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  Famille : La sexualité n'a pas d'âges


Ce sujet fait partie de la famille La sexualité n'a pas d'âges. Cette famille est semi-privée. Vous pouvez lire le contenu de cette famille mais vous devez vous y inscrire pour échanger.



Auteur

Sujet : Opinions

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juin 18, 2018  10:25

                   *** J'ADORE LES DAMES BIEN MÛRES ***
Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
J’ai 62 ans et j’ai toujours eu un petit faible pour les femmes plus âgées que moi, ceci étant sans
doute dû à mon initiation (délicieuse) par une femme dans la quarantaine alors que j’étais très
jeune. Je regrette donc que peu de personnes, hommes ou femmes ne parlent du troisième âge
et de la vie sexuelle très intense qui peut encore exister dans cette phase de la vie. Oui, vous
surtout, mesdames, qui nous lisez, j’en suis sûr, n’ayez crainte de vous dévoiler.
Dans notre immeuble administratif, il y a sous les combles un petit local fermé qui me sert à
l’archivage de certains dossiers volumineux. Il m’arrive donc très souvent de m’y rendre pour
rechercher tel ou tel document, et je suis seul à en posséder la clé.
Par la petite mansarde située au-dessus de mon bureau, j’aperçois l’immeuble situé de l’autre
côté de la rue, soit longtemps inoccupé, l’appartement en question est maintenant habité par une
dame d’environ 70 ans vivant seule. C’est une dame fort honorablement connue dans notre
petite ville de l’Est de la France, veuve d’un ancien maire. Elle est encore très élégante, blonde,
toujours bien vêtue et coiffée. Plusieurs fois, au cours de l’été, alors qu’elle laissait le fenêtre
entrouverte, je voyais que celle-ci donnait sur sa chambre à coucher, et en enfilade, je voyais
encore la baignoire de sa salle de bains. Elle ne se doutait absolument pas que l’on pouvait
l’observer de l’extérieur, mais cependant, elle refermait sa fenêtre et tirait ses voilages dès
qu’elle y pénétrait. La nuit, elle tirait de lourds rideaux qui empêchaient toute vision de sa
chambre.
Une fois où l’autre, cependant, j’avais pu la surprendre en tenue légère, slip et soutien-gorge
alors qu’elle ne faisait que se rechanger ou traverser la pièce. Inutile de dire qu’elle m’avait mis
dans tous mes états et que cette vision, même fugitive, avait provoqué en moi une vive
excitation. Dès ce jour, j’ai pris dans mon bureau une puissante paire de jumelles et un petit
trépied qui me permettait, en cas d’alerte de la visionner discrètement. Je l’ai surprise ainsi
plusieurs fois le matin, alors qu’elle aérait et faisait sa chambre. Aux beaux jours, elle laissait tout
grand ouvert, et allait et venait en robe de chambre en flanelle bleue claire. Par moments,
lorsqu’elle se baissait en passant son aspirateur, je voyais par l’entrebâillement de sa robe de
chambre qu’elle était NUE EN DESSOUS, et le grossissement de mes jumelles me permettait
parfois d’entrevoir furtivement ses seins, qu’elle avait très généreux, et ma foi encore de belle
prestance. Je baissais alors mon pantalon et mon slip et je passais de longues minutes à
l’observer ainsi tout en me masturbant, assis dans mon fauteuil de bureau, bien enfermé à
double tour. Quelques fois même j’ai eu le plaisir intense de la voir par la porte à peine
entrouverte de sa salle de bains alors qu’elle se prélassait dans sa baignoire. Je ne pouvais voir
ses mains, mais je suis sûr qu’une fois ou l’autre, alors que sa tête reposait très en arrière sur un
linge sur le bord de sa baignoire, elle se caressait. Je voyais son beau visage comme si elle était
à quelques mètres de moi, et ses yeux fermés et ses traits un peu crispés me montraient sa
jouissance. À sa sortie du bain, je pouvais aussi apercevoir brièvement un sein, ou un bras ou
une cuisse lorsqu’elle se séchait. Que de longues giclées de mon sperme ont accompagnés ces
instants !
Un après-midi d’été, alors qu’il faisait une chaleur orageuse et étouffante, je la vis arriver et tirer
les voilages sans refermer sa fenêtre. La chambre était très assombrie par le temps orageux et
je ne distinguais plus rien, lorsque je vis avec surprise s’allumer sa lampe de chevet. Mes
jumelles mises en batterie, je pus alors bien distinguer l’intérieur de la chambre dans la
pénombre, à travers le tissu des voilages. Madame P. était dans un angle de sa chambre et
commença par déboutonner et enlever sa robe, puis après un petit passage à la salle de bains,
elle revint et s’étendit sur son lit, couchée sur le côté, face à moi, en petit slip et soutien-gorge en
dentelle noirs. Quant à moi, mon pantalon était déjà à terre et longuement je faisais aller et venir
la paume de ma main sur ma queue déjà décalottée et bien raide. Elle ouvrit un petit cornet
qu’elle avait jeté sur le lit et en sortit une petite revue dont le format me fit immédiatement penser
à ces magazines de lettres érotiques en vente dans les kiosques. Enfin, j’allais pouvoir la
contempler dans son plaisir solitaire.
Tout en lisant, elle frottait très lentement ses cuisses l’une contre l’autre, puis sa main droite
commença lentement de caresser ses seins à travers le tissu du soutif. Bientôt, elle fit sortir un
téton par dessus le dentelle, le prit entre son pouce et son index et le malaxa tendrement. Ses
cuisses s’entrouvraient déjà plus largement et elle faisait des petits mouvements en ciseau d’une
grâce exquise. Je devais fortement me retenir de juter, mais quelques gouttes perlaient déjà de
ma queue. Elle reposa le livre, et se penchant en arrière, elle décrocha son string et le déposa
au pied du lit. J’étais fou de voir ainsi ses seins lourds et pendants, aux gros bouts érigés et aux
larges aréoles sombres. Elle les prenait à tour de rôle dans sa paume et les pressait. Je
contemplais tout ceci à bout portant, et il me semblait être suffisamment près pour les toucher.
Je contemplais aussi son beau visage un peu austère, crispé par le plaisir, sa bouche
entrouverte, où par moments elle faisait pointer sa langue pour se lécher les lèvres. Puis sa main
descendit et passant sous l’élastique de sa culotte qu’elle abaissa un peu, elle se mit à
s’enfoncer entre ses lèvres d’amour, que je commençais à deviner dans une belle touffe de poils
clairs. Je me mis à juter très fort dans le kleenex dont j’avais déjà entouré ma main, mais je
bandais encore toujours aussi dur, devant la puissance du spectacle qu’elle me donnait.
Elle écartait ses cuisses, mais sa culotte la gênait vraiment trop. Elle l’abaissa jusqu’à ses pieds
et la laissa entortillée autour d’une cheville, ne prenant même pas le temps de l’enlever
complètement. Après quelques minutes de lecture, n’en pouvant plus, elle laissa tomber son livre
à terre, et se couchant sur le dos en travers du lit, elle se fourragea d’une main, tandis que
l’autre allait et venait sur ses seins et sur son ventre. Elle avait maintenant les cuisses tout
écartées et je pouvais voir sa vulve complètement trempée et ouverte. Elle entrait fortement et
brutalement deux doigts dans sa chatte, puis ressortait et venait titiller son gros bouton érigé et
luisant, puis elle replongeait. À un moment, elle remonta sa main et se suça longuement les
doigts avant de repartir à l’assaut. Enfin, elle se retourna, se mit à quatre pattes, faisant frotter
ses gros seins ballottant sur les draps, les fesses haut cambrées, comme offerte en levrette, se
branlant comme une folle d’une main. Tout son corps luisait de sueur, et le grossissement de
mes jumelles me permettait même de voir les traces des gouttes sur ses hanches. Ne me
manquaient que ses cris que je pouvais deviner par les mouvements de ses lèvres, et hélas son
odeur de cyprine que je ne pouvais qu’imaginer. En tous cas, elle devait être bonne, sa mouille,
car plusieurs fois elle y goûta en léchant sa main comme une gourmande. Elle se tendit soudain
comme un arc et jouit longuement, sa main bloquée entre ses cuisses tétanisées, puis retomba
brusquement à plat ventre, le visage crispé tourné contre moi, les yeux fermés, toute essoufflée.
Une seconde fois, je jouis moi aussi, envoyant de longues giclées de sperme. Après quelques
minutes, son visage redevenu détendu mais encore en extase, je la vis tendre le bras et éteindre
la lampe de chevet, replongeant la chambre dans la pénombre, et ne me permettant plus d’y
distinguer quoi que ce soit. Je dus aller au lavabo et me rincer le visage à l’eau froide tant cette
scène m’avait bouleversé. Dès ce jour, je la vis avec d’autres yeux, et malgré son âge
relativement avancé, je la trouvais belle et désirable. Lorsque je la croisais et la saluais dans la
rue, j’étais saisi d’une forte érection que je calmais dès que je pouvais m’isoler dans les toilettes
d’un café ou d’un jardin public, dans ma voiture, même. Elle me répondait toujours avec son air
un peu distant, pour ne pas dire hautain (Ah, ma belle dame, si vous saviez que je sais les
douces turpitudes qui vous taraudent parfois…).
Je me suis branlé des dizaines de fois en me remémorant cette dame. Pendant plusieurs
semaines, je ne pus plus rien voir d’autre que ses scènes de nettoyage, et la clarté du temps
d’été ne lui faisait plus allumer sa lampe de chevet si elle voulait se faire des gâteries durant
l’après-midi. Je ne pouvais donc qu’imaginer…la suite.

P.S.de Lecossais : j'espère que cette aventure te réchauffe et te donne le goût de te
caresser...d'ouvrir ta fenêtre un tipeu...
Je suis de retour à Campbellton et demain le Québec vers Carleton...voir quelques bikinis
possibles...

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juin 23, 2018  07:12

                         *** UN TOTEM POUR DIRE ''JE T'AIME'' ***
Sylvia Galipeau La Presse
Attablés dans un café pour l’entrevue, Jade Tremblay, Tessa Paradis et Carol Rancourt nous ont
proposé de nous faire essayer le jeu. Tour à tour, ils nous ont donc énuméré une foule de
compliments, en expliquant, chaque fois, leur choix. Non, il n’est pas évident de recevoir tant de
fleurs. C’est limite gênant. On s’est même un peu senti tout nu. Mais en fin de compte ? Ça ne
fait pas de mal. C’est même loin d’être désagréable.
Mireille Joussemet est professeure de psychologie à l’Université de Montréal. Spécialiste en
motivation humaine, elle met en garde contre les « compliments étiquettes » qui « se collent et
se décollent. » D’où l’importance, ici, au-delà de l’énumération des compliments, d’enchaîner
avec le « pourquoi » et surtout le « quand » et le « comment ». « Justifier, c’est la partie la plus
importante, dit-elle. C’est pratiquement un exercice de gratitude. » Et la gratitude, c’est prouvé et
reconnu, ça fait du bien. ***« Susciter des émotions positives, cela favorise le bien-être », dit-
elle. Mais surprise : « La recherche nous dit que c’est surtout en ***donnant [des actes de
gentillesse], et moins en recevant, qu’on favorise le bien-être ! »
Imaginez une soirée où tous vos amis, tour à tour, débattraient de vos plus belles forces, de vos
plus grandes qualités. Imaginez si, à votre tour, vous deviez complimenter tous ceux que vous
aimez. Voici Totem, un nouveau jeu québécois, qui se veut exactement ça : des tas de
compliments, jamais suivis de « mais », « sauf que » ou « en revanche ». Du bon, encore et
encore. Ça change, non ?
« CE QUE J'AIME DE TOI, c’est que tu réussis toujours à percer là où bien d’autres baisseraient
les bras. » « Tu ensoleilles nos journées par ta personnalité colorée. » Les trois concepteurs du
jeu Totem avaient envie de créer un exercice ludique pour « tourner le regard vers le positif ». Ils
viennent de lancer Totem, un jeu de 160 cartes qui se résume à ça : énumérer les qualités des
différents joueurs. Et expliquer pourquoi, quand, comment chacun est particulièrement «
généreux », « persuasif » ou « attentionné ». « On voulait créer un prétexte pour s’arrêter et
souligner ce qu’on apprécie les uns des autres », résume Carol Rancourt, l’un des trois créateurs
« Plus tu vois le beau, plus cela te donne de la force, résume Jade Tremblay. ***L’idée, c’est de
sentir qu’on a de la valeur en tout temps. » Non, les concepteurs n’ont pas de formation en
psychologie. S’ils sont atteints du syndrome de l’imposteur ? « Nous, on a fait ça de manière
spontanée ! C’est ludique », répondent-ils. Mais ils ne cachent pas leur intérêt pour le
développement personnel. Le jeu relève donc plutôt de la psycho-pop qui s’assume. « C’est un
jeu qui fait du bien. »

P.S. de Lecossais : Bonne fête nationale mes Chéries-Québécoises (24 juin), je suis à
Bonaventure et il y aura un grand feu. Ici ''le temps que je passe à te dire ''je t'aime'' et le seul
temps dont je me souviendrai au bout de mes jours.'''Le jeu démontré ici se joue en groupe où tu
dois dire des vérités mais uniquement gentilles à quelqu'unes.

***Je viens de terminer un livre extraordinaire par son originalité, sa nouveauté , écrit par une
dame : A.R.Torre ''La Fille du 6E ''' (USA 2017) .Faut absolument que tu lises ce chef d'œuvre...
pour les Hommes et aussi pour les Dames qui veulent tout savoir sur les hommes. Pour les 65
ans+. Je t'aime *****

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juin 26, 2018  13:30

      *** SE FAIRE PRENDRE LES CULOTTES BAISSÉES ***
Alexandre Vigneault La Presse
Avec le retour du beau temps peut aussi venir l’envie de s’envoyer en l’air au grand air. Il vaut
mieux prendre ses précautions, parce que se faire prendre en flagrant délit, c’est un délit.
Le temps est bon, le ciel est encore bleu et cette balade romantique au parc fait soudain monter
des envies pas très « disneyesques ». Hop ! Sans lâcher la main calée dans la vôtre, vous
sortez des sentiers battus et, en moins de temps qu’il n’en faut pour dire « mais, mais… qu’est-
ce que tu fais ? », vous vous retrouvez les fesses à l’air. Et si vous vous faisiez prendre ?
L’option numéro un est sans doute de tenter le sourire épais ou – si vous êtes vraiment
audacieux – le clin d’œil complice. Et de prendre la poudre d’escampette en se rhabillant. Sauf
que si la personne qui vous surprend porte un uniforme de police, les seules options possibles
seront probablement le sourire épais et le rire nerveux…
S’envoyer en l’air en public « répond à la définition de l’action indécente », telle que définie par
l’article 173 du Code criminel, précise l’avocate Véronique Robert.
« Quand il y a des gens autour qui pourraient voir le couple, il est pas mal garanti que les
policiers vont porter des accusations. »
— Me Véronique Robert
Les amants ne seront pas « emmenés tout nus » au poste de police, croit Me Robert, mais ils
devront sûrement signer une promesse de comparaître ou recevront une sommation à
comparaître.
L’action indécente peut être résumée comme un comportement déplacé du point de vue social,
commis en public en présence d’une ou plusieurs personnes ou même ailleurs si ce
comportement vise à « insulter ou offenser quelqu’un ». « Ce n’est pas parce que c’est un geste
de nature sexuelle qu’il va nécessairement choquer », nuance toutefois Me Christian Desrosiers.
Et toutes les actions indécentes ne sont pas d’ordre sexuel.
MIS À L’AMENDE
Combien de ces accusés ont été reconnus coupables ? L’information n’est pas disponible. Quels
sont les risques pour les amants audacieux ? Tout dépend du contexte et de la personne qui
commet le délit. « De façon générale, les tribunaux imposent des amendes aux délinquants
n’ayant pas d’antécédents et n’ayant pas fait de victimes” », répond Gonzalo Nunez.
Ces dossiers peuvent être très complexes. « Il faut prendre en considération tous les faits, la
norme de tolérance de la société et les circonstances », précise Me Desrosiers. Où ces gens
étaient-ils ? Derrière un monument public en plein après-midi ? Dans le métro ? La notion de «
gros bon sens » s’applique, selon l’avocat. Et s’il y a des enfants à proximité ? « Le contexte est
plus indécent, disons-le comme ça », dit-il.
Me Robert souligne qu’il y a quelque chose d’« hyper subjectif » dans les crimes contre la
moralité. Ainsi, selon les circonstances, un policier, un procureur de la Couronne ou un juge
pourrait juger qu’il n’y a pas matière à poursuite ou à procès. « Plus ces personnes prennent des
mesures pour ne pas être vues, plus grandes sont les probabilités qu’elles ne soient pas
poursuivies », rapporte encore Gonzalo Nunez.
Me Robert croit en effet que si un policier tombait sur des gens en pleine action dans le fond d’un
stationnement où il n’est pas vraiment possible de les voir, il leur dirait simplement de rentrer
chez eux. Christian Desrosiers insiste : le contexte constitue un élément clé dans ce type de
dossiers. « Et la prudence voudrait qu’on puisse s’assurer d’un minimum d’intimité pour être à
l’abri des problèmes », ajoute l’avocat.
ET SI LE TÉMOIN EST UN ENFANT ?
Se faire prendre les culottes baissées en public est une chose. Se faire surprendre par un enfant
dans ces circonstances, c’est peut-être plus fâcheux. « Là, la différence est immense, souligne
Me Robert. Si c’est un enfant qui voit ça, l’accusation qui pourrait être portée, dépendamment du
contexte, c’est celle d’incitation à avoir des contacts sexuels. » Me Desrosiers n’est pas
d’accord. « Il ne faut pas exagérer », dit-il. À moins que ce geste ait été volontaire. Les deux
avocats s’entendent néanmoins sur une chose : s’exhiber près d’une école est une très
mauvaise idée. Les peines, selon les accusations, pourraient être autrement lourdes.

P.S. de Lecossais : par les temps qui courent, il est difficile de se montrer la vulve ou la
quéquette. Moi ce que je fais, je demande qu'elle est la coutume ici si je suis sur une plage.
Exemple: à Cap-aux-Oies sur la 138 dans le coin de Petite-Rivière-St-François, si je vois une
seule personne, nue, je fais comme elle. A Gaspé où je suis passé hier, à la plage
dite ''boumdefense'' --demande aux Authoctones pour l'endroit-- ; grande plage immense et là je
me mets habituellement nu...sauf hier. Ma quéquette a dit non et je l'écoute; elle n'aime pas
prendre un rhume. Si tu es invisible et nu, si on veut te voir, c'est que c'est l'autre qui est voyeur !
Partout et c'est la loi maintenant, aucune plainte ne peut être portée si une dame a les seins nus.
C'est jurisprudence maintenant pour tout le Canada. Les seins ne sont plus considérés comme
indécents mais une partie du corps de la femme qui sert à nourrir les bébés et ...les hommes qui
ont faim...Bon été qui doit commencer bientôt...Pratiques-toi dans ton bain en attendant.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juin 28, 2018  17:51

             *** TROUVER L'AMOUR AVANT L'ÉTÉ ***
Julie Pelletier Samedi, 9 juin 2018 JDM
La chaleur revient, le soleil resplendit et les sourires s’agrandissent sur le visage des gens. Le
beau temps nous donne envie de prendre une bouchée sur une terrasse et de flâner dans les
rues du centre-ville. À un, c’est bien, mais à deux, c’est mieux, dites-vous ? Nombreux sont les
célibataires qui voient arriver la belle saison avec inquiétude. Et si c’était possible de trouver
l’amour avant l’été... L’âme sœur. Croyez-vous qu’il existe quelque part un individu qui possède
les qualités que vous recherchez ? Quelqu’un qui saurait vous combler en partageant les mêmes
valeurs et les mêmes intérêts ? Une personne merveilleuse qui serait votre alter ego ?
Il existerait des gens avec qui le courant passe mieux et avec qui les affinités sont quasi infinies.
La Dre Sue Johnson, psychologue clinicienne et auteure du livre Love Sense, nous a indiqué
qu’une âme sœur sait aussi répondre à vos signes émotionnels. « Elle est proche de vous
lorsque vous vous confiez, vous donne toute son attention et devance vos demandes, vous
caressant la main pour vous rassurer, vous souriant et vous serrant dans ses bras quand vous
êtes content, et vous réconfortant tendrement lorsque vous vous sentez mal. » Source : Kelsey
Borresen, Huffington, 5 octobre 2016.
          La bonne personne
Selon Yves-Alexandre Thalman : « Beaucoup croient – croyance erronée issue de la culture
romantique – que l’amour consiste à trouver la bonne personne, celle qui est compatible avec
nous. C’est ainsi que fonctionnent les sites de rencontre, où chacun peut chercher le partenaire
le plus compatible, soit au feeling, soit en se fiant à des algorithmes. Si indéniablement nous
nous sentons plus attirés par certaines personnes, en particulier celles qui nous ressemblent,
cette attirance n’assure en rien la viabilité du couple ! L’erreur est de penser que nous sommes
des personnalités figées. Or, NOUS CHANGEONS avec le temps et l’amour que l’on vit avec
quelqu’un permet justement de nous faire évoluer. C’est cette transformation, bien plus que les
compatibilités initiales, qui favorise une relation de qualité dans la durée.
La recherche de l’idéal sœur
   Il faut peut-être se méfier lorsque l’on souhaite l’idéal. Certaines personnes ont des critères de
sélection très élevés et surtout bien précis. Ceux-ci sont si pointus qu’elles semblent parfois se
leurrer, l’objectif devenant alors inatteignable. Afin de ne pas commettre les mêmes erreurs que
lors de relations précédentes, elles ressentent le besoin de resserrer les conditions à remplir au
sujet du bon candidat ou de la bonne candidate. La personne idéale n’existe sans doute pas, car
nul n’est parfait, mais il existe probablement quelqu’un qui a envie de partager la vie avec vous !
Reste à la/le trouver !
Quelques pistes
Savoir ce que vous voulez réellement et vous y tenir (sans être rigide, mais en étant en
cohérence avec vos valeurs et vos aspirations).
Savoir tirer profit de ses expériences antérieures et être fier de ses atouts présents.
Être prêt à se lancer : s’ouvrir aux autres, s’assurer d’être rendu au point de vouloir construire,
partager avec quelqu’un.
Chaque rencontre pourra être un cadeau dans la mesure où elle se fera dans le respect le
plus total de vos valeurs et aspirations.
Karen rêve de l’âme sœur
« Depuis que je suis toute petite, je rêve de rencontrer mon âme sœur. Je reste convaincue, à 51
ans, qu’il est quelque part et que je finirai par le retrouver. En fait, je suis certaine que les âmes
sœurs existent, mais comme il n’y en a qu’une pour chaque personne, c’est difficile de la
trouver ! J’ai des rêves de princesse, me direz-vous, sans doute ! Mais j’aime croire que je
rencontrerai l’amour. Mes parents en sont un bel exemple et j’ose croire qu’ils ne sont pas les
seuls à le vivre. Ils sont mariés depuis 35 ans et ils sont amoureux, c’est fou ! Je ne m’attends
pas à connaître un amour inconditionnel, sans limites et parfait. Je ne suis pas innocente quand
même ! Mais je suis certaine que l’amour est plus facile avec notre âme sœur. Présentement, je
ne cherche pas, mais je garde mes antennes ouvertes ! »

P.S. de Lecossais : L'âme-Sœur n'existe pas. Mais on peut rechercher des tendances qui nous
iraient chez d'autres personnes comme :
---aimes-tu la sexualité ?
--Aimes-tu te masturber ?
--Aimerais-tu que je t'embrasses ?
-- Aimerais-tu que l'on se caresse à plusieurs (3-4) ?
--Aimes-tu te montrer nue ?
--Aimerais-tu me masturber ?
--Aimes-tu lire, regarder des sujets sexuels ?
--Veux-tu me montrer comment tu te donnes du plaisir ?
--As-tu des jouets vibrants, un gode qui t'amène à l'orgasme ?
Ce sont les questions les plus importantes, à nos âges, et si deux personnes répondent OUI à
tout ses ces question, elles sont vraiment des âmes-sœurs. Pour trouver des personnes
compatibles, faudra l'écrire dans ton profil. L'amour viendra...si tu t'aimes et que tu as le sens de
l'humour. MOINS TU AS DE PEUR, plus tu es disponible à aller vers les autres.

**Je suis de retour à Rimouski après avoir fait le tour de la Gaspésie.
*Ce message a été édité le Jun 28, 2018 5:53 PM par Lecossais*




Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juin 30, 2018  14:40

             Pour les couples : *** DANS QUELLE POSITION DORS-TU ***
Julie Pelletier 16 juin 2018 JDM
Plusieurs chercheurs se sont penchés sur la question ! Il existerait un lien entre la façon dont les
couples dorment, plus particulièrement la position dans laquelle ceux-ci trouvent le sommeil et
l’état de leur relation. Voici un résumé (non exhaustif et adapté) des conclusions d’études faites
par des psychologues et des spécialistes du langage corporel !
1. Position bretzel : c’est le face-à-face entrelacé. Cette position démontrerait un grand niveau
d’intimité et de connexion sexuelle importante. Les partenaires qui dorment dans cette position-là
sont souvent fusionnels au quotidien : on soupçonne même parfois un peu de dépendance
affective de la part de l’un et/ou de l’autre ;
2. Position cuillère : position fréquente que celle d’être couché sur le coté. Dans ce cas-ci, le
ventre de l’un est collé au dos de l’autre — le bras souvent placé sur l’autre. La symbolique de
cette position ? La protection et elle démontre également une fabuleuse connexion érotique
(toutefois, il semblerait que seulement 18 % des gens dorment comme ça...) ;
3. Position cuillère égarée : même position que la précédente, mais avec de l’espace entre les
deux. Cette posture pour dormir démontre une belle complicité entre les partenaires ainsi qu’une
grande facilité à se connecter au quotidien, toutefois il semblerait que la fréquence des
rapprochements sexuels ne soit pas élevée pour ces couples ;
4. Position bord du gouffre : chacun est couché de son bord de lit – très au bord du lit d’ailleurs
et dos l’un à l’autre. Le bord du gouffre (cliffhanger) est d’ailleurs souvent une position retrouvée
après de très nombreuses années d’union, voire d’usure de la relation. Elle est aussi assez
fréquente après une dis*****. Bémol, à souligner — parfois les gens dorment dans cette position
simplement pour avoir de l’air (dans ce cas moins sur le bord du lit) et se touchent un peu (bras,
mains, jambes) — signifiant « chéri je t’aime, mais je veux dormir ! » ;
5. Position royale : homme ou femme sur le dos, les bras derrière la tête (un peu comme une
couronne ou une cape) et l’autre adoptant la position du koala — bien blotti sur le thorax. Cette
position démontre « tu peux compter sur moi, je suis en contrôle de la situation, fais-moi
confiance » et témoigne d’un sentiment de bien-être et d’abandon (pour la personne en position
koala) ;
6. Position dos à dos : confiance absolue et belle connexion. Lorsque les deux partenaires
dorment dans cette position, cela exprimerait une confiance mutuelle importante. La confiance
n’étant pas chose fixe, mais un sentiment qui est en perpétuelle évolution, donc toujours en
mouvement, le fait de dormir dos à dos indiquerait qu’un solide sentiment est installé !
7. Position du toucher unique : câlin de jambes. Le fait de dormir relativement éloignés l’un de
l’autre représente souvent un manque de complicité sexuelle, mais peu quand même dénoter un
certain attachement au quotidien. Par le désir de se toucher (même juste un peu) lorsque
couchés, les partenaires se signifient l’importance d’être en présence de l’autre ;
8. Position monopolisateur d’espace : l’un s’endort en prenant tout l’espace disponible ou
presque dans le lit. Pendant que l’autre se fait tout petit dans l’espace qui reste dans le lit, en
lançant souvent à la blague qu’il/elle n’a pas besoin de trop de place parce qu’il ou elle ne bouge
pas beaucoup, signifie incontestablement pour ces spécialistes un manque important de
générosité au sein de la relation... Il semblerait aussi que cette position peut révéler le fait que le
couple traverse un moment difficile et que celui/celle qui prend le moins d’espace dans le lit le
ferait également dans la vie (baisse de l’estime de soi, insécurité).

P.S. de Lecossais : d'abord petit rappel du texte précédent sur ''L'Ame-Soeur''. Pour moi, si deux
personnes aiment la sexualité, elles sont compatibles. Je veux dire si elles pensent très souvent
au ''sexe''. Dans ma vie je suis avec une personne depuis 58 ans (1960) et je sais qu'elle adore
le sexe et ne manque pas une occasion de se frotter, de me montrer sa vulve, de dos, bien
ouverte en faisant le lit tous les matins. Je l'ai vue aussi avec d'autres, et je sais qu'elle y prenait
beaucoup de plaisir. Ainsi il ne faut pas hésiter à l'écrire, en parler dans les profils. C'est LA
BASE DE TOUTE VIE EXCITANTE.

***Ici, dans ce texte, comme tout bon !! sexologue, elle ne parle pas d'ELLE, comment elle dort
Elle
? Moi, de dos, dos à dos, on se touche les reins...Mais si je me lève bander, je viens me la
placer entre ces cuisses, en cuiller.

***Je suis à Baie-Comeau après avoir été hier à Tadousac.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 2, 2018  09:10

                                 *** Sept-Îles, le ville des FUC-KS-FRIENDS ***
Je connais cette ville pour y être allé une dizaine de fois. Aucune maison à vendre ni à acheter.
Tout est planifié selon les demandes des travailleurs; ville sans chômage. Beaucoup de Dames
seules et d'Hommes seuls. C'est le crusing permanent et c'est très beau à voir. Même moi,
comme ce matin au café 'Toi-et-Moi', je suis seul et on me fait de l'œil doux. hum....
Beaucoup de bars, de restos où rencontrer; des danses en ligne sous la tente et des toilettes
publiques ; trois, juste sur la promenade en bord de mer. Je te la recommande pour y passer tes
étés...mais va en Floride l'hiver ou au Mexique. Bonne chance et bonne fête du Canada. Hier
soir, gros feux d'artifice !!! J'y suis toute la semaine.
                  
                            *** DISPARAÎTRE ***
Richard Martineau JDM
Selon une récente étude de l’Institut canadien d’information sur la santé, plus de la moitié des
personnes âgées prennent des médicaments potentiellement inappropriés.
De plus, 60 % des résidants de CHSLD gobent des antidépresseurs. C’est énorme.
L’HOMME INVISIBLE
Remarquez, si j’étais dans un CHSLD, avec un bain par semaine et de la gibelotte trois fois par
jour, je me gèlerais aussi la bine. À la morphine.
L’autre jour, à France Culture, le comédien français Jean-Pierre Bacri, que j’adore (et qui a eu 67
ans jeudi), parlait de la vieillesse.
« On dit qu’en prenant de l’âge, on devient plus sage, plus serein, disait-il. Mais ce sont des
mensonges qu’on se raconte pour essayer de dorer la pilule. La réalité est que vieillir, c’est pas
terrible. C’est une sorte d’exil. Tu disparais, lentement.
« Avant, je pouvais établir des contacts visuels avec les belles femmes que je croisais dans la
rue, il y avait un jeu de regards, de séduction, c’était agréable. Maintenant, plus personne ne me
regarde. Comme si je n’existais plus... Tu deviens invisible. »
Socialement, aussi, tu disparais, tu fonds dans les murs. Quand parle-t-on des vieux, de leurs
problèmes ?
Dans les campagnes électorales, c’est tout, pour aller chercher leurs votes. Et même encore...
Vieillir, c’est comme un long fondu au noir au cinéma.
L’image s’efface, peu à peu. Jusqu’à ce que ce soit le noir complet. Puis le générique défile.
Devant un public qui se lève et qui s’en va.
LA TOMBÉE DU SOLEIL
Regardez les noms que l’on donne aux résidences pour personnes âgées.
Les résidences Soleil. Bleu horizon. Jardin des sources. Château Bellevue. La rose de l’île. Les
jardins de Jouvence. Ça ferait crier Bacri, j’en suis sûr.
L’autre jour, je suis allé au lancement de l’autobiographie de Jacques Godbout, De l’avantage
d’être né.
« J’ai écrit ce récit de mémoire pour conjurer la peur d’une démence », a-t-il dit d’une voix
chevrotante, devant ses enfants, ses petits-enfants et sa tendre moitié qui avait les yeux pleins
d’eau. Ça m’a foutu un coup.
Qu’un être aussi lumineux, aussi curieux, aussi vivant envisage la tombée du soleil m’a
profondément ému.
Mon ami Jacques a la chance d’être hyper talentueux, et de pouvoir transmettre ses souvenirs et
ses réflexions par le biais de la littérature.
Mais qu’en est-il des autres ?
Ils vont emporter leurs souvenirs avec eux.
Comme le réplicant à la fin du premier Blade Runner.
« J’ai vu tant de choses que vous, humains, ne pourriez pas croire. De grands navires en feu
surgissant de l’épaule d’Orion. J’ai vu des rayons fabuleux briller dans l’ombre de la porte de
Tannhäuser.
« Tous ces moments se perdront dans l’oubli comme les larmes dans la pluie. »
UN TOUR DE MANÈGE
J’ai 56 ans. Ce n’est pas très vieux, mais ce n’est plus très jeune. Je suis assis dans le petit train
d’une grosse montagne russe, l’opérateur du manège a appuyé sur le bouton et je monte, je
monte...
Pour l’instant, c’est agréable. Mais je sais que dans quelques années, je vais dévaler la pente
que je suis en train de monter.
Et quand je regarde comment on traite les vieux, laissez-moi vous dire que je n’ai pas très hâte...

P.S. de Lecossais : mes conseils pour les 65 ans et + que les médecins ne te diront pas...et
surtout pas les pharmaciens : ARRÊTE TES PILULES pour le cholestérol, pour la haute pression
ou les hauts et bas de ta vie...D'abord ça t'empêche de bander, tu ne mouilles plus et tu
dépérie...tout en mangeant des pilules....
*Ce message a été édité le Jul 2, 2018 9:22 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 4, 2018  13:17

                *** LES NONNES de Baie-Comeau jouissent-elles ? ***
Ce matin, au parc en bas, j'ai aperçu une religieuse, 55 ans, qui ressemble en tout point à une
musulmane: longue robe jusqu'aux chevilles, un bonnet qui cache les cheveux, des lunettes,
mais pas mariée sauf avec dieu me dit-elle ! Ici à Baie-Comeau, une communauté de longue
date. Comme elle attendait le bus, je me suis approché : ---' Etes-vous plusieurs ? que faites-
vous de vos journées ? et qu'elle est la différence entre vous et une musulmane ? ''
---'' Nous, on travaille pour la paix et on aime dieu. On est marié avec...'' Comme elle semblait
vouloir parler, je lui ai posé MA question : 'Avez-vous une sexualité ? Avez-vous un plaisir
sexuel ? ''
Pas de réponse....mais un beau sourire. ''On se débrouille'...
J'aimerais être un tioiseau !

***Nous sommes montés à Manic-2 pour une visite guidée. Une guide rebelle comme je les
aime. De Baie-Comeau, si tu es un malade de la route en zigzags, en côtes et bosses, tu peux te
rendre jusqu'à Red-Bay et BlancSablon à 1799km. Bonjour les dégâts !

*** Au sujet du texte précédent dans la façon de dormir en couple, il y a des couples qui font
chambre à part, donc qui ne se touchent pas en dormant. Je dirais que ces couples sont en
totale confiance...qu'ils ont leurs vibrateurs chacun dans sa chambre. Bravo !

*Ce message a été édité le Jul 4, 2018 1:27 PM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 6, 2018  14:15

***Chicoutimi, la ville la plus catholique du Québec....et qui a eu les plus de curés pédophiles ***
Oui j'y suis et cette ville a eu un maire(2017) qui est allé jusqu'en cour suprême pour avoir le
droit de 'saluer son tijésus' aux séances du conseil. Il a perdu ! Ainsi la plupart des curés sont
maintenant mariés mais il plane 'sur le Royaume' un goût de bigots (voir la pièce de théâtre sur
le Royaume à LaBaie). Ici 14* ce vendredi et donc si tu veux baiser, couvres-toi le coco !
      
         *** Quand Trump complique la recherche de l'âme-sœur ***
Andréane William La Presse
(Washington) «Si tu soutiens Trump, ne me contacte pas.» Voici le type de message que les
Américains n'hésitent plus à afficher sur les sites et applications de rencontre. Depuis l'élection
de Donald Trump à la tête du pays, filtrer ses partenaires amoureux potentiels selon leurs
allégeances politiques est devenu l'une des principales préoccupations des célibataires à la
recherche de l'âme soeur. Une nouvelle réalité qui a considérablement compliqué les rencontres
amoureuses au pays de l'oncle Sam.
«En 20 ans de carrière je n'ai jamais rien vu de tel», lance d'emblée Christie Nightingale,
fondatrice de l'agence matrimoniale Premier Match, installée à Washington DC.
Dans la capitale américaine, majoritairement démocrate, les tensions politiques ont toujours
existé. Depuis l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, elles sont cependant devenues source
d'incompatibilité pour plusieurs célibataires.
«Dès qu'il s'est présenté comme candidat à la présidence, mes clients ont commencé à me dire
qu'ils n'accepteraient pas de rencontrer quelqu'un qui le soutient», se souvient l'entremetteuse.
Le phénomène ne concerne cependant pas que la capitale américaine. Selon un récent sondage
réalisé par le site de rencontre Match.com, 54 % des célibataires croient qu'étant donné le climat
politique actuel, il est important de connaître les opinions politiques d'un partenaire potentiel; 23
% des célibataires seraient d'ailleurs prêts à aborder le sujet dès la première rencontre; tandis
que 5 % iraient jusqu'à quitter la rencontre si leur rendez-vous galant ne partageait pas les
mêmes opinions politiques qu'eux.
En réponse au phénomène, une foule de nouveaux sites de rencontre tels que Bernie Singles,
Conservatives Only ou encore Liberal Hearts ont vu le jour afin de rapprocher les célibataires
selon leurs préférences politiques. À l'approche de l'élection présidentielle en 2016, la populaire
application de rencontre Bumble a quant à elle créé une série de filtres permettant à ses
utilisateurs d'afficher leur soutien à leur candidat politique préféré.
«Après les élections, j'ai dû ajouter des espaces réservés aux préférences politiques sur les
questionnaires que mes clients doivent remplir, affirme Michelle Jacoby, fondatrice de l'agence
matrimoniale DC Matchmaking. En huit ans de carrière, je n'avais jamais eu à parler de politique
avec mes clients. Aujourd'hui, si je ne le fais pas, je ne peux pas bien faire mon travail», soutient-
elle.
«L'éléphant dans la pièce»
Julie Spira en est convaincue: Donald Trump a tué les relations amoureuses telles qu'on les
connaissait.
«La politique est devenue l'éléphant dans la pièce pour les célibataires, constate-t-elle. Avant,
les gens voulaient rencontrer quelqu'un de non fumeur, par exemple. Aujourd'hui, ils veulent une
personne qui partage leurs opinions politiques.»
En 2015, cette coach en relations amoureuses originaire de Los Angeles filait le parfait bonheur
avec celui qu'elle décrit comme l'amour de sa vie. Après une longue séparation de 15 ans, le
couple s'était finalement retrouvé et espérait vieillir ensemble.
Puis, Donald Trump a annoncé sa candidature à la présidence des États-Unis. Une catastrophe
pour Julie, une nouvelle inespérée pour son amoureux. «Je ne supportais plus de l'entendre
parler de la manière dont Trump allait rendre sa grandeur à l'Amérique, raconte Julie. Dès qu'il y
avait une nouvelle dans les médias, le sujet revenait sur la table. Nos opinons étaient si
différentes que la relation a commencé à se désintégrer.» Jusqu'à ce que le couple se sépare.

P.S. de Lecossais : aux USA, le pays est divisé en deux, ÉGALEMENT (les idiots et les autres---
bon ça c'est une blague...mais pas loin de la vérité), les républicains et les démocrates. Chacun
son tour au pouvoir; là c'est le tour des républicains et bientôt....tout ça sera oublié...mais si tu as
un autre endroit à aller en vacances, évite ce pays inondé d'armes.
*Ce message a été édité le Jul 6, 2018 2:20 PM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 9, 2018  05:20

                   *** Qu'en est-il de la sexualité à un âge avancé? ***
Richard Vercauteren, psycho-sociologue, gérontologue et auteur du Dictionnaire de la
Gérontologie Sociale
Question: Que représente la sexualité chez les personnes âgées aujourd'hui?
Réponse: La sexualité est un questionnement récurent depuis plusieurs décennies. Si dans les
années 60 elle a surtout concerné la jeunesse, aujourd'hui elle intéresse tous les âges. Ces
jeunes des années 60 sont devenus les «vieux» du 21ème siècle. Par contre, cette population
subit de plein fouet l'image de l'âge: des personnes dépassées, hors des désirs et de la norme
sociale. De ce fait, la notion de sexualité devient floue quand la vieillesse arrive.
La société n'est pas en phase avec la tranche d'âge des plus de 65 ans. Elle CONTINUE DE
VIVRE AVEC SES PLAISIRS ET DÉSIRS. On sait en effet depuis la nuit des temps que ces
deux aspects sont les seuls qui durent jusqu'à la fin de la vie. En fait, nous sommes devant un
tabou né de deux perceptions différentes: les «jeunes» qui s'autorisent à parler de sexualité, et
les «vieux» qui s'interdisent d'en parler, leur image ne correspondant pas à la représentation
sociétale de la sexualité. De plus, n'étant plus des procréateurs potentiels, les plus de 65 ans ne
peuvent poser la sexualité qu'EN TERMES DE PLAISIR, un plaisir qui ne leur est pas reconnu.
Ce sont des «sages»
Q: Quels conseils simples du quotidien donneriez-vous à un couple de personnes âgées?
R: La solution étant de poursuivre une relation dans le plaisir ressenti avec l'autre, c'est avant
tout l'imagination qui doit présider à la survie d'une sexualité chez la personne âgée. Stimuler
l'autre dans ce qu'il est comme personne et le rassurer sur ce point est central. Si poursuite il doit
y avoir, c'est avant tout dans la complicité du couple et dans sa capacité intime à combattre les
tabous sociétaux. Il ne faut pas confondre la capacité à avoir un rapport sexuel avec la sexualité.
Souvent ce rapport a disparu quand l'envie d'avoir une sexualité perdure. Le rapport n'est pas
automatiquement une fin en soi...

P.S. de Lecossais : c'est assez clair pour notre sexualité à nos âges, ça ne concerne que le
plaisir, elle ne sert à rien d'autres qu'à se donner des frissons toutes les semaines, tous les jours
et prendre les moyens de se les donner.

*Au Saguenay, les familles sont tissées serrées et tu n'entres pas facilement sans y être
présentés. J'y ai vu beaucoup de Dames seules, âgées, au café 'Passion' mais si tu es un
inconnu, tu devras te présenter. J'ai vu des dames très âgées en jupette, assises les cuisses
ouvertes et en général, la titeculotte est noire ou blanche mais plutôt noire. La porte est ouverte ,
tu n'as qu'à sourire. Moi je me suis rendu compte que je plais aux dames âgées bien plus que
quand j'étais jeune. On me veut misère !

** J'ai vu le dernier film de Denys Arcand ''La chute de l'empire américain', son meilleur film à
mon avis. Excellent. Question : Comment une dame dans la vingtaine, escorte de son métier,
connaît-elle autant la sexualité des hommes et des femmes ? Hé bien parce qu'elle pratique tous
les jours et plusieurs fois par jour...et elle le fait POUR LE PLAISIR DE L'AUTRE. Faut-il
vraiment être payée pour ça ?

***Suis de retour à Drummondville pour le reste du mois de juillet: trop de circulations sur les
routes. Je repars en août. Chez moi, devant mon ordi, je peux meubler mon cerveau et ça ne
coûte rien...surtout à 6h. le matin, seul et nu.
*Ce message a été édité le Jul 9, 2018 5:36 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 10, 2018  07:13

                ***Amour, sexualité et corps chiffonnés: le tabou des tabous ***
Jocelyne Robert    sexologue (ma sexologue préférée)
Les êtres humains vivent longtemps. Ils peuvent se passer de sexe durant des semaines, des
années et même durant toute leur vie. Ils peuvent aussi être d'ardents pratiquants, sans honte et
sans remords, JUSQU'A LA FIN DE LEUR JOURS. Dans l'espèce humaine, tout le cycle de la
vie est une
vaste saison des amours et ***si cela n'était des préjugés basés sur l'âge, l'intérêt érotique
s'amplifierait plutôt que de s'étioler en vieillissant. Ce qui me permet de dire cela? Plus Orphée
s'approche et nous drague, plus nous devrions, en toute logique, avoir envie de fusionner. Après
tout, faire l'amour n'est-il pas la meilleure façon de tirer la langue au vieillissement et à la mort?
Et puis, qu'on ait 25, 50 ou 75 ans, le plaisir, librement consenti et partagé, n'est jamais
disgracieux, jamais obscène, jamais anormal.
         Aimer et être aimé, désirer et être désiré
Une fois déboulonnés les diktats socio-culturels réservant la sexualité aux lisses, jeunes et
beaux, l'obsession de performance fait sa valise et Eros peut entrer en scène. Je connais des
femmes qui ont commencé à faire l'amour la lumière allumée seulement après cinquante ans. Et
non, ça n'est pas parce qu'elles étrennaient de nouveaux seins ou un nouveau vagin. C'est parce
qu'elles venaient de FAIRE LA PAIX AVEC LEUR CORPS, de considérer qu'il était, tel quel,
digne d'être vu et aimé.
Avec les expériences qui se sont amalgamées les unes aux autres, ***la joie devient plus
profonde
en vieillissant. À condition de se défaire de vieux préjugés, on respectera infiniment le plaisir. On
ne le verra plus comme une émotion moins noble. On pourra même être tenté de le vouvoyer.
***On vieillit avec sa sexualité. On continue d'être ce qu'on a été. Le dénigrement ou la difficulté
à
accueillir l'expression sexuelle et érotique des personnes âgées masque nos préjugés et notre
propre peur de vieillir. Pensez-y: comment peut-on étiqueter ce XXIe siècle à la fois de « planète
des vieux» et de siècle full sexuel tout en claquant la porte d'Eros au nez d'un important segment
de la population?
            L'érotisme, c'est la vie qui applaudit la vie
Ceux qui réduisent l'être humain à une pelletée d'hormones et la sexualité à une gymnastique
génitale décrètent que le sexe meurt en vieillissant. Ils disent n'importe quoi. L'intérêt sexuel se
transforme et fluctue selon les épisodes chronologiques de la vie, mais aussi selon une multitude
d'autres facteurs: vie de couple, atomes crochus avec un partenaire disponible, permissivité ou
fermeture du milieu, occasions, état de santé, image et estime de soi etc. Il ne faut jamais oublier
que de nombreuses jeunes personnes éprouvent des pannes de désir malgré des hormones
dans le plafond alors que ***des hommes et des femmes vintage sont allumés d'une fringante
libido.
L'être humain est comme un sapin de Noël. Quand des yeux affectueux et pleins de désir se
posent sur lui, il s'illumine. J'avais à peine trente ans quand j'ai constaté cette magie de
l'attraction alors que je travaillais dans un centre de «petits vieux» où on m'avait demandé de
faire une cueillette d'informations sur leurs besoins affectifs, et sexuels s'il en était. Tous et
toutes prenaient un sacré coup de jeune, et de santé, aussitôt qu'une relation affectueuse,
accueillante s'installait. Alors, imaginez quand ils tombaient en amour, ou en désir, et que cette
fougue était partagée!
La sexualité c'est comme un thème musical, avec des variations de l'expression et de
l'interprétation qui, selon les épisodes et les circonstances de la vie, sont propres à chacun. À
tous moments, elle peut s'emballer, s'estomper, trébucher, se taire puis... refaire surface.
Patauger, fuir, bondir fougueusement, emprunter des détours inattendus... Elle se tait
irrémédiablement avec la fin du dernier acte, lorsque le musicien ou la musicienne quitte la
scène de la vie.
*Ce message a été édité le Jul 10, 2018 7:19 AM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 12, 2018  15:53

          *** Un HOMME DÉCOUVRE QU'IL AIME SE DONNER DU PLAISIR...comme avec une
femme ***
Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
          Chapitre 1 : P.G.M., son vit, son œuvre.
Pierre-Georges Mistouflet, 66 ans, professeur des écoles (avant, on disait instituteur) à la retraite
depuis presque six mois, s’ennuie, car son épouse Hélène, professeur (tout court) d’histoire-
géographie, bien qu’étant plus âgée, doit encore trois ans à l’État.
Les bouquins de cul ne le font pas bander (et pour cause) et sont si mal écrits. Relire
ses classiques, il a essayé, mais ça le renvoie à des temps meilleurs et le déprime.
Mi-octobre apparaît le premier signe avant-coureur : Popaul-Pénis, qui, depuis plus de trente
ans, trois
fois par semaine au minimum, présente les armes à Hélène, se fait porter pâle. Hélène, femme
exceptionnelle s’il en est, malgré ses 67 ans, ne connaît toujours pas le sens du mot
ménopause. Il ne faut pas lui en conter. Si elle n’a pas ses trois troussées hebdomadaires, son
caractère s’en ressent. Ces deux-là, depuis 35 ans qu’ils vivent ensemble n’ont jamais donné de
coup de canif (seulement des coups de camif – private joke pour initié) dans le contrat qui les
unit. Pas qu’une quelconque morale le leur ait interdit. Simplement, ils se satisfaisaient de cette
autarcie aux quatre S (Sentimentale, Sexuelle, Sensuelle, Spirituelle). Sans faire preuve
d’imagination ou de perversion excessive, ils avaient su, par de menues innovations et surtout
par leurs baises dans des lieux inappropriés, préserver leur plénitude sexuelle.
Souvent, ces derniers quinze jours, avachi dans son canapé (pourtant très confortable), la larme
à l’œil, Pierre-Georges Mistouflet se remémore les instants d’exception qu’il a vécus avec sa
tendre moitié. Leur vice, si on peut appeler cela ainsi, est (enfin plutôt était) de faire l’amour dans
des endroits improbables. Ils avaient baisé dans des trains (facile à l’époque des
compartiments), des ascenseurs (bloquer la cage entre deux étages en imaginant l’impatience
des gens qui attendaient), dans la rue contre un réverbère (dans l’attente d’un promeneur
improbable avec son chien), dans un cinéma d’art et d’essai (trop facile, y’avait encore moins de
monde que dans un po-rno), dans les toilettes des supermarchés ou des cafés, dans un sous-sol
d’hôpital, à un concert des Stones (rien que d’y penser, P. G. M. bandait – enfin avant) et même
pendant un enterrement (sur le rythme incertain du requiem en D mineur de Wolfgang…). Toutes
les occasions leur étaient bonnes.
Depuis qu’ils sont entrés dans l’âge mûr, ils ont renoncé à ce genre de gamineries, quoiqu’il n’y
ait pas si longtemps… dans son bureau directorial… un mercredi matin… avant l’arrivée des
dames de ménage… Mais ceci est une autre histoire !
Mais tout cela, depuis huit mois, se conjugue au passé (simple ou composé, mais très imparfait).
Pierre-Georges Mistouflet ne bande plus. Les premières défaillances sont mises par le couple
sur le compte de la perturbation psychologique provoquée par sa mise à la retraite. Pierre-
Georges Mistouflet ne laisse pas pour autant Hélène insatisfaite, il la régale de la langue et des
doigts. Ce programme la réjouissait beaucoup lorsque c’était une friandise s’ajoutant au plat de
résistance. Mais au bout de quelques semaines, l’inquiétude les gagne et le caractère
habituellement enjoué d’Hélène s’altère : P. G. M. Ne fait plus le poids, mais il en perd (le souci !).
Ils consultent, consultent et reconsultent. Leur médecin de famille les oriente vers un
psychologue new wave qui lui-même se défausse sur un sexologue. In fine, nada ! Rien ! Pas le
moindre soubresaut ! Même si elle ne mésestime pas les tentatives répétées de son mari pour
l’amener au plaisir, Hélène, plus vaginale que clitoridienne, est rapidement en manque des bons
coups de queue que depuis 35 ans Pierre-Georges Mistouflet lui prodigue sans retenue. Aussi,
en fille de paysan pragmatique, bien avant que la ronde des médecins ne s’achève, elle fait
l’acquisition grâce à Internet (contrairement à son mari, elle est accroc à son ordo) d’un gode-
ceinture que Pierre-Georges Mistouflet doit, à son grand dam, ceindre pour tenter de la
satisfaire. Mais l’expérience se solde par un échec relatif, le côté artificiel de cet ersatz de verge
la paralyse.
Pas une seconde, elle n’envisage de faire appel à de la main-d’œuvre extérieure, mais elle
devient agressive. Ce qui n’augure rien de bon pour l’avenir.
         Chapitre 2 : P-G.M.se découvre…
Aussi c’est d’un air maussade que, en ce jeudi matin de printemps ensoleillé (s’il avait plu, ça
aurait fait désordre), Pierre-Georges Mistouflet joue les femmes de ménage dans la chambre
conjugale. Levé une heure après le départ de sa tendre épouse, il n’a pas pris la peine de
s’habiller. C’est donc dans une nudité virginale, car dénuée de toute pensée sexuellement
transmissible qu’il déambule dans la pièce, un chiffon à poussière à la main, sa virgule balançant
entre les jambes et la tête ailleurs.
Un instant, son regard capte l’image que lui renvoie la glace de l’armoire. Il s’y arrête. Il s’y arrête
même tellement que ça tourne à la contemplation narcissique. Il se décerne un satisfecit teinté
de nostalgie : plutôt pas mal conservé pour un bientôt sexagénaire. Pas de ventre ! Des jambes
harmonieusement dessinées ! Des fesses toujours aussi fermes ! Une peau encore très
lumineuse pas du tout fripée ! Pas de ride ! Bon d’accord, il n’est pas vraiment baraqué ! Comme
dirait Renaud : musclé comme une serpillière, mais ça n’a jamais gêné Hélène. Sa longue
chevelure blonde lui donne un air juvénile. Ouais ! Il serait fier de lui s’il n’y avait pas… Son
regard se porte sur sa queue. Ce membre, aujourd’hui, atteint de « flasquitude » perpétuelle,
pendouille lamentablement. Pierre-Georges Mistouflet y porte la main gauche et tord férocement
l’unique objet de son ressentiment. Il enrage jusqu’au désespoir à voir l’espèce de chose qui fit
sa fierté de mâle rester aussi molle qu’un spaghetti trop cuit.
Libérant ce reliquat de bite, il balance le chiffon dans un geste qu’il voudrait violent. Ironique,
l’autre volette doucement jusqu’à une chaise où s’entassent pêle-mêle les sous-vêtements que
portait Hélène la veille. Sa dulcinée n’a jamais été très ordonnée, mais depuis quelque temps
c’est l’enfer. Elle se débarrasse de ses vêtements à l’endroit où elle se trouve lorsqu’elle se
dévêt. Chaque matin, il doit jouer les femmes de chambre. Parfois, il se demande si elle ne
prend pas un certain plaisir à laisser traîner sa lingerie, l’obligeant à la ramasser. Dans un ralenti
cinématographique, P. G. M. suit le morceau d’étoffe qui s’étale sur une coquine culotte de
dentelle noire. Il reste un moment dubitatif. Avant la seule vision de cette pièce de lingerie aurait
réveillé Popaul. Il saisit la culotte, la porte à ses narines. Il hume avec délices les fragrances
féminines qui suintent de ce vêtement déjà porté. Il sait que Hélène s’est parfumé le minou ,
qu’elle ne s’est pas parfaitement essuyée quand elle
est allée faire pipi. Une suave odeur de cyprine froide lui suggère qu’elle a dû avoir des pensées
cochonnes durant la journée. Une horrible pensée traverse sa tête : et si elle avait fait plus
qu’avoir des idées.
C’est à cette seconde précise que sa vie bascule. Alors qu’il va remettre la culotte où il l’a prise,
il interrompt son geste et l’enfile (la culotte pas le geste). Comme ça, juste pour… pour il ne sait
quoi. Avant que de réaliser l’absurdité de son acte, il se retrouve face à la glace. Pas si mal ! Le
noir interstitiel de la dentelle donne un éclairage intéressant à la blancheur de sa peau. Il tourne
sur lui-même, fait gonfler ses cheveux. L’absence quasi totale de pilosité qui l’a complexé au
temps où il était de bon ton dans la profession de porter barbe et moustache lui évite le ridicule
du mec déguisé. Il se trouve pas mal sexy finalement. Dommage qu’elle soit trop ample ! Le cul
de sa femme ayant d’autres proportions, l’étoffe flotte un peu sur ses fesses. Sans hésiter, cette
fois en plein accord avec lui-même, il s’empare du soutien-gorge assorti à la culotte. Son
élégante moitie ne porterait jamais des sous-vêtements dépareillés. Plus habitué à dégrafer qu’à
agrafer, il éprouve quelque difficulté à se harnacher. Tant bien que mal, il finit par placer les
bonnets face à son absence de poitrine.
Déçu, il constate que les bonnets, faute d’occupants sérieux, s’affaissent lamentablement.
Hélène, en plus d’un beau cul, est dotée des loloches dont il a toujours été fier. Pour un homme,
dame nature l’a doté de mamelons proéminents terminés par de très gros tétons, mais c’est
nettement insuffisant pour remplir un soutif. Qu’à cela ne tienne ! Un petit détour par la salle de
bain, il vide un paquet de coton et le bourre dans les bonnets. Retour devant la glace. De
nouveau, il parade, prend des poses qu’il essaie de rendre les plus féminines possible. Il
accentue la cambrure de son dos, fait saillir cette poitrine de coton tassé. Il tortille du cul. Il se
caresse. Du moins, il caresse la femme qu’il voit dans le miroir.
Ce qui avait commencé par un geste probablement généré par l’ennui se transforme peu à peu
en un JEU AUTO-ÉROTIQUE. Ses caresses se précisent. Paumes ouvertes, doigts largement
écartés,
ses mains dessinent de larges cercles concentriques sur chaque parcelle accessible de sa peau.
Il malaxe ses fesses à travers la dentelle, mais évite de toucher son sexe mou. Ses yeux sont
toujours braqués sur la glace et n’en perdent pas une miette, mais là aussi il évite de regarder
son…
Il joue le double rôle de l’exib. Et du voyeur.
Ses doigts impatients se faufilent sous le coton pour s’occuper de ses tétons.
Avec ravissement, il se rend compte que ceux-ci sont tendus d’excitation.
Si seulement… Mais il a peur.
Il n’ose pas toucher, il n’ose pas baisser les yeux.
Pourtant, il sent, dans son entresol, quelque mouvement.
***La vie semble renaître doucement dans sa queue.
Enfin son regard s’y hasarde anxieusement…
Il retient le cri d’espoir, de victoire.
Pas un mât, ni une péninsule, ni un pic
Encore moins, de Louxor l’obélisque !
Mais une bosse déforme la petite culotte noire.
Porté par cette ardeur renaissante,
Ses mains se font pressantes
Il pétrit ses seins,
Les malaxe des deux mains.
Il étire ses tétons jusqu’à la douleur,
Puis les relâche tout en douceur
Du coin de l’œil, surveillant
De l’étoffe, le lent bourgeonnement.
Il faut qu’il éprouve tactilement cette petite érection.
Il y pose sa main avec une certaine appréhension.
De la pulpe des doigts, il entame un doux massage.
Sous cette caresse, sa fièvre grimpe de plusieurs étages.
***Sa bite gonfle, se raidit, se redresse.
Il voudrait appeler Hélène, lui crier qu’il a la trique,
Qu’il lui bourrerait bien les fesses.
Sa main s’emballe dans une envolée lyrique.
Perdant toute mesure, il astique vigoureusement son mandrin.
Au bout d’une poignée de secondes, il lâche la purée.
Il n’arrête pas pour autant : huit mois de jute à cracher
Ça ne s’élimine pas en en un tour de main.
Embarrassé par la culotte, de sa main libre,
Il la fait glisser jusqu’aux genoux
Sans jamais lâcher son chibre
Qu’il secoue comme un fou.
Une seconde salve ne tarde pas à asperger le miroir.
P. G. M. a du mal à en croire ses yeux.
Sa bite encore moribonde hier soir vient de juter à qui mieux mieux
Devant le spectacle offert par cet homme/femme, le coton s’échappant du soutif, la culotte
souillée de foutre à mi-jambes et la main encore sur la queue pas complètement débandée, P.
G. M. éclate d’un rire, limite hystérique. La honte qu’il peut ressentir à se voir dans cet
accoutrement ridicule est largement compensée par la joie procurée par cette jouissance
inopinée.
Pour la première fois depuis plusieurs mois, Pierre-Georges Mistouflet a un projet pour l’après-
midi : aller en ville pour s’acheter des sous-vêtements sexy à sa taille. Car franchement cette
culotte trop grande ne l’avantage pas. Pour la première fois de sa vie, il se permet de penser que
sa femme a un gros cul. Pensée qu’il évacue aussitôt.
       Chapitre 3 : P. G. M. ne lèche pas seulement les vitrines.
Durant le repas de midi, Pierre-Georges Mistouflet se mord la langue à plusieurs reprises pour
ne pas narrer à sa tendre moitié que, ce matin, il a bandé et il a joui comme un fou (plutôt
comme une folle). La séance de masturbation, en elle-même, ne le dérange pas. Ce jeu compte
dans leurs activités érotiques. Hélène et lui ne sont pas des ploucs qui croient à cette fadaise
que la masturbation rend sourd. Il sait bien que son début de surdité est dû à l’écoute intensive
de hard-rock durant des décennies. D’ailleurs bien souvent, ils se sont masturbés l’un devant
l’autre, l’un branlant l’autre. Mieux, lorsque les hasards de la vie les ont séparés plusieurs jours,
lorsqu’ils se retrouvaient, ils se racontaient leurs activités masturbatoires. Récits qui
dégénéraient très rapidement en partie de jambes en l’air.
Mais depuis 35 ans qu’ils vivent ensemble, P. G. M. se rend brutalement compte que, s’il
excepte les lieux insolites, cela fait au moins 33 ans et 6 mois qu’ils baisent à la papa. 33 ans et
six mois, car il se rappelle bien le mois d’août 71 où, au camping de la plage, ils avaient voulu
tester la position dite de « la brouette » oubliant qu’ils étaient dans une canadienne. Relevant
brusquement, les poignées (en fait les chevilles) dudit engin, il avait heurté le mat central mal
arrimé. La toile s’écroulant sur eux chassa tout désir et par la même occasion toute envie de
recommencer de telles acrobaties.
Hélène a été une maîtresse facilement satisfaite, animatrice de leurs ébats, dans une stricte
orthodoxie, se contentant de ce que son amant de mari lui proposait. Que lui, P. G. M., directeur
d’école, chef de famille, sa libido satisfaite, ses couilles vidées, ne pensait pas plus loin. Peut-
être qu’ils étaient passés… Mais pour lui (comme pour elle, il en est sûr), le travestisme n’est
qu’un mot un peu vulgaire qui recouvre des pratiques bizarroïdes pour ex-soixante-huitard
pervers (lire bobos parisiens). Impossible de lui avouer que ce sont ces pratiques qu’ils «
méprisaient » qui lui ont fait retrouver sa virilité.
Dès que la 307 disparaît au coin de l’allée, P. G. M. se précipite avec une fougue juvénile et
retrouvée vers son Alfa. Il lui faut une petite demi-heure pour arriver dans un grand centre
commercial où, pense-t-il, la foule servira son incognito. Son enthousiasme décroît lorsqu’il se
retrouve dans l’allée consacrée à la lingerie. Hélène porte des sous-vêtements sexy, mais à vrai
dire, il ne s’est jamais réellement intéressé à la manière dont elle se les procurait. Aux cadeaux
coquins, il a toujours préféré les œuvres de la Pléiade. Le corps nu de sa femme, sa bouche et
ses mains pleines d’initiatives lui donnaient jusqu’à ces funestes mois son content de félicité
sans nécessiter l’ajout d’aucun adjuvant. Alors la lingerie coquine, c’est l’inconnu. La taille, déjà :
vérification faite ce matin, Hélène porte du 42. Pour lui le 38 doit suffire, en tout cas pour les
culottes. Pour les soutifs, ça va être une autre paire de manche, si l’on peut dire. De plus où sont
indiquées les tailles sur ces maudits colifichets ?
P. M. G. trouve un mignon petit brésilien en dentelle vert bouteille. Il va pour le décrocher afin de
vérifier la taille. À ce moment, une matrone passant dans le rayon, lui jetant un bref regard (qu’il
imagine suspicieux), il retire vivement son bras et se sent rougir comme une pucelle effarouchée
à qui M. l’abbé proposerait la botte. Son enthousiasme s’enfuit à toutes jambes. Pas aussi facile
qu’il ne le pense. Il se rend compte que des gens (exclusivement des femmes) l’entourent,
passent, décrochent des articles. Soudain, l’impression que toutes le regardent avec méfiance,
que toutes ont deviné son jeu, sa motivation. Est-il un vieux bouc qui cherche des fanfreluches
pour sa jeune maîtresse ? Un pervers qui achète de sous-vêtements féminins pour se branler
dessus ? Ou pire encore ! La tension devient trop forte. P. G. M., son courage l’abandonnant,
s’enfuit comme un voleur.
Il quitte l’hypermarché, furieux contre lui, contre sa lâcheté. Il lui faut ces accessoires s’il veut
rebander ! Et il veut rebander ! Il traîne dans le centre commercial cherchant une solution à son
problème. Ses pas l’amènent vers une boutique spécialisée dans la lingerie qui pour son plus
grand bonheur, jouxte un magasin de jouets. Il se plante devant la vitrine de ce dernier. Feignant
d’être très intéressé par les évolutions d’un train électrique, il lorgne les mannequins à sa droite.
L’un deux présente un combiné, soutien-gorge, culotte (ou string précise l’affichette) et porte-
jarretelles en tulle brodé. L’ensemble dans des tons coordonnés de blanc et de mauve est du
plus bel effet. P. M. G. est hypnotisé par cette lingerie. Tout à fait ce qu’il lui faut ! Mais franchir la
porte de la boutique lui apparaît aussi impossible que traverser l’Atlantique à la nage pour un
manchot. Tout à sa contemplation, il ne perçoit pas l’approche du vendeur. Aussi quand celui-ci
l’interpelle sur le mode de la plaisanterie :
— Bonjour, monsieur ! Il semble que ce mannequin vous intéresse beaucoup !
— Le mannequin ? Quel mannequin ? éructe-t-il d’une voix de fausset.
— Il ne faut pas avoir honte, Monsieur. Vous avez très bon goût ! Cette lingerie est d’excellente
facture. Je suis certain qu’elle plairait beaucoup à votre amie.
Complètement perdu, désarçonné par cette intervention, Pierre-Georges Mistouflet s’emmêle les
pinceaux et s’entend dire à l’insu de son plein gré.
— Ce n’est pas pour ma femme, c’est pour mo…
Il s’interrompt brutalement, mais au regard du vendeur, il comprend que celui-ci a parfaitement
saisi le sens du mot élidé. À nouveau, il se sent rougir comme un premier communiant. Il attend
le rire moqueur du vendeur. Point de rire, au contraire, ce dernier déclare d’une voix
compréhensive :
— Rassurez-vous, monsieur, nous avons de nombreux clients comme vous. Nous avons même
un rayon spécial avec cabine d’essayage dans notre arrière-boutique. Si vous voulez vous
rendre compte par vous-même.
L’autre se moque de lui, ce n’est pas possible autrement. Une furieuse envie de prendre ses
jambes à son cou le saisit. Lui, Pierre-Georges Mistouflet, directeur honoraire, détenteur des
palmes académiques, officier du mérite agricole, ex-délégué syndical du SGEN-CFDT pris pour
un vulgaire travelo. Que va-t-on dire de lui ? Sûr que le vendeur en fera des gorges chaudes et
la ville n’est pas si grande !
Pâle comme la mort, P. G. M. ose enfin regarder son vis à vis : aucune trace de moquerie dans
son regard, mais au contraire, un intérêt commercial, mais bienveillant. De taille et de corpulence
semblables à la sienne, le vendeur, pourtant beaucoup plus jeune que lui, lui ressemble
étrangement. Son visage aux traits fins, ses longs cheveux blonds retenus par un chouchou, ont
quelque chose de féminin sans pour autant créer l’ambiguïté. P. G. M. le trouve charmant dans
son jean stretch qui moule un petit cul des plus sexy. L’envie d’entrer le tenaille. Un début
d’excitation le gagne. Il lui semble que Popaul a remué le bout du gland. Sentant son indécision,
l’autre précise :
— Je m’appelle Julien. Entrez ! Laissez-vous tenter.
Subjugué, P. G. M. suit le vendeur. Arrivés au fond de la boutique, Julien lui dévoile une porte
dissimulée par une tenture et ils pénètrent dans un local exigu où, comme annoncé, sont
suspendues de nombreuses pièces de lingerie.
— De plus, là vous allez pouvoir essayer en toute tranquillité, reprend Julien, lui désignant
l’unique cabine d’essayage.
— Mais elle n’a pas de rideau !
— Vous n’allez pas faire de chichis, nous sommes entre hommes !
P. G. M. ne trouve rien à répliquer. Du temps de sa jeunesse sportive, il a beaucoup fréquenté
les vestiaires. La belle tenue de son organe lui avait même valu quelques remarques flatteuses.
— Vous étiez intéressé par l’ensemble « Chérievavitecoucherlesgosses » de chez «
Onbaisecesoir" ». Vous préférez le string, le brésilien ou le shorty ?
— Ben…
— Écoutez ! J’amène le tout vous verrez bien ce que vous préférez ! Mettez-vous à l’aise
pendant ce temps.
Au retour du vendeur, P. G. M. n’a ôté que son pull et ses chaussures.
— Eh ben vous alors ! À votre âge, on ne joue plus les timides ! Enlevez-moi tout ça !
— C’est la premiè…
Ses mots s’étranglent dans la bouche de notre héros, car joignant le geste à la parole, le
vendeur a porté les mains sur le bas du tee-shirt, tire l’étoffe hors du pantalon et dans un geste
caressant débarrasse P. G. M. de son vêtement sans que celui-ci ne réagisse. Devant l’inertie
consentante de son client, il continue son entreprise de déshabillage. Il s’attaque au ceinturon, le
dégrafe, déboutonne le jean, le fait glisser en même temps que le slip. Quelques secondes plus
tard, P. G. M ne conserve comme dernier rempart à sa pudeur, que les quelques poils épars qui
lui servent de toison et une paire de chaussettes bicolores : ce qui, vous en conviendrez, ne
cachent pas grand-chose.
Le jeune homme, pour mener à bien son entreprise, a dû se mettre à genoux, bouche
positionnée à la hauteur d’une bite qui présente une raideur de bon aloi. Sa tâche de
déshabillage terminée, il ne peut s’empêcher d’y déposer un baiser humide provoquant un
soubresaut involontaire dudit membre. Horrifié, P. G. M., hétéro de la première heure, s’aperçoit,
que cette situation scabreuse face à un homme provoque une érection qui depuis plus de six
mois se refusait à sa bien-aimée malgré toutes ses tentatives. Non seulement cette exib l’excite
au plus haut point, mais ces lèvres sur son gland ont failli déclencher une éjaculation
inopportune.
— Il va falloir faire quelque chose ! Jamais vous ne pourrez faire tenir cet engin dans un string et
de plus vous risquez de le souiller par un épanchement malencontreux.
Le mandrin de P. G. M., s’il n’est pas surdimensionné, a néanmoins de bonnes proportions et le
petit bout de tissu qui lui est dévolu ne pourrait le contenir.
— Je ne vois qu’une solution.
Joignant une nouvelle fois le geste à la parole, le vendeur pose sa main sur le vit turgescent. Les
doigts, en anneau, entament un lent va-et-vient. P. G. M. ne sait plus où il nage. Lui, ce matin,
complètement impuissant et surtout hétéro, se tient là, la bite au garde-à-vous, dans cette arrière-
boutique en train de se faire branler par un mec à ses genoux. Et vu l’état de sa queue, il ne peut
pas prétendre que ça lui déplaît. Serait-il un homosexuel refoulé ? Ou alors sa part de féminité
émergerait-elle après son… Un frisson le secoue subitement, un rai de feu court le long de sa
colonne. Faisant fi de toute pensée psycho-philosophique, il s’abandonne au plaisir qui
lentement, comme la petite bête, monte, monte.
Dans un geste instinctif d’acceptation, P. G. M. lui passe les mains dans les cheveux et les
peigne doucement. Geste tendre qui ravit son tourmenteur. Il s’enhardit. La main qui tient ses
boules les pétrit tandis qu’un bout de langue irrévérencieux lèche son gland maintenant
découvert. Bientôt les lèvres remplacent la langue, elles coiffent le gland.
Doucement, la bouche avide absorbe le vit de plus en plus tendu. P. G. M. a le temps de
remarquer que Julien doit être très expérimenté, car à nul instant, il n’a senti ses dents. Peut-être
est-ce un geste commercial ? Puis il ne pense plus rien, il se laisse entraîner dans le plaisir de
cette bouche qui le pompe, de ces lèvres qui le pressent, de cette langue qui tourbillonne autour
de sa hampe. Il en oublie que sa bite coulisse dans la bouche d’un homme et, yeux fermés, loin
dans son trip, il la bourre comme s’il ramonait le con d’Hélène.
À la seconde où il sent le sperme se précipiter vers la sortie, il a un dernier sursaut de lucidité et
se retire de la bouche accueillante. Il ne peut, malgré sa rapidité, empêcher sa jute d’asperger
copieusement le visage de son fellationneur. Stoïque, celui-ci prend une lingette dont une boîte
se trouve fort opportunément à portée de sa main. Il s’essuie d’abord le visage puis sans
changer de lingette, il entreprend de nettoyer la queue de P. G. M. qui lentement retrouve une
taille de repos.
— Lorsque vous aurez enlevé vos chaussettes, vous serez paré pour l’essayage, dit le vendeur
comme si de rien n’était.
P. G. M. est presque déçu quand il lui tend le string et lui désigne la cabine. Cette cabine
d’essayage est très particulière : au-delà du fait qu’elle n’a pas de rideaux, les trois panneaux
restants ne sont qu’une immense glace. Aussi, dès qu’il a passé le string, Pierre-Georges
Mistouflet peut s’y voir en trois exemplaires. Brièvement, la honte le submerge. Il se demande ce
qu’il fait là, pense à Monsieur l’Inspecteur d’Académie puis il découvre l’image de son académie
que lui renvoient les miroirs. Il retrouve cette émotion qu’il avait éprouvée le matin même,
émotion décuplée par la présence du jeune homme.
La ficelle pénétrant profondément son sillon fessier, frottant sa rondelle, lui donne l’impression
d’être plus nu que nu. Il ne se lasse pas de contempler son petit cul. Il le caresserait volontiers. Il
se mire dans cette glace comme d’aucune avant lui se mirèrent dans l’eau de la claire fontaine.
Mais déjà, Julien lui tend le soutien-gorge en annonçant :
— C’est un wonderbra.
— Un quoi ?
S’il veut faire d’autres achats semblables, P. G. M. va devoir se documenter, car il n’y connaît
vraiment rien. Sur le catalogue de la CAMIF, il s’intéressait plus aux pages consacrées à la HIFI
ou à la photo. Encore qu’il doute qu’il y ait eu des pages pour la lingerie.
— Un wonderbra, c’est un soutien-gorge qui donne de la poitrine aux femmes qui n’en ont pas.
Pour un mec, votre poitrine est bien développée. Et avec ces bonnets de 85a rigides, qui vont
vous rapprocher les seins, vous aurez vraiment l’air d’une petite femme.
Passer un soutif n’est pas si évident qu’il n’y paraît ! Ce n’est que la seconde fois pour P. G. M.,
mais il apprend vite… À nouveau, le miroir : il tourne sur lui-même pour mieux s’admirer. Dire
qu’il se moquait d’Hélène. Depuis ce matin, ses valeurs ont changé. Le vendeur a raison. Il a
maintenant de la poitrine. Mieux ! Comme il est excité, ses longs tétons tendent le tulle
transparent. À travers la glace, son regard accroche le regard captivé du vendeur qui suit chacun
de ses mouvements. P. G. M. ne se reconnaît plus ! Voilà qu’il se dandine, tourne sur lui-même,
tortille son cul, fait glisser sensuellement les mains le long de son corps pour aguicher le jeune
homme.
Quand il baisse les yeux, il ne peut que constater la réussite de ses manigances, une bosse
significative déforme le jean du jeune vendeur.
— Je me sens un peu mal aussi déshabillé face à vous qui ne l’êtes pas, minaude-t-il en battant
des cils. Et comme nous avons atteint un certain degré d’intimité, je me sentirais mieux si vous
vous mettiez à l’aise.
P. G. M. n’en revient pas : c’est lui qui a dit ça et sur ce ton de midinette en chaleur. Le vendeur
n’éprouve pas les mêmes angoisses métaphysiques. En un tour de main, montrant une habitude
certaine, il tombe chaussures et pantalon, apparaissant en bas blancs (si !), culotte rose
froufroutante qui a du mal à cacher une belle érection. P. G. M. s’immobilise, toute son attention
fixée sur le spectacle offert. Soudain, il a un doute : et si tout cela n’était qu’un rêve, qu’un
exorcisme freudien à son impuissance. Il essaie les fringues de sa femme, veut en acheter et
comme par hasard tombe sur un vendeur compatissant qui lui-même… Trop c’est trop. Leur
amie Karlotta, Alsacienne par la naissance et prof d’Allemand par nécessité, qui à ses moments
perdus commet quelques historiettes d’un goût exquis avec parfois, audace suprême, un brin
d’érotisme, dirait que c’est cousu de fil banc. Pourtant, il ne rêve pas. Un vendeur en bas et
culotte coquine moulant un sexe qui n’a rien de féminin se tient devant lui et il est hypnotisé par
cette queue qui menace d’exploser la mince étoffe qui ne la dissimule pas.
Des phallus, il en a vus : des petits, des gros, des noirs, des larges, des au gland en obus, des
confidentiels, des cuts, des non-cuts, des bandés, des calottés, des culottés, des timides, des en
berne. Il en en a même aperçu un, une fois qui, bien qu’au repos, dessinait un S auquel il aurait
pu accrocher sa serviette. Mais jamais, au grand jamais, cela n’avait occasionné une alerte au
feu dans son bas-ventre. Il ne leur avait jamais accordé aucune attention déplacée.
Mais là… là… Dans la transparence de la culotte, il trouve cette queue érotisante ! Pas très
longue, mais d’une belle épaisseur ! Le gland pointe sa tête au-dessus de l’élastique.
Légèrement plus conséquent que la hampe, d’une couleur rouge engageante, le méat apparent,
il a une bonne bouille. Très belle tension qui augure un engin de qualité. Il a envie de… Il se
demande si le vendeur attend de lui qu’il… Cette idée qu’il aurait trouvée incongrue, quelques
heures en arrière, l’excite.
Imperturbable, restant très professionnel, le vendeur lui tend une paire de bas qu’il sort de leur
emballage. D’une voix dont il ne peut cependant cacher l’émoi, il dit :
— J’ai pensé qu’avec cette parure où le mauve prédomine, des bas couleurs chair seraient du
meilleur effet.
P. G. M. enfile les bas précautionneusement de crainte de les filer. Il se rappelle les cris d’orfraie
(et non pas d’Onfray – le propos n’est pas philosophique) poussés par sa tendre épouse chaque
fois qu’elle en filait un. Elle gueulait encore plus fort quand il commettait lui-même cet impair.
Petite seconde de gêne, chez notre ami à l’évocation de sa moitié. Gêne vite effacée lorsqu’on
lui tend le porte-jarretelles. Le stress, l’excitation, le rendent maladroit. Il a beau se tortiller, il ne
parvient pas à accrocher correctement les bas. Devant tant de maladresse, le jeune homme
vient à son aide. Sa main douce sur la cuisse de P. G. M. fait renaître sa bandaison. Sa queue
morte depuis huit mois se redresse pour la troisième fois de la journée. Voyant cela, le jeune
homme veut à nouveau la dorloter, mais P. G. M. le redresse et se laisse à son tour glisser à ses
pieds.
— Chacun son tour !
Avec la timide délicatesse du néophyte, sa main fait connaissance, à travers l’étoffe, avec ce
membre bandé qu’il désire réjouir. Délicatement, de la pulpe de l’index et du majeur, il suit les
contours de cette bite. La tête rejetée en arrière, le dos appuyé contre une des parois de la
cabine, jambes entrouvertes, le jeune homme projette son bassin vers l’avant. Ainsi, il offre toute
liberté exploratoire à Pierre-Georges Mistouflet., ouvrant sa main, légèrement, du bout des
doigts, P. G. M. caresse voluptueusement les testicules, poursuivant son mouvement jusqu’au
périnée. En bon pédagogue qu’il est toujours, il prend son temps, prolonge ses caresses, les
approfondit, surveille d’un œil les réactions de l’autre. Il laisse traîner ses doigts de chaque côté
sur les cuisses lisses jusqu’à la lisière des bas. Il s’étonne un peu de la lissitude de cette peau
avant de réaliser qu’elle est certainement due à une épilation.
Subrepticement, presque en cachette, son index, bientôt rejoint par ses petits frères, passe,
s’introduit sous la culotte. Toujours les mêmes caresses, mais cette fois à même la peau. Les
vagues provoquées par cette pénétration font sortir le gland de sa réserve. Il pointe sa crête
fendue par le milieu à l’air libre.
P. G. M. profite de l’opportunité et ses lèvres viennent se poser sur cette magnifique bille de
clown, toujours avec douceur, avec raffinement. D’abord par petites touches, sa langue parcourt
toute la surface découverte. Humidification renforcée par des petits bécots, lèvres entre-
ouvertes. Du bout très pointu de sa langue, il force l’entrée du méat tandis que ses lèvres
exercent une légère, mais rythmée succion. Un souffle court entrecoupé de gémissements le
renseigne sur l’efficacité de ses caresses buccales.
D’un coup d’œil rapide, il constate que le jeune homme abandonnant toute retenue a remonté
son t-shirt. Les mains jouent avec des tétons encore plus conséquents que les siens. Cette
vision a le don d’exciter notre professeur des écoles à la retraite qui, ouvrant grand la bouche,
parvient à absorber le gland en entier. Une couille, une main ! Une de chaque côté de la culotte !
Avec tendresse, avec amour presque, il les pétrit, les fait rouler sous ses doigts. Millimètre par
millimètre, sa bouche avale cette bite vibrante d’excitation repoussant par la même occasion la
petite culotte vers le bas.
— Vous ne me ferez pas croire que c’est la première fois que vous sucez une bite ! Hum ! Oui,
chéri ! Bouffe bien mon petit bouton !
Petit bouton ! Petit bouton ! Il en a des bonnes ! Fait quinze centimètres de long au bas mot, son
petit bouton, et je te parle pas du diamètre, remarque P. G. M. dans sa Mercedes intérieure
(j’avais envie de changer de voiture. Puis la qualité allemande, y’a rien de mieux), plus habitué
qu’il était aux deux millimètres de l’encapuchonné de son aimée.
Ses lèvres atteignent le pubis, le méat cogne sa luette. Il entame alors le mise en hors bite.
Un lent coulissement, du pubis à l’anneau du gland, bouche suffisamment ouverte pour que les
dents ne raient pas la carrosserie. Quelques arrêts savants où les lèvres se plaquent contre le
vit, tentent de l’aspirer. Traitement très efficace : les soupirs de pâmoisons et les tressautements
sporadiques de la hampe en sont une bonne preuve… Tressautements qui s’accélèrent… Sprint
des spermatozoïdes… Avec autant de sang-froid et plus d’expérience que P. G. M., le garçon se
retire avant l’inondation, crache son venin dans un kleenex et se finit à la main.
— Merci ! C’était vraiment très bon !
— Vous êtes ma première queue,
— Si c’est vrai… Vous êtes très doué…
Retrouvant le ton enjoué du vendeur :
— Que pensez-vous de ce petit ensemble ?
— Vraiment très bien…
P. G. M. s’admire une fois encore dans le miroir. Il se trouve vraiment très sexe dans cet
ensemble, très femme… Il fronce les sourcils. Il vient de s’apercevoir qu’une grosse auréole orne
le devant de la culotte. Tellement pris par la jouissance de Julien, il ne s’est même pas aperçu
qu’il avait encore éjaculé… Quatre fois aujourd’hui… Il renaît à la vie…
C’est en chantonnant, une vieille chanson de Brassens « Quand je pense à Fernande, je bande,
je bande… », qu’il sort du magasin ses petits paquets sous le bras. Il ne sait pas ce qui va se
passer chez lui, mais Julien lui a fait promettre de revenir le voir. Puérilement, il a croisé les
doigts dans son dos pendant qu’il promettait.
*Ce message a été édité le Jul 12, 2018 4:07 PM par Lecossais*

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 15, 2018  07:48

                            *** LECOSSAIS S'ACHETE UN STRING ***
J'ai choisi le texte-histoire précédente parce que je sais que de nouveaux désirs sexuels
apparaissent et se découvrent pour les hommes âgés.
'''Je devais avoir plus de cinquante an quand j'entre dans un magasin de sous-vêtements
(''caleçon-vos goûts''). J'avais choisi tôt le matin pour avoir le vendeur seul avoir moi. Il me
montre ses strings et j'en essaie quelques-uns sur mon caleçon ordinaire. Et il me vient une idée,
que j'avais probablement avant d'entrer ??, et je lui demande de venir voir dans la cabine
d'essayage si celui-ci m'allait. J'avais bien tiré sur la ficelle pour que ma bosse apparaisse bien.
''Regarde, tu peux toucher ''dis-je . ''Attends, je l'enlève et tu m'en apportes un plus petit''. Avant
qu'il ne revienne, je me suis flatté la queue...pour lui montrer mon appréciation et son
dévouement. Il me l'enfile...et me caresse les fesses, pousse bien le tissu dans ma raie le
coquin. J'éjacule dans...et je lui dis ''' Je le prends, fais-moi un emballage''. Cet événement m'est
arrivé une fois mais depuis, je suis très attiré par tous les sous-vêtements féminins.
Je te le raconte à Toi qui , je sais, est discrète....mais je dis ici à tous les hommes âgés '''N'aie
pas peur d'essayer de nouvelles choses, tu rebanderas plus fort et mieux. Je dis aux dames qui
me lisent ''' Savais-tu comment les désirs des hommes sont multiples ? Comment les hommes
qui aiment les hommes AIMENT AUSSI les DAMES à la folie...Présente-leur ta titeculotte ! en
toute amitié.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 17, 2018  07:30


                         *** Avec quelles lunettes voyez-vous le monde ?***

Olivia Lévy La Presse 14 juillet 18
Alors que certains voient la vie en rose, d'autres semblent naturellement enclins à envisager le
pire des scénarios. Optimistes ou pessimistes ? Il y a bel et bien deux clans.
Pour la Dre Christine Grou, présidente de l'Ordre des psychologues du Québec, il y a en effet
deux tempéraments bien différents. Le fait d'être optimiste ou pessimiste peut être un trait de
caractère de notre personnalité, mais cela peut aussi être un état passager. «?On peut être
pessimiste ou optimiste selon une situation ou un contexte. Ce n'est pas nécessairement une
construction de l'esprit, ça peut être par exemple un moment de vie qui est plus difficile, donc on
sera plus pessimiste, mais ça passera?», explique la psychologue.
Annie Tremblay estime qu'elle est optimiste, mais qu'elle a des moments où elle l'est un peu
moins. «?Ça dépend de mon humeur, des choses de la vie, il y a des jours où la météo est atroce
et ça me décourage, ou encore c'est l'actualité qui peut m'affecter, et je me dis que tout va mal,
qu'on régresse en tant que société, je crains le pire, et le lendemain tout change, la vie est
superbe?», confie-t-elle. Elle pense qu'il est important de voir les deux côtés des choses. «?Il faut
tout de même être réaliste, mais je ne m'empêche pas de rêver !?»
Philippe Gabilliet est professeur de psychologie et de management à l'ESCP Europe, à Paris. Il
est aussi conférencier et auteur du livre Éloge de l'optimisme. Il explique qu'on a dans le cerveau
deux configurations innées, celle de la peur qui nous permet de sentir les risques et les dangers
et celle de l'espoir, qui va faire en sorte qu'on va penser jusqu'au dernier moment qu'on va
survivre. «?Tout être humain a cette double capacité d'optimisme et de pessimisme, mais il se
trouve que chez certains d'entre nous, dans notre cerveau, c'est l'optimiste qui tient la maison et
le pessimiste est aux ordres, et chez d'autres, c'est le pessimiste qui tient la maison et l'optimiste
est le domestique. Il est là pour éviter qu'on sombre dans la déprime.?»
Le professeur pense qu'il y a une confusion dans le vocabulaire entre être optimiste et être
heureux, et être pessimiste et malheureux, triste ou abattu. «?Ça n'a rien à voir, on confond une
humeur avec un rapport au monde.?»
«?Un optimiste est une personne qui fait le pari que l'intelligence battra la bêtise, la santé
combattra la maladie, ce sont des paris que l'on perd parfois, mais ça s'appelle la vie. Mais sous
prétexte qu'on risque de perdre un pari, il ne faut pas se lancer ??»
- Philippe Gabilliet
Il cite Milan Kundera : ***«?Je préfère vivre en optimiste et me tromper que vivre en pessimiste
pour la seule satisfaction d'avoir eu raison.?» «?C'est plein de sagesse?», lance le professeur qui
est aussi président honoraire de l'association internationale Optimistes sans frontières.
La France serait-elle un pays de pessimistes ? «?Les Français ne sont pas pessimistes, mais ils
cachent leur joie.?» Il observe que dans le système éducatif français, ce qui est valorisé, c'est le
scepticisme. «?Le doute et l'esprit critique, c'est ce qui fait quelqu'un d'intelligent, alors c'est vrai
que cette culture nous a rendus un peu imperméables à l'enthousiasme.?»
Annick D'Amours se qualifie de véritable optimiste. «?Je vois toujours la vie du bon côté, je suis
heureuse tous les matins quand je me lève, j'ai le bonheur facile, tellement que ça tape sur les
nerfs de ma mère. Elle me dit souvent en riant : "Ça se soigne !"?» Elle pense être une optimiste
réaliste, car elle est entrepreneure (Trois femmes et un coussin). «?Je sais qu'à chaque problème
qui survient, il y a une solution.?» C'est ce que pense aussi Luc Nowlan, optimiste et rationnel,
qui a du mal à comprendre les gens qui sont constamment pessimistes. «?Je suis travailleur
autonome, quand j'ai des doutes, je travaille sur moi, j'entre en mode solutions, et tout va bien.?»
Selon la Dre Christine Grou, une personne qui est optimiste de nature, c'est quelqu'un qui est
positif et qui a confiance en la vie. «?C'est souvent une personne qui n'est pas très anxieuse et
qui, de façon générale, va avoir un bon sentiment quoi qu'il arrive. Elle dira que le malheur est
bon, alors que le pessimiste dira que le malheur n'est pas nécessaire ! constate la Dre Grou. Un
pessimiste va souvent penser que les choses vont mal tourner et va anticiper des scénarios
négatifs, voire catastrophiques.?»
          UNE PESSIMISTE AVOUÉE
C'est le cas de Sarah*, qui se dit pessimiste. Elle croit que c'est culturel, car sa grand-mère
maternelle italienne était une grande pessimiste. «?Si un membre de la famille était en retard, il
était certain qu'il allait être retrouvé égorgé au fond d'un parc, il y avait toujours un élément
dramatique. J'ai grandi avec cette idée que le pire peut arriver, alors je me prépare à la
catastrophe, et ça n'arrive pas, alors je suis contente de voir que tout va bien?», raconte-t-elle.
«?Je sais que je ne trouverai jamais l'amour, c'est logique pour moi, je sais aussi que je ne
gagnerai jamais à la loterie, et qu'il y a peu de chances que je sois frappée par la foudre, que
voulez-vous, je suis une pessimiste pragmatique et je suis très réaliste?», dit-elle, mais ça ne
l'empêche pas de s'émerveiller et d'être une personne de bonne humeur. Elle est avocate en
droit de la famille, et elle voit la réalité des divorces tous les jours. «?Ça ne me rend pas très
optimiste face à l'amour, l'usure des couples. Ça me fascine, les gens qui rêvent, qui pensent
que la vie est magique, et qui espèrent trouver l'amour au coin de la rue ! C'est puéril.?»
               Y A-T-IL DE L'ESPOIR ?
Peut-on changer et devenir optimiste ? Oui, pense Rossana Bruzzone, coach en optimisme,
auteure et conférencière. Elle a écrit Le défi optimiste 21 jours de bonheur et propose
d'expérimenter 21 défis quotidiens afin de devenir optimiste, car il faut 21 jours pour changer une
habitude. Comment ? «?En profitant des belles rencontres qu'on fait au quotidien, des imprévus,
des sourires d'un inconnu, des petites joies, en faisant une surprise à quelqu'un, en étant
émerveillé, en cherchant les bonnes nouvelles et en partageant les choses positives.?»
L'optimisme et le pessimisme, ce sont des rapports différents au monde qui vont avoir leur
utilité. «?Un optimisme réaliste est un bon équilibre à avoir?», pense la Dre Christime Grou. «?On a
besoin de cette structure d'espoir aux commandes et d'un mode de fonctionnement optimiste,
mais dans d'autres cas, lorsqu'on perd parfois la maîtrise, il vaut mieux avoir un fond pessimiste
qui peut être utile, mais ce sera un pessimiste actif, où on ne baisse pas les bras?», soutient le
professeur Philippe Gabilliet.
* Pour préserver l'anonymat de sa famille, Sarah a demandé que seul son prénom soit publié.
Conseils pour cultiver son optimisme selon Philippe Gabilliet
             Changer sa façon de voir le monde
«?Il y a un vrai enjeu au départ, c'est la façon dont on va percevoir le monde. Il faut être dans une
logique optimiste, car globalement, ça va mieux. Le monde va beaucoup mieux que vous ne le
croyez est un livre de Jacques Lecomte qui observe, chiffres à l'appui, que la pauvreté,
l'*****phabétisme et les maladies dans l'ensemble du globe ont beaucoup reculé, que l'humanité
va dans le bon sens à quelques exceptions près, mais que le bon vieux temps, c'est un mythe, il
y a un siècle, on ne vivait pas mieux.?»
Se mettre à la recherche de solutions
«?La dynamique de l'optimiste est être dans une logique d'action, une logique où on cherche des
solutions. Le premier réflexe de l'optimiste, c'est de dire qu'on peut s'améliorer, qu'on n'a pas tout
essayé, on va tenter des choses et se dire que le champ des possibles peut être plus puissant
que le champ des impossibles.?»

P.S. de Lecossais : je me reconnais dans la dernière phrase et j'en parle souvent...comme on vit
dans le meilleur des mondes et je ne voudrais jamais retourné en arrière. Pas Toi ?
Regarde sur ce site ici, n'est-ce pas merveilleux, je peux écrire ce qui me plaît sans avoir peur
d'être jugé. Pas Toi ?

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 18, 2018  14:46


***5 raisons pour lesquelles être auprès d’une femme qui a réussi vous rendra encore plus
irrésistible ***
par James Preece
En effet, il est important de comprendre que la compatibilité ne se résume pas uniquement aux
caractéristiques physiques. On oublie trop vite cette réalité lorsque l’on entend les plaintes des
célibataires qui disent passer beaucoup de temps à chercher (sur les sites ou les applications)
une personne qui pourrait leur plaire. Le succès d’une relation est basé sur l’équilibre entre la
personnalité, l’intelligence, les ambitions, les valeurs et le sens de l’humour.
          1. Elle n’est jamais plate
Elle sait ce qu’elle veut et n’a pas peur de réaliser ses rêves. Elle ne laissera rien ni personne la
ralentir dans l’atteinte de ses objectifs. Les mêmes règles s’appliquent aussi bien à son travail
qu’à sa vie amoureuse. Elle ne se contente tout simplement pas de vivre une vie tranquille, sans
aventures. Elle préfère relever de nouveaux défis ce qui vous amènera aussi à vivre de
nouvelles expériences auxquelles vous n’auriez peut-être pas été exposées.
          2. Elle vous rend plus intelligent
Les discussions avec des femmes intelligentes sont excitantes car elles sont vraiment
intéressantes. Vos conversations quotidiennes porteront sur une variété de sujets tout aussi
fascinants les uns que les autres. Elle pourra vous apprendre de nouvelles méthodes de
séduction et vous découvrirez de nombreuses choses que vous ne connaissiez pas avant.
Possédant une bonne culture générale, elle partagera avec vous ses connaissances.
          3. Elle peut vous faire vivre une vie plus enrichie
Une femme qui a du succès a habituellement travaillé fort pour en arriver où elle est. Elle a
chassé ses rêves et sait comment obtenir ce dont elle a besoin. La bonne nouvelle est qu’elle
vous aidera à en faire de même. Avec de l’aide, de l’écoute et de l’empathie, elle vous aidera à
atteindre votre propre potentiel. Elle fera cela car à ses yeux, vous faîtes partie d’une équipe et
elle souhaite que vous soyez aussi épanoui qu’elle.
         ***4. Elle vous laissera votre liberté
Parce qu’elle mène sa propre vie assez occupée, elle n’aura pas le temps de vous surveiller ou
de devenir jalouse. Elle vous offrira bien plus de liberté pour que vous puissiez faire les choses
qui vous plaisent. Par conséquent, le temps que vous passerez ensemble sera encore plus
excitant et propice aux activités spéciales.
          5. Vous deviendrez plus attirant
Quand un homme sort avec une femme qui connaît du succès, les autres le voient naturellement
sous un autre œil. Être auprès d’une telle femme prouve aux autres que vous êtes un homme de
qualité donc vous serez perçu comme étant encore plus séduisant et encore désirable par les
autres.
Ne soyez pas intimidé par une femme accomplie, même si elle connaît plus de succès que vous.
La vie est une aventure et vous pouvez chacun apporter quelque chose d’unique à la relation.
Profitez-en donc et laissez vous surprendre!


P.S. de Lecossais : au sujet du texte précédent, tu connais des personnes que tu rencontres et
qui se plaignent tout le temps, fuis-les...et tu en connais d'autres qui rient et qui voit la vie en
rose, va avec Elles, colles-toi...

Ici ce texte plus haut est optimiste pour les hommes qui cherchent...une Femme , mais regardes-
toi ! As-tu des bas dans tes sandales ? As-tu des shorts gris-bruns en bas des genoux ? As-tu
une barbe qui pique, longue et blanche ? Sens-tu bon ? As-tu un bedon ? et une ceinture en bas
qui essaie de le relever ? une chemise grise ou brune ?...
Une Femme remarque ces choses là...mais si tu souris tout le temps, tu as des chances qu'on
t'approche.

Lecossais
Admin famille
Canada

Date du message : juillet 20, 2018  06:04


                  *** SEXUALITÉ DES PERSONNES ÂGÉES : LE GRAND TABOU ***
N’en déplaise aux rabat-joie, on peut être vieux et avoir une sexualité épanouie. Notre
chroniqueuse Maïa Mazaurette livre des pistes pour conserver une libido heureuse le plus
longtemps possible.
Journal LE MONDE Par Maïa Mazaurette
Papis pervers, veuves joyeuses, vieux dégueulasses, hashtag #mature : le moins qu’on puisse
dire, c’est que nous manquons de tendresse envers ceux qui la cherchent après 60 ans.
Comme si leur sexualité (re)devenait un vice. Comme si le jardinage remplaçait logiquement le
libertinage. Et comme si nous n’avions comme option que le silence ou la moquerie : ha ha, des
membres défaillants, hilarant ! Quoi, mamie couche en institution ? La démence, forcément.
Intéressante hypocrisie, quand on célèbre ces super-seniors capables d’enchaîner quatre
marathons tout en passant un doctorat d’astrophysique par correspondance sur leur
smartphone. Comment arrivons-nous à nous féliciter de vieillir de plus en plus tard,
physiquement, intellectuellement, émotionnellement… mais pas sexuellement ?
Les représentations ont la peau dure, les chiffres sont pourtant clairs : nos aînés profitent de la
vie, et pas seulement en préparant des tartes aux pommes. En 2015, les Archives of Sexual
Behavior révélaient qu’en Angleterre 54 % des hommes et 31 % des femmes de plus de 70 ans
avaient encore une activité sexuelle (sachant que les hommes meurent plus jeunes, laissant
leurs épouses seules face au dilemme abstinence ou plantation de concombres).
          De l’intérêt pour la chose
Quelques années plus tôt, une autre étude permettait de se faire une idée plus précise de ce
déclin : les trois quarts des 57-65 ans étaient sexuellement actifs, mais 53 % des 65-75 ans, et
26 % des 75-85 ans. Et attention, on ne parle pas de rapports exceptionnels ! Les hommes actifs
de plus de 75 ans connaissaient encore deux à trois galipettes par semaine. Une fréquence que
bien des jeunes leur envieraient !
Du côté de la satisfaction, rangeons tout de suite notre misérabilisme. Selon l’université de Duke,
20 % des plus de 65 ans ont une sexualité plus épanouissante que jamais auparavant.
La recette de la longévité du plaisir ne surprendra personne : un chouette partenaire, une
activité régulière, de l’intérêt pour la chose, une bonne hygiène de vie. Ce dernier point est
crucial. Les personnes en mauvaise santé sont, de très loin, celles qui souffrent le plus d’un
déclin sexuel (exemple parmi d’autres : 81 % des malades se désolent d’orgasmes amoindris,
mais seulement 54 % des bien portants).
Cette réjouissante longévité des libidos concerne aussi les célibataires ou les veufs. Selon le
Centre universitaire de promotion de la santé sexuelle de l’Indiana, 46 % des hommes de plus
de 70 ans se masturbent, et 33 % des femmes. Lesquelles trouvent, à 62 %, que leur sexualité
de senior est aussi satisfaisante ou même plus satisfaisante que la sexualité de leurs 40 ans.
Le regard des autres et de soi sur son corps
Pas d’angélisme pour autant, bien sûr. L’excitation et la jouissance sont plus longues à se
manifester. Aux problèmes de santé s’ajoutent potentiellement la fatigue, les risques cardiaques,
la démence ou les douleurs.
Il est quatre fois plus courant d’avoir des dysfonctions érectiles à 60 ans qu’à 40 (14 % des plus
de 75 ans ont recours à une médication spécifique). Le volume éjaculatoire se réduit. Côté
femmes, la ménopause entraîne une sécheresse vaginale et, souvent, un déclin de la libido.
Mais sans fatalité aucune.
Les pires ennemis d’une sexualité longue durée ne sont d’ailleurs pas les limitations physiques,
mais LE REGARD DES AUTRES DE SOI SUR SON CORPS. Au-delà de cette question
d’estime (qui touche aussi les jeunes), on facilite le maintient de sa libido en bougeant, en
renonçant à l’obsession de la performance, mais aussi en contrôlant sa médication (si vous
constatez une baisse de désir, parlez-en à votre médecin – inutile d’ajouter des problèmes
sexuels à des problèmes de santé).
Le jeu en vaut la chandelle puisque la sexualité, y compris en institution, favorise les relations
sociales, satisfait les besoins émotionnels et physiques, et reconnecte avec l’intimité (nos grands-
parents sont multitâches, ils peuvent chouchouter leur potager ET leur jardin secret).
             Où sont passées notre bienveillance, notre tolérance ?
Tout cela est formidable, mais nous expose à un paradoxe : si la sexualité des personnes âgées
existe, qu’elle est satisfaisante et qu’elle accompagne un bon vieillissement, pourquoi refusons-
nous d’en parler ? Nos plaisanteries blessantes, notre invisibilisation des enjeux, notre
agressivité déclarée, sont autant de balles tirées dans notre pied futur. Où sont passées notre
bienveillance, notre tolérance ?
Une première explication consiste à accuser la tradition judéo-chrétienne, autant dire, la tarte à
la crème contemporaine de toute réflexion sur le corps. Parce que la sexualité postménopause
échappe à la reproduction, elle devient douteuse, selon la fameuse règle qui veut qu’une activité
plaisante ne puisse absolument jamais être pratiquée pour le plaisir – la nourriture, certes, mais
pour se nourrir, la promenade, certes, mais pour s’entretenir.
On y accolera le tabou de l’inceste : quand on substitue dans le langage courant « un papi » à «
un sexagénaire », non seulement on réduit la personne à sa fonction générationnelle, mais on
fait de toute personne âgée notre ancêtre personnel (c’est gentil, mais il faudrait alors leur
apporter un poulet rôti le dimanche). Personne ne veut savoir comment ses parents couchent :
par rebond, comment ses grands-parents couchent.
Deuxième explication : nous persistons à systématiquement associer jeunesse et désirabilité.
Cette logique est assommante, profondément incrustée, mais pas insurmontable (une culture, ça
se transforme – la culture, c’est nous).
               La sexualité, un désordre de jeunesse
Troisième explication : nous sommes attachés à une idée ésotérique et idéalisée du
vieillissement, qui ferait de la retraite une notion applicable à tous les domaines.
On attend des personnes âgées une forme de renoncement aux plaisirs terrestres, via une
sagesse qui les placerait magiquement hors d’atteinte des émotions fortes. Or si l’on pousse
cette dernière explication dans ses retranchements, il est très possible que notre agressivité
envers la sexualité des seniors révèle paradoxalement notre aspiration à l’abstinence.
Je m’explique : si nous voulons croire que les anciens ne couchent pas, c’est parce que nous
aimerions être libérés du sexe. Car si les vieux sont sages et qu’ils renoncent à la sexualité, c’est
bien qu’on considère cette dernière comme irrationnelle – un désordre de jeunesse.
Faute de pouvoir contrôler nos désirs, titillés constamment, harcelés par l’ubiquité sexuelle, nous
espérons que nos pulsions disparaîtront d’elles-mêmes. Quand nous dénions aux personnes
âgées le droit à la luxure, c’est notre sérénité future que nous tentons maladroitement d’assurer.
Sur le dos des autres. Et nous nous trompons de cible.
Si la sexualité nous opprime tant qu’il faudrait s’en débarrasser, si notre apparence nous
préoccupe au point que nous n’envisageons pas rester désirables après 22 ans, c’est au présent
que le problème existe – pas au futur. Et si nous étions sages, nous reconnaîtrions dans notre
discours sur la sexualité des seniors rien de moins que nos insécurités actuelles : à régler
maintenant, pas dans trente ans.
             *** Commentaires de lectrices
''Ce qui est triste ce n'est pas d'être grand père mais de dormir avec une grand mère

''Moi, homme a 41 ans 1/2 ma sexualité s'est arrêtée net après un footing. Depuis je suis super
nul, voire très super nul. J 'ai 50 ans dans 6 jours et je regrette ces moments intenses que je ne
réalise que dans mes rêves. Mais je suis ravi pour tous ces personnes d'age mur qui continuent
d'en profiter, amusez vous c'est important pour l'équilibre personnel.

''La sexualité, c'est comme la gastronomie. Le plaisir vient de l'envie, et l'envie ça se provoque,
de
multiples manières. Encore faut-il rester un minimum jeune dans sa tête et, comme dit Johnny,
avoir "l'envie d'avoir envie".

''Les couples de vieux sont surtout très souvent des couples de circonstance, donc la sexualité
c'est chacun pour soi.

P.S. de Lecossais : les pratiques sexuelles qui ont la cote la plus populaire chez les personnes
âgées sont le ''CYBERSEXE' c'est-à-dire le sexe, surtout les masturbations sur Internet en
regardant ses amies... et INVITER UNE TROISIÈME PARTENAIRE; le sexe à trois (pas plus,
sinon on ne s'occupe pas de tout le monde).
Moi maintenant à 75 ans, ce que je fais moins et que je faisais souvent à 70 ans :
--la danse : je me contente maintenant du 'slow', le collé-collé.
--les plaies ne guérissent pas vite, donc faut pas se gratter
--des marches de 20 minutes 2-3 fois par jour
--une sieste d'une heure obligatoire vers 14h.
--pour pénétrer un vagin, je mets en place mon plug-anus , même pour me masturber, et il y
reste jusqu'à l'éjaculation...à tous les quatre jours.
--pas de sel ni sucre
et si dire que de toutes façons, on va toutes mourir bientôt, alors profitons de tout ce qui se
présente.
--
*Ce message a été édité le Jul 20, 2018 6:20 AM par Lecossais*

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