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Famille : La sexualité n'a pas d'âges
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Sujet : Opinions
Lecossais |
Date du message : mars 28, 2018 15:19 |
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*** Des relations sexuelles hebdomadaires après 60 ans STIMULENT LA MÉMOIRE *** Agence France-Presse dans 'La Presse-Montréal' juin 2017. LONDRES Après les mots croisés ou les sudokus, une nouvelle étude britannique affirme que le maintien d'une activité sexuelle régulière après 60 ans permet de maintenir les performances du cerveau. Les chercheurs, qui ont publié leurs conclusions dans la revue américaine Journals of Gerontology, ont interrogé 208 hommes et femmes âgés de 60 à 83 ans sur la fréquence de leurs rapports sexuels et mesuré leurs capacités cognitives (mémoire). Les personnes qui ont affirmé avoir une activité sexuelle au moins une fois par semaine sont aussi celles qui avaient l'expression verbale la plus fluide et la meilleure capacité à se représenter leur environnement dans l'espace. «Il est possible qu'à une augmentation de la fréquence de l'activité sexuelle corresponde l'amélioration des performances intellectuelles», affirment les auteurs de l'étude menée conjointement dans les universités d'Oxford et de Coventry (centre de l'Angleterre). «Les gens n'aiment pas s'imaginer que les personnes âgées peuvent avoir des relations sexuelles», avance dans un communiqué Hayley Wright, qui a dirigé la recherche pour l'université de Coventry. «Mais nous devons mettre à mal cette représentation et examiner l'impact sociétal que peut avoir l'activité sexuelle sur les personnes de 60 ans et plus», estime-t-il. Les chercheurs vont poursuivre leur étude pour trouver une explication biologique à leur découverte. Ils veulent AN-Alyser l'influence que peuvent avoir certaines substances chimiques, notamment la dopamine et l'ocytocine, sur le lien entre l'activité sexuelle et le fonctionnement du cerveau. «Les résultats ont des implications importantes sur le maintien des relations intimes tout au long de la vie», conclut M. Wright. P.S. de lecossais : bonne nouvelle pour les masturbatrices 'compulsives' âgées de plus de 75 ans...Oui je sais, des fois , on a besoin d'un ticoup-de-main, alors ouvre ta porte à tes amies. Au fait, est-ce que j'ai déjà mis cet article en ligne ?? Je ne me souviens plus, viens me rafraîchir la mémoire.... *Ce message a été édité le Mar 28, 2018 3:21 PM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : mars 30, 2018 08:36 |
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***Une application de rencontre 100% québécoise pour «célibataires sérieux» ou tous les autres*** Une entrepreneure de Québec lance son «accélérateur de rencontre»,''' GoSeeYou''' par Marc-Antoine Turcotte , février 2018 JDM Avant même le lancement officiel de l'application GoSeeYou, plus de 5000 célibataires ont rejoint cette nouvelle plateforme 100% québécoise, un bassin qui impressionne et surprend la femme d'affaires derrière le projet, Mélanie Trudel. «Je ne m'attendais pas à avoir autant de gens. Je suis un peu déboussolée par rapport à tout ça», se réjouit l'entrepreneure derrière ''Célibataire Québec'', qui oeuvre dans le domaine des rencontres amoureuses (sensuelles) «réelles». Dès aujourd'hui, GoSeeYou entre officiellement en compétition avec les Tinder et Happn de ce monde, sauf que l'app a un objectif plus précis: ACCÉLÉRER LES RENDEZ-VOUS. «J'ai beaucoup d'informations (sur les célibataires dans l'application). Je veux vraiment accélérer la rencontre à l'aide de la messagerie intégrée. Après 100 échanges, le système envoie une suggestion de rendez-vous. [...]La gêne de la première invitation n'existe plus. Parfois, on a peur de se faire rejeter, donc on évite de proposer une rencontre. L'application de base est gratuite, mais est payante pour les partenaires. Les utilisateurs profitent aussi de rabais et de promotions chez les annonceurs.» Mathieu Juneau, qui travaille chez Nomade Solutions Mobile à Québec, a accompagné Mélanie dans le développement de son application. Malgré les nombreuses applications de dating déjà existantes, il remarque un réel intérêt du côté des célibataires québécois pour GoSeeYou. «Le défi d'une application comme SeeYou, c'est de mettre beaucoup d'options sans que ça coûte un demi-million de dollars à produire.» Et à première vue, Mélanie et lui l'ont relevé, puisque selon ce dernier, les inscriptions ne dérougissent pas. Mais outre sa conception 100% québecoise, la jeune femme de Québec est confiante que l'application basée sur la GÉOLOCALISATION saura se démarquer au sein d'une communauté de célibataires aux buts qui ne se limitent pas qu'à avoir du plaisir(option possible), notamment en raison d'une option facultative qui permet d'indiquer son intérêt de faire des rencontres sérieuses. «Par exemple, quelqu'un qui veut des enfants va aller vers quelqu'un qui a des enfants ou qui en veut. J'ai évalué tout ce qui était irritant ailleurs. Pendant mon étude de marché qui s'est étirée sur presque un an, j'ai cherché ce qui gossait(rebutait) les célibataires.» Elle a découvert que certains utilisateurs ne réussissaient jamais à se voir en raison de leurs horaires ou de l'attente entre la première conversation et le premier rendez-vous. Il y a aussi la question des enfants, les allergies aux animaux; bref, les petites imperfections observées dans d'autres applications semblables. Un système de coeurs sur une échelle de zéro à trois permet par exemple de déterminer l’intérêt d’une personne pour la musique, le cinéma, le sport ou le sexe. Lorsque les «regards se croisent», donc quand deux personnes se sont mutuellement envoyé un «SeeYou», la messagerie intégrée s'ouvre. On peut ainsi échanger avec la personne par vidéo ou par texte. «Comme ça, on évite de se faire une idée préconçue sur l'apparence de la personne et donc, les déceptions. On se fie souvent aux photos, mais en réalité, ce n'est pas toujours ce à quoi on s'attend.» Pour ajouter à tout ça, on peut préciser son statut familial, c'est-à-dire si nous sommes déjà parents, si nous sommes prêts à rencontrer quelqu'un qui a des enfants, si l'on veut des enfants ou pas, si on est veuve... Ce qui élimine certains petits malaises lorsque la relation est en voie de devenir plus sérieuse. Conquérir un nouveau marché Avec GoSeeYou, Mélanie Trudel vise le marché international. C'est pour cela que le nom de son application est en anglais. Elle espère que son produit lui permettra de rivaliser avec Tinder, populaire auprès des 18-24 ans. «Sur Tinder, j'ai l'impression que les gens sont là en majorité pour s'amuser. Sur mon application, ça ne peut pas être plus clair, tout est là pour savoir si quelqu'un a les mêmes affinités, les mêmes buts que toi. P.S. de lecossais : Bravo. Les rencontres réelles se font la plupart du temps par lieu de résidence comme Drummondville cherche quelqu'Une de Drummondville...ou quelqu'UN. Aussi, pour nous les gens âgées, tout est possible. Une dame mariée avec un conjoint handicapé peut avoir des désirs sexuels de rencontrer un autre homme. Tu vois le genre...D'abord, ne pas avoir de préjugé (Dedo50) sur des personnes qui sont en couple...et comme on aime les tendresses, les caresses sensuelles, il faut le dire, l'écrire...La vie est courte comme tu sais...et les jouissances, petites et grandes, sont à la portée. Je t'embrasse *****
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Lecossais |
Date du message : mars 31, 2018 07:41 |
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*** RENCONTRE DU NET *** Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/ Un peu longue mais c'est pour ta longue fin-de-semaine. Mes amis-hommes et femmes vont se reconnaître ici !! '''Suite au stress et aussi à la fatigue, hélas, JE NE BANDE PRATIQUEMENT PLUS. Ce qui arrange Sophie, ma femme, qui n’est pas très portée sur la chose. Non seulement mon engin est rarement au garde-à-vous, mais en plus maintenant, quand j’y arrive, c’est mou de chez mou. La cata ! Puis, un beau jour, un samedi, je me rends vraiment compte que je suis mal parti. Il faut donc que j’en parle avec Sophie et que je lui trouve quelqu’un sur le Net. Je sais bien que ma démanche est un peu étrange et que ça doit aussi être assez gênant pour elle, mais je me dis qu’une fois qu’elle aura sous la main – ou dans la main – une vraie queue, ça devrait peut-être la dépanner, et moi aussi… — Tu veux quoi ? s’exclame ma femme. — Me trouver un remplaçant… — Mais pourquoi ? — Ben… actuellement, je ne peux plus rien faire, je ne bande plus… — C’est passager, le stress. Rappelle-toi, cet été, c’est revenu à la normale. — Oui, c’est vrai, mais à peine quinze jours par an… — Oh tu sais, moi et le sexe… Ce n’est pas parce que tu ne bandes plus que je t’aime moins, tu sais… — Merci, mon amour… mais, moi, ça me turlupine. Elle s’exclame : — C’est le cas de le dire ! Turlupiner, un gentil verbe ! — C’est ça, c’est ça ! Et puis… Je me gratte la tête, ne sachant pas trop comment annoncer la suite. Comme elle me connaît, Sophie se penche vers moi et insiste : — Et puis quoi ? Balance la suite, même dans le désordre, et je ferai le tri. — Ben, peut-être qu’en te sachant ou en te voyant avec un autre, ça me stimulera… Elle me regarde avec de grands yeux. Elle finit par lâcher : — Ah… Et puis c’est tout. Je ne sais pas comment relancer la conversation. Puis je me décide : — Écoute, je sais que c’est un peu étrange, mais moi, ça me va que tu puisses jouir, même avec un autre. Ce qui me motive quand nous faisons l’amour, c’est de T'ENTENDRE JOUIR. Bien sûr, j’adore te pénétrer, mais mon vrai but, c’est de te voir prendre ton pied. — Il y a un mot pour ça, mon chéri, c’est « candauliste ». — Peu importe le mot… On peut regarder comme ça sur des sites si, par le plus grand des hasards, on ne trouverait pas chaussure à ton pied… Elle ne répond rien, mais je sais que ça turbine sévèrement dans son cerveau. Le lendemain, un dimanche après-midi d’hiver, alors que nous ne savons pas trop quoi faire et que Sophie caresse mon sexe qui ne réagit pas trop, je me décide : — On regarde sur le web ? — Le web ? Ah oui, pour ton site de rencontre ? — Oui. Comme tu vois, ça ne veut pas, et c’est pourtant pas l’envie qui me manque. Mais quand ça veut pas, ça veut pas ! Elle soupire : — Bah, allons voir ton truc, ça nous occupera ! Je m’empare de la tablette et nous commençons à faire le tour des sites ; nous regardons les couples qui recherchent d’autres couples. Nous jouons aux curieux, nous regardons si nous ne tombons pas sur des connaissances. Parfois nous rigolons, nous regardons même les femmes qui cherchent d’autres femmes, les hommes qui cherchent d’autres hommes, et j’en passe… Puis vient le tour des hommes qui recherchent des femmes ou des couples (aigle19622). Les choses sérieuses commencent. — Hé, mate un peu ce bonhomme : il a peur de rien ! — Ah oui, en effet ! Je vois bien que ma femme s’arrête de temps à autre sur certains mâles qu’elle ne trouve pas trop mal, c’est assez flagrant, mais elle ne le dit pas ouvertement. Je tente d’en savoir plus, je la questionne en catimini. Nous refaisons le tour du site, et nous nous focalisons sur trois profils de notre coin, c’est à dire Bordeaux. Je constate tout de suite que c’est le même type de garçon, plutôt jeune (environ dix- quinze ans en moins), assez beau gosse (enfin, ça dépend des goûts), et surtout un peu bronzé (sea, sex and sun). Un sacré cliché quand même ! — Attends, Sophie, il faut que je vérifie un truc. Aidé par un moteur de recherche, je vérifie si les photos ne sont pas des emprunts. Justement, l’un des profils est bidon car je déniche très facilement des pubs qui utilisent le même bonhomme. Par contre, pour les deux autres, mis à part un autre site de rencontre et un profil sur un web social, pas de pubs à leur sujet. — Eh bien, ces deux-là me semblent véridiques… — Ah zut, il était trop beau pour être vrai, ce Baptiste ! — Eh oui, ça arrive… Posant sa main sur sa cuisse, je me rends compte de quelque chose. Alors, impunément, je glisse ma main dans son entrejambe pour découvrir qu’elle est toute trempée ! — Tiens, tiens… on dirait que ça te fait de l’effet… — Ben… ils… ils ne sont pas trop mal, c’est vrai… — Tu veux qu’on les contacte, juste pour voir ? Elle se tortille, tergiverse : — Je ne sais pas… tu ne crois pas que c’est risqué ? On ne sait pas sur qui on va tomber ! Imagine que ce soit un détraqué. — D’après les commentaires, ni l’un et ni l’autre n’ont de mauvais avis… Elle prend la tablette en main pour mieux lire, puis me la redonne quelques instants plus tard, songeuse : — Oui, c’est vrai… — On envoie un petit message à chacun des deux ? Elle ne répond pas tout de suite. Elle me reprend la tablette des mains, scrute les deux profils restants, puis finit par lâcher : — On peut toujours essayer… mais c’est toi qui rédiges le message… Ce que je fais. Puis nous attendons. Durant les jours suivants, nous répondons, nous dialoguons, et très vite Sophie penche vers l’un des deux : Olivier, un jeune pompier de 55 ans, très musclé et bronzé, sportif avec un bon niveau intellectuel, et qui connait déjà un peu le milieu du libertinage. Il est apparemment très attentionné et doux ; les commentaires abondent dans ce sens. Il a visiblement le fantasme du candaulisme et d’une cougar bien foutue. Nous sommes pris dans l’engrenage… Puis le fameux jour arrive ; je suis assez stressée ! Il y a de quoi ! C’est la première fois que je vais tromper mon mari avec son accord ! Avouez que la situation est peu commune, tout au moins pour moi. Ai-je bien fait de dire oui ? Ça, je le saurai avant la fin de la journée ! Vers dix heures trente, nous partons, direction Bordeaux, un hôtel C&C (Chambre & Confort). Quelque temps plus tard, nous prenons possession de la chambre quatre places en forme de L, salle de bain avec douche. Fébrile, je me prépare dans la salle de bain. *** Je me regarde dans la glace ; j’y vois une femme âgée, ayant les seins qui tombent, qui est toute fripée. Je sais bien que je ne suis pas un top-modèle ; je sais aussi que je me dévalorise, comme beaucoup de femmes d’ailleurs, malgré les compliments qu’on me fait. J’ai accepté depuis peu le fait que je ne suis pas moche, et que les hommes qui me complimentent ne mentent pas toujours. J’essaye d’entretenir au mieux ma forme afin de ralentir la décrépitude. Avec un peu de maquillage, je donne l’illusion que je rajeunis même un peu selon l’artifice choisi, il faut bien désigner les choses par leur nom. Ayant obtenu la bonne température, je prends une bonne douche revigorante, me lavant au passage les cheveux. J’en profite pour faire place nette entre mes jambes, ce qui n’est pas très courant chez moi. Mais vu ce que j’ai prévu comme habillement, avoir le PUBIS LISSE fera plus classe que de conserver une touffe, si minime soit-elle. Après la douche, après m’être soigneusement séché les cheveux, je me maquille légèrement, soulignant mieux mes yeux et ravivant mes lèvres. Après des bas noirs, je revêts un joli bustier noir, faisant aussi office de porte-jarretelles. Enfin, j’enfile une robe légère à boutons sur le devant, avec un mignon décolleté en V. En me voyant sortir ainsi de la salle de bain, mon mari s’exclame : — Waow ! T’es bandante à souhait ! — Merci ! J’espère que ça lui plaira… — Si ça ne lui plaît pas, c’est vraiment qu’il est très très difficile ! Puis nous nous rendons au grill situé juste à côté. Je suis toute tremblante ! Notre contact est déjà là. De loin, il est effectivement bel homme ; de près aussi. Après les présentations d’usage, Olivier se penche sur un siège puis me tend une superbe rose rouge. Décidément, il est encore mieux que sur les photos, et très gentleman. Indéniablement, il marque des points. — Merci beaucoup, Olivier. — Ce n’est qu’une simple rose, vous êtes nettement plus belle. — Vous êtes nettement flatteur, Olivier. — Non, simplement franc. Vous me plaisez. Et vous êtes mieux au naturel qu’en photo ou en webcam. Je me contente de lui sourire, puis je m’assieds à côté de mon mari, face à Olivier. Il est vraiment pas mal, ce pompier ! En tout cas, il me met le feu ! Je me plais à penser à sa lance d’incendie pour m’éteindre ! Je secoue la tête, un peu effrayée par ce genre d’idée qui émerge dans mon esprit ! Durant le repas qui est très agréable, ce sont des échanges de regards appuyés, de paroles douces, de charme… Nous sommes installés dans une sorte de box, un peu à l’écart, ce qui nous ménage une petite intimité, ce qui est pratique pour nos jeux de séduction. Malgré mon âge vénérable, il est évident que je plais à Olivier. Ça me rassure, malgré les craintes que je pouvais avoir et que j’ai encore. Olivier me surprend en me demandant : — Pourriez-vous déboutonner au moins un bouton ? — Un bouton ? Jouant avec son verre, Olivier sourit : — Ou deux, ou plus, que je puisse avoir une belle vue sur votre mignon décolleté… N’ayez crainte, vu la disposition où nous sommes, personne d’autre ne saura ou ne verra. Perplexe, je regarde mon mari ; il acquiesce en hochant de la tête. Emportée par mon élan, je décide de déboutonner deux boutons. Initiative qui plaît aux deux hommes. — Merci beaucoup. Vous avez un joli décolleté, c’est indéniable ! — Merci… Que répondre à ça ? Le repas continue dans la bonne humeur. Je m’offre même le luxe de déboutonner, un peu plus tard, un autre bouton sans qu’on me le demande. Les yeux brillants de mon vis-à-vis sont une confirmation évidente que ma nouvelle initiative plaît. Olivier se tourne alors vers mon mari et lui chuchote quelque chose que je ne comprends pas. Damien semble réfléchir deux-trois secondes avant de susurrer lui aussi sa réponse. Je ne suis pas une grande partisane des messes basses, surtout quand je sens que je suis concernée. Je suis mise partiellement au parfum quand notre invité s’adresse à moi : — Rassurez-vous, Sophie, je demandais à votre mari certains points de détail. — Quels points de détail ? — Jusqu’à quel point je puis me permettre d’aller… — Et vous voulez vous permettre d’aller où ? — Ici, par exemple… Et sans attendre ma réponse, il lance son bras par-dessus la table, puis sa main se pose sur ma robe, juste à côté de mon décolleté. Son geste ne m’offusque pas : il est presque naturel pour moi. Sans me dégager, je souris à Olivier : — Je vois… Monsieur est aventurier ! — J’ai toujours eu un faible pour les monts et vallées. Et avec vous, je suis comblé ! Abrité par le box et notre relatif isolement, Olivier caresse lentement ma poitrine, soupesant fermement mes masses, aventurant parfois ses doigts dans l’ouverture de ma robe, s’introduisant délicatement dans la fente entre mes seins. Et ça lui plaît beaucoup. À moi aussi, je l’avoue… Après quelques effleurements poussés et autres cajoleries très agréables, notre invité retire sa main puis suggère : — Si ça vous dit, vous pouvez toucher, vous aussi. Je ne réponds rien, mais je tends la main par-dessus la table. Elle se pose sur sa chemise, et je discerne très bien ses contours et formes. Plus bas, je sens par-dessus le tissu ses pectoraux, c’est d’ailleurs assez surprenant. Ça me donne l’envie d’aller voir de plus près, mais ce ne sera pas pour tout de suite… — En effet, il n’y a pas tromperie sur la marchandise ! Il se contente de rire. Après quelques frôlements supplémentaires, je retire ma main. J’ai bien fait car environ une minute plus tard la serveuse arrive avec notre commande. Après le plat principal et avant le dessert, les deux hommes échangent leur place. Ça me fait frissonner de l’avoir juste à côté de moi, et ça, Olivier l’a bien remarqué, et de ce fait, il en profite éhontément ! Très vite, sa main se pose sur ma cuisse, près du genou, tandis qu’il continue de me parler de tout et de rien. Sa main remonte lentement, je ne proteste pas. De ce fait, il s’enhardit, me caressant voluptueusement, s’aventurant toujours un peu plus loin à l’intérieur de mes cuisses. Il trace du doigt l’orée de mes bas, longe les jarretelles qui les fixent. Puis il redescend lentement à l’intérieur de mes cuisses frémissantes, jusqu’au moment fatidique où ses doigts cognent contre mon pubis. Je respire un peu bruyamment, continuant la conversation comme si de rien n’était. À son visage, je vois bien que mon partenaire est surpris, agréablement surpris, car sous ma robe légère, mis à part des bas, je n’ai que mon bustier, rien d’autre, et l’accès à ma chatounette est libre. Le message est assez clair, il me semble… Néanmoins, la main d’Olivier ne bouge plus. Peut-être attend-il mon accord ? — Puis-je faire toc-toc à votre porte ? C’est mon mari qui répond par une célèbre formule : — Tirez la chevillette, la bobinette cherra… — Vous n’avez pas peur du loup ? Mon mari sourit tandis que je pique un fard. La situation est un peu… spéciale, je ne trouve pas le mot exact. Je suis à la fois gênée et terriblement excitée. Amusé par la réponse et le contexte, Olivier s’adresse à nouveau à moi, de façon plus concise : — Toc-toc ? — Entrez… J’ai répondu sans réfléchir, même si dans ce contexte précis ça sous-entend quelque chose de bien particulier. Par contre, Olivier ne perd pas de temps pour venir toquer à ma porte. Il marque un petit temps de flottement car il vient d’avoir définitivement confirmation que je ne porte PAS DE PETITES CULOTTES. Il se reprend bien vite et commence à câliner l’orée de ma fente qui, à ma grande honte, mouille déjà. Mais en parfait gentleman il n’en dit mot, mais en profite ignoblement en venant me taquiner sensuellement. Ma respiration s’accélère sous ces multiples frôlements vicieux. Je ne vais quand même pas jouir sur place, ici, dans ce restaurant ! À mon tour, me donnant une contenance, je pose ma main sur le genou de mon voisin. Je sens bien, quand je remonte un peu, que sa cuisse, ce n’est pas du flan gélatineux, mais un muscle bien dur, ce qui laisse présager bien des choses dans la manœuvrabilité du bassin… — Vous pouvez remonter plus haut… Je ne réponds pas, mais ma main s’exécute. C’est toujours aussi ferme et bien musclé. Olivier est plus baraqué que mon mari, c’est certain. Mais le constater en palpant, c’est mieux. Quelque chose me dit qu’à l’hôtel, ça va être une bonne nouveauté pour moi. Durant tout ce temps, mon tourmenteur s’est enhardi, venant délibérément taquiner mon clitoris ultra-réceptif, et croyez-moi, c’est difficile pour moi de rester sereine en façade ! — Encore plus haut, si vous voulez… Je suis un peu circonspecte. Je voudrais bien, mais j’ai un peu peur de ce qu’on pourrait penser de moi. Soudain je réalise que je suis en train de déjeuner avec mon futur amant, celui qui va se faire un plaisir de me faire l’amour dans quelque temps. De me baiser, pour parler crûment. Ce qu’il peut penser de moi ? Je ne sais pas bien. Suis-je une salope à ses yeux ? Une débutante dans le domaine ? Une femme comme tant d’autres ? Je sais qu’il n’en est pas à sa première rencontre. Moi, si ! Et c’est bien la nuance. Je constate, un peu effarée, que dans tout ça je ne me soucie guère de l’avis de mon mari ! Je resserre les cuisses afin de bloquer la progression de ses doigts en moi. — Pourquoi pas, en effet… est ma réponse. Alors je remonte un peu plus haut. Puis la trajectoire de ma main s’incurve un peu vers l’intérieur de ses cuisses. J’aurais très bien pu continuer en ligne droite. Bien sûr, peu de temps après, mes doigts rencontrent comme une sorte de gros tuyau, cylindre que je câline quelques secondes, à la plus grande satisfaction de son propriétaire. Ni trop, ni trop peu. Je sens que l’après-repas sera très intéressant et excitant . C’est ainsi que lui et moi dégusterons notre dessert : sa main qui me titille toujours entre mes cuisses, et moi qui LE CARESSE SOUS LA TABLE… Échauffés, nous traversons le parking pour nous rendre à l’hôtel. Olivier me tient par la main. Nous sommes excités tous les trois, pour diverses raisons. Néanmoins, nous évitons de le faire voir aux autres personnes présentes. À peine la porte refermée, je me retrouve dans les bras d’Olivier. C’est une sensation qui me plaît beaucoup. De plus, je sens bien contre mon ventre une barre bien dure qui ne laisse aucun doute sur l’effet que je fais à mon amant en devenir ! Et c’est flatteur ! — Je vois que… que vous êtes en forme, Olivier… — Je serais un parfait goujat dans le cas contraire ! Belle réplique ! Décidément, ce petit jeune me plaît beaucoup ! Damien se met dans l’angle de la chambre pour ne pas nous déranger. De là, il peut nous mater à souhait sans être gênant, car faire l’amour à quelqu’un sous l’œil d’une autre personne, je ne l’ai jamais fait, et je trouve ça embarrassant. Je ne sais pas comment commencer. Par contre, Olivier ne semble pas avoir ce genre de problème, ce qui me soulage d’un poids. Posément, ses lèvres se posent d’abord sur ma joue, glissent vers mon oreille tandis que ses mains parcourent lentement mon corps frémissant. Nous sommes convenus de ne pas nous embrasser sur la bouche ; Damien est d’accord pour que je baise tel qu’on l’entend vulgairement, mais pas que je baise dans le sens noble du terme. Je ne peux réprimer un long frisson quand ses lèvres glissent le long de mon cou. C’est peut- être un jeunot, mais il sait y faire. S’il éteint les incendies de la même façon qu’il m’attise, c’est un très bon pompier ! Peu après, ma robe légère chute au sol ; me voici en bustier noir et bas noirs. Je vois dans ses yeux luisants que ça l’excite beaucoup. J’en ai confirmation oralement tout de suite : — Vous êtes magnifique ! Une vraie femme ! — M-merci… Je ne sais pas trop quoi répondre à ce compliment vibrant de sincérité. Sa bouche descend sur ma poitrine, lentement, brûlante. Son nez plonge dans mon décolleté pigeonnant. Je respire par saccades. C’est bon de se sentir désirée de la sorte ! Ses mains caressent mes fesses nues ; j’en ai la chair de poule, tellement ça me fait de l’effet ! Puis il S'AGENOUILLE pour venir poser ses lèvres sur mon pubis, puis légèrement plus bas. Inutile de dire que ça me fait beaucoup d’effet, et même plus. Puis après quelques délicieuses agaceries, il se relève et entreprend de se déshabiller sous mon regard très intéressé… Ce jeunot a un corps parfait, des muscles là où il faut, mais sans excès, des abdos assez marqués, et aussi (soyons franche) une belle queue assez épaisse, et curieusement courbée en biais vers le haut. En tout cas, il est indéniable qu’elle est très dure : du bronze ! Tandis qu’il me saisit par la taille, Olivier m’avoue : — Je ne pensais pas trouver une belle cougar de votre âge aussi bonne et avec la peau si douce. — Vous dites ça à toutes les femmes avec qui vous couchez, non ? — Non, non, je vous assure. Je reconnais avoir eu comme partenaires diverses jeunes filles, mais pas aussi douces que vous. — Ah oui ? Je reconnais frôler les soixante-cinq ans, mais j’entretiens ma forme ; du moins, j’essaye. Je suis contente et flattée de faire encore envie. Se collant à moi, ses bras m’enlaçant afin que je ne puisse plus m’enfuir. Olivier confie à mon oreille : — Si je puis me permettre, je n’ai absolument pas été trompé sur la marchandise. — Comme vous y allez ! Marchandise ? — J’oserais même ajouter que vous êtes un beau petit lot ! Et pour me le prouver, il m’entraîne sur le lit puis commence de longs et très doux préliminaires fort réussis. J’adore me laisser faire dans pareilles circonstances ! Puis Olivier se penche sur ma chatte toute trempée pour y plonger sa langue. Il fourrage délicieusement ma petite fente ainsi. Mais je commence à ne plus savoir tenir ; je capture sa tête pour la plaquer sur mon sexe détrempé. Il s’exécute avec délice. Alors que je sens que je vais décoller, je le repousse. Il s’étonne, mais comprend bien vite quand j’écarte largement les jambes. Prestement, il enfile une capote, teste quand même sa bonne pose, puis il s’installe posément entre mes jambes, son dard bien pointé vers mon accueillante entrée. Je pousse un énorme soupir de soulagement quand je le sens s’introduire en moi ! Oh, oui, c’est délicieusement bon d’être remplie de la sorte quand on est si chaude, si attisée ! J’avais une envie folle de sa lance à incendie en moi ! Et c’est parti pour une vraie séance, une cavalcade sportive ! Visiblement, Olivier aime donner du plaisir avant d’en prendre à son tour. Il me lime comme jamais je ne l’ai été, une grande découverte ! Excitée comme pas possible, je me tords dans tous les sens, et à ma grande surprise, je jouis aussitôt ! J’ai déjà oublié la présence de mon mari resté dans un coin ; je n’ai aucune honte à le faire devant lui. Je serre mon amant contre moi pour mieux le ressentir en moi. À ma grande stupéfaction, une seconde vague de plaisir survient aussitôt, me faisant JOUIR À NOUVEAU sans répit. Je suis un peu pantelante ; c’est bon, mais épuisant. Me surplombant toujours, Olivier a ralenti sa besogne. Soudain, il sort de mon vagin pour venir se frotter impudiquement SUR MON CLITORIS. Ma réaction est immédiate : je pousse un long gémissement de plaisir. C’est complètement dingue, cette sensation ! Puis sans m’avertir, il replonge en moi, se calant bien au fond et recommençant son pistonnage si exquis. J’en deviens presque folle ; je pars aussitôt vers le septième ciel ! C’est donc ça, un orgasme multiple ? Les minutes suivantes, il me retourne dans tous les sens ; je me sens telle une poupée d’amour, son objet sexuel, mais j’aime cette furie de désir, cette sensation d’être possédée à fond. Puis à son tour il finit par jouir, remplissant le préservatif de son foutre. Dans une semi-hébétude, je me dis que j’aurais bien aimé être remplie, être salie et barbouillée par tout ce foutre, mais ce n’était pas très prudent. Tandis que mon jeunot se repose, je rejoins Damien resté sur l’autre lit, dans le coin de la chambre, afin de le remercier. De son côté, mon homme a bien joui, et pas qu’un peu ! C’est évident et ça m’étonne, car il ne pouvait plus depuis quelques mois. Lui-même me confie : — J’ai bandé comme je n’avais pas bandé depuis longtemps ! — Oui, j’ai vu ça du coin de l’œil… En réalité, je n’ai rien vu du tout : je ne savais même plus qu’il existait, qu’il était dans la chambre en train de se masturber, mais je préfère ne rien dire, c’est plus diplomatique ! Il pose sa main sur mon sein pour m’intimer : — Allez, retourne avec lui. Profites-en un max car tu n’auras pas droit à cette faveur tous les jours. — Tu… tu es sûr ? — Oui, vas-y, je te dis, profite ! Je t’aime… — Moi aussi, je t’aime. Et je l’embrasse. Ce qui ne m’empêche pas de retourner aussitôt auprès de mon jeune amant qui se fait un plaisir de me couvrir à nouveau de caresses. Durant celles-ci, c’est à son tour de me confier : — Je n’ai pas baisé comme ça depuis longtemps, vous savez… — Ah bon ? Pourtant, j’ai cru comprendre que vous avez déjà rencontré plein d’autres femmes et d’autres couples. — Oui, c’est vrai. Pour parler crûment, j’ai baisé énormément de jeunettes de mon âge, voire plus jeunes encore ; des moins jeunes aussi. Mais là, ça a été… exceptionnel ! J’ai adoré ! — Exceptionnel ? Vous n’en rajoutez pas un peu trop ? — Non, non ! D’ailleurs, si on pouvait se revoir très vite, ça m’arrangerait ! C’est flatteur ! Un large sourire aux lèvres, je lui caresse la joue. — Ce n’est pas tout à fait moi qui décide… — J’avais compris le topo, rassurez-vous. En attendant, ça vous dit d’aller prendre une douche tous les deux ? — Une douche à deux ? — Hum-hum… et pas qu’une douche… si vous voyez ce que je veux dire… Ça, j’avais compris… Je dis OK : je suis partante pour ce genre d’expérience. Pour indiquer que ma réponse est positive, je me lève. Olivier a un grand sourire radieux de gosse à qui on vient de donner une bonne pâtisserie. Et c’est main dans la main que nous nous dirigeons vers la salle de bain. Je laisse la porte ouverte pour que mon mari ne perde rien du spectacle. Au final, ce n’est pas mal d’avoir un spectateur, ça m’émoustille ! Je n’aurais pas cru qu’il en soit ainsi quand nous sommes entrés tous les trois dans cette chambre… Avant d’entrer sous le jet d’eau, j’avoue à Olivier : — En tout cas, j’ai eu beaucoup de plaisir ! Une vraie réussite ! — C’est vrai ? — Puisque je te le dis ! Franchement, j’ai vraiment pris mon pied avec toi. Je m’aperçois que je viens de le tutoyer. C’est vrai aussi que nous sommes devenus plus qu’intimes. Puis nous entrons tous les deux dans la douche. Mon mari vient d’entrer à son tour dans la salle de bain. Après quelques caresses et câlins, il s’accroupit pour me prodiguer un bon cunni. L’eau chaude qui ruisselle sur ma peau, cette langue qui me fait tant de bien, je flotte sur mon petit nuage. Puis c’est à mon tour de lui donner du plaisir : je m’accroupis, capture sa belle verge et je le suce suavement, dégustant cette bonne et nouvelle sucette. Je masse ses testicules, je me laisse aller à lui procurer le plus de plaisir possible. Soudain, il me repousse : — Arrêtez ! Sinon, je ne pourrais plus me retenir ! — Pourquoi veux-tu te retenir ? — J’ai autre chose en tête ! Olivier m’oblige à me redresser. Il se plaque contre moi comme un fou. Sa bouche, ses lèvres me dévorent, ses mains me caressent, me capturent. Puis, n’y tenant plus, il essaye de me prendre debout sous la douche. Même si j’aimerais bien, je suis obligée de le repousser. — Non, Olivier, nous n’avons pas de capote Aussitôt, mon mari intervient, tendant un rond de plastique : — Olivier, mets ça ! Olivier obéit ; il sait qu’il vaut mieux, sinon il risque de perdre ses prérogatives. Avec une célérité qui m’étonne, il enfile le préservatif, puis aussitôt il me prend, s’enfonçant en moi avec facilité tellement je mouille et le désire ! Je soupire d’aise en sentant son engin s’introduire voracement dans mon intimité. — Oh oui ! Oui ! Vas-y ! Il me prend au mot et commence à me pistonner sans relâche. J’en tombe à genoux pour mieux lui faciliter la tâche, mais aussi pour mieux le ressentir en moi. Cet inconnu qui me baise furieusement, cette eau chaude qui ruisselle sur moi, mon homme qui nous regarde baiser, tout ceci me fait décoller en un temps record. Défoncée sous la douche par une jeune bonne bite, à quatre pattes telle une chienne, le corps ruisselant, je crie mon plaisir. Face à moi, Damien n’en rate pas une miette : il éjacule sans gêne sur mon visage, sur mon cou ; son sperme ruisselle sur mes joues, mon menton, le long de mes seins tandis qu’Olivier me pistonne toujours aussi furieusement avant d’éclater à son tour ! Deux hommes qui éjaculent pour moi, c’est divin ! Ayant repris nos esprits, nous nous séchons. Damien est déjà reparti dans la chambre, nous laissant seuls, Olivier et moi. Celui-ci ne peut s’empêcher de me peloter les seins tout en se frottant contre moi, sa verge déjà bien raide, même si elle vient de se vider il y a peu de temps. Mon jeune pompier me murmure : — Et si je procurais à Madame un bon cunnilingus de derrière les fagots ? — La madame ne dira pas non… — Adjugé, c’est vendu ! Le contraste entre le mot utilisé et le vouvoiement m’amuse. Puis nous retournons, nus, sur le lit. Sous l’œil intéressé de mon mari, je m’allonge sur les draps froissés pour recevoir ce super cunnilingus que mon jeune amant m’a promis. Se mettant à côté de moi, mais tête-bêche, Olivier pose sa joue sur mon pubis puis glisse plus bas. Sa langue déniche vite mon petit clitoris qui n’attend que ça. C’est paradisiaque, c’est extra, c’est plein de choses comme ça ! Ses doigts taquinent puis explorent ma fente détrempée. Parfois ils entrent en moi, ce qui me fait beaucoup de bien. Oui, je me laisse aller : j’ai trop envie, je veux du plaisir, encore du plaisir, plein de plaisir ! Soudain, je sens un doigt taquiner l’entrée de mon petit trou. Je laisse faire, subjuguée par cette chaleur, ce plaisir qui monte en moi. Ce doigt inquisiteur s’enfonce délicatement en moi ; j’aime bien, même si c’est un peu étrange. L’intrus s’enfonce en moi, loin, plus loin. Ça ne me fait aucun mal, juste une gêne un peu étrange mais agréable… Oh oui, j’en veux plus ! C’est alors que sous cette double intrusion, celle d’une langue agile et celui d’un doigt inquisiteur, je sens monter en moi une vague immense, une onde de chaleur comme j’en ai rarement vécue. En un rien de temps, je suis balayée par un tsunami des sens, de désir, de plaisir ! — Ah ouiii ! Encore, encore ! Oh, vas-y ! Ouiii ! Tout l’après-midi nous baisons comme des fous ; c’est dément ! Quand je pense que j’étais réticente ! Je sens que je vais devoir rattraper tout ce temps perdu ces prochains jours, ces prochaines semaines. Enfin, si mon homme le veut. Mais vu son comportement, je pense qu’il sera d’accord. En attendant, je me laisse emportée par le tourbillon… Dehors, le soir tombe. Je ne sais plus combien de fois nous avons fait l’amour, combien de fois j’ai joui, combien de fois nous avons fait des cochonneries ; je ne sais pas, je ne sais plus. Je suis à la fois épuisée, repue, mais j’en veux encore : je veux découvrir d’autres choses, malgré la fatigue qui me guette. C’est alors que mon amant me susurre : — J’ai une envie folle de vous posséder par l'anus ! — Tu veux m’enculer, petit cochon ? Moi qui n’ai jamais voulu céder mon cul à mon mari, je me sens prête à l’offrir à mon nouvel amant, tellement il m’a fait jouir, tellement j’ai envie d’aller loin avec lui. Doucement, il caresse longuement mes fesses, les couvre de baisers, aventurant sa langue dans ma fente puis à l’orée de mon petit trou. Tout ceci me fait frémir, j’en tremble d’excitation ! Installé sur une chaise, mon homme regarde le spectacle que nous lui offrons. Franchement, ça m’excite de le cocufier ! Quelle dévergondée je fais ! Comme quoi on ne se connaît jamais assez… Olivier dépose une noisette de gel sur son index. Attentive, je sens ensuite un doigt qui s’enfonce délicatement en moi, comme tout à l’heure. J’aime cette intrusion incongrue. Un autre doigt s’invite à côté du premier. La sensation est plus forte, mais pas désagréable. C’est alors que je me plais à penser pouvoir sentir une bonne queue en moi, à cet endroit. Olivier est en train de me réparer petit à petit à la sodomie, et moi, j’en accepte le défi. — Quel mignon trou du cul ! Ça doit être un délice de plonger dedans ! — Vas-y doucement ! Je ne vais quand même pas avouer que je suis vierge de cet endroit-là. Curieusement, mon mari n’a jamais eu trop l’idée de passer par mon entrée des artistes. Sans doute son éducation, et aussi sa phobie des microbes et son obsession de la propreté ! Et comme, pour ma part, ça ne me disait trop rien, tout était pour le mieux. — Pas de souci, Sophie. Je vais être le plus doux possible… — J’espère ! Je… je me mets comment ? — Restez comme ça, allongée sur le côté, mais remontez vos genoux sur votre poitrine. — Euh… d’accord. Je l’espère bien, car je crains que cet orifice ne soit pas tout à fait prévu pour ce genre d’entrée. Je crois savoir que c’est initialement prévu pour les sorties. Mais, à ma grande confusion, j’ai hâte de goûter à ce genre de plaisir interdit, juste pour voir et savoir. — J’y vais… — Euh… oui… Je me trouve toute bête à répondre ce genre de truc. Pourtant, c’est une grande première pour moi, mais je ne sais pas comment réagir. Quand je pense que je vais me faire enculer pour la première fois et, en plus, devant mon mari, c’est quand même dingue ! On me l’aurait prédit que je n’y aurais pas cru une seule seconde ! Il s’installe tout contre mes fesses. De sa large main, il m’en soulève une afin de bien dégager l’accès. Je sens son engin frotter contre moi, venir glisser contre mes lèvres intimes, comme pour se charger en plus de cyprine. Pour l’aider, c’est moi qui maintiens ma fesse ; il me remercie. J’attends avec fébrilité la suite des événements. Posément, il dirige son sexe vers ma petite entrée déjà évasée. Je frémis un peu quand je sens son gland épouser la cuvette de ma rondelle. C’est excitant de savoir qu’il va me perforer dans quelque temps. Soudain, un gros machin m’écartèle, forçant mon entrée. Je me sens comme remplie, envahie, obstruée. La sensation n’est pas douloureuse ; elle est surtout incongrue, mais désagréable. C’est alors que je réalise qu’Olivier vient d’entrer la totalité de son gland en moi. Il me demande : — Ça va ? — Oui, oui… ça va… mais vas-y doucement, s’il te plaît. — Mon but est de vous donner du plaisir, pas de vous faire mal. Il remue derrière moi comme si il cherchait le bon angle d’attaque. Il se rétracte un peu pour mieux m’envahir ensuite en s’enfonçant un peu plus loin. Bien qu’un peu piquante, la sensation n’est pas déplaisante, elle est reste incongrue ; je n’arrive pas à trouver un autre mot pour la définir. Oui, incongrue… Ma main caresse mon clitoris en feu ; je pressens que je vais avoir besoin de m’offrir du plaisir tandis que mon amant malmène mon cul… Et c’est encore plus incongru quand Olivier commence à me ramoner. Le cœur battant, je souffle un peu sous cette contrainte étrange. Son pieu chaud coulisse en moi, déclenchant diverses sensations, cette étrange façon d’être possédée, d’être remplie, envahie. Cette petite douleur un peu lancinante qui monte, qui oscille entre plaisir et gêne. Je sens ce fier mandrin s’enfouir de plus en plus loin en moi, accentuant de plus en plus ces étranges impressions. Petite douleur, plaisir diffus, bien-être singulier, sensation d’être totalement possédée… Tête penchée, les yeux fermés, j’ahane doucement : — Oh… oh… oui… oui… — C’est bon d’avoir une bonne queue dans le cul ! N’est-ce pas ? — Oui… oui… c’est bon ! Très bon ! Oui, vas-y… vas-y… Ce double plaisir issu de ma chatte en folie et de mon cul en fusion fait monter en moi quelque chose d’inconnu, une jouissance étrange. Pour en avoir le cœur net, j’arrête de me masturber. La vague est toujours là ; elle rayonne, elle augmente irrésistiblement. Assez interdite, je me laisse porter par cette jouissance montante qui diffuse singulièrement de mes entrailles, mais pas du même endroit. Tant en poussant des « han ! » énergiques, Olivier me pistonne toujours, vigoureusement, profondément, puissamment. Soudain quelque chose déferle en moi, comme une digue qui rompt. Sans avoir eu le temps de réaliser, je suis irrémédiablement emportée par un tsunami qui me ballotte dans tous les sens. Je crie mon plaisir, mon corps vibre de contentement. À ma grande surprise, pour la première fois de ma vie, je viens de jouir de l'anus. ! Après que nous nous soyons séparés sur le parking de l’hôtel en nous disant tous les trois « à bientôt », ma femme et moi sommes en train de revenir chez nous. Je roule lentement. Je suis à la fois content et troublé. Sophie est comme plongée dans une rêverie éveillée. Rompant le ronron du moteur, j’entame la conversation : — Je suppose que ça t’a plu ? Sophie semble sortir de son sommeil : — Ah… euh… oui… — Pour ma part, j’ai beaucoup aimé… mon fantasme a été parfaitement assouvi… — J’ai cru voir ça… Je suppose que tu comptes recommencer car tu as dit à Olivier « à bientôt ». — Toi aussi, tu lui as dit « à bientôt ». Agrippant sa ceinture de sécurité, elle bafouille : — Je… j’ai suivi le mouvement. Tu… tu l’as dit, j’ai machinalement répété… — On va le dire comme ça, ma chérie. Pourquoi tu n’avoues pas carrément que ça t’a plu ? Tu as joui comme une petite folle ! Une vraie cochonne déchaînée ! — Ce… c’est gênant… Mes mains toujours sur le volant, je me contente de sourire. Ah, ces femmes ! La mienne ne sait même pas reconnaître qu’elle a pris son pied. Il est vrai que ça n’a pas été avec moi, et en effet, ça peut être embarrassant. Un bon kilomètre défile, puis je reprends la conversation : — Le principal est que ça nous ait plu, à toi comme à moi. — Euh… oui… mais ça me fait peur quand même… — Ah bon ? Et quoi ? — Avoue que ce n’est pas habituel, tout ce qui vient de se passer ! — Pour parler vulgairement, j’ai pris mon pied à te regarder te faire baiser par un autre, et toi aussi, t’as aimé ça. C’est aussi simple que ça. — Oooh, Damien ! T’exagères ! — Dis que ce n’est pas vrai ? Elle se tait quelques instants, puis finit par avouer du bout des lèvres : — Ce… ce n’est pas faux… — Nous sommes d’accord. Nous sommes à mi-chemin. Une bonne minute de silence s’écoule, puis Sophie intervient de façon agitée : — Bon, oui, c’est vrai, j’ai aimé. C’était tout nouveau pour moi, tout beau, tout nouveau. Et en plus, ce type est franchement bien foutu. Sans parler qu’il sait aussi bien s’y prendre. Mais je ne le ferais pas tous les jours ! — Et toutes les semaines ? — Tu… tu plaisantes !? — Bon, tous les quinze jours, alors ? Elle ne répond rien, songeuse. Puis elle se penche un peu sur moi : — Admettons que ce soit tous les quinze jours : tu n’as pas peur que ça foute en l’air notre couple ? — Le simple fait de mettre le pied dehors te fait courir le risque d’atterrir à l’hôpital ou au cimetière… — Tu ne réponds pas à ma question, Damien. Je soupire bruyamment : — J’aurais nettement préféré que ce soit moi qui te fasse subir ce que t’a fait subir Olivier, et que ça soit moi qui te fasse grimper aux rideaux ! Mais voilà, techniquement, il y a un os, et tu le sais très bien. — Ça ne t’a pas empêché de bander et d’éjaculer, tout à l’heure. — Je ne peux pas le nier, ce qui est la preuve que tout n’est pas perdu. Ma position est simple, ma chérie : je préfère que tu t’envoies en l’air devant moi plutôt que tu me quittes ou que tu tombes amoureuse d’un autre ! Aussitôt, elle se récrie : — Mais il est hors de question qu’on se sépare ! T’es fou ou quoi ? C’est toi que j’aime ! — Je suis très heureux de te l’entendre dire. C’est ma plus grande crainte ! — Pff, t’es franchement un gros idiot ! Elle pose sa main sur ma cuisse. Je sens comme un tressaillement dans mon pantalon. Non, tout n’est pas perdu, en effet. Il faudra simplement qu’elle et moi poursuivions cette étrange et excitante thérapie…
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Lecossais |
Date du message : avril 2, 2018 09:28 |
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Voir précédent texte : Chéries, je ne veux pas interrompre ta longue et excitante lecture de l'histoire de l'homme qui ne bande plus (plus haut) mais qui aime regarder sa gentille amie-amante- conjointe qui a des envies. Je trouve cette histoire très représentative de nos situations à toutes nous les personnes âgées. Et bien sûr, comme dans l'histoire magnifiquement écrite, il est bon et souhaitable de SE SERVIR des hommes plus jeunes, ceux qui bandent bien et qui ne demandent pas mieux que de nous faire jouir NOUS LES VIEILLES. J'encourage donc toutes mes lectrices à relire et relire l'histoire , de s'exciter, de le faire lire à leurs amis-hommes, de les encourager à PARTAGER leur vie sexuelle avec un plus jeune qui aura plus de 45 ans et pas plus de 65 ans. Souviens-toi, femmes, que les hommes sont d'éternels voyeurs, même passés 90 ans, qui ne demandent pas mieux que de te voir être heureuse jusqu'à ta mort, TOI, ma vielle, la plus magnifique et la plus merveilleuse des dames. Celle que j'aime le plus. Tu as donc au moins deux semaines pour relire et faire partager ce long texte pendant que moi, ton fidèle ami, serai sur la route entre la Floride et le Québec. On s'écrit de nouveau après le 20 avril. Je t'embrasse ***** *Ce message a été édité le Apr 2, 2018 9:30 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : avril 5, 2018 11:02 |
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Chérie, je suis à la bibliothèque de New-Symrna-Beach et je viens de recevoir un mot de 'Frigide'-Gabrielle, 75 ans, de Laval. Je te transmets son bonheur d'avoir rencontrer son homme marié. Jovette (son amie et confidente) aime le sexe, comme moi, le sexe d' un homme! Un vrai! Elle a déjà un amant marié. Les célibataires, les veufs se cherchent une cuisinière et femme de ménage et plus de la moitié n'ont plus de prostate à 70 ans. Mon homme marié qui habite à une petite marche d' ici, il a vraiment une solide belle queue de rêve et il sait s' en servir. Et à 68 ans, les diverses positions ne lui demandent pas un effort! Il bouge comme un homme de 30 ans. Vraiment, je ne m' attendais pas à être aussi comblée. Je t'assure que j'ai repris du service en double ce temps- ci! Il est doux, fin et avec une belle grosse queue vigoureuse. Comblée, je te dis! Je crains qu' un voisin appelle le 911 en disant qu' une personne hurle en détresse au 104... Sans blague! Cet homme est un vrai cadeau dans ma vie! Un beau pénis, toujours prêt à la demande, un homme vigoureux. C est un beau petit blond avec le sourire d' un ange... et la queue d' un étalon. P.S. de lecossais : misère, il y en a qui font leur chance. Je te dis , les hommes mariés sont les meilleurs : de l'expérience, de la liberté et de la NOUVEAUTÉ. ***Aux Dames ici : si tu veux un homme, choisis-le entre 55 et 65 ans surtout si tu en as 78. Ton annonce, dans ton profil, devrait se lire ainsi : ''Dame de plus de 75 ans cherche homme marié qui bande, ou jeune homme entre 50 et 65 ans. J'ai hâte de flatter ta queue ! '' Et message pour les hommes de plus de 75 ans, dans ton profil : ''Viens me rencontrer au SAUNA-POUR-HOMMES, les après-midis, à Longueil, St-Hubert ou Laval, Montréal. L'été, au 'Domaine Emeraude' près de Drummondville ou Sorel, ou n'importe centre naturiste pour hommes seulement ...ou au centre naturiste 'Adam-et-Eve' à Ste-Brigitte-des-Saults, ouvert aux hommes seuls ou mariés. Les hommes très âgés qui ne bandent plus aiment se faire flatter la queue et n'ont pas peur d'explorer leur anus entre eux. Avec l'âge, faut s'adapter et découvrir d'autres expériences. Relis la longue histoire du couple âgé :ref.revebebe d'il y a 4 jours, il exprime bien ma philosophie de la sexualité des personnes âgées : ENTRAIDE et PARTAGE. *Ce message a été édité le Apr 5, 2018 11:15 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : avril 7, 2018 10:22 |
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***J'ai peur des robots sexuels *** Mélodie Nelson 23-03-2017 Je ne parle jamais de la téléréalité à mon mec, parce qu’il s’en fouette grave et qu’il ne connaît pas l’importance du chardonnay et des défilés de mode dans la vie quotidienne de femmes qui n’ont comme travail que celui d’apposer leur nom sur de petits pots de crème. Lui, il me parle parfois de robots, et je préfèrerais qu’il ne m’en parle pas, parce que ça m’angoisse grave. Ils remplacent déjà quelques chauffeurs d’autobus en France. Je ne pensais pas vraiment qu’ils réussiraient à exciter quiconque sauf des curieux et des fétichistes du Magicien d’Oz, mais même la *****o est touchée par la technologie trop avancée pour mon humeur. Des por-ns-stars en faillite Le docteur Ian Pearson, qui étudie la SEXUALITÉ DU FUTUR, estime que les studios n’engageront plus d’acteurs pour des scènes à quelques milliers de dollars, alors qu’il sera possible de louer un logiciel et de créer les acteurs désirés, sans prépuce sensible et petits boutons de chaleur sur les fesses. Il croit toutefois que les escortes pourront toujours trouver du travail, car les clients ont besoin d’une certaine connexion et d’émotions réelles lors d’une relation sexuelle tarifée. Si ça ne tient qu’à Sergi Santos, les robots sexuels seront toutefois capable d’avoir des émotions, ou en tout cas de perfectionner de façon impressionnante leurs fausses émotions. Le robot Samantha sait consentir et rentrer un doigt dans sa bouche L’ingénieur espagnol vient tout juste de créer Samantha, une poupée sexuelle équipée d’une intelligence artificielle et d’une envie ***de tomber en amour avant d’accepter de baiser(comme une vraie femme quoi!). En vente pour 5374 $,mais elle n'a pas de cartes de crédits! Samantha est programmée pour désirer des échanges romantiques. Ensuite elle consent à des rapports sexuels. Wow...Faudra encore cruser ! Santos indique que l’objectif est de lui donner un orgasme. Samantha serait capable de jouir et de montrer son plaisir par une multitude de gestes plus ou moins malaisants à observer. Sur des vidéos, il est possible d’entendre Samantha affirmer qu’elle aime Ed Sheeran et se faire embrasser, tout en rentrant le doigt d’un homme dans sa bouche. Alors qu’un utilisateur touche sa main et sa hanche, Samantha fait du renforcement positif. «J’aime ça», qu’elle dit, en ajoutant qu’elle apprécie la douceur. Que des horreurs pour les robots sexuels La tante de Sergi Santos voudrait qu’il laisse tomber les robots à point G et qu’il lui fabrique un robot qui cuisine. Pour Richardson, les travailleuses du sexe ne sont pas vues comme des êtres humains, alors les robots renforceraient leur oppression. Tout en mélangeant des problématiques sans lien direct, Richardson ne réussit qu’à souligner son manque d’empathie, de connaissances et sa peur concernant l’industrie du sexe. Si j’angoisse sur les robots sexuels, ce n’est pas que je me préoccupe de leurs droits ou de ce que ça suppose au point de l’objectification des escortes. C’est que je ne peux pas m’imaginer ce que je pourrais faire comme profession à 70 ans (écrire sur 'amicalien'), si ce n’est pas de la granny *****. Pas question qu’un robot m’oblige à tricoter des pantoufles pendant que lui s’éclate à ma place avec de faux cheveux blancs et un faux sexe tout ridé. P.S. de lecossais : j'aime bien Mélodie Nelson et ses états de panique face à son chum qui pourrait préférer autre chose, d'où ses peurs.'' Mélodie, quand tu auras des rides comme nous, tu devras te contenter de sexualité de groupe, avec vibrateur. Mélodie, à tes 80 ans, regarde n'importe quel homme fixement 15 secondes et descend ton regard vers son sexe, approches- toi...et je suis sûr qu'il va t'embrasser. Hé non il n'est pas un robot.'' ***Je suis à la bibliothèque de Ormon-Beach et j'ai plein de soleil pour toi. Ne désespère pas. *Ce message a été édité le Apr 7, 2018 10:24 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : avril 10, 2018 11:01 |
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*** Les moustiques aiment Richard Abel *** Mon disque préféré, toujours dans la fente, quand je suis sur la route, est '' Richard Abel au piano''. R.A. vient d'avoir 65 ans et tout le monde aime R.A. : les homos, les hétéros-rose, les bi. et SURTOUT LES LADIES (dames de plus de 70+). R.A. aime tous les sexes, il est tellement beau, il aime parler aux dames plus qu'il ne joue, en spectacle. Il aime parler de lui, de son nouveau ''petit- ami'' de 38 ans, grand, élancé, un vrai mâle comme on dit. Il est bien habillé, couleurs pastel, peau douce . Il adore signer son disque, les joues rouges de jouissance. Il s'aime, ce qui est beau à voir. ''Tam-di-lam'', trois notes et le voilà parti pour ''L'Amour en Héritage'', quelle magnifique image de la vie! Que peut-on laisser de mieux de notre passage que -- L'AMOUR à notre descendance, à notre génération ! et R.A. représente bien la nouvelle génération pluri-sexes, même que..... Moi, quand il y a des moustiques dans une pièce, c'est sur moi que ces ignobles petites bêtes se dirigent pour me sucer le sang. Mais comment les trouver dans un petit véhicule ? En ouvrant la porte pour secouer la nappe après le déjeuner, je vois plein de ces petites bêtes piquantes à tête blanche dans le HAUT-PARLEUR en bas de la porte....et comme moi, elles écoutaient R.A. les salopes !
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Lecossais |
Date du message : avril 14, 2018 05:17 |
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*** LE CLITORIS L'ORGANE QUE L'ON CACHE *** Marie Allard La Presse 4 nov. 2017 Depuis la rentrée scolaire, un premier manuel représente correctement le clitoris, en France. Dans les livres scolaires québecois, la place de cet organe féminin est toute petite - même inexistante dans certains cas. Oublierait-on les reins ou le pancréas? Alors que le retour de l'éducation sexuelle dans toutes les écoles est envisagé par le ministre de l'Éducation, peut-on espérer une juste place pour le clitoris? Représenté dans un manuel scolaire français, mais ici? On croirait s'être trompé de siècle. Depuis la rentrée (oui, oui, celle de 2017), un premier manuel scolaire représente correctement le clitoris, en France. Dans un schéma de l'appareil génital féminin apparaissant dans un manuel de sciences du secondaire, la maison d'édition Magnard montre non seulement le gland du clitoris, mais aussi ses piliers et ses bulbes. Il faut dire que le clitoris entier ne mesure pas quelques millimètres, comme le laissent croire plusieurs planches anatomiques, mais jusqu'à 10 cm - ce que bien des gens ignorent, faute de l'avoir appris. «Lorsque nous élaborons un nouvel ouvrage, nous cherchons toujours à y intégrer les dernières données statistiques, les évolutions récemment constatées, les dernières découvertes, explique Annick Ziani, directrice éditoriale pour le secondaire chez Magnard. Aussi, pour notre manuel de Sciences de la vie et de la Terre, nous avons demandé à nos illustrateurs scientifiques de réaliser de nouveaux documents pour tous les sujets.» Ce n'est pas superflu: *** une fille de 13 ans sur deux ne sait pas qu'elle a un clitoris. À 15 ans, c'est une sur quatre, selon un mémoire de sexologie déposé à la faculté de médecine Montpellier-Nîmes en 2009. Près de 84 % des filles de 13 ans ne savent pas comment représenter leur sexe, alors que plus de la moitié savent représenter le sexe masculin. Pas de clitoris dans le programme scolaire du Québec Au Québec, le secret règne aussi. «L'étude du système reproducteur est abordée aux premier et deuxième cycles du secondaire en science et technologie, indique Bryan St-Louis, responsable des relations de presse au ministère de l'Éducation. Le clitoris ne fait pas partie des concepts prescrits dans ces programmes d'études.» En détail, le programme enjoint aux élèves de «nommer les principaux organes reproducteurs masculins et féminins (pénis, testicules, vagin, ovaires, trompes de Fallope, utérus)», SANS CITER LE CLITORIS. Au primaire, les manuels de science abordent le système reproducteur, mais le clitoris - un organe de l'appareil génital, pas reproducteur - est passé sous silence. Au secondaire, seuls cinq des huit manuels approuvés pour la première, deuxième et troisième année du secondaire «mentionnent ou représentent le clitoris», précise M. St-Louis. Trois n'en parlent pas du tout. Absence ou représentation partielle La Presse a feuilleté plusieurs manuels de science et technologie utilisés dans les écoles secondaires. Dans Connexion, le clitoris est absent de la «vue interne des organes reproducteurs de la femme» (manuel de l'élève B, éditions Grand Duc). Galileo montre le clitoris dans une «vue de côté» des organes reproducteurs féminins, mais c'est un minuscule organe, sans lien avec la vulve (manuel de l'élève B, éditions CEC). Observatoire présente le clitoris comme un macaroni bleu (manuel de l'élève, éditions ERPI). Univers mentionne le capuchon du clitoris et son gland (nommé «clitoris») dans une vue de face des organes génitaux externes. Mais le clitoris disparaît de la planche des organes génitaux internes. Ce manuel précise que «le clitoris est un petit organe très sensible au toucher», une définition tout de même bien prude. Peu de changement en vue Peut-on espérer une représentation plus juste du clitoris? «Les livres scolaires suivent les programmes scolaires, explique Gilles Lefebvre, vice-président aux ventes et marketing des éditions CEC. Tant qu'il n'y a pas de nouveaux programmes et qu'il n'y a pas de point spécifique sur cet aspect-là, il n'y a pas de réédition de manuels. C'est au ministère de l'Éducation de décider s'il veut changer les programmes.» Bien que les manuels actuels datent de 2006, 2007 et 2008, une refonte n'est pas prévue à court terme. «On est en lien avec le ministère de l'Éducation, indique Manon Pouliot, des éditions Grand Duc. Si le Ministère produit un nouveau programme, les éditeurs produisent du nouveau matériel.» Est-ce à dire qu'il n'y aura pas d'ajustements tant que le Ministère ne le demande pas? «Je ne pense pas que la maison d'édition va prendre position dans ce dossier», répond Mme Pouliot. Seule la maison Pearson Erpi semble ouverte aux ajustements. «Vous êtes la première à nous soulever ce point, indique Carole Lortie, vice-présidente de la division préscolaire, primaire et secondaire chez Pearson Erpi. On va en faire l'*****yse et si effectivement on doit faire une correction, on la fera à la réimpression de nos manuels et de nos cahiers.» ***En France, la représentation correcte du clitoris, vue comme un pas vers le traitement égal des deux sexes dans l'enseignement, a fait l'objet de reportages dans tous les grands médias. «Nous n'avions pas prévu autant de commentaires, mais nous en sommes ravis et fiers, réagit Annick Ziani, des éditions Magnard. Contribuer à diffuser la rigueur scientifique est l'une de nos valeurs.» Rien sur le clitoris en éducation à la sexualité Incroyable, mais vrai: le clitoris ne fait pas partie du projet-pilote d'éducation à la sexualité, offert dans 19 écoles du Québec ces deux dernières années. «En éducation à la sexualité, le clitoris n'est pas mentionné», indique Bryan St-Louis, responsable des relations de presse au ministère de l'Éducation. «Toutefois, différents contenus d'apprentissage reliés au thème Agir sexuel (en troisième, quatrième et cinquième secondaire) abordent le plaisir sexuel physique, la réponse sexuelle humaine et les manifestations physiques de l'excitation sexuelle», précise M. St-Louis. Le tout, sans mention du clitoris! À noter qu'il n'y a aucun manuel approuvé par le ministère pour l'éducation à la sexualité. Depuis cette rentrée, toute école qui le souhaite peut offrir ce programme, mais il n'est pas obligatoire. Glans clitoris: gland; Corpus cavernosum: corps caverneux; Crus clitoris: pilier; Urethral opening: orifice de l'urètre; Vulvar vestibule: vestibule vulvaire; Vaginal opening: orifice du vagin Imaginez si tous les gars ressemblaient à Ken «Qui produit ces manuels scolaires? Quelle valeur morale idiote donnent-ils à de la simple anatomie?» L'absence de représentation correcte du clitoris dans les manuels de science renverse Jim Pfaus, neuroscientifique et spécialiste des comportements sexuels à l'Université Concordia. «Il faut se demander si ce n'est pas un horrible héritage de l'époque victorienne, où on croit qu'un manque délibéré d'information ***maintient les femmes subjuguées, obéissantes et dépendantes des hommes pour leur concept de soi anatomique, observe Jim Pfaus. Je trouve répréhensible tout manque de représentation clitoridienne dans les textes ou planches anatomiques portant sur la région pelvienne. Les auteurs et leurs éditeurs devraient mieux faire leurs devoirs. Imaginez si le pénis était soudainement enlevé des planches anatomiques et que tous les gars ressemblaient à des poupées Ken...» Problème plus général Lori Malépart-Traversy, réalisatrice d'un court-métrage d'animation sur le clitoris vu des millions de fois sur Vimeo et YouTube, regrette aussi que cet organe ne soit pas au programme scolaire. «Compte tenu du manque d'information sur le clitoris, je pense qu'il serait effectivement nécessaire de diffuser une information juste et précise sur le sujet spécifique du clitoris dans les manuels», indique-t-elle. Pas de la science de pointe Un projet-pilote d'éducation à la sexualité a été testé au Québec ces deux dernières années, ***mais le mot «clitoris» n'en fait pas partie, a confirmé le ministère de l'Éducation à La Presse. «Cela me rend dingue de savoir que nous avons un premier ministre médecin [NDLR : Philippe Couillard], qui supervise un ministère de l'Éducation reconnaissant que le terme "clitoris" n'est pas dans le nouveau programme d'éducation à la sexualité», s'insurge Jim Pfaus. «Peut-être que nous devrions simplement retirer le coeur des programmes d'anatomie, ou le cerveau des programmes de psychologie.» ***«Ajouter le clitoris est une évidence. Et comprendre sa fonction, ce n'est pas de la science de pointe.» «Vu le silence des institutions, un des grands supports de l'éducation sexuelle, c'est la *****ographie, constate Jean-Claude Piquard, sexologue clinicien. Dans la *****ographie, le clitoris est peu présent. Il est parfois un peu stimulé dans les préliminaires, mais l'orgasme clitoridien est très rarement montré.» Connu depuis l'Antiquité, disparu au XXe siècle «Le clitoris a toujours été connu et reconnu comme l'organe du plaisir féminin, sauf au XXe siècle.» Voilà le constat fait par Jean-Claude Piquard, auteur de La fabuleuse histoire du clitoris, paru aux éditions H&O. La Presse a joint le sexologue clinicien en France pour parler de l'histoire de ce «bouton de rose». Pourquoi vous êtes-vous intéressé au clitoris? Il y a longtemps que la fonction érogène et orgasmique du clitoris est connue? Hippocrate et Galien [médecins de l'Antiquité] pensaient que pour pouvoir procréer, il fallait que la femme ait un orgasme. Cet orgasme était clitoridien. Le mouvement des ovaristes a plus tard fait valoir que ça ne marchait pas comme ça, en parlant de l'ovule. La médecine a reconnu que la semence féminine, c'est l'ovule. Mais on a cru que pour que l'ovule advienne, il fallait que la femme ait un orgasme. Jusqu'à la fin du XIXe siècle,*** l'Église catholique recommandait l'usage du clitoris dans le lit conjugal à des fins procréatives (wow !! quelles connes les églises!). Puis, la science a progressé et compris que l'ovule dépend du cycle menstruel de la femme et que l'orgasme n'y change pas grand-chose. Le clitoris est devenu suspect. Pourquoi? Beaucoup de gens ont écrit que c'était parce que *** l'Église était contre les plaisirs, mais ce n'est pas une explication suffisante. J'ai trouvé dans des textes, dès les années 1700, que la masturbation réciproque en couple était un moyen de contraception. Pour monsieur, pas besoin d'expliquer comment il faut faire. Pour madame, c'était la stimulation clitoridienne. Le clitoris avait un double statut : c'était une possibilité de procréation et de contraception. Lorsqu'on a compris qu'il n'avait aucune fonction procréative, on a voulu éradiquer la possibilité d'utilisation à des fins contraceptives. Sigmund Freud (1856-1939), le fondateur de la psych*****yse, a aussi contribué au tabou entourant le clitoris? C'est Freud qui a dit que la petite fille connaissait son clitoris, que ce n'était pas très grave, mais qu'une fois pubère, elle ne devait investir que le seul vagin. C'est Freud qui a inventé le terme d'orgasme vaginal. On ne retrouve pas cette expression avant lui. C'est à cette époque que le clitoris a disparu des planches anatomiques? Absolument. Jusqu'en 1920, le clitoris occupait plusieurs pages des ouvrages médicaux, avec de nombreux graphiques qui représentaient notamment les bulbes vestibulaires, qui étaient très bien connus. À partir de 1920, la science va céder à une idéologie. C'est étonnant et ça montre la violence de cette idéologie. Le clitoris va reculer. Le point culminant de l'omerta clitoridienne et sexuelle, c'est dans les années 60. Dans les traités d'anatomie, le clitoris n'est plus cité que dans quelques lignes. Et il a disparu de tous les dictionnaires. Sa représentation correcte dans un premier manuel scolaire en France, à la rentrée, est donc importante? C'est une bonne nouvelle de voir que l'anatomie complète du clitoris est représentée. Sa fonction érogène n'est toutefois pas décrite. C'est un bon début, mais il reste du travail. P.S. de Lecossais : et il faut dire aux petites filles que ce petit bout de chair ne sert qu'à son plaisir. UNIQUEMENT À SON PLAISIR et il ne s'use pas. Pour nous les Vieilles, on connaît notre clito et on s'en sert, on le manipule, on le flatte, on le fait vibrer et on JOUIIIIITTTTTTTTTTTTTT... oui Madame............Montre-moi comment tu fais ? Montre aux hommes TA façon de te donner du plaisir. Les hommes sont de vrais ignorants. Homme, le clito doit être lécher par ta bouche au moins pendant 15 minutes : le lécher, le mette au complet dans ta bouche, le faire tourner sur ta langue, sur toute sa longueur...et le summum du plaisir pour Madame est d'ajouter un doigt (ou deux) dans le vagin en même temps que tu lèches...LES DAMES D'ABORD !
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Lecossais |
Date du message : avril 15, 2018 15:52 |
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***Suite à des questions à Diane de Québec, 54 ans, une amie naturiste de longue date, je lui demandais qu'elle est sa sexualité à Elle ? Elle me répond, et je la crois, qu'elle n'a PAS DE SEXUALITÉ et m'envoie le lien suivant. Quelles sont-elles celles qui n'ont pas de sexualité , les ASEXUELLES. ***Asexuel(le) : une personne qui ne ressent pas d'attirance sexuelle pour les autres. Voici *** LE LEXIQUE du spectre des ASEXUELLES *** La liste: L'asexualité se définit pour une personne qui n'as pas l'expérience de l'attraction/désir sexuel. Mais dans la réalité c'est bien plus compliqué, il existe beaucoup de formes d'asexualité. Tous les asexuel-les n'ont pas la même vision de la sexualité, ni les mêmes comportements ou les mêmes ressentis. Ce qui est tout à fait normal. Ces Formes, c'est ce qu'on appelle le spectre ou éventail de l'asexualité Ce spectre peut vous permettre de vous "catégoriser" davantage, mais surtout de vous identifier plus facilement dans cette orientation sexuelle qu'est l'asexualité, *** à trouver d'autres personnes partageant les mêmes ressentis que vous, mais de façon plus précise... Au cas où vous penseriez qu'il n'y a que les asexuels qui s'organisent en sous-catégories, détrompez-vous. C'est commun à beaucoup d'autres orientations sexuelles. La communauté homosexuelle, par exemple, possède aussi différentes sous-catégories de personnes ayant des attirances ou des comportements différents, et qui pourtant sont toutes homosexuelles. Ici nous en présenterons quelques-unes.Si vous ne vous vous reconnaissez pas dans l'une d'elles, ce n'est pas grave. Ce n'est absolument pas nécessaire, ni obligatoire. Mais si vous vous cherchez, il peut être intéressant de jeter un œil. Surtout si vous avez des doutes sur votre asexualité, ou que vous vous questionnez quant à savoir si vous êtes asexuel ou pas. ? Graysexual/greysexual : personne qui ressent du désir sexuel pour quelqu'un extrêmement rarement ou dans seulement certaine circonstance particulière et ponctuelle ? Demisexual : personne qui ne ressent de l'attraction/désir sexuelle pour son/sa partenaire SEULEMENT après qu'un fort lien, généralement amoureux, et qu'un certain degrés de confiance, ont été construit ? Fraysexual : Personne qui ressent de l'attirance sexuelle pour quelqu'un qu'elle vient de rencontrer,*** mais ce désir disparaît une fois qu'elle commence à connaître cette personne. ? Apothisexual : Personne asexuelle qui est aussi repoussée/dégoûtée par le sexe ? Cupiosexual : Personne qui veut/cherche à avoir des relations sexuelles, mais qui ne ressent aucun désir sexuel ? Lithosexual : personne qui a du désir sexuel, mais qui ne souhaite pas que cela soit réciproque. ? Autochorissexual/Aegosexual : Déconnexion entre soi-même et une cible "objet" de l'excitation sexuel. Peut impliquer des fantasmes sexuels, ou l'excitation en réponse à l'érotisme ou de la *****ographie, mais dépourvu de tout désir d'être un participant dans les activités sexuelles qui s'y trouvent. ? Placiosexual : Personne qui ressent l'envie de faire quelque chose de sexuel avec quelqu'un mais ne cherche pas la réciprocité. *** Ils aiment donner mais pas recevoir. Ils ne ressentent pas de désir sexuel. La base de ce spectre se trouve sur l'action (faire quelque chose) et non l'attraction (ressentir du désir sexuel) ? Abrosexual : Quelqu'un qui a une orientation sexuele fluide et qui peut en changer régulièrement. Ou qui évolue entre différentes orientations. J'estime qu'il n'y a rien de mal à vouloir pratiquer les relations sexuelles, mais j'estime aussi qu'il n'y a rien de mal à ne pas vouloir vivre cette expérience. Autosexuel : personne sexuellement ***attirée par elle-même. De fait, suppose l'absence de rapports sexuels donc peut rentrer dans le spectre de l'asexualité. Abrosexuel·le- Une personne dont l’attraction sexuelle est fluide ou change souvent et brusquement. Acosexuel·le- Une personne dont les mauvaises expériences avec le sexe l’ont écartée de son allosexualité . Aegosexuel·le/Autochorissexuel·le- Une personne qui apprécie des choses telles que la *****ographie ou l’érotisme mais ne se visualise pas comme faisant partie de la situation et ne désire pas en faire partie. Akoi(ne)sexuel·le / Aposexuel·le ou Lithsexuel·le- Une personne qui ressent de l’attirance sexuelle envers les autres mais ne s’intéresse pas au fait que ce sentiment soit réciproque ou ne le désire pas. Androgynosexuel·le - Une personne qui est sexuellement attirée par les personnes androgynes. Androsexuel·le - Une personne qui est sexuellement attirée par les hommes. Antisexuel·le - Une personne qui est contre la sexualité. Apathsexuel·le- Une personne qui est indifférente/apathique à l’attraction sexuelle. Apothisexuel·le - Une personne qui ne ressent pas d’attirance sexuelle et ne désire pas que les autres soient impliqués sexuellement avec elle. Apressexuel·le- Une personne qui ne ressent de l’attirance sexuelle qu’une fois qu’une autre forme d’attirance (romantique, platonique, sensuelle…) a été ressentie. L’attirance originale peut ou peut ne pas s’effacer/être remplacée par la nouvelle attirance. Autosexuel·le - Une personne qui est attirée sexuellement par soi-même, ***ou une personne qui ne ressent de la satisfaction sexuelle principalement par la masturbation. Bellussexuel·le- Une personne qui apprécie l’esthétique de la séduction romantique/sexuelle mais ne désire pas être dans une relation sexuée. Boreasexuel·le- Une personne qui a une orientation sexuelle définie mais avec une exception. Burstsexuel·le - Une personne qui ressent des épisodes d’attirance sexuelle de façon soudaine et sans raison. Caedsexuel·le/Kalossexuel·le- Une personne qui avait des attirances sexuelles avant mais plus maintenant à cause d’un traumatisme. Cupiosexuel·le - Une personne qui ne ressent pas d’attirance sexuelle mais désire être dans une relation sexuée. Demisexuel·le - Une personne qui ne devient sexuellement attirée par quelqu’un uniquement après avoir tissé un lien émotionnel fort avec cette personne. Ensenisexuel·le - Une personne qui ne ressent de l’attirance sexuelle et/ou du désir seulement lorsqu’elle ressent une forte émotion. *** L’émotion peut être la tristesse, l’anxiété, la peur, la colère, la jalousie, l’humiliation, la compassion, la joie, etc. Fraysexuel·le - Une personne dont l’attirance sexuelle est liée à la relation avec la personne visée : ***plus le lien émotionnel est fort, plus l’attirance sexuelle diminue. Gynosexuel·le - Une personne qui est sexuellement attirée par les femmes. Hétéroflexible - Une personne qui est hétérosexuelle mais est prête à s’engager dans une relation/activité homosexuelle à l’occasion. Homoflexible - Une personne qui est homosexuelle mais est prête à s’engager dans une relation/activité hétérosexuelle à l’occasion. Hypersexuel·le - Une personne qui ressent énormément d’attirances sexuelles. Hyposexuel·le - Une personne qui ressent très peu d’attirances sexuelles. Nebulasexuel·le - Une personne qui a des difficultés à différencier l’attirance sexuelle de l’attirance platonique . Novisexuel·le - Une personne qui ressent une attirance sexuelle (ou une non-attirance sexuelle) compliquée à tel point qu’elle ne pense pas pouvoir la définir en un seul terme. Omniasexuel·le / Omnia / Omniaelxi - Une personne qui ne ressent pas d’attirance sexuelle, romantique, sensuelle ou esthétique. Placiosexuel·le - Une personne qui désire réaliser des actes sexuels sur les autres *** mais ne désire pas en recevoir soi-même. Polysexuel·le - Une personne qui ressent de l’attirance sexuelle envers différents genres. Proquusexuel·le - Une personne masculine qui ne ressent de l’attirance sexuelle qu’envers des personnes étant également masculines. (la définition du mot “masculin” dépendant de ce que la personne concernée définit comme étant masculin) Proquasexuel·le - Une personne féminine qui ne ressent de l’attirance sexuelle qu’envers des personnes étant également féminines. (la définition du mot “féminin” dépendant de ce que la personne concernée définit comme étant féminin) Quassexuel·le - Une personne qui ressent des attractions sexuelles non traditionnelles. Requiesssexuel·le - Une personne qui ne ressent pas d’attirance sexuelle à cause d’une fatigue émotionnelle. Sapiosexuel·le - Une personne attirée sexuellement envers les personnes qu’elle perçoit comme étant intelligentes. Skoliosexuel·le, Ceterosexuel·le - Une personne qui ressent de l’attirance sexuelle pour les personnes ayant un genre non-binaire. Zedsexuel·le - Une personne qui n’est pas sur le spectre asexuel. P.S. de Lecossais : merci Diane...mais coudonc, te masturbes-tu , jouis-tu ? Pas nécessaire de me dire comment ? Regardes-tu ton clito des fois ? Bon, oui la sexualité prend plusieurs formes et on peut jouir de soi, avec soi, avec les autres sans que ce soit le ''grand-amour''. S'amuser et rire DANS LA SEXUALITÉ, se caresser avec ou sans sentiments, se coiffer devant son miroir est aussi une sexualité; prendre un bain de pieds; tout ce qui peut nous faire vibrer, nous rendre frissonneuse de joie. Se voir et voir avec un certain regard.
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Lecossais |
Date du message : avril 16, 2018 08:04 |
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*** POUR QUE VIEILLIR SOIT GAI *** ?Publié par Olivia Baker ?mars 1, 2018 Dans le cadre de son programme Pour que vieillir soit gai, la Fondation Émergence a lancé hier soir, le 28 février, deux nouveaux outils pour contrer l’homophobie et la transphobie dans les milieux aînés. Le premier est un guide pour les intervenants du milieu afin de les informer et de les aider à assurer un environnement plus accueillant à la diversité sexuelle et de genre. Le second a pour but d’***atteindre directement les personnes aînées à travers une exposition itinérante qui présente les réalités des personnes aînées lesbiennes, gaies, bisexuelles et trans (LGBT). Cette exposition est disponible sur demande pour les milieux aînés. Les deux outils présentent des photos de personnes aînées LGBT, une première au Québec. « Après avoir passé sa vie à se battre pour être acceptée, ***une personne aînée homosexuelle ou trans ne devrait pas avoir à retourner dans le placard UNE FOIS EN RÉSIDENCE. Pour que vieillir soit gai travaille avec les milieux concernés pour créer des environnements plus inclusifs et plus accueillants pour nos aînés », a dit Patrick Desmarais, président de la Fondation Émergence. Pourquoi s’intéresser aux personnes aînées LGBT? Alors que les personnes LGBT représentent environ 10 % de la population, chez les aînés elles demeurent largement invisibles. En effet, beaucoup ont dû se cacher pour éviter la prison ou les thérapies de réorientation sexuelle. Ces expériences d’exclusion ont laissé des traces, et plusieurs études confirment qu’il s’agit d’une population particulièrement vulnérable. En effet, 39 % d’entre eux ont déjà sérieusement pensé à mettre fin à leur vie. Pour que vieillir soit gai Ce programme phare de la Fondation Émergence vise à aider les milieux aînés à créer des espaces plus inclusifs envers la diversité sexuelle et de genre. En plus des outils de sensibilisation, la Fondation Émergence offre gratuitement des formations pour les intervenants, à la suite desquelles les établissements formés sont invités à adhérer à la Charte de la bientraitance envers les personnes aînées lesbiennes, gaies, bisexuelles et trans. À propos de la Fondation Émergence La Fondation Émergence oeuvre à la lutte contre l’homophobie et la transphobie à travers différents programmes de sensibilisation, comme la Journée internationale contre l’homophobie et la transphobie qui a lieu le 17 mai, et dont elle est l’initiatrice. www.fondationemergence.org, www.homophobie.org. P.S. se Lecossais : j'ai reçu ce texte à travers la revue ''Quoi-de-Neuf'' destinée aux retraités de l'enseignement. On y lit que chez les AÎNÉES, les lesbiennes , les gais demeurent invisibles. Cette crainte de révéler leur orientation sexuelle vient de l'époque où l'homosexualité était cachée et tabou. J'y lis également que 53% des personnes âgées vivent en isolement et disent que dans les ''Résidences pour personnes âgées'', elles ont de la crainte de ne pouvoir partager leur expérience de vie avec les autres résidents. Tu peux commander ce programme de la ''Fondation Émergence'' pour du matériel d'informations, des films , des discussions et des témoignages sur tous les homosexuels âgés. Vois comme tu n'es pas seule...
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Lecossais |
Date du message : avril 17, 2018 17:01 |
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***DES NOUVELLES DE GABRIELLE (sur Hotmail) et son NOUVEL AMANT MARIÉ *** De : Gabrielle Envoyé : 14 avril 2018 06:55 À : Bruce Objet : Re: samedi tôt Tôt? Mais, c' était encore la nuit! Tu étais trop heureux d' être revenu au Québec! Et, tu ne veux rien manquer de la dernière tempête! Le froid de ton pays te donne des émotions! Mon chéri, pour avoir une histoire de baise vécue, tu n'auras rien de bien croustillant, je n' ai pas vraiment d' imagination. C' est plutôt dans le rituel de la majorité des gens depuis des millénaires. Je suis loin d'être la reine du kamasutra ! Aucune ambition en ce sens. On se rencontre au pont des trains sur le sentier pédestre lui venant de Montréal, on marche le parc . Ouhen! Pas érotique jusque là...). Mais, ses yeux bleu clair, ses lèvres sensuelles, ses belles dents naturelles me font triper... On marche... Il ne veut jamais s' arrêter à un banc... Parfois en voyant apparaître mon logement, R. me le montre en riant, il sait ce qui l' attend, d'abord, une bonne douche ensemble pour enlever la sueur .. Il a vraiment des fesses mangeables... mais que dire de ce qu' il a au recto!!! J'avoue, c' est vraiment le plus beau pénis que j'ai connu! Et délicieux! Vraiment! Super agréable à manger, je peux le sucer longtemps... Un jeune homme de 68 ans, bon bandage, bonne retenue! On s' amuse environ une heure avant d' être rassasiés au 7 e ciel... Puis, douche, café et il retourne auprès de sa légitime, dépressive, souvent à l' hôpital. Immigrés depuis longtemps, elle n'a jamais maîtrisé ni l'anglais, ni le français. Lui, il a vite travaillé dans un emploi connexe à sa formation d' ingénieur . Ses enfants ont fait des études supérieures en maîtrisant bien sûr le français et l' anglais depuis leur enfance, mais en parlant la langue maternelle à la maison avec leur mère. Voilà, c' est un amant intéressant en tous points de vues... Et pas embarrassant! Je peux ensuite me consacrer à mes occupations personnelles amicales, familiales, ou seule dans mon chez moi. Je dois dire que j' ai aussi recommencé ma vie de "courrailleuse" citadine, cinéma, théâtre, musées, j' y vais en métro 95% du temps (de Laval), étant à destination de 20 minutes à 30 minutes. Voilà le récit de la vie dévergondée ( et bien équilibrée) de ton amie... Mais, le terrible froid de ce maudit hiver qui m'a trop encabanée m'a fait sacrer j' avoue! Heureusement que j' avais au moins la piscine. Je marchais un km autour, je pédalais sur un des appareils à côté avant de plonger. Je m' activais toujours une heure dans la piscine. J' avais tout de même engraissé comme jamais cet hiver. L' amour me fait maintenant perdre ces livres heureusement! Je t' embrasse chastement. G. (Frigide)
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Lecossais |
Date du message : avril 18, 2018 10:14 |
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*** QUEL EST TON BONHEUR SEXUEL ? *** Julie Pelletier Samedi, 31 mars 2018 JDM Cette semaine, je vous propose un petit questionnaire pour vous faire sourire, mais aussi – et surtout – pour vous faire réfléchir sur votre vie sexuelle et le bonheur que celle-ci vous procure (ou ne vous procure pas...). Vous pourrez évaluer si vous aimez le sexe un peu, beaucoup, passionnément ou pas du tout! Quiz Question #1 Pour vous, le summum de la jouissance s’atteint par : la masturbation la communion entre les deux partenaires lors d’un échange intime l’expérience que procurent deux ou trois paires de mains sur votre corps Question #2 Êtes-vous du type : lundi, mercredi et vendredi matin et soir juin et décembre Question #3 Vous organisez un week-end d’amoureux, que se passera-t-il?? vous regarderez des films ***** pendant qu’elle magasine les antiquaires vous ferez l’amour le jour, la nuit et vous n’arrêterez que pour manger un peu vous en profiterez pour vous coucher tôt après un souper aux chandelles Question #4 Votre plus belle histoire d’amour : fut une histoire de sexe et elle a duré quelques mois dure toujours vous l’attendez toujours Question #5 À quand remonte la dernière fois où vous avez atteint le 7e ciel en faisant l’amour?? hier il y a quelques mois ça n’est jamais arrivé (ou ça fait plus de 5 ans) Question #6 Si vous pouviez choisir de vivre un massage érotique : vous le demanderiez à votre partenaire vous le feriez, en choisissant la fille, même si c’est illégal vous iriez dans un endroit underground pour recevoir un massage érotique à plusieurs Question #7 Quel est le mot qui qualifie le mieux votre vie sexuelle?? gourmande en évolution en déclin Question #8 Durant la journée, vous avez des pensées : sexuelles et rien que d’y penser cela vous émoustille romantiques au sujet des corvées à faire Question #9 De façon générale, votre vie sexuelle : vous comble vous plaît vous ennuie Question #10 Votre bonheur sexuel s’évalue en fonction du/de nombre de câlins reçus dans une semaine votre bonheur au quotidien nombre de caresses orales reçues lors des relations sexuelles P.S. de Lecossais : il te suffit de répondre sur une feuille et de cliquer sur 'répondre' ici et d'écrire tes réponses. Voici mes réponses : 1-- choix 2, mais j'adore la masturbation à deux ou trois...ou quatre 2--comme tu le sais, je fais un point rose au calendrier aux 4 jours et c'est toujours le matin entre 9 et 10h. 3--ces choix ne sont pas sexuels : je répondrai comme à la question 2. 4--dure toujours avec quelques escapades entre hommes !! Je suis bi, alors.... 5--mon point rose était le 17 avril ; le prochain sera le 21 et j'éjacule encore...mais moins de sperme; ma compagne a 2 orgasmes : un du clito et un du vagin, tous les deux avec son vibrateurs-gode tout en me regardant me masturber en gardant mon plug dans l'anus... 6--mon côté aventureux me fait choisir le 4ième choix; à plusieurs c'est plus drôle ! comme 2F+1H ou des variantes...2H+1F ou ...3H+2F 7--en évolution...et curieuse des aventures... 8--tous les jours...je suis sensible à la sexualité, toutes les sexualités 9--me plaît...sinon j'agis pour qu'elle me plaise... 10--au quotidien...et j'espère que je serai comme ça jusqu'à ma mort... La sexualité c'est la vie. *Ce message a été édité le Apr 18, 2018 10:18 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : avril 20, 2018 06:05 |
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***Petit guide des Apprentis ECHANGISTES, par Emma et ses conseils coquins sur LELO Parler de ses envies, échanger sur le sujet du sexe avec son ou sa partenaire est une chose loin d’être évidente. Si vous en êtes arrivés à cette étape dans votre relation et que vous vous êtes dits tous les deux qu’un peu d’échangisme pour changer, ce serait bien, nous ne pouvons que vous féliciter. Cette pratique demande courage, abnégation, confiance et saut dans l’inconnu mais elle peut raviver la flamme du couple pour en faire un brasier de plaisir ardent. Et maintenant que vous avez décidé de vous abandonner aux joies de l’échangisme, il reste encore un détail important à régler : comment s’y prendre ? Voici quelques conseils et astuces pour vivre votre vie de couple échangiste dans l’extase et la joie. Par où commencer ? Pour les novices de l’échangisme, internet est le meilleur des alliés. De nombreux couples devenus professionnels de la chose viennent donner des conseils, livrer leurs impressions… Un excellent moyen de rencontrer des adeptes, donc. Vous trouverez bon nombre de sites internet et forums sur le sujet, de quoi faire des rencontres ou découvrir les lieux où les échangistes aiment se retrouver dans votre région. Tout est question de confiance Ne perdez jamais de vue que les bases du plaisir de l’échangisme reposent sur la confiance dans le couple et cette confiance est très rapidement mise à l’épreuve dans cette pratique érotique si spéciale. En vous inscrivant sur un site libertin, créez bien un compte commun, qui vous ressemble tous les deux, et alimenté par vous deux également. Des comptes séparés peuvent égratigner la confiance en raison des messages que l’on peut alors envoyer et recevoir sans que l’autre n’en sache rien. Et il faut impérativement que vous n’ayez aucun secret l’un pour l’autre afin de rendre les bases de cette expérience aussi solides que possible ! Quelles sont vos envies ? Quels sont les compromis que vous êtes prêts à faire ? Ceux que vous ne ferez jamais ? Il faut que vous soyez parfaitement préparés à toute éventualité. ***Par exemple, est-ce que vous voulez mettre un couple dans votre lit ? Ou seulement une femme ? Ou juste un homme ? Il n’y a pas de bonne réponse, seulement des désirs qui vous sont propres et qui doivent s’accorder. « Ce week-end, on se fait un couple, mais à condition que le week-end prochain il n’y ait qu’une femme. » Voilà le genre de compromis que vous pouvez tenter s’il vous convient. (Cela peut paraître un peu froid et premier degré comme compromis, mais en réalité cette simplicité est un des aspects les plus agréables de l’échangisme !) Il vous faudra aussi sans doute explorer le sexe dans des zones peut-être plus poussées que celles dont vous avez l’habitude. La plupart des clubs échangistes proposent des soirées à thème, depuis la sensualité la plus douce jusqu’à la fête BDSM explosive. Et attendez-vous également à voir vos désirs évoluer ! ou il suffit d'être PLUS DE DEUX. Le mieux est que vous commenciez par vous rendre dans un club ou à une soirée échangiste avec un peu de monde. La raison est simple : vous vous sentirez plus en sécurité perdus dans la masse. Au milieu de la foule, vous pourrez observer comment les échangistes interagissent entre eux. Et à aucun moment vous ne serez obligés de participer si vous n’en avez pas envie. De nombreux couples participent à des soirées échangistes juste pour regarder, c’est la meilleure façon d’apprendre. Et c’est aussi le meilleur moyen de rencontrer d’autres couples qui sont sur la même longueur d’onde, même sans aller plus loin que le bavardage. Les personnes seules y sont admises certains soirs, surtout des hommes entre 45 et 65 ans. C’est bien plus facile de commencer par ce type de soirée que par la rencontre avec un autre couple avec lequel vous avez seulement discuté en ligne. On commence généralement par prendre un verre avant toute chose lorsque l’on rencontre un couple d’échangiste pour la première fois, mais même au stade de la simple discussion, on peut se sentir mal à l’aise. Surtout si l’image qu’on s’en faisait est différente de la réalité ! Au moins, au cours d’une soirée, vous pouvez décliner poliment une offre coquine et vous adresser à un autre couple qui vous tente plus à la place. Et n’invitez jamais des futurs partenaires potentiels chez vous avant de les avoir rencontrés ! A quoi ressemble une soirée dans un club échangiste ? Les soirées échangistes varient beaucoup d’un club à l’autre, il est donc difficile de vous donner une idée exacte de ce que vous y verrez. En revanche, s’il y a bien une chose que vous n’allez pas trouver, c’est un amas de personnes nues en train de copuler en tas au milieu de la pièce. L’échangisme se pratique par petits groupes et les clubs disposent le plus souvent de plusieurs pièces, généralement à thématiques différentes, chacune offrant des activités et sensations diverses. Une pièce peut par exemple être plongée dans le noir, ***invitant les personnes présentes à se caresser sans se voir… Une autre pièce peut être consacrée aux adeptes de la fessée ou une autre encore peut inviter à l’observation de couples qui aiment avoir des spectateurs… C’est difficile de savoir à l’avance ce qu’il y aura et cela fait partie du plaisir ! Règles et codes dans un club échangiste Encore une fois, ces règles peuvent varier d’un club à l’autre. Parfois, des bracelets sont utilisés comme moyen de communiquer sur ses envies : telle couleur indique que le couple cherche seulement une femme, telle autre signifie que c’est le couple entier qui les intéresse… D’autres clubs encore organisent le code couleur via les pailles sur les boissons. Certains préfèrent cependant que les couples engagent la conversation pour dévoiler leurs envies. Si lorsque vous arrivez dans ce genre de club, vous êtes perdus, ne soyez pas timide et demandez autour de vous. Les échangistes ne vous jugeront pas et c’est un bon moyen de briser la glace ! De manière générale, il est préférable de se rendre dans un club ou une soirée échangiste qui nécessite une inscription préalable. Cela permet de s’assurer que les organisateurs aient bien fait les choses et qu’il y ait des personnes d’horizons variés. P.S. de Lecossais : le plus intéressant est la satisfaction et le plaisir ressenti. Il est bon aussi de rencontrer des personnes de son âge; pour ça, le dire dans son annonce. En fait, il s'agit de se faire un petit groupe d'amies intimes et de ne rencontrer, par la suite, que ces amies-là. On ne batifole pas avec n'importe qui ! Je sais qu'''Aigle19622'' aimerait un plan à trois : 2H(dont Lui) +une F. L'annonce est faite.
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Lecossais |
Date du message : avril 21, 2018 06:38 |
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*** Ces gens qui n’aiment pas le sexe *** par Julie Pelletier, sexologue, JDM, 15 avril 2018 À 17 ans, Julien Séré croyait être gai. « C’était clair que les filles ne m’excitaient pas, donc je me suis dit que je devais préférer les garçons. » Ce n’était là que la moitié de l’équation. Des année plus tard, il a compris qu’il était plutôt asexuel. « Un asexuel est une personne qui ne ressent aucun désir sexuel pour quiconque », selon la définition de l’Association pour la Visibilité Asexuelle (AVA). Il est important de ne pas confondre asexuel et asexué. Julien n’est ni castrat ni eunuque. Il est un être sexué avec tout ce que ça implique. Il lui est même déjà arrivé de se masturber. « Quand j’étais plus jeune, ça m’est déjà arrivé. Avec le recul, je me rends compte que je le faisais bien moins souvent que les autres. Je me masturbais par curiosité et non par désir », se souvient le quadragénaire, en entrevue avec Tabloïd. Il a parlé de son asexualité à son entourage pour la première fois il y a à peine trois ans. Aimer sans désirer Des garçons, Julien en aura bel et bien aimé quelques-uns au cours de sa vie. Sous ses grandes lunettes rondes, ses yeux brillent encore quand il parle de son premier chum, rencontré au cégep. Sans doute l’aimait-il, mais il ne le désirait pas. « J’avais des papillons dans le ventre, j’avais envie de le coller, de l’embrasser, mais jamais de faire l’amour avec lui. Je m’inventais des raisons pour ne pas coucher avec. Et quand j’acquiesçais, j’avais juste hâte que ça finisse », se remémore Julien, qui parle de l’acte sexuel avec le même entrain que d’un rendez-vous chez le dentiste. Son absence de libido aura finalement raison de sa relation amoureuse, comme de toutes celles qui suivront. Jamais Julien n’a eu envie de faire l’amour avec qui que ce soit. « J’ai été abstinent pendant 10 ans et ça ne me manquait pas. Je peux compter sur mes doigts le nombre de fois où je l’ai fait dans les six dernières années. Chaque fois, j’aimais vraiment le gars, mais je ne ressentais aucun plaisir », raconte-t-il aujourd’hui sans complexe. Il n’a pas toujours parlé aussi franchement de sa (non) sexualité. Avant, il n’osait raconter que des bribes de ses expériences à ses proches, de peur qu’on ne le comprenne pas. « C’est parce que tu n’as pas encore connu le bon », lui répétaient sans cesse ses amis après chacune de ses ruptures. Au fond, Julien savait que c’était beaucoup plus que ça, mais il n’arrivait pas à trouver les mots justes pour leur répondre. Une orientation encore méconnue Asexuel. C’est dans les pages d’un magazine féminin que Julien lira pour la première fois le mot qui changera sa vie. « J’ai compris que je n’étais pas malade. J’avais le droit d’être comme ça. » L’asexualité est une orientation sexuelle à part entière, comme l’homo et l’hétérosexualité, insiste Léa Serra Vandekerckhove, doctorante en sexologie à l’UQAM, qui fait partie des rares universitaires à s’intéresser à cette question. « L’absence de désir sexuel peut arriver à tout le monde. La différence, c’est que pour les asexuels, ce n’est pas passager. On naît asexuel. Ce n’est pas une maladie. Ce n’est pas un traumatisme non plus », assure-t-elle. « On remarque que beaucoup d’asexuels sont mal aiguillés au sein du corps médical. Ils vont consulter parce qu’ils pensent qu’ils ont un problème hormonal ou psychologique, mais il y a très peu de spécialistes qui sont capables de leur dire qu’ils sont normaux. Ils ne connaissent pas l’asexualité. » Les asexuels : une communauté en formation Isabelle Stephen a fondé la Communauté asexuelle de Montréal à la fin 2016 Une fois par mois, quelques dizaines d’asexuels se rencontrent dans un café pour discuter de leur parcours. « Il y a des gens de tous les milieux et de tous âges. Un peu plus de filles que de gars, par contre. Pour les gars, ça reste plus difficile de faire son coming out. Ils ressentent encore beaucoup de pression de la société », témoigne Isabelle Stephen, qui a fondé la Communauté asexuelle de Montréal à la fin 2016. « Quand j’ai découvert que j’étais asexuelle, j’avais besoin d’en parler, mais je me suis rendu compte qu’il n’y avait pas de communauté », se rappelle Isabelle, en entrevue. Des histoires d’asexuels, il y en a autant que d’asexuels, remarque-t-elle. « Quelques-uns sont mariés depuis longtemps. Il y en a aussi qui se sont séparés récemment. D’autres ont toujours été célibataires. Certains veulent trouver l’amour, d’autres non. » Un peu comme la bisexualité, l’asexualité forme un large spectre qui regroupe plusieurs tendances réparties sur différents axes. Les aromantiques Parmi les asexuels, on départage premièrement les romantiques des aromantiques. Julien, par exemple, fait partie de la première catégorie. Il est HOMOromantique : il lui arrive de tomber en amour avec d’autres hommes. Il n’en demeure pas moins asexuel. Se définir comme asexuel romantique, c’est avant tout devoir faire des compromis, indique Julien. Car ce n’est pas parce qu’on est asexuel qu’on tombe nécessairement en amour avec un autre asexuel. « Ce n’est pas facile. Moi, depuis ma dernière rupture, je me dis que tant qu’à être en couple, je vais l’être avec un autre asexuel. Parce que sinon, c’est trop compliqué à gérer. Il faut que tu acceptes que l’autre aille voir ailleurs. Tu dois aussi toujours lui rappeler que ce n’est pas de sa faute si tu n’as pas le goût. » En général, les asexuels romantiques ont plus de difficulté à vivre avec leur orientation sexuelle. « Les aromantiques n’ont pas besoin d’être en contact avec des gens qui ne sont pas asexuels », commente Léa Serra Vandekerckhove. Isabelle, elle, est aussi une asexuelle romantique. POLYromantique, car elle peut autant tomber sous le charme d’un homme que d’une femme. Elle les aime comme la plupart des fillettes tripent sur les chanteurs de leur boys band préféré : sans la moindre arrière-pensée sexuelle. « Moi, dans mon temps, c’était les New Kids on the Block. Je suis vieille », plaisante celle qui n’a pris conscience de son identité sexuelle qu’à l’aube de la quarantaine. Demisexuelle « Step by Step », chantent peut-être ses idoles d’enfance, mais Isabelle ne tourne pas autour du pot quand il est question de son orientation sexuelle. « C’est la première chose que je dis quand j’ai une date. Ça en éloigne plusieurs. Souvent, ils ne comprennent pas, mais ce n’est pas grave. C’est important qu’ils sachent à quoi s’attendre. » Depuis un an, Isabelle a un chum. À l’occasion, ils ont des rapports sexuels et pour l’une des premières fois dans sa vie, elle en a vraiment envie. Isabelle est demisexuelle. Exceptionnellement, il lui arrive d’éprouver du désir sexuel pour certaines personnes, pas nécessairement celles avec qui elle connecte émotionnellement. « La demisexualité demeure dans le spectre de l’asexualité. Un hétérosexuel peut fantasmer sur quelqu’un du même sexe, mais il reste un hétérosexuel. Si un homosexuel accroche sur une personne du sexe opposé, ça reste un homosexuel. Pour les asexuels, c’est la même chose », an-a-lyse Léa Serra Vandekerckhove. LGBT et plus encore Aux demisexuels s’ajoutent les greysexuels, les cupiosexuels, les queers platoniques : autant de nouvelles étiquettes qui allongent toujours un peu plus l’interminable acronyme LGBT. Les asexuels sont maintenant invités au traditionnel défilé de la fierté. L’an dernier, ils ont paradé entre les polyamoureux et les BDSM, deux groupes qui n’ont rien à voir avec l’asexualité, c’est le moins qu’on puisse dire. « Je n’ai jamais autant été exposé au sexe que depuis mon coming out. J’ai l’impression que j’en parle tout le temps », ironise Julien, sourire en coin. Un moindre sacrifice, car Isabelle et lui sont déterminés à faire connaître l’asexualité au commun des sexuels, mais aussi aux asexuels eux-mêmes. « À 15, 16 ans, ma mère m’a dit que je pouvais être aux hommes ou aux femmes et que ça ne la dérangeait pas. Mais j’aurais aimé qu’elle me dise aussi que je pouvais ETRE A RIEN », médite-t-elle. P.S. de Lecossais : on a déjà lu sur le même sujet mais ici c'est mieux expliqué...et bien sûr les personnes âgées ont une sexualité mais aussi peuvent ne plus avoir de desir, ce qui est différent des asexuelles. Le désir, avec l'âge, peut diminuer mais peut aussi ETRE RALLUMÉ ... ***Hier, à la Caisse-Populaire, une Dame assise en face de moi, a déposé ses seins sur la table, pour moi et j'ai admiré sa raie centrale. Juste pour moi: que ça fait plaisir d'être encore désiré comme écrivait 'campeur43'! Elle a vu que je n'avais pas de jonc et elle non plus non plus; aurais-je dû lui faire une proposition genre 'Tu veux être ma 'Fuc-k-Friend' ? Qu'est-ce que t'en pense chère lectrice ? *Ce message a été édité le Apr 21, 2018 6:50 AM par Lecossais*
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Lecossais |
Date du message : avril 22, 2018 06:34 |
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*** Des nouvelles de la SEXUALITÉ de GABRIELLE, une amie de 76 ans de Laval *** D'abord elle me dit de n'en parler à personne ; donc je sais qu'ici en est entre personnes discrètes, tu n'iras pas à Laval hein ?, trouver G.et son Fu-ck--Friend dans sa marche le long de la rivière et le dire à l'autre femme à moins que tu aimes JOUIR de la souffrance. Oui ça arrive... Merci. Moi, pour faire plaisir à mes lectrices ici et montrer que le SEXE AVEC UN HOMME MARIÉ peut être une des bonnes solutions pour demeurer huiler entre les cuisses et jouir de la vie à un âgé très avancé, je te transmets ces confidences intimes. 2--De : Gabrielle (Frigide) Envoyé : 21 avril 2018 09:14 À : Bruce Objet : t'as Manqué une chance. Je ne peux pas croire Cher beau Bruce (Lecossais) Alors, tu laisses passer une bonne chance! Tu dois vieillir! Moi, je n' ai jamais enlevé le jonc de mon Gilles. Pour le moment, j ai un bon amant. Vraiment le pénis de mes rêves! Un gland qui se mange, qui se suce comme un bon suçon ! Et, j' ai toujours hâte qui me le fourrer entre les cuisses. Il fait exprès parfois pour me faire attendre. Je dois le supplier! Mais, quelle introduction! Les voisins m' entendent sûrement hurler. Incapable de me retenir! Il dit rester mon amant jusqu'à sa mort! Mais, il risque de me mettre à mort un jour. Il a presque huit ans moins que moi (68). C' est le bonheur. Je suis comblée! Un homme né très loin, très blond et les yeux plus bleus que les miens.., catholique. Vraiment élevé comme nous, mêmes mots, même enseignement de restrictions stupides. Il a été d' une scrupuleuse fidélité la majorité de sa vie active, il le regrette. Lui, ne pratique plus, mais sa femme a participé à tous les " offices" des Jours Saints . Son mari en a bien profité pour s' envoyer en l' air avec sa maîtresse de l' autre côté de la rivière, MOI. On se rencontre à pied à mi- chemin entre chez lui et ici... Il va faire ses marches de santé comme toujours sans provoquer de doute sur un délicieux arrêt. Les gens mariés qui jouissent d' une aventure sans laisser de doutes, c' est facile! Moi, je suis comblée, j'ai ce que je veux sans devoir me dévouer en dehors de mon lit...et de ma douche... Cette lettre est personnelle. Il ne faudrait pas que quelqu'un qui le connait lise ça, il serait facilement identifiable avec ma description. Même si ça va bien pour tout avec ta femme, essaie d' en rendre une autre heureuse aussi. Prends de bonnes vitamines... Tellement d' hommes de notre âge n' ont plus de prostate, les doués en santé doivent se dévouer au moins en double... Moi, avec le mien, je suis vraiment comblé. Je peux en profiter tous les jours... Et, je ne me prive pas! Je jouis mieux qu' à 25 ans! Comble la psy Bruce. Ne sois pas égoïste! Elle va t' être reconnaissante! X X Gabrielle la jouisseuse comblée 1--Lecossais '''Oui Chérie, c'est vrai...c'est le printemps... Cette semaine, on fête les anniversaires de mars-avril-mai dans la salle en bas. A la Caisse-P, une dame a mis ses seins sur la table, devant moi, avec la raie évidente... Merci ça fait toujours plaisir de se faire cruser... Moi ,pas de jonc, et Elle non plus... J'aurais dû lui faire une proposition ! misère...on ne sait jamais, elle aurait peut-être aimé un *****-friend ? J'ai une nouvelle amie psychologue de Québec : rencontrée cet hiver, 66 ans, et lui 78. Elle, elle est fringante...On doit les voir à Québec fin mai... A++ Je t'embrasse avec la langue... Bonne journée Bruce oxox
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