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Famille : La sexualité n'a pas d'âges
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Auteur
Sujet : Opinions
Lecossais |
Date du message : novembre 2, 2017 05:44 |
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*** La perversion érotique n'existe pas *** J'aime mettre de l'ordre dans mon cerveau et le fait d'écrire fait cet effet. Tu es obligé de penser avec ta tête alors que tu veux parler de ton cul. Ainsi comme dois-je te dire ce qui s'est passé hier vers 20h. ? On était assis au salon de notre nouveau condo en Floride à regarder 'MindHunter', une série 'netflix', nus évidemment. Super fatigués après l'installation, les bagages, le miel ,les confitures, le vin pour deux mois :Merlot de Californie en vrac; la bière américaine deux fois moins cher qu'au Québec. Bon, on est assis au salon, tu nous vois là ! bon, c'est bien de visualiser, petite coquine. Mimi vient tout juste de se raser le minou au 'ladyshik'...mais je fais mine de rien, concentré sur les crimes sexuels, alors que ELLE, elle ouvre de 2 centimètres les genoux et me met une main sur la cuisse. Je fais le matou qui dort...Et tout à coup, je ne sais pas ce qui lui a pris, elle met son pied de travers directement sur le divan, sa fente se trouvant grande ouverte. J'ai beau regarder ailleurs, je garde le contrôle, mais ma langue se dirige directement sur son bouton. J'ai la tête en bas, le cul en l'air et c'est là qu'elle en profite pour me flatter les fesses, même qu'elle a effleuré entre. Plus rien n'existe, les criminels peuvent faire ce qu'ils veulent, mon cerveau a décidé de lécher ce clito , cette fente ouverte qui m'implore. Bon ,tout ceci n'était pas prévu. Mais ELLE, elle y a pensé. On se dirige vers la chambre, et déjà la grande serviette est déjà étendue: la coquine avait tout prévu et je n'ai rien vu! C'est ça les vieilles: tout en cachette ! Son gode rose, l'huile, tout est là, même mon plug mauve. 'Qu'est-ce que tu préfères, te le mettre ?' dis-je. 'Je veux que tu me fourres ta queue'!! me dit-elle. Misère là j'ai toute une job ! Elle a beau me branler la queue, je vais m'en charger comme d'habitude. Elle se met le gode dans le vagin huileux, me met un doigt dans l'anus et je m'occupe de ma queue comme je sais le faire. Encore la tête en bas sur son clito! Voilà, tout est en place pour notre orgasme. Elle jouit, j'éjacule sur son ventre en même temps et se finit pour un dernier orgasme sur son clito vibré, la salope. Finalement, ce sont les femmes qui décident, se font jouir quand elles veulent tout en gardant un œil sur la queue à côté. C'est ça que j'appelle mettre de l'ordre dans son cerveau. ***Terminé 'Geisha' et 'Pilgrim', excellent trilleur de 900 pages ; j'ai commencé un bijou de livre: 'Les Souvenirs' de David Foenkinos. A-t-on une MÉMOIRE EROTIQUE ? Quels sont nos souvenirs sensuels mémorables ? Je suis en train de faire le tri là et ça va être long ! *Ce message a été édité le Nov 2, 2017 5:50 AM par Lecossais* *Ce message a été édité le Nov 2, 2017 5:54 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : novembre 3, 2017 07:19 |
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*** LE CUL DE SUZON *** Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/ Je l’avoue sans honte, je suis fessomane. En un mot comme en cent, je vénère le cul ! Celui des femmes bien entendu ! Pas le cul poilu et incomplet des hommes, qui ne débouche sur rien d’autre que sur une disgracieuse paire de couilles, surmontée d’un non moins repoussant goupillon. Non, ce que j’aime par-dessus tout, c’est le cul de ces dames, cette lune riante et rayonnante qui me transforme en explorateur et m’invite invariablement à me prendre pour Jules Verne ou Hergé, partant à la découverte de ces terres lunaires, glissant dans le canyon profond qui les sépare, débouchant tantôt sur la jungle d’une toison pubienne, tantôt sur la rondeur glabre d’un petit con joufflu entre lequel je peux enfin m’enfoncer à loisir. Car en dehors de sa beauté rieuse – ne parle-t-on pas d’un « posté-rieur » –, le cul féminin est une porte, un chemin initiatique vers le paradis. Dès que mes pas s’inscrivent dans ceux d’une adorable inconnue, mes yeux sont comme aspirés par cette rondeur fascinante qui m’invite à la suivre, en me lançant des « clins-de- fesses » à chaque pas de la belle. Je suis sûr que, comme moi, vous avez remarqué ce balancement sensuel et naturel qu’aucun cul masculin ne saura jamais égaler. Un balancement aussi éblouissant que celui du pendule d’un hypnotiseur, capable de me faire oublier ma destination et m’aimanter, aussi irrésistiblement que le pôle magnétique attirant l’aiguille d’une boussole. Il m’est ainsi arrivé de faire des kilomètres à la poursuite d’un cul particulièrement captivant, de prendre le métro, le bus, le RER, sans quitter du regard les deux sphères magiques, avant de les voir disparaître à mon plus grand désespoir, tantôt dans un taxi, tantôt derrière une porte d’immeuble, me laissant comme un somnambule sortant de son rêve éveillé à plusieurs kilomètres de chez lui. C’est ainsi que j’ai rencontré Suzon, 62 ans. Elle se tenait à l’arrêt du bus juste devant la terrasse où je prenais un café. Elle portait une petite robe d’été, serrée à la taille, qui mettait en évidence la courbe sensuelle de ses hanches et la rondeur affolante de sa croupe. Elle me tournait le dos, visiblement absorbée par la lecture de son roman, me laissant m’enivrer de son superbe derrière et de cette paire de fesses dont je pouvais presque percevoir la chaleur, tandis que mes yeux remontaient le long de ses cuisses dénudées. Des cuisses fermes, un peu rondes, juste comme il faut. Pour qu’un cul acquière toute sa splendeur, il faut qu’il soit monté sur une belle paire de cuisses, s’arrondissant harmonieusement tandis qu’elles s’élèvent vers le paradis. J’ai tout juste eu le temps de laisser un billet de cinq euros sur la table en faisant signe au serveur, avant de me précipiter dans le bus où elle venait de disparaître. Toutes les places assises étaient occupées. Je me tenais à la main courante à moins d’un mètre de cette inconnue qui m’avait marabouté par le seul pouvoir de ses fesses. Pour la première fois, je pouvais distinguer son visage, de profil car elle était encore plongée dans la lecture de son roman. Elle portait des lunettes. Des boucles rousses retombaient sur ses épaules, encadrant une paire de seins parfaitement raccord avec son généreux fessier. Je n’y peux rien, mais lorsque je regarde le décolleté d’une femme, je ne peux pas m’empêcher de penser au sillon profond qui sépare ses fesses, et qui, contrairement à celui des seins, mène à d’extraordinaires trésors. Les rondeurs de leurs attributs mammaires ne sont là que pour me rappeler l’astre rayonnant qu’elles abritent sous leurs jupes et qui me capture invariablement dans son orbite comme un misérable objet céleste attiré par le soleil. Elle a fini par se retourner vers moi, prenant conscience de ce regard que je laissais courir sur elle depuis de longues secondes. Je lui ai souri le plus naturellement du monde, de ce sourire béat et un peu stupide que l’on a dans les moments d’extase. Elle a haussé les épaules en faisant une grimace un peu méprisante, et elle m’a tourné le dos sans même réaliser qu’elle m’offrait le plus beau des cadeaux. J’aurais pu le toucher, si j’avais seulement avancé la main de quelques centimètres. Mais je me suis contenté de le regarder, se dressant fièrement sous le rideau fleuri de la robe. Un homme était assis juste à côté d’elle, plongé dans la lecture de son journal. Et j’aurais voulu l’arracher de sa place pour pouvoir m’y installer, le visage à quelques centimètres de ses cuisses, pour m’enivrer de leur odeur et laisser mon regard se glisser sous les plis de sa robe agitée par les secousses du bus. Lorsqu’elle a appuyé sur la sonnette pour demander l’arrêt, elle m’a regardé une nouvelle fois et, une nouvelle fois, je n’ai pu lui retourner que mon sourire de ravi de la crèche. Elle allait descendre et je n’allais pas pouvoir m’empêcher de la suivre. Elle me remarquerait tout de suite. Hésiterait, après s’être retournée une ou deux fois pour m’évaluer. Avant de s’arrêter et me faire face. — Si vous n’arrêtez pas immédiatement de me suivre, j’appelle la police, c’est compris ? — Excusez-moi, Mademoiselle, mais dans le bus j’ai cru remarquer que vous lisiez La Pharmacienne d’Esparbec et je ne sais pas ce qui m’a pris, j’ai eu soudain envie de vous parler. J’ai vu avec soulagement son visage de rousse s’empourprer et j’ai béni l’ouvrage du *****ocrate de m’avoir donné une occasion rêvée pour l’aborder. Je ne pense pas qu’elle aurait aussi bien réagi si je lui avais annoncé tout de go ne pouvoir résister au pouvoir magnétique de son cul. — Ne soyez pas gênée surtout. Je trouve cela formidable que des Dames lisent ce genre de récits. Même si Esparbec se complaît parfois dans l’excès, il a une façon tellement décomplexée de présenter les choses du sexe que même les pires horreurs arrivent à nous émoustiller. — Je… on me l’a prêté. C’est la première fois que je lis un ouvrage de ce genre. — Je n’en doute pas, Mademoiselle, et le rouge brillant qui enflamme vos joues en témoigne indéniablement. Elle ne savait que répondre, se contentant de me regarder comme si j’étais un extra-terrestre débarqué d’une planète inconnue. Je crois que mes soixante-cinq ans, mon allure sportive et élégante, mon épaisse chevelure poivre et sel, et mon teint méditerranéen, ont dû la rassurer. Je lui paraissais sans doute étrange et curieux, mais probablement pas dangereux, et l’éclat brillant qui illuminait ses grands yeux verts m’incitait à penser qu’elle souhaitait en savoir plus sur cet inconnu expert en littérature *****ographique. — Écoutez, je ne voudrais pas m’imposer, mais il y a une jolie terrasse juste là. Me permettrez- vous de vous inviter à un café ? Elle a hésité une longue seconde, regardant sa montre, moins pour vérifier l’heure que pour se donner le temps de la réflexion. — Pourquoi pas, mais j’ai un rendez-vous dans trois quarts d’heure. — Magnifique ! Merci, vraiment. Le piège était tendu et tandis que nous nous avancions vers la terrasse ombragée, je ne pouvais m’empêcher de penser à ce cul qui se balançait sensuellement à mes côtés et que j’observais discrètement du coin de l’œil avec l’espoir de pouvoir bientôt y promener autre chose que le regard. Je n’ai pas eu trop de mal à la convaincre qu’un verre de vin blanc conviendrait mieux à cet après-midi ensoleillé. J’ai commandé une bouteille de pinot grigio, en la rassurant en lui disant qu’elle pourrait m’abandonner quand bon lui semblerait. — À votre santé et à la santé des *****ocrates ! Si je ne suis pas indiscret, consentiriez-vous à me dire comment vous en êtes venue à lire ce genre d’ouvrage ? — Et vous ? — Moi ? Oh bien sûr. Voyez-vous je suis professeur d’anthropologie et je m’intéresse plus particulièrement à la place du sexe dans les sociétés modernes. À ce titre, la littérature érotique, ou mieux por-no-graphique, apporte des perspectives particulièrement intéressantes sur les mœurs de nos contemporains et sur les fantasmes qui les guident. Vous ne trouvez pas ? — Euh… je ne sais pas. Pour ce qui me concerne, c’est une amie qui me l’a prêté la semaine dernière. C’est ainsi que j’ai appris qu’elle s’appelait Suzon, qu’elle travaillait comme rédactrice dans un magazine féminin, et qu’un mois plus tôt, son petit ami l’avait quittée. Elle en était à son deuxième verre de vin blanc et ne semblait plus du tout préoccupée par son prochain rendez- vous. Je la regardais en souriant, plongeant de temps en temps les yeux dans son décolleté pour me glisser entre ses appétissantes mamelles. Elle a dû remarquer mes regards, car j’ai vu soudain sa peau frémir et ses joues se colorer tandis que je l’invitais à me dire ce qu’elle pensait du livre. — Les personnages autant que les situations me répugnent, et pourtant le récit de leurs ébats est incontestablement efficace, il faut bien l’avouer. — Cela vous excite ? Elle m’a regardé de ses grands yeux verts qui parlaient pour elle, avant d’avaler d’un trait son verre de vin blanc. Bien sûr que cela l’excitait, toute comme l’excitait la perspective de me l’avouer. — … Oui. — J’aimerais que vous m’en lisiez un chapitre, cela ne vous dérange pas ? — … ? Ici ? — Pourquoi pas, vous avez une autre idée ? — C’est-à-dire que… j’habite à deux pas, si vous voulez… — J’en serais honoré. C’est ainsi que je me suis laissé conduire vers son appartement, la laissant marcher juste devant moi pour contempler le va-et-vient de sa robe provoqué par l’harmonieux balancement de sa croupe. Je l’ai suivie dans l’escalier étroit menant à son appartement, au quatrième étage d’un immeuble cossu, m’enivrant du ballet de ses cuisses s’élevant devant moi, jusqu’à me laisser percevoir, l’espace d’une seconde, la blancheur éclatante d’une large culotte de coton blanc. J’ai fini par détourner le regard, craignant que mon excitation grandissante ne finisse par venir à bout de ma résistance. Ce cul était à moi, j’allais le posséder et cette idée me raidissait dangereusement la queue. — À notre santé ? — À notre santé ! Nouveau silence. Elle gardait ses genoux serrés l’un contre l’autre, et je pouvais percevoir son inquiétude et son embarras dans l’ample mouvement de ses seins à chacune de ses respirations. En réalité, j’étais presque aussi inquiet et embarrassé qu’elle, et je me contenais de lui sourire, de ce sourire benêt qui me venait à chaque fois que je pensais à son cul. Je ne voulais pas le perdre, le laisser m’échapper alors que je le tenais à portée de la main. Alors, je me suis tu, attendant qu’elle se décide à se lancer à l’eau. Elle a choisi de retarder le moment en proposant de mettre un peu de musique. Ça m’a permis de lui mater le cul en toute liberté tandis qu’elle se penchait sur la colonne de CD à la recherche d’une ambiance adéquate. J’ai avancé ma main vers le divin derrière, l’arrêtant à quelques centimètres de la croupe dressée pour en dessiner le contour et, sans jamais effleurer sa robe, sentir sa chaleur sous mes doigts. Elle a fini par choisir un album de musique malienne, un blues africain, chaud et sensuel à souhait. — Alors vous voulez vraiment que je vous lise un chapitre de La Pharmacienne ? — Rien ne me ferait plus plaisir, sauf peut-être si vous acceptiez de me le lire en me tournant le dos. — Vous voulez que je vous tourne le dos ? — Oui. J’aimerais que vous vous agenouilliez sur le divan en appuyant vos coudes sur le dossier. L’espace d’un instant elle a dû me prendre pour un fou et j’ai vu un éclair d’angoisse passer dans ses yeux. Continuer ou arrêter ? Elle devait choisir, en une fraction de seconde, et je crois qu’une nouvelle fois, mon sourire béat a dû la rassurer. Elle a éclaté de rire en me traitant de fou et en se considérant encore plus folle de ne pas me mettre dehors sur le champ. Mais elle a fini par se lever, et, après avoir pris le roman dans son sac, elle a pris la position demandée, m’offrant son cul dressé en majesté, à moins d’un mètre de mon visage. — Monsieur a un chapitre préféré ? — Non. Lisez donc à partir de l’endroit où vous vous êtes arrêtée tout à l’heure. Alors, elle s’est mise à lire à haute voix, d’une voix chaude et douce qui hésitait et trébuchait sur les chapelets de mots crus enfilés par l’auteur. Elle cambrait les reins plus que nécessaire comme si elle voulait offrir son cul à mon adoration. Tandis qu’elle avançait dans son récit, qui narrait les ébats de Beau-P et de Laura, son cul s’est mis à s’agiter, discrètement d’abord, plus visiblement ensuite, comme si une colonie de fourmis avait soudain élu domicile dans sa large culotte. — Serait-ce trop demander que de vous inviter à remonter votre robe sur vos reins ? Je vous donne ma parole que je ne quitterai pas mon fauteuil. Elle s’est arrêtée durant cinq longues secondes et je crois que mon cœur s’est arrêté de battre en même temps. Je ne pouvais pas voir son visage et elle ne pouvait pas voir le mien, défait et angoissé à l’idée d’avoir été trop vite, trop loin. Mais, lorsqu’elle a posé le livre sur le dossier du divan, et que, sans se retourner ni prononcer un mot, elle a lentement remonté sa robe au- dessus de ses cuisses, puis de ses fesses emballées dans le slip de coton blanc, pour finir par la poser sur son dos, mon visage a aussitôt repris sa béatitude mystique. J’aurais pu rester des heures à contempler le spectacle éblouissant de cet extraordinaire derrière, moulé dans un écrin blanc et posé sur une paire de cuisses musclées et bien en chair. Je pouvais deviner la ligne sombre de la raie de son cul qui se dessinait en transparence sous le coton et cette tâche sombre et humide qui se dessinait en-dessous du triangle blanc, tandis qu’elle me racontait les turpides de l’ignoble Beau-P. À la manière dont elle agitait son derrière, il est clair que le con de Suzon s’enflammait de plus belle, sous l’effet du récit qu’elle continuait à égrainer d’une voix de moins en moins assurée, mais aussi de l’exhibition à laquelle elle s’offrait, sans doute pour la première fois de sa vie. Je me suis penché par-dessus la table basse pour saisir délicatement l’élastique de la culotte du bout des doigts, et la faire descendre avec une infinie lenteur, le ventre noué à l’idée que je pourrais rompre le charme. Mais la surprise passée, Suzon a continué à lire son roman avec encore davantage de chaleur dans la voix, comme si elle vivait dans sa chair les aventures de la pauvre Bé et de son cruel beau-père. J’ai abandonné la culotte à mi-cuisse et je me suis enfoncé dans le fauteuil, épuisé et ravi comme un sportif après un intense effort couronné de succès. « Voilà, c’est fait, il est à moi », ai- je pensé, tout en me noyant dans la contemplation du superbe paysage. Ce cul bénit, cet astre rayonnant, chaud comme un soleil et pâle comme une lune. Une lune pleine et brillante qui m’attirait aussi sûrement que sa grande sœur attire les marées. La courbe parfaite que dessinaient les deux miches charnues et leur jolie teinte rose propre aux rousses semblaient sorties tout droit du pinceau de Renoir. J’ai glissé mon regard dans le ravin profond. J’ai ressenti la chaleur brûlante qui grandissait tandis que je m’approchais du pelage roux et brillant de sa petite chatte que je pouvais discerner sous ses superbes fesses. Je crois qu’elle a bien dû me lire trois chapitres avant que je me résigne à interrompre ma contemplation. À partir du deuxième, elle avait commencé à se caresser le minou, timidement d’abord, plus librement ensuite, trébuchant de plus en plus souvent sur les mots, interrompant son récit pour laisser échapper de profonds gémissements chaque fois que ses doigts la conduisaient plus près de l’extase. Je ne pouvais pas la laisser plus longtemps dans cet état. Sa chatte avait faim d’une queue, une belle grosse queue de mâle capable d’éteindre le feu qui lui enflammait le ventre. Et, en toute modestie, la nature m’a pourvu de tout ce qu’il faut en la matière. Je me suis donc avancé derrière elle, mais avant de lui offrir ce gourdin qu’elle était impatiente d’accueillir entre ses cuisses, je me suis d’abord rassasié de ses chairs que j’ai caressées, palpées, malaxées, pétries de mes doigts affamés. J’ai écarté ses collines charnues pour découvrir une jolie petite rondelle carmin qui s’est timidement refermée lorsque je l’ai frôlée du bout des doigts. La jolie Suzon n’était visiblement pas une assidue de la sodomie, pour autant qu’elle ne l’ait jamais pratiquée. J’ai pressé le cercle fripé du bout de l’index et elle s’est arrêtée de lire tout en contractant timidement son anus. J’ai gardé le doigt posé sur la porte de son cul durant de longues secondes, puis j’ai enfoncé une phalange, doucement, lentement, admirant l’élasticité du sombre orifice, regardant fasciné le tremblement de ses fesses, tandis que mon doigt disparaissait peu à peu dans ses entrailles. Le doigt toujours enchâssé dans son cul, j’ai joué avec les chairs trempées de sa chatte, sentant glisser entre mes doigts les rivières de liqueurs s’échappant de son volcan en éruption. Elle jouissait, râlait, m’appelait « Beau P », m’implorait de la baiser, enfin. — … j’ai… j’ai des préservatifs dans le tiroir de la table, prenez-moi, je vous en supplie ! Je n’ai pas pu m’empêcher de sourire en pensant à la timide Suzon que j’avais abordée quelques heures plus tôt et qui n’arrêtait pas de me surprendre. Je ne l’ai pas fait languir plus longtemps, et, le doigt encore enfoncé dans son petit trou, j’ai glissé mon sucre d’orge dans sa caverne chaude et humide à souhait. Il n’est pas de position plus délicieuse que celle de la levrette. Elle permet d’admirer le cul de sa partenaire, offert dans toute sa splendeur, le voir s’écraser contre notre bassin et contempler la courageuse bite qui apparaît puis disparaît entre les fesses à chaque coup de boutoir. Quel plus grand plaisir pouvais-je souhaiter que le spectacle des fesses magnifiques de Suzon, se dressant devant moi, tandis que je lui ramonais le con. Je les ai serrées, claquées, pétries, pendant que ma jeune pouliche hennissait de plaisir, tout au long d’une séance de trot enlevé qui dura de longues minutes. Puis, lorsque j’ai senti arriver le moment fatidique, je lui ai offert un galop final avant de me retirer, et, après quelques brefs coups de poignet, inonder ses fesses d’épaisses traînées de sperme chaud. Elle n’a pas bougé. Elle est restée de longues secondes la tête posée sur ses bras repliés sur le dossier du sofa, le cul dressé et maculé de traînées blanches, sa petite culotte blanche tendue entre ses cuisses. Après avoir rangé ma bite rabougrie dans le nid confortable de mon slip, je me suis rassis dans mon fauteuil pour contempler une dernière fois son éblouissant derrière. Je nous ai versé un verre de vin et elle a semblé s’éveiller en entendant le son cristallin du vin coulant dans le verre. Elle s’est retournée, pour me regarder avec un sourire à la fois innocent et complice. — Merci. — C’est moi qui vous remercie. Vous avez un derrière à *****er le plus insensible des saints, et pour ce qui me concerne, je suis prêt à brûler en enfer à présent que vous m’avez donné l’occasion d’y goûter. Elle a éclaté de rire avant de remonter sa culotte sur ses fesses sans se préoccuper de la signature collante de mon sperme encore affichée sur ses fesses et revenir s’asseoir sagement sur le divan. — Est-ce que vous ne feriez pas une petite fixette sur le cul par hasard ? — Mon Dieu ! Je suis découvert ! Le cul est toute ma vie, je l’avoue Votre Honneur ! Elle a ri à nouveau, imaginant sans doute que j’exagérais. Et pourtant, je ne suis pas loin de le penser. Je me suis dédié au cul comme d’autres se dédient à la philatélie ou la pêche à la ligne. Mais je ne vous parle pas de ces pêcheurs du dimanche qui ne s’intéressent pas vraiment aux poissons qu’ils convoitent. Non, moi je suis un pêcheur assidu, quasi professionnel, qui entretient une relation charnelle avec le fruit de sa passion. — Et les seins ? Vous n’aimez pas les seins ? Elle avait déboutonné son corsage pour faire jaillir une superbe paire de lolos qu’elle pressait sensuellement sous mes yeux ébahis. Ce n’est pas que je n’aime pas les seins, mais je trouve qu’on en est trop souvent déçu. Trop petits, trop gros, trop flasques, trop écartés, trop haut, trop bas. Contrairement au cul, je trouve qu’ils ne se prêtent pas à la découverte, à l’aventure. Le cul est une porte, comme je crois l’avoir déjà dit, et sa beauté est autant dans la porte elle-même que dans ce qui se cache derrière le derrière. Je dois quand même avouer que les seins de Suzon étaient magnifiques. D’une grosseur, d’une rondeur et d’une fermeté parfaite. Et la manière provocante avec laquelle elle les caressait juste sous mon nez commençait à faire de l’effet sur mon entrejambe pourtant bien fatigué. Elle s’est mise à rire quand je lui ai expliqué ma théorie sur le cul et les seins, et j’ai ri avec elle. — Ça vous dit de rester dîner ? Si vous n’avez rien prévu bien sûr. — Ce sera avec un très grand plaisir. — Mais je crois que j’ai besoin de prendre une douche avant de nous préparer quelque chose. Faites comme chez vous en attendant. Elle m’a abandonné dans le salon tandis que je la regardais s’éloigner, un large sourire béat illuminant mon visage. J’ai fouillé son frigo, sorti de quoi nous préparer une omelette et une salade. Et dix minutes plus tard, je l’attendais devant une table dressée et le repas prêt. — Dites-donc ! Vous pouvez venir dîner tous les soirs si vous voulez ! Elle est réapparue dans le salon vêtue d’une serviette éponge nouée autour de sa poitrine et qui descendait juste sous ses fesses. Ses boucles rousse encore humides tombaient sur ses épaules. Elle était magnifique et, à son regard étonné, j’ai compris que je m’étais encore fait la tête de l’innocent du village regardant passer un groupe d’écolières. — Ce n’est rien. J’espère que vous aimez les omelettes. À part admirer les culs, je sais aussi faire des omelettes. Nous avons dîné comme deux vieux amis, parlant de tout et de rien en descendant une nouvelle bouteille de blanc. Et pendant tout ce temps, malgré tous mes efforts, je ne pouvais penser qu’à ce cul magnifique dont les fesses nues s’écrasaient sur la chaise et que je me languissais de posséder à nouveau. — À mon tour de m’occuper du dessert ! Suzon a disparu dans la cuisine, emportant les reliefs du repas, après m’avoir volontairement offert le spectacle de ses fesses dénudées tandis qu’elle se penchait sur la table pour ramasser les plats et les assiettes vides. Elle est revenue deux minutes plus tard, comme un apparition, entièrement nue, l’œil pétillant et un large sourire dessiné sur les lèvres, tenant dans une main un ravier de fraises et dans l’autre une bombonne de crème chantilly. Elle me les a tendus avant de s’allonger en travers de la table, ses fesses de déesse dressées juste sous mes yeux éblouis. — Bon appétit ! Nous avons éclaté de rire en même temps avant que je ne fasse disparaître ses appétissantes miches sous une épaisse couche de crème. Nous avons partagé les fraises que je frottais contre ses fesses pour les faire apparaître peu à peu derrière leur épais manteau sucré. Je lui ai écarté les jambes pour recueillir les dernières coulées de crème jusqu’au cœur de sa chatte, donnant aux fraises un délicieux goût salé. — Ne bougez pas, je dois nettoyer la table à présent. J’ai fait chauffer des serviettes au bain marie que je suis venu poser délicatement sur son cul maculé de crème. Elle a sursauté sous l’effet de la chaleur intense qui s’est mis à rayonner dans ses chairs, avant de se détendre et me laisser la nettoyer doucement, me glissant dans la moindre crevasse, enflammant ses muqueuses de ma serviette brûlante. Elle s’est mise à ronronner comme une chatte, faisant onduler sa croupe au rythme de mes caresses. Puis, soudain, elle s’est levée d’un bond, m’entraînant par la main derrière elle. — Venez ! Avais-je choix ? Mais qui voudrait avoir le choix lorsqu’une jeune femme entièrement nue, délicieuse et sensuelle, vous entraîne derrière elle dans sa chambre ? Je me suis laissé déshabiller docilement jusqu’à me retrouver nu moi aussi. Elle m’a allongé sur le lit, sur le ventre, pour se mettre à examiner mon derrière. — Voyons voir ce qu’il y a de si fascinant dans ces deux masses de graisse. Je vous ai déjà dit combien je trouve le cul des hommes inintéressant et incomplet par rapport à celui de nos compagnes. — Voyez-vous quand une femme est sur le ventre, son sexe demeure parfaitement fonctionnel. Il prolonge le cul, il le complète, il le couronne en quelque sorte. Tandis que chez les hommes, que voulez-vous faire de cet attribut coincé contre notre ventre comme s’il avait peur qu’on ne le découvre. Pour moi c’est clair, il n’y a aucune comparaison entre nos culs respectifs, un cul-de- basse-fosse contre un cul créé par les dieux pour le plaisir des hommes et, bien entendu, des femmes ! — Vous êtes fou ! Elle a éclaté de rire en me donnant une grande claque sur les fesses. Je me suis retourné d’un bond, arrêtant son bras avant qu’il ne retombe une seconde fois. Nous nous sommes battus et, pour la première fois, nous nous sommes embrassés, passionnément, avec gourmandise, comme deux amants trop longtemps séparés. Nous nous sommes caressés, enlacés, emmêlés sans jamais desserrer notre étreinte, ni séparer nos lèvres ou nos langues. J’ai fini par la retourner sur le ventre et je me suis assis à côté d’elle. — Vous voyez Suzon, le cul d’une femme commence bien plus haut qu’on ne l’imagine. Il commence ici, dans cette vallée profonde qui termine le dos et traverse vos reins. Dans ces deux petites fossettes qui n’appartiennent qu’aux femmes et qui sont comme deux refuges placés au pied de vos admirables collines. Tout en parlant je lui caressais doucement le bas du dos, pressant avec mes pouces le piémont de ses fesses et le creux de ses reins. — Cette vallée où l’on se prépare à entamer l’escalade des fesses. Une escalade plus ou moins raide, sur un sol plus ou moins ferme selon la constitution de la dame, mais toujours une escalade magnifique, initiatique presque. Cette partie du corps de la femme où la courbe concave des reins se transforme en celle convexe des fesses est pour moi l’une des plus belles choses que la nature ait jamais créée. Et chez vous, elle a quelque chose de magique tellement elle est parfaite. Il faut dire que l’ascension de vos jolies rondeurs est pour le moins sportive. Vos fesses s’élèvent, majestueuses, évoquant tout à la fois la fermeté minérale du cul d’une statue antique, et la chaleur sensuelle et frémissante d’une peau de bébé. Rien n’est plus doux au toucher qu’une peau de fesses délicieuse comme la vôtre, je vous assure. Nous nous sommes mis à rire tandis que mes mains se promenaient librement sur ses magnifiques dômes de chair. Je lui ai écarté quelque peu les jambes pour permettre à mon regard et à mes mains de poursuivre leur promenade à la découverte des mystères de son cul. — Mais le cul n’est pas que l’ascension d’un col, aussi admirable soit-il, ni même sa descente qui complète pourtant magnifiquement la courbe du « S » et vient se terminer, presque comme une virgule, au sommet de la longue ligne des cuisses. Non, le cul c’est l’escapade, l’école buissonnière, le chemin de grande randonnée. Le cul, c’est ce ravin mystérieux et profond qui sépare les deux hémisphères et mène tout droit au paradis. Ce chemin initiatique mille fois parcouru et pourtant toujours différent. Je laissé mon doigt glisser entre ses fesses, venant frôler sa petite rondelle puis son buisson déjà bien humide, et sentant ses chairs frémir sous mon passage. Je lui ai écarté les miches, m’amusant à lui décrire les grimaces comiques de son petit trou que j’étirais en tous sens. — Je prétends qu’avec un peu d’entraînement, on peut deviner le caractère d’une femme au comportement de son trou du cul ! Si, si, je vous assure ! Vous pouvez rire si vous voulez, mais vous savez, j’en ai vu des trous du cul dans ma vie, au propre comme au figuré d’ailleurs. Et contrairement à leur visage ou à leurs paroles, le trou du cul d’une femme ne ment pas. Il y en a des fatigués de la vie que rien ne pourrait réveiller, des enthousiastes, des timides, des culs serrés, aussi engageants que des gardiens de prison, des culs impatients, des culs accueillants, autant de cul qu’il y a de femmes en somme. — Et le mien alors ? — Le vôtre est plutôt timide, réfléchi dirais-je. Inquiet et curieux aussi. Un petit trou d’intellectuelle toujours à la recherche d’on ne sait pas trop quoi, pourvu que ce soit autre chose. C’est aussi un petit trou jovial et rigolo, à l’aise en société et, si je peux me permettre,… ouvert aux autres. Elle a éclaté de rire. — C’est assez bien jugé. Et vous avez vu tout ça dans mon petit trou ? Vous m’impressionnez, vous savez. — Il n’y pas de mystère, si vous aimez quelque chose avec intensité, comme moi j’aime le derrière des dames, vous apprenez vite à découvrir des tas de choses que les autres se contentent d’ignorer. — Parlez-moi encore de mon cul. — Vous savez, je pourrais en parler toute le nuit de votre cul, et, croyez-moi, vous seriez la première à me demander d’arrêter. J’aimerais que vous remontiez vos genoux sous votre torse, comme cela oui, de manière à redresser votre superbe séant. Écartez bien les jambes pour qu’il puisse s’offrir dans toute sa splendeur. Voilà, c’est parfait. On ne peut rêver de plus éblouissant spectacle. Le cul dans toute sa splendeur. Les fesses bien écartées pour m’offrir la vision de ce miroir de l’âme qui me regarde en frémissant d’inquiétude, ou alors d’impatience, difficile à dire. Et pour couronner le tout, le buisson ardent de votre joli minou roux, qui tremble lui aussi et pleure déjà de plaisir. La tête plongée dans les draps, Suzon prenait son pied. Son derrière ondulait sensuellement tandis que mes paroles coulaient dans ses oreilles et venaient inonder mes doigts glissés entre ses cuisses. Agenouillé entre ses jambes, j’ai visité sa petite rondelle du bout de la langue, la sentant se contracter sous mes assauts, avant de rendre les armes et laisser pénétrer un petit centimètre de chair dans la place forte. Je continuais à la doigter doucement tandis que ma langue lui assouplissait l’anus. Depuis que j’avais arrêté de décrire les merveilles de son cul, seul les ronronnements étouffés de Suzon résonnaient dans la pièce. — Là, il n’y a plus de doute, voilà bien un trou du cul curieux, aussi enthousiaste et attirant que sa propriétaire. — Vous savez que vous allez me rendre folle si vous continuez ! — Je vous avais prévenu… Mais le cul ne serait pas le cul s’il ne culminait pas sur le plus prisé des trésors, celui qui mène droit au cœur des femmes, ce con brillant qui nous ouvre les portes du palais au moment même où le cul disparaît pour se fondre dans les cuisses. La plupart des hommes préfèrent aborder le con par sa face avant, et si cette approche présente bien des plaisirs, pour ce qui me concerne, je préfère l’aborder par l’arrière. Qui a-t-il de plus beau, de plus doux, de plus excitant que cette petite bande de chair qui sépare le trou du cul de la chatte. N’est-ce pas que c’est excitant, lorsque je passe de l’un à l’autre du bout de mon doigt, caressant votre rondelle avant de glisser entre lèvres brillantes et frémissantes de votre con. N’est-ce pas divin ? Suzon gémissait de plus belle. Ses liqueurs salées s’écoulaient en saccades chaque fois que mes doigts passaient de sa chatte au trou de son cul. — Même si vos boucles rousses sont magnifiques, perlées de vos liqueurs intimes, personnellement, je préfère les chattes épilées dont on peut admirer les contours et la rondeur des grandes lèvres, rappelant en miniature celles des fesses. Vous voyez, lorsque j’écarte vos poils comme ceci, j’ai l’impression de voir un magnifique abricot, rond et particulièrement juteux auquel je ne peux m’empêcher de goûter. La tête enfoncée entre ses cuisses, je me délectais en lui léchant la chatte. Ses liqueurs coulaient dans ma bouche au rythme des spasmes qui lui agitaient le corps. Ses cuisses brûlantes m’enserraient la tête tandis que ma langue s’enfonçait dans son con. Elle a fini par s’écrouler sur le flanc, puis sur le dos, m’entraînant dans sa chute. Je me suis allongé à côté d’elle et son corps s’est enroulé autour du mien comme une liane. Nous nous sommes embrassés, comme deux amants après avoir fait l’amour, sauf que, pour ce qui me concerne, j’avais encore mon barillet chargé. — Je n’ai jamais rencontré un homme comme vous auparavant. — Et vous en avez rencontré beaucoup sans doute… — Pas tant que ça en fait, mais les hommes d’aujourd’hui ne savent plus prendre le temps. Vous, c’est différent. On dirait que vous jouissez par la contemplation. — Jouir peut-être pas, encore que ça m’est arrivé au début, mais c’est vrai que ma jouissance est d’autant plus intense quand j’ai pu auparavant admirer et découvrir avec passion le cul de ma partenaire. Et quand le cul est du calibre du vôtre, je ne vous dis pas le pied. — Je vois ça ! Sa main avait saisi mon sexe et c’est vrai qu’il était plutôt en forme. Après l’avoir caressé quelques secondes, elle s’est redressée pour venir s’accroupir à mes côtés, orientant son derrière dressé en direction de mon visage, avant de poser ses lèvres gourmandes sur ma queue qu’elle tenait dans ses mains. Fellation divine que celle qui vous laisse promener vos mains et votre regard sur un cul admirable, balançant au rythme du va-et-vient de la bouche gourmande sur votre bite. Je dois dire que je préfère mille fois cette position à celle du 69 qui vous coince la tête entre les cuisses, vous empêchant de distinguer l’astre radieux, vous obligeant à tendre le cou pour approcher ce con qui s’échappe à chaque fois que votre partenaire se penche sur votre queue. Non, il n’y a pas de comparaison, et si j’apprécie énormément une séance de broute minette, il faut que je sois au-dessus de ma partenaire et aux commandes de l’avion. Tandis que là, je pouvais m’abandonner à cette bouche qui me dévorait la bite tout en profitant pleinement de ce cul offert que je ne me privais pas de visiter avec vénération. J’ai fini par la repousser, sentant que j’approchais dangereusement du point de non-retour. Je l’ai allongée sur le dos, lui écartant largement les cuisses pour pouvoir admirer, pour la première fois en fait, les merveilleuses dentelles irisées de sa chatte. — Parlez-moi de mon con ? L’aimez-vous moins que mon cul ? — Comment pouvez-vous dire une chose pareille, le con et le cul ne sont rien l’un sans l’autre. Sans le second, le premier ne serait qu’une citadelle sans défense et sans charme, tandis que sans le premier le second ne serait qu’une petite porte triste, orpheline du palais qu’elle est censée protéger. Le con est en quelque sorte l’apothéose du cul. — Décrivez-le-moi. Elle a fermé les yeux tandis que je lui décrivais les contours de son con, accompagnant du doigt mes observations anatomiques. — Votre con est timide comme le trou de votre joli cul, c’est pour ça qu’il se cache derrière cette toison rousse, visiblement taillée de frais. Pas trop pourtant, pour conserver un voile pudique sur sa fente brillante, mais quand même assez pour révéler la coquetterie de sa maîtresse. Et lorsqu’on écarte le rideau des poils humides et entremêlés, on découvre les grandes lèvres rondes, juteuses, aussi appétissantes que vos fesses. Avec vos cuisses ainsi écartées, elles ont bien du mal à protéger l’entrée de ce palais dont les chairs irisées tremblent sous mes doigts. Vos petites lèvres largement ouvertes sont plutôt discrètes, tout en étant bien découpées. Je suis sûr que lorsque votre chatte est fermée, on les distingue à peine entre ces grosses lèvres joufflues. Et que dire de votre clitoris qui se dresse comme un phare au sommet de la crevasse brillante, et que je fais rouler entre mes doigts, que j’étire et que j’écrase pour notre plus grand plaisir. J’aimerais que vous puissiez admirer, comme je le fais, la beauté de vos chairs offertes à mes regards. Cette bouche béante et brillante qui se contracte au rythme de votre plaisir, ces liqueurs qui s’écoulent entre vos cuisses pour venir rejoindre votre petit trou. Vous les sentez n’est-ce pas ? J’ai avancé ma bouche et je lui ai léché la chatte avec délectation, longuement, patiemment, m’abreuvant au bouillon salé de sa jouissance, jusqu’à ce qu’elle crie grâce et me repousse en me suppliant de la baiser une bonne fois pour toutes ! J’ai éclaté de rire avant de la retourner une dernière fois. Je n’ai pas dû lui en dire plus, elle m’a d’elle-même offert son cul dressé, la tête enfoncé dans les draps, impatiente d’accueillir ma grosse queue dans son volcan brûlant. Après avoir enfilé un préservatif, je me suis agenouillé derrière elle, pour me glisser entre ses cuisses et pénétrer jusqu’à la garde dans sa bouche gourmande. Elle a fait tout le travail, s’agitant comme une possédée sur ce manche qui lui traversait le con, claquant frénétiquement ses fesses contre mon ventre, râlant, jurant, rivalisant avec Esparbec à qui serait le plus cru des deux. J’aurais pu me laisser aller et rejoindre l’extase à mon tour. Mais, tandis que mon pouce lubrifié de ses liqueurs lui assouplissait la rondelle, je me préparais à partir à l’assaut de l’« ultime frontière » comme aurait dit le Capitaine Kirk. Quand mon gland s’est posé sur le trou entrouvert de son cul, Suzon a brusquement contracté ses fesses, visiblement peu enthousiaste à l’idée de me laisser visiter cette partie de son anatomie. Mais j’ai l’habitude de ce genre de réaction chez les jeunes femmes un peu trop cérébrales, confondant dans un même dégoût le contenant et le contenu. Le plus efficace, dans ce genre de circonstances, est de donner un claque vigoureuse sur le cul de la belle. La surprise et l’éclair électrique qui lui traverse alors les chairs, suffisent à détendre le plus contracté des sphincters. Il n’y a plus qu’à accompagner le tout d’un petit coup de reins et l’affaire est faite, le gland est passé et la place est prise. — Je suis sûr que ça n’a pas dû vous arriver souvent de vous faire enculer. — … euh… en… en effet… — Et vous n’avez pas trop aimé, n’est-ce pas ? Vous avez trouvé cela un peu dégoûtant, humiliant peut-être. — … oui… — Et à présent, qu’est-ce que vous en pensez ? — … C’est… c’est différent… je voudrais que… que vous me pénétriez davantage. Je regardais son cul écartelé et ce petit cercle sombre qui enserrait la hampe de mon sexe, se contractant nerveusement comme la bouche d’un serpent avalant une proie trop grande pour lui. Je me suis glissé dans son cul lentement, doucement, sentant ses chairs s’écarter devant l’imposant visiteur. Davantage encore que la levrette, cette forme d’enculage offre une vision incomparable sur le va-et-vient de la queue jouant à cache-cache dans l’intimité de sa partenaire. Suzon râlait de plaisir, la main glissée entre ses cuisses pour apaiser le feu qui lui enflammait la chatte, tandis que ma bite coulissait souplement entre ses reins. J’ai fini par exploser dans l’étroite prison de ces entrailles. Elle a poussé un petit cri de surprise sous la pression soudaine de ma queue s’agitant une dernière fois au fond de son cul. C’était fini. Nous nous sommes écroulés sur le flanc, ma bite toujours profondément enfoncée dans son séant. Elle a remonté le drap sur nos corps enchâssés l’un dans l’autre, et nous nous sommes endormis dans cette position, son corps serré contre le mien et ma queue bien au chaud dans le doux écrin de son cul.
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Sous1600 |
Date du message : novembre 5, 2017 17:17 |
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La sexualité c est la vie la joie de vivre un bon repas quoi Si en n a pas envie de faire en fait pas
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Lecossais |
Date du message : novembre 6, 2017 06:19 |
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*** Avez-vous des pratiques sexuelles à risque?*** Julie Pelletier Journal-de-Montréal MISE à JOUR Vendredi, 3 novembre 2017 18:39 '' Le 1er décembre prochain aura lieu la Journée mondiale de lutte contre le sida. Parlons-en ! Les préjugés et l’ignorance face au sida perdurent. Par exemple, il est vrai que grâce à l’efficacité des thérapies antirétrovirales, les personnes infectées vivent plus longtemps. Par contre, plusieurs pensent maintenant qu’il existe des traitements pour guérir le sida ou que le sida ne cause plus de décès. Testez vos connaissances. Quiz Question #1 Croyez-vous qu’il soit nécessaire d’utiliser le condom lors des fellations?? OUI * NON Question #2 Toutes les infections transmissibles sexuellement ou par le sang présentent systématiquement des symptômes très douloureux. OUI NON* Question #3 Une pénétration an-ale est plus dangereuse en ce qui concerne la transmission de maladies qu’une pénétration vaginale. OUI NON* Question #4 Lorsqu’une femme a ses règles, elle est plus à risque de contracter le VIH (virus de l’immunodéficience humaine). OUI* NON Question #5 S’il y a présence de violence, est-ce qu’il y a plus de risque de contracter une maladie?? OUI NON* Question #6 Vos relations sexuelles ont toujours été pratiquées avec une protection suffisante (condoms lors des pénétrations an-ales, vaginales et des relations orales), systématiquement, toutes les fois?? OUI* NON Question #7 Le condom masculin est le seul moyen pour se protéger contre les ITS (infections transmissibles sexuellement). OUI* (mais pour les relations entre femmes, vaut mieux utiliser ses mains...jusqu'à ce que les tests aient été faits) NON Quelques statistiques : Personnes vivant avec le VIH en 2016 36,7 millions de personnes vivaient avec le VIH. 34,5 millions sont des adultes (15 ans et plus). 2,1 millions d’enfants (moins de 15 ans). 17,8 millions sont des femmes adultes. 76,1 millions de personnes ont été infectées par le VIH depuis le début de l’épidémie. Personnes vivant avec le VIH ayant accès à un traitement antirétroviral en 2016 19,5 millions de personnes vivant avec le VIH accédaient à un traitement antirétroviral en 2016, contre 17,1 millions en 2015 et 7,7 millions en 2010. Environ 53 % de toutes les personnes vivant avec le VIH avaient accès au traitement. Quelque 54 % des adultes âgés de 15 ans et plus vivant avec le VIH avaient accès au traitement, mais seulement 43 % des enfants âgés de 0 à 14 ans y avaient accès. Environ 76 % des femmes enceintes vivant avec le VIH avaient accès à des médicaments antirétroviraux pour prévenir la transmission du VIH à leurs bébés. Nouvelles infections par le VIH en 2016 1,8 million de personnes ont été infectées par le VIH dans le monde entier. Les nouvelles infections par le VIH chez les adultes ont diminué d’environ 11 % depuis 2010, passant de 1,9 million à 1,7 million en 2016. Les nouvelles infections par le VIH chez les enfants ont diminué de 47 % depuis 2010, passant de 300 000 à 160 000 en 2016. Décès liés au sida 35,0 millions de personnes décédées de maladies liées au sida depuis le début de l’épidémie. 1 million de personnes sont mortes en 2016 des suites de maladies liées au sida, contre 1,5 million en 2010 et 1,9 million en 2005. Les décès liés au sida ont diminué de 48 % depuis le niveau le plus élevé de 2005. Source : ONUSIDA, Dernières statistiques sur l’état de l’épidémie de sida P.S de Lecossais: dans une relation sexuelle, il vaut mieux utiliser ses mains, et la masturbation est la plus belle jouissance qu'on peut se donner, entre hommes, entre femmes, en couples H+F. Si la relation dure et qu'on veut une pénétration, vaut mieux passer des tests...et/ou utiliser le condom. Bien sûr, pour des pénétrations an-ales, vaginales, entre amis, c'est tellement JOYEUX d'utiliser un gode pour le vagin, anus, et une vibrateur pour tout, le clitoris surtout, ce petit ami qui ne sera jamais jaloux. Achat d'un antiseptique pour nettoyer ce joujou vendu en 'boutique érotique'. Le sexe est une fête solitaire ou en groupe, sortons la flûte et la musique yéééééééééé ***Bienvenue à Sous, nouvelle membre amicalienne, qui semble avoir une sexualité 'débordante'...surtout avec des mets épicés nous dit-elle ... Sous-Chérie, que fais-tu quand tu en as envie ? On veut en savoir plussssssssssss.... *Ce message a été édité le Nov 6, 2017 6:24 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : novembre 7, 2017 06:51 |
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*** yéééééééééé je suis venu ! *** On dirait que le changement d'air, de lieu, de lit; en tous cas, j'ai pénétré Mimi dimanche et j'ai joui dans son vagin, oui Madame. J'ai hésité avant de t'en parler; je sais que c'est pas ''Sous'' qui serait scandalisée ou le Suisse qui vient lire de temps en temps. Non c'est ma pudeur, he...oui j'en ai une, disons une par semaine et c'était dimanche. Tu veux savoir ce qui s'est passé petite Coquine, bon tu l'auras voulu. On s'est rasées tous les poils, Mimi et moi, ma barbe, autour de ma queue pour être bien présentable, bien visible ! et dans le lit, oui Madame. Pas eu besoin de film érotique. On s'est embrassé doucement et la langue est sortie prendre l'air. Dessus Elle mais un peu à côté pour ne pas l'écraser, elle me flattait la queue pendant que je me frottais sur ses seins. Et le plus drôle, je lui dis ''Tu n'as pas ton gode rose?''--Non pas besoin aujourd'hui''. Ça m'a encouragé disons. Juste besoin de ma queue alors ? wow...Une fois 3/4 dur, je lui ai présenté au bord de son vagin et elle se l'est mis. Les quatre fers en l'air, la fente ouverte mais bien serrée m'emprisonnant. Une vingtaine de coups de reins et '''ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii'' elle a joui. Je lui dis '''Tounes-toi de bord ''' et la vue de ses trous, la tête dans le mur , j'ai pu me reposer les bras tout en la pénétrant fortement... au fond. '''ouiiiiiiiiiiiiiiiii elle a encore joui et Moi '''humammmmammmmammmm''' j'ai coulé dedans Elle, c'est ça qui est nouveau depuis... et sans les ''jouets''. Bon tu sais tout maintenant. Satisfait ? oui.
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Sous1600 |
Date du message : novembre 7, 2017 17:08 |
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A mon age 56 j éprouve toujours le même désir de faire l amour ca m arrive d avoir une grande envie mais l amour ca se fait a deux et il faux que les deux en aient envie sinon ou et le plaisir La masturbation n a rien de mal lorsque mon par teneur et loin Quant je sens l envie monter je fais flambé mon mec de désire je guide ces mains vers les parties sensibles de mon corps avec des petites cris en amour je ne suis pas timide je l excite en portant des dessous sexy et le laissé les découvrirai j aime bien lors que j entend son souffle dans l oreille ca j éprouve un désire fou je mixité aussi en caressant mon Corp. ou en pensent a mon amant Je frotte mon clitoris devant lui pour le ronde fou je variée la position je lui demande directement ce que je veux au lit sucée léchée jusqu a ce que j attient le fantasmes Salutation l écossais
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Lecossais |
Date du message : novembre 8, 2017 06:51 |
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*** Les gars aiment ça dire :'JE VIENS' *** Oui les gars aiment dire, le dire, pour qu'on les regarde, qu'on regarde leur sperme sortir, ou prévenir, s'il ne doit pas couler où il veut . Cet été j'ai flatté un gars, Pitou, un ami ici, et dans mon véhicule, je le branlais fort à la fin et a dit les mots magiques. J'ai laissé couler par terre...Pas grave, ça s'essuie et ça sèche. Les Dames aiment bien voir aussi le résultat. ***J'ai commencé un autre 'Foenkinos' , Nos Séparations. Super ! Je te cite quelques perles : '' Arrête de me scruter, de m'an-aliseryser, je n'en peux plus...'' Il ne faut jamais demander à une femme la moindre explication rationnelle sur son comportement''....et avec le temps, on ne bougera plus beaucoup, on ne pourra plus de dispu-ter. Et on laissera nos deux dentiers reposer dans le même verre la nuit. Nos dents seront heureuses ensemble. ''(pp.25-26) ***Ah oui, lors de notre baise dominicale que je t'ai racontée, j'ai oublié de lécher son clitoris. S'en est-elle aperçue ? Toi ,t'en es-tu aperçue ? égoïste que je suis ! ***SOUS-Chérie, j'espère que ton amant au loin n'est pas jaloux que je t'appelle CHÉRIE. Ne lui cache rien mais attention, les hommes sont tellement 'soupe-au-lait'. En fait je préfère que tu ne lui dises rien de nous deux. On sera plus intimes pour continuer notre bavardage érotique. Merci de ton témoignage excitant et je te félicite pour oser nous en parler. Tu sais Chérie, les dames sont tellement prudes, bravo à toi qui les aides à se décoïncer. J'ai quelques questions pour toi; sois à l'aise, mais réponds-moi franchement comme disent les hommes. 1-Tu dis que tu te masturbes quand ton partenaire est loin. Je te donne un petit secret: c'est justement quand ton partenaire est là, tout près, qu'il sent ton clito, que tu dois te masturber devant lui, montre-lui comment tu fais, les hommes ne connaissent rien. Montre-moi... Mets-tu de l'huile ? 2-Ajoutes-tu un vibrateur ? 3-Combien de fois par semaine tu jouis ? 4-As-tu un orgasme vaginal avec un homme, ou un gode ? 5-Combien d'hommes as-tu eu dans ta vie ? et dans ton vagin ? Bon les réponses resteront entre nous les coquines...promis, et merci encore pour ta belle participation. On est des amis intimes maintenant. Moi à Drummondville et Toi à Alger...mais ton décolleté comble toutes les distances. *Ce message a été édité le Nov 8, 2017 6:55 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : novembre 9, 2017 03:48 |
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Message dans ma boîte postale De : Sous1600 Sujet : Re : Salut toi Date : 05/11/2017 Heure : 07:24 AM Merci c est gentille oui avec plaisir j aimerais avoir une amitié et sympathiser avec vous je suis vraiment ravie d échangé des idées avec vous je m appelle Soraya j habite Alger un enfant ici (56 ans) ;je profite toujours du beau temps enfin du moment que c est le week end chez vous j espéré que vous avez programmé un beau programme pour nous c est le début de la semaine aujourd’hui dans l attente de vous lire prochainement je vous dis portez vous bien et bon week end gros bisooooooooooooooo ***P.S. de Lecossais : gentil message, et les bisous sont énormes, beaucoup de OOOOOOOO et le mot ''gros'' , ça doit vouloir dire ''avec la langue''? Sous-Chérie, aimerais-tu échanger des photos avec moi ?? à nos adresses ''hotmail''.
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Lecossais |
Date du message : novembre 10, 2017 04:35 |
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*** Le robot sexuel Samantha devient un produit de masse en Europe…*** par Yohan Demeure 8 novembre 2017, 18 h 22 min Après avoir envahi le Japon depuis quelques années, les love dolls et autres robots sexuels vont peut-être entrer dans les mœurs en Europe. Samantha, un robot sexuel inventé par un ingénieur espagnol, s’apprête à être produite massivement, alors qu’un projet de reproduction humain/robot est à l’étude. Il y a quelques mois, le robot Samantha a fait son apparition, faisant la Une des médias. Ce robot intelligent bardé de capteurs est également doté d’un point G, comme l’indiquait son créateur, Sergi Santos. Ce dernier avait d’ailleurs indiqué que Samantha pouvait avoir une « PROXIMITÉ ÉMOTIONNELLE » avec son propriétaire. Commercialisée à Londres depuis l’été 2017, Samantha suscite désormais une forte demande. Ainsi, Sergi Santos cherche a produire son robot en masse pour répondre aux attentes des consommateurs. Selon le Daily Mail, la poupée sera produite en grande quantité dans une usine du Pays de Galles. Disposant déjà d’un mode « sexy » et d’un mode « famille », Samantha devra bientôt être équipée d’un « code moral », c’est-à-dire que celle-ci sera plus « excitée » par une personne qui LA TRAITERA AVEC RESPECT. Déjà capable de communiquer et d’avoir des orgasmes, le robot sera en mesure de jauger le caractère et la façon d’être de son propriétaire. Dernièrement, Sergi Santos a également déclaré avoir imaginé un système permettant à un être humain de se reproduire avec un robot. Le concept, compliqué à mettre sur pied, consiste à créer un génome artificiel à partir des propriétés physiques et psychologiques de la « poupée- mère » et du géniteur. Par la suite, en associant le génome à un algorithme puis à une imprimante 3D, il serait, selon l’inventeur, possible de créer un bébé-robot « ressemblant » aux deux parents, mais tout ceci relève encore de la pure théorie. Faisant peu cas des questions éthiques, Sergi Santos donne petit à petit une autre dimension à sa poupée qui devait, à l’origine, n’être qu’un simple objet sexuel P.S. de Lecossais : J'ai vu la photo de la dame ''sans âges'' et elle est super attirante; les cuisses un peu ouvertes, la minijupe relevée, n'importe quel homme (ou femme) serait excitée. Bravo ! Surtout pour les vieux comme nous, avoir une dame, apparence vingtaine, bandante, qui ne critique pas, qui t'accepte tel que tu es, tu peux venir en elle tant que tu veux. Je me posais la question : Et l'homme-robot pour les Dames (et les hommes bi.) ?? A quand ? Je suis sûr qu'une Dame qui ne peut avoir un chien mâle aimerait avoir son robot toujours bandé et prêt ! Je connais aussi des couples H+F âgés qui aimeraient leur Homme-Robot. Yasunari Kawabata (Japonais-prix nobel 1968) a écrit un roman ''Les Belles Endormies'' où des vieillards dans une pension vont dormir tout contre de jeunes femmes. Quelle belle initiative pour celles qui ont le fantasme des vieux ou de leurs pères ! Il nous dit '''La mort donne l'obligation d'aimer'''.
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Lecossais |
Date du message : novembre 12, 2017 05:47 |
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*** Ce dimanche, des nouvelles de Frigide et son nouvel amant (ami); et reçus messages privés de Fanou et de Sous...*** Merci. Moi, hier, au matin, ce qui est rare, Mimi s'est étirée et à ouvert sa fente un peu...J'ai sauté sur l'occasion pour lui lécher le clito. Ce qui m'a le plus excité: ses petits cris, ses gloussements et tortillements. De : Frigide Envoyé : 11 novembre 2017 10:24 À : Lecossais Objet : Confession intime Oh! Je t'ai avoué mon péché! Oups! Je voulais garder ma nouvelle vie dissolue secrète ... Mon nouvel amoureux est un grand avocat de 6 pieds 4 pouces, mais pas tout en proportion... puisqu' il a dû se faire am*****r de la totalité de la prostate. Son atout viril est maintenant invisible... semble inexistant. Mais, ça ne l' empêche pas de savoir manifester une chaleureuse affection et même savoir prodiguer des plaisirs... *** de Lecossais : Merci pour ce beau texte, plus bas, de Félix Félix fumait et est mort relativement jeune (comme Jacques Brel et Gainsbourg) Hier, tu m'a dit que tu avais passé une ''presque'' journée au lit avec ton homme. Tu ne m'as pas donné des détails : orgasmes ?? caresses ?... Ben oui je suis curieux. Mais à 75 ans, sans prostate, on ne fait pas de miracle avec sa queue; bien sûr, avec ses doigts, sa langue...et les souvenirs. De :Frigide Envoyé : 10 novembre 2017 18:13 À : Lecossais Objet : Félix Leclerc. Vieillir est un privilège... VIEILLIR EN BEAUTÉ... ET EN SAGESSE « Ce n'est pas parce que je suis un vieux pommier que je donne de vieilles pommes. » – Félix Leclerc. Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son cœur, Sans remords, sans regret, sans regarder l’heure. Aller de l’avant, arrêter d’avoir peur, Car à chaque âge se rattache un bonheur. Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son corps, Le garder sain en dedans, beau en dehors. Ne jamais abdiquer devant un effort. L’âge n’a rien à voir avec la mort. Vieillir en beauté, c’est donner un coup de pouce! À ceux qui se sentent perdus dans la brousse, Qui ne croient plus que la vie peut être douce Et qu’il y a toujours quelqu’un à la rescousse. Vieillir en beauté, c’est vieillir positivement. Ne pas pleurer sur ses souvenirs d’antan. Être fier d’avoir les cheveux blancs, Car pour être heureux, on a encore le temps. Vieillir en beauté, c’est vieillir avec amour, Savoir donner sans rien attendre en retour, Car où que l’on soit, à l’aube du jour, Il y a quelqu’un à qui dire bonjour. Vieillir en beauté, c’est vieillir avec espoir, Être content de soi en se couchant le soir. Et lorsque viendra le point de non-recevoir, Se dire qu’au fond, ce n’est qu’un au revoir! Ne regrette pas de vieillir. C'est un privilège refusé à beaucoup
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Lecossais |
Date du message : novembre 13, 2017 06:55 |
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***Message ce lundi dans ma boîte postale *** De : Sous1600 Sujet : Re : Salut Date : 12/11/2017 Heure : 19:22 PM c'est un plaisir pour moi de converser avec toi je me permet de te tutoyer j espère que tu va bien pour moi je me porte a merveille sauf un peux dépasser par le boulot et la vie quotidienne je te promit mon cher ami d écrire sur 'La sexualité n'a pas d'âges même si un peux tard et je répondrais sur les questions que tu m as posé enfin tard que jamais baises doux Soraya P.S. de Lecossais : Chérie je suis content que tu sois encore vivante, en santé. J'ai aussi d'autres questions indiscrètes: Es-tu musulmane ou Athée ? ''Dépassée par le boulot?'' Te sens-tu libre d'aller où tu veux ? Quelle est ton opinion sur les hommes ? As-tu déjà embrassé une Femme ? Malgré ton boulot difficile, as-tu encore le temps de te masturber, de te flatter le clito et de jouir ? A bientôt...***** je t'embrasse aussi en douceur.
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Lecossais |
Date du message : novembre 13, 2017 16:32 |
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*** Témoignage d'une dame de plus de 60 ans lors d'un massage donné par un homme *** '''Je voudrais partager mon expérience et voir si cest déjà arrivé à l'un ou l'une d'entre vous. Je me suis fais massée dans un spa par un homme. Ce fut une expérience surréaliste !! Je suis mariée depuis plusieurs années, mais pourtant, le massage a réveillé des sensations et des envies incontrôlables !! Depuis 4 jours, je narrête pas de penser à cela ! Le massage a commencé normalement quoique cétait quand même bizarre de se faire masser par un homme (c'était ma 1ere fois). Toucher très sensuel Pendant le massage, je ne sais pas si c'était le fait d'un homme ou pas mais j'ai trouvé ces gestes beaucoup plus osés que d'autres massages que javais reçus. Par exemple, il remontait vraiment haut entre les cuisses, il se mettait à ma tête et moi sur le ventre et se penchait sur moi pour me masser le dos (je devais donc me cambrer énormément ) Je sentais sa respiration forte.Son visage s'approchait beaucoup du mien. À un moment donné, il me murmure à l'oreille : je ne peux pas faire plus que le massage ... et puis, moi je mexcuse puis demande si c'est souvent comme ca. Il me repond qeu ca arrive des fois et que bizzarrement quand il voit que ca plait, il en fait plus. Puis au bout de 5-10 minutes, je me cambre encore, faisant ressortir ma poitrine, je ne peux m'empêcher quand il est à 1cm de moi de lui faire un petit bisou sur la joue. Ensuite, il commence à me masser plus les fesses et de s'approcher de l'entre-jambes, et là, il me dit , je fais plus que le massage . Jétais comme ailleurs ! Sur une autre planète ! Pourtant ce n'est pas du tout mon genre!! Et puis, il me fait un bisou sur le front et me dit que c'est terminé... Depuis, ca n'arrête pas de me tourner dans la tête, est-ce normal ?? Est-ce que vous pensez quil a pu avoir du plaisir lui aussi ?? Puis-je retourner le voir ?? A la fin, il m'a quand même laissé sa carte en m'indiquant qu'au bout de X massages, j'en avais un gratuit.). Je vais devenir folle !! Aidez-moi à y voir plus clair !! P.S. de Lecossais : Tu as plus de 18 ans, laisse-toi aller et susurre-lui à l'oreille ''Ouiiiiiiiii tu peux aller plus loin....... soupire fort et ferme les yeux pour sentir mieux tous les touchers. Le massage érotique est le meilleur moyen de sentir les mains d'un autre homme que ton mari... et surtout NE LUI RACONTE PAS. Pour une Dame, il est de beaucoup préférable de se faire masser par un homme d'expérience (entre 40 et 50 ans) que par une femme ... Fais-toi faire ''un prix d'amis'' s'il semble excité par ce qu'il te fait. Tu le sentiras si tu passes ta main , quand il est sur le côté, au niveau de la table...Si la bosse est dure, tu auras gagné et tu seras à l'aise de te laisser masser entre les cuisses, sur le dos et sur le ventre, le cul bien haut en ouvrant...Tout le plaisir est pour toi...
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Lecossais |
Date du message : novembre 14, 2017 05:39 |
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***Message de Sous, débordante de sensualité *** Sujet : Salut lécosais Sous1600 Algérie Messages : 5 Date du message : novembre 13, 2017 '''véritable orgasme aie aie aie ! je ne crois pas que l'orgasme ait un report avec la taille du pénis, mais il est certain que le SAVOIR-FAIRE de mon partenaire y est pour beaucoup. De mon coté je prends mon temps pour préparé son corps a l activité sexuelle Tout est psychologique; le sexe ne se limite pas a la pénétration bien sur il faut que je lèche ces points sensibles, masser ces fesses et l intérieur de ses cuisses; je suce ses testicules et sa raie. Pour ce qui est du gode, j'en ai un, et avec franchise, c' est mon partenaire qui me le place, pour ca il faut que ma chatte soit bien mouillée, mais rien ne remplace la queue d un homme, enfin certaines aiment le salé d' autres le sucré... moi c'est la salé ! Oui je suis une âtée mais j ai déjà fais des démarche pour me convertir en catholique mon idée sur les hommes comme on dis chez nous ya des hommes et ya des hommlettes; Je te fais savoir si j ai rencontré des homme tres sympas qui m'ont marqué a vie je n ai iamais ni caréssé ni embrasseé une femmes ma bouche que tu voie sur la photo bien arondie c est un trés gros bisou que j'envoie a toi et tous les amicalien a bientot
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Lecossais |
Date du message : novembre 14, 2017 06:05 |
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Sujet : Salut Lécosais Date du message : novembre 13, 2017 19:30 Merci mon cher ami l écossais pour le gentil message Voila pour parler de mes expériences. Mon premier orgasme vaginal, je l'ai eu à 24 ans a Palma (Ile de Majorque) en Espagne . Le savoir-faire de mon partenaire y est pour beaucoup L homme que j ai rencontré est arrivé à me faire jouir 3 a 4 fois d affilée et ce qui est génial c est d arriver a deux types d orgasmes l' un derrière l 'autre, et c est vrai que l orgasme vaginal met un peu plus longtemps a arriver qu'avec le clitoris, mais quant il est la, un véritable orgasme aie aie aie !! P.S. de Lecossais : merci Sous-Chérie pour ces 2 témoignages, ces gentilles confidences. J'ai encore quelques questions pour toi: 1- Depuis les 30 derniers jours, combien as-tu eu d'orgasmes vaginaux ? et si tu n'as pas de partenaires, es-tu capable de te donner un orgasme vaginal, avec tes doigts ou un gode ?? 2-Parles-tu avec d'autres Dames de ton âge, ou plus âgées, de sexualité ? Vous vous faites- vous des confidences ?? As-tu une amie avec qui parler de sexualité ? 3-Combien d'orgasmes du clitoris as-tu eu depuis les 30 jours ?? 4-As-tu déjà été mariée ? As-tu des enfants ? 5-Aimes-tu faire éjaculer un amant avec tes mains ? ou ta bouche ? Merci encore pour ta belle collaboration à ta belle famille ''La sexualité n'a pas d'âges'' et parles-nous des dames âgées, celles que tu connais et qui ont une belle sexualité... Mère, père, frères et sœurs ? A demain et fais de beaux rêves. ***** Becs mouillés avec le bout de la langue....***************x
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Lecossais |
Date du message : novembre 15, 2017 09:09 |
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*** RÉFLEXIONS SUR LES RELIGIONS ***par Céline Galipeau (Radio-Canada) Née à Longueuil de Georges Galipeau journaliste et diplomate et d'une mère vietnamienne 1 , Céline Galipeau étudie en science politique à l' Université de Beir Zeit en Cisjordanie en 1976 et en littérature anglaise à l' Université d'Amman en Jordanie en 1977. Par la suite, elle étudie à l' Université McGill de 1978 à 1983, où elle obtient une maîtrise en sociologie et en politique . Sa carrière journalistique commence en 1985 dans la presse privée. Elle anime des bulletins et écrit des articles, mais choisit ensuite de couvrir directement l'information sur le terrain. Après avoir couvert l'actualité canadienne à Toronto , elle devient correspondante à Londres pendant la Guerre du Golfe . Elle fait des reportages sur la guerre civile algérienne , la guerre de Tchétchénie et la guerre du Kosovo pendant les années 1990. Elle a réalisé de nombreux reportages sur la condition féminine, en particulier ceux portant sur la Conférence des femmes de Pékin en 1995 qui lui ont mérité le prix Amnesty International . Envoyée spéciale en Afghanistan , elle a dû porter le voile pour se renseigner sur la condition féminine dans le pays. De retour au Canada , Céline Galipeau anime l'édition du week-end du Téléjournal en alternance avec Bernard Derome , en semaine. En janvier 2009, elle a succédé à Bernard Derome comme présentatrice à plein temps duTéléjournal . ***Voilà une réflexion intéressante.....de Céline Galipeau À la lecture des commentaires émis dans les journaux ou les réseaux sociaux, je crois que vous, mes amis musulmans, semblez avoir de la difficulté à comprendre le peuple québécois qui est non seulement en faveur de la charte de la laïcité, mais qui y tient mordicus. Selon plusieurs d'entre vous et aussi quelques bien-pensants québécois, vous nous percevez comme un peuple xénophobe, à la limite raciste, alors que c'est totalement faux. J'aimerais vous amener à réfléchir à quelques points qui pourraient nous rapprocher et vous aider à comprendre notre réaction vis-à-vis votre présence en sol québécois. Je pense que vous serez d'accord avec moi que le Canada (incluant bien entendu le Québec) est, comparativement à votre pays d'origine, une des nations les plus pacifiques au monde. Souvenez-vous que les Casques bleus sont une création canadienne. Le peuple québécois déteste la chicane et la confrontation. Il aime la paix. Il peut faire des concessions, mais pas n'importe lesquelles. Le Québec a été sous l'emprise de l'Église catholique pendant 400 ans. J'exagère à peine en disant que l'Église était pour nous l'équivalent des talibans chez vous. Tout comme vos extrémistes islamistes, on nous obligeait à aller prier à l'église sous peine de brûler en enfer. L'alcool était fortement déconseillé, la musique et les films faisaient l'objet de censure. Si les jeunes femmes avaient des relations sexuelles avant le mariage, elles se faisaient renier par leurs parents et étaient jetées à la rue. On leur arrachait leurs enfants des bras pour les confier à des orphelinats dirigés par... l'Église. Pendants ce temps, des religieux abusaient des petits enfants à l'orphelinat ou à l'école. Il a fallu 400 ans au peuple québécois pour briser cette domination et rejeter ces dogmes et croyances ridicules. Croyez-vous que nous allons laisser une autre religion entrer dans nos vies et dans l'espace public? Croyez-vous sincèrement que je suis à l'aise quand l'enseignante de ma petite-fille porte un voile pour lui démontrer de manière sans équivoque sa croyance religieuse: «Tu vois moi, je suis meilleure que toi, je pratique ma religion». Et comment pensez- vous que je vais réagir quand on lui imposera la nourriture halal au CPE ou à l'école? Nous sommes maintenant un peuple libre, libéré de la religion. Noyé dans une mer de 375 millions de Nord-Américains qui parlent l'anglais, le peuple québécois est fier de dire, encore aujourd'hui, qu'il a conservé sa langue et sa culture. S'il faut se battre encore 400 ans pour avoir un Québec laïc, libéré de toute religion, nous nous battrons. Les Québécois ne se laisseront jamais imposer une culture ou croyance qui va à l'encontre de leurs valeurs. De là la nécessité de la charte des valeurs québécoises. Alors, je vous tends la main, je vous demande à vous, mes amis musulmans, de vous joindre aux autres immigrants, italiens, chinois, grecs, vietnamiens, latino-américains, qui pratiquent eux aussi leur religion, mais discrètement à la maison. Pourquoi est-ce si facile pour eux et pas pour vous? Pour beaucoup d'entre vous, vous avez quitté un pays en guerre, le Québec vous offre un pays d'accueil, de paix, sans guerre et sans conflit. Un pays où tout est possible. Il suffit de faire comme les autres immigrants et de vous intégrer au Québec. Vous avez tout à gagner. Bienvenues chez-nous!!! CÉLINE GALIPEAU
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