Présentement sur Amicalien
Les membres en ligne : 3
Les nouveaux membres : 0
Anniversaires aujourd'hui : 4
Famille : La sexualité n'a pas d'âges
Ce sujet fait partie de la famille La sexualité n'a pas d'âges. Cette famille est semi-privée. Vous pouvez lire le contenu de cette famille mais vous devez vous y inscrire pour échanger.
Auteur
Sujet : Opinions
Lecossais |
Date du message : avril 10, 2016 09:51 |
||
L'amour et la sexualité vus par les séniors Une étude auprès de 457 célibataires québécois âgés de plus de 55 ans afin de connaître leur opinion au sujet de l'amour, de la vie de célibataire et de la sexualité. Les résultats apportent des éléments de réponses inattendus qui nous permettent de mieux comprendre leurs attentes en ce qui concerne les relations amoureuses. 49 % n’envisagent pas de relation amoureuse sans sexe 82 % ne veulent pas ou plus entendre parler de mariage 43 % considèrent qu’Internet est le meilleur moyen de faire des rencontres 25 % se disent prêts à utiliser un ***** (vibrateurs) Ne leur parlez pas de mariage Cette étude démontre que les seniors sont de grands romantiques ! En effet, près de 7 célibataires sur 10 affirment qu’un coup de foudre est encore possible après 60 ans, 97 % expliquent même qu’ils désirent retomber amoureux. Tomber amoureux, oui, mais le mariage non ! 80 % des sondés répondent qu’ils n’ont aucune envie de se marier. Ce pourcentage augmente surtout parmi les personnes qui ont déjà été mariées : 83 % d’entre elles ne considèrent pas du tout le mariage comme une option possible. À la question « Après votre dernière séparation ou divorce, combien de temps vous a-t-il fallu pour vous sentir prêt à faire de nouvelles rencontres ? », les seniors répondent majoritairement « Plus d’un an » (59 %). Malgré tout, ils sont 87 % à affirmer ne pas avoir perdu foi en l’amour suite à leur dernière séparation. Être célibataire à 60 ans, ce n’est pas une chose facile. « Qu’est-ce-qui est le plus difficile pour un ou une célibataire après 60 ans ?», 47 % répondent que rencontrer des célibataires de son âge s’avère être la chose la plus compliquée. 20 % évoquent le fait de ne pas se sentir en phase avec les personnes de leur âge et, enfin, 18 % expliquent qu’il est difficile pour eux de réapprendre à vivre seul. Malgré ces difficultés, les seniors apprécient certains aspects de la vie de célibataire. En effet, ils sont 50 % à se trouver plus confiants et plus sereins, car ils savent mieux ce qu’ils souhaitent pour leur relation amoureuse. 16 % aiment aussi le fait de pouvoir faire la rencontre de nouvelles personnes. La sexualité active des séniors 49 % des sondés affirment qu'une relation de couple sans sexe est inenvisageable. À la question « Comment qualifieriez-vous la sexualité lorsque l’on avance en âge ? », 62 % la décrivent comme « différente», expliquant que « l’âge a de bons comme de mauvais côtés » : tandis que 30 % la définissent comme « meilleure : plus les années passent, mieux c’est ». Nous avons par ailleurs cherché à en savoir un peu plus sur leur vision de la sexualité. Notamment en leur demandant après combien de rendez-vous il était convenable pour eux d’avoir une relation sexuelle avec leur partenaire. 70 % expliquent qu’ils n’ont aucune règle stricte à ce sujet : premier ou troisième rendez-vous, tout dépend de la personne. 27 % d’entre eux affirment attendre au moins 3 rendez-vous pour avoir une relation plus intime. Le phénomène « 50 Nuances de Grey » était l’occasion de poser la question des *****s. En sont-ils adeptes ? 25 % se déclarent plutôt ouverts et prêts à essayer un jour tandis que 23 % affirment même en utiliser régulièrement. « Longtemps, les sociétés occidentales ont associé la sexualité à la jeunesse et à la reproduction. Depuis quelques temps, nous assistons à un bouleversement de ces anciennes représentations. Ce changement s’explique notamment par le phénomène de libéralisation sexuelle que connaissent nos sociétés modernes et qui s’applique aussi à la vie sexuelle des seniors. Celle-ci a toujours existé, et est dorénavant moins taboue. C’est pourquoi ils n’hésitent plus à s’exprimer librement sur le sujet.» explique Salama Marine, psychologue ayant travaillé sur l’étude. 74 % des personnes interrogées pensent qu’il est plus difficile pour les séniors de trouver l’amour sur internet. Selon eux, le plus difficile est de faire confiance à la personne avec qui ils échangent (69 %) et de discuter avec une personne qu’ils n’ont jamais vue (18 %). Et pourtant Internet reste le meilleur moyen de faire des rencontres pour 43 % des séniors interrogés. Plus jeunes, auraient-ils souhaité avoir l’aide d’un site de rencontre pour faire de nouvelles connaissances ? Pour une large majorité, ils regrettent le temps où l’on pouvait faire des rencontres sans Internet, ni ordinateur (82 %). 3 conseils pour les séniors qui cherchent l’amour : 1. Prenez votre temps Après des années de célibat ou avec le même partenaire, il n'est pas évident de se lancer et séduire à nouveau. C'est pourquoi il est nécessaire de faire un léger travail sur soi, en vous posant les bonnes questions. Questions qui vont permettront d'être au clair avec vous-même concernant votre recherche de l'amour. - Quelle type de relation recherchez-vous ? Une relation sérieuse ? Une relation sans réel engagement ? Un ou une ami pour commencer ? - Quel type de personne vous souhaitez rencontrer ? - Quelles sont les valeurs êt qualités auxquelles vous tenez le plus ? Celles pour lesquelles vous êtes prêt à faire des concessions ? - Quelles sont ces petites habitudes que vous ne supportez plus ? 2. Concentrez-vous sur le futur et non sur le passé Si vous êtes encore affecté par votre précédente histoire, il est alors préférable de ne pas se lancer dans la recherche d'un ou d'une partenaire. Attendez d'être véritablement prêt et d'avoir suffisamment de confiance en vous pour vous lancer. Prenez le temps d'apprécier votre vie de célibataire pleinement, si vous n'aimez pas vous retrouvez seul avec vous-même, comment pensez-vous qu'une personne pourra se sentir à l'aise avec vous ? Il est donc important de se sentir à l'aise avec soi-même avant de rechercher un partenaire. Et surtout focalisez-vous vers l'avenir, personne n'aime entendre parler d'un ex lors du premier rendez-vous. 3. Ne vous découragez pas Après une longue relation, il peut être difficile de se retrouver célibataire et de devoir séduire à nouveau. Il est important de savoir qu'il est très rare de pouvoir rencontrer la bonne personne dès le premier rendez-vous, et c'est tant mieux. Avec deux ou trois différents rendez-vous, vous pouvez d'une part amélirer votre jeu de séduction et aussi savoir encore plus ce que vous souhaitez pour votre future relation. P.S. de Lecossais : Certains renseignements ont été pris sur le site ''Singles-Seniors''. Pensée personnelle : à nos âges, il est bon et facile de partager du ''sexe'' en couple avec une troisième personne selon que la Dame est bisexuelle ou l'homme. Moi je suis ouvert à tout; je me prête à un couple qui accepte une troisième personne ou plus. La vie est courte comme on sait !
|
|||
Heloise65 |
Date du message : avril 12, 2016 07:00 |
||
Bonjour à tous .......... Je viens faire un ti tour pour vous saluer .......< le temps deviendras soleil ................ Prendre le temps...........Aimer Aimer regards des yeux étincellent Aimer c’est se comprendre sans se parler Aimer c’est apprendre à se respect et sans juger Aimer c est avec le cœur qui bat pour l’être qui nous donne du bonheur Aimer enjouer avec un plaisir de partager Aimer c’est se donner sans compter Aimer c’est offrir une partie de son coeur L’amour et l'amitié est la belle chose à apporter à un être humain Connaître et partager sans attente Aimer c ‘est la douceur de vibrer au joie de l’Amour et de l amitié l amitié c est l 'élixir de la vie ( anonyme ) Belle journée à tous
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 14, 2016 05:54 |
||
'' Spotlight'' : Je t'avais parlé, cet hiver, de l'Oscar du meilleur film américain de l'année 2015. Je l'ai loué en DVD hier. MAGNIFIQUE ! Imagine: des journalistes du ''Boston-Globe'' ont découvert un réseau mondial de curés pédophiles. On nomme les curés de tous pays. A la suite de leur premier article, ils en ont écrit 600 autres, et juste à Boston, plus de 1000 enfants de 10-12 ans ont enfin parlé. Vaut mieux tard que jamais. A la fin du film, on énumère les pays et les villes où ce réseau existe dont le Québec et la France bien sûr, entre autres...Le réseau inclut le pape et tous les archevêques. Commentaire fait hier à des amies : C'est un film qui en vaut le peine. Ce sont des journalistes de Boston qui ont découvert et dénoncé. L'archevêque de Boston a été transféré à Rome, avec ses semblables peu après la première publication. ! A la suite du premier article dans le ''Boston-Globe'', ils en ont écrit 600 autres et dénoncé à travers le monde et au Québec. Plus de 1000 victimes juste à Boston...imagine le réseau de curés pédophiles à travers le monde ! Autre commentaire: Je viens de voir ce film qui doit se regarder dans le calme et la réflexion. Plus de 2 h. On (des journalistes) montrent et démontrent l'existence d'un système bien organisé et bien protégé de la pédophilie dans toute la hiérarchie de l'église catholique jusqu'au pape. Et ce n'est que la vérité, pas une histoire. Dans le générique de la fin, on énumère les villes et les pays où ce système existe et a été dénoncé. Bravo à ces journalistes qui n'ont pas eu peur. Ce film mérite d'avoir été choisi comme le meilleur de l'année 2015 . Penses-y quand tu iras écouter le sermon d'un curé !
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 15, 2016 07:04 |
||
La monogamie est-elle contre nature ? La monogamie est-elle contre nature ?© "A l'ombre des femmes" de Philippe Garrel (2015) La monogamie est-elle contre nature ? Le procès de la monogamie est aujourd’hui rouvert par la publication d’un ouvrage intitulé Out of Eden signé par David P. Barash, professeur de psychologie à l’Université de Washington. C’est l’hypothèse de l'influence de l’état de nature que défend Barash en expliquant que “lorsque des personnes des deux genres s’adonnent à leurs penchants polygames tout en vivant dans une tradition monogame, ils sont infidèles à leurs valeurs socioculturelles, mais pas à leur biologie”. Dans le monde animal, on dénombre seulement 3 à 5% de mammifères (lesquels?) s’adonnant spontanément à la monogamie, preuve, s’il fallait encore le démontrer, que le concept de fidélité est issue de la morale. La nécessité de faire croître les populations a pu expliquer autrefois le recours à la polygamie pour qu’un homme puisse féconder le plus de femmes possibles et ainsi perpétuer l’espèce. On a également expliqué ce besoin masculin "naturel" de multiplier les partenaires sexuels par le fait que les hommes possèdent une puissance libidineuse quasi incontrôlable, héritée de leur statut de chasseur dominateur. Quant à aujourd’hui, on persiste à justifier l’inconstance sexuelle des hommes par cet argument d’autorité construit sur un faux principe : si je ne peux pas m’en empêcher, c’est parce que je suis un homme, et si je suis un homme, ce n’est pas de ma faute. On attribue, par effet de négatif, aux femmes un intérêt naturel pour la fidélité en raison de leur rôle ancestrale de prendre un main ce qui s’applique à l’intérieur (l’homme chasse à l’extérieur, il explore) et limite donc la possibilité de croiser des partenaires sexuels potentiels. Il leur fallait aussi pouvoir attester que la descendance qu’elles portaient était bien celle du géniteur officiel, et, afin de clore le dossier, que de toute façon les femmes n’ont pas grand intérêt pour le sexe et sont bien incapables de s’y adonner si elles ne sont pas d’abord mues par des sentiments d’amour....holala !! Il est flagrant, à la lecture de ces raisons, que c’est bien la nature qui guide la main de l’homme, et jamais un intérêt personnel. D’ailleurs, nous sommes si attachés à notre état de nature que nous vivons toujours nus dans des cavernes en tuant notre prochain et qu’à aucun instant de l’histoire nous n’avons cédé notre animalité à la culture en réaménageant le monde selon nos besoins et nos envies. Imaginez où nous en serions si nous avions abandonné notre mère nourricière la nature… A nous inscrire sur des sites de rencontres extraconjugales probablement. P.S. de Lecossais : voyez Mesdames, nous ne sommes pas responsables de notre infidélité chronique. C'est dans notre nature de mâle (on le savait déjà) et si je ''sème à tout vent'' c'est que j'ai trop de sperme. J'encourage ici toutes les Dames à être infidèles ; de toutes façons elles n'auront plus d'enfants à nos âges et le plaisir sera bien plus grand...et qui sait, si secrètement ce n'est pas ce qu'elles désirent ? Je baise à tout vent est la nouvelle devise des Dames. Profite, la vie passe vite vite.
|
|||
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 15, 2016 15:24 |
||
Charlize Theron: la sexualité, une arme? Charlize Theron a admis qu'elle ne comprenait pas l'obsession du monde des cosmétiques pour la jeunesse. Selon la star de « Blanche Neige et le chasseur 2 », les jeunes femmes ne trouvent pas leur « force --sexuelle-- avant d'avoir atteint un certain âge --plus de 55--, où elles commencent à avoir confiance en elle. Elle explique : « Les femmes trouvent leur force et leur pouvoir dans leur sexualité, dans leur sensualité en devenant plus à l'aise avec elles-mêmes. » C'est la raison pour laquelle l'actrice trouve « ironique » que les marques de cosmétiques mettent en avant des mannequins de 20 ans qui d'après Charlize, n'ont « aucune idée de ce qu'est la sagesse ». Ces jeune femmes ne « connaissent pas la vie » assure-t-elle. En outre, l'actrice de 40 ans a expliqué qu'elle ne comprenait pas pourquoi les femmes matures étaient considérées comme des « fleurs mortes » quand le sexe opposé était considéré comme du bon vin « meilleur avec l'âge »... Un mystère qui visiblement peine à être élucidé. P.S. de Lecossais : cette femme gagne à être connue; elle ne dit que des vérités. Vive les femmes âgées....C'est meilleure que du bon vin, jamais bouchonnées !
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 19, 2016 09:10 |
||
Entendu au restaurant ce vendredi : ''On vient manger à l'heure des vieux'' hiiiiiiiiii Effectivement moi je prends mon apéro quotidien à partir de 16h. : une bière. Je sors le vin rouge du frigo et je le verse dans la coupe que je laisse sur la table . Il va devenir moins froid et sera à 18* pour le déguster en mangeant (1/4 de bouteille tous les soirs). J'embouteille moi-même mes bouteilles que je vais acheter à ''vin-en-vrac'' à St-Hyacinthe. Très bon vin rouge --c'est un médicament--à 7,50$/bouteille. J'en achète 36 bouteilles d'un coup. Je sais que c'est beaucoup plus cher qu'en France ou en Espagne mais ,au Québec, on n'a pas le choix : la SAQ (société des alcools) est un monopole et on se fait donc fourrer à l'os. Une bouteille, en vrac, en France coûte un euro ( 1,40$). Tu vois la différence ! Pour finir mon histoire, je mange à 17h. et tout est fini à 18h. pour les nouvelles. Est-ce parce que je suis vieux que je fais tout ça tôt ?? Pas du tout. J'ai ce rythme de vie depuis 50 ans et je suis très en forme. Quand je voyageais en France, je détestais le restaurant à 20h. Misère...Donc j'allais manger le midi : beaucoup moins cher et service rapide. Le soir, c'est pour la ''cruise'' avec une femme. Si tu veux baiser, invite une Dame au restaurant vers 19h. peu importe son âge. Invite-la à ''dîner'' --au Québec :''souper''--, elle sera ''ouverte'' et réceptive pour la suite, le digestif !
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 20, 2016 09:15 |
||
Confidences de femmes : ''J'aimerais plus de caresses et de baisers sur la bouche.''
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 22, 2016 08:19 |
||
Publié le 22 avril 2016 Euthanasie Lysiane Gagnon La Presse Décrié par certains parce qu'il ne va pas assez loin, le projet de loi fédéral sur l'euthanasie active est pourtant beaucoup plus radical que la loi québécoise. Ce projet de loi place le Canada dans le minuscule peloton de pays qui autorisent les médecins à administrer la piqûre létale à la demande du patient, soit les Pays-Bas, la Belgique, le Luxembourg et la Colombie, auxquels s'ajoutent la Suisse et cinq États américains qui autorisent le suicide assisté. Autrement dit, loin d'avoir trop tardé à légiférer, le Canada est à l'avant-garde du reste du monde. On exige en effet que le malade soit en fin de vie, alors que le projet fédéral stipule que « la mort naturelle » doit être « raisonnablement prévisible », une expression ambigüe qui peut ouvrir la porte à l'euthanasie de personnes qui ont encore plusieurs années à vivre. Contrairement à la loi québécoise, qui stipule que l'euthanasie doit être pratiquée par un médecin, le projet fédéral autorise aussi les infirmières cliniciennes à le faire... et permet à ces professionnels de remettre au patient les substances toxiques qui lui permettront de se suicider lui-même à la maison ou en compagnie de ses proches, sans supervision médicale. Pour libérer les médecins de la corvée de devoir eux-mêmes donner la mort, en leur permettant de refiler une simple ordonnance au patient. P.S. de Lecossais. Bravo et merci pour cette nouvelle loi. Enfin seul la malade peut décider qu'elle en a assez de vivre, de souffrir. On nous fait confiance, c'est rare et encore bravo. On évolue dans le bon sens. La mort est et doit être consentie, désirée, ce qui est tout a fait naturel. On va tous y passer de toute façon; si on peut éliminer les souffrances, tant mieux. Y aura pas de résurrection !
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 23, 2016 06:39 |
||
Comment votre couleur de cheveux influence votre sexualité Le gène qui donne leur couleur à nos cheveux serait également responsable, avec un certain nombre d’autres gènes, de notre comportement sexuel selon une étude britannique. Brunes, blondes, rousses...Cela parait invraisemblable, mais selon une étude du Medical Research Council et de l’université de Cambridge (Royaume-Uni) les gènes qui donnent leur couleur à nos cheveux auraient un impact sur notre comportement sexuel (âge de la première expérience, le nombre de partenaires sexuels et le nombre d’enfants). Le gène en question est appelé MCR1 et il est également à l’origine des tâches de rousseur sur la peau. Selon les chercheurs : "La peau génétiquement marquée par des tâches de rousseurs pourrait prédire des relations sexuelles plus tardives chez les femmes (mais pas chez l’homme), tout comme la chevelure rousse, cette fois-ci autant chez les hommes que chez les femmes" peut-on lire dans le rapport. Outre ce gène capillaire, 38 autres influenceraient le comportement sexuel. Les scientifiques ont notamment identifié le gène de la prise de risque ou CADM2 comme lié à des relations plus précoces mais aussi plus nombreuses. Le gène de l’irritabilité serait également lié à une première fois, mais aussi une reproduction, plus tardive que la moyenne. La génétique influence le comportement sexuel à 25% "Alors que les facteurs sociaux et culturels sont clairement compréhensibles, nous observons que l'âge du premier rapport sexuel est également influencé par les gènes qui agissent sur la maturité physique pendant la croissance et par des gènes qui contribuent à différencier naturellement nos personnalités", a déclaré l’auteur principal de l’étude, le Dr John Perry, généticien à l’Unité d’épidémiologie MRC. Au total l’âge moyen de première expérience était 18 ans, et celui du premier enfant 25 ans. Selon les chercheurs, l’effet de l’ADN sur le comportement sexuel serait de 25%, le reste venant des facteurs sociaux et culturels.Pour conduire cette recherche ils ont observé le lien entre le comportement sexuel et les caractéristiques génétiques de 380 000 personnes à travers le monde (dont 130 000 britanniques). Le but était une meilleure compréhension du comportement sexuel des jeunes afin d’améliorer les conseils de santé publique. P.S. de Lecossais : intéressant mais ce que j'aimerais savoir c'est si une Blonde ou une Rousse ou une Noire ou une Brune est plus portée , enfin si elle aime plus le sexe qu'une autre couleur de cheveux ? Ça positionnerait certaines femmes genre 'Regarde, je suis Rousse naturelle et donc je me masturbe deux fois par jour ' ou 'regarde, je suis Noire et mes cuisses s'ouvrent sans ma volonté !'...Ce que je retiens c'est que si tu as les cheveux gris, t'as aucune chance d'attraper un mâle, vaut mieux te teindre à ta couleur naturelle si tu t'en souviens (regarde en bas !!) ...ou, comme les Rousses sont plus 'chaudes' que les autres, teins-toi en Rousse et on te courra après si c'est ton intention. On attrape pas les mouches(mâles) avec du vinaigre. *Ce message a été édité le Apr 23, 2016 6:40 AM par Lecossais*
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 24, 2016 10:04 |
||
Céline56 ''J'ai follement envie de vous raconter ma dernière aventure. Mon mari et moi étions à Toulon pour un congrès trois jours, assez loin du centre. Pas prévenue que la soirée de clôture était en long, n'ayant rien prévu, me voilà obligée de dévaliser les boutiques, ce que j'avoue, j'adore ... ! Un taxi et me voilà déposée au centre de Toulon. Je n'ai pas beaucoup d'idées sur quoi porter, n'étant pas dans mes habitudes. J'ai la chance d'avoir un physique de 40 ans (j'en ai 71) qui me permet de porter n'importe quoi. Les premières vitrines m'enchantent peu, je m'offre un café et je repars à l'assaut d'autres boutiques. Là, le coup de foudre à la vue d'un pantalon noir taille basse, très moulant au tissu fluide comme je les aime. Sur le mannequin, super sexy ! Je dois essayer, chose faite, il me va comme un gant, il épouse l'arrondi de toutes mes formes comme un gant. Que mettre de très habillé au dessus ? J'ai de la chance, je flashe, passant devant chez Hermes, sur un chemisier fleuri en soie bouffant,assez décolleté. Question chaussures et lingerie, j'ai dans mes valises tout le choix possible. Me voilà rentrée à l'hôtel, j'ai tout l'après- midi pour me bichonner. Massage, bain à bulles, coiffeur, me voilà mentalement prête à m'habiller pour la soirée. Mon mari ne sera là que dans 30 minutes, je déballe mes achats et me voilà dans mes essais. J'ai opté pour une lingerie noire, mon époux adore et puis problème devant le miroir, le slip se voit et mon bustier est contraignant et assez visible. Déshabillage et essai sans dessous ! Parfait mais très limite. Le chemisier est assez indiscret surtout lors des mouvements. J'opte au final pour ne rien mettre, mes petits seins bien accrochés sont un de mes meilleurs atouts. Mon époux subjugué par ma tenue essaye d'en profiter, ce que je refuse, ne voulant pas froisser ma tenue ni être décoiffée. A la réception, mon mari accaparé à gauche et à droite, me laisse seule, au milieux de tous ces mâles qui me déshabillent du regard. Je dois avouer que ma tenue n'a rien de décent, qu'à chaque mouvement, mon chemisier assez décolleté et bouffant montre plus mes seins qu'il ne les cache. Je sens ces mâles à l'affût du spectacle. Le service est cinq étoiles, nos verres ne sont jamais vides, l'ambiance commence à chauffer, les discussions s'animent. Je suis bien entourée et me sent bien en appât potentiel. Au souper, seule encore, mon mari étant à mille lieux. Je sens l'intérêt grandissant de mes voisins de table qui en vue latérale doivent se délecter de la vue profonde qu'ils doivent avoir sur ma poitrine libre exposée surtout quand je prends mon verre ou que je me sers en me penchant ... ! Le dessert terminé, nous sommes tous assez loin, les boissons ayant coulé sans relâche. La soirée bât son plein, invitée par les uns, par les autres, je me sens bien, je me sens désirée, la danse me procure des sensations profonde, j'aime. Mon mari me délaisse, occupé avec ses collègues et surtout bine imbibé ... me laisse aux mains des autres, la musique année 60 fait naître en moi des besoins de contact. Je suis dans les bras d'un bel homme qui sent bon et qui me parle avec une voie suave comme j'aime, je me laisse aller, Nous sommes très proches, ses mains sur ma taille, un peu sur mes fesses me font fantasmer, j'ai envie, je me rapproche, une jambe entre ses jambes, nous ne faisons qu'un, je sens naître son envie, je ne fais rien pour éviter la chose, même je me frotte pour l'exciter et sentir sa protubérance s'écraser sur moi, j'aime ces érections interdites, je mouille, c'est tacite, je le sens bien, ayant un pantalon fluide sans slip, il est contre moi, tendu, presque vertical, en frottement permanent, il ne va pas pouvoir tenir longtemps à ce petit jeu, moi j'en jouis cérébralement, j'en veux plus, je lui propose à l'oreille un tour dans les jardins, je lui dis avoir envie de le sentir en moi. Au détour d'une allée, nous trouvons un endroit discret, on s'embrasse fous,comme des collégiens, on s'écrase nos bouches, nos langues se mêlent, ma main dans son pantalon, je tiens sa tige rigide prête à exploser. L'envie de cette tige gonflée de désir en moi me fait faire des folies, je baisse en une fois mon pantalon, je l'enjambe et je guide son pieux en moi, il entre comme dans du beurre, je me mets en mouvement, je monte, je descends, je jouis le sentant éjaculer avec force en moi. Rentrés, ayant mis un peu d'ordre dans nos vêtements comme on pouvait, nous rejoignons discrètement nos conjoints respectifs ne s'étant rendus compte de rien. J'aime ces baises animales avec les maris des autres pleins de fougue. Rentrés dans notre chambre, encore remplie du jus de mon amant d'un soir, mon mari m'a honorée comme jamais se croyant responsable de mon intimité débordante ...! Je suis morte ... ! mais heureuse.
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 25, 2016 11:50 |
||
On en apprend tous les jours : Révélations étonnantes et vraies sur le clitoris, ce petit organe pour le plaisir de la femme. Toutes les animaux ont un clitoris, même les canes, les oiseaux... les vaches, les juments...etc...et ce clitoris est situé , pour toutes les animaux (on écrit ''toutes'' parce que je parle d'animaux femelles là ! ), est situé donc à l'INTÉRIEUR du vagin. Oui oui. Si tu pensais que toutes ces animaux femelles ne jouissaient pas, tu te trompais. Il suffit qu'elles soient pénétrées par un pénis, un gode, un concombre ou le manche d'un tournevis ,elles jouissent de la pénétration, elles le demandent, elle sécrètent une odeur qui attire le mâle genre ''j'adore ou ''eau sauvage...ou '' Isabelle Adjani''''. Ces animaux femelles aiment être léchées mais pour avoir un orgasme, c'est par la pénétration...SAUF pour les femmes , les humaines quoi. Hé oui, l'évolution de la race humaine a fait qu'à un moment donné, les femmes ont relevé la tête, se sont redressées pour finalement, après des millions d'années, réussir à se tenir debout sur deux pattes, d'où, avec le temps, leur clitoris s'est vu, avancé, devant la vulve et non à l'intérieur du vagin. Seules les Dames ont un clitoris à l'EXTÉRIEUR du vagin, un petit bouton qui ne sert que pour le plaisir . Messieurs, si vous voulez faire plaisir à une Dame, passez votre langue dessus...après beaucoup de caresses des oreilles, du cou et des baisers sur la bouche. La pénétration ne fait pas jouir une Dame pour 80% d'entre elles. Son point G à elle, contrairement aux animaux, se nomme le point ''C'' pour clitoris. A manipuler doucement et avec précaution. Autre révélation étonnante mais vraie : le clitoris augmente de volume avec l'âge. Chez les petites, il est à peine visible, tout petit ; chez les Grands-Mamans, il est tout GRAND. Plus une Dame est avancée en âge, plus son clitoris est volumineux . Plus facile à trouver donc, on ne peut passer à côté quand on caresse une Dame. Embrasser son clitoris est un baume pour elle, elle ne s'en lasse pas. Une Dame de 75 ans a le plus gros clitoris qu'on puisse imaginer, plus gros que toutes les animaux et les femelles humaines plus jeunes. Vive le clitoris des dames âgées !! Les chanceuses !!...car pour les hommes, c'est l'inverse: plus un homme vieillit, plus son pénis rapetisse, c'est pour ça que les hommes d'un certain âge cache leur âge...
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 26, 2016 09:59 |
||
Orgasme lors de pénétration à l’anus Lettre reçue : 'Je suis avec mon copain depuis un an et nous faisons bien l’amour. Mais le seul orgasme que je connaisse est l’orgasme clitoridien avec pénétration de l’anus avec son doigt ! C’est très bon mais je me demande si je suis vraiment normale de ne jouir que de cette façon. Je me demande si je ne suis pas lesbienne, étant donné que ‘’je n’ai pas besoin de son pénis pour avoir un orgasme’’. Il me dit que je suis très jeune (56 ans) et que l’orgasme vaginal, je le connaîtrais sûrement plus tard, quand je serais plus mûre !!Pouvez-vous m’éclairer là-dessus? Est-il normal de jouir ‘’avec l’anus’’. ' Réponse de notre gentille spécialiste : ' Le fait d’avoir l’orgasme par pénétration de l’anus est relié à votre fantasmatique sexuelle personnelle et tant que cela ne fait pas de mal à personne, il n’y a pas lieu de s’en inquiéter ni de juger ce fantasme comme normal ou non. Aimer être pénétrée à l’anus a nécessairement une signification symbolique au niveau de votre façon de gérer votre sexualité (anxiétés à contourner et besoins psycho-sexuels à combler), mais cela ne signifie pas, en soi, que vous soyez lesbienne. Pour avoir une meilleure idée de votre orientation sexuelle, vous avez d’abord à vous demander ce qui vous attire vraiment sexuellement: les hommes, les femmes ou les deux à peu près également (auquel cas, votre orientation serait plutôt bisexuelle). Une autre façon de vous poser la question, c’est d’identifier plus précisément ce qui, au niveau de votre imaginaire érotique, vous excite et produit l’orgasme. Lors de la pénétration a-n-a-le, par exemple, êtes-vous en train de penser combien il est bon que votre partenaire masculin vous pénètre de cette manière ou est- ce que vous vous imaginez plutôt que c’est une femme qui vous pénètre de ses doigts? Dans le premier cas, votre orientation serait soit hétérosexuelle ou soit bisexuelle (si vous avez parfois des fantasmes homosexuels dans d’autres contextes). Dans le deuxième cas, il est probable que vous ayez une attirance homosexuelle mais il reste possible que vous soyez bisexuelle si vous trouvez également plaisir à vivre des moments sexuels avec votre partenaire masculin. En fait, les choses ne sont pas simples lorsqu’il s’agit d’identifier l’orientation sexuelle de quelqu’un car le degré d’homosexualité peut aller du simple fantasme non-actualisé à une attirance intense et exprimé envers un ou une partenaire du même sexe. Bien des gens ont essentiellement une orientation hétérosexuelle tout en ayant quelques fantasmes homosexuels. Cela ne fait pas d’eux des homosexuels. Pour ce qui est de l’orgasme vaginal, l’âge et la maturité n’ont pas nécessairement à voir là- dedans. Bon nombre de femmes ne connaissent jamais l’orgasme vaginal et se sentent tout de même satisfaites de leur sexualité. Toutefois, pour favoriser l’orgasme vaginal, il est d’abord nécessaire que la femme érotise la pénétration vaginale, c’est à dire qu’elle y trouve plaisir et excitation lorsqu’elle imagine et vit ce type de pénétration. Comme vous avez plutôt érotisé la pénétration a-n-ale, cela peut être plus difficile pour vous que d’érotiser la pénétration vaginale, mais cela n’est pas impossible. Cela dépend beaucoup de la présence, inconsciente ou non, d’anxiétés à l’idée d’être pénétrée vaginalement. Si, avec le temps, vous développez des fantasmes de pénétration vaginale excitants, cela vous donnera une chance de parvenir à l’orgasme vaginal. Si, malgré vos efforts dans ce sens, vous ne parvenez pas à vous sentir vraiment excitée par la pénétration vaginale, vous aurez à identifier ce qui vous empêche d’érotiser ce type de pénétration et d’y trouver plaisir. ' P.S. de Lecossais : Ici nous lisons les explications d'une spécialiste fort intéressantes. Les orgasmes, toutes les humaines l'acceptent d'où qu'ils viennent , du clito, du vagin ,de l'anus, des seins hé oui possible...et de tous ces endroits en même temps s'ils sont stimulés. J'ajoute, que pour les hommes, TOUS les hommes sont sensibles de l'anus si ce petit trou-muscle est bien préparé par de l'huile et agrandit petit à petit par une amie. . Une fois bien préparé, on peut le pénétrer et atteindre la prostate, petite boule qui peut être flattée par le 'majeur' ou un gode , et l'homme atteint l'orgasme suivi d'une éjaculation ou non. Il peut avoir évidemment deux orgasmes en même: un venant de la prostate et un venant de sa queue bandée, en éjaculant ou non. Comme le dit notre spécialiste, tout est une question de préparation, d'exercises et d'érotisation de nos zônes sensibles...et n'oublie pas chère amie, qu'il n'y a pas d'âges pour apprendre et se stimuler, pour se garder en forme ,sexuellement. Pratiquons donc le plus souvent possible et nous dormirons mieux... *Ce message a été édité le Apr 26, 2016 10:01 AM par Lecossais* *Ce message a été édité le Apr 26, 2016 10:04 AM par Lecossais*
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 28, 2016 09:53 |
||
J'aimerais te parler d'une aventure que j'ai vécue l'an passé et qui a duré trois ans. Je l'ai connue sur un site 'gaydaddy', un site internet pour les hommes âgés qui ont besoin d'une aventure sexuelle pas 'compliquée', ce qui exclut les femmes ! Ce ne sont pas nécessairement des homosexuels mais des hommes la plupart du temps hétéro, qui ont le goût de jouir sans problème. Son annonce a attiré mon attention : elle est grosse ( dans les 200), mais a toutes les allures d'une femme, c'est pourquoi j'emploie le féminin ici. Elle a un pénis mais se sent femme, veut être reconnue comme femme, s'habille en femme (est-ce qu'il y a une façon de s'habiller en femme? ), prends des hormones pour éliminer ses poils et que ses seins poussent. Elle aime son pénis, elle l'adore, c'est la seule 'chose' qu'elle veut garder de son côté mâle. Ce genre de personnes dite 'transgenre' aime la compagnie des hommes, les recherche, se marie avec eux. Ce sont des femmes dans leur tête. Ce qui m'a attiré chez elle, c'est ce côté doux et sensible et super sexée. Elle me reçoit chez elle : maquillage, rouge à lèvres, jupette noire super courte, string que je tâte en curieux. Talons hauts, perruque longue (elle est chauve normalement), parfum fort, brassière à 90$ qu'elle me dit. On s'embrasse aussitôt; c'est en plein la personne que je cherchais. Gentille, patiente, douce, tolérante. Je bande aussitôt. On se connaît, on a une queue tous les deux et on sait ce qu'on veut. Caresses debout et on passe à la chambre. Sur la table de chevet, lubrifiant, gode petit et électrique pour l'anus. Je m'en servirai plus tard pour accompagner sa masturbation. Je veux lui faire plaisir. Je m'étends sur lui, ma tête vers sa queue et mes testicules sur sa bouche. Elle est musclée, gros ventre pour me frotter. Je le branle, sa queue, petite et dure, aime. Elle ne semble pas pressée et je m'amuse sur son membre qui va couler bientôt. J'ajoute le gode entre ses fesses et elle m'inonde de son sperme chaud. Comme le bonheur est un ensemble de souvenirs heureux, je garde cette aventure en mémoire, qui est pour moi maintenant , un fantasme imagée que je fais intervenir dans mes masturbations solitaires. Même si nous, on oublie avec le temps, notre corps n'oublie jamais rien ...C'est la beauté de la vie. Gardons les yeux ouverts, il pourrait nous arriver d'autres aventures inattendues. A nos âges, on a tout à gagner. *Ce message a été édité le Apr 28, 2016 9:55 AM par Lecossais*
|
|||
Lecossais |
Date du message : avril 30, 2016 06:53 |
||
Es-tu trop grosse pour faire l’amour ? La question peut choquer mais une enquête révèle que plus d'une personne sur quatre se pense trop grosse pour faire l'amour. Environ 24% ont reconnu que leurs kilos en trop perturbaient leur vie intime. Pour être à l'aise sous la couette, il faut se sentir bien dans son corps. Pour preuve, une nouvelle enquête* relayée par le site anglais Dailymail montre que plus d'une personne sur quatre s'estiment trop grosse pour faire l'amour. Une sur deux a déclaré que la prise de kilos avait fait chuter leur confiance en elles et 24% ont reconnu que cela avait affecté leur vie sexuelle. De façon plus général, 57% des personnes sondées ont indiqué que la prise de poids avait réduit leur bonheur. 5 conseils faciles pour maigrir vite Le Dr Sally Norton, experte en poids du NHS ( National Health Service, système de santé publique du Royaume-Uni) a donné cinq conseils faciles pour perdre du poids... et retrouver confiance et satisfaction sous la couette : - Eviter les aliments transformés - Manger dans une petite assiette pour éviter les portions démesurées - Ne pas dépasser l'équivalent de 6 cuillères à café de sucre par jour - Boire de l'eau. Par exemple un verre d'eau avant chaque repas réduit la quantité de calories consommées. - Dormir bien et suffisamment. * L'enquête a été réalisée par Kinetik Wellbeing P.S. de Lecossais : aucune femme ne devrait se sentir trop grosse pour faire l'amour. Il suffit de faire de l'œil à un homme gros et il te répondra. Mais si elle est grosse, la bonne et la meilleure façon de faire l'amour à une dame en poids est de multiplier les caresses, les baisers...et de la faire jouir de son clitoris ou qu'elle le fasse elle-même pendant que sa-son patenaire fait de même sur lui. Après,si le moment est venu de faire une pénétration, il est très intéressant de prendre la position dite ''levrette''. L'homme voit les plus belles images de la dame, ses fesses, sa longue fente et son vagin. Il peut alors faire des va-vient sans se fatiguer des bras, la dame peut (doit) bouger du cul et le contact est complet. L'homme peut aller profondément en elle, et elle, peut serrer fort ses muscles pour emprisonner son homme. Et bien sûr, c'est la meilleure position pour les personnes très âgées. On peut même laisser ses dents dans le bol !
|
|||
Lecossais |
Date du message : mai 1, 2016 07:03 |
||
***Histoire vraie*** Suzie 1 Un petit bonheur Montréal, St-Henry, 1984 Par un beau samedi matin chaud et ensoleillé de printemps, assit nu sur le sofa du salon, jambes écartées, ne portant que des bas nylons vert lime a large bande élastique décorative aux cuisses, je me faisais faire une pipe par ma copine sous le regard attentif du chat bien installé dans mon fauteuil préférer. Un gros matou de ruelle gris avec du long poil de Yack et des yeux verts luisants comme des pierres précieuses. Roulé en boule au soleil, il me fixait comme s’il m’enviait celui-là. Je ne pus m’empêcher de lui tirer la langue entre deux gémissements de plaisir tout en remontant mes bas qui faisaient paraître la peau lisse et laiteuse de mes cuisses longues et fines encore plus blanches. Depuis que je suis tout jeune, j’adore m’épiler complètement et porter des bas nylons ou des bas culottes et toute sorte de vêtements féminins. Cela m’as toujours fait bander très dur et surtout jouir avec beaucoup plus d’intensités. D’abord les vêtements de ma mère quand elle était au travail, puis les miens quand j’ai enfin pu quitter la maison a 18 ans pour fuir ma région natale et émigré a Montréal, une vraie délivrance. Je me suis monté rapidement toute une garde-robe que j’achetais en général usager à l’armée du salut ou dans des friperies. Acheter du neuf en magasin était beaucoup trop gênant. J’ai toujours été très efféminé avec de belles courbes, une fille manquée en quelque sorte et la risée des autres a l’école et je m’en foutais royalement a l’époque. Alors en privé je m’habillais en femme, mais restais un homme au travail ou pour baiser des filles a l’occasion. C’était mon grand secret jusqu’à ce que je rencontre Suzie, une femme plus âgée que moi, et qu’on décide d’habiter ensemble. Quand je lui avais avoué mon petit penchant pour les vêtements féminins, elle avait voulu me voir en porter et cela l’avait allumé complètement. Non seulement ça lui plaisait que je me transforme en femme, mais elle m’avait convaincu de sortir ainsi tellement je donnais le change et même de vivre en femme, car j’étais bien plus heureux comme ça. Même baisé avec elle était plus bandant, plus excitant. Avec mes cheveux longs et fins teints en roux, ma taille de mannequin, un soutien-gorge à peine rembourré et un léger maquillage, j’étais vraiment jolie et tournaient les têtes. On passait maintenant parfois pour un couple de lesbiennes. Ça, c’était trop drôle. Suzie, ne portait ce matin qu’une camisole blanche étirer par ses gros seins fermes qui se balançait mollement et un minuscule slip noir laissant a l’air la moitié de ses belles fesses bien rondes. Elle était à genoux entre mes jambes et elle y mettait du cœur à sa pipe, comme toujours. Cette femme-là adorait vraiment sucer. Son sein droit au minuscule mamelon rose était sorti de la camisole et heurtait le sofa en rebondissant. C’était si beau à voir que je souris, trop heureuse de ce traitement de faveur matinal en me languissant de plaisir la peau chauffée par les doux rayons du soleil entrant par une grande fenêtre a carreau sur ma gauche. Suzie était un petit bout de femme aux épais cheveux bruns toujours tressés à la Française, dans la quarantaine, juste bien ronde comme je les aime ; jolie, grosse poitrine et beau cul bien rebondit. Une fille douce, gentille, intelligente et tout aussi vicieuse et voyeuse que moi, même plus parfois. Elle ne me refusait rien, je ne lui refusais rien, alors on filait le parfait bonheur depuis 3 ans. Elle donnait de la tête depuis 10 bonnes minutes, mes couilles dans une main, me masturbant lentement de l’autre et j’étais sur le point de jouir, je n’en pouvais plus, ça me coupait le souffle, me rendait presque folle. Je soupirais, grimaçait en caressant mes petits mamelons si sensibles et serrait les fesses en gémissant de plus en plus, les orteils repliés dans mes bas tous les sens exacerber par cette pipe fabuleuse. Jamais je n’avais connu une fille qui suçait aussi bien et elle était folle de ma bite sans prépuce. Un beau membre droit et veiné de presque 8 pouces. Je me léchais les lèvres, goûtant mon rouge, tout près de l’orgasme, couilles rentrer par en dedans, scrotum durcit. Je me retenais de plus en plus difficilement voulant profiter au maximum de se moment fabuleux, mais le matin, c’est difficile pour moi de m’empêcher de jouir trop vite, moi le sexe, je préfère ça tôt dans la journée. Elle me suçait juste le bout de la bite en plus, c’était agaçant au possible et elle le savait bien, même que ça l’amusait de me voir grimacer autant. Mon gland en forme de cloche était tout rouge et luisant de salive. Par réflexe j’essayais de le pousser le plus loin dans sa bouche, mais avec sa petite main qui enserrait si bien ma hampe couverte de salive, c’était impossible, même un peu frustrant. Cette femme-là adorait vraiment sucer, pas de doute là-dessus et elle le faisait bien, vraiment bien. Faut dire qu’elle avait plus de 30 d’expérience en la matière. Posant une main sur sa tête, l’autre sur son sein a l’air, je sentais parfaitement mon gland glisser sur sa langue humide en frottant contre son palais, c’était vraiment flippant. Elle la sortait régulièrement de sa bouche pour reprendre son souffle en me souriant comme une gamine espiègle, mais surtout pour m’empêcher de jouir trop vite. Elle me la léchait alors de haut en bas, mordillait mon gland au passage à m’en couper le souffle et m’arrachai des cris de plaisir. Puis gobait mes couilles l’une après l’autre ou me titillait l’anus avec un doigt ou du bout de la langue en me regardant les yeux rieurs avant de me ravaler comme si ma queue était un délicieux dessert. Jamais de ma vie je n’avait connu une fille comme elle, une fille qui aimait tant ; toucher, caresser, lécher et sucer une bite, une vraie obsédée, comme moi d’ailleurs. Dès qu’elle voyait mon membre ou celui d’un autre, ses yeux bruns un peut brider se fermait presque et luisait de malice et elle mouillait. Alanguie, le cœur battant, mes yeux à demi fermer river sur sa bouche arrondit ou sa grosse poitrine qui se balançait toujours mollement, je me retenais encore, dieu seul sait comment. Mes longues cuisses de fille, fine et délicate, se refermaient toutes seules contre ses épaules, mes pieds glissaient sur le plancher de bois franc, mes petites fesses serrer se contractaient. Seigneur ! Je me lamentais comme une pucelle qui se fait lécher le sexe pour la première fois. Je n’en pouvais plus, je ne pensais qu’à lui jouir dans la bouche, car elle avalait sur demande sans rechigner pour dire ensuite très souvent et tout heureuse – « Hum, il est bon ton sperme Pierre. » J’ai assez sucé de gars dans ma vie et avalé de foutre depuis mes 13 ans pour savoir que ce n’est pas vraiment le cas, enfin, rarement. Mais bon, rien ne l’y obligeait, si elle aime ça, tant mieux pour moi, j’allais pas m’en plaindre et je lui rendais la politesse à volonté. Mon coup de langue était excellent apparemment. — Suzie, je… ouf… je vais venir. Dis-je tout bas. Elle la sortit encore de sa bouche, se lécha les lèvres en stoppant le vas et viens de sa main, en serrant ma hampe a la base contre mes grosses couilles comme un garrot pour m’empêcher d’éjaculer. Puis elle cueillit du bout de la langue une goûte de liquide séminal sur mon gland rougi si sensible, l’avala, puis se lécha encore les lèvres et me sourit en disant : — Pas question, ces trop bons, ta trop une belle bite. Retiens-toi encore et arrête de te plaindre. — C’est pas correct de me faire ça. — Je sais, je suis vraiment méchante avec toi ma belle, fit-elle moqueuse en secouant ma bite avant de la frotter un moment contre son sein qui prenait l’air, contre son petit mamelon durcit. — Ouf, Suzie… — Mais qui aime bien châtie bien, non ? — Oui, mais la, je.. Je sens que je vais m’évanouir… Je n’en peux plus d’être châtié. Elle rit en rajoutant : — Poff ! Menteuse. Elle me ravala et le fabuleux supplice reprit. Quelle chance j’avais eu de rencontrer cette femme la. Je fixer un instant le plafond en me languissant de plus belle avant de tourner la tête vers la grande fenêtre du salon a ma gauche qui donnait sur les cours arrière des immeubles voisins. Notre appartement était au troisième et dernier étage d’un bâtiment de brique centenaire. Un vieil italien voyeur nous espionnait avec des jumelles depuis 2 ans et il était là, fidèle au poste, au même étage que nous. Ça aussi ça me fit frissonner, comme d’habitude, de me savoir observer. Quand on en avait envie, on ouvrait les rideaux du salon et de la cuisine en grand comme maintenant pour baiser devant lui. Il regardait, toujours à moitié nu, juste un vieux t-shirt sur le dos en se branlant. On le voyait à peine, y comprit son gros membre recourbé vers le haut qui me faisait tout de même saliver. Voyeur a l’extrême nous aussi on comprenait bien le plaisir qu’il ressentait a nous reluqué et quand on le croisait parfois dans le cartier il se contentait de nous saluer en souriant. Il était le seul du coin a savoir que la jolie rousse que j’étais a l’époque avait une bite sous sa mini-jupe. Suzie se foutait complètement de s’exhiber devant lui ou de n’importe qui d’autre, même quelle adorait. L’été, elle pouvait se mettre nue sur n’importe quelle plage juste pour le plaisir de se baigner nue, de faire du nudisme, qu’il y ait foule ou pas. De plus, cette femme-là était incapable de dire non a un homme ou de rés****r a une bite ( moi aussi d’ailleurs ) elle aimait le sexe plus qu’aucune autre femme que j’avais connue jusqu’à maintenant et ne me refusait jamais rien, le paradis. Et non, je ne suis pas jaloux et elle non plus. Même que la première fois qu’on avait baisé chez elle dans une minuscule chambrette, son voisin de palier avait débarqué. On l’avait baisé ensemble, cul et con, couille contre couille, mon premier trio. Il y en avait eu bien d’autres depuis ce temps, surtout avec notre meilleur ami qui venait faire son tour à l’occasion, une ou deux fois par mois. On buvait de la bière ou du vin avant de se ramasser au lit tous les trois. Il était bi lui aussi alors, on s’amusait bien. Rien de tel que de se faire enculé en enculant une femme, ou de lui mettre deux bites dans la chatte. Mais là, je voulais en finir, je n’en pouvais vraiment plus. — Suzie, fini moi, dis-je dents serrer, a bout de souffle, en appuyant plus sur sa tête tout en me lamentant presque fiévreuse. Elle me regarda un instant les yeux vicieux et se mit a me masturber plus vite, ne gardant que mon gland entre ses lèvres luisantes de salive comme elle le faisait a chaque fois qu’elle se préparait a avaler mon foutre. La délivrance approchait ( merci, mon dieu. ) Les yeux mis clos je fixaient ses gros seins écrasés contre le sofa et mes couilles sans poil et son cul splendide en me raidissant. Ça y était presque... J’allais éjaculer, mon cœur pompait et je manquais de souffle les doigts de pieds tous raides. Mais soudain notre vieux téléphone noir a cadran des années 60 sonna juste à côté de moi en me faisant sursauter. Comme on avait pas de répondeur à l’époque, je devais décrocher sinon, ça risquait de sonner longtemps. — Merde ! Fis-je agacer en me disant que c’était probablement pour me vendre un nettoyage de tapis. Suzie stoppa, juste au bon moment, c’était rater, pour l’instant. Mon sperme resta dans ma hampe. Elle voulut se redresser pour répondre, mais je la f***er a continuer en appuyant fortement sur sa tête de la main droite tout en étirant le bras gauche pour décrocher le combiné. — Oui ! Dis-je en voyant le vieil Italien qui se branlait toujours dans la pénombre de son salon en nous regardant à travers ses jumelles ? Je lui tirer la langue en souriant, il me rendit mon sourire. — Salut, Pierre, ça va bien ? Je figer de surprise langue sortit... La mère de Suzie au bout du fil. Elle habitait en Gaspésie à 12 heurs d’autobus de chez nous. Entendre sa voix, pile en ce moment, me donna des frissons supplémentaires, surtout en sentant les bas nylons me chatouiller les cuisses. Rien de plus bandant que de parler a une mère au téléphone pendant que sa fille vous suce la bite et qu’on porte des bas nylons, en tout cas, pour moi. Ça, c’était une première en 3 ans, c’était inattendu et des plus excitant. J’en frémis de plaisir. — Oui, et vous ? — Oui, merci, Suzie est là ? Sa mère me faisait bander également parce que ces seins étaient deux fois plus gros que ceux de sa fille et qu’elle se ressemblait terriblement. Je ne l’avais jamais rencontrée, juste vue en photo. Les gros seins me rendre fou et j’aime les femmes âgées depuis l’enfance, depuis que je me branle, elles m’ont toujours exciter. Et la, juste de lui parler en imaginant sa poitrine me fit bander encore plus dure dans la bouche de sa fille. Dieu que j’aurais aimé que la mère soit là pour me sucer avec elle ou pour baiser ensemble. Mais sa mère était ultra religieuse, alors, ça n’arriverait jamais, même si elle était toujours très cool au téléphone, même si elle doit sucer elle aussi, les femmes le font toutes. Et évidemment, elle ne savait pas que ça fille habitait avec un travesti, elle en aurait sûrement fait une crise cardiaque. — Suzie, c’est ta mère au téléphone, criai-je comme si sa fille était loin. Suzie me regarda intriguer et je lui fis un clin d’œil. — Elle est aux toilettes, Mme Cormier, elle dit que ce ne sera pas long. Suzie stoppa, la bouche arrondit par ma queue, le menton plein de salive en réalisant que c’était sa mère au téléphone. Elle déglutit en écrasant mon gland contre son palais, je faillis exploser encore une fois. Je lui pesé sur la tête pour lui signifier de continuer, ce qu’elle fit sans rechigner sachant que j’étais tout près de jouir. — Bon, je vais attendre. Répondit sa mère. — Ça va bien en Gaspésie ? Suzie stoppa et me mordilla le gland les yeux rieurs. Outch ! Seigneur ! Je déglutis en retenant un cri tout en me mordillant la lèvre inférieure en la fustigeant du regard. Elle rit en me donnant un baiser sur ses empreintes de dents bien visibles sur mon gland rougi. — Oui et toi Pierre ? À Montréal, y doit faire chaud et humide, déjà ? — Hein ! Eh… Oh oui ! Moi ça va, et votre gros chat, toujours aussi nono ? — Va chier Pierre, dit-elle avec entrain avant d’éclater de rire avec moi. Même si l’on ne s’était jamais rencontré, chaque fois qu’on se parlait au téléphone on s’entendait bien. J’aimais la taquiner sur son chat, car apparemment, son gros matou obèse regardait passé les souris sans bouger, comme le nôtre, qui me fixait toujours aussi intensément d’ailleurs. V’là Suzie qui se suce le majeur de la main droite pour bien l’enduire de salive en me fixant droit dans les yeux, puis me le montre en souriant, me faisant un doigt d’honneur, avant de me le glisser tout doucement dans le cul l’autre main enserrant toujours ma hampe. Seigneur ! Ma bite raidit encore plus sous ses petits doigts. Qu’elle me fasse ça pendant que je parlais avec sa mère, c’était bandant à mort. Une fois son doigt bien enfoncer entre mes fesses, elle l’agita puis fit un lent mouvement de vas et viens qui m’agaça au possible. Jésus, Marie, Joseph ! Me v’là la bouche ouverte à chercher mon air, les orteils tout croches dans les bas nylons et les yeux tout ronds. — Pierre ! T’es fâché ? — Hum ! Mais non ! Madame Cormier, vous êtes mal engueulé tabarnouche, vous avez pas honte ? — Pentoute, je suis une fille de pirate moi et insulte plus mon chat ma tabarouette, sinon je descends a Montréal juste pour te donner la fessé. — Comprit madame le pirate. Elle rit tandis que je grimaçais terriblement, les joues en feux m’imaginant couché sur ses genoux, cul nu à recevoir une fessée la bite coincer entre ses cuisses en sentant ses gros seins appuyer sur mes reins. Oh oui ! Quand elle voulait. — Et ma fille, toujours aux toilettes ? « Non, elle me suce à nouveau en me masturbant et me passe un doigt dans le cul. » — Eh oui, la grosse commission, j’imagine. — Quant y faut, y faut. Je me demandais ce que ça faisait a Suzie de me sucer et de m’enculer avec son doigt en sachant que je parlais a ça mère. En tout cas, elle sembla y mettre plus d’ardeur en agitant la langue autour de mon gland. Ses gros seins durs se bousculaient joliment et elle lâchait des ( Humrfff... Hurmfff… ) par le nez. C’était bandant comme tout, surtout son doigt allant et venant entre mes fesses. Le vieil italien devait en saliver comme un pitbull devant un facteur. Ça redoublait toutes mes sensations, ça agaçait tellement, a rendre folle. Même mes petits mamelons en étaient plus durs et beaucoup plus sensibles. Ça me fit penser qu’il y avait trop longtemps qu’un homme ne m’avait pas enculé. — Et… et votre jardin ? demandai-je sans réfléchir. — Sous 10 pieds de neige, nono, c’est pas Montréal ici et il y a un maudit raton laveur qui s’est installé dans mon garage… L’autre jour, je cherchais ma pelle quand... Heureusement, sa mère aimait parler alors, je l’écoutais distraitement en regardant le beau cul rebondi de sa fille, ses seins et sa bouche imaginant sa petite culotte détremper. Je songer un instant a lui passer le téléphone pour la baisé pendant qu’elle parlerait a ça mère, lui faire rebondir les fesses et les seins, mais l’idée de lui jouir dans la bouche m’excitait plus que tout. — … j’ai appelé l’exterminateur, mais…. Pierre, t’es là ? — Hum, oui… — T’as l’air essoufflé toi. — Oui, je viens de.. de.. Ouf… de faire mon jogging. — Par un froid pareil, tu vas att****r la mort. — Mais non… je… ici il fait vraiment chaud. — Vous êtes chanceux, fait que la, le gars s’amène, un beau gars à part ça, et…. En sentant mon scrotum durcir et des gouttes de liquide saler tomber sur la langue Suzie, je compris qu’elle avait compris que j’allais jouir cette fois. Elle me masturba avec vigueur au point où je devins tout raide et toute grimaçante en soulevant les jambes pour croiser mes pieds sur ses reins orteils retrousser au risque de percer mes bas nylons préférer. Je du mettre la main sur le combiner pour ne pas que ça mère, qui parlait toujours, ne m’entende gémir de plaisir. L’orgasme approchait, le sperme montait dans ma hampe, mon cœur accélérait et j’en avais le souffle coupé. J’en pleurais presque de plaisir. — … pis la, y ma sauter dessus le maudit, pas le gars nono, le raton, et j’ai crié, et... Et je jouis soudainement en retenant de peine et de misère un cri de plaisir. Mon premier jet de sperme jaillit avec f***e dans la bouche chaude de Suzie arrosant son palais puis sa langue. Elle sursauta un peu avant d’avaler rapidement, puis chaque giclée de sperme qui suivit. C’était divin, fabuleux, libérateur, surtout avec son doigt dans mon cul. J’en pleurais presque de soulagement. Je déchargeais en écoutant sa mère qui parlait toujours, mais distraitement, sentant la langue de sa fille écraser mon gland contre son palais chaque fois quelle déglutissant. Mon corps si féminin était parcouru de spasme, le cœur voulait me sortir de la poitrine. Mon anus expulsa lentement le doigt de Suzie, un petit plaisir de plus. — Pierre ! — Hum ! — Je t’ennuie ? — Oh non. — Ça va ? On dirait que tu te tapes une crise cardiaque. — Oh oui, je veux dire, oh non ! Pis, le raton laveur ? — Yé mort. — Pauvre lui. — Bof ! Y va faire un bon ragoût. — Hein !!! — Mais non, je te niaise nono. — Ben drôle, la Gaspésienne, fille de pirate. — Ma fille est-tu morte aux toilettes, cou dont ? — Non, elle arrive justement... J’avais fini d’éjaculer, j’étais à bout de souffle, soulager, alangui en reposant mes pieds par terre. Suzie se redressa, les joues rougies, les yeux vitreux en finissant d’avaler. Tout sourire, je lui donner le téléphone avant qu’elle n’est eu le temps de s’essuyer la bouche et le menton dégoulinant de sperme épais et gluant. — Allo, maman, dit-elle assise sur ses talons me faisant des petits yeux méchants, tandis que je secouais ma queue rougit pour bien me la vider en jetant un coup d’œil au vieil italien en levant le pouce en signe de victoire, il fit pareil. J’en conclus qu’il avait dû jouir lui aussi. La vie vous apporte de ses petits bonheurs parfois. Français © 2007-2016 xHamster.com - Histoires de baises gratuites journalières! P.S. de Lecossais : En ce 1 mai, fête des travailleurs, je sais que tu apprécieras une histoire gaspésienne à lire en pyjama, bien étendue, ton vibrateur à côté. Je dédie cette histoire à ''Tigris2'' qui se reconnaîtra, et ''Héloïse-Chérie'' qui devra laisser envoler son ''papillon'' pour l'occasion !
|
|||
Page 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | 39 | 40 | 41 | 42 | 43 | 44 | 45 | 46 | 47 | 48 | 49 | 50 | 51 | 52 | 53 | 54 | 55 | 56 | 57 | 58 | 59 | 60 | 61 | 62 | 63 | 64 | 65 | 66 | 67 | 68 | 69 | 70 | 71 | 72 | 73 | 74 | 75 | 76 | 77 | 78 | 79 | 80 | 81 | 82 | 83 | 84 | 85 |