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Famille : La sexualité n'a pas d'âges
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Sujet : Opinions
Lecossais |
Date du message : février 24, 2018 07:04 |
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*** LA NUDITÉ N'A PAS D'ÂGES *** À 67 ans l''''ex-Bond Girl''' Jane Seymour pose pour Playboy totalement assumée Ce n'est pas la première fois que la star de docteur Quinn pose pour le fameux magazine Playboy, mais bien la troisième fois: juillet 1973 et en janvier 1987, maintenant février 2018 . L'ex- James Bond Girl, film de 1973, à 67 ans, en profite aussi pour faire passer un message qui accompagne ce shooting. « Je suis ravie de pouvoir enfin partager ceci avec vous. J'ai récemment été photographiée et interviewée chez moi par Playboy. Je m'ouvre sur ma carrière, ma famille, le fait de me sentir mieux que jamais à 67 ans, et bien d'autres choses! Voir photos. La star confie se sentir mieux que jamais et PLUS SEXÉE que losrqu'elle était jeune. Au cours de cette interview, elle raconte comment elle aussi a été victime de harcèlement en 1972. Celle qu'on a voulu faire taire a parlé. Selon elle, les femmes ont le choix de parler et de tout dire en tout temps. P.S. j'ai vu les photos de cette Chère Enfante de 67 ans, et oui, elles sont super sexées non pas parce qu'on voit sa vulve ou ses seins au complet mais , comme tu sais, l'ÉROTISME RÉSIDE DANS LE DEMI-VÊTU : juste un mamelon, un entre-cuisses qui dévoile haut et une bouche qui a faim pour me dévorer tout cru (comme celle de Sous1600 ou Gin12). Le fait de se faire ''prendre'' en photos érotiques stimule la partenaire posée. Ainsi si tu veux t'étendre devant mon objectif, invite-moi avec mon appareil. Le printemps s'en vient--mais oui il va arriver--c'est l'occasion, pour les Dames seules d'aller se dévoiler dans les centres naturistes ou à la magnifique plage d'Oka, côté Nord pour les nues. Pour les hommes seuls qui veulent se caresser ensemble, nus, tout au bout de cette plage, côté- nord. Un de vous devra faire le guet: si tu vois venir un genre de kart vert, c'est la sûreté-du- Québec qui vient. Remballe ton attirail et attend qu'il reparte. A bientôt.
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Lecossais |
Date du message : février 25, 2018 07:45 |
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*** La SÉDUCTION animale en huit temps *** Silvia Galipeau La Presse 24 février 18 Quand on sait que le panda produit naturellement près de mille parfums, que le chant de l'alouette connaît des centaines de variations et que nombre d'insectes offrent des cadeaux à leur dulcinée, la question se pose : que peut nous apprendre la nature en matière de drague ? Huit choses à savoir. Le mâle séduit, la femelle choisit Dans la plupart des espèces animales, c'est le mâle qui chante, danse ou se bat pour attirer l'attention de la femelle qui, par la suite, choisira le plus beau, le plus talentueux ou le plus fort des mâles disponibles. Pourquoi ? Disons pour résumer que deux stratégies s'affrontent : la quantité contre la qualité. D'un côté, «les mâles veulent copuler le plus possible pour assurer leur descendance», résume l'éthologue et primatologue Daniel Paquette. Et les femelles, elles, cherchent à sélectionner les meilleurs gènes. «Parce qu'elles portent les bébés, leur stratégie de reproduction ne peut donc pas être d'en avoir le plus possible. Elles visent plutôt la qualité de la progéniture.» Que les meilleurs chanteurs (et danseurs) gagnent L'alouette est capable de chanter pendant 40 minutes sans s'arrêter. En faisant sa parade nuptiale, l'albatros adopte plus de 20 postures différentes. Non, cela ne relève pas du tout de la coquetterie. En fait, chanter ou danser demande une force et une énergie insoupçonnées. C'est précisément ce que la femelle juge et évalue ici : lequel de ses prétendants a le plus de puissance et de vigueur ? Lequel léguera les meilleurs gènes à sa descendance ? Certainement pas les piètres danseurs ! «La danse est une arme de séduction massive !», dit le scientifique et humoriste Boucar Diouf, qui a écrit un livre sur le sujet (Pour une raison X ou Y). Une arme qui a autant de succès chez les humains, dit-il. «C'est démontré qu'un gars qui a une guitare sur son dos a bien plus de chance avec les filles qu'un humoriste qui raconte des blagues ! Ça, la cigale l'a compris !» Gare aux cadeaux empoisonnés Tout comme le chant ou la danse, ce n'est pas (que) pour leurs beaux yeux que les mâles offrent des cadeaux aux femelles. En fait, quand un oiseau marin dépose un petit poisson au pied de sa douce, ou quand un goéland régurgite son dernier repas, c'est plutôt pour démontrer ses qualités de pêcheur, sa capacité à nourrir la femelle et éventuellement ses petits. Mais tous les mâles ne sont pas si bien intentionnés. **Certaines espèces de mouches emballent leurs cadeaux d'une soie. «Ils gagnent du temps : pendant que la femelle déballe le cadeau, ils peuvent s'accoupler plus longtemps !», illustre l'auteur Jean-Baptiste de Panafieu, qui vient de publier Séduire comme une biche, un essai sur le sujet. Et il y a pire : d'autres offrent carrément des paquets vides, afin de profiter gratuitement de la femelle pendant le déballage...(bonne idée) L'avantage d'être bon bricoleur Chez certaines espèces, tout particulièrement chez les oiseaux, les mâles bricoleurs sont les plus appréciés des femelles. Toujours selon la logique voulant qu'il faille choisir le meilleur géniteur et le meilleur protecteur, chez les mésanges, notamment, «il y a véritablement une observation très poussée de la femelle lorsque le mâle fait son nid, poursuit Jean-Baptiste de Panafieu. Il faut que la construction soit belle et solide pour attirer la femelle?». «La femelle va pondre si le nid lui plaît. Et si le nid lui plaît vraiment, elle va aussi couver les petits. Sinon , Elle les laisse au mâle et va voir ailleurs...» d'où le fait de bien présenter sa maison ! Le succès des femelles d'expérience ***De manière générale, les femelles préfèrent les mâles plus âgés (note ça Chéri), parce qu'ils sont plus forts, plus EXPÉRIMENTÉS et plus aptes à les protéger. Mais dans certains cas, ce sont plutôt les mâles qui favorisent les femelles d'expérience.(yééé) «?Les mâles chimpanzés préfèrent les femelles plus vieilles, car elles sont plus expérimentées comme mères et plus expérimentées sexuellement?» (reyééé), signale le spécialiste des comportements animaux Daniel Paquette à qui l'on doit 'Ce que les chimpanzés m'ont appris', en soulignant au passage que contrairement aux humaines, les femelles chimpanzés ne traversent pas de ménopause. Tout est dans la nature Un exemple ? Chez les cygnes noirs d'Australie, 20 % des couples sont composés de deux mâles (wow...) «Et ils vont se débrouiller pour obtenir des petits, soit en séduisant une femelle et en la chassant après la ponte, reprend Jean-Baptiste de Panafieu, soit en piquant des oeufs à des couples hétéros.» Mieux : les petits auront ici une meilleure espérance de vie, car ils seront protégés par deux mâles. Sur le littoral européen, certaines espèces d'oiseaux forment carrément des «trouples», soit des couples composés de deux femelles et un mâle (l'idéal aussi chez les humaines!) s'accouplant entre eux et produisant plus de petits que la moyenne. Infidèle un jour... On a longtemps cru que les oiseaux étaient des exemples de monogamie. Chez certaines espèces d'oiseaux marins (notamment les mouettes), on voit des couples se former, avoir des petits, s'en occuper ensemble, et durer jusqu'à la mort. Or, des recherches d'ADN récentes ont permis de démontrer que la réalité était tout autre. Ainsi, chez certains, «jusqu'à la moitié des petits sont d'un père non officiel», rit Jean-Baptiste de Panafieu. Et cette extraconjugalité n'est pas exclusive aux oiseaux, loin de là. Chez les marmottes, un petit sur trois est ainsi «illégitime» --Humaine-Chérie, prends en exemple ces oiseaux si gentils mais pas jaloux du toutou... Le mot de la fin Bien sûr, les parallèles avec l'espèce humaine sont faciles, rapides et surtout amusants à faire. « L'anthropomorphisme, pour faire sourire, c'est acceptable», dit Boucar Diouf. Mais n'allez surtout pas tirer ici de grandes leçons de vie. «Il est toujours extrêmement dangereux de faire des parallèles entre les mondes animal et humain?», conclut le directeur général de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), biologiste et éthologue Luc-Alain Giraldo. Dans son livre Dans l'oeil du pigeon, il défend précisément cette thèse. Parce qu'au-delà des parades nuptiales, il y a aussi des pratiques animales franchement moins roses. «Ce n'est pas glamour, ce n'est pas romantique, mais dans la nature, il y a aussi plein d'animaux chez qui les mâles prennent de force les femelles.» Le meilleur (ou le pire) exemple est certainement celui de la punaise de lit. Imaginez-vous que madame n'a pas d'«orifice génital?». Monsieur, à l'inverse, en guise d'organe reproducteur, est doté d'un «poignard». Pour la féconder, il doit donc littéralement la percer. Moins romantique que ça, tu meurs... P.S. j'ai bien ri ...et j'adore observer l'accouplement des animaux, tous les animaux, dont le chien, cet infatigable ! Il est même prêt à laisser sa place dans le vagin à un autre aussitôt éjaculer. Faut vraiment prendre exemple sur lui. J'ai même vu deux pénis-chien dans le même orifice. On ne s'ennuie pas. Cet hiver j'ai observé MON couple de canards, toujours à la même place tous les jours. Le mâle monte sur la femelle en lui pinçant le cou pour se tenir en place. Elles a eu 5 petits. Après deux semaines, il n'en restait plus qu'un, les faucons étant venus manger les autres. Après deux mois, probablement le plus fort, le plus protégé, il en reste un seul. Curieusement, pour cette espèce de canard, le couple demeure ensemble alors qu'une autre espèce, seule la femelle protège ses 4-5 petits qui ne font vieux os. On dit que c'est la sélection naturelle. Bien sûr les chiens sont, et de loin , les meilleures amies de l'humaine. Pas pour rien que les Dames âgées, seules, ont leur meilleur ami, à leur portée, dans leur lit. Une chose est sûre, les hommes ont plus tendance à être polygame...quoique, peut-être les Dames sont plus cachottières ? Bonne dimanche et bonne chasse............ *Ce message a été édité le Feb 25, 2018 7:52 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : février 27, 2018 07:42 |
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oupp...........mon texte qui devrait être là s'est envolé ??
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Lecossais |
Date du message : février 27, 2018 08:18 |
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Le « Sex Coffee » la Boisson Aphrodisiaque Naturelle Dont Raffole les Américain Quand on a la libido qui se dégonfle, un coup de pouce du côté des aliments est bienvenu ! Depuis que l’humain existe, des légendes plus ou moins fondées nous incitent à consommer différents produits à la réputation sulfureuse… Mais comment être certain de leurs effets ? Depuis que la science s’est retroussée les manches et a pris son microscope pour aller fouiner du côté de la composition exacte de chaque aliment, on en sait un peu plus. Comme par exemple que les cornes de rhinocéros ont autant de chance de redresser les pénis que les rognures d’ongle puisque tout ça est composé principalement de kératine… Mais à l’inverse, on sait aussi désormais que certains aliments ont des propriétés réellement intéressantes, comme ceux qu’on trouve dans ce sex coffee ! Qu’est-ce qu’il y a dans le sex coffee de si bon pour ma vie sexuelle ? La maca C’est surtout le bulbe de cette plante aztèque que l’on utilise en général sous forme de poudre. La maca est considérée comme une plante adaptogène, c’est à dire capable de lutter contre les effets négatifs du stress. La maca aide à l’équilibre hormonal et elle améliore la fertilité. Elle est communément considérée comme une plante aphrodisiaque qui booste la libido, offre de belles érections et lubrifications vaginales. Cultiver des Plantes Aphrodisiaques ou l’Art d’Entretenir son Jardin des Délices Le cacao Le cacao cru est considéré comme un excellent stimulant. Il booste la circulation sanguine et incite votre corps à produire de la sérotonine, une hormone qui joue sur votre bonne humeur. Le « Journal of Sexual Medicine » a publié une étude démontrant que les femmes qui mangeaient du chocolat tous les jours obtenaient un meilleur score au questionnaire du « Female Sexual Index », un instrument d’étude de la sexualité féminine. La cannelle Autre aphrodisiaque réputé, la cannelle donne de l’énergie, vous empêchant de sombrer dans la léthargie télévisuelle après une dure journée de labeur. Elle vous aide alors à mieux prendre votre corps en main, ainsi que celui de votre partenaire ! Le miel On dit que le miel améliore l’endurance, ce qui est un atout non négligeable dans le domaine de la galipette ! Il aide par ailleurs à la production de testostérone chez monsieur, pour un regain de désir viril. Le lait de coco Le lait de coco est riche en bonnes graisses qui donnent de l’énergie durant la galipette. Par ailleurs, la noix de coco a la réputation de booster la libido et d’améliorer l’équilibre hormonal. La recette exacte Les ingrédients •2/3 d’une tasse de café (chaud) •1 cuillère à café de cacao cru en poudre •2 cuillères à café de lait de coco •1 cuillère à café de miel •½ cuillère à café de cannelle •1 cuillère à café de maca La préparation Dans un récipient qui pourra accueillir un mixeur plongeant, mettez le café, le cacao, le lait de coco, le miel et la cannelle. Mixez jusqu’à obtenir une texture mousseuse. Ajoutez la maca, mixez à nouveau puis servez immédiatement. Quel goût a le sex coffee ? Un goût légèrement épicé, avec des arômes très sud-américains, qui se rapprochent du chocolat chaud mexicain : du chocolat noir, de la cannelle et une pointe de saveur sucrée. Made in USA Voilà donc une recette qui devrait vous donner l’énergie et la libido nécessaires pour retrouver une vie sexuelle américaine. Nul besoin de traverser l’Atlantique pour vous munir de tous ces ingrédients étranges, vous trouverez la plupart de ces aliments dans les magasins alimentaires bio. Le site qui recommande cette recette conseille d’en boire une fois par semaine pour garder la forme coquine. Si vous testez ce sex coffee, n’hésitez pas à partager avec nous vos impressions sur son goût et sur vos prouesses érotiques ! En Savoir Plus sur les Aphrodisiaques : •Les Aliments Aphrodisiaques qui Cachent Bien leur Jeu •Ces Menus Aphrodisiaques qui Font Recette pour Passer de l’Assiette aux Galipettes •10 Fruits Aphrodisiaques pour des Plaisirs sans Pépin •5 Fruits Secs Aphrodisiaques •Les Fruit à Coque Aphrodisiaques Pour une Sexualité Loin d’Être à la Noix ! •Cultiver des Plantes Aphrodisiaques ou l’Art d’Entretenir son Jardin des Délices •Recettes et Secrets du désir par la Racine : le Gingembre à toutes les Sauces •Odeurs et Parfums Aphrodisiaques : le Désir par le Bout du Nez •10 Aphrodisiaques Étranges Utilisés par nos Ancêtres ou Pourquoi le Progrès a du Bon •Ces Aphrodisiaques Étranges Venus d’Ailleurs •10 Aliments Qui Boostent la Testostérone ou la Libido Derrière les Fourneaux ! •Source : https://www.yourtango.com/sex-coffee-this-recipe-may-boost-your-libido
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Lecossais |
Date du message : février 28, 2018 07:28 |
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Les Québécoises aiment les déjeuners (''petits-déjeuners'' en France) surtout les dimanches vers 10h. Œufs, saucisses, jambon, fèves-au-lard, tartines ou pain doré ou crêpes au sirop d'érable, patates rôties. Et le café avec chocolat noir, mousse-au-chocolat et canelle....hum...Mon ami ''campeur43'' ici raffole de ces cafés qu'on peut demander chez ''starbuck'' ou ''tim-horton'' ou dans les CAFÉ spécialisés en région comme Rimouski ou Chicoutimi ou Sept-Îles avec la chaîne ''ToietMoi''. C'est le moment, souvent après une ''grasse'' matinée ou une masturbation, de jaser, de faire des rencontres au Café. Les dimanches matins sont spéciaux. Je me souviens, quand je travaillais, j'apportais la ''grosse-Presse'' du samedi-dimanche, et après avoir mangé, de lire , de donner le goût de préparer des voyages. C'est là que nous avons décidé de faire une première année en Europe en 1987. Il existe encore un organisme qui se nomme ''France-Québec'' où des Françaises et des Québécoises veulent se rencontrer. C'est un excellent moyen de mettre un pied à terre ailleurs. Une '' famille'' ici présente des amies qui aimeraient voyager.Ça me fait penser qu'Or-Lyne offre sa maison sur ''AirBNB''. Je viens à l'instant de connaître un Américain du New-Jersey. On s'est échangé nos adresses et il aimerait aller à Québec cet été. Je lui ai suggéré AirBNB. Surprenant que tu puisses coucher confortablement à Montréal pour 15$ par nuit...en centre-ville ou le long du c*****-Lachine. C'est en cherchant un peu qu'on trouve, à la portée de quelques clics. Mon amie Bernice, 83 ans, de Grande-Rivière(Gaspésie) est encore au Mexique pour un mois. Elle adore porter des robes courtes...Il fait tellement chaud !
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Lecossais |
Date du message : février 28, 2018 09:35 |
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JOUIR avant de se coucher : la clé pour bien dormir ? Vous éprouvez MESDAMES des difficultés à vous endormir ? A chaque fois que vous vous glissez dans vos draps, vous passez en revue les moments de votre journée, établissez des listes dans votre tête, bref, votre cerveau a du mal à déconnecter et trouver le repos. Plutôt que de vous ruer sur les somnifères et autres solutions médicamenteuses, efficaces un temps, avez-vous songé à une autre méthode plus agréable pour vous mettre en conditions et vous préparer à sombrer dans les bras de Morphée ? Et si jouir avant de vous coucher était le secret pour enfin bien dormir ? C’est le résultat d’une étude menée par la CQUniversity d’Adélaïde en Australie sous la houlette du Docteur Michelle Lastella, experte du sommeil. 64 % des personnes interrogées ont reconnu avoir mieux dormi après un orgasme ! La raison ? Faire l’amour relaxe et aide le cerveau à se relâcher pour ne plus penser à ses soucis. Des endorphines bienfaisantes En effet, l’orgasme permet de libérer des endorphines, ces hormones du bien-être qui aident à détendre les muscles et vous procurent une sensation de bien-être et d’apaisement comme après une séance intense de sport ! Pas d’un partenaire homme ou d’une femme pour se procurer du plaisir. La masturbation permet d’atteindre les mêmes effets pour passer une bonne nuit. D’autres études avaient mis en évidence qu’un bon cycle de sommeil est propice à une libido épanouie ! En somme, il s’agit d’un cercle vertueux : plus on dort, plus on est apte à faire l’amour pour atteindre le septième ciel qui vous aide à trouver un bon sommeil ! Ne vous privez pas du Saint- Graal pour enfin renouer avec des nuits paisibles et dites adieu aux tisanes de camomille et autres moutons à compter ! *Ce message a été édité le Feb 28, 2018 9:51 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : mars 2, 2018 09:34 |
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Une Histoire sur http://revebebe.free.fr Jean Marcel Tatie Denise Voici quelque temps un ami m’a parlé de Revebebe. La curiosité m’a poussé à y faire un tour, et à mon tour je me suis décidé à narrer une aventure qui m’est arrivée il y a maintenant plus de vingt ans. Quand je dis aventure, je devrais plutôt parler d’expérience, au sens où on l’entend en matière scientifique… À cette époque j’étais responsable d’un bureau d’étude et à ce titre je me rendais fréquemment chez nos fournisseurs, plus rarement chez des clients. Bien entendu, ces déplacements loin de mon domicile m’ont amené à fréquenter nombre d’hôtels, pas toujours de premier ordre, des restaurants, pas tenus par des chefs « étoilés », bref tout ce qui fait la vie d’une personne en déplacement. Au gré de mes déplacements, il m’est arrivé de faire des rencontres « d’une nuit », mais cela est assez commun et n’intéresserait pas le lecteur. Non, moi c’est autre chose. Tout a commencé dans une ville de province où je me rendis à plusieurs reprises lors du développement d’un projet dont j’avais la charge. J’avais pris mes habitudes dans un hôtel, dont l’ambiance, surtout celle du restaurant, me plaisait. Évidemment, ce qui devait arriver arriva. C’était par une nuit de mai (je crois…) je la terminais en compagnie d’une voisine de palier… Comme elle aussi restait pour deux nuits, ce furent deux nuits torrides que je passais en sa compagnie. Je ne l’ai jamais revue. Le second soir, comme nous avions dîné ensemble, il était évident pour quiconque nous observait un peu, qu’il y avait un petit « quelque chose » entre nous… Le temps passe. Je reviens à l’hôtel en septembre, seul. C’est là que je remarque le comportement de la serveuse – appelons-la Hélène – à mon encontre. Elle avait bien sûr remarqué mon manège avec ma première compagne d’un ou plutôt de deux soirs quelques mois plus tôt, mais je n’avais jamais cherché du côté du personnel. Hélène paraissait avoir la cinquantaine (j’en avais 56), encore assez bien faite de sa personne, mais je la pensais mariée, rangée, tranquille. Ça s’est passé un soir. Je ne sais pas pourquoi CE soir-là. Hélène restait pour faire le bar jusqu’à la fermeture vers 11 heures. Pourquoi CE soir-là suis-je allé boire une bière ? Je n’avais jamais bu d’apéritif, tout au plus un demi en arrivant lorsque le temps était chaud, mais sans plus. Au bar, il y avait un couple (qui ne me semblait d’ailleurs pas légitime non plus) qui buvait je sais quel *****tail. Je remarquai le manège d’Hélène, elle me regardait sans cesse. Comment avons-nous commencé à parler ? Je ne sais pas, mais un peu avant 11 heures, nous débattions tous les quatre au sujet… des rencontres fortuites ! Un temps, j’ai cru que le couple allait m’inviter, ou plutôt NOUS inviter, Hélène et moi, à partager un moment dans leur chambre. Il n’en fut rien ! Pas de partouze ce soir-là ! Rideau ! Les deux amants ayant rejoint leur nid d’amour, je restais un moment en compagnie d’Hélène. Comment est-ce arrivé ? Je ne sais pas. C’est lorsqu’elle a voulu baisser le rideau de fer de la salle du café que, la voyant forcer, je lui proposais mon aide. Le rideau était effectivement coincé, mais après deux ou trois tentatives je réussis à le faire descendre. C’est lorsqu’elle a tendu la main pour reprendre la manivelle que ma main trop proche de la sienne s’est refermée sur elle. Elle n’a pas bougé, son regard en disait plus long que n’importe quel mot. Nous étions là, face à face, sa main enserrée sous la mienne, ne cherchant pas à se dérober. Je lui pris son autre main dans la mienne, elle se laissa faire. Je l’attirai vers moi, je l’embrassai sur la joue car elle eut un mouvement inattendu au moment où j’allais poser ma bouche sur la sienne, mais très vite elle tourna la tête m’offrant ses lèvres. Ce fut bref. Elle se détacha de moi, recula en gardant la manivelle à la main et alla la ranger dans un placard destiné cet effet. Par gestes, elle me fit signe de la suivre derrière le bar en me montrant le plafond un index sur les lèvres : j’avais compris, la patronne devait dormir au-dessus Nous passâmes tous les deux dans la cuisine non sans qu’elle eût au préalable éteint les lumières de la salle et du bar. Je la suivis, elle m’entraîna dans une pièce située de l’autre côté de la cuisine. Je la pris par les épaules, et la faisant se retourner face à moi et l’embrassai à pleine bouche. Elle répondit à mes baisers en femme experte. — Je ne peux pas venir avec toi, la patronne serait capable de me virer. Je sentis que j’allais simplement devoir me contenter de baisers que nous échangions, mais soudain, j’ai osé : — Et si on allait chez toi ? Tu habites loin ? — Si tu veux. J’ai ma voiture sur le parking. À peine une demi-heure plus tard, nous étions chez elle, un bel appartement, bien meublé. Décrire ici la nuit que nous avons passée n’aurait, je l’ai dit, rien d’extraordinaire. Elle aimait faire l’amour, je lui donnais, elle me donnait ce dont nous avions envie tous les deux. Le lendemain alors qu’elle ne reprenait son service qu’à 11 heures, elle eut la gentillesse de me ramener à l’hôtel. Le soir, j’étais revenu à la maison. Durant les semaines qui ont suivi, je suis revenu dans cette ville, et dès le troisième voyage, je n’avais plus de réservation à faire à l’hôtel. Ils avaient perdu un client… C’est après plusieurs mois de rencontres épisodiques et agréables que c’est arrivé. Je téléphonai à Hélène que je serais là un mercredi en fin d’après-midi. Mais la destinée – car je l’ai su bien plus tard, ce qui s’est passé est dû au hasard – est ce qu’elle est. Ce jour-là, j’ai terminé mon travail vers trois heures car nous devions commencer tôt le lendemain pour des essais de machine. J’arrive chez Hélène vers les trois heures et demie au lieu de cinq heures habituellement, sans avoir téléphoné. Elle m’ouvre, m’embrasse et m’invite à entrer. De suite, j’ai su qu’elle n’était pas seule ; sa façon de m’embrasser, et surtout ce parfum qui flottait. Une femme était assise sur le canapé qui s’est retournée à notre entrée. Une femme d’un certain âge pour ne pas dire d’un âge certain. Cependant, elle était encore bien sur elle, maquillée juste ce qu’il faut si ce n’est ce rouge à lèvres criard et déposé largement au-delà des limites habituelles. Un tube ne devait pas durer longtemps avec elle ! — Je te présente Tatie Denise. Je m’avançai pour lui serrer la main, mais la tante en question se leva et contournant le canapé, elle vint m’embrasser comme un membre de la famille. — Surtout ne m’appelez pas « Nini », Ninette si ça vous dit, mais pas de « Tatie Nini ». Je lui répondis poliment que pour moi, ce serait Denise, si elle n’y voyait pas d’inconvénient, ce qui sembla la satisfaire. Hélène m’invita à m’asseoir, et le canapé étant occupé, je pris place, très gêné à ce moment, je dois le dire, sur le fauteuil qui faisait face à Tatie Denise. Hélène nous proposa un café, que j’acceptai de même que Denise, et celle-ci commença à me parler. Je crois que je serais passé dans un trou de souris. Moi qui étais parti en avance de chez mon fournisseur, je me retrouvai face une femme à qui je donnais au bas mot 70 ans, mais qui, je dois le dire, avait un certain charme ; et la conversation avec elle était quand même d’un bon niveau, on sentait la femme qui a de l’instruction. Hélène nous amena le café qu’elle déposa sur le guéridon entre le canapé et le fauteuil où j’étais. Je maugréai en moi, il fallait bien sûr que j’attende le départ de Denise et celle-ci ne semblait pas pressée de partir. Je me demandai si Hélène l’avait mise au courant de notre relation, mais à aucun moment dans notre conversation il n’en fut question. C’est là qu’il y a eut, disons, la première « alerte ». Denise était assise face à moi, elle portait ce jour-là une robe plissée, de couleur prune ou violette c’est selon… Elle se dressa sur le siège pour s’avancer vers le guéridon afin d’y attraper sa tasse, ou plutôt d’y mettre un sucre, et pour cela elle s’avança écartant outrageusement les cuisses ! Je remarquai de suite les cuisses blanches au-dessus des bas de couleur gris, et même si je n’étais pas attiré par ce genre de femme, la blancheur de ces cuisses ne laissa pas insensible. Elle demeura ainsi plusieurs secondes, mais le plus fort est qu’elle ne portait pas de culotte ! Il faisait assez clair dans le salon, et j’aperçus, plus qu’un bref instant, son sexe, ses poils, gris et rares, et l’emplacement de la fente de sa vulve, bien refermée à ce moment-là. Je fus troublé, s’en aperçut-elle ? Le faisait-elle exprès ? Toutes sortes de choses me parcoururent l’esprit à ce moment. La plus folle étant qu’Hélène sachant ma venue avait convié chez elle cette « Tatie Denise » pour une petite partie à trois ! Voulait-elle me la présenter, bien qu’elle sache que j’étais marié et simplement un « ami de passage » qui ne ferait jamais son nid avec elle. Ou autre chose ? Mais quoi ? Tout cela circulait à cent à l’heure dans ma tête, et j’avais du mal à tenir la conversation avec Denise. Son café sucré, Denise se recula et si, au début de notre entretien, je n’avais pas particulièrement remarqué la position de ses jambes, dorénavant elle les maintenait légèrement écartées, me permettant « seulement » de voir ses cuisses blanches au-dessus des bas. Hélène revint avec une assiette garnie de gâteaux, s’excusant de ne pas avoir eu le temps d’aller acheter des petits fours. J’eus encore droit à une vue plongeante de l’entrejambe nu de Denise lorsqu’elle s’avança pour attraper un gâteau, d’autant que sa robe, je le remarquai à présent, était remontée, découvrant ses genoux. J’avais beau essayer de détourner mon regard vers son visage, mais force m’était de constater qu’il revenait toujours à ses genoux et ses cuisses. Je la regardai alors, entre deux vues sur ses cuisses blanches prolongées par des bas, et je m’aperçus qu’elle avait dû être belle étant jeune. Un certain charme se dégageait de son regard, et elle avait toujours une expression de bonheur. Le temps passait, et j’avais droit à une vue de ses cuisses et de son entrejambe chaque fois qu’elle s’avançait pour prendre un gâteau. J’avais envie de la mettre dehors pour batifoler avec Hélène, mais elle persistait à continuer à parler. Au moins une heure s’était écoulée depuis mon arrivée chez Hélène, et à part ces vues sur l’intimité de sa tante, je restais sur ma faim. Finalement, Denise se décida : — Bon je vais rentrer, je vous laisse. On approchait de six heures. Elle se leva en m’offrant une dernière vue, et là je distinguai sa fente légèrement entrouverte, ce qui, malgré son âge, commençait à me faire de l’effet. Je me levai à mon tour, et m’avançai pour la saluer. Il était temps qu’elle parte, et je n’aurais pas mon petit « apéritif » avec Hélène, la connaissant, nous allions nous mettre à table dès que Tatie Denise serait partie. Hélène l’embrassa, puis ce fut à mon tour. C’est là que ça a commencé. Je lui fis une bise sur la joue, mais au moment où j’allais embrasser l’autre joue, elle ne tourna pas complètement sa tête et moi emporté par mon élan je l’embrassai sur le coin de la bouche ce qui ne sembla pas du tout lui déplaire. Elle me tenait la main à ce moment-là et je sentis nettement qu’elle me serrait plus fort. — Il faudra venir me voir, j’habite tout à côté – elle me donna son adresse – au troisième, vous ne pouvez pas vous tromper, la porte en face de l’ascenseur. Venez quand vous voulez, je ne sors pas souvent, sauf le matin je vais faire mes courses. Je compte sur vous. Et elle m’embrassa à nouveau, tenant toujours ma main, et encore une fois, donc ce n’était pas un hasard, mais ce coup-ci je m’y attendis, je posai ma bouche sur le côté de la sienne, et je sentis nettement un petit pincement sur mes lèvres. Vingt ans après, je m’en souviens comme si j’y étais… Denise partie, Hélène me regarda en rigolant : — Va essuyer le rouge à lèves, on croirait que t’as embrassé une cocotte. Je me regardai dans une glace, effectivement le coin de ma bouche étant marqué du rouge écarlate de Tatie Denise. Je ne parlai pas à Hélène de cette vue sur sa tante sans culotte, ce qui est rare car à cet âge, mais je ne le connaissais pas encore, les femmes se mettent quelquefois des garnitures pour les « petites fuites ». Apparemment, rien de côté-là avec Tatie Denise. Nous avons mangé, mais tout au long du repas je ne pouvais ôter de mon esprit cette vue du sexe de Tatie Denise, ainsi que sa proposition, car c’en était une : « Je compte sur vous ! ». Ce fut ma pire nuit avec Hélène. Je n’arrivais pas à déclencher le plaisir chez elle, quant à moi, je ne voyais que cette fente entrouverte lors de sa dernière apparition. Le lendemain je quittais Hélène de bonne heure car il fallait que je sois très tôt chez le fournisseur pour faire les essais. Le cœur n’y était pas, je n’arrêtais pas de penser à Denise. Petit à petit, cela s’est incrusté en moi, je le sentais : j’avais envie de la revoir. J’essayais de me raisonner, « Elle au moins 25 ans de plus que toi », « Elle était naturelle, elle ne s’exhibait pas », « Elle avait peu être oublié de mettre sa culotte »… Mais non, j’avais le souvenir de cette main serrée dans la sienne, et de ces deux baisers sur le coin de sa bouche, car si le premier était peut être dû à une mauvaise synchronisation due au mouvement de nos têtes, le second ne laissait aucun doute ; elle avait oublié de tourner la tête pour rencontrer mes lèvres. Et Hélène, innocente, complice ? Je m’en posais des questions. La semaine suivante, je revins trois jours, et je passais deux nuits chez Hélène qui, soit dit en passant, (il y a prescription…) me fournissait des factures pour me faire rembourser ma chambre d’hôtel… En mai Hélène m’annonça qu’elle partait une semaine au mois de juin en Grèce avec une amie que je connaissais, mais avec laquelle il ne s’est jamais rien passé. C’est justement cette semaine-là où j’ai dû comme par hasard aller chez notre fournisseur pour finaliser le produit, notamment les formalités pour le dépôt du brevet. Un bon gueuleton en perspective ! C’est là que m’est revenue en tête l’invitation de Denise. Et si j’allais sonner à sa porte ? Dans le fond je ne risquais rien, j’avais ma chambre à l’hôtel, et puis comme je l’ai dit les femmes de cet âge, c’est pas mon truc, mais la curiosité aidant… Il était environ cinq heures lorsque je sonnai à l’interphone. — Oui ? — Je suis Henri, l’ami d’Hélène. Bzzzzz… La porte était déverrouillée. L’ascenseur. La porte en face était déjà ouverte, Denise m’invita à entrer, elle s’effaça et referma la porte derrière moi. — Oh, comme je suis contente… Tu as profité de ce qu’elle soit partie ? Ce jour-là, je la voyais différemment, pas de maquillage, pas de rouge à lèvres, elle paraissait nettement plus décrépite. Elle avait une robe de chambre rose, serrée à la taille, et j’ignorais ce qu’elle portait dessous. Sans autre préliminaire, et alors que j’attendais la bise à droite et pour la seconde on verrait, elle colla sa bouche sur la mienne. Surpris, je répondis, même si je n’arrivai pas à y croire : rouler un patin à une femme qui aurait pu largement être ma mère ! J’essayai de décoller ma bouche pour l’embrasser dans le cou, impossible ! Elle aspirait mes lèvres, poussait sa langue dans ma bouche, tenait ma tête à deux mains. Je réalisai que j’étais venu comme ça, sans fleurs, sans cadeau, les mains vides, mais cela ne la dérangea pas. — Viens ! Ce mot, je l’aurai à mes oreilles jusqu’à mon dernier souffle. Comment une femme de cet âge (j’ai su plus tard qu’elle avait alors 76 ans, oui 76 ans passés !) pouvait-elle encore faire preuve d’autant de désir. Le désir en effet se lisait dans ses yeux. Elle me prit une main et m’amena dans une chambre, la sienne je suppose, s’assit sur le bord du lit, me regarda : — Prends-moi, j’ai envie. Je suis vieille, mais j’ai envie de toi, depuis que je t’ai vu chez Hélène, je n’arrête pas de penser à toi… Viens. C’est elle qui défit sa ceinture, se leva pour laisser choir au sol sa robe de chambre ; elle portait dessous une chemise de nuit en coton, pas du tout le modèle sexy ; elle l’ôta également offrant ses seins, bien plus gros que je n’aurais imaginé, le téton déjà pointé, ce qui m’étonna pour une femme de cet âge. Ce jour-là elle n’était pas « sans culotte », mais portait une de ces culottes renforcées qui soutiennent le ventre, et pas facile à enlever, je m’en souviens encore. Si elle ne m’avait pas aidé, je crois que j’y serais encore ! Nue ! Elle était nue devant moi ! Assise sur le bord du lit, elle défaisait ma ceinture. J’avais enlevé ma cravate, et je quittai ma chemise quand je m’inquiétai des préservatifs : ils étaient dans ma chambre d’hôtel, planqués sous le matelas. Pas question de rapport non protégé ! Je sentais la nymphomane qui court, même à son âge, après une queue pour se faire ramoner, alors peut être que ce serait « Niet », mais de toute façon j’avais encore deux nuits à passer ici. À peine eut-elle baissé mon pantalon, que j’avais sur les genoux, qu’elle prit ma queue en bouche sans se préoccuper de la laver. Au bout de quelques allers-retours, elle la laissa et en me regardant me dit : — Alors, c’est pas mieux qu’une bouche de jeune ? Hein, les vieilles, on suce aussi bien, même mieux, tu vas voir. Et elle recommença à pomper, mes mains appuyées sur ses épaules, je n’arrivais pas à les descendre sur ses seins que je voulais mettre au creux de mes mains. Partie comme elle l’était, j’étais prêt à me laisser aller dans sa bouche, après tout elle avait l’air de faire ce qu’il faut pour ça… Elle s’arrêta d’un seul coup, me regarda, et s’allongeant sur son lit, elle prononça son mot favori : — Viens ! La prendre alors, non car je n’avais pas de préservatif, lui en demander, je ne m’y voyais pas, j’aurais préféré qu’elle me « finisse » avec sa bouche, comme ça j’étais tranquille, mais non, elle me désirait au plus profond d’elle-même. J’hésitai un moment qui me parut une éternité, cette femme au corps encore bien conservé, juste un peu de ventre maintenant qu’elle avait ôté sa gaine de maintien, des cuisses lisses, tout juste pouvait-on voir quelques rides à hauteur de l’aine et au-dessus des genoux. Elle fit glisser ses mains sur son ventre, allongea ses doigts le long de son sexe encore fermé et l’ouvrit. — Embrasse-moi ! J’avais compris, mais comme sucer une vielle, cela ne me tentait pas, elle insista, écartant davantage son sexe, remontant sur le lit et soulevant ses jambes ; elle était encore souple ! Je tentai de glisser une main vers son intimité, mais elle arrêta le mouvement de mon bras — Embrasse-le, j’ai envie, viens, viens ! Je dus alors me résoudre à me pencher, et à lui faire un baiser sur le ventre, et je commençai à descendre, donnant de petits coups de langue de plus en plus près de son sexe. — Oui, continue comme ça ! Continue ! Finalement j’entrai, si je puis dire, dans sa zone de poils et un peu plus bas je pus, en me reculant, en admirer son sexe. Je n’avais jamais vu un sexe de vieille femme d’aussi près, et qui plus est, ouvert à ma vue. Sous son clitoris déjà bien sorti du capuchon, lequel était très fripé, je fus surpris de la dimension de son méat ; je pense que j’aurais pu y mettre un doigt, en effet l’orifice devait mesurer près de un centimètre, et je n’avais qu’une peur c’est qu’au toucher… je prenne une giclée d’urine, ça m’était arrivé avec une femme beaucoup plus jeune, quelques années auparavant… Finalement sur son insistance, je trouvai son petit bouton sous ma langue, tout en me méfiant du petit orifice plus bas. Ce fut une explosion de… plaisir pour elle. J’en avais même peur qu’elle fasse une attaque, compte tenu de son âge… Son sexe laissait suinter un peu de mouille, mais je m’attardai surtout sur son clitoris, le faisant rouler entre mes lèvres, tout en le frictionnant, avec la pointe de ma langue. Autant qu’il m’en souvienne, elle a dû avoir un ou deux orgasmes à ce moment-là. J’ai toujours en mémoire son goût, son odeur. Que ne sait-on les mettre en mémoire comme les sons ou les images ! Sur ses insistances, et emporté par ma fougue, j’oubliai bien vite ma réticence à la protection, et je la pénétrai. Déçu ! Son sexe était flasque, mou, je ne sais toujours pas si je la pénétrai réellement ou si j’enfonçai la partie externe de la vulve à l’intérieur. De plus, le peu de lubrification m’a incité à me retirer rapidement, et à revenir à mes jeux de langue. J’ai essayé, en vain je dois le dire, de me positionner en soixante-neuf, lui offrant mon sexe, moi allongé à ses côtés, non ! Elle m’offrait son sexe de face, elle me le fit clairement comprendre, de manière pas très diplomatique. J’ai même cru un instant qu’elle allait me mettre dehors ! Finalement elle comprit ce que je voulais, mais elle ne mouillait vraiment pas assez. Comme je n’avais apporté de préservatif, je proposai de rester aux jeux de langue ; bien m’en a pris. Pour continuer, je m’étais allongé près d’elle, et nos échangions de profonds baisers. Elle s’assit sur le lit, me caressa le corps, et je compris où elle voulait en venir, je n’avais qu’à me laisser faire. Elle se pencha sur ma verge tendue et commença une fellation d’experte. Elle s’arrêta, pour me prévenir qu’elle n’accepterait pas que je lui décharge dans la bouche, elle fut très claire là-dessus. Je me laissais aller, et lorsque je sentis que j’allais exploser je le lui criais, elle lâcha ma queue pour la finir en me branlant. Ce fut un plaisir de branlette alors que, de par sa position, je ne pus que lui caresser les fesses, à peine la fente. Elle se leva pour aller se laver les mains, me laissant seul sur son lit. J’étais à ce moment-là un peu déçu, et même frustré. Elle revint avec une serviette qu’elle posa sur mon corps puis, s’asseyant à côté de moi, elle m’embrassa longuement. Je ne sais en quels termes elle me le dit, mais j’ai compris que je ne passerai pas la nuit avec elle. Je dus me rhabiller et rejoindre mon hôtel. En partant, je tentai, en l’embrassant, un « à demain », et à mon grand étonnement, car je croyais cette « expérience » sans lendemain, elle répondit : — Comme aujourd’hui, cinq heures. Je la quittai avec une drôle de sensation, mais devant revenir le lendemain, je prendrai mes précautions, à avoir des préservatifs
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Lecossais |
Date du message : mars 4, 2018 06:58 |
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***Les RENCONTRES SEXUELLES QUI NE SE PRODUISENT PAS ??*** Confidences cette semaine entre mon amie Frigide (Gabrielle) et moi Bruce Lecossais 5---De : Bruce Envoyé : 4 mars 2018 06:36 À : Gabrielle Objet : RE: Roman avec rebondissements... Terminé... Gabrielle-Chérie, dans vos échanges sur le net ou au téléphone, qu'est -ce que tu lui as dit que tu lui ferais sur son ticorps ? et Lui, qu'est-ce qu'il t'a dit qu'il te ferait sur ton ticorps ? Aviez-vous le projet de vous embrasser avec la langue ? Raconte-moi ... 4---Objet : Re: Roman avec rebondissements... Terminé... Gabrielle (Frigide) '''Hi! Hi! Tu me fais rire! Tu crois que je ne savais pas tout ça! Pour ça que je n'ai pas souligné sa première absence, mais une deuxième, ne pas du tout se présenter sans appeler alors qu' il était si willing la veille? Tout simplement étrange. Même quand je suis partie à 14 h 30 heures avec mon cellulaire, je savais qu' en sonnant à ma porte je lui répondrais avec mon cellulaire... Personne! Je n' étais pas fâchée du tout! Je le trouvais simplement étrange d' être venu me rechercher alors que je respectais un scrupuleux silence... pour encore prendre panique et ne plus rien dire depuis la veille du RV. Je te disais où en était la relation que tu avais eu la générosité de créer. Mais, ce qui est drôle , c' est que, en même temps, un vieux de mon âge me revenait après un certain silence ainsi qu' un nouveau avec qui je vais faire des choses très bientôt! Il ne m inspire pas fort le vieux de 71 ans, mais faute d' un jeune bandé plein dur... En temps de disette, on se met ce qu' on peut sous la dent...hihi! 3---Lecossais :'''Chérie, les rencontres qui ne se produisent pas, c'en est plein. Pourquoi ? Plusieurs peurs arrivent. Le gars, il va baiser avec sa ''première vieille'' et il a peur de ne pas bander. Les gars, après 55 ans sont tous bisexuels et aiment bien des plans à trois avec un autre homme. Donc H+H+F; ainsi s'il la dame ne les fait pas bander, l'autre sait comment faire. Souvent, la dame (comme Toi) ATTEND qu'on lui fasse des choses alors que les hommes FONT. Alors ton Paul a peur de ne pas bander et toi, peur de ne pas être assez excitante...même si tu t'es achetée une robe sexée. Ceci étant dit, pourquoi les rencontres ne se font pas ? A cause de **l'ORGUEIL**. Qui a raison, qui a tort ? '''Je ne m'abaisserai pas à ça; il ne m'a pas prévenue; il a dit 10h. et il est midi...etc...'''' Pour que les rencontres se fassent, il faut que la dame soit OUVERTE, DISPONIBLE et qu'elle dise souvent ''C'EST PAS GRAVE--t'es en retard, c'est pas grave, viens on va s'amuser, regarde comme mes seins sont beaux, tu veux toucher; montre- moi ta queue ''' etc... NE pas avoir de gêne, être COOL, disponible et ouverte, c'est quand même LUI qui va faire une heure et trente de route s'il n'y a pas de bouchons, pour te voir, TOI...et même s'il te dit pour le troisième rendez-vous manqué, que la sœur de sa mère est encore morte. 2---(Frigide) Gabrielle :'''Oui, quand ton envoi est trop osé pour mon âme pure, élevée chez les Ursulines, je flushe le courriel... Ton " ami' Paul. Bizarre! D'abord, j 'AVOUE que j avais pris panique et ANNULÉ une première rencontre. Dix jours sans de nouvelles de lui et moi non plus je ne lui écrivais plus. Puis, il m' écrit et il me propose alors une nouvelle fois (gentil Paul hein?) de venir à Laval. J'accepte. Je l' attends durant toute la journée, aucune nouvelle. Il m' écrit plus tard ce que j ai bien pensé un mensonge évidemment, il disait que la soeur de sa mère était décédée. Moi, je me disais qu' il avait rencontré une autre " poulette" en chemin et il ne s' était pas rendu ici. Sans aucun appel, sans excuse... Mais, je lui avais déjà fait faux bond ( quoique en annulant clairement 48 heures d' avance), je lui ai pardonné de m' avoir fait faux bond à son tour. Il reste encore dix jours sans donner de nouvelles (et TOI). Cette semaine, il m' écrit, enflammé, il s 'annonce pour venir jeudi. Il insiste. On s' écrit des folies, des photos, la folie monte au paroxysme, il dit qu' il partirait de chez lui vers 9 heures... Il me demande le plus court trajet... Il m'avait demandé de l' appeler mercredi, on parle un bout de temps, interurbain... Il me demande une certaine tenue pour le recevoir. J y consens! Et, je l' attends..l'attends...l' attends jusqu'à 14 h 30. Et, je suis partie faire mes courses... Il n'a jamais donné signe de vie depuis mercredi soir. Évidemment que monsieur Paul ne sera jamais dans ma vie. Sûrement une autre tante décédée! Hi! Hi! Je le trouve bizarre de ne pas s' être excusé, de pas avoir inventé une explication. N' importe quoi! J'avais fait semblant de le croire pour le décès de sa tante sans lui reprocher de ne pas m avoir avertie par téléphone ou courriel et m avoir laissé l'attendre la première fois. Mais, un deuxième RV raté! Fini évidemment! Voilà! Il a été un fantasme! Il n' existe plus. Parfait! Un autre homme que je gardais en réserve viendra demain. Un professeur. Ma mère disait :" Un de perdu, dix de trouvés!" Je n' en veux pas dix, mais un homme qui a une prostate me rappellerait de bons vieux souvenirs! Pas drôle d' être une vieille femme. Même mon ex n'a plus de prostate depuis longtemps! Et mon dernier mari est décédé. Pour ça que j' étais contente d' en avoir un jeune avec prostate, ce qui est trop rare passé 70 ans... Voilà le roman de Monsieur Paul et Madame Gabrielle terminé sans nous être rencontrés. 1-- Lecossais : '''hiiiiii....mes envois sont tellement osés que j'ai pensé que tu en avais pour quelques jours à souffler...! Sur amicalien, j'ai envoyé ce matin, justement un texte érotique qui raconte la baise d'un gars de 56 ans avec une ''vieille'' de 76 ans. Évidemment que ce n'est pas Toi...mais ça y ressemble
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Lecossais |
Date du message : mars 5, 2018 11:17 |
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*** SUITE des confidences sur le sexe, sur Hotmail, entre une dame de 76 ans (Laval) et un Homme de 74 ans (Drummondville) ***Remarque : tu auras compris qu'il faut lire les messages en commençant par la fin,par le no.1 9---De : Frigide Envoyé : 4 mars 2018 11:59 À : Lecossais Objet : Re: Bouchées triples... Je me reposais depuis trois ans! Plutôt bien le repos...mais là... mes sens avaient besoins d' être assouvis... Oui, super la masturbation, surtout que ces vieux avaient connu la temps du péché durant leur adolescence... Malheureusement, beaucoup d' hommes n ont plus de prostate, un 6 pieds 6 sans prostate avec une saucisse à *****tail presque invisible, frustrant pour une femme en manque... Et, certaines femmes , comme mon amie Rozanne ont séché à 55 ans... Mais, des pécheurs comme toi et moi, tous les plaisirs possibles sont bienvenus ... Mais, moi, pas de plaisir avec une femme et je crains les bisexuelles. 8-- Le 4 mars 2018 à 09:54, Lecossais a écrit : '''Je pense qu'on peut jouir toute notre vie... J'ai lu quelques histoires VRAIES de couples qui se rencontrent dans certaines résidences à plus de 90 ans. Et c'est comme ça que les vieilles se gardent de bonne humeur entre les cuisses. Ils se rencontrent à 2-3 ou 4 et se masturbent ensemble. N'importe quelle sexologue conseille ça : les masturbations réciproques tout en embrassant. Ça passe par la bouche, la langue et les cuisses s'ouvrent... Ne te repose jamais, c'est la mort ! 7---De :gabrielle Envoyé : 4 mars 2018 09:09 À : Lecossais Objet : Bouchées triples... Hi! Hi! Je vais jouir en triple durant trois mois... Ensuite me reposer trois ans encore... 6---Lecossais : '''c'est long , trois mois et tu risques qu'après 3 mois, tu sois obligée de recommencer à chercher... ***Conseil: garde-les TOUS...sous la main, dans tes pensées; consacre 2h. par jour au sexe, en texte, en paroles...c'est ça qui garde jeune... Plusieurs queues disponibles valent bien mieux qu'une à la fois... J'ai fait un rêve érotique cette nuit et tu y es pour quelque chose. J'étais bandé et on était 4 : 2F+2H...et on s'embrassait tous....avec les langues... Bonne journée 5--- Le 4 mars 2018 à 08:06, Lecossais a écrit : '''quand tu commences à m'écrire, les cuisses ouvertes, tu es bien disposée Gabrielle-Chérie...et les hommes sont des hommes avec leur queue pas loin du cerveau, profite d'eux, ça te garde ''huilée''...et passe à l'action au moins une fois par semaine... Ton objectif : tâter une queue au moins une fois par semaine...et si Paul te recontacte, dis-lui :''Viens quand tu voudras...Mon vagin t'attend...Bonne journée 4---De : Gabrielle Envoyé : 4 mars 2018 07:47 À : Bruce Objet : Re: Si tu savais... Tu es mon prof pour les jouissances... Ah! Tu restes un grand éducateur dans l' âme! 3--- Le 4 mars 2018 à 07:16, Lecossais a écrit : '''oui absolument, là tu as une belle attitude; en permanence en état de bandaison ! C'est le but de la belle vie, avoir plusieurs hommes, un par jour ,pourquoi pas, ils sont en attente et pas jaloux...Fais-toi un agenda... et si ils se rencontrent, hé bien, la jouissance totale avec 2 hommes et Toi au milieu...ou trois... te rendre un peu plus perverse, tu en as besoin...mais j'espère que ça ne reste pas que par écrit...? ... tout ça t'excite, ce qui est formidable, continue à provoquer... plusieurs hommes, parle-leur ''salée'', ne mâche pas tes mots, je sais que tu en es capable... et jouis d'eux, avec eux... Bonne journée 2---De : Frigide(Gabrielle) Envoyé : 4 mars 2018 06:51 À : Lecossais Objet : Si tu savais... Seigneur! Seigneur! Seigneur! On avait des fantasmes vraiment hots, pervers, dévergondés, sans limites...ou presque... Un grand roman érotique qui a eu une fin décevante! J' ai jeté toute notre correspondance. Si tu avais lu ça! Le roman le plus cochon que tu n'as jamais lu... Mais, je ne lui demandais aucune prouesse! Enfin, je me suis bien amusée ... sans concret... à part mes mains... Je me sers de cette perversité avec un autre plus brave maintenant. Sans blague! Il n'est pas au courant qu' il profite de mon déboire! Et, je te dis, j' en ai deux autres en attente... Ils ne savent pas qu' ils sont en attente. Je joue à la mijaurée ( rare une vieille mijaurée)... Je les garde bandés en attendant... J'ai le goût de me faire un agenda Jean le lundi...Guy le mercredi, Bob le vendredi... J' ai du temps perdu à reprendre... Et, la mécanique doit rester huilée... 1---Lecossais : '''Gabrielle-Chérie, dans vos échanges sur le net ou au téléphone, qu'est -ce que tu lui as dit que tu lui ferais sur son ticorps ? et Lui, qu'est-ce qu'il t'a dit qu'il te ferait sur ton ticorps ? Aviez-vous le projet de vous embrasser avec la langue ?
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Lecossais |
Date du message : mars 6, 2018 13:35 |
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***Les SCORPIONS sont les meilleurs en matière de SEXE et d'érotisme passionné... Et voici pourquoi ! Par Nathan Weber On le sait, les Scorpions sont les plus fougueux et les plus ardents des signes du Zodiaque... Mais comment gérer sa sexualité avec un Scorpion, et "dompter l'animal" ? Le signe du Scorpion est le symbole par excellence de la puissance sexuelle. Leur réputation n'est plus à faire, et pourtant ils sont parfois incompris. Voici le profil sexuel des scorpions, et ce qui fait d'eux les maîtres incontestés de l'érotisme ! D’abord, le Scorpion est avant tout un émotionnel, un instinctif de nature. Il est dominé par la passion, par ses pulsions et ses désirs sexuels — et pour les satisfaire, il est prêt à tout. Lorsque les éléments sont en leur faveur, les Scorpions peuvent développer un dynamisme inégalable et faire preuve ‘une libido exceptionnelle ! Un Scorpion mâle est un véritable volcan en éruption… Quant aux Scorpionnes, mieux vaut ne pas les mettre au défi, en matière d’amour comme dans la vie de tous les jours d’ailleurs : si vous les cherchez, vous allez les trouver ! Et elles sont capables de laisser épuisé et pantelant sur le lit le plus fougueux des étalons… Homme comme femme, le Scorpion aime les rapports de force, c’est ainsi. Au lit, il cherche souvent à dominer ou à être dominé, suivant son caractère ou tout simplement l’état d’esprit dans lequel il est. Attention, néanmoins : les Scorpions sont facilement complexés, et malgré leur caractère puissant et ardent, ils ont aussi besoin d’un partenaire qui les rassure… notamment au niveau de leur amour pour eux, de leur sex-appeal et du désir sexuel du partenaire. Ils ont besoin d’une personne qui les apaise, qui les pousse vers le haut, bref, d’un partenaire qui leur donne des ailes ! Le sexe et l’érotisme sont, pour le Scorpion, quelque chose d’indispensable et d’essentiel en matière d’amour. Impossible pour lui d’envisager une relation durable sans une véritable passion physique ! Intelligents, curieux et surtout très sensuels, les scorpions sont parmi les plus actifs et les plus énergiques en matière de sexe. En amour, ils n’hésitent pas à prendre l’offensive et, avec leur appétit sexuel terrible, ils sont capables d’assouvir les besoins les plus ardents. En matière d’érotisme, l’homme Scorpion ils recherchent une jolie nymphe au sang bouillonnant capable d’atteindre le comble de la jouissance. La femme Scorpion, pour sa part, a besoin d’un homme fort qui la fasse vibrer au plus profond de son être, d’une étreinte ou la tendresse se mêle à la lutte physique au corps à corps… Et pour ce faire, elle n’a pas peur d’y laisser quelques plumes ! Possédant une vitalité et une endurance exceptionnelle, les Scorpions savent se montrer exaltants, ils sont un tourbillon de sensations fortes et sublimes. Directeurs de scène sous la couette, les Scorpions disposent d’une passion débordante et ardente figurant parmi les plus faciles à éveiller. Avec eux, plus besoin d’aphrodisiaques, de viagra, de stimulateurs spéciaux ni d’excitants : le flambeau est toujours allumé ! Bref, entre deux draps, d’autres mâles peuvent parvenir à les égaler mais difficilement à les surpasser ! Le partenaire idéal du Scorpion est avant tout une personne qui lui ressemble, qui fait preuve d’une forte présence. Cependant, il sait exactement ce qu’il veut et ce qu’il recherche, il saura donc trouver tôt ou tard chaussure à son pied. Néanmoins, au niveau des autres signes, on privilégiera le Poisson, roi de la sensualité et de la douceur, mais aussi le Bélier ou encore le Capricorne. P.S. de Lecossais : ''aigle19622'' est ''scorpion''; Frigide(Gabrielle) est ''cancer'' et Bruce (Lecossais) est ''poisson''. Est-ce un bon trio ??
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Lecossais |
Date du message : mars 7, 2018 08:56 |
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*** Confidences intimes (pour les +de 65 ans) entre Frigide et Lecossais *** 6---De : Gabrielle Envoyé : 5 mars 2018 17:19 À : Bruce Objet : Re: et autres trucs...RE: La même... Jamais je ne fourrerai un homme! Qu' il se passe de ce plaisir ou qu' il aille en voir une autre. Oui, pour le doigt dans l' anus, parfait, c' est une coutume que j' avais dans mes bonnes années. Moi, je joue à la sainte Nitouche en public, mais j' en déshabille régulièrement à la dérobée, je les imagine en action, leur pénis... 5---Lecossais : ''C'est facile pour toi de fixer un peu plus intensément les sexes des hommes que tu croises. Celui qui sera intéressé sera celui qui te parlera...mais ces temps-ci, les hommes sont plus timides pour faire les premiers regards, alors tu devras y aller carrément... Quand tu en auras toucher UNE, raconte-moi ma Belle qui développe la plus grande qualité chez une femme : SALOPE qui suce et qui masturbe. Bravo...Tu es sur mes traces... 'une queue qui dégouline' ?? et si elle ne durcit pas, mets-lui un doigt à l'anus...tu verras qu'il va durcir...et tire-lui la poche, la serrer fort... Les hommes aiment être un peu malmené, des femmes à poignes sur leur sexe... A ton âge, souvent chez les vieux couples, la femme porte un gode-ceinture et fourre son chum, le pénètre, les hommes adorent... Bonne journée 4---De : Gabrielle Envoyé : 5 mars 2018 12:26 À : Bruce Objet : Re: La même... C'est déjà commencé! Mais, mon problème est toujours soit la disette ou bien deux qui se dévouent...Je suis obligée de bien tenir mon agenda.... Moi, je suce une queue qui ne dégouline pas! Parfois, simplement la sucer me donne un orgasme... La nature est bien faite... Mais, flatter, oui, un vrai plaisir, crosser aussi, et la rentrer dans ma caverne jouisseuse. Yum! Là, j' en ai une à ma disposition assez jeune pour durcir et tenir assez longtemps! Le Bonheur! Mes " amants" ont toujours des petits noms: Marc, Paul, Jacques, Jean, Louis, Charles, Gilles, Claude! Je crains toujours hurler un autre nom au moment où je perds la raison... Ton Paul m'avait bien préparée et c' est Jean et Guy qui en profitent... 3--- Bruce ''Non je ne suce pas la queue , je flatte avec mes mains jusqu'à l'éjaculation. Pourquoi tu ne fourres pas plus souvent toi, avec condon bien sûr ? N'importe qui de plus jeunes, dans ta marche ? 2---De :Gabrielle Envoyé : 5 mars 2018 10:02 À : Bruce Objet : La même... J avais déjà remarqué que tu avais une obsession sexuelle... Tu as sans doute l' Ascendant et peut- être Mars en Scorpion. Tu as effectivement une vie sexuelle, au moins en imagination, très active. Quand je me compare à mes amies, je sais que le sexe a beaucoup plus d' importance dans ma vie que pour elles. Moi, j'aime le pénis! Le regarder, le sucer, le crosser et surtout le sentir glisser dans mon vagin bien huilée qui en veut toujours. Je n' ai jamais compris qu' une femme avoue ne pas jouir, pour moi, une queue m'a toujours fait jouir. Et mon Scorpion de mari en avait une superbe. Ce fut pour moi difficile d' y renoncer! Quand je pense aux petites niaiseuses que j ai trop souvent rencontrées, il me fallait fantasmer sur du plus consistant alors... Ta grande expérience t'a appris que la queue n est pas proportionnelle au corps très souvent. Mon mari, de ta taille en avait une très respectable, un directeur d' école de plus de six pieds, grand fourreur, il décevait toutes mes amies avec sa saucisse à coc-ktail. Il me l'a déjà offerte, j ai dit " Non merci". Le service domestique avec mon mari était plus consistant... Le petit Bernard, de ma grandeur, 150 livres à peine, il avait une superbe queue. Délicieuse partout! Voilà, tu en connais autant que moi sur la panoplie des queues. ( Mon sujet préféré, surtout quand je l' ai à ma portée...) Mais, tu ne connaîtras jamais le bonheur de t' en faire fourrer une dans le vagin qui caresse le point G Un délice! En suces- tu parfois ou bien tu les flattes seulement? Le 5 mars 2018 à 09:35, bruce a écrit: 1--- ''j'imagine que j'ai beaucoup de 'scorpion' ; je ne pense qu'au sexe ; qu'à regarder les fesses des femmes, me retourner, voir leur entre-cuisses ... et regarder leur seins. Je les cruise tous les jours, je leur fais des compliments et espère une invitation à me faire flatter la queue mais je préfère donner du plaisir... J'adore embrasser ... Je suis un homme à femmes et je rêve aussi d'elles la nuit. Sur le net, je regarde comment elle se masturbe, leur face dans la jouissance... J'aime les voir penchée pour qu'elles me montrent qu'elles ne portent pas de culotte. Oui Mimi en profite mais si j'ai l'occasion, je vais voir ailleurs, partout. D'autres, c'est la golf ou autres, moi c'est le sexe. Bonne journée Bruce oxox *Ce message a été édité le Mar 7, 2018 9:00 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : mars 8, 2018 09:29 |
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*** LES POISSONS *** La sexualité de l'homme Poisson est extrêmement riche et variée. Les manifestions de ses désirs constituent une symphonie dont les mélodies se succèdent, passant d’un rythme à un autre, de façon harmonieuse mais totalement imprévisible. Mais l’homme Poisson n'est pas pour autant un homme à femmes, loin de là. Il aime avoir une amoureuse régulière, et a beaucoup d’autres choses dans la tête que des idées légères. Mais peu importe, c'est la façon d'exprimer ses envies qui compte, non leur fréquence. Et là, le natif se montre virtuose. Il est beaucoup plus soucieux du plaisir de ses partenaires que de sa propre satisfaction. Plein de tendresse et d'attentions pour elles, il ne néglige aucun détail pour les faire vibrer. En un mot, il pense davantage à donner qu'à recevoir. L'homme Poisson a un rapport très particulier et très sensuel avec l'eau. L'élément aquatique constitue pour lui un moyen privilégié d'exprimer ses fantasmes et ses envies, il n'y résiste pas. P.S. de Lecossais-Poisson : '''Oui je suis en accord totalement avec cet écrit même si je ne crois pas à l'horoscope, ce texte, c'est MOI. Merci à Gabrielle qui me l'a envoyé. J'aurai bientôt 74 ans finis, donc dans ma 75ième année qui commence. J'adore la sexualité sous toutes ses formes, du désir à la jouissance; j'adore donner du plaisir, c'est le but de ma vie.
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Lecossais |
Date du message : mars 9, 2018 07:19 |
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*** PARLONS SEXE AVEC MON AMIE et CONFIDENTE Gabrielle *** 9---De : G Envoyé : 7 mars 2018 09:18 À : Bruce Objet : Aujourd' hui même! Hi! Hi! Tu es drôle! On va " consommer" à mon retour de chez mon coiffeur! Il va s' amener avec un bon vin qu' il dit! Ouiiiii! Je le VEUX! Vraiment désirable ce beau mâle! Ça va fourrer d'aplomb ici aujourd' hui! J'ai hâte qu' il me fasse hurler! 8---Le 7 mars 2018 à 09:14, Bruce a écrit : ''Que c'est agréable de lire les récits d'une femme formidable, en 'état-de-désir'. Hé oui, la sexualité n'a pas d'âges et n'hésitez pas à vous montrer en public, à vous donner des tibecs... Moi , sur la rue, je flatte souvent les fesses de Mimi...mais avec le temps, vous deviendrez familiers...mais ne tardez pas, sautez les étapes, on vieillit....et une année passer 75 ans et une année qui en vaut 5. hiiiiiiiiiii ....t'es vraiment drôle Gabrielle-Chérie, 'dans le péchés' et je vous souhaite beaucoup de péchés...surtout les mortels, ceux qui donnent les orgasmes...F-U-C-K les curés... Bonne journée 7---De : G Envoyé : 7 mars 2018 09:06 À : Bruce Objet : Tellement hâte C'est demain qu' on se lance dans le péché! Nous avons d autres RV aujourd' hui et le soir, je tombe de sommeil très tôt! C' est le matin en fait que je peux lui donner la claque! Là, je lave mon lit... Tous mes draps! On va pécher dans des draps propres! J'ai tellement hâte! Je l' ai désiré en le voyant! Beau! Pas grand! Un visage angélique. De belles lèvres, une peau douce! De superbes beaux yeux bleus d'ange. Mais, tu sais par expérience ,c' est comme chez les femmes, ces airs angéliques cachent les plus pervers! Toi, tu as l'allure d' un ange à te voir alors que tu es pervers à l' os! Il habite tout juste en face de chez moi de l'autre côte de la rivière. Je crois que je vais apporter un kayak du chalet pour traverser le voir... En fait, il est à peine à 5 minutes en voiture... Mon beau ex amant potentiel qui m'a fait me mouiller durant des semaines, ton Paul L, pas eu de ses nouvelles, s' est envolé pour une autre pu-te de service... En fait, je sais maintenant que je serai bien servie, comblée avec mon voisin d' en face, en moyenne trois fois par semaine selon ses " promesses" ! J'espère qu' il ne me fera pas faux bond comme ton Paul. Au moins, avec cet homme de Ahuntsic, on s'est déjà collés, serrés fort... Il en a une bonne grosse prête à servir! 6--- Lecossais : ''ah ben là, tu sembles vraiment excitée !! Bravo, c'est ça l'important et tu as les atouts pour t'amuser avec ton ticorps et le sien... A quand votre rendez-vous vu qu'il reste pas loin...?? J'adore tes remarques, tes confidences...mets-en...Je t'aime et te souhaite beaucoup de plaisir...XX Bonne journée 5---De : G Envoyé : 7 mars 2018 08:20 À : Bruce Objet : Le Bonheur! Pas vu sa queue, mais je m' en suis servie avec mon substitut(gode) afin de me détendre pour m'endormir. Il m'a vraiment séduite! Super! Je le désire! J' ai très hâte d' actualiser mes fantasmes. Je n'ai pas vu sa queue, mais je l' imagine! De belles lèvres! Une belle peau! Un sourire à faire dam-ner une sainte...même une sainte nitouche comme moi. J' espère faire des folies durant plusieurs années avec lui... J'ai bien hâte qu' il caresse mes gros lolos. Qu' il les tripote! Il a quatre ans plus jeune que moi, né en 1946. Et lui, il a toute sa prostate et fonctionnelle. Pas comme l' avocat de 6 pieds 4 , prostate complètement enlevée et une saucisse à co-cktail invisible entre les jambes. Que faire avec un tel handicapé? Tellement frustrée! Il me l'avait pas dit! Quand j ai vu la cicatrice et RIEN plus bas! Ça traumatise une femme en manque! Des femmes comme deux de mes amies avouent ne pas aimer la pénétration, moi, un pénis qui la fourre d' aplomb, je l' apprécie fort, fort, fort. HoHoHo AhAhAh OhOhOh! ". Continue! Continue! Fourre la fort" que je hurle! J 'ai bien hâte... 4--- Le 7 mars 2018 à 08:00, Bruce a écrit: Chérie, tu es 'une Madame', pas besoin d'en rajouter... mais ton côté frivole et coquin n'est pas piquer des vers. Bravo à vous deux...et on continue à tout se raconter... On reste amis même à quatre... Il a quel âge ? veuf ? etc...dis m'en un peu plus à part qu'il est fin... As-tu vu sa queue ? Ma porte est ouverte pour d'autres confidences....Bonne journée 3---De : G Envoyé : 6 mars 2018 17:23 À : Bruce Objet : Re: Enfin! Sur le site ELITE. Il m écrivait depuis plus d un mois. Je lui répondais qq mots... Poli, fin, mais ne semblait pas vraiment intéressé. Moi non plus. Il était étonné que je ne lui répondais que qq mots, mais moi, je ne prenais aucune initiative de lui écrire comme à toi. J étais assez indépendante, mais y goûter, c'mest l' adopter! Un MESIEU comme dirait ma mère. Vraiment classe! Trop bien pour moi. Je vais devoir me tenir comme une madame avec lui... 2---Le 6 mars 2018 à 17:02, Bruce a écrit : tu l'as trouvé comment ? sur quel site ? Bonne journée 1---De :Gabrielle Envoyé : 6 mars 2018 16:37 À : bruce Objet : Enfin! J'ai vraiment trouvé l' HOMME de ma vie pour les 25 prochaines années! Un homme comme je n' osais pas en rêver, pas grand, de ma grandeur, mais ...quel homme! Vraiment, vraiment comblée! Beau, fin et doué... Je remercie mon ange gardien, le bon Dieu et les astres de m' avoir envoyé cet homme. Et, il habite l' autre côté de la rivière vis à vis chez moi. Je te dis, le hasard me comble! Un ange envoyé du ciel...mais, pas un pur esprit heureusement. *Ce message a été édité le Mar 9, 2018 7:24 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : mars 11, 2018 05:59 |
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*** ELOGES DES HOMMES MARIÉS sur les SITES DE RENCONTRES...(avec la queue dure) *** En commençant pas la fin (no.1) bien sûr 5---De : Gabrielle (Frigide) Envoyé : 10 mars 2018 11:45 À : Lecossais Objet : Re: ma séance d'une heure.trente Mon chéri, le plaisir est une occupation à plein temps chez vous. Vous êtes des experts, vous devriez faire un film éducatif... Et moi qui avais jeûné trois ans, tout est comme neuf, toujours bien huilé et plus accueillante que jamais.. 4---Le 10 mars 2018 à 10:42, Bruce a écrit : '''Bon, Gabrielle, pour te mettre en appétit d'écrire, je commence par te décrire ma séance de caresses d'hier. J'ai présélectionné un film sur le net de 15 minutes, en ayant observé, par le passé , quand son clito durcit, c'est signe qu'Elle aime. J'ai préparé le lit avec serviettes étendues, son vibro, mon gode pour l'anus et les deux huiles : vagin et anus. 2 chaises côte-à-côte où l'ordi est dans la chambre. On est nus. Je me suis fait la barbe et mis mon sens-bon-drakar. Le film commence. Quand Elle voit la femme jouer avec la queue et la faire durcir, son clito durcit et ça ne prend pas plus de 4 minutes. On s'embrasse et je lui caresse les seins. Quand je me penche pour lui lécher le clito, elle en profite pour me sucer. Quand je suis dur, elle me masturbe carrément. Si elle étend ses jambes serrées, c'est signe qu'elle veut jouir du clito maintenant, et je lui procure un orgasme. On va sur le lit. Elle s'étend, moi à genoux à côté d'Elle. Elle me flatte la queue, l'anus, pendant que je l'embrasse. Je me penche pour lui lécher le clito en même temps que je lui mets mon doigt dans le vagin. 30 secondes, elle réclame ma queue à l'intérieur. Position ''missionnaire''.Une vingtaine de coups-de-reins lui procure un orgasme vaginal. Si je n'ai pas éjaculé, je vais me fourrer mon plug et continuer avec ma main pour me faire venir. De me voir l'a excitée encore, alors elle prend son vibro qu'elle promène sur son clito. Souvent j'éjacule sur ses seins juste en même temps qu'elle jouit. Détente de 30 minutes, côte-à-côte. Elle me tient la queue... et on sommeille en se disant comment c'était bon... Des variantes : éjaculation à l'intérieur, en levrette, le cul bien haut... ***Si tu veux bien me raconter à ton tour tes galipettes... Bonne journée Bruce oxox 3---De : Gabrielle Envoyé : 9 mars 2018 20:03 À : Bruce Objet : humeur féminine Bruce, Comme tu t' exprimes bien! Ah! La formation de prof. Sérieusement, ce que tu dis est vrai. Tu sais que je ne veux pas recommencer à faire les repas pour un homme, faire le ménage d' un grand logement ou d' une grande maison! Je ne veux pas quelqu' un chez moi qui perturbe mon horaire selon les jours: repas, petites obligations domestiques, marches , courses aux différents magasins et épiceries, piscine, lecture, télé, bavardage avec mes deux meilleures amies, avec ma fille avec mon fils ou mon petit- fils, je veux planifier mes jours selon mes humeurs quotidiennes. Oui, m' envoyer en l' air quelques fois par mois, des orgasmes avec une VRAIE QUEUE EN PEAU DOUCE, mais je tiens à ce que mon amant reste attaché à son épouse. Je veux jouir avec lui, oui, mais SANS RESPONSABILITÉS rattachées à mon plaisir. Par ailleurs, je n'ai pas besoin d' un homme pour me payer des voyages et des sorties, j' ai vendu ma maison il y a dix ans , placé cet argent et mon conjoint m'a laissé un petit magot en héritage. J' en ai suffisamment pour ne pas aller en CHSLD comme une soeur de 85 ans mon amie Rozanne, mais plutôt dans une bonne résidence assez luxueuse avec une infirmière comme la mère de mon amie Francine depuis quelques années, elle a 96 ans et elle est lucide et encore assez autonome pour monter l' escalier quand elle va chez sa fille aux quinze jours. Mais, elle avait été hospitalisée un mois il y a quelques années pour une fracture, d'où obligation d'aller en résidence avec infirmière, mais c' est au moins 3000$ par mois pour elle. Je vais avoir 76 ans. Un magot baisse vite. Je ne voudrais pas être un fardeau pour mes enfants et je ne voudrais pas être bousculée comme la soeur de Rozanne qui doit partager une chambre en CHSLD et toujours porter une couche même si elle n'est pas incontinente. Donc, jouir tant que je le pourrai avec cet homme marié qui habite près ( un homme bien), je continue ma vie déjà bien remplie le reste du temps sans servir personne. Je pensais, en marchant mon grand parc ce matin, que je m' étais dévouée en cohabitation de couple au moins 37 ans. J'ai assez donné... Merci pour ta belle lettre X X Gabrielle 2---Le 9 mars 2018 à 16:03, Bruce Lecossais a écrit : ''''Je pense que tu as le bon choix Gabrielle: tu voulais voir tes amis, tes enfants et petits, tu voulais continuer à faire ta petite routine; il te manquait une queue et pas n'importe quelle queue : une queue gentille, à la peau douce , avec une bonne tête en haut du cou; une QUEUE MARIÉE, donc pas de microbes et qui va dormir chez elle tous les soirs, qui n'est pas encombrante ni jalouse ni possessive; une queue pour toi qui te fait jouir et fantasmer entre les visites entre tes cuisses. L'idéal ! Si les femmes osaient écrire ça dans leur profil, quelle agréable vie elles auraient ! C'est ce que j'ai toujours pensé des femmes qui cherchent un homme : souvent (pas toi), elles fuient les hommes mariés... Je dis : Ce sont les meilleurs parce qu'ils ont déjà été choisis. Il devrait y avoir beaucoup plus de sites qui s'annoncent ''Pour hommes mariés'' ou femmes mariées ou célibataires cherchent ''mariés''. D'ailleurs mes annonces sur des sites disent que je suis marié...et c'est comme ça qu'on a commencé à échanger nous deux. Quelle Dame intelligente tu es !! Et je remarque que ton bonheur actuel déteint sur les autres hommes et tes approches , on dirait que tu ''pognes'' encore plus. Les jouissances en attirent d'autres. La vie est belle et pleine de bonnes surprises. 1---De : Gabrielle Envoyé : 9 mars 2018 10:10 À : Bruce Objet : marié et dur Je ne peux pas aller au resto avec mon chum. C est un professionnel assez connu dans la région... Et, ses trois filles mariées habitent assez près d' ici aussi... On fréquente les mêmes épiceries, les mêmes pharmacies, les mêmes restos, les mêmes parcs, un inconvénient, mais aussi UN AVANTAGE QU'IL PEUT PASSER PÉNÉTRER MON VAGIN SOUVENT... On ne pourra jamais s' afficher ensemble... Il est MARIÉ et je tiens autant que lui à ce qu' il le reste... Moi, dans ma chambre, on se donne du plaisir où j'en profite pleinement et j' avoue vraiment qu'il m'EMPLIT dans tous les sens du mot. Un bel homme doué de la tête aux pieds, vraiment. Je veux en tirer tout ce que je peux, ne pas le perdre... Ah! J' avais oublié comment un vrai pénis peut être bon. Et le sien? Le meilleur! Je me souhaite en profiter de nombreuses années... ***Ça donne de la vie à mes vieux jours et de belles joies à ma vie... J' ai vraiment eu deux nouvelles propositions depuis que j'abuse de lui... Incroyable! Je peux maintenant choisir... Et, quel choix! Il me comble! Et, l'avantage, il habite tout près... Mes planètes sont bonnes. Il peut aller au Costco et arrêter me gâter de sexe une heure en passant... Il peut VENIR au moins trois fois par semaine... dans tous les sens du mot... J'ai vraiment gagné le gros lot!
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Lecossais |
Date du message : mars 13, 2018 06:28 |
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*** EVEILLEZ VOS SENS *** Julie Pelletier sexologue, JDM, 10 mars 2018 18:12 Il est fascinant de savoir à quel point les sens stimulent la sexualité. Effectivement, c’est à travers et grâce à ceux-ci que le plaisir prend place. De très nombreuses personnes ne parviennent toutefois pas à vibrer suffisamment pour atteindre la satisfaction tant espérée. Résultat : frustration, lassitude, déception... Que diriez-vous d’explorer davantage vos sens ? Sauriez-vous que faire pour stimuler ceux-ci ? Voici quelques trucs... D’abord une question d’apprentissage Tout le monde s’entend pour dire que la sexualité est une affaire de sens, or très peu d’hommes et de femmes prennent le temps de les cultiver suffisamment pour parvenir à l’orgasme ! Ou... ils cherchent à les cultiver pour augmenter les performances. Mais performance et sensualité ne sont pas nécessairement deux concepts compatibles ! Savoir cueillir chaque instant et le savourer entièrement vous conduira plus certainement vers le plaisir ! Explorez la multiplicité de vos récepteurs sensoriels et vous tracerez un chemin vers le sexe tantrique... sans le savoir ! Pourquoi les sens sont-ils si difficiles à cultiver pour certaines personnes alors que pour d’autres cela semble aller de soi ? L’éducation, peut-être ? On ne peut pas remettre toute la responsabilité aux parents, bien entendu ! Mais mine de rien, ce bagage familial transmis se retrouve dans le regard porté sur la vie actuelle. Par exemple, un certain type d’éducation pourrait offrir d’infinies possibilités au niveau des connaissances ou de la soif de savoir, mais pourrait aussi également jeter dans l’obscurité le contact avec les sensations. Parfois, le parcours parental — jalonné de plaisirs et de joies diverses ou, au contraire, de peines et de tristesse — influence le vécu de l’individu en plein développement. Relations interpersonnelles La dépression, l’anxiété et les phobies sont autant de facteurs psychologiques pouvant empêcher le contact sain avec les sens. Or, l’état général de la personne et de ses relations avec son entourage nous donnent de bons indices sur sa capacité de jouir de ces sens. Jasmina (nom changé) une femme dans la soixantaine qui a fait parvenir son commentaire par courriel, disait : « Je viens d’une famille de cinq enfants et nous n’avions pas le droit de nous exprimer. Quand notre père arrivait de travailler, il fallait se tenir tranquille, ne pas parler fort, ne pas jouer et ne pas laisser traîner nos jeux. Les repas étaient des moments solennels et il était impensable que des discussions sur nos vies ou nos émotions puissent avoir lieu. Alors, comment veux-tu que je me sente maintenant quand ma fille parle et rigole à la table ? Tiraillée, c’est bien le mot. Je suis continuellement en train de lui dire de ne pas parler fort, de se dépêcher pour manger. Je veux la laisser être une enfant, mais je suis déchirée par cette éducation. » Si l’apprentissage a laissé des traces négatives, il est possible d’en prendre conscience et de graduellement changer ce comportement, à condition de bien le vouloir ! *** Meilleure sensualité, meilleure sexualité Apprendre à cultiver ses sens, c’est se donner la chance d’explorer les voies d’une sexualité plus enrichissante et plus vibrante. Avant que je vous donne des trucs pour parvenir à cultiver vos sens, il faut d’abord que vous vous y autorisiez ! Permettez-vous de le faire. Un lecteur a exprimé à quel point il n’était plus capable de vivre du plaisir sexuel depuis qu’il n’était plus avec son ex... jusqu’à ce qu’il réalise qu’il ne s’autorisait pas à faire le deuil de cette ancienne relation. ***Lâcher prise et apprendre à CUEILLIR LES BONS MOMENTS : un art qui se cultive ! Voici quelques trucs pour éveiller vos sens : 1. prenez le temps de vous arrêter cinq minutes par jour pour être, seulement être ; 2. observez les formes, les couleurs, les mouvements ; 3. respirez les odeurs, prêtez une attention particulière à celles-ci et tentez de les reconnaître ; 4. goûtez, savourez, délectez-vous de tout ce qui se retrouve dans votre bouche ; 5. écoutez ce qui se passe autour de vous, entendez ces murmures ; 6. ressentez, frissonnez, vibrez à la douceur du vent sur votre peau, à la tendresse d’un massage ; 7. bref, sachez cueillir chaque instant pour en faire un moment précieux et délectable... 8. et appliquez tout ça lors de vos prochains rapprochements sexuels...avec vous-même ou avec d'autres.
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