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  Famille : La sexualité n'a pas d'âges


Ce sujet fait partie de la famille La sexualité n'a pas d'âges. Cette famille est semi-privée. Vous pouvez lire le contenu de cette famille mais vous devez vous y inscrire pour échanger.



Auteur

Sujet : Opinions

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : septembre 18, 2016  08:25

   ***La magie du' j'en ai rien à foutre ': comment mener une existence sans prise de tête? ***
Et si vous gardiez votre énergie pour les choses qui en valent vraiment la peine ? Comme son
titre l’indique, La Magie du j’en ai rien à foutre est destiné à aider toutes celles qui se perdent
complètement dans les obligations en tout genre, au point de faire passer leurs intérêts
personnels en dernier plan. Envoyer tout valser est une bonne idée en théorie, mais comment
appliquer cette philosophie au quotidien sans se faire détester par tout le monde ? Réponse en
quatre commandements.
Le grand nettoyage, tu feras
Sarah Knight propose de faire une session de rangement, non de son appartement, mais de son
espace cérébral. L’idée ? "Trier tous les trucs qu’on exige de vous en deux piles : ceux qui vous
prennent la tête et ceux qui vous rendent heureux. En fonction du résultat, vous déciderez de
vous en débarrasser ou de les garder". Ce qui implique aussi bien les exigences des autres, le
dîner hebdomadaire chez vos parents, que celles que vous vous infligez : regarder la page
Facebook de votre ex, faire une séance d’abdos tous les matins. Et si vous trouviez pour chaque
point une solution alternative plus épanouissante ?
Du regard des autres, tu t’affranchiras
Le point le plus difficile de la méthode ‘Même pas désolée’ ? "Sortir de la spirale infernale du 'je
veux qu’on m’aime’ ". Et oui, nous sommes programmées pour vivre en communauté et donc
prendre en compte les sentiments de notre entourage. Certaines sont mêmes capables de
s’oublier pour se plier au désir des autres, se faire accepter ou aimer. "Croire que vous avez la
moindre prise sur ce que les autres ont à l’esprit est futile", rappelle Sarah Knight. Nous ne
savons pas ce qui se passe dans la tête de nos interlocuteurs et, souvent, nous avons tendance
à sous-estimer leur degré de bienveillance. Accepter cette part d’inconnu amène à ne vivre que
selon un seul critère : son bien-être personnel.
A dire "non", tu apprendras
La lecture de cet article vous donne envie de tout envoyer balader ? L’objectif est tout
simplement d’ "arrêter de dire oui pour faire plaisir", mais sans heurter les sentiments des autres.
Les bénéfices, tu récolteras
Débarrassez de toutes ces obligations inutiles, vous voilà gratifiée d’un supplément de temps,
d’énergie et d’argent. Un bonus de vie qui vous permet de mener des objectifs à court terme
(apprendre une langue, faire du théâtre, etc), mais aussi de revoir vos priorités sur le long cours.
Dans son livre, Sarah Knight fait une liste des regrets courants chez les gens, comme avoir
négligé sa santé ou ne pas avoir assez voyagé. A vous maintenant, de dresser la vôtre !
"La Magie du j'en ai rien à foutre" de Sarah Knight aux éditions Marabout, en librairie le 31 août
2016

P.S. de Lecossais : voilà une bonne lecture. Il y a 4-5 ans, je discutais en 'direct' sur 'msn' avec
une Française connue sur 'amicalien', venant des Landes (Mont-de-Marsan). On se voyait tous
les jours sur le net, c'était notre rendez-vous amoureux. On avait hâte et se découvrait beaucoup
d'affinités. On avait été prof. tous les deux, on aimait les arts et le sexe. On en est venu à
parler 'sexualité' ouvertement, très ouvertement. On a joui l'un devant l'autre à l'occasion. C'était
en juin et finalement elle m'a invité à aller chez elle en septembre. J'avais pris des dispositions
pour mes papiers, passeport etc... pour faire un bout de chemin avec elle en France. Vers la fin
août, sa fille devait venir la voir, en vacances, et elle m'avait écrit que quand sa fille est là, je ne
devais pas écrire, surtout pas parler 'sexe' ou aucune forme d'érotisme. Et ce qui devait arriver
arriva. Je me suis échappé, je ne sais plus quels mots j'ai employés. Elle m'écrit:' Quand ma fille
est ici, elle va sur mon ordi et elle lit mes messages. Je ne veux plus communiquer avec toi.' Ce
fut la fin d'un beau conte. Elle n'a plus voulu me contacter. Elle avait choisi. Je ne lui en ai pas
voulu . Je savais que moi à côté d'elle, sa fille aurait pris toute la place. Peur de perdre sa mère,
non, peur de perdre son héritage, oui. Pourtant elle aurait pu avoir les deux. Mais le vrai du vrai
c'est qu' une grand-mère, ça ne doit pas avoir une sexualité, surtout pas que sa fille le sache.
hon...........
*Ce message a été édité le Sep 18, 2016 8:27 AM par Lecossais*
*Ce message a été édité le Sep 18, 2016 8:43 AM par Lecossais*




Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : septembre 20, 2016  07:04

       ***Le célibat est-il plus épanouissant que le mariage ? ***
Les mariages, ça vous fait rêver ? Vous vous imaginez finir vos vieux jours avec l’être aimé .Oui
mais voilà : vous êtes célibataires, et pour l’instant ça ne risque pas d’arriver… Mais pas de
panique ! En effet une étude toute récente a prouvé que le célibat était plus épanouissant que le
mariage !
Etre en couple, la norme ?
Dans notre société, on a souvent tendance à considérer que le mariage, ou en tout cas le couple
est une fin en soi. Et on ne dit pas le contraire, être amoureux, faire des projets à deux, c’est
génial.
Mais c’est aussi vrai qu’il existe une certaine pression sur le fait d’être célibataire : les sites de
rencontre se développent de plus en plus, quand on multiplie les aventures sans jamais se caser
on est mal considéré ?
Pourtant, le nombre de célibataires ne cesse d’augmenter : il y a 20 ans, on en comptait près de
5 millions, et aujourd’hui 13 millions ! Ce n’est donc pas rare du tout. Alors que ce soit un choix
ou non, pour commencer, sachez que vous n’êtes seules !
Le célibat, pour une vie plus authentique
Pour l’université de Californie, Bella De Paula a mené une longue étude sur 800 personnes
mariées et célibataires sur une trentaine d’années. Selon ses recherches, être célibataire permet
de mener une vie plus authentique et sensée. Cela s’explique par le fait qu’on réfléchit pour soi,
et on prend les décisions pour soi, non pas pour une « entité » que peut être le foyer.
On est un individu avant tout, on nait « seul », et on se forge sa propre personnalité. Même si
l’on peut être en phase avec quelqu’un que l’on aime et avec qui on partage sa vie, il y a aussi
des désaccords… et pour arriver à contenter tout le monde, on trouve des compromis.
On ne fait pas de compromis avec soi-même !
Etre célibataire, c’est aussi être capable de saisir plus d’opportunités … Et donc s’enrichir, et
faire ce qu’on a envie.Et puis, il y a tellement d’avantages à être seul : plus de temps pour nos
amis, pour le shopping, pas de disp-u-tes qui font mal, pas d’épilation qui fait mal…
Et si vous avez peur de finir célibataire avec votre chat, il n’y a pas de mal, ils sont de bonne
compagnie ...

P.S. de Lecossais : ici où je vis, avec des Dames entre 65 et 85 ans, la très grande majorité sont
célibataires, vivent seules...mais ces dames reçoivent chez elle le samedi soir ou le dimanche
midi , reçoivent un ami ou un amoureux , ce qui est pareil, quelqu'un qui la fait vibrer, quelqu'un
avec qui elle est bien, en sécurité et pas toujours le même : des calins, plus de baisers que
d'orgasme mais elles sont bien, elles rient . Seules, c'est le bonheur des dernières années, celles
où l'on prend ce qui nous convient, sans passé ni avenir. La vie est courte,prenons encore du
dessert.
*Ce message a été édité le Sep 20, 2016 7:05 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : septembre 21, 2016  05:57

Hier j'ai jasé sur 'skype' avec une amie d'ici, une bonne lectrice. Je lui ai proposé de répondre à
un questionnaire révélateur de la personne : les questions sont plus bas et mon commentaire est
ici en haut.
Mes commentaires Chérie :
tu es très proche de ta famille immédiate, tes enfants et le père qui te fait
encore fantasmer. Bravo, il est bon, quand on se masturbe, de faire venir des images
à l'esprit pour mouiller et jouir; ici celle d'un homme que tu as aimé.Tes images sont liés au
masculin que tu as connu.
Ta sensibilité est le mot que me vient à l'esprit : 'Martin Grey', le chien 'bouvier', ce que tu aimes
et qui t'entoures ont un rapport à la sensibilité et la tendresse, au calme, aux gestes doux
et l'amour est un moteur important. Etre aimée te motive à donner.
Les personnes qu'on n'aime pas sont souvent celles qui nous jugent, celles qui nous empêchent
de nous épanouir : ta sœur-belle-sœur...
Tu désires ardemment être aimée , c'est un désir normal mais à 66 ans, les hommes, les bons et
sensibles à toi sont rares. Ils sont mariés ou mentent pour avoir du plaisir. D'où difficulté
d'accrocher un homme.
Faudra le prendre comme il vient sans trop vouloir l'amour éternel. De petites amours, de petites
joies
sont possibles à la condition d'être ouverte, accueillante; ne pas fermer la porte trop vite
aussitôt qu'il s'agit de sexualité. Les hommes aiment la sexualité, tous les hommes
et ils vont vers celles qui sont ouvertes à ça. Des fois ils s'accrochent...si la dame est
vraiment chaude.
Tu es une très bonne personne, sensible, rieuse et attentive. Il te reste la peur de certains mots
qui , à l'écran, te font rire comme une honte de les lire et une incapacité de les écrire.
Je te souhaite du bonheur, plein de petits bonheurs, les prendre comme ils viennent
sans trop te poser de questions ,comme la cerise sur le sunday.
Voici les réponses :1.Martin Grey
2.Dans les bras d’un homme qui m’aime, entourée de mes 2 enfants, ma petite-fille.
3.Ma fille.
4.Gagner le million, ne plus avoir à penser à mon quotidien et en donner à mes enfants.
5.Aimer
6.Période très triste après ma 2eme séparation.
7.Adoption de ma fille, naissance de mon fils.
8.Chien, Bouvier Bernois et Colley
9.Le père de mon fils.
10.Passionnée, rieuse, action bénévole, ambitieuse, solitaire, triste, active, jalouse, possessive,
Moi qui ai travaillé pendant 25 ans en Psychiatrie, j’ai bien hâte de lire tes commentaires !!!

Voici les questions : (inspiré du questionnaire de Marcel Proust (1930)
1-quel est ton personnages préféré dans l'histoire de l'humanité (homme ou femme) ?
2-comment aimerais-tu mourir ?
3-dans la vie réelle, de tous les jours, quel est ton modèle, ou la personne que tu admires le
plus ?
4-quel est le rêve, non encore réalisé , que tu aimerais faire ?
5-qu'est-ce qui te motive dans ta vie, ta priorité ?
6-quel a été l'événement le plus triste dans ta vie ? (ou les événements)
7-quel a été l'événement le plus heureux dans ta vie ? (ou les événements)
8-ton animal préféré ?
9-le rêve, la nuit, que tu fais le plus souvent ?
9-qui est l'amour de ta vie ?
10- la personne que tu détestes le plus ? (sa sœur et belle-soeur)
***Comment tu te qualifierais (au choix ,par ordre de 1 à 9 :)
passionnée--jalouse--possessive--triste-rieuse-active-action bénévole--ambitieuse--solitaire--
Merci beaucoup 'Pondy...' (tu vois ,tu n'avais pas besoin d'avoir peur des questions sexuelles !!
mais je peux te faire un autre questionnaire ....hiiiiii
Au plaisir....

P.S. de Lecossais : si j'ai des demandes ou si tu veux, chères lectrices, répondre ici au même
questionnaire, nous te lirons avec attention et ferons des commentaires. Merci.
*Ce message a été édité le Sep 21, 2016 6:00 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : septembre 22, 2016  11:44

    Après le questionnaire ''Proust'', voici ,pour détendre l'atmosphère, un sujet moins sérieux
      ***Commentaires d'une psychologue***
Dis-moi comment tu fermes ton soutien-gorge, je te dirai qui tu es ? Dis-le-moi Chérie...Question
pour Pondichéry.
Le langage corporel dit tellement de choses sur nous, notre personnalité, notre façon d’être,
notre comportement avec les autres, qu’on pourrait en écrire un bouquin. La façon de se
recoiffer, de se gratter la tête, de manger, et même… de mettre et fermer son soutien-gorge dit
des choses sur nous !
Voyons ensemble de quoi il s’agit.
1- Vous le fermez une fois mis
Alors vous, vous êtes une personne fiable. De nouvelles responsabilités au boulot ? C’est pour
vous ! Des idées pour sortir entre copines ? On se tourne vers vous ! Toujours de bon conseil et
à l’écoute pour les problèmes, vous êtes une personne déterminée sur qui on peut compter.
2-Vous le fermez à l’avant, puis le tournez
Vous êtes plutôt sensible. Vous préférez écouter votre cœur que la raison, et la plupart du
temps, les sentiments prennent le dessus. Cependant, vous êtes une personne agréable et
sympathique, douce et attentionnée, et n’êtes pas une personne solitaire.
3-Vous portez des soutiens-gorges avec la fermeture devant
Vous êtes sûre de vous et n’avez pas le temps de vous enquiquiner avec des détours qui vous
font perdre du temps et des idées qui de toute façon n’aboutiront pas. Autant suivre ses objectifs
par la voie la plus évidente ! Vous trouvez des solutions pour tout et les gens aiment suivre vos
conseils et vous respectent.
4-Vous le passez directement par la tête sans l’ouvrir
Vous êtes du genre organisée et prudente. Avoir des objectifs, d’accord, mais sans trop prendre
de risques. Vous mettez du temps pour prendre des décisions importantes et vos propos sont
toujours réfléchis. Votre cadre de vie est clair et vous êtes du genre à tout noter et à faire des
emplois du temps.
Vous reconnaissez-vous ?

P.S. de Lecossais : ici la Dame psychologue a oublié un numéro 5 qui est ''Celles qui n'en
portent pas ''. Comment sont-elles celles-là ? Mon a-n-a-lyse est que ces Dames marchent
lentement si elles ont de très gros seins, s'ils sont moyens, elles marchent d'un bon pas et les
petits seins font du jogging. Mais TOUTES sont des dames avec une ouverture d'esprit hors du
commune. Elles sont ouvertes, tolérantes, ne portent pas de vêtements inutiles , vont à
l'essentiel SANS SE PRÉOCCUPER des blabla, des racontars. En général, les Dames qui en
portent sont jalouses de celles qui n'en portent pas. Féministes avant l'heure, ces dames ''sans''
sont des fonceuses, occupent des métiers de direction et dans la société, des avocates, des
médecines, des psychologues: celles qui n'en portent pas n'ont jamais eu le cancer. Ce sont des
femmes libres qui ici se remarquent. Elles ne sont jamais à la recherche d'hommes, elles n'ont
que l'embarras du choix.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : septembre 24, 2016  08:16


      ***Votre vie sexuelle vous fait-elle vibrer ? ***
Julie Pelletier Sexologue Journal-de-Montréal
Vendredi, 23 septembre 2016 18:00
Alors que nous évoluons dans une société où la performance et la consommation sont des
valeurs mises de l’avant, il peut sembler difficile de trouver un équilibre lorsque vient le temps de
s’attarder aux sentiments et aux plaisirs non éphémères. Voici un questionnaire qui vous
inspirera pour vous bâtir votre petit baromètre personnel...
Quiz (à chaque question : 3 choix )
1. Pour vous, le summum de la jouissance s’atteint par...
la masturbation;
la communication (verbale et physique) entre les deux partenaires lors d’un échange intime;
l’expérience que procure un ­rapprochement, car il gonfle votre confiance en vous.
2. Êtes-vous du type...
lundi, mercredi et vendredi;
matin et soir;
juin et décembre;
on s’aime et c’est ce qui compte.
3. Vous organisez un week-end d’amoureux. Que se ­passera-t-il ?
vous aurez du plaisir à rire ­ensemble, que vous fassiez ou non l’amour;
vous ferez l’amour le jour, la nuit et vous n’arrêterez que pour manger un peu;
votre cœur se gonfle de joie, car vous retrouverez cette intimité si chère.
4. Votre plus belle histoire d’amour...
fut une histoire de sexe et elle a duré quelques mois;
est celle que vous vivez ­présentement;
vous l’attendez toujours.
5. À quand remonte la dernière fois où vous avez ressenti un abandon et un lâcher-prise total
lors d’une relation sexuelle ?
quelques jours;
quelques semaines ou mois;
ça n’est jamais arrivé (ou ça fait plus de cinq ans).
6. Si on vous offrait de vivre un massage érotique...
ça vous excite rien que d’y ­penser;
vous le feriez, en choisissant la fille ou le gars, même au risque de vous faire prendre;
vous refuseriez, cela va à l’encontre de vos valeurs personnelles et de couple.
7. Quel est le mot qui qualifie le mieux votre vie sexuelle ?
gourmande;
complice;
en déclin.
8. Durant la journée, si vous avez des pensées érotiques, cela vous...
émoustille, parfois jusqu’à ­ressentir le besoin de vous ­masturber;
fait penser à ce que vous ­partagez avec votre partenaire;
fait sentir coupable, donc vous évitez.
9. De façon générale, votre vie sexuelle...
vous comble;
vous plaît;
vous ennuie.
10. Selon vous, les fantaisies érotiques...
n’appartiennent qu’aux ­célibataires;
sont essentielles – qu’on soit en couple ou célibataire –, car elles permettent à l’excitation
sexuelle de se bâtir et de s’entretenir;
sont frustrantes si elles ne se réalisent pas.
11. Prendre le temps de faire monter le désir, de savourer l’excitation, de partager de belles
caresses...
c’est l’idéal d’une relation sexuelle;
c’est parfait lorsque vous avez bien du temps devant vous – ce qui n’est pas nécessairement le
cas très souvent;
c’est une perte de temps – l’objectif étant d’avoir un orgasme, à quoi ça sert de tourner autour du
pot

P.S. de Lecossais : tu as remarqué que celles qui vivent le 3ième choix sont celles qui ont très
peu de sexualité ,qui ont peur de la sexualité ou qui, pour elles, n'ont pas beaucoup de plaisir.
Comme on sait que la ''Sexualité n'a pas d'âges'', je te souhaite de vivre pleinement tes envies
surtout si tu ne les as pas vécues avant 60 ans. Il est toujours temps de se laisser aller à vivre...
Bonne fin de semaine en couleurs...

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : septembre 26, 2016  07:44

          ***Qui sommes-nous vraiment?***
Trois auteurs tentent de démystifier les paradoxes de l’identité québécoise dans un livre à
paraître
Annabelle Blais Journal-de-Montréal et l'émission du 25 septembre à 'Tout-le-Monde-en-Parle'
Samedi, 24 septembre 2016 07:30
Le Québécois est un Français... mais en plus modeste. Il est aussi un Anglais plus émotif et un
Américain, mais plus pacifiste.
Tenter de comprendre le Québec c’est apprendre à jongler avec nos paradoxes, exposent trois
auteurs dans Le Code Québec, un ouvrage qui paraîtra lundi dans les librairies.
Nous sommes la province la plus préoccupée par la pauvreté, mais aussi celle qui donne le
moins aux œuvres de charité. Les Québécois sont les plus croyants du pays, mais nous
pratiquons beaucoup moins que nos compatriotes.
Pendant trois ans, Jean-Marc Léger, cofondateur de la firme de sondage Léger, a tenté de
décoder l’ADN des Québécois et d’en extraire sept traits communs qui nous définissent (voir
pages 34 à 37).
Pour ce faire, il s’est entouré de deux autres sommités: Jacques Nantel, professeur émérite à
HEC Montréal, et Pierre Duhamel, directeur général de la Fondation entrepreneurship.
Une quête
«Quand on a commencé cet exercice, on savait ce qu’on cherchait, mais on n’avait aucune idée
de ce que nous allions trouver véritablement», explique M. Duhamel.
«On a commencé avec un sondage et au fur et à mesure de nos enquêtes, de nos recherches,
et de nos rencontres... tout ça a pris forme. C’était vraiment une quête, une exploration», ajoute-t-
il.
Une des découvertes les plus importantes du livre, selon M. Léger, est que le tiers des
Québécois s’identifie d’abord à la culture française, un autre tiers à la culture anglo-saxonne et
un autre tiers à la culture américaine.
Le Québécois est un unique mélange de trois cultures.
«Pour moi, la chose la plus fascinante est que, dans le fond, 71 % du code québécois est
commun avec les Canadiens anglais», poursuit M. Nantel.
C’est donc dire que les Québécois et les Canadiens anglais partagent une majorité de
comportements semblables.
«Mais le 29 % restant fait toute la différence», affirme M. Nantel. Les auteurs se sont donc
attelés à *****yser et décortiquer sous tous les angles ce qui se cachait derrière cette donnée.
Aucun tabou
Avec toute une série de sondages exclusifs réalisés pour cet ouvrage en plus de tous ceux
accumulés par Léger depuis 30 ans, les Québécois se sont révélés par eux-mêmes.
«Ce ne sont pas des gens dans un bureau qui ont dit “on va vous expliquer qui vous êtes”,
insiste M. Léger. Ce livre dit tout haut ce que les Québécois nous ont dit tout bas.»
De la sexualité des Québécois à notre rapport aux immigrants, aucun tabou n’a été évité.
«On ne fait pas un portrait complaisant du Québec. Notre livre est un miroir dans lequel les
Québécois vont se voir nus, dit M. Léger. Certains vont s’aimer, d’autres moins.»
Différents, oui mais...
Le livre s’intéresse aux spécificités des Québécois, mais les auteurs rappellent que nous
sommes moins différents du reste du Canada que nous aimons parfois le penser. La réalité est
que le Québec diffère d’une région à l’autre comme c’est le cas partout ailleurs au pays. Le
Canada est une mosaïque culturelle.
Plus libres sexuellement
Les Québécois sont de bons vivants. Cela se traduit même dans leur sexualité où ils sont plus
permissifs.
***En tout, 30 % des Québécois francophones disent vivre une relation libre en matière de
sexualité, contre 22 % des Canadiens anglais.
***Davantage de Québécois ont été trompés par leur conjoint et ils sont aussi plus nombreux
à accepter que leur ado de 16 ans invite leur petit ami à coucher. Mais aucun sondage ne
démontre qu’on fait plus souvent l’amour de ce côté-ci de la rivière des Outaouais.
Il n’en demeure pas moins que lorsqu’on demande aux francophones s’ils préfèrent l’argent ou le
sexe, ils répondent la partie de plaisir alors que les anglophones préfèrent la richesse.
Un peu racistes, MAIS...
Les Québécois ont souvent été taxés de racisme ces dernières années dans les médias du
Canada anglais, avec la crise des accommodements raisonnables et le projet de charte des
valeurs.
Le Code Québec nous apprend que 20 % des Québécois se disent plutôt ou un peu racistes, ce
qui est légèrement plus élevé qu’au Canada anglais (16 %).
En France, ce taux grimpe à 35 % contre 51 % aux États-Unis.
Un sondage Léger démontre que les Québécois voient d’un bon œil l’immigration, tant que les
lois et coutumes d’ici sont respectées. Bref, ils ont davantage peur du retour du religieux que des
étrangers.
Les sept traits qui nous définissent
Les trois auteurs du Code Québec ont trouvé, sondages à l’appui, sept traits qui forment l’ADN
de notre identité. Ces traits permettent d’expliquer par exemple pourquoi nous aimons plus la
fondue chinoise que les Ontariens. Voici ces sept caractéristiques qui sont en nous à des degrés
différents.
1. Heureux
«Pour un Québécois, le plaisir, c’est sérieux»
– Anthony Bourdain, animateur vedette à CNN
Au Québec, tout est un prétexte pour faire la fête. Nous sommes de bons vivants, nous aimons
passionnément nos vedettes, notre équipe de hockey, nos émissions de télévision, nos
humoristes et la bonne bouffe.
La joie de vivre est au cœur de la différence québécoise. «Un des aspects qui distinguent le plus
le Québec français du Canada anglais est la réponse à la question: “Est-ce qu’il est plus
important pour vous de vivre le moment présent ou préparer votre avenir?” Les trois quarts des
Québécois francophones répondent le moment présent et la majorité des anglophones disent
préparer l’avenir», explique Jean-Marc Léger.
Égalitaire
La question est donc de savoir ce qui nous rend si heureux. «On est une société beaucoup plus
égalitaire que les États-Unis et que le reste du Canada, à bien des égards», explique Jacques
Nantel. On n’a qu’à penser aux droits de scolarité qui sont les plus bas au pays, aux congés
parentaux les plus généreux en Amérique du Nord, ou aux centres de la petite enfance,
notamment.
«Plusieurs sociologues qui ont étudié la question ont conclu qu’une société plus égalitaire
amenait plus de joie de vivre et de bonheur», souligne M. Nantel.
Le bonheur est là, quand tu penses que tu n’es pas défavorisé par rapport à ton voisin.»
Notre joie de vivre se traduit notamment dans notre façon de consommer. Un sondage cité dans
le livre révèle que 70 % des Franco-Québécois aiment magasiner, alors que ce taux n’est que de
45 % chez les Anglo-Québécois. «On investit dans le fun», conclut M. Nantel.
Qu’est-ce qui est le plus important pour vous ?
Vivre le moment présent
Québécois francophones: 74%
Anglophones du ROC: 46%
Préparer l’avenir
Québécois francophones: 26%
Anglophones du ROC: 54%
Les deux tiers des Québécois francophones disent qu’ils ne s’ennuient jamais, contre un peu
moins de la moitié des Canadiens des autres provinces. Ils ont plus de projets, rient davantage
et regardent moins la dépense quand il s’agit de se faire plaisir.
Dépenses consacrées à ...
Boissons alcoolisées
Québec: 1129 $Ontario: 717 $
Différence: 36,49 %
Jeux de hasard
Québec: 150 $ Ontario: 134 $ Différence: 10,67 %
Véhicules récréatifs et services connexes Québec: 678 $ Ontario: 413 $ Différence: 39,09 %
2. Consensuel
«On ne se querelle pas publiquement comme les Français ou en privé comme les Anglais. Les
Québécois sont exagérément consensuels»
– Mathieu Bock-Côté, sociologue et chroniqueur au Journal de Montréal
Tout le monde est d’accord, le consensus est extrêmement important au Québec. «Quand on fait
des focus groups au Québec, après 10 minutes j’ai un consensus, explique Jean-Marc Léger. À
Toronto, ils ne sont jamais d’accord et au Maroc, ils s’engueulent.»
Plusieurs aspects peuvent expliquer ce besoin. Selon l’historien Éric Bédard cité dans le livre, ce
trait découle de notre statut de minoritaires. «Nous voulons parler d’une seule voix pour nous
faire entendre. Nous avons peur de la division», dit-il.
M. Léger ajoute qu’il faut aussi y voir un héritage des Premières Nations. «La structure de
décision et notre ouverture aux autres sont influencées par la culture amérindienne», dit-il.
Les Québécois ont aussi dû se serrer les coudes pour passer au travers des
épreuves. «L’abandon de la France, l’assimilation britannique, la froidure de l’hiver, l’invasion de
la culture américaine... ll a fallu qu’on s’entraide et cela crée ce consensus», souligne le
président de Léger.
Pas de chicane
La recherche du consensus rend toutefois les Québécois allergiques aux débats. «Pas de
chicane dans la cabane, on ne parle pas religion ou politique autour de la table. C’est comme sur
la question nationale: on veut la division sans coup de feu», affirme Mathieu Bock-Côté,
sociologue.
«Les Québécois ne savent pas débattre; ils s’insultent ou se contentent de cataloguer les
individus au lieu de discuter de manière profonde les idées défendues par autrui», ajoute le
politologue Jean-François Caron cité dans le livre.
Pour éviter la chicane et les débats, le Québec est devenu une société tolérante, permissive et
accommodante, expliquent les auteurs. Ce n’est pas par hasard si
l’expression «accommodement raisonnable» a été inventée au Québec.
Corporatisme
Les Québécois ont dû apprendre à travailler en groupe et miser sur le corporatisme. «Le
commerce de détail au Québec, ce sont des gens qui se sont mis ensemble parce qu’aucun
n’avait le capital pour se partir tout seul, explique Jacques Nantel. Tout le Québec est tissé
comme ça.» Cette façon de faire donne le Mouvement Desjardins ou le Fonds de solidarité de la
FTQ.
Qu’est-ce qui est le plus important pour vous ?
Obtenir un consensus à tout prix : Québécois francophones: 51% Anglophones du ROC: 37%
Que le meilleur gagne : Québécois francophones: 49%Anglophones du ROC: 63%
3. Détaché
Nous sommes de grands parleurs, mais de petits faiseurs. Le Québec a voté une seule
fois «oui» à un référendum, en 1919... afin que la bière et le vin léger soient permis dans un
contexte de prohibition.
«Au Québec, les gens ne veulent pas prendre position», dit M. Léger. Dans les 75 dernières
années, le Québec a répondu par la négative aux quatre référendums qui lui ont été soumis. Il a
refusé la conscription en 1942, la souveraineté-association en 1980, l’entente de Charlottetown
en 1992 et la souveraineté-partenariat en 1995.
Le Québec répond un «non» qui lui laisse toujours une porte ouverte. Par exemple, au
référendum de 1995, 49,42 % des votants avaient répondu «oui» et 50,58 % «non».
«Le lendemain, nous avions sondé les Québécois et 75 % des gens étaient contents. On se
disait qu’on a fait peur au Canada, sans en sortir, illustre M. Léger. C’est très québécois comme
réaction.»
On n’a aussi qu’à penser à la Constitution canadienne que le Québec n’a toujours pas signée.
Un politicien qui évoque même la seule possibilité d’aborder la question s’aventure sur une pente
extrêmement glissante, tant personne ne veut plus en entendre parler.
Les Québécois sont le peuple de l’extrême centre, selon les auteurs. Ils ne veulent pas prendre
position et cela se traduit par un certain détachement.
«Ils se détachent des enjeux et espèrent que la décision se prenne d’elle-même, sans froisser
personne et sans débat», écrivent les auteurs.
Petits faiseurs
Ce détachement se traduit même dans notre langage, souligne Pierre Duhamel. Par exemple, on
ne dit pas qu’une fille est belle, mais qu’elle n’est pas laide.
«Notre peur de s’engager fait de nous de grands parleurs, petits faiseurs», estiment les
auteurs. «On est ceux qui ont le plus d’intention, mais qui en font le moins», explique M. Léger.
«Les bottines ne suivent pas les babines», ajoute M. Duhamel.
Les Québécois sont plus préoccupés par les changements climatiques et la pollution de l’air que
la moyenne des autres Canadiens. Mais ils sont ceux qui passent le moins à l’action quand vient
le temps de réduire sa consommation d’énergie, préserver l’eau potable ou encore de composter.
Le Québec est aussi le paradis du moteur, malgré les grands discours antipétroliers. En 2009,
l’équivalent de 92,5 % des Québécois avaient un véhicule immatriculé, alors que la proportion
n’était que de 79,7 % en Ontario et de 86,2 % pour l’ensemble du Canada.
4. Victime
«Nos écrans font défiler à longueur de journée ces facéties d’imbéciles heureux»
– Jean-Jacques Stréliski, professeur associé à HEC Montréal
Qui ne se souvient pas de Ti-Guy Lebœuf, le hockeyeur interprété par Claude Meunier dans la
campagne publicitaire pour Pepsi dans les années 80?
La publicité québécoise foisonne de personnages masculins tous aussi simplets les uns que les
autres. De véritables perdants. C’est ce que les auteurs ont appelé le phénomène de «l’homme
con».
«Même pour annoncer du fromage, il faut qu’on ait un imbécile», déplore M. Duhamel en faisant
référence à la campagne mettant en vedette un certain Benoit qui croit tout savoir, mais confond
tous les noms d’oiseaux, de vin ou d’étoile, etc.
«Au Québec, on est habitué de voir ça, mais ce type de publicité ne marche pas aux États-Unis,
où ils montrent plutôt des gagnants», souligne Jean-Marc Léger.
Mais l’homme con fait vibrer une corde chez nous. En 1985, grâce à la campagne du hockeyeur
de Claude Meunier, la province est devenue le seul marché dans le monde où Pepsi dominait
Coke.
La faute aux autres
Selon l’historien Éric Bédard, les Québécois sont souvent des victimes parce que nous n’avons
jamais été responsables de notre destin... du régime français en passant par la domination
anglaise jusqu’à la mainmise du clergé.
«Le résultat est qu’on laisse les autres décider, mais on est bon pour chialer, explique M. Léger.
Si un jeune ne réussit pas, on dit que c’est la faute de l’enseignant. Si ça va mal au Canada,
c’est la faute des Anglais et du fédéralisme.»
5. Villageois
«L’esprit de clocher est bien vivant au Québec»
– Le Code Québec
Les Québécois ont choisi de vivre dans de plus petites municipalités. «Ce n’est pas pour rien
qu’on a créé deux fois plus de villages qu’en Ontario. On se replie sur nous dans un petit groupe
homogène», souligne Jean-Marc Léger.
Selon Jean-François Dumas, président d’Influence Communication, les Québécois sont
tellement repliés sur eux-mêmes qu’ils s’intéressent peu à ce qui se passe ailleurs. «Dans
l’ordre, ils sont préoccupés par les nouvelles locales, les sports (essentiellement le Canadien) et
les faits divers. Ils manifestent moins d’appétit pour les nouvelles internationales, nationales et
économiques», explique-t-il.
6. Créatif
«Nous n’aimons pas la chicane, mais nous avons une bonne écoute et savons tenir compte des
différentes idées»
– Daniel Lamarre, le président du Cirque du Soleil
Xavier Dolan, Céline Dion, le Cirque du Soleil sont de grands ambassadeurs de la créativité
québécoise. Mais le génie québécois ne s’exprime pas que dans le domaine culturel. Les
Québécois sont des «patenteux» à qui l’on doit l’invention de la Radio AM, le soutien-gorge
WonderBra, la trithérapie contre le VIH ou la motoneige pour ne nommer que ceux-là.
«On est davantage créatif par nécessité», explique Jacques Nantel.
«Je pense que notre isolement comme Québécois francophones sur un continent anglophone
nous a obligés à innover dans plusieurs domaines», souligne Daniel Lamarre, le président du
Cirque du Soleil, cité dans Le Code Québec.
Nos influences culturelles nourrissent notre créativité et font ressortir le meilleur des
caractéristiques québécoises. «C’est comme si la magie prenait», dit M. Léger.
Nous avons la créativité française et l’efficacité nord-américaine. Notre recherche du consensus
et notre ouverture nous permettent de créer des environnements de travail qui favorisent la
créativité, croit Éric Fournier, qui est partenaire et producteur exécutif chez Moment Factory,
l’entreprise québécoise à qui l’on doit l’illumination de la Sagrada Familia, à Barcelone, ou
l’éclairage du spectacle de Madonna au Super Bowl en 2012.
Jacques Nantel ajoute que le Québec, historiquement, avait peu de moyens financiers. «Quand
tu n’as pas les moyens, tu dois penser outside the box, tu dois être créatif», dit-il.
«La contrainte au Québec du capital et le talent font qu’on doit obtenir le maximum de résultats
avec de petites équipes. Notre société est capable de faire beaucoup avec peu», ajoute Pierre
Duhamel.
7. Fier
«Il est bien fini, le temps où l’on disait des Québécois francophones qu’ils étaient nés pour un
petit pain»
– Le Code Québec
Aujourd’hui, les jeunes sont plus ambitieux et entrepreneurs.
Un sondage cité dans le livre révèle que 79 % des résidents du Québec estiment que
l’entrepreneuriat est un bon choix de carrière, comparativement à 51 % des Canadiens des
autres provinces, ce qui place le Québec au cinquième rang mondial derrière Taïwan, la
Norvège, Singapour et la Suède, peut-on lire dans le livre.
«La nouvelle génération est passée de l’enfant roi au consommateur roi, et devient de plus en
plus le travailleur roi. Ce dernier est plus indépendant, plus créatif, plus libre et plus déterminé à
réussir», ajoutent les auteurs.
L’identité des Québécois évolue avec le temps, mais nous demeurons fiers de notre joie de
vivre, de nos racines et de notre créativité, bref de notre différence.
DE QUOI ÊTES-VOUS LE PLUS FIERS ? dans l'ordre...
L’hydro-électricité
La gratuité du système de santé
L’accueil des immigrants
L’égalité entre hommes et femmes
Le respect des différences
Les programmes sociaux
Le système de garderies
La protection de l’environnement
L’industrie informatique
La redistribution de la richesse

P.S. de Lecossais : Bon résumé de ce volume de 3 auteurs compétents qui ont mis 3 ans à
parcourir le Québec. Mes grandes différences : c'est au Québec, PLUS QUE PARTOUT DANS
LE MONDE, qu'on trouve le moins de personnes mariées. On vit en couple (conjoints de fait) ,
on aime le changement et la diversité dans la sexualité...On ne le dit pas mais les chiffres sont
là. On ne se marie plus. On échange et c'est tant mieux. Il n'est pas rare de voir un prénom et
deux noms de famille, bientôt trois ! pour un enfant. Les familles sont 'recomposées' et on vit à
5-6 enfants ensemble...et ceux-ci sont heureux.
Autre caractéristique qui nous différencie des autres Canadiens et des Américains et qui nous
vient de la France, c'est la nudité. Qui ne s'est pas mis nue au Québec, dans un centre naturiste,
sur le bord d'une rivière ? C'est au Québec, en proportion du nombre d'habitants, qu'on trouve le
plus grand nombre de centres naturistes (5 officiels); Ontario 3 et le reste du Canada 2. Nous
sommes de grandes VOYEUSES. Nous aimons la nudité et la sexualité qui va avec, ce qui est
très ' Françaises'...et le moyenne d'âge pour les naturistes est de 62 ans...yééééééééééé
*Ce message a été édité le Sep 26, 2016 7:53 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : septembre 27, 2016  16:23

    ***Une histoire publiée par ''Pitouminou'', membre de notre si gentille famille.
   ***Les fraises de Dordogne***
J’avais vingt et un ans en 1976. C’était l’été de la sécheresse, celle d’avant l’effet de serre. Un
été vraiment torride pendant lequel j’ai vu les étangs de ma Sologne natale à sec pour la
première fois.
Entre le 10 ou 15 juin, je suis parti en stop pour me rendre chez mon oncle dans les Landes, à
Capbreton. Je le faisais chaque année depuis mes 16 ans. Cela me permettait de passer des
vacances au bord de la mer sans argent. Un ami m’avait cette année-là déposé à Limoges. La
journée était magnifique. Peut-être est-ce le soleil qui incitait les automobilistes à prendre les
auto-stoppeurs . Je me suis donc retrouvé en Dordogne vers 11h du matin.
Je venais de quitter une voiture et j’avoue que j’étais presque décidé à marcher un peu, pour
profiter du soleil. Je tendais donc le bras très machinalement. La voiture s’est arrêtée à côté de
moi, vitres déjà ouvertes : c’était une GS Citroën, une voiture assez moderne à l’époque. J’ai tout
de suite senti mon coeur s’emballer en voyant la conductrice. Une femme d’environ quarante
ans, brune, cheveux longs retenus en un vague chignon bricolé, comme si ses cheveux lui
donnaient chaud, elle était mince avec des joues plutôt rondes, bronzée sans être noire et des
yeux merveilleux, envoûtants. Elle ressemblait à une italienne, une Napolitaine comme je les
fantasmais, une sorte de Dalida. Elle portait une robe d’été blanche à fleurs, simple et élégante,
qu’elle ne semblait pas soucieuse de redescendre sur ses cuisses alors que sa position et sans
doute une conduite déjà prolongée l’avait remontée assez haut. Oui elle avait chaud
manifestement, comme tout le monde d’ailleurs. Je lui ai dit où j’allais. Elle m’a répondu :
— Ça marche, montez ! Ça va bien le stop aujourd’hui ?
— Oui, presque trop bien…
— Pourquoi ?
— Parce que je n’ai pas le temps de profiter de la nature !
— Je peux vous descendre si vous voulez, dit-elle en riant.
La conversation a commencé comme cela très classiquement et a continué sur le même ton.
Nous avons abordé plein de sujets, des fraises de Dordogne à la politique en passant par les
plages naturistes des Landes. À un moment, lors de la traversée d’un petit village elle m’a offert
un café. J’ai pu mieux la contempler. Elle était de taille moyenne, peut être 1m70, menue avec
un bassin étroit, des jambes très fines et une petite poitrine qui pointait cependant fièrement
sous sa robe. J’ai remarqué que celle-ci était discrètement décolletée dans son dos où une
fermeture éclair la retenait. Je ne savais que penser. Elle m’affolait mais je m’efforçais de me
calmer : en dehors de sa tenue très décontractée qui pouvait s’expliquer par la météo, elle ne
m’avait donné aucun signal me permettant d’espérer quoi que ce soit. Elle portait une alliance, et
simplement voulait-elle rendre service à un jeune qui aurait pu, à la limite, être son fils.
Nous avons repris la route. Nous roulions sur des départementales ou alternaient les champs de
fraises et les passages à travers de petites forêts.
— Je roule depuis trois heures et j’aimerais me dégourdir un peu les jambes. Ça ne vous ennuie
pas ? J’aurais aimé le faire au bar mais vous l’avez vu, c’était difficile…
— Non, bien sûr !
Elle n’avait pas tort. Nous avions pris un café en terrasse mais la route départementale passait
devant le bar : pas question de se dégourdir les jambes. Elle a roulé encore un peu, puis s’est
engagée dans un chemin forestier sur la droite. En fait, ce chemin débouchait sur un champ de
fraises qui avait été récolté et qui était entouré par une large de bande de bois. Nous sommes
descendus et nous avons marché le long du champ en plein soleil, ce qui nous a incité à nous
enfoncer dans la forêt qui était peu dense.
Au bout de quelques minutes, un petit rond de mousse en mi-ombre mi-lumière nous donna à
tous les deux l’envie de nous asseoir. Elle resta assise. Peut-être pour la tester, je m’allongeai
sur le ventre appuyé sur mes coudes. La principale question qui traversait mon esprit à ce
moment-là était de savoir si je serais éventuellement à la hauteur. Certes j’avais une copine mais
j’étais encore bien peu expérimenté et je craignais que l’excitation trop forte me fasse éjaculer
trop vite si les choses devaient en arriver là. Après quelques minutes elle s’étendit sur le dos.
— Qu’est ce qu’on est bien ici !
Elle était au soleil, malgré les branchages. Elle se faisait chauffer, comme un lézard. Sa robe
était remontée en haut de ses cuisses. Je crus utile d’aller me détendre un peu.
— Attendez-moi !
J’avais remarqué quelques fraises abandonnées par les cueilleurs. Je pris mon temps pour me
calmer et lui choisir de beaux fruits que je lui offris. Je luis fis manger la dernière, alors qu’elle
était encore allongée, en la tenant par la queue. Puis un long silence se fit. J’avais un brin
d’herbe dans la main. Je le lui passais sur la joue, le front, le cou. Cela la faisait rire.
— Ça me chatouille…, dit-elle, les yeux toujours fermés.
Alors je franchis mon Rubicon. Le brin d’herbe descendit sur ses bras, traversa l’océan de tissu
sur son ventre et arriva sur ses jambes en frôlant ses cuisses au passage. Instantanément son
sourire se figea. Sa bouche resta bée. Sa respiration s’accéléra brutalement puis s’arrêta et je
remarquai que son ventre s’était creusé. Je décidai de continuer et de remonter doucement le
long de l’intérieur des cuisses. Je me rendis compte qu’elle était tendue quand je vis ses cuisses
se détendre et s’affaisser sans s’ouvrir. J’ai marqué une pause et j’ai entendu:
— Continuez, c’est agréable, ça me détend.
J’ai continué dix bonnes minutes mesurant à ce moment-là l’abîme qui sépare la main du brin
d’herbe. J’ai calculé d’appuyer ma main sur sa cuisse tout en continuant la caresse au brin
d’herbe. Elle ne dit rien, bien au contraire, ses jambes assez serrées jusque là amorcèrent un
début d’écartement, juste assez en tous cas pour passer ma main. Je continuai. À un moment, la
pulpe de mes doigts frôla sa culotte. Elle se cambra brutalement se redressa, fit descendre sa
fermeture éclair dans son dos, glisser sa robe sous ses fesses et la quitta par le haut puis se ré-
allongea. J’étais pétrifié, ne sachant par où commencer. Elle était de toute beauté. Je craignais
de briser le charme en me déshabillant tout de suite. Je commençais à l’embrasser un peu
partout très doucement autant par délicatesse que par peur. J’avais très envie de mettre ses
seins dans ma bouche. Je glissai ma main dans son dos et dégrafai son soutien-gorge, puis
j’engloutis ses seins tour à tour dans ma bouche. Quand je ne les embrassais pas, une main
continuait à les pétrir pendant que l’autre se glissait dans sa culotte et commençait à la caresser.
Comme je craignais l’éjaculation, je marquai une pause pour me déshabiller et la chevaucher
tout de suite.
Trente ans après, j’ai encore la sensation de la moiteur de sa peau nue contre la mienne. Les
choses allèrent vite. Après avoir fait glisser sa culotte, je me mis à la lécher. Très vite elle
commença à jouir et m’attira contre elle. Elle écarta les jambes, se saisit de mon sexe et le guida
jusqu’à qu’il la pénètre. Je n’eus pas grand chose à faire. Elle jouit tout de suite et moi aussi.
Je me souviens être resté longtemps dans son corps. Au bout de quelques minutes, alors que je
n’avais pas quitté son ventre, mon sexe se durcit à nouveau et je pus profiter d’elle plus
longtemps. Je me souviens que nous nous sommes longtemps embrassés et que nous nous
sommes dit des mots d’amour. Et puis il a fallu repartir. Je l’ai aidée à se rhabiller, à brosser sa
robe pour faire disparaître toute trace. Nous sommes retournés à la voiture en nous tenant par la
main. Nous avons repris la route. J’avais ma main sur ses cuisses et je l’embrassais dans le cou.
Mais à un moment, j’ai vu qu’elle allait pleurer. Elle a arrêté la voiture sur le côté.
— Ça t’ennuie si je te laisse maintenant ?
Je lui ai dit que je comprenais. Nous avons eu un dernier baiser passionné et elle est partie. Je
suis resté seul sur la route et elle a obsédé mes vacances comme elle obsède encore mes jours
de blues. Où est elle ? Qui était-elle ? Voilà pourquoi, trente après, mes enfants se moquent de
moi quand je refuse de manger des fraises d’Espagne et que je préfère attendre, une larme dans
l’oeil, les fraises de Dordogne. Les fraises de Dordogne, quand elles sont à maturité et gorgées
de soleil…

P.S. de Lecossais : les souvenirs heureux font vivre, ils sont une grande partie de notre bonheur.
Profitons pendant qu'on est encore jeunes.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : septembre 29, 2016  08:05

Je t'ai dit que je préfère me masturber que de pénétrer le vagin ? Non. Hé oui, avec une copine,
une amie à mes côtés. J'adore embrasser, ça tu le sais, caresser longtemps le clitoris bien huilé...
mais pour 'conclure' (éjaculer), je préfère contrôler mes va-viens avec ma main. Ça n'a pas
toujours été comme ça .Oui je sais c'est mon âge qui veut ça, je ne bande pas assez fort pour
pénétrer. Je demandais hier à ma copine de voisinage (j'étais dû après 4 jours à mon calendrier)
avec qui j'ai 'fait l'amour' : faire l'amour veut dire baiser ou se permettre une séance d'une heure
avec tous les préliminaires et la conclusion. Je ne laisse jamais une Dame sans qu'elle ait joui.
Après une heure , d'habitude c'est bon . La question que je lui ai posée ensuite (parce qu'on jase
en plus tu ne penses pas !) , je te la pose à toi petite voyeuse, est la suivante : quelles sont les
images que tu fais venir à ton cerveau et qui t'amènes à coup sûr à l'orgasme , quand tu te
masturbes seule ? Une amie, cette semaine, me disait que c'était quand elle pensait à son ex, et
toi ?
La dame , ma voisine, après la séance relaxatoire d'hier, m'a dit que ses images à elle, étaient
de voir un homme, bien dur, bien bandé, se masturber et éjaculer, se faisant venir lentement en
la regardant droit dans les yeux. L'homme n'est pas nu, il n'a que le sexe apparent, sa queue
bien en main et il finit par éjaculer sur elle. Il le fait pour elle, c'est ELLE, la conclusion, le résultat
de son bonheur. Et il en pleure....
*Ce message a été édité le Sep 29, 2016 8:08 AM par Lecossais*
*Ce message a été édité le Sep 29, 2016 8:11 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : octobre 1, 2016  06:29

*A quoi pense une Dame, aimer ou être aimée ? Je ne sais pas mais d'après des confidences
(oui celles qui ne sont pas trop coincées me font), elles préfèrent aimer. Quand elles aiment,
elles ont des émotions, elles flottent, elles vibrent, de vraies petites abeilles, elles butinent, elles
travaillent. C'est le moteur de leur vie. De ta vie. Une dame a des émotions tous les jours, par
une musique, par un livre ou un homme.
Quel est la musique, le morceau, la petite phrase de Proust, qui t'a fait vibrer dans ta vie ?
Quelle est le livre, la lecture, dans toute ta vie ou dernièrement, que tu as aimé, qui t'a donné
une émotion ?
Quel est l'homme, en pensée ou en chair, que tu as aimé, qui t'a donné une émotion ?
Avec quelle amie as-tu ri dernièrement ?
La vie n'est pas compliqué, on cherche à se poser où le soleil va.

**Je t'ai dit y a 2 jours, à quoi une dame pensait en se masturbant, c'est à mon tour de te dire
mes pensées, plutôt des images, parce que moi je ne pense pas, je regarde. Sur le net, j'ai
mes ''favorites'', tu peux faire la même chose si tes enfants ne vont sur ton ordi. Moi, je suis le
seul sur mon ordi, c'est personnel et privé. Donc quand mon 4 ième jour est arrivé (voir
calendrier), je m'installe devant mon ordi, nu à partir de la ceinture. Et quel film je vais chercher
dans mes favoris? Ceux où je vois une ou deux Dames ensemble, en bas-jarretelles, sans
culotte, des Dames de plus de 60 ans toujours, ce sont les plus ''connaisseuses'', celles qui
savent faire les mouvements sur leur vulve, pour exciter un homme de 73 ans. Les dames
savent que je suis là, hypnotisé, et elles me présentent leur côté pile, bien
penchée...........ahhhhhhhhhhh
Bonne fin de semaine ''des aînées'', la première d'octobre.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : octobre 3, 2016  06:41

Les aînées dans le monde : les plus de 60 ans sont 600 millions. Ce nombre va doubler d'ici
2025 et représentera 20% de la population mondiale.
En Afrique, elles représentent 5,5% de la population. En Inde, 9%. En Chine, 14% : population
vieillissante. Le gouvernement oblige les plus jeunes à visiter les aînées sous peine de prison,
c'est dire comment on les a oubliées. En Russie, 13%. Au Maroc, 6% : population jeune. En
France, 23% et les places en maisons de retraite sont coûteuses. Je me demande combien $$
une Française paie , par mois, en maison de retraite ? Quelqu'une pourrait le dire ici, pour un 3
pièces: salon,chambre,cuisine. Ici où je suis, 385 logements sur 8 étages. C'est plein avec liste
d'attente. J'habite un 3 pièces à 1200$/mois, en dollars. Drummondville est moins cher (ne le dis
pas au propriétaire) que près de Montréal. On appelle Drummondville, la ville des aînés et il y a
plus de maisons pour les vieux que partout au Québec.
Au Mexique, les plus de 65 ans font 6,6% de la population. En Suède, 17% et les aide-
ménagères est le secteur professionnel le plus en demande. Au Québec, 15% pour les plus de
65 ans et les services à domicile sont bien organisés. Par rapport à la majorité des pays dans le
monde, c'est au Québec que les ''vieux'' sont les mieux traités et les enfants savent que
l'héritage va venir bientôt. On nous flatte dans le sens du poil !

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : octobre 4, 2016  05:56

    ***Entre rêve et réalité***
Julie Pelletier sexologue, Journal-de-Montréal
Vendredi, 10 juin 2016
Rigoureusement coquins, parfois inavouables, les fantasmes sont là pour stimuler, pour en
mettre plein la tête et provoquer des sensations. Certaines croyances à ce sujet sèment toutefois
la confusion et peuvent même soulever un sentiment de culpabilité. Lumière sur la question!
Les fantasmes proviennent de l’imagination et ils sont conçus et utilisés pour susciter l’excitation
sensuelle ou sexuelle. Certaines personnes ont plus de facilité que d’autres à faire une place à
leurs fantasmes dans leur vie sexuelle.
Toutefois, il arrive qu’un sentiment de culpabilité soit à l’origine d’un blocage, empêchant donc
toutes images sexuelles de franchir le cap...de la lubrification.
L’imaginaire a avantage à être stimulé pour provoquer l’excitation sexuelle mais il doit pouvoir
être une source de plaisir et non de remises en question ou d’obsessions.
Le fantasme sert aussi à pimenter la vie sexuelle, même s’il n’est pas exubérant, comme nous le
confie Anastasia, 69 ans: «Je ne croyais pas que j’avais beaucoup d’imagination de ce côté-là.
Je ne m’étais jamais imaginé faire l’amour sur une plage avec un bel inconnu. Mais en discutant
avec une bonne amie, j’ai réalisé que j’en avais de l’imagination! Elle ne se manifeste tout
simplement pas de façon aussi sexuellement explicite que ce qu’on verrait dans un film *****o.
Moi, je rêvais souvent que mon voisin de palier vienne frapper à ma porte et m’invite à souper
dans un grand resto. Je n’avais jamais poussé l’audace à voir plus loin que ce fameux souper.
Mais une fois, suite à la conversation avec mon amie, je me suis donné la permission de penser
à des choses plus osées, je me suis surprise à avoir de la facilité à fantasmer. Mon orgasme a
été très puissant!»
Les fantasmes sont de merveilleux outils d’aide au désir sexuel et ils renforcent assurément le
plaisir. Qu’ils soient la représentation mentale d’un désir inconscient, la reconstruction de
souvenirs ou de prohibitions, les fantasmes ­permettent ces transgressions car ils demeurent
dans l’imaginaire. On ne peut pas interpréter de ­façon brute le fantasme, pour bien le
comprendre il faut faire un travail sur soi, de l’introspection et de l’a-n-alyser
Les réaliser ou non ?
Étant donné que chacun imagine ses fantasmes à sa façon, il est difficile de donner une réponse
rigide et fermée à cette question! Essayez plutôt de vous situer par rapport à vos fantasmes.
Voici quelques conseils selon votre situation.
? Vous ne vous êtes jamais posé la question car pour vous, tout cela paraît irréalisable. Dans
ces circonstances, il y a de fortes chances que le fait de parler ou même de réaliser vos
fantasmes ne vous procure rien d’agréable. Il serait donc sage de ne rien dévoiler ou de ne rien
concrétiser.
? La question a été posée et a trouvé réponse. Vous avez déjà réalisé certains fantasmes. Mais
sachez que la réalisation, une fois, d’un fantasme ou d’un bout de fantasme ne signifie pas que
tous les autres doivent être réalisés...
Si vous choisissez de réaliser un fantasme ou un bout de celui-ci, assurez-vous de partager les
mêmes envies que votre partenaire et soyez réalistes tant dans vos attentes que dans la mise en
place du fantasme. Car il existe souvent un grand décalage entre la réalité et le fantasme, c’est
d’ailleurs la raison pour laquelle il ne faut pas chercher à tout prix à les réaliser!
On pourrait même dire qu’il peut parfois être sage de ne rien dévoiler de ce qui se cache dans le
jardin secret. Mais tant que les pensées engendrent plaisir et satisfaction, pourquoi ne pas oser
fantasmer?

P.S. de Lecossais : je le répète souvent, la vie est courte surtout pour nous toutes ici, réalisons
tout ce dont on a envie. Y a-t-il quelqu'une qui fantasme sur moi ? qui m'imagine t'embrassant ,
te léchant les oreilles ou les seins ? hiiiiii Moi je t'imagine souvent...coquine.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : octobre 5, 2016  16:01

    ***Messsage dans ma boîte postale d'une amie française (super gentille...hum...) qui nous
donne des informations sur les résidences pour retraitées *** Merci beaucoup et becs
d'encouragement *****
De : -interlude-
Sujet : Re : en France
Date : 05/10/2016
Heure : 08:41 AM
Merci pour tes courriers , tu sais j'ai lu dans ta famille car tu ecris très bien , bravo , et tu ne
fais pas ton âge également , mais moi je n'ecris qu'un cahier de ma vie et celle de mes parents ,
concernant le doux sexuel , je n'ai pas ta plume ! je ne sais pas faire ça !
Mais bravo à toi !
Concernant les résidences ? genre " maisons de retraites " ? comme on dit chez nous !!?
C'est hors de prix pour l'instant , plus de 3000 euros mensuels , donc il faut avoir une bonne
pension de retraité sinon ce sont des locaux 'genre mouroir" qui sont infectes et pris en charge
par l'etat !
Tu vois c'est pas facile en France !!
Mais juste pour infos une résidence chez nous c'est juste une habitation géré par un particulier
à qui on paie un loyer et ensuite tu as les HLM d'etat , habitation loyer modéré !
Puis viennent évidemment les maisons particulières dites résidence car super belles , plusieurs
etages et grandes surfaces appartenant à un couple riche ou pas , par exemple !
L'appellation ; résidence a plusieurs consonances chez nous
Ma réponse te convient-elle mon cher ?
Amitiés douces

P.S. de Lecossais: déjà le mot ''amitiés douces'' me fait fantasmer - Interlude-Chérie , alors ta
réponse me convient parfaitement, je la savoure en cachette...J'ai d'autres questions pour toi :
Est-ce qu'il existe des logements ''intergénérationnels'' où on peut retrouver de tous les âges ?
**Solution si c'est trop cher; il paraît que la ville de Perpignan est la moins cher pour les
retraités ? Ici au Québec, on annonce cette ville comme la moins cher de la France. Aussi je
connais beaucoup de Françaises qui se logent en Espagne, sur la côte, vers Alméria et
Carboneras. Il te reste une solution: venir rester au Québec: un studio tout équipé ici (câble-télé-
internet,électricité; un seul compte à payer à 1100$ dollars canadiens/mois.
***Autre question pour toi : que signifie le ''DOUX SEXUEL'' ? Quoi de plus doux que le mot
doux ! Au plaisir...

-interlude-
France
Messages : 470

Date du message : octobre 6, 2016  06:47


Eh bien , merci d'avoir mis mon courrier ici , il se trouve que j'aime bcp lire les profils ( ce qu'on
m'a souvent reproché ) et j'ai donc lu le tien !

De fil en aiguille j'ai lu tes posts , bien que très réservée sur les sujets dits "sexuels " j'ai parcouru
tes textes bien "ficelés" de romantisme ou autres choses plus intimistes . Chacun ses opinions
mais comme je t'ai dit , je ne sais pas ecrire ni parler de sexualité sur un site .
Ceci etant , saches bien que je trouve que le mot " douceur " devrait faire partie de notre
vocabulaire dans notre monde de brutes ; Voilà tout est dit , sourires !
J'envoie plein de douceur à tous tes lecteurs et à toi aussi

Concernant ta question sur le logement intergénération j'ai copé/collé ceci :
venant de ce lien
http://www.mapiaule.com/se-loger/les-differents-types-de-location/le-logement-
intergenerationnel/a15198.html#.V_YoQYVOIic

Trouver un logement pas cher, voire gratuit, tout en tenant compagnie à quelqu’un qui en a
besoin : le logement intergénérationnel, encore assez méconnu en France, rapproche les
générations en se faisant côtoyer étudiants et retraités.}}
Lucas Farcy


Logement intergénérationnel : le principe
Les avantages de ces initiatives sont nombreux. La personne âgée peut sortir de l’isolement dont
sont malheureusement parfois victimes les retraités. Elle pourra se faire aider dans certains
gestes pénibles du quotidien. De son côté, l’étudiant sera logé gratuitement (ou payera un faible
loyer) et trouvera lui aussi de la compagnie. Pour certains jeunes, les premières années
d’études, loin de leur famille et de leurs amis, peuvent devenir déprimantes. Dans ce cas, trouver
de la compagnie en rentrant chez soi aide de façon certaine. Si une présence cordiale et une
grande générosité sont requises pour s’intégrer à ce type de projet, l’étudiant n’est en aucun cas
considéré comme un aide soignant ou un infirmier : il ne devra pas participer aux soins médicaux
ou à la toilette de son hôte.

Le logement intergénérationnel est organisé par des associations. Des dizaines existent
aujourd’hui, dans la plupart des grandes villes de France. Trois formules sont à distinguer dans
les différentes propositions des associations :
 Des chambres gratuites où le jeune s’engagent à être présents le soir et à aider la personne
âgée dans certaines taches (faire les courses, sortir les poubelles, cuisiner…).
 Des chambres à loyer modéré, où l’étudiant est libre de son temps mais s’engage à
régulièrement tenir compagnie à la personne âgée pour l’aider dans des taches précises.
 Des chambres à loyer « classique », où l’étudiant est totalement libre et indépendant.

Quelques associations, comme l’ « Ar’toit 2 générations » vont plus loin, et étendent la possibilité
d’accueil aux personnes handicapées ou aux familles qui ne peuvent pas s’occuper des enfants
le soir.
Dans tous les cas, il faut cotiser à l’association organisatrice. Une « période d’essai » est
organisée au début de la cohabitation pour s’assurer de la bonne entente des colocataires.

Le concept, né en Espagne il y a un peu plus de 10 ans, est un excellent moyen de lutter contre
la crise du logement qui existe dans toutes les grandes villes. Habiter dans un logement vétuste
ou payer un loyer exorbitant empêche beaucoup de jeunes d’effectuer leurs études dans de
bonnes conditions. Habiter chez une personne âgée, en plus de pallier à cet obstacle, permet de
réviser dans le calme.

Si le concept vous séduit, contactez au plus vite l’association la plus proche de votre lieu
d’études pour remplir votre dossier de candidature :
Les associations, région par région
Arras, Lille et alentours :
Générations et Cultures avec son dispositif de logement intergénérationnel "Un toit à partager".



Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : octobre 7, 2016  07:14

Interlude-Chérie, j'ai laissé ton texte, plus haut, deux jours et plus d'une centaine de lectrices
sont venus te lire. De plus tu écris très bien, tu devrais continuer ici...
Voici mon opinion sur les 'femmes' et la sexualité. Celles-ci se font une idée d'elle-même, une
image d'elle que j'appelle le déterminisme de leur sexe....c'est-à-dire que par sa mère et ses
ancêtres, elle adopte des comportements dit 'féminins' comme se croiser les cuisses pour ne
pas montrer sa culotte, pour ne pas passer pour...une personne trop ouverte, trop chaleureuse,
trop chaude, trop ci-ça...et ses comportements la suivent toute sa vie. Toujours la peur de ne pas
être considérée comme une bonne personne-femme...misère et elle va avoir 70 ans. Ainsi la
phrase 'Je ne parle pas de sexualité sur un site' écrite par Interlude plus haut. Effectivement j'ai
rarement lu quelqu'une écrire
vraiment sauf par images. Je te propose une façon d'écrire ici :
--on va parler des AUTRES, ce ne sera jamais toi mais les autres; la sexualité des autres, des
Japonaises par exemple ou des Portugaises ou ta voisine ou le facteur.
--on va utiliser des mots cachés: pomme signifiera seins; bananes...devine ce que ça signifiera;
raisin sera le clito ou plutôt la cerise; la figue :regarde le dessin dans le dictionnaire et tu sauras
à quoi ça te fait penser; deux citrouilles ou deux poires selon la grosseur de tes fesses.
Je te donne des trucs donc pour écrire sur la sexualité sans qu'on sache de quoi tu parles. On le
saura mais on ne le saura pas, on ne sera pas sûr...et comme on dit chez les musulmans, ton
HONNEUR sera sauf. Tu sais c'est quoi l'honneur ? C'est ce qu'on va dire de toi quand tu seras
morte, ce qu'on va dire ne te fera pas un 'pli sur la différence' (expression québécoise), et bien
voilà, tu peux commencer maintenant, le jardin est ouvert, ton jardin.

**Information à toutes mes amies silencieuses que j'adore : je partirai demain, au petit matin vers
le sud, le chaud, la Floride pour ma 11 ième année. Je coucherai dans mon véhicule du 8 au 31
octobre, ainsi je ne pourrai écrire ici, je serai sur la route. Après,du 1 novembre au 1 avril, je
serai dans un petit condo avec l'internet, ce si merveilleux instrument de rapprochement. Je te
dis à très bientôt et 'le chat parti, la chatte danse avec la souris', elle se fait des entrechats.
Je t'aime.
*Ce message a été édité le Oct 7, 2016 7:16 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : octobre 11, 2016  10:27

Ce mardi 11 octobre, je suis dans un café ''starbuck'' au sud de Richmond en Virginie.

**J'aimerais te parler de stupidité ce matin ; à part les musulmans qui pensent qu'en tuant du
monde, ils vont mourir martyr, ce qui est le comble de la stupidité, en deuxième position, il y a les
douaniers américains. Question posée: ''où es-tu né'' ? --''Écoute chose, regarde dans le
passeport, c'est écrit''; non on ne répond pas ça, on pense qu'il est stupide mais on sourit et on
répond poliment. ''As-tu de la nourriture '' ? est sa deuxième!!

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