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  Famille : La sexualité n'a pas d'âges


Ce sujet fait partie de la famille La sexualité n'a pas d'âges. Cette famille est semi-privée. Vous pouvez lire le contenu de cette famille mais vous devez vous y inscrire pour échanger.



Auteur

Sujet : Opinions

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 10, 2016  09:51


L'amour et la sexualité vus par les séniors
Une étude auprès de 457 célibataires québécois âgés de plus de 55 ans afin de connaître leur
opinion au sujet de l'amour, de la vie de célibataire et de la sexualité. Les résultats apportent des
éléments de réponses inattendus qui nous permettent de mieux comprendre leurs attentes en ce
qui concerne les relations amoureuses.
49 % n’envisagent pas de relation amoureuse sans sexe
82 % ne veulent pas ou plus entendre parler de mariage
43 % considèrent qu’Internet est le meilleur moyen de faire des rencontres
25 % se disent prêts à utiliser un ***** (vibrateurs)
Ne leur parlez pas de mariage
Cette étude démontre que les seniors sont de grands romantiques ! En effet, près de 7
célibataires sur 10 affirment qu’un coup de foudre est encore possible après 60 ans, 97 %
expliquent même qu’ils désirent retomber amoureux.
Tomber amoureux, oui, mais le mariage non ! 80 % des sondés répondent qu’ils n’ont aucune
envie de se marier. Ce pourcentage augmente surtout parmi les personnes qui ont déjà été
mariées : 83 % d’entre elles ne considèrent pas du tout le mariage comme une option possible.
À la question « Après votre dernière séparation ou divorce, combien de temps vous a-t-il fallu
pour vous sentir prêt à faire de nouvelles rencontres ? », les seniors répondent
majoritairement « Plus d’un an » (59 %). Malgré tout, ils sont 87 % à affirmer ne pas avoir perdu
foi en l’amour suite à leur dernière séparation.
Être célibataire à 60 ans, ce n’est pas une chose facile.
« Qu’est-ce-qui est le plus difficile pour un ou une célibataire après 60 ans ?», 47 % répondent
que rencontrer des célibataires de son âge s’avère être la chose la plus compliquée. 20 %
évoquent le fait de ne pas se sentir en phase avec les personnes de leur âge et, enfin, 18 %
expliquent qu’il est difficile pour eux de réapprendre à vivre seul.
Malgré ces difficultés, les seniors apprécient certains aspects de la vie de célibataire. En effet, ils
sont 50 % à se trouver plus confiants et plus sereins, car ils savent mieux ce qu’ils souhaitent
pour leur relation amoureuse. 16 % aiment aussi le fait de pouvoir faire la rencontre de nouvelles
personnes.
La sexualité active des séniors
49 % des sondés affirment qu'une relation de couple sans sexe est inenvisageable. À la
question « Comment qualifieriez-vous la sexualité lorsque l’on avance en âge ? », 62 % la
décrivent comme « différente», expliquant que « l’âge a de bons comme de mauvais côtés » :
tandis que 30 % la définissent comme « meilleure : plus les années passent, mieux c’est ».
Nous avons par ailleurs cherché à en savoir un peu plus sur leur vision de la sexualité.
Notamment en leur demandant après combien de rendez-vous il était convenable pour eux
d’avoir une relation sexuelle avec leur partenaire. 70 % expliquent qu’ils n’ont aucune règle
stricte à ce sujet : premier ou troisième rendez-vous, tout dépend de la personne. 27 % d’entre
eux affirment attendre au moins 3 rendez-vous pour avoir une relation plus intime.
Le phénomène « 50 Nuances de Grey » était l’occasion de poser la question des *****s. En
sont-ils adeptes ? 25 % se déclarent plutôt ouverts et prêts à essayer un jour tandis que 23 %
affirment même en utiliser régulièrement.
« Longtemps, les sociétés occidentales ont associé la sexualité à la jeunesse et à la
reproduction. Depuis quelques temps, nous assistons à un bouleversement de ces anciennes
représentations. Ce changement s’explique notamment par le phénomène de libéralisation
sexuelle que connaissent nos sociétés modernes et qui s’applique aussi à la vie sexuelle des
seniors. Celle-ci a toujours existé, et est dorénavant moins taboue. C’est pourquoi ils n’hésitent
plus à s’exprimer librement sur le sujet.» explique Salama Marine, psychologue ayant travaillé
sur l’étude.
74 % des personnes interrogées pensent qu’il est plus difficile pour les séniors de trouver
l’amour sur internet. Selon eux, le plus difficile est de faire confiance à la personne avec qui ils
échangent (69 %) et de discuter avec une personne qu’ils n’ont jamais vue (18 %).
Et pourtant Internet reste le meilleur moyen de faire des rencontres pour 43 % des séniors
interrogés. Plus jeunes, auraient-ils souhaité avoir l’aide d’un site de rencontre pour faire de
nouvelles connaissances ? Pour une large majorité, ils regrettent le temps où l’on pouvait faire
des rencontres sans Internet, ni ordinateur (82 %).
3 conseils pour les séniors qui cherchent l’amour :
1. Prenez votre temps
Après des années de célibat ou avec le même partenaire, il n'est pas évident de se lancer et
séduire à nouveau. C'est pourquoi il est nécessaire de faire un léger travail sur soi, en vous
posant les bonnes questions. Questions qui vont permettront d'être au clair avec vous-même
concernant votre recherche de l'amour.
- Quelle type de relation recherchez-vous ? Une relation sérieuse ? Une relation sans réel
engagement ? Un ou une ami pour commencer ?
- Quel type de personne vous souhaitez rencontrer ?
- Quelles sont les valeurs êt qualités auxquelles vous tenez le plus ? Celles pour lesquelles vous
êtes prêt à faire des concessions ?
- Quelles sont ces petites habitudes que vous ne supportez plus ?
2. Concentrez-vous sur le futur et non sur le passé
Si vous êtes encore affecté par votre précédente histoire, il est alors préférable de ne pas se
lancer dans la recherche d'un ou d'une partenaire. Attendez d'être véritablement prêt et d'avoir
suffisamment de confiance en vous pour vous lancer. Prenez le temps d'apprécier votre vie de
célibataire pleinement, si vous n'aimez pas vous retrouvez seul avec vous-même, comment
pensez-vous qu'une personne pourra se sentir à l'aise avec vous ? Il est donc important de se
sentir à l'aise avec soi-même avant de rechercher un partenaire. Et surtout focalisez-vous vers
l'avenir, personne n'aime entendre parler d'un ex lors du premier rendez-vous.
3. Ne vous découragez pas
Après une longue relation, il peut être difficile de se retrouver célibataire et de devoir séduire à
nouveau. Il est important de savoir qu'il est très rare de pouvoir rencontrer la bonne personne
dès le premier rendez-vous, et c'est tant mieux. Avec deux ou trois différents rendez-vous, vous
pouvez d'une part amélirer votre jeu de séduction et aussi savoir encore plus ce que vous
souhaitez pour votre future relation.

P.S. de Lecossais : Certains renseignements ont été pris sur le site ''Singles-Seniors''. Pensée
personnelle : à nos âges, il est bon et facile de partager du ''sexe'' en couple avec une troisième
personne selon que la Dame est bisexuelle ou l'homme. Moi je suis ouvert à tout; je me prête à
un couple qui accepte une troisième personne ou plus. La vie est courte comme on sait !

Heloise65
Canada
Messages : 312

Date du message : avril 12, 2016  07:00

Bonjour à tous ..........

Je viens faire un ti tour pour vous saluer .......<
le temps deviendras soleil ................

Prendre le temps...........Aimer
Aimer regards des yeux étincellent
Aimer c’est se comprendre sans se parler
Aimer c’est apprendre à se respect et sans juger
Aimer c est avec le cœur qui bat
pour l’être qui nous donne du bonheur
Aimer enjouer avec un plaisir de partager
Aimer c’est se donner sans compter
Aimer c’est offrir une partie de son coeur
L’amour et l'amitié est la belle chose à apporter à un être humain
Connaître et partager sans attente
Aimer c ‘est la douceur de vibrer au joie de l’Amour et de l amitié
l amitié c est l 'élixir de la vie
( anonyme )
Belle journée à tous

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 14, 2016  05:54


'' Spotlight'' : Je t'avais parlé, cet hiver, de l'Oscar du meilleur film américain de l'année 2015. Je
l'ai loué en DVD hier. MAGNIFIQUE ! Imagine: des journalistes du ''Boston-Globe'' ont découvert
un réseau mondial de curés pédophiles. On nomme les curés de tous pays. A la suite de leur
premier article, ils en ont écrit 600 autres, et juste à Boston, plus de 1000 enfants de 10-12 ans
ont enfin parlé. Vaut mieux tard que jamais. A la fin du film, on énumère les pays et les villes où
ce réseau existe dont le Québec et la France bien sûr, entre autres...Le réseau inclut le pape et
tous les archevêques.
Commentaire fait hier à des amies :
C'est un film qui en vaut le peine. Ce sont des journalistes de Boston qui ont découvert et
dénoncé.
L'archevêque de Boston a été transféré à Rome, avec ses semblables peu après la première
publication. !
A la suite du premier article dans le ''Boston-Globe'', ils en ont écrit 600 autres et dénoncé à
travers le monde et au Québec.
Plus de 1000 victimes juste à Boston...imagine le réseau de curés pédophiles à travers le
monde !
Autre commentaire:
Je viens de voir ce film qui doit se regarder dans le calme et la réflexion. Plus de 2 h.
On (des journalistes) montrent et démontrent l'existence d'un système
bien organisé et bien protégé de la pédophilie dans toute la hiérarchie de l'église catholique
jusqu'au pape.
Et ce n'est que la vérité, pas une histoire.
Dans le générique de la fin, on énumère les villes et les pays où ce système existe et a été
dénoncé.
Bravo à ces journalistes qui n'ont pas eu peur. Ce film mérite d'avoir été choisi
comme le meilleur de l'année 2015 .
Penses-y quand tu iras écouter le sermon d'un curé !

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 15, 2016  07:04



La monogamie est-elle contre nature ?
La monogamie est-elle contre nature ?© "A l'ombre des femmes" de Philippe Garrel (2015) La
monogamie est-elle contre nature ?
Le procès de la monogamie est aujourd’hui rouvert par la publication d’un ouvrage intitulé Out of
Eden signé par David P. Barash, professeur de psychologie à l’Université de Washington. C’est
l’hypothèse de l'influence de l’état de nature que défend Barash en expliquant que “lorsque des
personnes des deux genres s’adonnent à leurs penchants polygames tout en vivant dans une
tradition monogame, ils sont infidèles à leurs valeurs socioculturelles, mais pas à leur biologie”.
Dans le monde animal, on dénombre seulement 3 à 5% de mammifères (lesquels?) s’adonnant
spontanément à la monogamie, preuve, s’il fallait encore le démontrer, que le concept de fidélité
est issue de la morale.
La nécessité de faire croître les populations a pu expliquer autrefois le recours à la polygamie
pour qu’un homme puisse féconder le plus de femmes possibles et ainsi perpétuer l’espèce. On
a également expliqué ce besoin masculin "naturel" de multiplier les partenaires sexuels par le fait
que les hommes possèdent une puissance libidineuse quasi incontrôlable, héritée de leur statut
de chasseur dominateur. Quant à aujourd’hui, on persiste à justifier l’inconstance sexuelle des
hommes par cet argument d’autorité construit sur un faux principe : si je ne peux pas m’en
empêcher, c’est parce que je suis un homme, et si je suis un homme, ce n’est pas de ma faute.
On attribue, par effet de négatif, aux femmes un intérêt naturel pour la fidélité en raison de leur
rôle ancestrale de prendre un main ce qui s’applique à l’intérieur (l’homme chasse à l’extérieur, il
explore) et limite donc la possibilité de croiser des partenaires sexuels potentiels. Il leur fallait
aussi pouvoir attester que la descendance qu’elles portaient était bien celle du géniteur officiel,
et, afin de clore le dossier, que de toute façon les femmes n’ont pas grand intérêt pour le sexe et
sont bien incapables de s’y adonner si elles ne sont pas d’abord mues par des sentiments
d’amour....holala !!

Il est flagrant, à la lecture de ces raisons, que c’est bien la nature qui guide la main de l’homme,
et jamais un intérêt personnel. D’ailleurs, nous sommes si attachés à notre état de nature que
nous vivons toujours nus dans des cavernes en tuant notre prochain et qu’à aucun instant de
l’histoire nous n’avons cédé notre animalité à la culture en réaménageant le monde selon nos
besoins et nos envies. Imaginez où nous en serions si nous avions abandonné notre mère
nourricière la nature… A nous inscrire sur des sites de rencontres extraconjugales probablement.

P.S. de Lecossais : voyez Mesdames, nous ne sommes pas responsables de notre infidélité
chronique. C'est dans notre nature de mâle (on le savait déjà) et si je ''sème à tout vent'' c'est
que j'ai trop de sperme. J'encourage ici toutes les Dames à être infidèles ; de toutes façons elles
n'auront plus d'enfants à nos âges et le plaisir sera bien plus grand...et qui sait, si secrètement
ce n'est pas ce qu'elles désirent ? Je baise à tout vent est la nouvelle devise des Dames. Profite,
la vie passe vite vite.




Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 15, 2016  15:24


Charlize Theron: la sexualité, une arme?
Charlize Theron a admis qu'elle ne comprenait pas l'obsession du monde des cosmétiques pour
la jeunesse.
Selon la star de « Blanche Neige et le chasseur 2 », les jeunes femmes ne trouvent pas leur «
force --sexuelle-- avant d'avoir atteint un certain âge --plus de 55--, où elles commencent à avoir
confiance en elle.
Elle explique : « Les femmes trouvent leur force et leur pouvoir dans leur sexualité, dans leur
sensualité en devenant plus à l'aise avec elles-mêmes. »
C'est la raison pour laquelle l'actrice trouve « ironique » que les marques de cosmétiques
mettent en avant des mannequins de 20 ans qui d'après Charlize, n'ont « aucune idée de ce
qu'est la sagesse ». Ces jeune femmes ne « connaissent pas la vie » assure-t-elle.
En outre, l'actrice de 40 ans a expliqué qu'elle ne comprenait pas pourquoi les femmes matures
étaient considérées comme des « fleurs mortes » quand le sexe opposé était considéré comme
du bon vin « meilleur avec l'âge »...
Un mystère qui visiblement peine à être élucidé.

P.S. de Lecossais : cette femme gagne à être connue; elle ne dit que des vérités. Vive les
femmes âgées....C'est meilleure que du bon vin, jamais bouchonnées !

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 19, 2016  09:10

Entendu au restaurant ce vendredi : ''On vient manger à l'heure des vieux'' hiiiiiiiiii

Effectivement moi je prends mon apéro quotidien à partir de 16h. : une bière. Je sors le vin rouge
du frigo et je le verse dans la coupe que je laisse sur la table . Il va devenir moins froid et sera à
18* pour le déguster en mangeant (1/4 de bouteille tous les soirs). J'embouteille moi-même mes
bouteilles que je vais acheter à ''vin-en-vrac'' à St-Hyacinthe. Très bon vin rouge --c'est un
médicament--à 7,50$/bouteille. J'en achète 36 bouteilles d'un coup. Je sais que c'est beaucoup
plus cher qu'en France ou en Espagne mais ,au Québec, on n'a pas le choix : la SAQ (société
des alcools) est un monopole et on se fait donc fourrer à l'os. Une bouteille, en vrac, en France
coûte un euro ( 1,40$). Tu vois la différence !
Pour finir mon histoire, je mange à 17h. et tout est fini à 18h. pour les nouvelles. Est-ce parce
que je suis vieux que je fais tout ça tôt ?? Pas du tout. J'ai ce rythme de vie depuis 50 ans et je
suis très en forme.
Quand je voyageais en France, je détestais le restaurant à 20h. Misère...Donc j'allais manger le
midi : beaucoup moins cher et service rapide. Le soir, c'est pour la ''cruise'' avec une femme.
Si tu veux baiser, invite une Dame au restaurant vers 19h. peu importe son âge. Invite-la
à ''dîner'' --au Québec :''souper''--, elle sera ''ouverte'' et réceptive pour la suite, le digestif !

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 20, 2016  09:15

Confidences de femmes : ''J'aimerais plus de caresses et de baisers sur la bouche.''

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 22, 2016  08:19



Publié le 22 avril 2016
Euthanasie
Lysiane Gagnon
La Presse
Décrié par certains parce qu'il ne va pas assez loin, le projet de loi fédéral sur l'euthanasie active
est pourtant beaucoup plus radical que la loi québécoise.
Ce projet de loi place le Canada dans le minuscule peloton de pays qui autorisent les médecins
à administrer la piqûre létale à la demande du patient, soit les Pays-Bas, la Belgique, le
Luxembourg et la Colombie, auxquels s'ajoutent la Suisse et cinq États américains qui autorisent
le suicide assisté.
Autrement dit, loin d'avoir trop tardé à légiférer, le Canada est à l'avant-garde du reste du
monde.
On exige en effet que le malade soit en fin de vie, alors que le projet fédéral stipule que « la mort
naturelle » doit être « raisonnablement prévisible », une expression ambigüe qui peut ouvrir la
porte à l'euthanasie de personnes qui ont encore plusieurs années à vivre.
Contrairement à la loi québécoise, qui stipule que l'euthanasie doit être pratiquée par un
médecin, le projet fédéral autorise aussi les infirmières cliniciennes à le faire... et permet à ces
professionnels de remettre au patient les substances toxiques qui lui permettront de se suicider
lui-même à la maison ou en compagnie de ses proches, sans supervision médicale.
Pour libérer les médecins de la corvée de devoir eux-mêmes donner la mort, en leur permettant
de refiler une simple ordonnance au patient.

P.S. de Lecossais. Bravo et merci pour cette nouvelle loi. Enfin seul la malade peut décider
qu'elle en a assez de vivre, de souffrir. On nous fait confiance, c'est rare et encore bravo. On
évolue dans le bon sens. La mort est et doit être consentie, désirée, ce qui est tout a fait naturel.
On va tous y passer de toute façon; si on peut éliminer les souffrances, tant mieux.
Y aura pas de résurrection !


Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 23, 2016  06:39



Comment votre couleur de cheveux influence votre sexualité
Le gène qui donne leur couleur à nos cheveux serait également responsable, avec un certain
nombre d’autres gènes, de notre comportement sexuel selon une étude britannique.
Brunes, blondes, rousses...Cela parait invraisemblable, mais selon une étude du Medical
Research Council et de l’université de Cambridge (Royaume-Uni) les gènes qui donnent leur
couleur à nos cheveux auraient un impact sur notre comportement sexuel (âge de la première
expérience, le nombre de partenaires sexuels et le nombre d’enfants).
Le gène en question est appelé MCR1 et il est également à l’origine des tâches de rousseur sur
la peau. Selon les chercheurs : "La peau génétiquement marquée par des tâches de rousseurs
pourrait prédire des relations sexuelles plus tardives chez les femmes (mais pas chez l’homme),
tout comme la chevelure rousse, cette fois-ci autant chez les hommes que chez les femmes"
peut-on lire dans le rapport.
Outre ce gène capillaire, 38 autres influenceraient le comportement sexuel. Les scientifiques ont
notamment identifié le gène de la prise de risque ou CADM2 comme lié à des relations plus
précoces mais aussi plus nombreuses. Le gène de l’irritabilité serait également lié à une
première fois, mais aussi une reproduction, plus tardive que la moyenne.
La génétique influence le comportement sexuel à 25%
"Alors que les facteurs sociaux et culturels sont clairement compréhensibles, nous observons
que l'âge du premier rapport sexuel est également influencé par les gènes qui agissent sur la
maturité physique pendant la croissance et par des gènes qui contribuent à différencier
naturellement nos personnalités", a déclaré l’auteur principal de l’étude, le Dr John Perry,
généticien à l’Unité d’épidémiologie MRC.
Au total l’âge moyen de première expérience était 18 ans, et celui du premier enfant 25 ans.
Selon les chercheurs, l’effet de l’ADN sur le comportement sexuel serait de 25%, le reste venant
des facteurs sociaux et culturels.Pour conduire cette recherche ils ont observé le lien entre le
comportement sexuel et les caractéristiques génétiques de 380 000 personnes à travers le
monde (dont 130 000 britanniques). Le but était une meilleure compréhension du comportement
sexuel des jeunes afin d’améliorer les conseils de santé publique.

P.S. de Lecossais : intéressant mais ce que j'aimerais savoir c'est si une Blonde ou une Rousse
ou une Noire ou une Brune est plus portée , enfin si elle aime plus le sexe qu'une autre couleur
de cheveux ? Ça positionnerait certaines femmes genre 'Regarde, je suis Rousse naturelle et
donc je me masturbe deux fois par jour ' ou 'regarde, je suis Noire et mes cuisses s'ouvrent
sans ma volonté !'...Ce que je retiens c'est que si tu as les cheveux gris, t'as aucune chance
d'attraper un mâle, vaut mieux te teindre à ta couleur naturelle si tu t'en souviens (regarde en
bas !!) ...ou, comme les Rousses sont plus 'chaudes' que les autres, teins-toi en Rousse et on
te courra après si c'est ton intention. On attrape pas les mouches(mâles) avec du vinaigre.
*Ce message a été édité le Apr 23, 2016 6:40 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 24, 2016  10:04


Céline56
''J'ai follement envie de vous raconter ma dernière aventure.
Mon mari et moi étions à Toulon pour un congrès trois jours, assez loin du centre.
Pas prévenue que la soirée de clôture était en long, n'ayant rien prévu, me voilà obligée de
dévaliser les boutiques, ce que j'avoue, j'adore ... !
Un taxi et me voilà déposée au centre de Toulon.
Je n'ai pas beaucoup d'idées sur quoi porter, n'étant pas dans mes habitudes.
J'ai la chance d'avoir un physique de 40 ans (j'en ai 71) qui me permet de porter n'importe quoi.
Les premières vitrines m'enchantent peu, je m'offre un café et je repars à l'assaut d'autres
boutiques.
Là, le coup de foudre à la vue d'un pantalon noir taille basse, très moulant au tissu fluide comme
je les aime.
Sur le mannequin, super sexy !
Je dois essayer, chose faite, il me va comme un gant, il épouse l'arrondi de toutes mes formes
comme un gant.
Que mettre de très habillé au dessus ?
J'ai de la chance, je flashe, passant devant chez Hermes, sur un chemisier fleuri en soie
bouffant,assez décolleté.
Question chaussures et lingerie, j'ai dans mes valises tout le choix possible.
Me voilà rentrée à l'hôtel, j'ai tout l'après- midi pour me bichonner.
Massage, bain à bulles, coiffeur, me voilà mentalement prête à m'habiller pour la soirée.
Mon mari ne sera là que dans 30 minutes, je déballe mes achats et me voilà dans mes essais.
J'ai opté pour une lingerie noire, mon époux adore et puis problème devant le miroir, le slip se
voit et mon bustier est contraignant et assez visible.
Déshabillage et essai sans dessous !
Parfait mais très limite.
Le chemisier est assez indiscret surtout lors des mouvements.
J'opte au final pour ne rien mettre, mes petits seins bien accrochés sont un de mes meilleurs
atouts.
Mon époux subjugué par ma tenue essaye d'en profiter, ce que je refuse, ne voulant pas froisser
ma tenue ni être décoiffée.
A la réception, mon mari accaparé à gauche et à droite, me laisse seule, au milieux de tous ces
mâles qui me déshabillent du regard.
Je dois avouer que ma tenue n'a rien de décent, qu'à chaque mouvement, mon chemisier assez
décolleté et bouffant montre plus mes seins qu'il ne les cache.
Je sens ces mâles à l'affût du spectacle.
Le service est cinq étoiles, nos verres ne sont jamais vides, l'ambiance commence à chauffer,
les discussions s'animent.
Je suis bien entourée et me sent bien en appât potentiel.
Au souper, seule encore, mon mari étant à mille lieux.
Je sens l'intérêt grandissant de mes voisins de table qui en vue latérale doivent se délecter de la
vue profonde qu'ils doivent avoir sur ma poitrine libre exposée surtout quand je prends mon verre
ou que je me sers en me penchant ... !
Le dessert terminé, nous sommes tous assez loin, les boissons ayant coulé sans relâche.
La soirée bât son plein, invitée par les uns, par les autres, je me sens bien, je me sens désirée,
la danse me procure des sensations profonde, j'aime.
Mon mari me délaisse, occupé avec ses collègues et surtout bine imbibé ... me laisse aux mains
des autres, la musique année 60 fait naître en moi des besoins de contact.
Je suis dans les bras d'un bel homme qui sent bon et qui me parle avec une voie suave comme
j'aime, je me laisse aller,
Nous sommes très proches, ses mains sur ma taille, un peu sur mes fesses me font fantasmer,
j'ai envie, je me rapproche, une jambe entre ses jambes, nous ne faisons qu'un, je sens naître
son envie, je ne fais rien pour éviter la chose, même je me frotte pour l'exciter et sentir sa
protubérance s'écraser sur moi, j'aime ces érections interdites, je mouille, c'est tacite, je le sens
bien, ayant un pantalon fluide sans slip, il est contre moi, tendu, presque vertical, en frottement
permanent, il ne va pas pouvoir tenir longtemps à ce petit jeu, moi j'en jouis cérébralement, j'en
veux plus, je lui propose à l'oreille un tour dans les jardins, je lui dis avoir envie de le sentir en
moi.
Au détour d'une allée, nous trouvons un endroit discret, on s'embrasse fous,comme des
collégiens, on s'écrase nos bouches, nos langues se mêlent, ma main dans son pantalon, je
tiens sa tige rigide prête à exploser.
L'envie de cette tige gonflée de désir en moi me fait faire des folies, je baisse en une fois mon
pantalon, je l'enjambe et je guide son pieux en moi, il entre comme dans du beurre, je me mets
en mouvement, je monte, je descends, je jouis le sentant éjaculer avec force en moi.
Rentrés, ayant mis un peu d'ordre dans nos vêtements comme on pouvait, nous rejoignons
discrètement nos conjoints respectifs ne s'étant rendus compte de rien.
J'aime ces baises animales avec les maris des autres pleins de fougue.
Rentrés dans notre chambre, encore remplie du jus de mon amant d'un soir, mon mari m'a
honorée comme jamais se croyant responsable de mon intimité débordante ...!
Je suis morte ... ! mais heureuse.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 25, 2016  11:50

On en apprend tous les jours : Révélations étonnantes et vraies sur le clitoris, ce petit organe
pour le plaisir de la femme.
Toutes les animaux ont un clitoris, même les canes, les oiseaux... les vaches, les
juments...etc...et ce clitoris est situé , pour toutes les animaux (on écrit ''toutes'' parce que je
parle d'animaux femelles là ! ), est situé donc à l'INTÉRIEUR du vagin. Oui oui. Si tu pensais que
toutes ces animaux femelles ne jouissaient pas, tu te trompais. Il suffit qu'elles soient pénétrées
par un pénis, un gode, un concombre ou le manche d'un tournevis ,elles jouissent de la
pénétration, elles le demandent, elle sécrètent une odeur qui attire le mâle genre ''j'adore
ou ''eau sauvage...ou '' Isabelle Adjani''''. Ces animaux femelles aiment être léchées mais pour
avoir un orgasme, c'est par la pénétration...SAUF pour les femmes , les humaines quoi. Hé oui,
l'évolution de la race humaine a fait qu'à un moment donné, les femmes ont relevé la tête, se
sont redressées pour finalement, après des millions d'années, réussir à se tenir debout sur deux
pattes, d'où, avec le temps, leur clitoris s'est vu, avancé, devant la vulve et non à l'intérieur du
vagin. Seules les Dames ont un clitoris à l'EXTÉRIEUR du vagin, un petit bouton qui ne sert que
pour le plaisir . Messieurs, si vous voulez faire plaisir à une Dame, passez votre langue
dessus...après beaucoup de caresses des oreilles, du cou et des baisers sur la bouche. La
pénétration ne fait pas jouir une Dame pour 80% d'entre elles. Son point G à elle, contrairement
aux animaux, se nomme le point ''C'' pour clitoris. A manipuler doucement et avec précaution.

Autre révélation étonnante mais vraie : le clitoris augmente de volume avec l'âge. Chez les
petites, il est à peine visible, tout petit ; chez les Grands-Mamans, il est tout GRAND. Plus une
Dame est avancée en âge, plus son clitoris est volumineux . Plus facile à trouver donc, on ne
peut passer à côté quand on caresse une Dame. Embrasser son clitoris est un baume pour elle,
elle ne s'en lasse pas. Une Dame de 75 ans a le plus gros clitoris qu'on puisse imaginer, plus
gros que toutes les animaux et les femelles humaines plus jeunes. Vive le clitoris des dames
âgées !! Les chanceuses !!...car pour les hommes, c'est l'inverse: plus un homme vieillit, plus son
pénis rapetisse, c'est pour ça que les hommes d'un certain âge cache leur âge...

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 26, 2016  09:59

Orgasme lors de pénétration à l’anus
Lettre reçue : 'Je suis avec mon copain depuis un an et nous faisons bien l’amour. Mais le seul
orgasme que je
connaisse est l’orgasme clitoridien avec pénétration de l’anus avec son doigt ! C’est très bon
mais je me demande si je suis vraiment normale de ne jouir que de cette façon. Je me demande
si je ne suis pas lesbienne, étant donné que ‘’je n’ai pas besoin de son pénis pour avoir un
orgasme’’. Il me dit que je suis très jeune (56 ans) et que l’orgasme vaginal, je le connaîtrais
sûrement plus tard, quand je serais plus mûre !!Pouvez-vous m’éclairer là-dessus? Est-il normal
de jouir ‘’avec l’anus’’. '
Réponse de notre gentille spécialiste : ' Le fait d’avoir l’orgasme par pénétration de l’anus est
relié à votre fantasmatique sexuelle
personnelle et tant que cela ne fait pas de mal à personne, il n’y a pas lieu de s’en inquiéter ni de
juger ce fantasme comme normal ou non. Aimer être pénétrée à l’anus a nécessairement une
signification symbolique au niveau de votre façon de gérer votre sexualité (anxiétés à contourner
et besoins psycho-sexuels à combler), mais cela ne signifie pas, en soi, que vous soyez
lesbienne.
Pour avoir une meilleure idée de votre orientation sexuelle, vous avez d’abord à vous demander
ce qui vous attire vraiment sexuellement: les hommes, les femmes ou les deux à peu près
également (auquel cas, votre orientation serait plutôt bisexuelle). Une autre façon de vous poser
la question, c’est d’identifier plus précisément ce qui, au niveau de votre imaginaire érotique,
vous excite et produit l’orgasme. Lors de la pénétration a-n-a-le, par exemple, êtes-vous en train
de
penser combien il est bon que votre partenaire masculin vous pénètre de cette manière ou est-
ce que vous vous imaginez plutôt que c’est une femme qui vous pénètre de ses doigts? Dans le
premier cas, votre orientation serait soit hétérosexuelle ou soit bisexuelle (si vous avez parfois
des fantasmes homosexuels dans d’autres contextes). Dans le deuxième cas, il est probable que
vous ayez une attirance homosexuelle mais il reste possible que vous soyez bisexuelle si vous
trouvez également plaisir à vivre des moments sexuels avec votre partenaire masculin.
En fait, les choses ne sont pas simples lorsqu’il s’agit d’identifier l’orientation sexuelle de
quelqu’un car le degré d’homosexualité peut aller du simple fantasme non-actualisé à une
attirance intense et exprimé envers un ou une partenaire du même sexe. Bien des gens ont
essentiellement une orientation hétérosexuelle tout en ayant quelques fantasmes homosexuels.
Cela ne fait pas d’eux des homosexuels.
Pour ce qui est de l’orgasme vaginal, l’âge et la maturité n’ont pas nécessairement à voir là-
dedans. Bon nombre de femmes ne connaissent jamais l’orgasme vaginal et se sentent tout de
même satisfaites de leur sexualité. Toutefois, pour favoriser l’orgasme vaginal, il est d’abord
nécessaire que la femme érotise la pénétration vaginale, c’est à dire qu’elle y trouve plaisir et
excitation lorsqu’elle imagine et vit ce type de pénétration.   
Comme vous avez plutôt érotisé la pénétration a-n-ale, cela peut être plus difficile pour vous que
d’érotiser la pénétration vaginale, mais cela n’est pas impossible. Cela dépend beaucoup de la
présence, inconsciente ou non, d’anxiétés à l’idée d’être pénétrée vaginalement. Si, avec le
temps, vous développez des fantasmes de pénétration vaginale excitants, cela vous donnera
une chance de parvenir à l’orgasme vaginal. Si, malgré vos efforts dans ce sens, vous ne
parvenez pas à vous sentir vraiment excitée par la pénétration vaginale, vous aurez à identifier
ce qui vous empêche d’érotiser ce type de pénétration et d’y trouver plaisir. '

P.S. de Lecossais : Ici nous lisons les explications d'une spécialiste fort intéressantes.
Les orgasmes, toutes les humaines l'acceptent d'où qu'ils viennent , du clito, du vagin ,de l'anus,
des seins hé oui possible...et de tous ces endroits en même temps s'ils sont stimulés. J'ajoute,
que pour les hommes, TOUS les hommes sont sensibles de l'anus si ce petit trou-muscle est
bien préparé par de l'huile et agrandit petit à petit par une amie. . Une fois bien préparé, on peut
le pénétrer et atteindre la prostate, petite boule qui peut être flattée par le 'majeur' ou un gode ,
et l'homme atteint l'orgasme suivi d'une éjaculation ou non. Il peut avoir évidemment deux
orgasmes en même: un venant de la prostate et un venant de sa queue bandée, en éjaculant ou
non. Comme le dit notre spécialiste, tout est une question de préparation, d'exercises et
d'érotisation de nos zônes sensibles...et n'oublie pas chère amie, qu'il n'y a pas d'âges pour
apprendre et se stimuler, pour se garder en forme ,sexuellement. Pratiquons donc le plus
souvent possible et nous dormirons mieux...
*Ce message a été édité le Apr 26, 2016 10:01 AM par Lecossais*
*Ce message a été édité le Apr 26, 2016 10:04 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 28, 2016  09:53

J'aimerais te parler d'une aventure que j'ai vécue l'an passé et qui a duré trois ans. Je l'ai connue
sur un site 'gaydaddy', un site internet pour les hommes âgés qui ont besoin d'une aventure
sexuelle pas 'compliquée', ce qui exclut les femmes ! Ce ne sont pas nécessairement des
homosexuels mais des hommes la plupart du temps hétéro, qui ont le goût de jouir sans
problème. Son annonce a attiré mon attention : elle est grosse ( dans les 200), mais a toutes les
allures d'une femme, c'est pourquoi j'emploie le féminin ici. Elle a un pénis mais se sent femme,
veut être reconnue comme femme, s'habille en femme (est-ce qu'il y a une façon de s'habiller en
femme? ), prends des hormones pour éliminer ses poils et que ses seins poussent. Elle aime
son pénis, elle l'adore, c'est la seule 'chose' qu'elle veut garder de son côté mâle. Ce genre de
personnes dite 'transgenre' aime la compagnie des hommes, les recherche, se marie avec
eux. Ce sont des femmes dans leur tête. Ce qui m'a attiré chez elle, c'est ce côté doux et
sensible et super sexée. Elle me reçoit chez elle : maquillage, rouge à lèvres, jupette noire super
courte, string que je tâte en curieux. Talons hauts, perruque longue (elle est chauve
normalement), parfum fort, brassière à 90$ qu'elle me dit. On s'embrasse aussitôt; c'est en plein
la personne que je cherchais. Gentille, patiente, douce, tolérante. Je bande aussitôt. On se
connaît, on a une queue tous les deux et on sait ce qu'on veut. Caresses debout et on passe à la
chambre. Sur la table de chevet, lubrifiant, gode petit et électrique pour l'anus. Je m'en servirai
plus tard pour accompagner sa masturbation. Je veux lui faire plaisir. Je m'étends sur lui, ma tête
vers sa queue et mes testicules sur sa bouche. Elle est musclée, gros ventre pour me frotter. Je
le branle, sa queue, petite et dure, aime. Elle ne semble pas pressée et je m'amuse sur son
membre qui va couler bientôt. J'ajoute le gode entre ses fesses et elle m'inonde de son sperme
chaud. Comme le bonheur est un ensemble de souvenirs heureux, je garde cette aventure en
mémoire, qui est pour moi maintenant , un fantasme imagée que je fais intervenir dans mes
masturbations solitaires. Même si nous, on oublie avec le temps, notre corps n'oublie jamais
rien ...C'est la beauté de la vie. Gardons les yeux ouverts, il pourrait nous arriver d'autres
aventures inattendues. A nos âges, on a tout à gagner.
*Ce message a été édité le Apr 28, 2016 9:55 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : avril 30, 2016  06:53


Es-tu trop grosse pour faire l’amour ?
La question peut choquer mais une enquête révèle que plus d'une personne sur quatre se pense
trop grosse pour faire l'amour. Environ 24% ont reconnu que leurs kilos en trop perturbaient leur
vie intime.
Pour être à l'aise sous la couette, il faut se sentir bien dans son corps. Pour preuve, une nouvelle
enquête* relayée par le site anglais Dailymail montre que plus d'une personne sur quatre
s'estiment trop grosse pour faire l'amour. Une sur deux a déclaré que la prise de kilos avait fait
chuter leur confiance en elles et 24% ont reconnu que cela avait affecté leur vie sexuelle. De
façon plus général, 57% des personnes sondées ont indiqué que la prise de poids avait réduit
leur bonheur.
5 conseils faciles pour maigrir vite
Le Dr Sally Norton, experte en poids du NHS ( National Health Service, système de santé
publique du Royaume-Uni) a donné cinq conseils faciles pour perdre du poids... et retrouver
confiance et satisfaction sous la couette :
- Eviter les aliments transformés
- Manger dans une petite assiette pour éviter les portions démesurées
- Ne pas dépasser l'équivalent de 6 cuillères à café de sucre par jour
- Boire de l'eau. Par exemple un verre d'eau avant chaque repas réduit la quantité de calories
consommées.
- Dormir bien et suffisamment.
* L'enquête a été réalisée par Kinetik Wellbeing

P.S. de Lecossais : aucune femme ne devrait se sentir trop grosse pour faire l'amour. Il suffit de
faire de l'œil à un homme gros et il te répondra. Mais si elle est grosse, la bonne et la meilleure
façon de faire l'amour à une dame en poids est de multiplier les caresses, les baisers...et de la
faire jouir de son clitoris ou qu'elle le fasse elle-même pendant que sa-son patenaire fait de
même sur lui. Après,si le moment est venu de faire une pénétration, il est très intéressant de
prendre la position dite ''levrette''. L'homme voit les plus belles images de la dame, ses fesses,
sa longue fente et son vagin. Il peut alors faire des va-vient sans se fatiguer des bras, la dame
peut (doit) bouger du cul et le contact est complet. L'homme peut aller profondément en elle, et
elle, peut serrer fort ses muscles pour emprisonner son homme. Et bien sûr, c'est la meilleure
position pour les personnes très âgées. On peut même laisser ses dents dans le bol !

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : mai 1, 2016  07:03

          ***Histoire vraie***
Suzie 1
Un petit bonheur
Montréal, St-Henry, 1984
Par un beau samedi matin chaud et ensoleillé de printemps, assit nu sur le sofa du salon,
jambes écartées, ne portant que des bas nylons vert lime a large bande élastique décorative aux
cuisses, je me faisais faire une pipe par ma copine sous le regard attentif du chat bien installé
dans mon fauteuil préférer. Un gros matou de ruelle gris avec du long poil de Yack et des yeux
verts luisants comme des pierres précieuses. Roulé en boule au soleil, il me fixait comme s’il
m’enviait celui-là. Je ne pus m’empêcher de lui tirer la langue entre deux gémissements de
plaisir tout en remontant mes bas qui faisaient paraître la peau lisse et laiteuse de mes cuisses
longues et fines encore plus blanches.
Depuis que je suis tout jeune, j’adore m’épiler complètement et porter des bas nylons ou des
bas culottes et toute sorte de vêtements féminins. Cela m’as toujours fait bander très dur et
surtout jouir avec beaucoup plus d’intensités. D’abord les vêtements de ma mère quand elle était
au travail, puis les miens quand j’ai enfin pu quitter la maison a 18 ans pour fuir ma région natale
et émigré a Montréal, une vraie délivrance. Je me suis monté rapidement toute une garde-robe
que j’achetais en général usager à l’armée du salut ou dans des friperies. Acheter du neuf en
magasin était beaucoup trop gênant. J’ai toujours été très efféminé avec de belles courbes, une
fille manquée en quelque sorte et la risée des autres a l’école et je m’en foutais royalement a
l’époque. Alors en privé je m’habillais en femme, mais restais un homme au travail ou pour
baiser des filles a l’occasion. C’était mon grand secret jusqu’à ce que je rencontre Suzie, une
femme plus âgée que moi, et qu’on décide d’habiter ensemble. Quand je lui avais avoué mon
petit penchant pour les vêtements féminins, elle avait voulu me voir en porter et cela l’avait
allumé complètement. Non seulement ça lui plaisait que je me transforme en femme, mais elle
m’avait convaincu de sortir ainsi tellement je donnais le change et même de vivre en femme, car
j’étais bien plus heureux comme ça. Même baisé avec elle était plus bandant, plus excitant. Avec
mes cheveux longs et fins teints en roux, ma taille de mannequin, un soutien-gorge à peine
rembourré et un léger maquillage, j’étais vraiment jolie et tournaient les têtes. On passait
maintenant parfois pour un couple de lesbiennes. Ça, c’était trop drôle.
Suzie, ne portait ce matin qu’une camisole blanche étirer par ses gros seins fermes qui se
balançait mollement et un minuscule slip noir laissant a l’air la moitié de ses belles fesses bien
rondes. Elle était à genoux entre mes jambes et elle y mettait du cœur à sa pipe, comme
toujours. Cette femme-là adorait vraiment sucer. Son sein droit au minuscule mamelon rose était
sorti de la camisole et heurtait le sofa en rebondissant. C’était si beau à voir que je souris, trop
heureuse de ce traitement de faveur matinal en me languissant de plaisir la peau chauffée par
les doux rayons du soleil entrant par une grande fenêtre a carreau sur ma gauche.
Suzie était un petit bout de femme aux épais cheveux bruns toujours tressés à la Française,
dans la quarantaine, juste bien ronde comme je les aime ; jolie, grosse poitrine et beau cul bien
rebondit. Une fille douce, gentille, intelligente et tout aussi vicieuse et voyeuse que moi, même
plus parfois. Elle ne me refusait rien, je ne lui refusais rien, alors on filait le parfait bonheur
depuis 3 ans.
Elle donnait de la tête depuis 10 bonnes minutes, mes couilles dans une main, me masturbant
lentement de l’autre et j’étais sur le point de jouir, je n’en pouvais plus, ça me coupait le souffle,
me rendait presque folle. Je soupirais, grimaçait en caressant mes petits mamelons si sensibles
et serrait les fesses en gémissant de plus en plus, les orteils repliés dans mes bas tous les sens
exacerber par cette pipe fabuleuse. Jamais je n’avais connu une fille qui suçait aussi bien et elle
était folle de ma bite sans prépuce. Un beau membre droit et veiné de presque 8 pouces. Je me
léchais les lèvres, goûtant mon rouge, tout près de l’orgasme, couilles rentrer par en dedans,
scrotum durcit. Je me retenais de plus en plus difficilement voulant profiter au maximum de se
moment fabuleux, mais le matin, c’est difficile pour moi de m’empêcher de jouir trop vite, moi le
sexe, je préfère ça tôt dans la journée. Elle me suçait juste le bout de la bite en plus, c’était
agaçant au possible et elle le savait bien, même que ça l’amusait de me voir grimacer autant.
Mon gland en forme de cloche était tout rouge et luisant de salive. Par réflexe j’essayais de le
pousser le plus loin dans sa bouche, mais avec sa petite main qui enserrait si bien ma hampe
couverte de salive, c’était impossible, même un peu frustrant.
Cette femme-là adorait vraiment sucer, pas de doute là-dessus et elle le faisait bien, vraiment
bien. Faut dire qu’elle avait plus de 30 d’expérience en la matière.
Posant une main sur sa tête, l’autre sur son sein a l’air, je sentais parfaitement mon gland
glisser sur sa langue humide en frottant contre son palais, c’était vraiment flippant. Elle la sortait
régulièrement de sa bouche pour reprendre son souffle en me souriant comme une gamine
espiègle, mais surtout pour m’empêcher de jouir trop vite. Elle me la léchait alors de haut en bas,
mordillait mon gland au passage à m’en couper le souffle et m’arrachai des cris de plaisir. Puis
gobait mes couilles l’une après l’autre ou me titillait l’anus avec un doigt ou du bout de la langue
en me regardant les yeux rieurs avant de me ravaler comme si ma queue était un délicieux
dessert. Jamais de ma vie je n’avait connu une fille comme elle, une fille qui aimait tant ; toucher,
caresser, lécher et sucer une bite, une vraie obsédée, comme moi d’ailleurs. Dès qu’elle voyait
mon membre ou celui d’un autre, ses yeux bruns un peut brider se fermait presque et luisait de
malice et elle mouillait.
Alanguie, le cœur battant, mes yeux à demi fermer river sur sa bouche arrondit ou sa grosse
poitrine qui se balançait toujours mollement, je me retenais encore, dieu seul sait comment. Mes
longues cuisses de fille, fine et délicate, se refermaient toutes seules contre ses épaules, mes
pieds glissaient sur le plancher de bois franc, mes petites fesses serrer se contractaient.
Seigneur ! Je me lamentais comme une pucelle qui se fait lécher le sexe pour la première fois.
Je n’en pouvais plus, je ne pensais qu’à lui jouir dans la bouche, car elle avalait sur demande
sans rechigner pour dire ensuite très souvent et tout heureuse – « Hum, il est bon ton sperme
Pierre. »
J’ai assez sucé de gars dans ma vie et avalé de foutre depuis mes 13 ans pour savoir que ce
n’est pas vraiment le cas, enfin, rarement. Mais bon, rien ne l’y obligeait, si elle aime ça, tant
mieux pour moi, j’allais pas m’en plaindre et je lui rendais la politesse à volonté. Mon coup de
langue était excellent apparemment.
— Suzie, je… ouf… je vais venir. Dis-je tout bas.
Elle la sortit encore de sa bouche, se lécha les lèvres en stoppant le vas et viens de sa main, en
serrant ma hampe a la base contre mes grosses couilles comme un garrot pour m’empêcher
d’éjaculer. Puis elle cueillit du bout de la langue une goûte de liquide séminal sur mon gland
rougi si sensible, l’avala, puis se lécha encore les lèvres et me sourit en disant :
— Pas question, ces trop bons, ta trop une belle bite. Retiens-toi encore et arrête de te plaindre.
— C’est pas correct de me faire ça.
— Je sais, je suis vraiment méchante avec toi ma belle, fit-elle moqueuse en secouant ma bite
avant de la frotter un moment contre son sein qui prenait l’air, contre son petit mamelon durcit.
— Ouf, Suzie…
— Mais qui aime bien châtie bien, non ?
— Oui, mais la, je.. Je sens que je vais m’évanouir… Je n’en peux plus d’être châtié.
Elle rit en rajoutant :
— Poff ! Menteuse.
Elle me ravala et le fabuleux supplice reprit. Quelle chance j’avais eu de rencontrer cette femme
la.
Je fixer un instant le plafond en me languissant de plus belle avant de tourner la tête vers la
grande fenêtre du salon a ma gauche qui donnait sur les cours arrière des immeubles voisins.
Notre appartement était au troisième et dernier étage d’un bâtiment de brique centenaire. Un
vieil italien voyeur nous espionnait avec des jumelles depuis 2 ans et il était là, fidèle au poste,
au même étage que nous. Ça aussi ça me fit frissonner, comme d’habitude, de me savoir
observer. Quand on en avait envie, on ouvrait les rideaux du salon et de la cuisine en grand
comme maintenant pour baiser devant lui. Il regardait, toujours à moitié nu, juste un vieux t-shirt
sur le dos en se branlant. On le voyait à peine, y comprit son gros membre recourbé vers le haut
qui me faisait tout de même saliver. Voyeur a l’extrême nous aussi on comprenait bien le plaisir
qu’il ressentait a nous reluqué et quand on le croisait parfois dans le cartier il se contentait de
nous saluer en souriant. Il était le seul du coin a savoir que la jolie rousse que j’étais a l’époque
avait une bite sous sa mini-jupe.
Suzie se foutait complètement de s’exhiber devant lui ou de n’importe qui d’autre, même quelle
adorait. L’été, elle pouvait se mettre nue sur n’importe quelle plage juste pour le plaisir de se
baigner nue, de faire du nudisme, qu’il y ait foule ou pas. De plus, cette femme-là était incapable
de dire non a un homme ou de rés****r a une bite ( moi aussi d’ailleurs ) elle aimait le sexe plus
qu’aucune autre femme que j’avais connue jusqu’à maintenant et ne me refusait jamais rien, le
paradis. Et non, je ne suis pas jaloux et elle non plus. Même que la première fois qu’on avait
baisé chez elle dans une minuscule chambrette, son voisin de palier avait débarqué. On l’avait
baisé ensemble, cul et con, couille contre couille, mon premier trio. Il y en avait eu bien d’autres
depuis ce temps, surtout avec notre meilleur ami qui venait faire son tour à l’occasion, une ou
deux fois par mois. On buvait de la bière ou du vin avant de se ramasser au lit tous les trois. Il
était bi lui aussi alors, on s’amusait bien. Rien de tel que de se faire enculé en enculant une
femme, ou de lui mettre deux bites dans la chatte.
Mais là, je voulais en finir, je n’en pouvais vraiment plus.
— Suzie, fini moi, dis-je dents serrer, a bout de souffle, en appuyant plus sur sa tête tout en me
lamentant presque fiévreuse.
Elle me regarda un instant les yeux vicieux et se mit a me masturber plus vite, ne gardant que
mon gland entre ses lèvres luisantes de salive comme elle le faisait a chaque fois qu’elle se
préparait a avaler mon foutre. La délivrance approchait ( merci, mon dieu. ) Les yeux mis clos je
fixaient ses gros seins écrasés contre le sofa et mes couilles sans poil et son cul splendide en
me raidissant. Ça y était presque... J’allais éjaculer, mon cœur pompait et je manquais de souffle
les doigts de pieds tous raides. Mais soudain notre vieux téléphone noir a cadran des années 60
sonna juste à côté de moi en me faisant sursauter. Comme on avait pas de répondeur à
l’époque, je devais décrocher sinon, ça risquait de sonner longtemps.
— Merde ! Fis-je agacer en me disant que c’était probablement pour me vendre un nettoyage de
tapis.
Suzie stoppa, juste au bon moment, c’était rater, pour l’instant. Mon sperme resta dans ma
hampe. Elle voulut se redresser pour répondre, mais je la f***er a continuer en appuyant
fortement sur sa tête de la main droite tout en étirant le bras gauche pour décrocher le combiné.
— Oui ! Dis-je en voyant le vieil Italien qui se branlait toujours dans la pénombre de son salon en
nous regardant à travers ses jumelles ? Je lui tirer la langue en souriant, il me rendit mon sourire.
— Salut, Pierre, ça va bien ?
Je figer de surprise langue sortit... La mère de Suzie au bout du fil. Elle habitait en Gaspésie à
12 heurs d’autobus de chez nous. Entendre sa voix, pile en ce moment, me donna des frissons
supplémentaires, surtout en sentant les bas nylons me chatouiller les cuisses. Rien de plus
bandant que de parler a une mère au téléphone pendant que sa fille vous suce la bite et qu’on
porte des bas nylons, en tout cas, pour moi. Ça, c’était une première en 3 ans, c’était inattendu
et des plus excitant. J’en frémis de plaisir.
— Oui, et vous ?
— Oui, merci, Suzie est là ?
Sa mère me faisait bander également parce que ces seins étaient deux fois plus gros que ceux
de sa fille et qu’elle se ressemblait terriblement. Je ne l’avais jamais rencontrée, juste vue en
photo. Les gros seins me rendre fou et j’aime les femmes âgées depuis l’enfance, depuis que je
me branle, elles m’ont toujours exciter. Et la, juste de lui parler en imaginant sa poitrine me fit
bander encore plus dure dans la bouche de sa fille. Dieu que j’aurais aimé que la mère soit là
pour me sucer avec elle ou pour baiser ensemble. Mais sa mère était ultra religieuse, alors, ça
n’arriverait jamais, même si elle était toujours très cool au téléphone, même si elle doit sucer elle
aussi, les femmes le font toutes. Et évidemment, elle ne savait pas que ça fille habitait avec un
travesti, elle en aurait sûrement fait une crise cardiaque.
— Suzie, c’est ta mère au téléphone, criai-je comme si sa fille était loin.
Suzie me regarda intriguer et je lui fis un clin d’œil.
— Elle est aux toilettes, Mme Cormier, elle dit que ce ne sera pas long.
Suzie stoppa, la bouche arrondit par ma queue, le menton plein de salive en réalisant que c’était
sa mère au téléphone. Elle déglutit en écrasant mon gland contre son palais, je faillis exploser
encore une fois. Je lui pesé sur la tête pour lui signifier de continuer, ce qu’elle fit sans rechigner
sachant que j’étais tout près de jouir.
— Bon, je vais attendre. Répondit sa mère.
— Ça va bien en Gaspésie ?
Suzie stoppa et me mordilla le gland les yeux rieurs. Outch ! Seigneur ! Je déglutis en retenant
un cri tout en me mordillant la lèvre inférieure en la fustigeant du regard. Elle rit en me donnant
un baiser sur ses empreintes de dents bien visibles sur mon gland rougi.
— Oui et toi Pierre ? À Montréal, y doit faire chaud et humide, déjà ?
— Hein ! Eh… Oh oui ! Moi ça va, et votre gros chat, toujours aussi nono ?
— Va chier Pierre, dit-elle avec entrain avant d’éclater de rire avec moi.
Même si l’on ne s’était jamais rencontré, chaque fois qu’on se parlait au téléphone on
s’entendait bien. J’aimais la taquiner sur son chat, car apparemment, son gros matou obèse
regardait passé les souris sans bouger, comme le nôtre, qui me fixait toujours aussi intensément
d’ailleurs.
V’là Suzie qui se suce le majeur de la main droite pour bien l’enduire de salive en me fixant droit
dans les yeux, puis me le montre en souriant, me faisant un doigt d’honneur, avant de me le
glisser tout doucement dans le cul l’autre main enserrant toujours ma hampe. Seigneur ! Ma bite
raidit encore plus sous ses petits doigts. Qu’elle me fasse ça pendant que je parlais avec sa
mère, c’était bandant à mort. Une fois son doigt bien enfoncer entre mes fesses, elle l’agita puis
fit un lent mouvement de vas et viens qui m’agaça au possible.
Jésus, Marie, Joseph ! Me v’là la bouche ouverte à chercher mon air, les orteils tout croches
dans les bas nylons et les yeux tout ronds.
— Pierre ! T’es fâché ?
— Hum ! Mais non ! Madame Cormier, vous êtes mal engueulé tabarnouche, vous avez pas
honte ?
— Pentoute, je suis une fille de pirate moi et insulte plus mon chat ma tabarouette, sinon je
descends a Montréal juste pour te donner la fessé.
— Comprit madame le pirate.
Elle rit tandis que je grimaçais terriblement, les joues en feux m’imaginant couché sur ses
genoux, cul nu à recevoir une fessée la bite coincer entre ses cuisses en sentant ses gros seins
appuyer sur mes reins. Oh oui ! Quand elle voulait.
— Et ma fille, toujours aux toilettes ?
« Non, elle me suce à nouveau en me masturbant et me passe un doigt dans le cul. »
— Eh oui, la grosse commission, j’imagine.
— Quant y faut, y faut.
Je me demandais ce que ça faisait a Suzie de me sucer et de m’enculer avec son doigt en
sachant que je parlais a ça mère. En tout cas, elle sembla y mettre plus d’ardeur en agitant la
langue autour de mon gland. Ses gros seins durs se bousculaient joliment et elle lâchait des (
Humrfff... Hurmfff… ) par le nez. C’était bandant comme tout, surtout son doigt allant et venant
entre mes fesses. Le vieil italien devait en saliver comme un pitbull devant un facteur. Ça
redoublait toutes mes sensations, ça agaçait tellement, a rendre folle. Même mes petits
mamelons en étaient plus durs et beaucoup plus sensibles. Ça me fit penser qu’il y avait trop
longtemps qu’un homme ne m’avait pas enculé.
— Et… et votre jardin ? demandai-je sans réfléchir.
— Sous 10 pieds de neige, nono, c’est pas Montréal ici et il y a un maudit raton laveur qui s’est
installé dans mon garage… L’autre jour, je cherchais ma pelle quand...
Heureusement, sa mère aimait parler alors, je l’écoutais distraitement en regardant le beau cul
rebondi de sa fille, ses seins et sa bouche imaginant sa petite culotte détremper. Je songer un
instant a lui passer le téléphone pour la baisé pendant qu’elle parlerait a ça mère, lui faire
rebondir les fesses et les seins, mais l’idée de lui jouir dans la bouche m’excitait plus que tout.
— … j’ai appelé l’exterminateur, mais…. Pierre, t’es là ?
— Hum, oui…
— T’as l’air essoufflé toi.
— Oui, je viens de.. de.. Ouf… de faire mon jogging.
— Par un froid pareil, tu vas att****r la mort.
— Mais non… je… ici il fait vraiment chaud.
— Vous êtes chanceux, fait que la, le gars s’amène, un beau gars à part ça, et….
En sentant mon scrotum durcir et des gouttes de liquide saler tomber sur la langue Suzie, je
compris qu’elle avait compris que j’allais jouir cette fois. Elle me masturba avec vigueur au point
où je devins tout raide et toute grimaçante en soulevant les jambes pour croiser mes pieds sur
ses reins orteils retrousser au risque de percer mes bas nylons préférer. Je du mettre la main sur
le combiner pour ne pas que ça mère, qui parlait toujours, ne m’entende gémir de plaisir.
L’orgasme approchait, le sperme montait dans ma hampe, mon cœur accélérait et j’en avais le
souffle coupé. J’en pleurais presque de plaisir.
— … pis la, y ma sauter dessus le maudit, pas le gars nono, le raton, et j’ai crié, et...
Et je jouis soudainement en retenant de peine et de misère un cri de plaisir. Mon premier jet de
sperme jaillit avec f***e dans la bouche chaude de Suzie arrosant son palais puis sa langue. Elle
sursauta un peu avant d’avaler rapidement, puis chaque giclée de sperme qui suivit. C’était divin,
fabuleux, libérateur, surtout avec son doigt dans mon cul. J’en pleurais presque de soulagement.
Je déchargeais en écoutant sa mère qui parlait toujours, mais distraitement, sentant la langue de
sa fille écraser mon gland contre son palais chaque fois quelle déglutissant. Mon corps si féminin
était parcouru de spasme, le cœur voulait me sortir de la poitrine. Mon anus expulsa lentement le
doigt de Suzie, un petit plaisir de plus.
— Pierre !
— Hum !
— Je t’ennuie ?
— Oh non.
— Ça va ? On dirait que tu te tapes une crise cardiaque.
— Oh oui, je veux dire, oh non ! Pis, le raton laveur ?
— Yé mort.
— Pauvre lui.
— Bof ! Y va faire un bon ragoût.
— Hein !!!
— Mais non, je te niaise nono.
— Ben drôle, la Gaspésienne, fille de pirate. — Ma fille est-tu morte aux toilettes, cou dont ?
— Non, elle arrive justement...

J’avais fini d’éjaculer, j’étais à bout de souffle, soulager, alangui en reposant mes pieds par
terre. Suzie se redressa, les joues rougies, les yeux vitreux en finissant d’avaler. Tout sourire, je
lui donner le téléphone avant qu’elle n’est eu le temps de s’essuyer la bouche et le menton
dégoulinant de sperme épais et gluant.
— Allo, maman, dit-elle assise sur ses talons me faisant des petits yeux méchants, tandis que je
secouais ma queue rougit pour bien me la vider en jetant un coup d’œil au vieil italien en levant
le pouce en signe de victoire, il fit pareil. J’en conclus qu’il avait dû jouir lui aussi.
La vie vous apporte de ses petits bonheurs parfois.
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P.S. de Lecossais : En ce 1 mai, fête des travailleurs, je sais que tu apprécieras une histoire
gaspésienne à lire en pyjama, bien étendue, ton vibrateur à côté. Je dédie cette histoire
à ''Tigris2'' qui se reconnaîtra, et ''Héloïse-Chérie'' qui devra laisser envoler son ''papillon'' pour
l'occasion !

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