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Famille : La sexualité n'a pas d'âges
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Sujet : Opinions
Lecossais |
Date du message : juillet 1, 2017 14:34 |
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***hé bien puisque tu veux tout savoir, il ne m'est rien arrivé hier soir, ma blonde n'était pas propre qu'elle disait. On a dormi au traversier de Rivière-du-Loup avec 2 véhicules venant de France, du Finistère (Bretagne) et un Américain de N.Y. Bon dodo avec des vents, de la pluie et du froid. J'ai mis mes vêtements d'automne et on s'est collés comme d'habitude, comme si c'était la dernière fois. Y a pas que le sexe dans la vie, y les seins à portée de mains et ma queue à sa portée. Je suis ici ce 1 juillet (à qui la fête ?) à Rimouski et la douche à la piscine. Accueil tellement bien que nous allons prendre les côtes-levées à défaut de fesses levées. Hélas je ne suis bon que l'après-midi ! mais là Mimi est toute toute propre ! je pourrais m'occuper de son clito...miam...miam.... Shere Hite, celle à la grande enquête d'hier nous dit dans son rapport, que les hommes ne savent pas s'occuper d'un clito, le décapuchonner, le décalotter, le huiler doucement et l'activer fortement quand la jouissance vient. En vieillissant, les femmes jouissent beaucoup plus de leur clito sans avoir besoin à tout prix d'un homme. Après 65 ans, la femme s'occupe bien d'elle et l'homme n'est qu'accessoire pour le resto, la danse et ouvrir la porte, tuer les araignées. *** ''Ne confondez jamais amour, sexe et désir : essaie d`entretenir les trois... Parfois, l’amour peut nuire au sexe. Une fois de plus, la clef est dans la communication. Pourquoi l’amour nuit à la sexualité ? Parce qu’une relation avec un partenaire inconnu est sans conséquence. On ose, tout simplement parce qu’on se fiche de ce que l’autre peut penser de nous. Il ou elle nous attire et nous excite mais ne nous branche pas plus que ça donc, nous prenons notre plaisir sans trop nous préoccuper de ce que l’autre pourrait apprécier ou pas. En revanche, lors d’une belle rencontre, on peut même perdre un peu ses moyens. Les hommes peuvent avoir des pannes d’érection(ah bon?) ou éjaculer trop vite tandis que les femmes n’osent pas se lâcher vraiment. ***Sois assez égoïste et assez généreux Une relation sexuelle réussie est un mélange d’égoïsme et de générosité. Alors ne panique pas les premières fois. Laisse vos corps se découvrir et prenez confiance en vous et dans l’autre. Toute la difficulté, dans une relation amoureuse est d’oser se permettre de faire ce qui nous plait sans peur du jugement, tout en étant réceptif à ce que notre partenaire pourrait être susceptible d’apprécier. Le pari n’est pas si simple mais lorsqu’on y parvient, la sexualité restera intéressante sur le long terme. Trop souvent lors d’une rencontre, l’un des partenaires s’adapte à l’autre ; on croit que c’est plus souvent la femme, je dirai plutôt que c’est la personne qui est la plus amoureuse ou la moins expérimentée sexuellement. En fait, trop idéaliser son partenaire, *** trop d’amour nuit à une sexualité. Laissez-vous emporter par vos désirs au début puis, très vite, dans le premier mois, communiquez afin de mieux connaître vos préférences et vos limites. Puis au fil du temps, osez vous aventurer vers des fantaisies nouvelles. Faites des propositions ouvertes. Ne tombez pas dans les habitudes qui certes peuvent vous rassurer mais qui finiront par une érosion du désir. Le désir s’entretient. Il y a de nombreux paramètres qui jouent sur le désir ; la peur de perdre l’autre, l’absence, la nouveauté, le jeu mais aussi l’intimité et le plaisir. Si vous savez maintenir une bonne qualité dans vos rapports sexuels avec une jouissance à la clef, certes votre désir n’aura pas la même intensité qu’aux premiers jours mais il sera toujours présent. La plupart du temps quand l’un ou l’autre des partenaires n’a plus envie de faire l’amour, c’est parce qu’en amont, la sexualité n’était plus satisfaisante. Ainsi, on peut s’aimer encore mais ne plus éprouver le besoin de faire l’amour puisque ce n’est pas une source de plaisir assez intense. Ne confondez jamais amour, sexe et désir mais essayez toujours d’entretenir les trois… A lire sur le net: 7 points à savoir sur l`organe du plaisir féminin... Alors qu'il est l'organe le plus agréable qui existe sur le corps humain, le clitoris et ses mystères Sexe : 10 idées reçues sur les femmes 20 Jui 2017 On nous croit fragiles, sentimentales et moins portées sur le sexe que ces messieurs. Stop aux idées Lire Plus... L`amazone: sensation multiple et plaisir garanti 13 Jui 2017 Avec la position l'amazone, vous êtes une guerrière, vous dominez l'homme et maitrisez votre plaisir. Lire Plus... Quelques conseils pour lui donner un orgasme qu`avec vos mains : si tu prends tes 2 mains, une sur la queue et une sur l'an-us...ah...le pied !! 06 Jui 2017 Vous avez envie de changer un peu votre routine intime ? Stimuler la prostate, un massage qui provoque ...Yessssssssssss Le sexe, c'est bon, mais on peut vite tomber dans la routine. Pour surprendre votre homme... Donc quelques sujets à lire sur le net....si tu n'es pas sage. Moi je ne connais pas la fin de la soirée à Rimouski ni ma partenaire. Il paraît que ,quand on ne sait rien, la jouissance peut venir et inonder la planète............... *****Eu une belle surprise hier sur le net : une amie amicalienne (qui me lit assidûment), de 61 ans, nous a invités à Jonquière(Arvida). Ce sera en août...et je sais qu'elle a 2 gros chiens dont un mâle avec un bel os entre ses pattes; hélas pas de testicules. Je vais lui faire plaisir de toute façon par le souvenir, il bande quand même ..........Elle, je vais l'embrasser sur les joues, peut- être sur les lèvres si elle me les présente. *Ce message a été édité le Jul 1, 2017 2:38 PM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : juillet 2, 2017 10:39 |
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Le voyage se poursuit dans le froid à Rimouski. Hier soir, 3 orgasmes pour elle avec accent sur le clito. A 74 ans, elle me dit qu'elle jouit encore plus. Moi je ne suis bon à rien le soir, mais j'ai ma langue qui accompagne mon doigt. Ce matin, elle m'a fait bander dans sa main et je l'ai pénétrée 2 fois: Vue sur son gros clito; une, elle, sur le dos, les pieds appuyés sur l'étagère du haut: orgasme. Rebelote. Moi à genoux avec vue plongeante sur sa fente et fesses bien écartées. Orgasme pour elle et yééééééééé pour moi aussi. Enfin, on y arrive !! Il était 6h. Redodo jusqu'à 8h. Pour les vieilles comme nous, faut du repos entre les parties de fesses. Au centre commercial où je suis à 10,30h. aux toilettes des hommes :3 distributeurs : condoms aux fraises; anneau pénien vibrant pour le couple; viagra naturel !! au choix pour un 2 $. Je suis curieux et j'entre dans les toilettes des Dames. Même 3 distributeurs et en plus serviettes sanitaires. Information pour les coquines ici: l'anneau pénien se pose à la base du pénis même mou. Une fois bandé, un afflux de sang s'y loge et lors de la pénétration, l'anneau vibre juste à l'endroit du clito dans la position du missionnaire. Ainsi la dame peut jouir de même que son partenaire. Ici ,une belle invitation à s'accoupler hors toilettes. *** Une aventure hier à Trois-Pistoles, au petit centre commercial , aux toilettes. J'avais remarqué un gars, assis sur un banc à l'entrée des toilettes. J'entre donc, et lui ,se précipite à la porte et me dit ''Il y a de la place pour deux ?''---Je réponds '''bien sûr''. Effectivement, la toilette était grande avec urinoir, bol, lavabo et de l'espace. Lui s'installe à l'urinoir et fait semblant de pisser mais tout en s'astiquant le moineau, qu'il avait courbé. Je m'approche de lui pour le toucher. Il écarte ma main. Il voulait le faire lui-même et me voir me branler à mon tour. Probablement qu'il me trouvait trop vieux, il est sorti sans conclure. Un autre est entré, lui, s'astiquant le moineau devant le bol pendant que je me lavais les mains. Il me dit'''Je suis en couple'' ---So what!''' le plaisir c'est le plaisir où qu'il se trouve. '''En couple H+F ?'''que je lui dis. ---''Oui''' de la tête. Beau jeune homme de 50 ans bien membré ! Je suis sorti avant lui. Pour un peu que tu sois aux aguets en homme averti, il peut t'arriver plein de choses inattendues !! entre hommes.
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Lecossais |
Date du message : juillet 2, 2017 11:08 |
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Une réponse d'un ami-amicalien, dans mon courrier, à l'aventure qu'il m'est arrivée hier à Trois- Pistoles et racontée dans le texte précédent. Envoyé : 2 juillet 2017 10:05 À : Bruce Objet : RE: petite aventure aux toilettes à Trois-Pistoles 1 juillet Cher Bruce, Je constate que tu es beaucoup plus "porté sur le sexe avec les hommes" que je ne l'ai jamais été. Certes, il m'est arrivé une fois ou deux, dans ma jeunesse, de me faire dire à l'urinoir que j'avais une belle queue et j'ai tout simplement dit "Merci" pour le compliment sans jamais avoir même l'idée d'aller plus loin, et l'autre n'a pas insisté non plus. J'ai fréquenté quelques bars gais et là, devant les urinoirs, c'est différent, on ne se contente pas de parler, souvent on touche. Dans ces situations là, je me pressais de me retirer car je n'avais pas réellement envie et ne savais surtout pas comment me comporter dans une relation avec un homme, surtout dans un endroit où c'est défendu par la loi. De nos jours, je serais moins récalcitrant mais, comme la plupart des urinoirs publics sont sous surveillance vidéo, et que c'est défendu par la loi, je ne me risquerais pas à m'aventurer plus loin que regarder. Comme je te le disais plus haut, tu me sembles beaucoup plus entreprenant que moi, côté sexe, et grand bien te fasse de profiter de toutes les situations qui se présentent si ça t'intéresse. Moi je suis voyeur, surtout envers les femmes, et j'aime aussi regarder les hommes, peut-être pour me comparer, mais j'aime voir les attributs sexuels des autres sans pour autant que cela m'excite au point de vouloir toucher à tout prix. A+ mon ami. P.S. de Lecossais: Merci de ce commentaires mon ami. Évidemment quand deux hommes se touchent aux toilettes, la porte est barrée et c'est sans caméra dans la toilette, car la caméra serait hors-la-loi. Il est rare de rencontrer une toilette de ce genre ''pour 2-3 personnes'' en même temps. J'ai aussi constaté que au moins une dizaine d'hommes étaient assis devant le bar à café pas loin de cette toilette. Les dames étaient assises entre elles plus loin. C'est donc connu de tous ces hommes là. J'admire ce lieu-situation où des hommes n'ont pas besoin de se courir après dans les bois, dans les parcs ou toilettes publiques pour se masturber ensemble. Bravo ! Les hommes ici avaient pas mal plus que 60 ans et donc à cet âge, les dames ne les excitent pas trop trop à moins d'être en couple... et même là ! Trois-Pistoles est donc un nom à retenir sur notre petite planète. Bien au chaud, tous les matins, au café, des hommes ne se retiennent pas aux toilettes, en sécurité et dans la loi. Surtout ne le dites à personne !
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Lecossais |
Date du message : juillet 4, 2017 11:34 |
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*** '''J'ai 64 ans et j'aime les femmes plus âgées que moi '''*** ''''Au service de Maryse... Bon anniversaire ! ''' Auteur : Mcguil83 Série : Femmes d'aujourd'hui ''''Bonjour aux lectrices et lecteurs de Revebebe. J’espère que vous apprécierez cet épisode vécu avec cette dame octogénaire, qui n’a pas voulu s’en tenir aux relations professionnelles pour me conduire à franchir l’obstacle sexuel. Mais est-ce vraiment une barrière quand deux êtres, avec une grande différence d’âge gardent le désir et l’attirance de leur corps pour combler quelques fantasmes. Je suis en retraite depuis deux ans et les nouvelles directives du gouvernement en place me permettent de bénéficier d’un emploi rémunéré dans le cadre d’un Cumul Emploi Retraite. Je travaille dans une Association comme « aide à la personne », principalement auprès de personnes âgées. Ma clientèle est exclusivement féminine et je dois bien reconnaître que j’adore le contact avec mes petites mamies qui me le rendent bien. Ma préférée est Maryse, une dame octogénaire, seule et veuve depuis 1981, qui sait rester coquette, positive, délicate et sensuelle. Son handicap n’est pas son âge, ni son physique mais sa solitude. Tout de suite, j’ai été pris d’amitié pour cette vieille dame et mes trois visites hebdomadaires, de deux heures chacune, sont attendues et espérées autant par elle que par moi. Si l’amitié amoureuse existe, c’est le début de notre histoire mais pas la fin. Maryse est une dame aux cheveux blancs qui va chez le coiffeur toutes les semaines pour une mise en plis, jamais de brushing, un rinçage tous les deux mois pour entretenir la blancheur de ses cheveux. Elle n’a pas besoin de permanente car elle frise naturellement. Elle s’habille classique, en tailleur, en robe l’été ou en jupe avec un chemisier. Elle ne porte jamais de pantalon, ce n’est pas féminin dit-elle. Elle possède une garde-robe bien fournie et je sais de quoi je parle car mon travail d’aide-ménager consiste à l’assister dans ses travaux quotidiens : ménage, lessive, repassage, commissions, démarches administratives et sorties extérieures. Il n’y a pas d’aide à la toilette mais en a-t-elle seulement besoin ? C’est une femme très propre. Cette femme de 1, 60 m’pour autant de kilos a dû être très belle dans sa jeunesse, jusqu’à faire chavirer bien des cœurs d’hommes ! Elle a des jambes longues, élégantes, bien dessinées comme en témoignent les sports pratiqués : natation, beaucoup de marche et de vélo. Elle faisait du tandem avec son mari originaire de l’Allier et l’aller-retour Paris-Bourges en tandem si un week-end ne les arrêtait pas. Elle a gardé aussi une poitrine généreuse, non adipeuse avec une bonne tenue pour son âge. Elle porte des soutiens-gorge taille 95, bonnets C. Elle est souvent avec des chaussures à talons stables, de quatre à cinq centimètres de haut. La regarder suffit à l’apprécier et je suis fier quand elle me donne le bras dans la rue. Chaque rendez-vous débute par une discussion sur la grande table campagnarde de la salle à manger, autour d’un café. C’est un moment privilégié pour nous qui, au début, était une mise au point de dix minutes du travail à effectuer et maintenant, c’est plutôt une demi-heure de bavardage. Comme Maryse est gourmande, j’apporte alternativement des croissants, des chouquettes ou des madeleines qu’elle adore. Les b*****ités professionnelles du début ont vite dérivé vers l’intimité sexuelle. Elle m’avoue souvent sa tristesse de ne plus connaître depuis trente ans le contact charnel d’un homme et le regret de ne plus regarder un homme nu. Je la rassure en lui expliquant qu’elle a peut-être dans son entourage un homme qui la désire, qu’elle pourrait découvrir et que cet homme est peut-être plus près d’elle sans qu’elle ne s’en doute. Ce jour, mon travail est perturbé, ressassant continuellement mes aveux en sous-entendus du café, j’espère ne pas l’avoir froissée. La réponse, je l’ai en la quittant, deux heures plus tard. Elle m’embrasse plus fort que d’habitude, me serre dans ses bras et me dit d’une petite voix fluette mais assurée : — C’est avec toi que je veux avoir une relation, tu es mon dernier espoir. Je la quitte en lui disant que je vais réfléchir, ce qui a pour effet de me troubler encore plus. J’arrive chez moi en érection et ce n’est pas la masturbation qui calme mon tourment. Je me prépare une nuit de vagabondage dans mes pensées. Je retourne chez Maryse le surlendemain, sans solution, espérant qu’elle ne me reparlera pas de cet épisode. Rien ne s’en faut, après les bises et b*****ités d’usage, Maryse toute joyeuse me demande si j’ai réfléchi à ce qu’elle m’a dit avant-hier. J’aurais dû me douter qu’elle ne lâcherait pas aussi facilement sa proie car aujourd’hui elle est encore plus belle que d’habitude. Elle est habillée d’une jupe large, plissée jusqu’aux genoux, d’un chemisier blanc légèrement transparent laissant deviner un soutien-gorge de dentelle blanche qui met sa poitrine en valeur avec des bouts de seins que je devine. Elle est maquillée discrètement, comme il faut pour être à son avantage. Elle est allée hier chez le coiffeur, ce qui est exceptionnel car habituellement, le coiffeur est plutôt le vendredi et nous sommes mercredi ! Mon désir pour elle est évident, mais en ai-je le droit si je veux conserver mon job. Décontenancé mais pas déstabilisé, j’accède à la seconde partie des ses désirs, à savoir me montrer nu à elle, mais à la condition que cela reste entre nous. Je me refuse à toute relation sexuelle, j’ai trop de respect pour cette personne et trop besoin de conserver mon travail. Elle paraît déçue de cette retenue qu’elle n’attendait pas mais ravie de pouvoir me voir nu ! — Dorénavant, tu accompliras ton travail, nu comme un ver et moi je t’observerai. Est-ce convenu ? — D’accord pour me montrer nu à vous… Aujourd’hui ? — Oui maintenant ! Alors exécution s’il te plait. Devant cette soudaine assurance, je m’exécute retardant l’instant de retirer mon slip car je sens que je bande dur, ne pouvant pas détourner mon regard des tétons qui pointent dans son soutien-george. — Allez… vite à poil ! Le travail attend ! Je retire le dernier paravent à ma pudeur et Maryse, plutôt qu’ignorer mon émoi, fixe mon sexe avec persistance, en coquine qu’elle veut être. — Eh bien ! Je vois que je te fais de l’effet et elle m’attrape les couilles d’une main et la verge de l’autre pour me tirer à elle et déposer un baiser sur ma queue en érection. C’est donc dévêtu que je réalise mon travail aujourd’hui. Maryse installée sur le canapé, m’observe sans discontinuer. Son esprit vagabonde dans des pensées secrètes. À midi, je me rhabille et, prêt à partir, je me dirige vers ma vieille amie pour l’embrasser. C’est sur les lèvres qu’elle dépose un baiser pour me remercier en me demandant ce que je pense de son attitude. — Vous êtes une coquine, surprenante, troublante mais attachante. Deux jours plus tard, je retourne chez Maryse. Je suis à la fois perplexe et excité de la revoir. Que me réserve-t-elle aujourd’hui ? En plus des friandises habituelles, j’ai apporté un petit bouquet de fleurs de saison avec, en garniture, des myosotis. Volontairement, Maryse n’est pas habillée ce matin. Elle porte comme seul rempart à sa pudeur, un déshabillé bleu-pastel qui lui sied à ravir. Négligemment, le décolleté ouvert laisse entrevoir la naissance de ses seins. Elle ne porte pas de soutien-gorge et je suis prêt à parier qu’elle est nue dessous. Je sais que Maryse dort nue, été comme hiver, car dans la lessive il n’y a jamais de chemise de nuit à laver. — Vous êtes en beauté ce matin, dis-je pour me donner une contenance. J’ai apporté quelques fleurs en plus des croissants. — Oh ! Des myosotis… Vous connaissez la signification des myosotis ? — Non ! — Ils signifient : ne m’oubliez pas. Sans le faire exprès, j’ai réussi mon coup et elle ne plaisante pas car je sais que myosotis en anglais se dit : forget-me-not ! — Et pour la beauté, qu’avez-vous comme réponse à me donner, dis-je ? Pour seule réponse, elle m’invite à m’asseoir, sert le café et vient s’asseoir sur mes genoux sans demander mon avis, comme une chatte en manque de câlins. Je ne peux pas me retenir de l’embrasser sur la bouche. Par le déshabillé entrouvert que seule la ceinture maintient fermé, je découvre des cuisses attirantes. Je décide de poursuivre l’avantage de la situation qu’elle a voulue pour la repositionner sur mes genoux dans une position plus stable. Je glisse une main le long de sa cuisse, à l’intérieur du peignoir jusqu’à sa fesse et l’autre dans le dos pour mieux la maintenir. J’assure ma prise en écartant mes doigts qui caressent la raie culière, puis je les déplace un peu dessous pour toucher sa chatte poilue. Elle n’a effectivement pas mis de culotte ! Sans se démonter elle me dit : — L’inspection vous convient-elle ? Ne me répondez pas, je sens quelque chose de gros et dur sous mes fesses. Le sujet devenant scabreux pour moi, je demande : — Quel est le programme aujourd’hui ? — La toilette de Madame pour commencer, car je me suis mise en retard à force de rêvasser dans mes pensées. — Vous, vous allez faire votre toilette et moi mon travail. Quelle est la priorité ? — C’est toi qui me lave, cela fait partie de l’aide à la personne, n’est-ce-pas ? — Oui et non ! Vous devez faire seule votre toilette, je n’ai que deux heures de budgétées pour accomplir les tâches ménagères. — Ce n’est pas un problème, je paierai le temps de ton travail. Devant autant d’arguments convaincants, je m’incline, d’autant plus que faire sa toilette me ravit et qu’après cette matinée chez Maryse, mon après-midi est libre, alors je peux rester un peu plus longtemps. Je lui propose donc de me laisser le temps de mettre l’appartement en ordre, de faire le ménage et après, ensemble, nous prendrons une douche. — D’accord comme cela, je te rappelle que j’aimerais que tu travailles nu comme avant-hier pour me faire plaisir et si tu n’as rien de prévu cet après-midi, je t’invite à rester déjeuner avec moi. Est-ce possible ? Je marque une hésitation de principe avant d’accepter l’invitation et de dire : — J’irai acheter ce qu’il faut après la douche. — Je sortirai faire les courses avec toi, comme du temps de mon défunt mari, bras dessus, bras dessous. En moins de temps qu’à l’habitude, mon travail est achevé et c’est maintenant le moment de la toilette. Je prends Maryse par la main, je l’accompagne à la salle-de-bains. Je m’assois sur le bord de la baignoire, je détache la ceinture de son déshabillé. Lentement et langoureusement, j’écarte les pans du peignoir, découvre une, puis l’autre épaule et je laisse glisser la pièce de lingerie jusqu’au sol sans que Maryse ne s’en émeuve. C’est la première fois que je vois le corps dénudé de cette femme octogénaire. Je suis surpris qu’elle soit encore si avenante et même désirable pour son âge. Comme je suis moi-même dévêtu, je ne peux pas cacher mon érection au regard de Maryse. Toujours assis sur le bord de la baignoire, je suis juste à la hauteur de son visage en levant la tête et proche de ses seins en baissant la tête. C’est par un profond baiser langoureux que je lui témoigne mon admiration tout en palpant sa poitrine. Ses seins sont bien ronds, un peu descendus par leur poids, les mamelons sont bien en place, visibles devant au centre des seins et ils pointent comme deux noisettes dorées. Si ce n’est pas de l’excitation qu’elle ressent, cela y ressemble. Je titille les mamelons avec la langue et je les mordille. Maryse appuie très fort derrière ma tête pour mieux plaquer mon visage sur ses seins. J’abandonne le buste pour caresser plus bas ses fesses d’abord, puis sa chatte poilue. En l’écartant un peu de moi, je découvre une pilosité brune, fournie avec très peu de poils blancs. Pour favoriser mes caresses, elle écarte les jambes latéralement, m’ouvrant le passage vers sa vulve. Ma main s’y aventure avec le majeur qui titille le clitoris avant d’explorer le vagin pour enfin le pénétrer. Elle mouille comme rarement j’ai senti une femme dans cet état, même avec soixante ans de moins ! Je reprends quelques esprits pour dire : — Allez ! à la douche Maryse. Aussitôt dit, aussitôt fait, elle dodeline de la croupe gagnant le bac à douche ; je la rejoins. Maryse se tient aux poignées prévues pour elle, je m’occupe du tuyau de douche et je commence le toilettage. Les mains de Maryse serrées aux poignées, j’ai tout loisir de m’occuper de son corps que je savonne lentement et sensuellement. Le dos d’abord, puis les seins sur lesquels je m’attarde en caressant ses tétons érigés. Je descends vers le ventre, les fesses, l’entrecuisse avant de remonter vers le sexe et le clitoris sur lequel je passe un doigt avec insistance. Pour retarder son éventuel orgasme, je m’agenouille à ses pieds et lave ses jambes douces et musclées au toucher. Maryse lève une jambe et me présente un pied à laver, puis l’autre. Je m’attarde entre les orteils et sur la plante de ses pieds que je masse avec délicatesse. — Arrête ! tu me chatouilles, tes attouchements m’excitent, mais que c’est bon ! J’en abuse encore un peu avant de me relever tout en caressant ses jambes jusqu’au sexe. Elle gigote des hanches et se trémousse d’un pied sur l’autre lorsque je tire les grandes lèvres de la vulve, puis les petites lèvres qui s’échappent à mes doigts savonneux. Maryse pousse des petits cris de bien-être. Elle n’a aucune retenue, même quand je me dirige vers son anus. Elle ne se crispe pas et me laisse masser la rondelle *****e pour introduire un doigt à l’intérieur. Je trouve que le moment est venu d’achever mon œuvre en titillant à nouveau son clitoris avec le pouce avant de l’introduire dans le vagin en plus du majeur dans l’anus. Je pince et masse rapidement la paroi recto-vaginale. Maryse ne peut plus retenir son orgasme. Elle se lâche avec des gémissements et des râles de jouissance. Comme elle n’ose pas lâcher les poignées de peur de glisser, elle est comme prisonnière, toute à ma merci. Sa seule parade pour mettre fin au scénario est de m’embrasser profondément, en mélangeant sa langue à la mienne. Rassasiée, je ne le crois pas, comblée et heureuse c’est sûr. En reprenant ses esprits, ses premières paroles sont pour moi : — Et toi, ton plaisir ! — Finissons ta toilette et nous verrons après. Avec la douchette, je rince son corps, je m’attarde sur son sexe en écartant les grandes lèvres et en insistant sur le clitoris, puis je rince derrière l’anus et le colon avant qu’elle sorte sur le tapis de bain. Assise sur un tabouret, je lui sèche le corps, les jambes, le dos, les seins où je m’attarde, puis elle se lève pour que j’essuie le ventre, les fesses et le sexe où je m’attarde encore plus. Ne voulant pas en rester là, elle commence à me masturber le sexe et prend mon pénis à pleine bouche. La succession de ses va-et-vient me conduit rapidement à l’éjaculation dans sa bouche. Cela ne la dégoutte pas, elle semble boire mon sperme à la fontaine des délices avant de prononcer ces mots : — Il y a si longtemps que j’espère cela. Tu es l’homme, l’ami que j’attends depuis trente ans ! Il est midi passé et plutôt qu’aller faire des courses, Maryse me propose le restaurant pour déjeuner. La sachant financièrement très aisée, j’accepte ce changement de programme et c’est comme elle le souhaitait, bras dessus, bras dessous que nous allons déjeuner à la crêperie toute proche. Le lendemain, assise sur mes genoux, nous prenons le café quand elle me pose la question de confiance : — Mon chéri, combien d’heures travailles-tu par semaine ? En réalité, hormis Maryse, je n’ai que quelques remplacements occasionnels avec l’Association, alors je réponds à Maryse : — Dix heures par semaine, environ. — Accepterais-tu de les quitter pour travailler uniquement pour moi, gagner plus en travaillant plus, c’est-à-dire quatre passages par semaine à raison de demi-journée à chaque fois ? Je te paierai en chèque CESU pour 250 € par mois. C’est plus que le double actuel et c’est, en plus, l’assurance de voir Maryse plus souvent donc moins de masturbations solitaires et plus de plaisirs ensemble. J’ai donc accepté cette proposition et, l’un comme l’autre, avons quitté l’Association. Je reste toujours professionnel, excepté pour la toilette qui dérive souvent autour de jeux sexuels. Maryse est particulièrement sensible du clitoris et aime aussi que je lui excite l’anus. Le matin, j’arrive les bras chargés de présents : friandises, fleurs (avec des myosotis) et un paquet-cadeau que Maryse est impatiente d’ouvrir. Sa surprise est grande de découvrir un gode anatomique de quatre centimètres de diamètre avec une butée de sécurité pour l’introduction *****e. Sa longueur est respectable avec douze centimètres actifs. Sa couleur cristal transparent est particulièrement élégante pour une femme. J’attends la réaction de Maryse qui n’est pas choquée du cadeau. Elle trouve seulement à dire : — Tu ne crois pas qu’il est un peu gros pour mon vagin ? — Je ne peux rien te refuser aujourd’hui, tu es si gentil pour moi. — Je vois que tu es prête à tester ton cadeau. — Tu crois ? — Oui, j’en suis persuadé !… — Bon anniversaire ma chérie et ce n’est pas fini. — Que vas-tu faire maintenant ? — Te raser… j’y pense depuis longtemps et l’anniversaire d’aujourd’hui est probablement la meilleure occasion pour symboliquement te rappeler ton enfance, à l’époque où tu étais impubère. Je te rappelle que tu m’as dit ne rien pouvoir me refuser aujourd’hui ! — Vu sous cet angle, je m’incline, tu peux faire de moi ce que tu désires. Je tire sur les poils au centre de la vulve pour en vérifier la longueur et le travail à réaliser. — Il est temps que le coiffeur œuvre, tu en as bien besoin. De quand date la dernière tonte ? — Oh ! Plusieurs dizaines d’années, mon mari n’y prêtait pas attention, alors je ne les coupais pas. Par contre, je me souviens qu’à la naissance de mon fils, la sage-femme m’avait complètement rasée. — Il y a prescription alors ! — Probablement, j’avais vingt-deux ans à sa naissance de Robert. Je glisse sous ses fesses une grande serviette de bain propre. Pour marquer l’instant mémorable de près de soixante ans sans rasage, sans demander d’accord préalable, je décide de faire une photo du pubis poilu, cuisses largement écartées et chatte offerte. Maryse ne dit rien pour mon geste prémédité. Je prends maintenant un rasoir et, en spécialiste, je débute la récolte des poils, méthodiquement et minutieusement du pubis à la vulve par sillons successifs. Régulièrement, je débourre le rasoir des poils coincés dessus, gardant le rasage de la fente vulvaire pour la fin. C’est presque fini, j’écarte les grandes lèvres pour raser les poils qui poussent presque à l’intérieur, puis je fignole mon travail en repassant partout avec un rasoir neuf, de façon à avoir une peau la plus lisse possible. Je touche avec la main, c’est parfait, pas une égratignure. J’engage Maryse à se caresser pendant que je fais une photo de sa chatte rasée. Entre les deux photos, il ne s’est pas écoulé plus de vingt minutes. — Qu’en penses-tu chérie, comment te sens-tu ? — C’est bien et c’est tout lisse, passe-moi une glace que j’admire ton chef-d’œuvre, car je suppose que tu ne veux pas que je descende maintenant ! Je lui prête une glace pendant que je rassemble les poils dans une enveloppe sur laquelle j’inscris la date du samedi 25 juin 2011. Cette enveloppe, je la garde précieusement dans une boîte à souvenirs. Nous n’allons pas rester ainsi sans amour devant un sexe dépoilé qui me donne des idées. Je positionne une chaise en bout de table et je m’assois dessus. Maryse a toujours les jambes en l’air m’offrant à hauteur sa minette toute mouillée. Je l’approche de moi, pose ses mollets sur mes épaules et plonge la tête entre ses cuisses pour sucer le clitoris tout en lui soutenant le bassin en bordure de la table, le majeur dans le cul et le pouce dans le vagin. Je peux ainsi presser la paroi recto-vaginale, donnant des sensations de légères décharges électriques à Maryse. Puis, abandonnant l’anus, j’introduis ma main fermée dans son vagin en fist-*****ing mais le passage n’est pas suffisant pour pénétrer tous les doigts au-delà de la seconde phalange. En retirant le pouce, je peux entrer jusqu’à la troisième phalange mais pas plus. J’abandonne donc cette idée pour revenir avec deux doigts dans le vagin, l’index et le majeur à rechercher le point G, derrière le méat urinaire. L’avantage de cette position, c’est de pousser par l’intérieur sur le clitoris qui ne tarde pas à sortir raidi de son capuchon comme une petite bite que l’on décalotte. Je continue de l’aspirer, de le sucer et de le titiller avec la bouche, si bien qu’il devient rouge turgescent et de plus en plus raide jusqu’à l’orgasme que Maryse ne peut plus retenir. Je recule la tête mais je continue de dérouiller la chatte avec mes deux doigts recourbés à l’intérieur jusqu’à ce qu’elle me demande d’arrêter avec insistance : — Arrête mon chéri, c’est trop bon et trop fort, je ne peux plus le supporter, je jouis comme jamais et je sens une envie d’uriner. — Ne te retiens pas, lâche-toi complètement, va jusqu’au bout, et je reprends mes caresses internes, l’autre main appuyant sur sa vessie. Elle se lâche enfin totalement avec des soubresauts de plus en plus vifs, hauts et forts que j’ai du mal à maîtriser. Un jet d’urine jaillit ... C’est totalement vidée qu’elle s’abandonne sur la table, ne pouvant plus faire le moindre geste tellement son plaisir a été fort. — Je vois, mais la position n’est pas très à mon avantage. Donne-moi ton sexe, je vais m’en occuper. J’approche ma verge de sa bouche pour qu’elle me pompe le piston. Je n’ai pas encore éjaculé mais je suis mouillé de plaisir par toutes ses péripéties, rasage, photos, pénétration du cul et du vagin, on en serait à moins ! Sentant mon plaisir atteindre le point de non-retour, je sors mon pieu de sa bouche et je le plante directement dans son vagin en tirant Maryse par les chevilles et en passant ses jambes par- dessus mes épaules. Le but final ne se fait pas attendre devant un tel spectacle, j’éjacule violemment dans sa chatte rasée. — As-tu un fantasme que tu souhaites réaliser aujourd’hui ? — J’aimerais que tu me prennes comme une salope si tu veux bien. — En levrette ? — Oui, viens dans la chambre, nous serons plus à l’aise. Je découvre la pièce que je connais bien pour y faire le lit et le ménage régulièrement. Cette chambre possède un grand lit de deux personnes, une armoire avec des portes à glace et, dans un angle, une commode avec quatre tiroirs où est remisée toute la lingerie fine de Madame. Maryse se positionne perpendiculairement dans la largeur du lit face à l’armoire à glace, s’agenouille les bras tendus devant, bien à plat, le cul en l’air, les fesses ouvertes de manière obscène mais tellement désirable. Placé debout derrière, j’attrape ses hanches, approche son corps jusqu’à ma verge bandée au maximum et j’introduis mon gland directement sans ménagement dans le vagin qui se présente à ma hauteur. Je n’arrête pas pour si peu mon va-et-vient dans son vagin jusqu’à l’aboutissement d’un second orgasme, plus fort, puis puissant que le précédent. Devant le spectacle de sa croupe offerte et de son plaisir, je ne tarde pas à lâcher ma semence en elle. Pas besoin de protection ni de précautions, à son âge il n’y a plus le risque d’être enceinte et nous ne risquons pas d’attraper une MST, étant l’un et l’autre adulte responsable et confiant en son partenaire. Toutes ses péripéties nous ont donné faim, l’heure du repas est arrivée. J’ai tout prévu, du champagne en apéritif, jusqu’au gâteau avec les bougies pour le dessert, huit grosses bougies. Mais dans l’immédiat, il convient de s’habiller en créant un ensemble de fête tout en gardant une originalité de circonstance coquine bien sûr. Le repas se déroule en amoureux, nous prenons tout notre temps. Maryse est gênée de se trouver sans culotte, mais ce qui la dérange le plus c’est l’interdiction de se lever. Régulièrement, elle se trémousse sur sa chaise, dansant d’une fesse sur l’autre car le gode lui excite les entrailles. Je la vois aussi parfois se caresser le clitoris mais je fais semblant de ne rien voir, matant plutôt le soutien-gorge qui lui remonte les seins prêts à s’évader. Arrivés au plat de résistance, Maryse ne tient plus en place. Il s’ensuit une scène mémorable sur la partie de la table campagnarde restée libre. Maryse s’allonge de tout son long, se branle le cul d’une main avec le gode pendant qu’elle se caresse le clitoris de l’autre. Les yeux fermés, elle oublie totalement ma présence. Je l’observe sans intervenir car je veux qu’elle soit excitée comme elle le désire. À chaque entrée et sortie du godemichet, elle pousse des petits cris de plaisir, pendant que sa main gauche parachève son œuvre sur le clitoris. Elle garde les yeux fermés jouissant intensément pendant que je la filme..
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Lecossais |
Date du message : juillet 6, 2017 09:51 |
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Témoignage récent de mon ami amicalien de 74 ans. Envoyé : 5 juillet 2017 20:03 À : Bruce Objet : TimHortons Bonsoir Bruce, Tu sais, je t'ai déjà dit que, tous les jours je vais prendre un "double expresso" au McDo de Walmart. Aujourd'hui, j'avais à conduire ma douce pour un rendez-vous et au retour, comme je me préparais à partir pour mon café, un ami me téléphone pour me dire qu'il a perdu son permis de conduire temporairement pour question de problèmes visuels et qu'il aimerait que je le conduise un peu, il a quelques courses à faire... Bref, à la fin, je me retrouve finalement loin du Walmart et je décide de prendre mon café chez Tim Hortons. Comme d'habitude la ligne d'attente est assez longue, même si c'est un petit commerce attenant à une station d'essence. Une dame d'un certain âge (65 et + j'estime) assez jolie, rondelette mais pas "trop énorme" est attablée avec je pense sa fille et son petit-fils. Ils mangent des beignes et boivent probablement du café pendant que moi, je sirote mon expresso lentement en faisant le Sudoku du Journal. En partant, la dame me salue en passant près de ma table et me dit "On ne voulait pas vous déranger trop longtemps" Je lui fais un sourire sans savoir quoi lui répondre et continue mon Sudoku. Quelques minutes passent et le petit-fils vient me porter un papier sur lequel est inscrit un prénom féminin et un # de téléphone et "Laval". Il me dit :"Voici, ma grand-mère vous donne son # de téléphone"... Cette dame est donc de Laval et, voulait me le faire savoir... En rentrant je vais tout de suite sur Internet et avec une recherche rapide, découvre l'adresse complète ainsi que le nom de famille de la dame... Je me demande ce qui l'a poussée à me donner son numéro mais je vais tenter demain de le savoir car je dois aller à Montréal et je me propose bien de lui passer un coup de fil pour en savoir plus long. Je compte bien aussi la mettre en garde contre la façon qu'elle a eue de me donner son numéro... Si elle était tombée sur un malfaiteur, elle serait une cible très facile. Enfin, si je peux me permettre de croire que c'est mon physique qui l'attire, je me sens très flatté et mon ego en a eu pour son argent aujourd'hui, c'est la première fois en 74 ans qu'une situation comme celle-ci se présente à moi. Bonne route mon ami P.S. de Lecossais : que c'est donc agréable d'avoir une proposition pareille ! Elles sont rares ces propositions et c'est bien dommage. Toutes ces amitiés perdues ! Je ne pense pas que c'était ''dangereux'' pour elle de te donner son numéro vu qu'elle ne demeure peut-être pas seule; aussi que tu lui as semblé assez ''vieux'' pour être inoffensif ! L'es-tu ?? De mon côté il m'arrive , quand je suis seul dans l'assenceur avec une Dame (elles ont toutes plus de 80 ans et il y a 8 étages ) que je reçoive un bec sur le bec ! Hé oui, on me voyant en short, elles se le permettent .Et j'adore....J'en veux encore et souvent. Passe le mot...Écris-moi, fais-moi un sourire, donne-moi un rendez-vous, je trouverai bien un prétexte pour aller te voir. ***Nous sommes rendus à Gaspé ce jeudi et il fait super chaud. Nous irons à la plage Haldiman et à côté, la plage ''boom-défence'' qui est tolérée ''naturiste''. Je vais donc poser mon tizizi à l'air libre et ensoleillé. Il va adorer. Si tu veux le voir (ou voir ma blonde toute nue, elle posera pour toi...Sexe rasé, vulve apparente, fesses de 74 ans, des seins petits et fermes...Veux-tu savoir autre chose ??
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Lecossais |
Date du message : juillet 7, 2017 13:51 |
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*** Suite d'une aventure avortée mais..... Envoyé : 6 juillet 2017 20:41 À : Bruce Objet : La rencontre Bonsoir Bruce, Alors tel que prévu, je suis allé à Montréal pour des courses et j'en ai évidemment profité pour utiliser le fameux # de téléphone. J'ai dû laisser un message mais environ une heure plus tard la dame m'a retourné mon appel. Elle m'a raconté qu'au Tim Hortons elle était avec sa bru et son petit fils et qu'en sortant, c'est sa bru qui lui a conseillé de me donner son # de téléphone car sa bru avait remarqué qu'elle me jetait des regards intéressés pendant leur pause beignes-café... La dame m'a dit qu'elle m'avait trouvé beau, grand, pausé, calme ... et j'en passe. Je flottais sur toutes ces flatteries avec lesquelles elle m'inondait... Naturellement elle me raconte au téléphone comment elle est seule et qu'elle a besoin de rencontrer un homme et que je serais physiquement son idéal. Moi, je n'ai le temps que de l'écouter et finalement vient la question à savoir si je suis SEUL dans la vie... Je suis toujours honnête dans ces situations là et je lui réponds que je suis en couple et c'est là que la dame se dit désolée et espère que je ne lui en voudrai pas mais qu'elle veut rencontrer "l'âme sœur". Donc j'en suis quitte pour avoir reçu un tas de compliments qui finalement m'ont fait bien plaisir et on tourne la page. A+ mon ami oxox P.S. de Lecossais : Souvent, la Dame finalement ne veut pas d'un homme trop longtemps dans son lit, qu'elle veut probablement (mais elle ne le sait pas!) un ami-ami qui baise bien ; enfin je pense qu'elle passe à côté de sa vie. C'est mon opinion. Tu aurais pu dire aussi à cette Dame que tu aimerais la connaître, discuter et peut-être décider d'un commun accord, qu'on pourrait essayer de se voir occasionnellement, EN ATTENDANT qu'elle trouve son âme-sœur. Ainsi il n'y aurait pas d'occasion de perdues des deux côtés. C'est ce que moi j'aurais dit...en plus d'ajouter que tu ne baises pas avec ta compagne, ce qui est vrai, tu ne mentirais donc pas...mais je ne suis pas à ta place . Essaie de nouveau de la contacter EN ATTENDANT, et qui sait, elle sera peut-être intéressée jusqu'à ce que.........elle comprenne que la vie est courte à nos âges et que les plaisirs doivent se prendre. Les hommes mariés sont les meilleurs amants, les plus gentils et les plus honnêtes.
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Or-lyne |
Date du message : juillet 7, 2017 22:52 |
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Bonjour , Bonsoir , je suis de passage ! Il m'arrive de penser à vous et cette magnifique famille.?? que j'aime . Je me permet de m'introduire entre deux , simplement pour vous communiquer ma tendresse et mon bonheur de vous lire . Merci . Or-lyne
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Or-lyne |
Date du message : juillet 7, 2017 23:25 |
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2 Points d'interrogations ...remplacer plutôt par deux points d'exclamation :) :)
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Lecossais |
Date du message : juillet 8, 2017 08:40 |
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Lyne-Adorée, point d'exclamation ou point ? ne me fait pas de différence en autant que tu nous écrives. On s'est ennuyées de toi depuis 2 semaines. Que fais-tu des tes deux mains ? de ton cœur trop plein de tendresse et de tes cuisses qui s'ouvrent doucement à mesure que tu m'écris ? Ne laisse pas perdre toute cette verve sucrée que je sens sur tes lèvres. Questions pour toi...et tu es obligée de répondre sinon...........hiiiii tape sur tes fesses.... 1-As-tu déjà été avec un homme (ou une femme)? et pendant combien de temps ? 2-As-tu encore des orgasmes ? combien par semaine ? de quelles façons ? Je te laisse avec seulement 2-3-4 questions, libre à toi de développer pour notre plaisir à toutes. C'est sûr que tu vas susciter des commentaires et ne t'occupe pas des ! ou ? on ne regarde pas ça...mais on te lit et on savoure. Tu peux aussi me poser toutes les questions que tu voudras, j'en jouis...c'est le but non !
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Lecossais |
Date du message : juillet 9, 2017 08:32 |
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*** FAITS QUI ME SONT ARRIVÉS *** 1- Dans le sud de la France, sur le parebrise de la westfalia, une enveloppe à mon réveil écrit ''POUR VOUS MONSIEUR''. Je m'empresse de la lire. Ça disait ceci: depuis quelques jours, je passe à vélo et je vous ai remarqué. Vous me semblez gentil, beau garçon et j'aimerais faire votre connaissance; ensuite on pourrait se donner un rendez-vous plus poussé. Je suis trop timide pour vous aborder en personne et mes parents me surveillent. Je repasserai demain à la même heure. Signé: belle inconnue. Évidemment que j'ai reconnu l'écriture, c'était celle de Mimi qui me faisait une proposition. J'ai quand même eu hâte à demain. Je n'ai rien dit. Le lendemain, il y avait une autre enveloppe avec le titre:''dans le spa''. C'était une histoire érotique où ma Belle attendait la fermeture du magasin pour attendre, nue, le préposé pour le nettoyage du spa. Masturbation, longs baisers, tout y est passé. Ce fut le début, entre nous, d'échange de courrier (avant l'internet) où Mimi écrivait des histoires érotiques. Elle en a écrit une dizaine cette année-là. Je me souviens de la dernière où l'histoire se passait dans une mongolfière , à dix, dans les nuages. 2-Dans un centre naturiste dans la ''Creuse'' où George-Sand a vécu, nous avons rencontré un couple de Belges et ce fut la première fois que j'ai mis un pénis dans ma bouche, dans sa caravane. Ce fut le début d'une longue amitié à quatre. 3-Nous étions sur une plage naturiste à Vera-Playa sur la côte d'Alméria. En cuiller, je pénétrais son vagin, tout doucement, sans que personne nous voit jusqu'à ...ce qu'un groupe de jeunes curieux ados sont passés à nos pieds. La cuiller est restée prise. 4-A Myconos, sur la plage ''Paradise'', tous les matins, un petit bateau livrait son lot de curieux du village, pour admirer d'autres mecs, nus, étendus dans les petites dunes. C'est là que Mimi m'a tricotté un chandail de laine tout en lui lisant ''Le Colosse de Maroussi'' d'Henry Miller. A un moment donné, une tête dépassait, et un gars me faisait de l'œil. Je lui fait signe du doigt du côté des toilettes. Rendus là, il me plaque sur le mur et m'embrasse fortement. Un gars solide, dans la trentaine. Je l'ai masturbé jusqu'à éjaculation. Ça l'a calmé ! 5-Dans les années 90, beaucoup de constructions en Espagne, préparant l'expo universelle. Des gars venaient s'étendre sur la plage, nus, attendant une bouche ou une main charitable. Cet hiver-là, j'ai masturbé plusieurs gars, les délivrant , les faisant oublier leurs épouses. 6-Au Cap d'Adge, dans les toilettes pas loin de la marina; il me suffisait de me placer dans l'urinoir pour que quelqu'un se présente la queue pour une branlette. Ici je fais la remarque qu'on est en Europe et non en Amérique où le peuple est très puritain et la police n'est jamais loin. Vive l'Europe spécialement l'Espagne et la France ! *** Dimanche, beau soleil à Chandler, au ''subway'' pour le net, où un groupe d'hommes de 65 et +discutent . Une seule Dame, excuse, c'est peut-être un homme ??
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Lecossais |
Date du message : juillet 10, 2017 08:10 |
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Art de Vivre : *** Une étude dévoile qu'il faut éjaculer 21 fois par mois pour rester en bonne santé*** En France, le cancer de la prostate touche chaque année près de 50 000 personnes, et en tue un peu moins de 10 000. Pour éviter de développer la maladie, les médecins recommandent une alimentation saine, régulière et équilibrée, du sport et des dépistages réguliers. Mais des chercheurs d'Harvard semblent avoir trouvé un autre moyen de réduire le risque : éjaculer ! Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont observé les habitudes sexuelles de 32 000 hommes, et ont conclu que ceux ayant le plus fort taux d'éjaculation étaient aussi ceux qui s'exposaient le moins à un cancer de la prostate. "Nous avons constaté que les hommes qui signalent des résultats plus élevés en terme de fréquence de l'éjaculation à l'âge adulte sont moins susceptibles d'être diagnostiqués par la suite avec un cancer de la prostate", est-il expliqué dans l'étude. "Cette grande étude prospective fournit la preuve la plus forte à ce jour que d'un rôle bénéfique de l'éjaculation dans la prévention du cancer de la prostate." Et le nombre magique est... Les chercheurs ont même réussi à établir le nombre idéal d'éjaculations par mois pour réduire les risques : 21. Apparemment, 21 éjaculations par mois réduiraient le risque de cancer de la prostate de 33%, car elles permettraient d'évacuer les toxines hors du corps. Mais si vous voulez vous assurer de rester en bonne santé, les chercheurs précisent qu'une bonne alimentation reste le seul et unique point clé... P.S. de lecossais : oui bon, je crois à ce chiffre pour les plus jeunes comme quand j'avais 15 ans, c'était tous les soirs avant de mieux étudier. Mimi se chargeait de mes fins de semaine. A mon âge, j'aimerais éjaculer aux deux jours(en rêve) mais ça se passe à tous les 3-4 jours. Comme j'ai commencé jeune, il paraît que je suis sauvé et en santé. J'aimerais lire ici dans le profil d'une Dame:'' Je suis disposée à masturber tout homme qui sera propre.'' Oui on se lave le pénis avant ! Juste pour expérience, qui va oser ?? Lyne en Or ? et combien de réponses elle aura ? Allez, pour la bonne cause..............
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Lecossais |
Date du message : juillet 12, 2017 09:26 |
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***Combien d'orgasmes par semaine pour les Dames ? *** Je ne suis pas spécialiste de la masturbation des dames mais dans mon profil je mets une note :''Disponible pour procurer orgasmes à des dames de plus de 65 ans'' dans un rayon de 50 km. ou par ''skype'' de visou. Gratuitement évidemment et avec tendresse. Je fournis vibrateur et huile sur demande. De mon avis ''d'expert!!!'', une dame de 65 ans et plus devrait se masturber tous les soirs entre 21h. et 22h. en pensant à un ancien amant, un film sur le net (demande-moi) ou un livre. Je fournis le film de'' Lecossais se masturbant'' et te regardant dans les yeux ! Pourquoi à cette heure? Pour mieux dormir et se lever de bonne humeur avec le sourire. Cette règle est à l'essai par ''Lyne-Adorée'' ici présente tous les jours. Je sais qu'elle LE FAIT tous les soirs et j'imagine cette grande coquine de 6 pieds, les jambes allongées, à plat, tendues, les orteils recourbés, le clito bien apparent et haut. Est-ce que je me trompe ? Elle pense à moi, mon pénis bien en main, bien dur, un doigt dans l'an-us par derrière...elle rit et jouitttttttttttttt Bonne nuit Chérie. ***En route : Après Bonaventure, Carleton bondé de curieux pour ''La Petite-Séduction'', nous traversons au Nouveau-Brunswick. Coucher à Charlo devant la Baie-des-Chaleurs et arrivés à Grande-Anse où des souvenirs refont surface. Irène et Romain (St-Léolin) ont été nos hôtes chez les ''Thériault'' dans les années 85. Faisant office de ''Gite-du-Passant'', nous avons couché chez eux 3 jours, nos enfants de 11 et 13 ans étant avec nous. Nous avons revu la maison paternelle ce matin avant notre arrivée à Caraquet pour 3 jours. Grand marché samedi à la place de l'hôtel-de-Ville. A++ et ne t'en fais pas si tu ne '''viens'' pas vite, l'appétit vient en mangeant ! et si tu penses que tu n'as pas de clito, demande de l'aide pour le trouver ! ***Je viens de terminer l'excellent dernier ''Mousso'' qui se passe à Paris et New-York. Recherche d'amour, d'un enfant et surtout de soi-même, dans le temps. Et la réponse n'est pas sur ''google''....
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Lecossais |
Date du message : juillet 14, 2017 10:22 |
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Une Histoire sur http://revebebe.fr TE VOILÀ ! Te voilà devant moi. Plusieurs mois que nous parlons sur Internet ensemble. Te voilà enfin à une vingtaine de mètres devant moi dans ce hall de gare immense. Il y a à peine 30 minutes que je suis descendu du train et j’ai déjà eu le temps de me perdre deux fois. Heureusement tu es là au milieu du hall comme un repère. Tu m’as dit de venir pour voir si nous aurions une affinité autour d’un resto et d’une ballade à pied. Chose que je n’ai jamais faite, moi qui suis de nature si timide. Je te vois, tu es comme tu l’as dit lors de ta description. Blonde tirant sur le roux, élancée sans être trop grande. Tes lunettes te donnent un air sérieux dans cette gare où les gens vont et viennent à toute vitesse…âgée de 65 ans environ comme moi. Tu viens de me voir. Un peu tétanisé je reste sur place. Que vais-je te dire ? Que vas-tu penser ? — Comment vas-tu ? C’est bien toi ? — C’est bien moi… Mon train était à l’heure (mais quelle réponse débile !). Tu me penses perdu. En vérité je suis tremblant. Tremblant avec la peur du vide face à toi, la peur du blanc. — On va faire un tour ? Faire un tour ! Très bien. Je viens de faire deux heures de train à angoisser notre rencontre. Il est 19 heures, allons marcher. Tu viens de m’emmener dans ce grand parc que tu aimes tant. Je me rends compte que tu aimes vraiment cet endroit et qu’il est même important pour toi. Quelle chance j’ai… Tu marches doucement en me racontant tes aventures entre ton accident de voiture de la semaine passée, et même ton amitié avec la nouvelle copine de ton ex… Tu es sidérante. Pas un moment tu ne décroches de ce que tu dis, tout en me regardant parfois fixement dans les yeux. J’aime déjà tes yeux. D’une couleur inhabituelle pour mes goûts, je suis plongé dedans. Dedans et toujours trop profondément car tu dois me sortir de ma léthargie à chaque changement de sujet. Comme cette robe légère que tu portes et passes constamment à remettre en place. Une lutte volontaire mais infinie face au vent. Les pans de cette robe sont inégaux et légers. Une pointe de tissu tombe sur ton genou droit, une autre tombe derrière ton genou gauche. Voilà la troisième fois que tu me sors de mon observation. Nous somme arrivés devant le fameux restaurant. Tu entres la première, à l’inverse de la convention qui veut que l’homme soit le premier à rentrer pour voir s’il n’y a pas de malfrat dans l’établissement. Tu viens de choisir la table, dans le fond de la salle, à l’opposé de celle proposée par la serveuse. Quant à moi, je ne sais pas si tu m’as observé physiquement. Je suis plus grand que toi d’une tête. Tes talons de 5 cm sont comme inexistants pour moi. Mais cette robe… Je vois un tour de taille fin avec son tissu plaqué sur les hanches. Les épaules retiennent tout juste ce léger voile. Ton décolleté ne rivalise pas avec celui de la serveuse mais peu m’importe, je ne le verrai pas de près. Pourtant ce collier en or avec sa chaîne discrète est comme une invitation à aller voir ce qui est soutenu par la couleur grise… Ton ex t’a lâchement quittée il y a six mois, et tu ne parles plus que de ça… Cela t’a profondément perturbée, c’est notre sujet de prédilection sur Internet, celui avec lequel tu as apprécié discuter. Voilà six mois qu’il est parti. Et un constat me vient : voilà six mois que je parle à une fille, à une femme qui me plaît. Mon regard a changé aussi. Je ne sais plus si je dois te regarder en amie ou comme une femme que je désire. Mais je m’interdis cela. Nous sommes amis. Le but de ma venue est de se voir en vrai. En face. Mais tu ne m’avais pas prévenu. As-tu fait exprès de mettre cette robe ce jour. Je me mets à regarder ce décolleté… Bouche voluptueuse d’où sortent ces mots, mais non vulgaire avec laquelle tu ne m’as avoué qu’à demi-mot affoler les hommes. Information qui vient de me sidérer à l’instant. À priori tu as envie de changer de registre. Ceci me surprend. C’est tellement loin de ce que tu as dit jusqu’à présent… Tu m’ouvres ce portillon rouillé, dont tu m’as dit tant de fois qu’il fallait qu’il soit repeint. À ce moment-là le portillon m’importe peu. Je te fixe du regard, tes yeux, ta bouche. Soit je m’endors en quelques minutes, soit j’interviens. Ton salon est grand, à limage de cette maison vide. Six mois de discussions... Voilà ton visage face au mien, je ne sais pas quoi faire. Quand d’un coup tu viens à mon oreille me susurrer : — L’amitié c’est beau, mais j’en veux plus… Mon esprit n’a fait qu’une *****yse, ne vient d’obtenir qu’un seul résultat. Ma main quitte ta taille pour venir se mettre sur le côté de ton visage. Je t’embrasse la joue au loin, proche de ton oreille. Je me rapproche à mi-chemin, ta bouche n’est plus très loin. Mon pouce s’éloigne du reste de ma main sur ton visage, et vient tenir ta joue, tandis que mon autre main a lâché la tienne pour venir tenir l’autre côté de ton visage. Me voilà. Je t’embrasse la lèvre supérieure. Délicatement. Tu essayes de mordiller ma lèvre inférieure. Ta bouche ne peut pas s’échapper. Ma langue commence à chercher tes dents. Ces dents à peine visibles dans cette petite bouche qui peut dire tant de mots. Les voilà… Je sens que depuis un moment tes mains sont comme perdues. Elles sont pourtant sur mes hanches mais sont hésitantes à entreprendre quoi que ce soit. Puis à l’instant tu viens de te décider. Ce sera mon haut, mon pull et tee-shirt que tu enlèves d’un seul mouvement, me faisant perdre ton visage des mains. Toujours dans la même pénombre, une partie de mes vêtements au sol, tu viens à l’instant de quitter tes talons pour descendre de quelques centimètres encore, mais pas seulement… Te voilà en train d’embrasser mon torse. La seule fois où tu m’as vu torse nu en cam tu m’avais lâché un « Hum lol… » loin de mon vocabulaire je n’avais jamais considéré ce commentaire. Tu aimes être contre moi, m’embrassant désormais les alentours du nombril. Mais tu n’iras pas plus loin car mon jean est bien ceinturé… Pourtant les signaux montrent qu’il va falloir s’en débarrasser tôt ou tard… C’est assez. Je craque. Te relevant d’un coup par le dessous des épaules, je soulève le haut de ton corps et te projette sur ce canapé tant vu sur Skype, te suivant au millimètre. Nous voilà tout deux allongés sur le côté, face à face. Je passe ma main sur ton visage, et viens t’embrasser, tandis que tu viens me passer ta jambe sur ma hanche comme pour m’agripper. En chuchotant d’une voix à peine audible, tu viens me dire au creux de l’oreille : — Enlève tout et viens jouer avec moi… Je me recouche sur le côté, derrière toi. Je viens t’embrasser le derrière du cou, dégageant les cheveux perturbateurs d’une main, alors que la tienne cherche ce qui touche le bas de ton dos depuis quelque instant. Tu cherches. Je viens t’aider en te proposant ce que j’ai. Ma joie est grande quand au moment de toucher et prendre en main ce que j’ai à prêter tu lâches un fort soupir, comme celui d’un aller réussi mais sans retour possible. Avec une main je te tiens le dessous du visage, de l’autre je te tiens la hanche. Et toi de ta seule main disponible tu tiens ferment ce que tu ne veux pas perdre de la nuit… Ma main lâche subitement ta hanche, pour venir délicatement chercher plus bas… En pénétrant sous cette robe que je viens de faire remonter, je découvre un string qui ne demande qu’à disparaître. D’un coup, en effleurant fortement cette idée que j’ai de ton intimité, je viens retirer et lancer ce string ailleurs, dans l’ombre de la pièce. Et tu me dis : — Viens jouer avec mon clito… Mes mains lâchent leurs affaires. Je te prends à deux mains comme pour décoller ta taille vers le côté du canapé, comme pour moi descendre explorer ton bas… J’y découvre de la main une pilosité à peine existante, comme un trait partant du clito venant mourir en direction de ton nombril après 5 cm d’existence seulement. Ma main te relève alors l’arrière. Te voilà. Te voilà la tête en bas et sur les genoux, fessier en l’air. Je viens me positionner, tête allongée, la bouche sous ce que tu m’as demandé d’amuser. Ma langue va et cherche. Te cherche. Te trouve. Tu souffle fort. Très fort. — Je ne sais pas ce que tu fais avec ta langue mais je ne peux pas fermer les yeux ! me lâches- tu. Le bas de tes jambes s’agite. Nous en sommes là. Un orgasme provoqué par une si petite langue que j’ai… Tu gémis. Tu le fais parfois avec force… voilà. L’ouragan sur le déclin. Tu as chaud. Moi aussi. Une pause s’impose, un peu de douceur fera du bien à tous… mais non. Cette fois c’est toi qui descends, encore et encore. Tu viens, à travers ta robe, frotter ton sexe contre le mien. Le mien est fort en cet instant. Motivé par tout ce qui vient de se passer. Par le contexte. Je ferme les yeux. Tu m’embrasses le torse, à 4 pattes tu descends encore. Ta langue explore désormais mon nombril, tandis que ton menton touche déjà le bout de ce que tu cherches… Tu descends encore. Erreur. Ce n’est pas ça que tu cherchais, mais sa base. La base de quelque chose que tu embrasses délicatement. Comme si tu voulais susurrer un baiser. Ta main droite vient se poser sur mon torse. Tu remontes cette verge que tu as devant toi doucement. Ta main gauche vient la prendre, délicatement, pour la relever vers le haut de la pièce, et ainsi bien orientée tu commences ainsi à descendre autour d’elle avec ta bouche. Toute ta tête, ton visage se déplacent autour d’elle, comme pour la cacher au monde, la masquer avec ta bouche, et ta gorge. Voilà que tu vas et viens. Délicatement, et de plus en plus loin. C’est exquis, délicat et terriblement excitant. Mais tu veux faire plus. Aller plus loin… À mon étonnement tu continues et insistes, en essayant de dépasser le stade de la bouche, de la langue, en allant utiliser le début de ta gorge… Ne t’arrête pas, mais fais-le pour toi. Pense à toi aussi. Pas besoin d’aller si loin. Avec ces événements voici que je suis au maximum de ma force. Tu le sens à travers tes émotions et mon souffle… Il y a danger. Si tu continues tout va s’arrêter d’ici peu. Je ne veux pas et toi non plus je pense. Je n’ai pas encore vu de près cette chaîne que ton collier possède. Avec mes mains je t’arrête, alors que tu veux m’offrir ta bouche, je la refuse désormais, et te veux toi toute entière. Je te stoppe. Me mets debout et t’attends. Tu te lèves, excitée et en attente. Je m’approche de toi, tu heurtes mon torse. Tu es obligée de reculer à mon contact. Voilà le mur. Tu ne peux plus t’enfuir, mais le cherchais-tu vraiment ? Tu veux m’embrasser. Tu y arrives malgré notre différence de taille, tes mains autour de mon cou, les miennes sur tes hanches. Tu es effectivement bien bas… laisse-moi te soulever. Mes mains te ressaisissent fermement les hanches pour te tenir, je te fais monter tes jambes autour de ma taille. Tu ne touches plus le sol. Tu m’enlaces tendrement tout en m’embrassant profondément. Je suis nu. Je te porte contre le mur. Tu es toujours avec cette robe légère… Je descends sur ton cou, sur une épaule. J’embrasse ta peau. Tu aimes ça, ne plus toucher terre, ne pas contrôler… Mais tu as senti ma virilité effleurer ta féminité. Selon les mouvements tu devines et sais que je suis en état avéré d’excitation. Tu viens à mon oreille et me dis : — Fais-le, viens… Excitation augmentée. C’est donc possible… Je suis fort, je viens, je m’introduis. Sans bouger ton corps, je m’aide de ma main pour entrer en toi, toujours en l’air sans toucher le sol voilà que tu es investie. Ton souffle est épais, tu essayes de te cambrer malgré ce mur. Je suis raide, dur. Je vais en toi, au fond. Ça y est… Voilà que j’augmente la fréquence. Ton souffle s’accélère. Je recule. Tu ne touches plus le mur. Tu ne touches plus rien. Tu es entièrement sur moi. Tu es entièrement à moi… Ton excitation est intense. Tu n’avais jamais fait cette position et ne l’avais jamais soupçonnée. Nous voilà au milieu de la pièce… Intense ! Me voilà ! Mes deux mains sur tes hanches. Je vais et viens fermement dans ce terrain déjà entraîné depuis quelques dizaines de minutes. Te voilà en levrette avec un homme, un ami, sur ton canapé. J’accélère le mouvement, plus vite et plus fort. Ton souffle est saccadé. Tu ne respire plus vraiment comme tu le souhaites. Tu sens en toi ma virilité à son apogée. Jamais ton ex ni aucun homme ne t’ont fait ressentir cela. Tu te sens forte, chaude, motivée, et honteuse… Mes deux mains sont alors sur tes épaules, comme pour être sûr d’être enfoncé en toi comme tu le désires. Tu te cambres. Tu me surprends. Depuis quelques instants tu dessines un déhanchement droite-gauche hyper plaisant. Nouvelles sensations. Trop de sensations même. Je me vois obligé d’accélérer le mouvement. Nous montons en cadence. Tu commences à retenir ta respiration. Mes mouvements sont forts mais courts, dans la profondeur de ton être. L’une des tes mains quitte le canapé pour venir sur la mienne sur ton épaule. Tu viens de me dire d’y aller, de tout lâcher… Je sens que la pression monte, que ça se déplace, que ça ne va pas tarder, que j’arrive, que tu arrives aussi… Hummmm. Voilà tout ! Tu trembles de plaisir. Tu gémis, tu hurles, je lâche un râle… Tu lèves la tête au ciel… et appuies ton bassin contre le mien pour ne rien rater… Oufffffffffff… Ralentissement… Je suis encore en toi, cela se termine, je suis encore volumineux malgré tout ça… et voilà que tu te déhanches encore comme pour me donner une deuxième fin. Sensations courtes mais dingues. Ouffff. Je me retire avec douceur. Te voilà redescendue de tout ton long sur le canapé, allongée. Me voilà sur toi. Posé sur le côté te regardant dans l’ombre, tu es allongée sur le ventre. Tu me fixes. Je te regarde en te touchant le visage. Et viens te dire : — Te voilà. Te voilà enfin… bonne nuit mon amie. P.S. de Lecossais : les amitiés sur le net commencent souvent comme celle-là et se terminent souvent ainsi. Jolie texte pour les Dames âgées et les hommes trop pressés. Sensuel en profondeur. Bonne fête les Françaises ! *** En route : Parc national de Kouchibouctou : immense promenade sur bois jeudi. Bouctouche en soirée et arrivée à Shédiac vendredi pour la dégustation du homard au quai Duchêne. Beaucoup de touristes. Demain samedi, visite de la plus belle plage AU MONDE 'Parlee-Beach'. où on peut marcher 400 mètres pour avoir de l'eau à la taille. Idéal pour les enfants. Pour les Acadiens, le mot 'Bienvenue' n'est pas qu'un mot mais une réalité et ils feront tout pour t'être agréable...même la police !! Bonne fin de semaine ensoleillée. Je t'aime...même si tu fermes tes cuisses. *Ce message a été édité le Jul 14, 2017 10:24 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : juillet 16, 2017 08:46 |
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*** JOUIR DE SON CORPS jusqu'à LA FIN DE SA VIE *** La fin de la vie sexuelle est-elle une fatalité inéluctable ? Mais dans ce cas, à quel âge survient- elle ? Soixante ans ? Quatre-vingts ans ?… Rassurez-vous, si vous êtes en bonne santé, moyennant une adaptation, vous pourrez jouir de votre corps et de celui de votre partenaire jusqu'à la fin de votre vie… même si vous êtes un futur centenaire. Sommaire 1.La réactivité sexuelle plus lente mais néanmoins présente 2.Le plaisir des seniors au rendez vous ! 3.Du désir, il y en a toujours 4.Des préjugés plus que des changements hormonaux 5.Sexualité des seniors : les mentalités doivent changer *** Couple de seniors Vers 50 ans, des modifications de la physiologie sexuelle commencent à se faire sentir. Les partenaires doivent s'adapter à ces nouvelles données. Encore faut-il les connaître... La réactivité sexuelle plus lente mais néanmoins présente Chez l'homme comme chez la femme, l'établissement de la réponse sexuelle se fait plus lentement. L'érection, qui apparaît en quelques secondes chez un homme jeune, mettra quelques minutes à s'établir, mais une fois présente elle peut se maintenir sans problème. La rigidité complète s'installe juste avant l'éjaculation. Les caresses sexuelles deviennent primordiales pour provoquer l'excitation. L'inactivité de la partenaire est rédhibitoire ! La lubrification vaginale met également quelques minutes supplémentaires pour se manifester. Pour 2 femmes ménopausées sur 10, elle est moins abondante et dans ce cas, les lubrifiants vaginaux locaux peuvent être un ajout utile. On peut noter qu'une étude a démontré que la lubrification vaginale ne variait pas pour les femmes ayant une activité sexuelle constante. ***Le plaisir des seniors au rendez vous ! Les contractions vaginales qui accompagnent souvent l'orgasme durent moins longtemps. Mais le plaisir est là ! Chez l'homme la quantité de sperme éjaculée est moindre et la force de l'expulsion diminue. La détumescence survient plus rapidement. La période réfractaire s'allonge. Il n'est pas rare après 60 ans qu'un homme doive attendre 24 heures pour avoir une nouvelle érection après une éjaculation. Le besoin d'éjaculer est moindre et beaucoup d'hommes déclarent trouver une grande satisfaction à une rencontre sexuelle même si elle n'aboutit pas à une éjaculation. ***Du désir, il y en a toujours Dans ce domaine les préjugés sont tenaces. Sans doute le lien entre procréation et sexualité a longtemps laissé croire qu'une femme ne pouvant plus enfanter, ne pouvait donc pas avoir de désir sexuel. La libido est présente chez les hommes et les femmes, si elle disparaît, elle est souvent le fait d'autres modifications qui surviennent à cet âge, une altération de l'image de soi, une dépression, la perte de repères par la mise en retraite, le départ des enfants de la maison, l'attention du compagnon qui diminue ou la survenue d'une maladie. C'est parfois le moment que choisissent certaines personnes pour rejeter une sexualité vécue dans l'obligation, sans gratifications. Le prétexte de l'âge les exonère de questionnements. La fréquence des rapports sexuels baissent. Dans l'enquête sur la sexualité des Français*, elle est en moyenne de 4 à 5 rapports sexuels par mois pour les 60-69 ans. Mais cette enquête a également démontré que quelque soit l'âge la fréquence des rapports sexuels diminue avec la durée de la vie maritale. Un autre élément permet de démontrer que le désir sexuel est présent, c'est la fréquence de la masturbation chez les hommes et les femmes de 70 ans et plus. ***Des préjugés plus que des changements hormonaux Même si certains chercheurs aimeraient nous faire croire que les changements de la sexualité à cet âge sont en lien avec un déficit hormonal (avec l'arrière pensée bien sûr, de nous vendre le produit miracle adéquat), la plupart des études vont dans un autre sens. Beaucoup de facteurs psychologiques et sociaux influence notre façon d'aborder la question de la sexualité passé 50 ans. Il semblerait donc qu'un couple, bien dans sa vie et dans son corps poursuit sa vie sexuelle sans difficultés particulières jusqu'au bout. Cette vie sexuelle dépendra bien sûr de ce qu'elle a été précédemment. Ce n'est donc pas l'âge qui entraîne la cessation de l'activité sexuelle mais d'autres facteurs qu'il est important d'identifier. Au besoin avec l'aide d'un médecin sexologue. Sexualité des seniors : les mentalités doivent changer L'espérance de vie augmente, la sexualité est reconnue comme un élément primordial de la qualité de vie. Une révolution sexuelle reste à faire, celle des foyers pour personnes âgées. 10 % des personnes de plus de 75 ans vivent dans ce type d'établissements. Quand est-il de leur vie sexuelle ? Leurs besoins sexuels sont-ils reconnus, respectés ou niés ? P.S. de Lecossais : bon dimanche mes amies coquines et ceux qui jouissent de l'anu-s comme moi ! Oui je sais la sexualté ne doit pas être forcée, mais des fois, il faut lui donner un coup de pouce, comme se faire un horaire et prévoir une heure ou deux par semaine pour s'aimer à fond, jouir de son corps tant qu'il en est encore temps. Se faire plaisir avec une musique douce, dans son bain avec une petit canard vibrant ou sous la douche avec le jet puissant. Tant que tu pourras te procurer un orgasme, tu pourras te sentir jeune, TU SERAS JEUNE et tu souriras à toutes, à la vie; tu seras vivante. ***Dimanche, Moncton est ma ville et nous avons une grande liberté. Immense bibliothèque, complexe sportif...et ce soir restaurant tunisien ''Olive'' où on apporte son vin. Mimi prendra sa douche à Dieppe et la fin de la soirée sera ''CHAUDE''. Son clito propre et elle a le goût de se montrer ! Ah les femmes !!! je vous aime...et les Hommes aussi, ceux sans barbe, propre, et je te suce.............
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Lecossais |
Date du message : juillet 17, 2017 10:31 |
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*** La SOLITUDE *** Régis Cormier à 75 ans. Il a travaillé plusieurs années en Ontario jusqu'à ce qu'il s'établisse avec sa femme et ses deux gars à Pointe-Pelé à l'est de Shédiac. Il est retraité maintenant et vit seul dans son château. Vendredi 14 juillet on a passé la journée au quai Duchesne à Shédiac. Grande animation, tout le village des familles étaient là. Les jeunes femmes montrant leurs nouveaux bikinis, découvrant leurs fesses pour la première fois. Plongeons dans la baie, torses bombés et manifestations de beautés. On a soupé sur ce quai, l'endroit pour le coucher viendra plus tard. Ainsi on a roulé à 19h.vers Pointe-Pelé, un bon 20 km.... mais je ne trouvais pas le village avec son église, son aréna ou hôtel-de-Ville pour coucher. Je m'arrête au bord de la route et regarde la carte. Je décide de faire demi-tour et ...arrive un Monsieur, la main en l'air , voulant dire de m'arrêter. Il s'approche et nous dit':'' Je sais ce que c'est que d'être nouveau dans un coin de pays et de chercher. Suivez-moi dans ma cour et on va jaser.'' On le suit et nous fait entrer dans son CHÂTEAU. Oui un vrai, en hauteur, en riches décorations. On l'écoute parler. Il a eu 2 garçons, une femme. Régis vit seul, il habite cette maison de 2 millions $ depuis 20 ans, nous fait visiter toutes les pièces, les deux garages et dans le grand garde-robe, je ne remarque que ses vêtements, personne d'autre. Il nous propose une visite de son village. On se rend à sa voiture mais ne trouve pas les clés. Je vais donc conduire. Et nous raconte, en roulant, son travail dans les poissonneries, ses maisons au village, ses frères et sœurs qui y habitent, son restaurant ''Chez-Fred''...et ses 11 gros camions ''PIER-99'' pour les transports : valeur d'environ 10 millions$. Ce Monsieur a fait sa vie en transportant du homard, du crabe, des harengs, maqueraux...partout aux USA et Canada. Son fils a pris la relève du père. Une balade d'une heure et on écoute. Revenus chez lui, il nous propose de rester à coucher dans sa cour et nous acceptons. Nuit calme pour un vendredi soir. Le lendemain matin, je le vois se bercer au même endroit. J'entre le saluer et lui dire merci et aurevoir. Régis veut que nous restions avec lui ! Il me dit:'' J'ai de la nourriture, de l'eau, je suis seul et je commence à oublier des choses...j'aimerais que vous restiez longtemps, vous êtes de bonnes personnes ''. Il insiste...Je baisse les yeux, tristement, et fais non de la tête.....................................................................
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