuille faire quelque chose avec moi. » — Rosalie
Rosalie raconte en riant son pire coup (« j’ai juste rien senti ! Jamais faké comme ça de ma vie,
ça a duré maximum 5 minutes ! »), sa baise sans préliminaires (« mais moi, j’aime vraiment… »)
et son aventure avec un homme qui bandait mou. Ces aventures ont eu le mérite de lui
permettre de définir ce qu’elle aime (« quand c’est relax »), ou pas (« pas rough »).
« J’ai besoin d’affection. J’ai besoin de me sentir appréciée. » Si ça lui arrive ? « Non, pas
tant… »
Malgré ses airs de gamine, Rosalie confie aussi qu’elle regarde de la *****o (« une fois par
semaine »), qu’elle aime voir des « relations normales » ou des « trip à trois », qu’elle possède
un godemiché, mais trouve ça « pas super le fun ».
Avec ses amis, oui, elle parle souvent de sexe, dit-elle, et avoue aussi être « vraiment
curieuse ». « J’aime voir tout ce qu’on peut faire, et à quel point c’est le fun ! »
UN AMI « MODERNE »
Et son meilleur partenaire ? Son meilleur ami. Pardon, ex-meilleur ami. Ex-« ami moderne », dit-
elle en mimant les guillemets des doigts. L’histoire, « très compliquée », a duré un an, entre les
aventures de l’un et celles de l’autre. « Quand il se faisait une blonde, on perdait contact »,
résume-t-elle. Puis, quand il était célibataire ? « On a toujours eu une attirance, ça se faisait
naturellement. » Mieux, dit-elle, « il [la] connaissait par cœur ». « C’est la personne qui me
connaît le mieux dans la vie », ajoute-t-elle.
Parce que qui dit amis dit aussi confidences. « On se parlait souvent de ce qu’on aimait ou pas.
Donc on savait ! On se racontait nos fantasmes, dit-elle, et c’était identique ! » Faire l’amour
dans un endroit public, une salle d’essayage, dans l’eau, attachée, etc. Des fantasmes «
malheureusement » jamais réalisés.
Elle sourit. Visiblement, elle espérait plus. « J’avais des sentiments pour lui. » Pas lui. « J’aurais
voulu plus. » Pas lui… Ça a fini sec, le 20 octobre dernier. Ils ne se parlent plus depuis. Zéro. «
Rough, laisse-t-elle tomber. Je me suis fait domper par mon meilleur ami… »

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 20, 2018  06:26

2 ième texte ce samedi :                   ***Trucs pour avoir de MEILLEURS ORGASMES***
par Julie Pelletier, sexologue JDM

Qu’il soit clitoridien ou vaginal, on aime bien lorsque l’orgasme vienne.. Voici des conseils pour
en avoir de meilleurs et plus souvent.
          Bien connaître son corps
Pour cela, rien de mieux que de la pratique avec votre partenaire ou en solo, par l’entremise de
la masturbation.
          Utiliser les fantasmes
Les fantasmes peuvent être de puissants catalyseurs de l’orgasme si l’on sait les utiliser.
S’imaginer des scénarios coquins extra chauds avant vous permettra de faire grimper le mercure
et de vous conduire plus rapidement au septième ciel.
   Muscler son périnée : s'exercer à chaque fois que vous urinez (pour les hommes aussi)
Développer les muscles de son périnée à l’aide des exercices de Kegel permet au vagin de se
contracter plus facilement pendant la pénétration et donc d’atteindre plus aisément l’orgasme.
Plus votre périnée sera musclé, plus votre jouissance sera intense.
       Se détendre pour mieux jouir
L’orgasme étant un exercice mental requérant beaucoup de concentration et une grande
capacité à se LAISSER ALLER, débarrassez-vous de toute pensée stressante ou négative et
concentrez-vous uniquement sur vos sensations et sur le moment présent.
Miser sur les préliminaires
Plus vous serez excitée avant, plus vos orgasmes seront enivrants. Pendant les préliminaires,
demandez à votre partenaire de se servir de sa langue et de ses doigts en alternance pour
stimuler vos zones érogènes et vous titiller jusqu’à ce que vous le suppliiez de vous faire
pénétrer ou pas.. La pénétration s’en trouvera non seulement facilitée, mais l’intensité de votre
jouissance décuplée.
          Ne pas négliger le clitoris
Pendant la pénétration ou sans, essayez de faire en sorte que votre clitoris frotte sur la peau de
votre partenaire ou demandez-lui de le stimuler directement, ou amusez-vous avec un gode
vibrant ou non.
Choisir le bon moment
Certains instants, tels que les vacances ou après un film coquin, sont plus favorables que
d’autres à l’atteinte d’orgasmes fulgurants. Servez-vous-en pour faire augmenter le plaisir.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 20, 2018  06:36

3 ième texte ce samedi 20 mai.
                                        ***L'ÉRECTION, UN BAROMÈTRE ? ***
Julie Pelletier, Samedi, 19 mai 2018
Réaction tout à fait naturelle du corps, l’érection survient à la suite d’un stimulus. Conséquence
d’une excitation physique, psychique ou sensorielle, elle est obtenue à tous moments de la
journée ou de la nuit (érection spontanée) celle-ci peut parfois être un indicateur important de la
santé d’un homme. Qu’en est-il réellement ? L’érection peut-elle être un baromètre de la santé
cardio-vasculaire, prostatique ? De la santé émotionnelle et relationnelle. Étudions l’érection.
Commençons tout d’abord par identifier de quoi il est composé : deux corps caverneux et un
corps spongieux traversé par l’urètre. Sa partie visible est composée du corps du pénis, du gland
et des bourses (ou scrotum, qui contient les testicules).
De l’urètre s’écoulent l’urine et/ou le sperme. Notons que le « et/ou » mérite toute l’attention : «
Les muscles périvésicaux empêchent le can-al, qui va de la vessie à l’urètre, de pouvoir laisser
s’écouler l’urine. Ce qui rend impossible le fait de pouvoir uriner et éjaculer en même temps.
L’urètre est le même can-al, mais on ne peut pas faire les deux. »¹
Lors de la phase de stimulation sexuelle, lorsque l’homme est excité ou qu’il vit une érection
spontanée ou nocturne, les vaisseaux sanguins de son pénis (situés à l’intérieur des corps
caverneux et spongieux) se gorgent de sang, se dilatent et retiennent celui-ci pour provoquer
l’érection.
L’albuginée, cette tunique fibroélastique, entoure les trois cylindres (2 corps caverneux et 1 corps
spongieux) et maintient efficacement le sang à l’intérieur du pénis lorsqu’il est en érection. Le
travail des muscles du pénis ainsi que des nerfs contribue à maintenir et à faire diminuer
l’érection.
                Plus fragile qu’il n’y paraît...
De nombreux facteurs influencent non seulement la durée, mais également la fermeté de
l’érection, donc la réactivité dépend de plusieurs éléments.
On pense notamment à la consommation de drogue, d’alcool, de médicaments, de
por-nographie, à l’état de santé mentale, physique et relationnelle et à plusieurs autres éléments
de la vie qui peuvent, de façon situationnelle ou chronique, affecter l’érection.
Parfois, les hommes choisissent d’ignorer les signaux liés au dysfonctionnement érectile, ayant
pu identifier clairement les perturbateurs – un stress ponctuel, un événement troublant, mais
temporaire.
Les érections proviennent de différents stimuli, voici les principaux :
Psychique : le désir, l’imagination et les images procurées par la pensée
Physique : le toucher, les caresses, sur le pénis et/ou les zones érogènes
Sensoriel : un parfum, la vue d’un corps désirable, d’une situation excitante...
Une réaction involontaire (nocturne, réflexogène) du corps

P.S. de Lecossais : garde un bon moral et manipule ta queue souvent; demande qu'on te
manipule !! Toujours, à ton âge, ajoute un doigt ou un jouet dans ton anus en manipulant ta
queue.
Re P.S. je serai sur la route jusqu'au 24 mai. Mais tu as trois articles à lire PLUS te donner
quelques orgasmes, seul ou avec un autre homme ou dame. Faut garder la forme et le cerveau
bien huilé !
*Ce message a été édité le May 20, 2018 6:47 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 24, 2018  07:26

                                       *** L'ENTRAIDE ***
Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
Elles ont toutes les deux 72 ans.Comme chaque mois, Meryem et sa meilleure amie Yasmine
ont rendez-vous pour leur séance d’épilation mutuelle. Cette fois-ci, c’est chez Meryem que ça
se passe.
Yasmine a pris une douche juste avant de venir, et ses cheveux sont encore humides et brillants
en arrivant. Meryem, elle, en sort tout juste, son amie est en avance, elle n’a eu que le temps
d’enfiler une culotte, un jean et un teeshirt. La première chose que fait Yasmine en entrant chez
son amie est d’allumer la chaîne hifi pour mettre de la musique.
— Je vais mettre la cire à chauffer, déshabille-toi, cette fois c’est toi la première à y passer,
Yasmine.
Meryem va dans sa chambre avec l’appareil rudimentaire, le branche et y met les bâtons de cire
à tiédir. Son amie la suit quelques minutes plus tard. Elle retire sa djellaba, sous laquelle elle ne
porte qu’un teeshirt très court, qui lui couvre à peine le nombril, et un pantalon moulant.
— Allez, la cire est à bonne température, retire ton teeshirt, je vais commencer par les aisselles.
Yasmine s’exécute aussitôt, elle se retourne et passe le petit bout de tissu élastique au-dessus
de sa tête. En levant la tête Meryem a la surprise de découvrir la poitrine épanouie de son amie.
Non qu’elle ne l’aie jamais vue ainsi, elles se connaissent depuis l’enfance et partagent tout,
mais depuis quelque temps, et surtout depuis quelques lectures que lui a envoyées ce pervers
de parisien avec qui elle correspond, elle se sent un peu drôle quand elle se retrouve confrontée
à des corps féminins nus.
— Bon, c’est le tour du maillot maintenant… enlève ta culotte.
Yasmine est donc seulement vêtue d’une sage culotte de coton blanche, qui dénote un peu
avec le reste de son look. Elle s’en défait sans rougir une seule seconde. Pour le coup, c’est
même Meryem, un peu plus timide, qui rougit, en découvrant pourtant pour la énième fois la
nudité complète de sa meilleure amie. Cette dernière s’allonge sur le lit et remonte les jambes,
les pieds bien à plat sur le lit. Une serviette protège la couverture des coulures de cire.
Répétant ce qu’elle a lu sur un site féminin occidental sur l’épilation, Meryem propose :
— Alors Madame, qu’est-ce que ce sera aujourd’hui ? Un triangle ? Un brésilien ? Un ticket de
métro ? Une intégrale ?
Jouant le jeu, Yasmine lui répond :
— Oh je ne sais pas, j’hésite, qu’est-ce que vous croyez que les hommes préfèrent en ce
moment ?
— L’intégrale je pense.
— Allons-y donc pour l’intégrale.
Meryem commence à étaler la cire en fines bandes successives, puis quand celles-ci ont refroidi
elle les arrache d’un coup sec.
— Aie ! Ouch !
Les petits cris de sa copine ne lui font ni chaud ni froid. Ou plutôt si, elle prend un étrange plaisir
à dominer sa victime. Et un grand plaisir aussi à venir placer sa main immédiatement après avoir
arraché la cire sur les chairs sensibles du pubis et des grandes lèvres, pour apaiser la douleur.
Elle n’avait jamais ressenti ça jusque là. Encore les idées coupables que le parisien lui a mises
en tête.
Une fois le mont de Vénus entièrement dégagé, elle demande à Yasmine de se mettre à quatre
pattes pour le sillon inter-fessier. Celle-ci s’exécute en lâchant un malicieux :
— N’en profite pas pour abuser de moi…
Meryem rougit à nouveau, mais Yasmine ne la voit pas.
La vue du beau postérieur de son amie la trouble beaucoup plus que d’habitude. Ses mains
tremblent en étalant la cire entre les fesses offertes. Elle fait bien attention de ne pas toucher le
petit trou plissé plus qu’il ne faut. Même cet endroit, qui d’habitude ne l’attire pas du tout, au
contraire, lui semble beaucoup plus intéressant après ses dernières lectures. Elle se force à
rester concentrée. Yasmine gémit quand elle tire les bandes, et son anus se crispe à chaque
fois, pour se détendre à nouveau ensuite quand Meryem passe les doigts sur les chairs
brûlantes. La Dame ne peut s’empêcher de frémir en posant les doigts à cet endroit si intime. Et
elle y reste un peu plus longtemps qu’il ne faudrait. Yasmine, elle, ne fait aucun commentaire,
pour une fois. Elle semble assez détendue et ne pas s’offusquer de sentir les doigts de son amie
stationner autour de son périnée ou jusque sur les bords si sensible de son petit œillet.
— Voilà, c’est terminé, ne bouge pas je vais te mettre un peu de crème pour te soulager.
Elle étale généreusement la crème sur tous les endroits qu’elle vient d’épiler, et termine par les
chairs les plus sensibles, sur lesquelles elle essaie de ne pas trop s’attarder, mais c’est un tel
plaisir, une douceur si sensuelle… Elle parvient tout de même à s’extraire de sa transe.
— Merci, tu as fait ça très bien Meryem. C’était très doux, j’ai beaucoup aimé. Ça ne te dérange
pas si je reste à poil pour t’épiler ?
Meryem ne sait pas quoi répondre. Elle aimerait que son amie se rhabille pour faire taire son
propre émoi, mais elle ne peut pas le lui dire sans la vexer. Et d’un autre côté ça l’excite
beaucoup qu’elle reste ainsi. Elle fait comme son amie un peu plus tôt et retire son teeshirt,
nettement plus ample. Comme elle n’avait pas prévu de sortir, elle n’a pas non plus mis de
soutien-gorge, et Yasmine lui fait un compliment sur ses seins.
— Et en plus tu as les tétons tout durs. Il ne fait pourtant pas froid ici… ajoute-t-elle avec un clin
d’œil.
Meryem rougit à nouveau, puis va se mettre en place pour les aisselles. Elle pensait que ça la
calmerait, mais le fait que Yasmine soit restée nue la distrait sans cesse, elle ne peut
s’empêcher de reluquer ses seins, ses formes. Assise sur le lit, elle sent son entrejambe chaud
et moite. « Oh mon Dieu, qu’est-ce qu’elle va penser de moi tout à l’heure ? » pense-t-elle. Mais
la pensée de ce qui va suivre, l’idée de se montrer nue et offerte à son amie la trouble
encore davantage. Elle ne pense même pas à la douleur qu’elle devrait ressentir quand Yasmine
arrache les premières bandes, sous ses bras.
Les aisselles nettes, elle retire son pantalon, Yasmine s’assoit pour lui faire les jambes, du bas
vers le haut. Au début, tout va bien, mais plus elle se rapproche de son entrejambe, plus la
tension revient. Et elle ne fait rien pour dissiper cette tension, n’arrêtant pas de reluquer ce
même entrejambe, pourtant encore recouvert d’une culotte. Meryem finit par comprendre que
c’est tout simplement sa propre humidité que sa meilleure amie est en train de regarder. « Oh,
ma culotte doit être toute transparente ». Mais Yasmine ne perd pas le nord, et se lève.
— Allez, mets-toi en place pour le pubis, c’est déjà presque fini.
Étrangement, plutôt que de détourner la tête comme d’habitude, Yasmine regarde son amie
retirer sa culotte, en croisant les bras. Meryem est à la fois gênée et excitée par ce regard. Elle
ne sait pas comment se mettre, toute position la dévoilera de toute façon. Elle fait au plus vite et
va s’allonger sur le lit, pieds à plat, comme son amie quelques minutes plus tôt. Elle serre les
cuisses pour ne pas dévoiler son humidité.
— Je présume que je te fais l’intégrale aussi ?
C’est toujours ce qu’elle demande, donc ça ferait louche de changer. Yasmine étale la cire avec
précaution et minutie. Elle arrache les bandelettes une par une, en allant de l’extérieur vers
l’intérieur. Elle tapote doucement les cuisses de son amie pour qu’elle les écarte et libère l’accès
aux grandes lèvres. La douleur est horrible et exquise, Meryem sent son clitoris gonfler. « Ce
n’est pas possible, elle doit voir que quelque chose n’est pas normal. »
À mesure que Yasmine se rapproche de la zone la plus sensible, Meryem crispe les mains sur la
couverture. Sa sensibilité a été multipliée par mille, elle a l’impression de recevoir des décharges
électriques quand les doigts de son amie se posent sur ses lèvres. « Elle ne peut pas ne pas
s’apercevoir que je suis trempée » se dit-elle. Et en effet, ses cuisses légèrement écartées
laissent voir ses nymphes d’un rose framboise, complètement collées par la cyprine. Mais
Yasmine fait comme si de rien n’était. À un moment, en tirant la peau d’une lèvre avant de
décoller une bandelette, ses doigts glissent sur la peau humide, et elle essuie les lèvres
doucement avec la serviette, sans faire le moindre commentaire.
— C’est bon de ce côté, mets-toi à quatre pattes que je finisse !
Elle n’ajoute même pas leur plaisanterie habituelle, le fameux « je vais te baiser, tu vas voir ! »
Meryem, toute tremblante d’émotion, se positionne comme on lui a demandé, les genoux à 90
degrés et les cuisses serrées. Elle se redresse le plus possible pour ne pas se cambrer et
s’ouvrir. Yasmine lui donne une petite claque sur une fesse.
— Je ne peux rien faire si tu fais ça, écarte un peu les jambes et mets-toi sur tes avant-bras. Ça
ne ressemble à rien ta position, on ne va pas jouer au cheval.
Meryem obéit à la fois avec joie et à regrets. Elle sent son sexe s’ouvrir comme une fleur, et l’air
frais caresser les chairs surchauffées et humides. Elle sent aussi le souffle de son amie,
nettement plus chaud, au moment où celle-ci commence à étaler la cire le long du vagin, à la fin
des grandes lèvres, sur le périnée et de part et d’autre de son petit trou, qui se crispe à ce
contact.
— Ne bouge pas, sinon je vais devoir recommencer.
Meryem se force à rester immobile. Elle regarde entres ses propres cuisses le visage et les
seins de Yasmine, dont les pointes sont anormalement tendues. Les bandelettes de cire sont
vite retirées, arrachant des petits gémissements à Meryem, qui commence à ne plus trop
distinguer entre plaisir et douleur. Après chaque arrachage, les doigts de son amie viennent
appuyer sur les chairs meurtries, et cette sensation est comme une seconde brûlure, de plaisir
cette fois.
— Reste comme ça, je vais t’hydrater un peu.
Elle s’abandonne aux caresses de Yasmine, qui étale la crème doucement, et la masse
sensuellement, aisselles, mollets, cuisses, pubis. Elle se laisse aller aux sensations délicieuses,
la tête sur le matelas, se cambrant et offrant de manière presque obscène son postérieur à la
vue de son amie. Puis, tout à coup, en lieu est place de doigts crémés, elle sent une chair
humide et chaude se coller à son entrejambe. Elle rouvre les yeux et est stupéfaite de voir la tête
de Yasmine collée à sa fente, par derrière. Passée la surprise, elle ne peut s’empêcher de
pousser un gémissement de satisfaction.
— Mmmmmmmh !
Depuis le temps qu’elle fantasme sur ça, qu’elle rêve d’être léchée, par un homme, par une
femme, peu importe. La langue de Yasmine est tout d’abord très hésitante, malhabile,
papillonnant à droite et à gauche mais, peu à peu, elle se concentre sur une courte zone, entre
le vagin et le clitoris, faisant saillir ce dernier à chaque passage, et tressaillir Meryem. Les bruits
de succion sont presque aussi excitants que le cunnilingus lui-même.
Meryem gémit de plus en plus fort, elle sent quelque chose monter au fond d’elle-même, quelque
chose qu’elle n’a jamais ressenti auparavant. Mais Yasmine n’est pas disposée à le lui donner
tout de suite. Sa langue abandonne la zone clitoridienne pour remonter vers le vagin. Elle
quitte donc la place et remonte encore, vers le périnée, faisant à nouveau gémir sa complice, qui
ignorait tout de l’érogénéité de cette zone. Mais ça ne dure pas très longtemps, et la langue
remonte encore vers son anus. Ça la dégoûte et ça l’excite en même temps, mais elle choisit
plutôt de continuer à s’abandonner. La langue commence par tourner autour de l’objectif, ce qui
lance à la jeune fille des vagues de plaisir inconnues. Puis elle tente une approche plus directe,
et tente doucement d’abord, puis plus vigoureusement ensuite, de s’enfoncer dans cet antre si
secret et si intime. Meryem n’oppose qu’une résistance de principe, et bientôt elle sent la langue
pointue s’infiltrer tout doucement là où ses propres doigts ne se sont jamais aventurés. La
sensation est d’une volupté assez incroyable, elle murmure :
— Oh oui, vas-y, enfonce ta langue !
Ses propres mots l’étonnent, elle ne se serait jamais crue capable et coupable de tels propos.
Mais ça l’excite encore plus de les avoir prononcés. Pour toute réponse, Yasmine accentue son
invasion, et sa langue joue le rôle d’un mini-pénis, beaucoup plus mobile et doué d’ailleurs, allant
et venant, léchant, frottant les tissus hyper-sensibles.
Alors qu’elle se sentait à nouveau au bord de quelque chose, Meryem est terriblement déçue de
sentir tout à coup la bouche de son amie l’abandonner. Mais ce n’est que pour un instant, et elle
sent vite la langue brûlante à nouveau collée à son petit bouton, tandis qu’un corps plus dur
tente de pénétrer son anus tout humide. Le doigt ne rencontre presque aucune résistance tant le
chemin a bien été préparé. La sensation est encore plus intense qu’avec la langue, et Meryem
ressent avec délice le passage d’une phalange puis de la seconde. Yasmine continue à la lécher
frénétiquement, et il ne faut que quelques minutes pour qu'elle sente monter en elle
un orgasme dévastateur.
— Aaaahhhhh ! Ouiiiiiii !
Son corps tremble violemment sous les secousses de la jouissance, et elle finit par s’écrouler en
avant, en serrant les cuisses pour échapper à la langue infernale de son amie, qui ne veut pas
abandonner son clitoris devenu trop sensible. Le doigt glisse doucement entre ses fesses,
libérant encore quelques étincelles de plaisir. Yasmine se redresse, à genoux sur le lit, et après
s’être essuyé la bouche d’un revers de la main, dit en souriant à sa complice :
— À ton tour, maintenant !
*Ce message a été édité le May 24, 2018 7:32 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 26, 2018  07:21

                     *** Femmes de plus de 65 ans ***
JOURNALISTE (né 14 janvier 1919-décès 4 novembre 2011 à 92 ans)
Personnalité de la télévision et écrivain surtout connu pour ses quelques minutes avec le   
segment Andy Rooney sur la populaire émission 60 Minutes de CBS. Ses livres publiés incluent
Nonsense commune, Pieces of My Mind, et My War.
          Voici ce qu'Andy Rooney pensait des femmes de plus de 65 ans.
"Plus je vieillis, plus j'adore et j'estime les femmes de 65 ans et plus."
Voici pourquoi :
-Une femme de plus de 65 ans ne vous réveille jamais au milieu de la nuit pour vous demander :
« À quoi tu penses ? » Elle ne s'en préoccupe plus.
-Si une femme de plus de 65 ans ne veut pas regarder le match à la télé,
elle ne s'assied pas près de toi pour pleurnicher.
Elle fait quelque chose qu'elle aime faire et de plus intéressant.
-Les femmes de plus de 65 ans sont pleines de dignité.
Elles complimentent souvent les autres, car elles savent ce que c'est que de ne pas être
apprécié.
-Les femmes deviennent psychologues en vieillissant.
Vous n'avez jamais à vous confesser de vos péchés à une femme de plus de 65 ans.
-A une ou deux rides près, une femme de plus de 65 ans est beaucoup plus sexy que sa
collègue plus jeune.
-Les femmes plus âgées sont franches et honnêtes.
Elles vous diront immédiatement que vous êtes stupide si vous agissez comme tel.
Vous n'avez même pas à vous demander où vous en êtes avec elles.
-Pour toutes les femmes formidables, débrouillardes, bien coiffées et séduisantes de plus de 65
ans, il y a un chauve, mal rasé, bedonnant et en pantalon jaune, qui se ridiculise avec une
serveuse de 22 ans.

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